Elle a du mal à émerger dans la pièce où elle se trouve désormais enfermée, et essaye de se redresser faiblement quand elle prends peu à peu connaissance de ce qui l'entoure, ne se rappelant pas avoir atterrit dans pareil endroit avant son sommeil. Puis viens la première surprise quand, au moment de se relever, elle se sens retenue par les mains et ne fait donc que vainement lever son buste, se cambrant ainsi dans une position qui desserviras surement ses futurs propos, étant donné le charme et la courbure quasiment érotique que cela donne à son corps. Ronchonnant, elle jette un regard en arrière et voit que ses deux mains sont menottés au sol, derrière elle, de telle manière qu'elle ne peux ni séparer ses bras, ni les utiliser d'une quelconque manières, et qu'à moins d'être un championne de gymnastique, même en se redressant elle ne pourrait que les conserver dans son dos, mettant à mal toute défense de la part de la jeune fille. Puis un autre truc la chiffonne en voyant son poignet, sans le divin et magnifique costume de sa veste creeper et elle remonte sur son bras avant d'ouvrir les yeux d'effroi, et de retourner son regard pour voir qu'elle est quasiment entièrement nue, seule lui restant ses collants verts et sa culotte, le reste ayant disparu on ne sait où avec son sac et son matériel de terroriste à la bombe. Mais dans quelle situation avait elle finie, elle ne se rappelait pas de ce qu'il s'était passé avant ! Elle ... elle ...
- Tieeeens mais voilà que notre terroriste se réveille ! Merci minette, on en avait besoin pour commencer les réjouissances !
- Aaaaah le vigile !
Mince elle s'en rappelait maintenant, elle était venue ici pour tout faire sauter, et cette saloperie de fils de pute avait manqué de la chopper lorsqu'un jeune fille avait soudainement fait son apparition et l'avait mis ko ! Puis après elle était partie prendre son haut pendant qu'elle avait laissé la fille avec l'homme au sol et s'était mise à la recherche de son blouson dans la pénombre du bâtiment, avant de revenir toute guillerette grâce au succès de son rattrapage de sa tenue à l'aide d'un gros bâton à forme bizarre qu'elle avait trouvée dans un coin de la pièce, avant de voir la fille au sol et le vigile disparue. Puis là plus rien, le trou noir, et maintenant elle se retrouve dans une situation des plus troublantes, au milieu de ce qui semblait être une cage avec le fameux vigile qui avait manqué de l'attraper, et qui désormais la regardais avec cet air salace qu'ont les vieux pervers dans le bus alors que tu y entres dans une tenue un peu provocante.Enfin non elle n'était pas seule, car elle finit par sentir ces deux mains sur sa hanche et remarque la jeune fille qui l'avait aider un peu plus tôt, dans une tenue qui égalait à peu de choses la sienne, soutien-gorge en sus étant donné que Sorcelienne n'en portait pas en temps normal quand elle portait sa tenue de terrible psychopathe, préférant sentir le délicat touché du tissus sur son corps svelte plutôt que d'être bloquée par un étouffant sous-vêtement.
- Que ... Que se passes-t'il ? On es où, c'est quoi ce bin's ? Oh putain !
Elle s'était progressivement assise en redressant son corps de manière un peu pataude, la paralysie électrique agissant encore et toujours sur son corps, et ses poignets maintenus au sol ne l'aidant pas vraiment à se relever. Mais finalement elle avait conquit cette place assise, rapprochant ses jambes de son corps pour le dissimuler le plus possible, quand elle avait soudainement pris conscience de ce qu'il se trouvait en face d'elle et de la cage, à savoir d'autres enclos dans lesquelles elle voyait des lycéennes, des adultes, dont quelques types aux airs sadiques faisaient connaitre les pires outrages. Ses yeux s'emplissent de terreur en comprenant enfin ce qui était en train de se passer, et c'est avec frayeur qu'elle essaya de se reculer avant que la douleur dans ses épaules lui rappelle la position dans laquelle elle se trouvait, et qui l'empêchait de pivoter ou même de reculer, sans parler de se défendre dans le cas où elles allaient elles aussi se trouver dans pareille situation. C'est avec une peur infinie dans le regard qu'elle se tourne vers son amie du jour, sa camarade étrange, qui semble être dans le même état qu'elle, donc complètement dénuée surement de cette force ou de cette assurance qui l'avait fait assommer le gardien quelques minutes plus tôt. Et remarque qu'elle a encore ses oreilles de chattes et deux queues félines à son derrière, ajoutant à la terreur l'incompréhension.
- Et qu'est-ce ... qu'est-ce que tu es ?
- C'est une neko petite terroriste, elles existent dans un plan parallèle au notre, du moins c'est ce qu'on a apprit en nous occupant des autres que nous avons put capturer. Enfin bon, vous vous êtes différentes de ces salopes. Vous, vous me devez des excuses, et je ne vais pas hésiter à demander un remboursement pour la casse que vous avez produite !
Il s'approche alors de la neko affaiblie et l'attrape par la gorge sans une once de gentillesse avant de la rejetée un peu plus loin dans la cellule, afin qu'elle soit capable de voir Sorcelienne en entière, et qu'elle sois malgré tout proche de deux autres menottes fixés au sol. Il ne lui laisse d'ailleurs pas l'occasion de se défendre ou de se ressaisir, la plaquant au sol sur le ventre et s'asseyant sur elle pour qu'elle ne puisse pas se redresser avant de prendre chacun des poignets de la jeune fille et de les placés dans les menottes correspondantes, l'obligeant ainsi de rester dans cette dégradante position au sol. Mais si encore il s'en était arrêté là, la jeune neko aurait put bouger un peu, s'asseoir aussi, et cela l'homme l'avait en horreur, il voulait qu'elle comprenne son erreur de l'avoir frapper, son erreur d'avoir fait couler son sang. C'est pour cela qu'en plus de ses mains, il entrava ses chevilles, obligeant la jeune femme à bouger ses jambes pour venir y appliquer les fers, ceux ci assez mobile pour permettre de faire s'écarter les jambes si besoin. Et voilà, la seul position qu'elle peut désormais prendre c'est les fesses en l'air, comme une bonne petite chatte qui aimerait connaitre le passage vigoureux d'un mâle, et le type ravi de cela se recule un peu pour contempler le merveilleux tableau, tandis que Sorcelienne, un peu plus remontée que plus tôt tire un peu sur ses poignets et avoine le vigile d'insultes.
- Porc, salauds, arrêtes cela de suite ! Putain cesse immédiatement tes conneries fils de pute !
- Oh du calme petite pute ton tour viendra ne t'en fais pas !
Il siffle dés lors et l'on entends quelques chose s'approcher. Quelque chose de grand et d'imposant quand il déboule dans le cadre de leur vision. Il venait d'appeler un chien !