Il faisait noir, tu avais l'impression d'être ballottée un peu dans tous les sens, il faisait plutôt humide et tu avais froid, tu ne sais pas comment tu étais arrivée ici, mais il fallait que tu restes en vie, c'est pour cela que tu te tissas en vitesse un long pull afin de couvrir ton corps nu et te réchauffer. Tes yeux commençaient à s'habituer et à y voir plus clair, de la lumière filtrait, il y avait du bois tout autour de toi, un bateau, tu avais comme l'impression d'être en mer. Tu voyais des caisses en bois, tu en ouvris une, il y avait des marchandises dedans, tu le fermas, te tenant ensuite la tête, tu avais un peu le vertige. Comment étais-tu arrivée là ? Tu te souvenais que tu étais en train de violer une femme qui s'était aventurée dans ta grotte et qui était tombée dans tes filets, tu prenais ton pied et tu avais senti cette odeur étrange qui te fit dormir lentement. On a sûrement répandu une sorte de drogue dans les airs quand tu étais dans la grotte, tu te souvenais aussi d'une cage d'où tu étais échappée en tuant un esclavagiste, mais c'était flou, car tu n'étais pas en possession de tes moyens, c'était plutôt ton instinct animal qui t'a guidé. Tu finissais par te retrouver ici, la poisse, tu espérais t'en sortir et t'échapper pour rentrer tranquillement dans ta grotte et te prélasser sur tes toiles.
Tout à coup, le bateau s'arrêta net et le bruit se faisait plus grand, des pas, des voix, cela arrivait par ici, c'est pour cela que tu te cachas dans l'ombre, voyant des hommes décharger les caisses de marchandises. Tu restas silencieuse dans ton coin noir, évitant de te faire repérer, attendant que toutes les marchandises soient déchargées pour pouvoir sortir de ta cachette et souffler, tu avais la preuve que la terre ferme était à l'extérieur du bateau, tu allais attendre la nuit pour sortir. En attendant, tu allais rester là et juste patienter, en espérant que personne ne puisse te remarquer, mais tu n'avais pas de chance. En effet, tu entendais quelqu'un arriver, tu te disais que tu pouvais capturer cette personne pour t'amuser avec elle et te divertir en attendant la nuit, c'est pour cela que tu te cachas dans l'ombre avant de voir l'inconnue et de sauter sur elle. Tu arrivas à la prendre dans ta toile, la suspendant à mi-hauteur, tes filets entourant ses poignets, ses cuisses et ses jambes pour les écarter, lui mettant de la toile au niveau de la bouche pour qu'elle ne puisse pas parler. Elle semblait être seule et c'était une demoiselle plutôt jolie, une hybride chien, au pelage noir, marron et orangé, elle se débattait, mais personne n'échappe à tes filets. Tu t'approchas d'elle, lui tenant le visage pour qu'elle te regarde dans les yeux, souriant sadiquement, l'interrogeant : « Eh bien, nous avons une belle proie ici, tu n'es pas en bonne posture, mais je peux te libérer si tu me dis où on est et qui es-tu, d'accord ? » La demoiselle semblait d'accord, mais quand tu lui retiras la toile de la bouche, elle essaya de te mordre, la vilaine, tu remis donc la toile, faisant un petit rire, à vrai dire, cela te faisait plaisir qu'elle soit aussi rebelle, cela accentuait l'amusement. Tu viens serrer tes fils autour des membres de l'inconnue pour essayer de lui faire mal, on voyait la douleur sur son visage, mais elle résistait, tu tentais de l'écarter aussi, mais non, elle supportait tout, tant pis, elle allait être ton jouet sexuel.
Tu manipulas tes fils pour mettre ta proie ventre vers le sol, comme si elle était à quatre pattes, mais elle avait les bras et les cuisses bien écartés, tu lui retiras le sous-vêtement au niveau du bassin en le coupant avec tes doigts pointus, le faisant tomber au sol et exposant, ainsi, l'intimité et la rondelle de l'hybride : « Comme tu ne veux pas parler, tu feras ton travail de chienne et me servir de sac à foutre. » Tes doigts venaient caresser l'intimité de la demoiselle et insérer tes doigts dedans afin de la stimuler et la faire mouiller, faisant des vas et vient jusqu'à ce que ça soit bon avant de prendre la demoiselle en levrette, remontant ton pull pour exposer ton membre bien gros en érection, déjà bien excité. Tu viens la pénétrer avec ta queue et faire des mouvements de hanches, effectuant des pénétrations intenses et profondes dans l'intimité de la demoiselle que tu trouvais très accueillante. Tu la faisais gémir comme une chienne qu'elle était, la violant sans une once de remord, accélérant le rythme de tes gestes, poussant des râles de plaisir. L'acte dura de longues minutes, tu avais profité de son intimité, mais aussi de son anus, avant de jouir dans ces deux orifices, les faisant déborder de ton sperme, des gouttes mélangeant sa mouille et ta semence tombant sur le plancher. Tu lâchas des dernières gouttes de jouissance sur le pelage de la demoiselle, un râle de plaisir puis un soupire d'aise avant d'observer le spectacle de l'hybride toute souillée, attachée avec tes fils, le visage rempli de plaisir par le fait que tu l'aies baiser, elle était au septième ciel.
Là, tu entendis une autre personne s'approcher et qui parlait, elle arrivait vers ici, tu étais chanceuse, une autre proie que tu allais pouvoir interroger, ou abuser si elle ne parle pas, tu te cachas dans l'ombre, exposant l'hybride souillée et ligotée face à la porte, les bras et les cuisses écartés, tes fils la retenant toujours. La demoiselle arriva et ouvrit la porte, tombant sur le spectacle, lui laissant un moment pour apprécier cela, avant de bondir sur elle et lui attraper les poignets, les cuisses et les jambes avec ta toile, les entourant bien, ta proie était prise au piège et ne pouvait s'échapper. Ta seconde victime était devant ta première victime, en x, les bras au-dessus de la tête et les cuisses écartées également, les genoux pliés. Tu t'approchas de la deuxième proie, étant entre les deux demoiselles, l'observant, elle était humaine et jeune, tu aimais les jeunes femmes, faisant un sourire sadique et pervers, te penchant vers elle, étant à quelques millimètres, proche l'une de l'autre. Tu pris la parole : « J'espère que tu seras plus bavarde, l'autre ne l'était pas, elle a dû en payer le prix, je n'ai pas eu de pitié à la souiller, tu subiras le même sort si tu ne me réponds pas, qui es-tu ? Et où est-on ? » Tu tirais sur tes fils pour lui étirer un peu plus les membres, écartant plus les cuisses de la demoiselle et ses bras, une de tes mains venait explorer l'entrecuisse, caressant le tissu au niveau de l'intimité, allant appuyer sur le clitoris avant que tes doigts ne longent la fente de haut en bas. Tu voulais être crédible, tu n'hésiterais pas à passer à l'action.