Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 30 dimanche 12 octobre 2014, 14:07:05

Après avoir fortement donnée de sa personne, Lulu avait enfin droit à sa petite gâterie personnelle. Le cunnilingus était quelque choses qu'elle avait l'habitude de faire avec ses victimes, les forçant à lui prodiguer ce soins, avant qu'elle ne décide des les mutiler puis de les tuer dans d'atroce souffrances. Mais là, l'acte était bien différent, il s'agissait d'un rapport entre elle et un homme et les sensations étaient alors bien différentes. Ce bel étalons semblait y mettre tout son cœur et Lulu sentait qu'il prenait du plaisir à lui brouter le minou. Lentement, Lucrezia vint à poser l'un de ses mains sur la tête de son client, le gratifiant d'un petite caresse, tendis qu'elle étouffa un petit gémissement de son autre main. La langue de son client était habile, taquine, passant lentement sur les lèvres intimes de Lucrezia avant de venir s’enfoncer profondément dans la vulve baveuse de la sociopute.

Haaaaa... M... Monsieur l'agent... Que vous êtes doué. Dit elle, tendis qu'elle mordait son index tout en fermant les yeux.

Lulu remua légèrement son bassin sous l"effet du plaisir, sentant l'homme se mettre à lui sucer le bourgeons avec avidité, procurant alors à notre Duchesse un grosse bouffée de plaisir et ce dans tout son corps. Elle écarta un peu plus ses jambes en gémissant légèrement puis, elle vint à accompagner les soins de son client en faisant légèrement bouger son bassin de haut en bas. Le policier semblait aimer le nectar de notre Duchesse, cela s'entendait et se voyait, la manière qu'il avait de lécher Lucrezia démontrait par a + b qu'il aimait le jus que cette dernière lui donnait en récompense de ses bons soins.
Plusieurs minutes s'écoulèrent et Lulu eu bien vite une autre idée afin de rendre ce cunni plus équitable .

Hmmmm... Mr. L'agent, venait donc vous mettre au dessus de moi, afin que je puisse prendre votre.. Haaaaaa ! V... Verge en bouche.

Lucrezia aimait bien le 69, c'était un moyens très efficace pour donner du plaisir au deux partie et ce de manière équitable, l'un lécher, l'autre sucer et au final, tout le monde avait son ratio de liquide... Cette pensée ne fit qu'attiser le désir de notre Duchesse, qui, à présent, n'attendait plus que la queue de cet homme pour afin être comblée.


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 31 mardi 14 octobre 2014, 02:15:17

Les cunnilingus n’étaient pas très fréquents chez Nathan, mais le beau policier mentirait en prétendant qu’il n’aimait pas ça. Allongé entre les cuisses de la femme, il léchait son intimité avec passion, la suçant en soupirant, ses mains posées sur ses cuisses, en appui, avant de se déplacer pour agripper son délicieux cul. Contrairement à la plupart des canons de beauté japonais, qui étaient des femmes fines et menues, Lulu avait des hanches solides, des formes bien proportionnées... Une femme qui devait aimer manger de la viande bœuf, afin d’avoir des formes aussi attirantes. Le policier soupirait faiblement en enfonçant sa langue en elle, remuant dans sa fleur, cueillant avec sa langue son nectar sucré. Il remuait en elle, yeux clos, ne disant absolument rien, savourant ce spectacle... Jusqu’à ce qu’elle propose autre chose.

Au milieu des soupirs de sa mystérieuse amante, Nathan entendit cette dernière demander à goûter à sa sucette :

«Hmmmm... Mr. L'agent, venait donc vous mettre au dessus de moi, afin que je puisse prendre votre.. Haaaaaa ! V... Verge en bouche. »

Sa verge en bouche... Et la manière qu’elle avait de répéter sporadiquement son titre de policier. Nathan comprenait peu à peu que se faire butiner par un flic devait être son fantasme... Le prestige de l’uniforme, tout ça, tout ça. Malheureusement, Nathan n’était pas vraiment un flic quand il était dans cet état. C’était la Bête qui parlait, la Bête qui le faisait agir, de manière discrète et autoritaire, mais non moins efficace. Boire cette cyprine était assez originale pour la Bête, mais elle aimait ce goût. La cyprine était merveilleuse pour lui, car c’était le nectar de la vie, et Nathan mit un certain temps avant de réagir, comme s’il était devenu une espèce d’affamée se ruant sur le sexe de la femme.

Nathan se redressa lentement, la bouche dégoulinant de mouille, et se retourna, afin d’offrir sa queue tendue à la femme. Lécher cette femme avait réveillé son érection, et il avait une trique infernale, son sexe lui faisant un mal de chien. En soupirant, Nathan s’abattit sur elle, retournant lécher son sexe, affamé.

*Si bon, si bon... Le nectar d’une femme, Nathan... J’en reprendrais tous les jours...*

La Bête était gourmande, ce que Nathan pouvait volontiers comprendre, vu la redoutable beauté de la femme. Une beauté sauvage et cruelle, mais qui, malgré tout, faisait plaisir au policier. Il enfonça sa verge en elle, et remonta d’avant en arrière, ondulant son bassin, enfonçant sa queue en elle. La Bête grognait en lui, et sa langue continuait à s’attaquer au point G de la femme, appuyant sur son bouton de plaisir pour faire venir plus de mouille. Il s’en délectait, s’en aspergeant, et son corps continuait à remonter contre elle, rudement, heurtant sa gorge, ressortant, revenant.

Oui, c’était désormais clair et incontestable : il aimait avaler de la mouille ! C’était, là encore, une chose à laquelle la Bête n’aurait jamais pu penser, avec son fonctionnement de créature néanderthalienne. Il fallait l’aide du policier pour que la Bête s’intéresse à ce genre d’activités sexuelles déviantes... Et, le moins qu’on puisse dire, c’est que ça lui plaisait.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 32 lundi 20 octobre 2014, 16:26:49

Et hop ! Il n'aura suffit à l'homme que de quelque secondes pour venir enfoncer sa belle verge dans le bouche de notre tueuse. Lulu aimait lustrer de belle queues bien dure, sentir un membre chaud et dur dans sa bouche était tout simplement exquis et si il y a bien une chose pour laquelle elle plaiderais coupable, ce serais la pipe. Combien de queues c'était elle enfilées jusqu'à là ? Elle même l'ignorait, il y en avait eu tellement... Mais une chose est sur, c'est qu'elle prenait toujours un plaisir gourmand à astiquer une belle verge afin d'en récolter l'épaisse semence. L'homme enclencha un lent mais néanmoins fort mouvement de vas et viens dans la bouche de la tueuse, tueuse qui ne pouvait plus dire grand chose à présent. Toutefois, elle pouvait encore faire jouer ses mains et c'est donc avec  ces dernières qu'elle se mise à jouer avec les belles bourses de l'homme, les caressant et les malaxant tendrement entre ses mains, tendis que de l'autre coté, le propriétaire des dites bourses, continuer de flatter la fleur intime de la tueuse la plus Undead de Seikusu.

HmMMmMm...Gggghmmmm...

Les sensations se mélanger dans l'esprit de la tueuse, le fait de sucer ce beau bout de viande tout en se faisant délicatement lécher l'abricot était le must en termes de plaisir pour notre tueuse et, il fallait bien l'avouer, cette homme ce débrouillait plutôt bien ! Distraitement, Lucrezia vint à se souvenir d'une astuce qu'avait un jeune interne à l'hopital Resurgam de Seikusu. Le jeune homme adorait butiner les infirmières et Lulu comptait parmi ses fleurs favorites, il avait d'ailleurs la fâcheuse habitude de l'appeler "ma belle Orchidée". Le jeune homme, afin de donner le plus de plaisir possible à ses partenaires féminines, avait comme technique de faire l'alphabet avec sa langue et ce, sur le clitoris de ses jolies partenaire et, des souvenirs que Lucrezia en avait, c'était plutôt efficace.

Pour l'heure, la langue du bel agent des forces de l'ordres se faisait délicate et forte à la fois, recueillant avec avidité toute la délicieuse cyprine que Lulu donnait en échange et, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il aimait vraiment ça !
Au fond, Lucrezia le comprenait, elle même adorait sucer ses doigts après un belle orgasme, ce délectant longuement du gout de sa propre mouille. Tendis que son client profitait de la cyprine de Lulu, cette dernière s'attelait à faire sortir le jus d'amour de ce bel homme, sucer avec gourmandise le membre pulsant de cet étalons insalissable, le couvant avec sa langue, aspirant fortement dessus, creusant ainsi fortement ses joues  produisant alors des bruit obscènes de succion entre-coupés de soupir et de gémissement. Diantre, Lulu aimait vraiment sucer des queues !

HmmMmmGhmmmmm...

La tueuse sentait petit à petit le désir montait et elle espérait de tout cœur que l'homme allait bientôt lui cracher tout le contenus de ses couilles, directement dans la gorges.


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 33 mardi 21 octobre 2014, 01:32:35

Sa queue s’enfonçait en elle, labourant sa bouche. Il donnait de grands coups de reins, ses mains crispées sur les fesses de Lulu. Nathan admettait que sa technique manquait de finesse, mais il n’avait pas beaucoup d’expérience. Avec la Bête, les interactions sexuelles se limitaient souvent à son approche la plus simple, la plus épurée : le bâton et le trou. Il n’avait pas l’habitude d’user de sa langue, et, pour la Bête, c’était une nouvelle expérience, pleine de promesses. Comment ne pas aimer la mouille ? Ce liquide sécrétait la vie, comme son sperme, mais était plus sucré que le sperme, moins collant, moins acide... Il léchait donc sa moule, sans faire de mouvements géométriques avec sa langue, sans chercher à être artistique. Sa langue partait à l’assaut de son clitoris, appuyant dessus, et son bassin remuait d’avant en arrière. Son sexe s’enfonçait dans la gorge de la femme, son corps heurtant le sien, l’heurtant tellement que ses testicules venaient caresser le menton de la femme, rebondissant dessus, avant qu’il se redresse, et ne s’enfonce à nouveau.

Toutes les questions que le policier avait pu se poser auparavant, tous ses doutes et toutes ses hésitations s’envolaient au fur et à mesure qu’il la pénétrait. C’était une position assez originale pour la Bête, et Nathan sentait qu’elle en raffolait... Ce qui, concrètement, avait pour effet de tempérer les ardeurs du monstre. Le symbiote se laissait faire, comme un chat apaisé en recevant un gros câlin après avoir harcelé son propriétaire pendant des heures en lui miaulant dans les oreilles. Il entendait la femme gémir, sentait son plaisir à travers cette mouille. Les jambes de Nathan étaient comme disparues, tout son corps se limitant désormais à son sexe et à sa langue. Elle aimait ça, et lui aussi. Il soupirait faiblement, poussant des soupirs rauques, sans jamais retirer ses lèvres.

En définitive, c’est cette mouille qui finit par le faire jouir. Le plaisir éclatait dans tout son corps, et, peu à peu, sa queue se tendait de plus en plus, de plus en plus douloureuse, tendue comme un slip prêt à craquer. Il grognait, et son corps s’agita plus rapidement, sa queue se soulevant et s’abaissant, son bassin remuant rapidement d’avant en arrière, donnant des coups forts, emportant le corps de Lulu avec lui sous la puissance de ses coups, mais aussi à cause de la sueur qui collait leurs corps. Il remuait rapidement, sans relâche, et finit par s’abandonner en elle en sentant le point de rupture arriver.

« Hum ! »

Son soupir explosa en une orgie de foutre, et il se déversa en elle, balançant de longues et généreuses giclées, chaque projection de sperme formant comme une merveilleuse libération dans tout son corps. Il balança des giclées de foutre pendant une bonne minute, jouissant généreusement, grâce à la Bête. Elle était ravie, ce qui expliquait pourquoi Nathan se sentait si bien dans sa tête et dans son corps. C’était peut-être bien la première fois de la soirée qu’il se sentait si bien avec cette femme, tant jouir venait de lui faire du bien, formant comme un torrent qui avait dévasté tout son corps, le laissant extatique.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 34 jeudi 30 octobre 2014, 21:46:03

Une fois de plus, l'homme était violent, brutal, virile et... Lulu adorait ça ! Sentir toute la force de cette homme, sentir cette énorme choses violer sa bouche de manière forte et bestiale, tendis que la bouche de cet agent peut orthodoxe, continuait de lécher avec dévotion, la fleur intime de notre duchesse. Notre charmant petit ce fit plaisir durant encore une bonne dizaines de minutes, avant qu'enfin, l'homme ne vienne à libérer de chauds et viriles jets de foutre dans la gorge de Lulu, la pauvre se crispa légèrement en fermant les yeux, avalant bruyamment toute la laitance que l'homme pouvait lui donner, avant de finalement faire sortir cette énorme monstre de sa bouche en crachant sur le sol une grosse giclée de foutre, tendis que plusieurs jets vinrent à s'écraser sur son visage. Pour le coup, Lulu en avait eu pour son grade. Elle gisait haletante, sur le sol, sans toutefois avoir eu le temps de jouir.

Lucrezia se délecta tout de même de la semence que l'homme venait de lui laisser sur le visage, léchant allègrement le foutre qui lui dégouliner sur la tronche et les lèvres tout en se tripatouillant allègrement la minette, frottant ses lèvres intimes avec grâce et volupté en poussant de grand soupir aguicheur afin t'attiser, une fois de plus, le désir de cet homme d'un soir.

HaaaAAAAAaan...

Les frottement vaginaux de notre tueuse produisirent un son significatif qui se répandit dans toute la pièce, ce mélangeant aux halètements de Lucrezia qui, sans freiner son geste, se mis à regarder son amant avec un regard de chienne, toute faisant jouer sa langue en dehors de sa bouche. Elle attrapa ensuite l'un de ses seins avant de se mettre à le lécher de manière aguicheuse, Elle en voulait encore, elle en voulait toujours plus, le sexe est sa drogue, au même titre que le meurtre, une addictions morbide et salasse qui sempiternellement trottait dans sa tête.

HaaaAAaAaA... Mr.L'agent... Je veux encore que vous me baisie..HAAAAAANNNN !!! Je vais jjj....ooOoOOOOUUUUUIIIIRHAAAAAAAN !!!!!

Et dans cette orgasme tonitruant, Lucrezia libéra plusieurs grosses giclées de mouille, venant ensuite à s'éparpiller sur le sol en centaine de fines gouttelettes scintillants à la lumière crasseuse et malsaine de cette pièce glauque et complétement grunge.

HaAAAAaaan... Violer mon corps Mr. L'agent... HaaAaaAAAaaaa...

Et sur ces belles paroles, Lulu se mise à plat entre, avant de sensuellement cambrer son bas des reins, en signe de... Enfin, l'air de dire "retourne y profond, gros bâtard !"


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 35 vendredi 31 octobre 2014, 14:33:33

Il la regarda se masturber, absorbé par ce spectacle. Nathan avait joui en elle un peu rapidement, dans la mesure où, souvent, la Bête ne jouissait qu’après la femme... Une sorte de fierté masculine primaire. Cependant, dans le contexte actuel, la Bête avait été subjuguée par cette mouille, ce qui avait facilité son érection. La salope se dandinant sous ses yeux n’était pas qu’une simple pute... Ça, Nathan l’avait bien compris, mais il n’arrivait pas à penser à autre chose... Il regardait le corps de cette femme avec une envie profonde et lointaine, louchant sur ses hanches, sur ce corps solide et musclé. Elle n’était pas maigre, contrairement à tous ces canons de beauté en vigueur sur les femmes anorexiques. Elle était pleine de chair, avec des seins ronds et lourds, si épais qu’elle pouvait, en les soulevant, sucer ses propres tétons. Le policier n’en perdait pas une miette, et son sexe, malgré son orgasme récent, retrouva très rapidement sa dureté usuelle, faisant soupirer légèrement l’homme. Il la regardait agir, jusqu’à ce qu’elle finisse par se faire jouir elle-même, répandant des filaments de mouille sur le sol.

Foutre, mouille, sueur... Ils puaient atrocement. Il n’y avait rien d’érotique là-dedans, si on estimait que l’érotisme devait être la mise en perspective de la beauté. C’était sale, gras, glauque, sinistre. Une pièce sinistre aux murs nus et fissurés, et il voyait cette femme tremper ses jambes et son bassin dans sa mouille, tout en lui offrant à nouveau son cul, et en demandant à nouveau à se faire pilonner. Nathan avait envie de vomir. La Bête bandait comme un taureau dopé aux amphétamines prêt à exploser sur place. La confusion régnait dans sa tête, et il s’avança. Nathan l’avait observé en restant assis sur ses genoux, et il n’eut qu’à se pencher pour atteindre les fesses de la femme.

« Petite salope..., commenta-t-il, avant de la gifler sur les fesses. SALOPE ! »

Avec la Bête, les réactions de Nathan étaient relativement imprévisibles, car la Bête agissait en se référant uniquement à son plaisir. Ce monstre était incapable de réfléchir sur le long terme, d’avoir un plan global, une perspective d’avenir... Tout ce à quoi la Bête pensait était à satisfaire ses pulsions physiques en forniquant avec le plus de femmes possibles. Nathan claqua les fesses de la femme, puis se déplaça ensuite, se positionnant derrière elle, et malaxa chacune de ses fesses avec ses mains. Il se pencha ensuite, et, après avoir léché son intimité, entreprit de faire de même... Avec sa rondelle. Il avait déjà commencé à l’effleurer, ce qui faisait que le cul de la femme était déjà bien dilaté. Sa langue partit à l’assaut, et ses doigts se crispèrent sur les deux monts de chair qu’il utilisait comme appui.

« Hunn... Un vrai cul de chienne... »

Il recommença à s’y attaquer, agissant aussi pour augmenter sa frustration, afin que son sexe regagne une bonne érection. Si elle voulait se faire « violer », Nathan comptait la satisfaire, et, pendant quelques minutes, il la lécha donc, puis remonta ensuite le long de son corps, jusqu’à s’étaler totalement contre elle. Il tendit une main vers sa verge, et, insidieusement, la Bête agit pour faciliter cette pénétration. Son autre main, elle, alla s’appuyer sur la tête de Lulu, plaquant davantage la femme contre le sol, l’immobilisant. Nathan s’affalait sur elle, et, autour de son sexe, des tentacules jaillirent, visant à bien écarter les fesses de la femme, tandis que d’autres s’enroulèrent autour de la verge de l’homme. De délicats tentacules noirâtres qui aidèrent Nathan à se positionner, et, avant que la femme ne se pose la moindre question, sa verge s’enfonça dans ses fesses.

« Haaaa !!! »

Le plaisir afflua en lui, autour de sa verge, il commença à remuer contre elle, la baisant à même le sol, une main toujours sur ses cheveux, l’autre venant caresser ses côtes. Il se faisait plaisir en elle, venant tranquillement, en prenant son temps... Tout en remuant tout de même de plus en plus vite.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 36 jeudi 13 novembre 2014, 17:45:05

Lulu avait à nouveau les fesses à l'air, attendant patiemment son due, soi, une nouvelle vague de coup d'butoir dans son derch et ce, pour son plus grand plaisir. Tout d'abord, l'homme palpa généreusement les fesses de notre tueuse, les caressant, éprouvant sa peau douce et chaude, ainsi que ses formes et ses rondeurs doucereuses et fortes attrayantes.
Il est vrai que Lulu était une belle femme, avec son corps harmonieux, ses jambes fuselés et ses belles rondeurs parfaitement moulées dans le latex, Lulu était à n'en poins douter la tueuse en série la plus sexuellement attirante de cette ville et que l'on ne vienne pas lui parler d'une certaine Harley, Lulu, c'est le must en matière de Psycho-bombasse, un point c'est tout !

HaAaNnhmmmm... Lâchât elle en ce mordant la lèvre inférieur, sentant l'homme lui lécher la fleur avant de finalement remonter jusqu'à ça rondelle, rondelle qu'il n'allait d'ailleurs pas laisser tomber de sitôt, oh que non ! Cet homme semblait increvable, comme toujours en manque de sexe et notre libidineuse Duchesse n'était pas non plus en reste de ce cotés là, toutefois, elle commençais à légèrement fatiguer et les prochaines manœuvre de son client n'allez poins lui laisser de répit. Lentement, elle sentie le gland du policier effleurer son anus, avant qu'il ne décide à vouloir y entrer. L'homme était à présent affalé sur Lulu, une mains contre sa tête et l'autre... On ne sais où, surement entrain de tenir son infernale marteau-piqueur, cette grosse chose qu'il ne tarda d'ailleurs pas en enfoncer dans le cul bien étroit de notre pauvre Lulu.

AAh ! S’exclamât elle en sentant d'un coup le sexe de l'homme  la pénétrer profondément, écartant son fondement assez douloureusement.

HmmmmAAAaaan... Oui... G.. Giflez moi le cul Mr. l'agent... Je.. HaAAAAaan... Je suis une horrible Ps...

Psychopathe ?

P... Pute ! HaaAAAAn ! Je suis votre petite s... Salope ♥


La teub de cet homme était particulièrement épaisse et à la sentir dans son cul une nouvelle fois, Lulu ne pus se retenir de pousser de grand gémissements, tendis que l'homme, en bon client fidèle et attentionné, la violait sur le sol froid et crasseux de cette pièce lugubre. Les vas et viens de cet énorme chose était cependant plutôt lents au débuts, Il était d'ailleurs très tactile comme monsieur, il semblait aimer les femmes comme notre Tueuse, des femmes avec de belles hanches bien amples, un cul rebondie et des seins assez volumineux et pourtant très harmonieux. Et, en toute honnêteté, Lulu aimait bien se faire caresser comme ça, sentir des mains autours d'elle, appréciant ses formes, caressant délicatement chaque partie de son corps avec plus ou moins de vigueur selon l'endroit. Lui, il avait de bonne mains bien viriles, un peu comme cet Ulrik, ses mains était fortes sans pour autant être brutal, il savait où les placer et comment caresser une femme et diantre, il savait tout aussi bien s'en servir pour donner de spectaculaire fessée cul nue !

HaaaAAAaan... éprouve mes formes Baby... HaaAAA et... Vas donc plus vite...

En disant cela, Lulu remua légèrement ses fesses, afin qu'il comprenne bien le message.


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 37 lundi 17 novembre 2014, 02:21:50

Étalé sur elle, Nathan s’enfonçait dans son corps, ne ressentant que très peu d’hésitation. Cette pute avait un corps magnifique, qui était effectivement, pour lui, une aubaine. C’était assez facile à comprendre : le but de la Bête était de procréer, de se reproduire, d’enfanter... Ce faisant, Nathan ressentait une attirance un peu plus forte pour les femmes bien en chair, solides, celles qui pouvaient tenir debout, et pouvaient assurer ses coups de reins. Pour autant, la Bête était assez généreuse sur les autres femmes. Tant que ça avait un trou, après tout... Écrasé dans son dos, Nathan remuait son chibre, son vit s’enfonçant dans l’espace étroit du cul de la belle, qui se tortillait sous lui. Elle aussi, en proie à l’excitation, faillit bien vendre la mèche. Elle ne le voyait pas, mais Nathan sentait encore des excroissances pousser le long de son corps, ce qui, entre autre, avait pour effet positif de grossir sa verge. La Bête était là, à l’affût, hurlant dans son esprit, grognant dans son estomac, redonnant à Nathan la force qu’il lui manquait, le policier puisant dans un puits sans fin de sexe, de luxure, et de perversion. Sa verge remuait en avant, en arrière, s’enfonçant dans cette chair, et ses mains ne restèrent pas en reste.

Il avait une main sur les cheveux de la femme, en soutien, afin d’éviter qu’il ne s’écroule sur elle. L’autre caressait ses hanches, glissant le long de sa peau, et ses lèvres mordillaient son épaule, savourant cette peau douce et chaude. Ah ! La joie d’explorer le corps d’une femme, de le découvrir, de l’explorer dans tous les sens ! Ce n’était vraiment que là, le corps collé à celui d’une femme, que Nathan pouvait véritablement prétendre être heureux. Il savourait cette femme, le sexe ayant en lui ce potentiel d’aliénation si jouissif. Il ne pensait alors à rien d’autre, simplement à se vider les couilles dans le cul de cette salope de classe internationale. Avec son corps occidental et ses formes lourdes, elle était aux antipodes de la taille de guêpe japonaise, ces pisseuses qui s’écroulaient en quelques secondes, comme un deux face à un flush royal. Elle ? Elle était un putain de steak tartare, servi à point, accompagné avec toute la garniture, la sauce barbecue, le sel. Un foutu plat du cul fait pour nourrir tout un troupeau, et Nathan était en train de se tailler la part du lion. Sa main libre se promenait lentement, presque avec une certaine forme de tendresse, en total paradoxe avec la manière dont il était en train de lui broyer le corps. Il s’affalait sur elle, s’écrasait avec la force d’un mammouth chargé aux amphétamines, l’excitation sexuelle dopant son imagination, amplifiant les sensations physiques effectivement ressenties. C’était une tornade, une saloperie de mistral qui les emportait. Il l’entendait gémir, hurler, couiner, et sa main la laissait tourner sa tête, afin de lui permettre de respirer. Il la prenait contre le sol, dans ce cul étroit, dans ce trou qui était progressivement en train de s’écarter, sans savoir que la Bête, à son insu, agissait pour l’aider.

Autour de sa verge, de discrets tentacules noirs balançaient en effet une sorte de liquide, de jus visant à lubrifier les parois, et à faciliter les glissements. Diable, la Bête ne voulait pas non plus tuer cette femme en l’enculant un peu trop fort ! Nathan la démontait comme un cheval au triple galop remontant la marée, mais elle conservait une certaine forme de romantisme et d’attention à l’égard de sa partenaire... Ce que cette main libre et ses baisers sur ses épaules caractérisaient... Cependant, pour être honnête, il fallait bien reconnaître que, pendant cet exercice, Nathan la mordait et l’insultait copieusement, plutôt que l’embrassait. Pour être exact, on le voyait s’astiquer sur elle, soupirer, grogner, lâchant quelques jurons bien sentis quand l’occasion se faisait sentir :

« Huuuuunnn... Puuute... Haaaaa... Ouais, salope, ça te plaît… Hein?! Putain, ouais !! Ouais, ouais, ouais, ouuuaaaaaiiiisss !! Haaaaaaaaaaaaaaaaaa... Pétasse !! »

Hurlant, grognant, et parfois même soupirant, Nathan remuait de plus en plus, les couinements de cette femme le berçant, sonnant à ses oreilles comme de magnifiques choses. Sa main glissait le long de ses côtes, se déplaçant parfois pour agripper l’un de ses seins. Ses doigts se retrouvaient alors entre le corps de Lulu et le sol, ce qui faisait qu’il était en train de les écrabouiller... Mais au moins en profitait-il pour palper ce corps, pour pincer ce téton, pour se serrer contre elle, et pour pouvoir, ainsi, mieux continuer à la baiser, à la défoncer royalement.

Lulu lui parla alors, voulant qu’il éprouve ses formes, et qu’il aille plus vite... Pour toute réponse, un grognement s’échappa des lèvres de l’homme, qui tira alors sur les cheveux bleus de la femme, soulevant sa tête en arrière. Sa main libre gifla le cul de cette nana, violemment, et il approcha sa bouche de son oreille, venant la lécher :

« T’en fais pas, ma salope... Quand j’en aurais fini avec toi, petite pute, tu croiras avoir fait un rodéo dans les étoiles. »

Nathan libéra ses cheveux, reposa sa main sur sa tête, et la pénétra davantage. Ses jambes se frottaient aux siennes, et, dans son dos, des tentacules noirâtres poussèrent, une excroissance noirâtre jaillissant le long de sa moelle épinière. Les tentacules formèrent comme des pattes arachnéennes, se posant à droite et à gauche des deux amants. Impossible pour la femme de les voir, mais ils servirent de soutien aux mouvements de Nathan, se pliant et se redressant, entraînant avec eux le corps de l’homme, soulevant à chaque fois le corps de la femme de plusieurs centimètres, avant de la renvoyer s’abattre sur le sol, son corps s’aspergeant dans sa sueur et dans sa mouille. C’était douloureux, intense, mais ô combien excitant. Nathan allait de plus en plus vite, et, sous l’effet de l’effort physique et de l’excitation, les mots disparaissaient dans son esprit, remplacés par des borborygmes, des grognements, des soupirs, et des gesticulations.

Il la baisait comme s’il était une bête en manque venant de tomber sur une partenaire du sexe féminin. Personne n’aurait pu l’attirer jusqu’à ce qu’il se soulage dans son vide-couilles improvisé. Baiser cette salope... C’était maintenant son seul objectif.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 38 lundi 17 novembre 2014, 16:08:37

Plus les minutes filaient, plus l'homme s'acharnait sur la pauvre rondelle ne notre tueuse. Elle qui se dit aimer l'anal violent et profond, là, elle était servis ! La pauvre ne peut bientôt plus articuler autre chose que des cris suraiguë et autre hurlement entrecoupés de soupire et de gémissements. Le corps de l'homme se faisait lourd, violent, il s'écraser sur elle avec fermeté et ce, sans aucun relâchement, faisant claquer sa chair contre la sienne, apposant par moment un bonne grosse fessée sur le cul rouge de La duchesse. Le pilonnage semblât s'intensifier et notre pauvre Lulu ne contrôlait manifestement plus rien du tout !

Ah ! AAaAaIE ! aie ! HaaaaAaAAnnhmmMm !

Il n'y allait vraiment pas avec le dos de la cuillère se sagouin. Mais ça serait mentir de dire que lulu n'y ressentais pas du plaisir. Car, bien que cet anal soit particulièrement violent, Lulu aimait ça ! Cette énorme verge avais beau lui destroy l'anus comme pas possible, elle kiffait grave sa race ! Cet homme la pilonnait avec violence et sans aucune retenue, Lucrezia fermait ses yeux tout en serrant les dents sous l'effet de la douleurs et du plaisir mélangé. Les corps des amants se frottait l'un à l'autre sur se sol froid et sale, s'écrasant l'un sur l'autre avec bestialité et violence. L'acte venait de prendre un tournant plus animale encore, Lulu ne pouvait rien voir de ce qui se passer derrière elle, mais elle pouvait sentir l'homme lui palpait le corps avec ses mains, titillant ses seins, caressant son ventre, tout en s'enfonçant chaque fois plus violemment en elle en faisant claquer ses bourses contre sa vulve dégoulinante de cyprine.

HaaAaAAi ! HaaAaAaAaAAAaaanh!!! hmmmmfffg ! haaa ! HAAAAA !

Elle gémissait de plus en plus fort tendis que ses mains tremblante se crispèrent sur le sol au moment précis ou l'homme vint à enfoncer sa verge bien profondément en elle. Elle ignorait tout du diamètre de son trou du cul à l'heure actuel mais, une chose est sur, au vue de comment l'homme était entrain de lui violenter la rondelle, notre Duchesse aller sans nul doute repartir en boitant se soir, sur !

Ah... Aiie,aie,aie... hmmpfff... Je peut oublier les chaises et autre fauteuils pendant au moins trois jours avec ce qu'il est entrain de me mettre ce salop... Mais purée... c'est tellement bon la sodomie !ce dit elle intérieurement en continuant de gémir comme une petite pute.


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 39 jeudi 20 novembre 2014, 03:20:25

Même Nathan s’étonnait de la violence sexuelle dont la Bête était en train de faire preuve. Il ignorait encore vraiment de quoi la Bête était capable, et il était peut-être possible que, à un niveau inconscient, la Bête ressente dans le corps de cette femme toute sa perversion et toute sa démence. Elle était une prédatrice, une tueuse, un peu comme lui, si ce n’est que leurs ambitions différaient. L’explication venait peut-être de là : la Bête ressentait ce qu’était cette femme, et adaptait son comportement en conséquence, afin de pouvoir joyeusement la défoncer et la ramoner, et ce dans tous les sens possibles du terme. Chacun des hurlements de la femme l’excitait furieusement, des hurlements teintés de douleur et de plaisir. Nathan était horrifié, la Bête surexcitée, continuant à hurler à Nathan de la défoncer. L’ensemble ressemblait à une scène de cauchemar : Lulu hurlait, et Nathan rugissait, comme si un animal sauvage était en train de labourer le cul de la femme. Ses dents raclaient contre sa chair, et... Oui, il la mordait ! Il enfonçait ses dents dans sa chair, laissant des marques rouges, puis se redressait, et continuait à s’enfoncer en elle, à lui défoncer son sale petit cul de salope. Mourir par sodomie était tout à fait possible. Une mort idiote, mais non moins concevable, si on atteignait et si on perçait une veine. Pour le coup, l’expression « avoir mal au cul » prenait tout son sens, et, vu la manière dont le policier était en train de joyeusement défoncer la femme aux cheveux bleus, cette hypothèse était probable.

Nathan ne sut dire combien de temps cette sodomie barbare et sauvage durera. Elle était à l’image du décor : sale, sordide, sinistre, glauque. Aucun érotisme là-dedans, ce n’était que du porno’ sauvage et trash. Nathan n’était plus qu’une bête, une créature sexuelle, un être préhistorique qui s’enfonçait dans le corps de sa « dulcinée ». Que pouvait-elle faire ? Elle hurlait et criait, comme lui rugissait et grondait, les coups de sa puissante virilité s’enfonçant lourdement dans son fondement. Il la faisait souffrir, il la massacrait, et il le faisait avec amour, avec un profond désir. Impossible de s’arrêter, impossible de faire marche arrière. Elle avait voulu ça. Malgré le monstre qui bouillonnait en lui, Nathan restait un Américain, un fervent produit du capitalisme. Il avait parfaitement assimilé la loi du marché : l’offre devait être à la hauteur de la demande. Elle avait demandé une brute épaisse, un monstre du sexe qui la défoncerait joyeusement. Il était là, et il continuait à la prendre.

« Hummmm... Haaaaaaaaaaaaaa !! Raaaaaaaaaaaaaaaaahhh !! »

Difficile de comprendre ce qu’il cherchait à exprimer par ce biais. Nathan s’exprimait par le biais de borborygmes sauvages, inaudibles, exprimant juste son plaisir profond. Il était la Bête, il était le Monstre, une créature préhistorique qui éprouvait un plaisir ancestral, perverti par l’évolution des mœurs et de l’imagination humaine. Il continua ainsi à la prendre pendant de longues minutes, avant de finalement se lâcher en elle, se déversant dans un grognement, tout son corps s’affalant sur le sien. Sa queue tressauta dans son cul, aspergeant son corps, se diluant en elle.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... »

Il s’étala contre elle, et sa masse corporelle diminua. En effet, pendant toute cette sodomie, Nathan avait « grossi ». Son corps avait enflé, ses muscles s’étaient renforcés, la pression qu’il exerçait sur le corps de la jeune femme s’était accru, la Bête et l’Homme ne formant alors plus qu’une seule entité. Maintenant, la Bête était rassasiée, et le policier était revenu, s’étalant contre son corps. Tant de sauvagerie, tant de violence... Le corps de Lulu était parcouru de griffes, de marques... Il l’avait griffé et mordu, se ruant sur elle, ses doigts s’enfonçant dans sa chair, imprimant leurs traces sur sa peau.

*Seigneur...*

Le policier était en sueur, totalement épuisé, et soupira longuement, se serrant les lèvres, les pinçant, et finit par se soulever, retirant sa verge des fesses de la femme, et s’écarta de son corps, à moitié horrifié... Ou même complètement terrifié par ce qu’il venait de faire.

Il espérait au moins ne pas l’avoir tué...
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 40 lundi 24 novembre 2014, 21:44:45

L'amant de notre Duchesse était entrain de devenir furieusement violent avec elle, quoi qu'en y réfléchissant bien, il n'a jamais vraiment était "doux", sauf peut être au moment où il l'avait léché, hors mis durant cette partie, la soirée n'avait était qu'une longue baise violente et dure, un succession d'orgasme brutal et glauque, à l'image de cette sinistre pièce, puant le moisie, la sueur et la chatte. Lulu couinait sous les coups d'mandrin de cet homme, dont la hargne et la fougue ne cessait de croître. C'était à se demander si il ne lui avait pas foutue un putain de marteau-piqueur dans le cul pour le coup. Notre pauvre Duchesse commençait à avoir mal... oui... Ça lui faisait mal et... Ça lui faisait du bien aussi... Hm ? Enfaîte, c'était indescriptible comme sensations, l'homme la prenait avec violence et rage en grommelant comme une bête, mais dans ce déluges d'animosité, dans cette infernal tsunamis de brutalité douloureuse, Lulu arrivait tout de même à ressentir du plaisir. Elle se sentais comme une petite chienne face à un loup en rut, un beau mâle Alpha fort en testostérone ! Oui, un loup férocement excite, mordant et griffant notre pauvre Lulu qui ne pouvait qu'hurlait et gémir de douleur et, paradoxalement, de plaisir.

AAaaaaaaaaaahh AAAAAAAAAAAAAAAH ! AIE ! AIE ! AIE ! HMmMmMmouuUuUuuuuuuuuiiiiiiAAAAIE !!!

Finalement, l'homme vint à se vider les burnes une dernière fois dans le cul de notre Duchesse, libérant ses fesses de leur emprise poisseuse et moite. Lulu s’affalât alors sur le sol dans une espèce d'état second, à moitié comateuse. Son corps était parcouru de léger frissons et sa respiration était forte et profonde. Notre tueuse avait mal au derch... très mal au derch. Son cul la brûler comme pas deux et à présent, il ne faisait aucun doute qu'elle n'allait pas pouvoir s'asseoir pendant plusieurs jours. Il s’écoulât ainsi un bon petit quart d'heure, avant que Lulu ne dédaigne enfin se relever.
Elle était branlante sur ses jambe et, la première chose qui s'échappa de sa bouche fut :

Ouh... Ouh, hou, houuuuu... ah... aaaah... Ah putain mon Kyyyuuuuuuhmmmm...

Un larme se mis alors a couler le long de sa joue, tendis qu'elle marchait difficilement vers le lavabos, afin de reprendre ses petites affaires. Elle ne voulait même pas savoir à quoi ressemblait sa rondelle... Tilidement, avec parsimmonie, elle tenta d'abbaisser sa mini jupe, mais ce ne fut que pour mieux sentir une atroce onde de douleur lui exploser le cul.

AH ! Aaaaaaah... Aie... Ouille.... bord...

Elle ferma les yeux en se mordant la lèvres inférieur sous l'action du supplice. Seigneur... Cet homme, qui était toujours là d'ailleurs, ne l'avait pas loupé ! Lucrezia tenta par la suite d'enfiler sa culotte, toutefois, ce ne fut pas sans grimace ni gémissements.

P... Putain... Salop vas... Tu ma ruiné le derch... kyuuuu...

D'autres larmes furent versées, avant que Lulu ne se décida à marcher boiter vers la porte, toutefois, elle ne savait pas trop quoi faire... Devait elle rentrer à pied ou demander à son client de la ramener.

Tu... Aie... Tu... Tu peut me ramener là où tu m'a trouvé s'il t... plaaaiie... aie !


Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 41 mardi 25 novembre 2014, 19:21:47

*Tu crois qu’elle va porter plainte, Nattie-boy ?
Putain…
Ah, t’es un timide, mais une fois que tu te lances, on peut dire que tu y vas à fond. Tu dois carburer au Diesel. Une fois lancé, plus rien ne t’arrête. J’ai vu le récital d’une magnifique armée, Nattie-boy. Regarde-moi cette salope, elle se souviendra de ton passage.
*

Mortifié, Nathan s’était reculé, et s’adossait contre le mur, dissimulé dans l’ombre. Il n’osait même plus regarder cette femme, et, pendant quelques minutes, se mit même à craindre de l’avoir tué… À force de remuer contre elle, il avait pu broyer ses reins. Avec la Bête en lui, Nathan ne savait jamais vraiment de quoi il était capable. C’était un monstre abominable, assoiffé de sexe, et qui, quand il était excité, devenait une sorte de créature préhistorique. Or, un animal, une fois qu’il était lancé, ne s’arrêtait jamais avant d’avoir obtenu satisfaction. On pouvait toujours tenter d’arrêter un amant humain, mais une bête, elle, poursuivrait jusqu’au bout. Ce soir, c’est ce que Nathan avait été. Une bête assoiffée de sexe, une bête qui avait défoncé le cul de cette prostituée. Même s’il savait qu’elle n’était pas une enfant de chœur, rien de ce qu’il lui avait fait ce soir ne saurait se justifier. Quand il la vit faiblement remuer, il prit conscience qu’elle était encore en vie, mais n’osait pas la toucher.

Il aurait dû l’emmener à l’hôpital sans plus attendre, mais il se voyait mal expliquer les faits… S’il racontait tout, ses collègues le convoqueraient. Ils ne toléreraient pas qu’un policier, un gaijin ayant des problèmes d’alcool, ait été voir une pute, et lui avait, au sens littéral du terme, cassé le cul. Nathan aurait été définitivement renvoyé, et aurait même risqué un procès. Il savait que ses supérieurs ne l’aimaient que moyennement, et n’attendaient qu’une gaffe pour le virer… Et là, pour le coup, il s’agissait d’une belle gaffe. Le pire venait du fait que Nathan n’avait rien pu y faire. Les pulsions de la Bête l’avaient forcé à agir, à aller vers cette femme, à chasser du cul. La Bête rugissait devant les films pornos, n’arrivant parfois plus à s’en contenter. C’est ce qui était arrivé ce soir, et  Nathan n’avait tout simplement pas pu repousser le monstre, comme il avait parfois l’habitude de le faire. Sa main se posa sur sa barbe, et il soupira lentement.

La femme finit par se relever. Elle boitait, marchant difficilement, et s’observa dans une salle de bains merdique, parlant à voix basse. Son ton était lourd, sa voix épuisée, et, en la regardant, en voyant ce corps bien en chair, ce cul défoncé, les formes généreuses et amples de la femme, Nathan ne ressentait plus rien. La Bête était apaisée, et se moquait de Nathan, lui rappelant que toute sa moralité ne servait à rien face aux pulsions du monstre. La femme pleurait, et Nathan s’écarta un peu. Il y avait une porte blindée dans un coin, permettant de sortir dehors, par la sortie de service. La femme continuait à pleurer, et Nathan avait mal agi. Clairement. La honte le saisissait, et il sut qu’il allait devoir la laisser.

*Je ne peux pas rester… Je suis désolé, mais cela vaut mieux… Tu as besoin d’aide, Lulu, mais ce n’est pas moi qui peux te l’apporter… Je ne suis même pas capable de m’aider moi-même.*

Nathan se doutait que cette femme, vu ses cheveux, et sa solitude, et le fait qu’elle se prostituait volontairement, sans aucun mac’ pour veiller sur elle, était une âme perdue, une âme brisée. Il était bien loin de se douter de l’identité réelle de cette femme, et, s’il l’avait su, ses remords se seraient apaisés… Mais, pour l’heure, il ne voyait qu’une jeune femme qu’il avait sauvagement brisé en la défonçant joyeusement, sans aucune compassion pour la souffrance qu’elle était susceptible de ressentir. La compassion venait après, avec les remords.

Elle voulait qu’il la ramène, mais il ne le pouvait pas…

« Je… Je suis désolé, mais… C’est trop dangereux. Ne t’approche pas de moi… »

Si seulement les remords ne l’avaient pas assailli ! Si seulement il n’était pas traversé de honte, peut-être que son intuition lui aurait permis de découvrir la vérité, de voir à travers les lignes. Sa main fila dans sa poche, et il sortit son portefeuilles, lui lançant quelques billets, qui tombèrent sur le sol.

« Appelle un taxi, va à l’hôpital… Et contacte un foyer… Mais évite de t’approcher des gens comme moi… La rue est plus dangereuse que tu ne le crois. »

Il se retourna alors, et fila par la porte de service. Il tenta de l’ouvrir, mais elle résista, verrouillé. Nathan grogna, et son bras gauche se recouvrit d’une texture symbiotique. Il força ainsi la porte, et se retrouva dehors, puis fila.

Sa prochaine destination fut un bar, où il put tranquillement boire jusqu’à tout oublier… Même son nom. Mais pas la rire de la Bête, qui continuait à le poursuivre jusque dans les tréfonds de son inconscient.

*Tu peux boire pour oublier, Nathan, mais, toi et moi, nous savons la vérité… Tu es à moi.*
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Slutgarden (PV : The Amazing Nathan joyce)

Réponse 42 dimanche 14 décembre 2014, 13:06:05

L'homme, visiblement désolé de la destruction du cul de Lucrezia se mis à lui dire qu'il était "dangereux"... Si seulement ce con savait à qui il venait de violemment casser le cul, surement ce serait il ravisé et l'aurait bouclée sans problème. Au lieu de ça, L'homme balança au sol plusieurs billets, répétant à Lulu que les rues étaient dangereuses, ignorant qu'il avait à faire à une dangereuse prédatrice sexuel ayant au compteur, plusieurs meurtres sordides et violents. Lucrezia s'abaissa difficilement, afin de ramasser sur le sol les quelques billet que l'homme avait daigner lui donnait, avant d'entendre un bruit sourd traverser la pièce. L'homme avait défoncer la porte de service... Lulu s'en fichait un peu, elle avait mal au cul et ce type ne lui avait même pas payé la moitié de la prestation qu'elle lui avait offert.

Hmppfffff.... Putain j'ai mal au cul !

Lucrezia soufflât un bon coup, avant de lentement ce relever, agrippant sa petite sacoche au passage. Elle enfila ensuite sa veste en fourrure rose, avant de partir hors de cet endroit sinistre... En boitant. Elle avait beau avoir le cul en feu, une partie d'elle-même retenait un bon souvenir de cette soirée lubrique et violente, Un souvenir de sexe hardcore et bien brutal, comme elle n'en avait pas connue depuis longtemps. La femme mit une heure à rejoindre un vieux squat abandonné... Faisant des pause tout les quart d'heure afin de reposer son petit cul complètement en miette. Si elle avait était moins conne, elle aura pas bêtement laisser tomber sa seringue d’héroïne dans la voiture de ce con de flic ! Mais nan, il a fallut qu'elle la laisse dans sa putain de caisse...

"Je te payerais le double si tu me suce maintenant", qu'il disait... Hmpfff...

Lulu, une fois dans le squat, s'allongea doucement sur un vieux matelas, avant de sombrer assez rapidement dans le sommeil, bien que son cul lui fasse mal, Lulu réussite à passer une nuit "convenable"... Elle aurait aimée rejoindre son sanatorium, malheureusement, au vue de l'état critique dans lequel son cul était, elle aller devoir attendre demain, voir après demain, pour réussir à le rejoindre.



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