Bien évidemment que cela faisait mal, bien évidemment que c’était désagréable, sinon ce ne serait pas drôle, et surtout, sinon, il ne l’aurait pas fait ! Et ce n’était pas lui avouer la douleur qui calmerait les choses, bien au contraire ! Cela ne faisait que l’encourager à continuer dans ses sévices. Non en fait il aimait tant faire souffrir, qu’il ne se donnait même plus de raison de le faire.
Elle pouvait nier tant qu’elle voulait, ça ne changerait pas grand-chose, voir rien du tout, à la situation. Oui il assumait d’être sans cœur, d’être cruel. Il lui faisait mal et en appréciait la fragrance mêlée à celle d’angoisse. C’était un vrai délice ! Elle faisait appel à sa pitié, mais quelle pitié ? Il n’en avait aucune ! Elle le lui, il lui semblait, déjà lancé au visage ça, non ? A moins que ce soit une autre victime…enfin bref….il ne se ddonna pas la peine de répondre à ses provocations. Et dans tous les cas, elle souffrirait bien plus à l’avenir, surtout sous ses ordres !
« J’ai hâte de rentrer chez moi, quand me laisserez-vous partir? »
Il sourit, décidément elle est bien naïve.la petiote. Ahlalalalala, c’était si drôle de savoir à quoi elle s’exposait avec lui, alors qu’elle, dans sa naïveté, pensait qu’elle serait libérée…n’avait-elle pas compris que sa liberté s’était achevée quand il l’avait attachée ? Il se mit à rire.
« Petite idiote, tu es bien naïve ! Tu n’as pas compris ? Tu es désormais ma chose, mon esclave, ma petite chienne, mon toutou ! Tu n’as pas le choix ! Ou du moins, je ne te le laisserai pas ! Quand je t’ai dit qu’obéir te garantissait la vie sauve je ne t’ai pas menti. Tant que tu m’obéis au doigt et à l’œil, tu ne risques rien. C’est aussi simple que ça. Je ne dis pas que ce sera de tout repos, je te dis juste que si tu obéis tu ne mourras pas. De même, si tu tentes de fuir, je te ferai regretter le jour de ta naissance, puis je t’enverrai ad patres ! »
Il se stoppa, attendant qu’elle arrive à son niveau, insistant si besoin est d’une pression sur la corde. Une fois à son niveau, il lui flanqua une nouvelle claque sur le derrière avant de lui caresser le dos, appuyant sur les feuilles d’orties
« Tu verras bien vite que ton rôle se cantonnera à exécuter ma volonté ! Après, je peux t’accorder des récompenses, par exemple, puisque tu me suis sans résister, je vais t’enlever ce qui te démange. Tu vois, je ne suis pas l’horrible personne que tu prétends ! »
Il caressa ses cheveux avant de sortir son couteau. Et il découpa le dos de la robe, con, ça lui faisait un dos nu, mais peu importe. Par contre point de vu démangeaisons, ça y était allé fort ! L’urticant en était même allé jusqu’à violacer certaines zones ! Il les tâta pour voir, non, ce n’était pas trop grave, il l’aiderait bien, il la soignerait et ce serait réglé.
« Tu vois, je ne suis pas cruel sans raison. Tu vois, je peux être un maitre gentil et doux ! Mais encore faudrait-il le mériter. Alors écoute moi bien, tu souffriras forcément au début, tu te sentiras humiliée, mais ça finira par passer et tu comprendras que tu es dans une bien meilleure situation que ce que tu n’aurais jamais pu avoir. Et tu sais, je tiens en partie compte des conseils de certains esclaves, notamment quant à leur affectation. J’ai justement besoin de quelqu’un à emmener dans mes voyages. Tu en penses quoi ? Tu seras nourrie, logée blanchie. »
Il lui caressa la joue de la main gantée.
« Allez, profite donc de l’opportunité que je t’offre. Pense aux endroits que tu pourrais voir ! Aux merveilles que tu pourrai croiser ! on, bien sur, le mauvais c^té c’est l’obéissance obligatoire, ta volonté devra être d’obéir au moindre de mes ordres. Maigre sacrifice, non ? »