S’appuyant sur son fessier, Iruka s’enfonça rapidement en elle. L’intimité d’Ivy était déjà bien trempée, et elle se mit à hurler son plaisir, sentant l’infatigable membre du vampire se déverser en elle. Son corps brûlait d’une forte chaleur, et elle se laissa faire, le laissant la prendre. Elle jouit à plusieurs reprises, le sentant utiliser toute son expérience pour lui offrir le plus grand plaisir qui soit. Elle se laissa faire, laissant son fils la prendre comme il le voulait. Il plaqua sur le sol, se glissant par derrière, continuant à la prendre, la faisant hurler et gémir. Ils s’assirent ensuite l’un sur l’autre, et continuèrent ainsi. Pendant ce temps, le bûcheron continuait à se faire labourer le dos, poussant des cris et des soupirs. Les fouets s’abattaient en fonction du plaisir qu’Ivy ressentait, sa forêt étant inextricablement liée à elle, et à ce qu’elle ressentait. Iruka tint particulièrement bien, jusqu’à finir par avoir son orgasme. Il éjacula en elle, soupirant, et la complimenta à nouveau. Elle sourit, l’embrassant tendrement sur les lèvres, se collant contre lui, promenant son doigt sur les lèvres du vampire.
«
Je ne suis pas ta mère pour rien… »
Iruka se détacha de Poison Ivy, qui s’allongea sur la fleur, regardant le bûcheron. Les fouets s’arrêtèrent, et Iruka lui demanda s’il n’était pas temps d’en finir avec lui. Elle le regarda silencieusement, et les tentacules amenèrent l’homme devant ses pieds. Son dos saignait, et il resta à quatre pattes, souffrant. Levant une jambe, Ivy caressa avec son pied la tête de l’homme.
«
Veux-tu toujours vivre ? demanda-t-elle simplement.
-
O-Oui… confirma ce dernier.
-
Alors, viens me prendre… Allez, allez ! »
Silencieusement, le bûcheron se redressa, et s’avança le long des jambes de Poison Ivy, jusqu’à atteindre sa bouche. Son membre était tendu, dur et impuissant. Visiblement, les coups de fouet avaient été loin de réfréner ses ardeurs, et, quant à Ivy, elle était toujours aussi assoiffée. L’homme alla se faufiler en elle, enfonçant son membre dans son intimité, et Poison Ivy poussa un hurlement de plaisir. Elle enroula ses jambes autour de son bassin, et l’homme commença à remuer son sexe en elle, la pénétrant.
«
Oh oui, hum… Continue, petit humain, et tu auras ta récompense… »
L’homme remua en elle de plus en plus rapidement, pleurant et gémissant à la fois, tant son dos le faisait souffrir. Les fouets s’étaient abattus avec rage quand Ivy jouissait, et il ne savait plus vraiment s’il voulait vivre ou mourir. Tout semblait tellement surréaliste, alors il se contenta de remuer rapidement et frénétiquement son sexe en elle, tandis qu’elle le serrait contre lui. L’homme grogna en elle, s’enfonçant, soupirant, La douleur le faisait remuer, et il finit par se laisser aller, s’effondrant sur elle. Plusieurs longues secondes s’écoulèrent entre leurs corps enchevêtrés, jusqu’à ce qu’Ivy ne le repousse par le biais des tentacules.
«
Il est temps de te récompenser comme il se doit… Et de récompenser mon cher fils, si désireux de faire plaisir à sa mère », ajouta-elle en regardant Iruka.
Ivy remarqua alors que le vampire s’était finalement déconnecté du lien psychique l’unissant aux arbres. Sans doute avait-il eu sa dose, ce que Poison Ivy pouvait comprendre. La nature était insatiable, et elle vit le bûcheron disparaître sous les racines d’un arbre, anesthésié. Poison Ivy se releva alors, soupirant, et regarda son fils, avant de s’approcher de lui, caressant avec ses doigts son menton.
«
Je vais essayer d’enfanter… C’est une expérience difficile, Iruka, alors je vais devoir m’isoler… En attendant, ma forêt s’occupera de toi comme il convient… »
Des tentacules soulevèrent Ivy, tandis que d’autres allèrent s’occuper d’Iruka, dont un qui retourna s’enrouler sur son membre. Ivy se colla contre un arbre, celui où se trouvait le bûcheron, et se mit à travailler activement, se mélangeant aussi profondément que possible à l’arbre, ce dernier enfonçant un tentacule dans son intimité, dans sa bouche, se faufilant dans son corps pour prélever la sève d’Ivy, tout en modifiant le corps du bûcheron. Pour lui, la douleur devait être inimaginable, mais, dans l’arbre, ses cris ne pouvaient pas s’entendre, et l’arbre s’enfonçait douloureusement dans son corps, plantant des racines sans spécialement viser ses parties génitales, veillant toutefois à ne pas le tuer, le transformant intégralement. Ivy utilisa ses maigres connaissances récupérées sur Terra, en compagnie de Weldenela, auprès de la forêt vivante, pour regrouper ses forces, et modifier en profondeur la structure génétique de l’homme. Elle savait que ce serait temporaire, mais pas dans la mesure où l’homme allait retrouver sa vraie forme, mais dans le sens où le corps pourrirait, vu les modifications génétiques que Poison Ivy faisait. Elle l’écorchait, remodelant tout son corps, son poids, sa taille, ses formes, la pigmentation de son épiderme, ses cheveux, et même son sexe. Une intense chirurgie esthétique naturelle, où même le liquide anesthésiant dans lequel l’homme baignait ne fut pas suffisant pour réfréner sa douleur.
Une bonne heure dut au moins s’écouler, quand l’arbre relâcha Ivy. Cette dernière s’écrasa mollement sur le sol, subitement épuisée, la sueur coulant de tout son corps.
«
C’était… C’était épuisant… Mais elle est prête. »
S’appuyant sur l’arbre, Poison Ivy tenta de se relever, tandis qu’une forme gracieuse sortait entre les buissons. C’était jadis un petit bûcheron sans intérêt. C’était une belle
dryade, qui s’approchait de sa génitrice. Ivy regarda alors Iruka en lui souriant.
«
Je suppose qu’on peut la considérer comme ta sœur », glissa-t-elle.
ivy s’approcha d’elle, et lui caressa le visage. Les yeux de la dryade la fixèrent, et elle caressa les belles lèvres verdâtres de la femme verte.
«
Me reconnais-tu ? demanda Ivy.
-
Vous… Vous êtes ma mère… parvint à faiblement articuler cette dernière.
-
Le résultat est excellent… »
Poison Ivy l’embrassa tendrement, et la poussa vers Iruka, avant de s’appuyer contre l’arbre. Ce que ça avait été usant ! Elle soupira légèrement, reprenant ses forces, avant de regarder à nouveau le jeune vampire.
«
Je suppose que tu dois la trouver bien plus intéressante sous cette forme, non ? »