Quand une ballade dans un lieu de rêve tourne au cauchemar (PV Lili Ivanes)

Des cris, toujours des crs, encore des cris, voilà de uoi rvir plus d'une personne, mais l'intérêt de Liam résidait ailleurs que dans simplement offrir à des soldats de fortune un moment de plaisir, en fait, avec queleques micros bien placés, il avait transmis les hurlement de Lili à toute l'assemblée, permettant en fait de transformer tout cela en signe d'avertissement à toute la foule présente dans la grande pièce, oui, voilà l'intérêt.

Par contre, il fallait toujours que cela finisse, aussi, retourna-t-il dans la pièce où se trouvait sa nouvelle catin et fut surpris du spectacle ! Ils n'avaient pas respecté les ordres. Il était déjà livide originellement, mais là, il pâlit encore plus, jusqu'àdevenir blanc comme un linge sous la colère, tout se figea. Chacun s'arrêta dans la position qu'il avait commencé à occuper et chacun s'arrêta dans son mouvement, sans autre raison que de sentir la colère du vampire. Ils débandèrent prsque aussi sec sous l'effet de la peur, un effet étrange, surtout qu'en débandant, ils retrouvèrent leur appareil d'origine.

Tout s'enchaina particulièrement vite dans un sifflement étrange, presque le crachat d'un chat qui hérisse le poil avant un combat, le vampire s'élançait et avant que qui que ce soit ait le temps de bouger, le vampire avait retapissé la salle avec des tripes et du sang. Puis, doucement, il s'agenouilla pour se mettre à la hauteur de Lili et lui parla doucement.

« Allons, voilà, c'est fini. Tu sais, je n'aime pas faire ça, mais tu m'y a forcé…. En étant de vilaines filles, vous deviez être punies toutes les eeux comme il se devait. Ton amie l'a très bien compris et a déjà fait amende honorable ! Alors tout va bien pour toi maintenant, et elle a été punie à ta place, comme convenu. Allez, c'est fini maintenant. Attends, je vais te soigner, et on va retrouver ton amie Kira. Elle se faisait un sang d'encre en te regardant souffrir. »

Le vampire lui ébouriffa doucement les cheveux. Avant de la soigner, de la même manière qu'il lui avait modifié l'anatomie, la remettant en l'état par la même occasion, seul le sang était trace des sévices qu'elle avait subie, ça, et sans doute la voix qui finirait un peu éraillée. Doucement, il l'aida à se relever et la conduisit dans l'autre pièce, oui, encore une autre, où se trouvait Kira, les yeux fermés, le souffle court, allongée sur le dos, à même le sol en béton glacial. Cette pièce en elle même téait froide, très froide, mais qu'importait.

« Tu veux manger quelque chose ? »

Il sourit et tapa dans ses mains, on apporta un rand plateau de fruit.

« Bon, écoute moi bien petite chienne, déjà, tu as le droit de rester debout si tu le désire, mais au delà de ça, j'ai une nouvelle consigne pour toi, une consigne assez simple, je pense que tu arriveras à la respecter sans trop de difficulté.... Je veux que tu m'excite, sexuellement bien évidemment. »

Il sourit, c'était un ordre particulièrement sadique, il fallait le reconnaître, car elle avait du le voir, le seul moment où sa verge s'était dressée, une verge de bonne taille d'ailleurs, sans doute cinq ou six centimètres de diamètre pour une vingtaine de long une fois dressée et sans modification bien sur, c'était lorsqu'elle ou Kira avait été maltraitée physiquement. Donc elle allait devoir se faire souffrir pour qu'il soit assez moustillé. Elle allait devoir $être son propre bourreau.

« Tu ne voudrais pas que Kira subisse les conséquences d'un refus ou d'un échec, n'est-ce pas ma petite chienne ? »

Leurs assauts ne me laisse pas un instant de répit, quand l'un est fatigué, un autre le remplace, la douleurs reste constamment intenses et dévastatrice, hurlant la bouche grande ouverte, les cordes vocales déployé, quand il n'y a pas l'une de leurs grosses queues à l'intérieur de celle-ci.
Ça dure un moment interminable, jusqu'au moment, alors que je n'y croyais plus du tout, ou ces brutes qui sont sur moi et me viol sans ménagement arrête tout mouvement.
Toujours à genoux sur l'un d'eux, la bouche et la gorge encombrer d'un de leurs gros braquemart, les yeux fermés depuis un long moment maintenant, plus un bruit ne circule dans la pièce à par mes gémissements étouffés, la peur s'empare à nouveau de moi.
Pourquoi ils se sont tous arrêtés? Qu'est ce qu'ils prépare encore de plus cruel? Toutes ces questions qui trottent dans ma tête alors que je sent les sexes dans mes orifices reprendre une taille plus humaine peut-on dire.

Le silence persiste pendant une longue minute, jusqu'à entendre comme un sifflement de chat traverser la pièce.
à ce moment là, je sent un liquide chaud éclabousser la peau de mon dos, mes fesses, mes cuisses, mes bras et mon visages, alors qu'en même temps mes violeurs se retirent de mes orifices.
Je pousse de derniers gémissements de douleurs quand ils se retirent avant de m'écrouler épuisé et meurtrie sur celui qui est en dessous de moi.
Le souffle cours, le corps tremblant et ruisselant de sueur ainsi que de sperme probablement, je n'ose même pas ouvrir les yeux, mais une sueur froide remonte mon échine quand j'entends à coté de mon oreille la voie froide de mon principale tortionnaire me dire doucement.

« Allons, voilà, c'est fini. Tu sais, je n'aime pas faire ça, mais tu m'y a forcé…. En étant de vilaines filles, vous deviez être punies toutes les deux comme il se devait. Ton amie l'a très bien compris et a déjà fait amende honorable ! Alors tout va bien pour toi maintenant, et elle a été punie à ta place, comme convenu. Allez, c'est fini maintenant. Attends, je vais te soigner, et on va retrouver ton amie Kira. Elle se faisait un sang d'encre en te regardant souffrir. »

Je l'écoule alors qu'il me dit que c'est fini... enfin mon calvaire est terminé.
Je met une certaine réserve sur le faite qu'il me dise qu'il n'a pas aimé ce qu'il m'a fait subir, comme s'il avait été obligé de de faire subir ça.
Un autre frisson remonte le long de mon dos quand je l'entends me dire que Kira à bien compris qu'elle devait être punis et qu'elle à déjà fait amende honorable, la suite me fis encore plus frissonner quand je l'entends me dire que tout vas bien pour moi maintenant et que Kira à été punis à ma place comme convenue.
Mon dieu, qu'est ce qu'il a fait à Kira?
Il m'explique ensuite qu'il vas me soigner et retrouver Kira qui commençais à s'inquiéter pour moi.
Comme s'il s'intéressait à ce que nous ressentons.
Je sent sa main froide passer dans ma chevelure, je n'ai même plus la force de bouger pour le repousser.
Quelques secondes plus tard, je ressent une violente douleurs dans mon bas ventre, je pousse un gémissement plaintif avant que la douleur ne disparaisse.
J'ouvre enfin les yeux, je vois les pieds de mon soit disant maitre, il me fait signe de me relever, ce que je fait difficilement, car la force me manque.
Je pose les mains par terre et pousse sur mes bras arrivant t'en bien que mal à m'asseoir, c'est alors que je vois avec horreur ce qu'il à fait aux hommes qui m'ont violé.
Ils ont soit la gorge tranché ou le ventre ouvert, il y à du sang un peut partout, j'en suis moi même recouverte, je suis quelques peux choqué par la vision de tout ces cadavres encore chauds.
Je sent les mains froide du maitre se poser sur mes épaules pour m'aider à me relever, j'ai mal un peux partout c'est horrible mais je suis debout.
Il me conduit jusqu'à une porte, celle ci mène à une autre pièce, la porte franchie, je vois Kira allongée par terre, à bout de souffle, les yeux fermés.
Je me précipite et me met à genoux à ces cotés, une main sur son front et l'autre sur son épaule avant de lui dire d'une vois quelques peut cassé.

Kira! Je suis là... Tu vas bien... Qu'est ce qu'il t'a fait?... Kira?

Mais elle ne semble plus avoir de force pour me répondre, je tourne la tête vers le maitre qui est en train de nous regarder avant de lui demander.

Qu'est ce que vous lui avez fait?

Il me regarde le sourire au lèvres et me demande.

« Tu veux manger quelque chose ? »

Au lieu de répondre à ma question et avant même que je ne lui réponde, il tape dans ces mains, quelques secondes plus tard voilà qu'un de ces hommes de mains arrive avec un plateau de fruits qu'il pose à coté de moi et Kira.
Ce n'est pas que je fasse la difficile, mais qui me dit qu'il n'a pas drogué les fruits ou pire empoisonnés, je me méfie.
mais bien vite c'est mon estomac qui cris famine, je l'entends gargouiller, je prend alors une poire que j'examine précautionneusement au cas ou je pourrais voir la marque d'une aiguille de seringue ou autre chose.
Ne remarquant rien de suspect je me décide à mordre dedans, c'est alors que le maitre me parle à nouveau.

« Bon, écoute moi bien petite chienne, déjà, tu as le droit de rester debout si tu le désire, mais au delà de ça, j'ai une nouvelle consigne pour toi, une consigne assez simple, je pense que tu arriveras à la respecter sans trop de difficulté.... Je veux que tu m'excite, sexuellement bien évidemment. »

En entendant ça, la poire m'échappe des mains et roule sur le sol, je manque de peut d'avaler de travers, pétrifier par ce qu'il viens de me demander, moi qui pensais que ce cauchemars était enfin terminé, surtout avec ce qui c'est passer dans la salle à coté, voilà qu'il me demande de l'excité, que je m'occupe de lui pour être plus directe.
J'hésite pendant un long moment sans bouger, après m'avoir donner en pâture à ces cinq monstres, qu'il l'a ensuite transformé en vrai monstres qui m'ont violenté pendant un long moment, qu'il est lui même violenté Kira de je ne sais qu'elle manière, j'ai vraiment du mal à me décider à lui donner du plaisir, surtout que ce dont j'ai vraiment envie en ce moment, c'est d'un bon bain chaud pour me laver de tout ce sang qui est en train de sécher sur ma peau et de me détendre de toutes ces courbatures.
Mais ce sadique c'est très bien trouver les mots pour convaincre ceux qui lui résiste, surtout en aillant Kira comme moyens de pression et il n'hésite pas à l'utiliser contre moi quand il commence à s'impatienter.

« Tu ne voudrais pas que Kira subisse les conséquences d'un refus ou d'un échec, n'est-ce pas ma petite chienne ? »

Quel beau salop, il sait pertinemment que je ne peut rien refuser de faire quand il s'agit  de Kira, il a bien vue que je me suis sacrifié pour elle tout à l'heure en endossant mes cinq violeurs, et maintenant il se sert de cette accroche pour me faire faire ce qu'il veux, il sait que je n'ai pas le choix.
résigner à faire ce qu'il me demande, je lui répond.

Non maitre. Je ferais tout ce que vous me demanderez maitre...

Je me relève et délaisse Kira pour venir devant le maitre, qui lui est assis. Mon corps entièrement maculé du sang séché de mes précédant violeurs, je commence à onduler mon corps en face de lui.
Mais je sais très bien qu'une simple danse ne l'excitera pas plus que sa, puisque la seule fois ou je l'ai vue en érection, c'était quand moi et Kira étions en train de nous faire maltraiter.
Il vas donc falloir que je me fasse souffrir pour l'exciter, lui montrer que j'ai mal, choses que je n'ai pas envie, mais encore une fois je n'ai pas le choix.
Je bouge donc mon corps dans de lents mouvements de gauche à droite pour commencer, mes bras allant se croiser au dessus de ma tête avant de redescendre doucement jusqu'à mes cuisses, puis tout en me caressant, mes mains remonte jusqu'à ma poitrine alors que je commence à me déhancher.
Je constate que j'ai toute l'attention du maitre qui me regarde pour ne rien louper du spectacle.
Je me caresse la poitrine avant que de mes doigts je viennes prendre mes mamelons pour les exciter, mais je sais pertinemment que ce n'est pas ce que le maitre attends de moi, mes doigts viennes alors sur mes anneaux et je commence à tirer dessus avant de lâcher de petit gémissements plaintifs.
Je tire l'un puis l'autre en tirant de plus en plus à chaque fois, et me faisant de plus en plus mal à chaque fois, ci-bien qu'au bout d'un moment ce sont de petit cris de douleurs que je lâche.
Mais bizarrement mon corps réagis assez bien à la douleur puisque mes tétons gonflent, durcissent et ma poitrine se réchauffe.
Pour changer un peut, je laisse mes anneaux tranquille et gifle alternativement mes seins,  les faisant balloter par la même occasion tout en lâchant toujours des petit cris plaintifs sous les yeux du maitre qui ne rate pas une miette.
Quand au bout de quelques minutes ma poitrine à pris une teinte bien rosé, je me rapproche encore un peut plus du maitre, je me retourne et me met à quatre pattes le dos bien cambré, alors qu'une de mes mains reste au sol pour me retenir, mon autre main viens fesser mes petites fesses, les écarter pour lui montrer mes trous intimes, écarter mes grandes lèvres et me donner une nouvelle fois des fessées  tout en lâchant à chaque fois soit des gémissement ou des cris plaintifs.
Ce n'est que quand mes petites fesses me brules et que ma petite fente dégouline de mouille, que je me retourne à nouveau vers lui toujours à genoux et viens me blottir contre sont entre jambes, comme pour lui demander si le spectacle lui à plu et pour savoir s'il est excité pour que je m'occupe de lui avec ma bouche.
Mais encore faut-il qu'il accepte et qu'il m'autorise à le faire.

Bêtement, stupidement, elle commence par onduler du bassin, comme si cela pouvait suffire… idiote. Liam se contenta de la regarder avec un profond dégout qui montrait toute l’importance que le vampire  donnait à cette jeune femme, guère plus qu’une femelle à dresser et qui lui permettrait de gagner de l’argent. Une belle petite somme quand on y réfléchissait. Mais il y avait encore bien des choses à briser en elle, car pour le moment, il continuait de penser qu’à la moindre occasion, elle se sauverait, détalant comme un lapin.

Enfin, elle se mit vraiment à agir comme il fallait. Certes, c’était doux, mais bon, c’était un bon début, et la virilité du vampire montra qu’elle réagissait quelque peu, pas de quoi courir la gueuse, mais c’était en soi un compliment, montrant que les gifles sur la poitrine et le jeu sur les piercings ne le laissait pas complètement indifférent.

Toutefois, par, sans doute, désintérêt progressif de ces petites douleurs, il prit des fruits qu’il commença à manger, dévorant d’abord une pêche bien mûre pendant qu’elle se faisait soi-disant souffrir, ce qu’elle faisait il appelait ça titiller… elle ne faisait pas grand-chose, même si c’était un léger début. Elle apprendrait. La seule preuve qu’elle n’y allait pas franco était qu’elle mouillait comme une folle, chose qui, si elle n’était pas si désagréable n’était pas forcément de mise.

Il avala son dernier morceau de pêche et quand elle vint se blottir entre ses cuisses il envoya violemment le noyau dans la tempe de Kira. Il avait à nouveau le regard dur et froid de celui qui n’hésitait pas un seul instant à tuer si cela l’amusait. Il fiut une moue plus que désapprobatrice avant de la repousser du pied.

« Qui t’a permis de me toucher ou même de m’approcher ? Et regarder moi ce gâchis… gâcher des aliments… pourquoi as-tu laissé trainer ta poire. Quand on t’offre à manger la moindre des choses est de finir ce que l’on a, mieux encore si l’on s’arrête on ne la laisse pas trainer par terre. Et je ne t’ai pas demandé de t’exciter toute seule avec des caresses, non, je t’ai dit de m’exciter moi !»

Il lui donna un coup de pied dans les côtes déjà bien meurtries, à force et il appela Kira qui tressaillit d’abord, hésita ensuite, et approcha, tremblante, les yeux rivés sur le sol, elle avait le regard vide, dieu seul savait ce que le vampire lui avait fait subir. Il la fit asseoir à ses pieds, juste à côté de lui et lui saisit un sein qui était déjà tuméfié, preuve qu’elle avait déjà subi sa colère par la faute de Lili ou juste parce qu’il avait eu envie de la frapper – de toute manière, Lili avait servi d’excuse….

« N’est-ce pas joli ? Et c’est encore très sensible… »

Il saisit le sein et le tordit jusqu’à entendre un gémissement et revoir quelques larmes couler. Puis, doucement il lui fit relever le menton pour que Lili puise bien voir que le regard vide avait cédé place à un fond de colère elle regardait Lili avec colère. Aprè-s tout, c’était de sa faute tout ça, c’était de sa faute si elle souffrait.

Liam l’attira contre lui et lui mit un fouet en main. Et, guidant sa main et son bras, il la fit frapper Lili, une fois, deux fois, trois fois, sourire aux lèvres.

« Va me chercher la mallette grise là bas, par terre, Lili. »

La mallette était lourde et contenait des billes de tailles variables allant de petites, à peine trois centimètres et demi, voir quatre, àç des plus grosses rejoignant presque les dix centimètres de diamètres. Il avait un sourire sadique alors qu’il les ouvrait sous leurs yeux et lança, sur un ton qui ne souffrait aucun délai.

« Bon et bien, c’est très simple, je veux que tu élargisses l’anus de Kira avec ces boules de métal et que toi, Kira tu élargisse le sien. Je veux qu’àà la fin, chacune de vous puisse mettre ses deux poings en même temps dans le cul de l’autre, au travail, vous avez un quart d’heure ou sinon, c’est le fouet et les gardes… ah et Kira... commence par lui enfoncer la pomme qu'elle n'a pas mangé jusqu'au bout....