La ville-état de Nexus baignait dans sous un le ciel bleu signe d'un beau temps. Cape sur le dos, son Katana sur l'épaule et son autre main dans une poche, l'homme que l'on surnommait le Kamikaze de Nexus, Sameshima Kabuto se baladait dans dans la place publique à la recherche d'objet pouvant lui être utile pour son objectif. Il regardait avec dédain les esclavagistes maltraiter leur esclave comme si c'était de simple bétail. Kabuto ne pouvait pas supporter de voir cela. « un homme », un vrai ne doit pas se rabaisser à maltraiter les plus faible. Au contraire, il devrait plutot les protéger tout en combattant des guerriers digne de ce nom. L'être humain à oublié ce que signifie le mot « honneur », il à écrasé ces convictions les plus chères et les as purement et simplement oublier pour toujours s'approprier plus de bien matériel.
Sameshima devait se contenir. Il avait déjà été arrêté pour agression sur des vendeurs et pour coups et blessures sur les gardes qui avaient alors tenté de le stoppé. C'était dur pour le Kamikaze, il fallait pas qu'il se fasse remarquer ou qu'il provoque ces vulgaire marchand en duel. Il finirait par les boxer si ils refusaient. Si Sameshima était encore mit sous les verrous il ne s'en remettrait pas. Son projet tomberais à l'eau et son honneur serai souillé.
Le guerrier ne trouvait finalement rien il décida donc de partir dans sa chambre à l'auberge. Il passa par une petite ruelle qui semblait déserte. Soudainement des bruit attira son attention. Cela ressemblait à des cris de douleurs. Sans perdre instant, Kabuto se dirigea en direction des cris. Il découvrit deux vagabond qui s'amusaient à molester un jeune terranide sous le regard apeuré d'une femme terranide et d'un enfant de la même espèce.
« pheuu... » le guerrier eux une réaction de dégout face a cette scène, quel déshonneur de s'en prendre a des pauvre gens sans défense. Il ne tarda pas a ce faire remarquer face au deux homme.
-ayayaïe et on appel sa des homme, vous me faite pitié.
-on tas rien demander va te faire foutre.
-quand tu veux !
la réponse de Kabuto avait bien énervé l'un des deux hommes qui ne savait visiblement pas a qui il a à faire. Et n'hésita pas a venir vers lui un bâton à la main et tout en bombant le torse, il s'adressa a Sameshima.
-tu sais a qui tu as à faire mon coco ?
-ouais, a des lâche qui ne savent pas ce que c'est l'honneur.
Les deux homme discutèrent de la sorte un petite moment. Kabuto restait calme quand a son interlocuteur, il commençait a s'énerver. Il fallut pas longtemps pour que l'homme perd patience et se laisse emporté par la colère.
-prend sa sale chien...
Kabuto ne fit qu'un pas de coter pour éviter le coups de bâtons qui vint sur lui a la verticale. Emporter par son mouvement, le gangster trébucha en avant et reçut un coup de coude dans la nuque donné par le guerrier. Le deuxième homme eux peur et s'enfuit. Sameshima Kabuto rigolait de la couardise de cette homme là. Il repris tranquillement son chemin en ne répondant par un petit clin d'œil et son sourire habituelle aux remerciement de la famille.
Le guerriers s'enfonça dans une ruelle écarté de la place principale et qui finissait par un cul-de-sac. Il rattrapa le fuyard qui se mit a bêtement à rire.
-tu es bien courageux, mais tu es très idiot. Allez les gars amusez vous un peu.
Plusieurs personne armée sortir de leur cachette et encerclèrent Sameshima.
-tu vas payer de ta vie cette affront, sa t'apprendra de te mesurer au gang du Red-Snake. Tuez le!
les hommes du gang voulurent ce jeter contre le guerrier mais stoppèrent quand ce dernier sortie lentement son katana de son fourreau de manière a ce qu'il fasse le plus de bruit possible.
-vous ignorez à qui vous avez à faire, je suis plus qu'un simple combattant, je suis Sameshima Kabuto et l'on me surnomme le Kamikaze de Nexus. Venez donc vous battre si vous êtes des hommes.
Ses agresseurs n'hésitèrent pas face à cette provocation et chargèrent sans attendre. Il devaient être une quinzaine et malgré tous Kabuto arrivait à pas mal se défendre en parant les coups et surtout grâce à la ruelle très étroite qui forçait les gangsters à venir chacun leur tour. Sa connaissances des armes lui permettait de savoir où et comment frapper pour casser les nombreuse hache et épée qui s'abattaient sur lui. « c'est un beau jours pour mourir » se disait le guerrier si semblait avoir plus en plus de mal à bloquer les coups et commençait à souffrir de nombreuse blessure. Il ne tiendrait plus longtemps et la fuite lui était inconcevable. De plus la garde de Nexus n'allait surement plus tarder. La situation semble désespérer.