Rachele sort de la limousine et s'approche avec sa servante. Les hommes de mains se montrent surprenament respectueux avec Li Hua et l'invitent poliment à lever les bras pendant qu'ils passent un capteur sur ses vêtements. Ils repèrent les mouchard, radio, portables et demandent à la belle Yakuza de les leur remettre. Ce qu'elle fait sans résister. La baronne de Seikuzu croise alors les bras et lui dit d'un ton réprobateur:
Rachele - Li Hua... Li Hua... Li Hua... que t'ais je donc bien fait pour me traiter avec si peu de respect... venir comme ça... dans MA maison, sur mon territoire, tuer mes maques et mes dealeurs, empêcher mes filles de bosser... vraiment... vraiment... tu me fend le cœur Li Hua... Quand je pense que nous aurions pu devenir de si bonnes copines... nous partageons tans de passions communes...L'esclave en tenue obscène s'approche à son tour et palpe Li Hua pour voir si elle ne cache rien d'autre, elle prend tout ce qui s'apparente à de la drogue ou des armes sous toutes les formes. La Yakuza sait qu'elle doit la jouer finement à ce moment.
Li Hua - Je ne visais personne en particulier, j'ai reçu des menaces il y a peu d'un groupe en me renseignant j'ai appris qu'il se dissimulait dans le ville, j'ai frappé fort.Du mensonge, du venin sortant de sa bouche. Mais celui-ci semble sans effet sur l'italienne. Rachele porte un doigt à son œil droit pour mimer le fait de retenir une larme, mes ses yeux sont sec, aussi sec que ceux de Li Hua, tout cela n'est que jeu de manche, mise en scène.
Rachele - Des menaces ? De moi ? hoooo... quel vilain mensonge... pas de ça entre nous ma chère Li Hua, nous allons passer tellement de temps ensemble désormais, nous ne pouvons pas commencer à nous mentir...
Li Hua - Ou peut-être d'une personne qui ose se faire passer pour vous, ma chère amie... Dans notre milieu nous savons que les traitres sont nombreux à frapper à notre porte. Si j'avais su... Vous pensez bien que je n'aurais jamais oser vous attaquer.Un sourire narquois ce dessine sur le visage de Li Hua qui ne renonce pas à son mensonge, c'était le seul moyen de pouvoir sauver sa vie à ce moment. Rachele le lui rend et semble se laisser convaincre. Ce qui en terme de gestuelle mafieuse, signifie généralement que votre interlocuteur va vous loger une balle dans la tête...
Rachele - Mais bien sur, tu as raison ma chérie. Tout ceci n'est qu'un vaste mal entendu, quelqu'un à sans doute voulu nous monter l'une contre l'autre... Oublions tout cela et partons sur de nouvelles bases. J'ai vraiment très envie de faire de toi une de mes nouvelles amies et pour ça je nous ai préparée une soirée entre filles !Rachele prononce cette dernière phrase avec un ton étrange, un mélange d'adolescente excité d'aller en soirée et la morgue d'une tueuse de sang froid. Mais c'est le comportement de sa servante en vinyle noir qui en dit le plus long sur les véritables intentions de Dona Florenza. Celle-ci termine sa fouille et pousse Li Hua vers la Limousine sans politesse ni ménagement. Li manque de perdre l'équilibre, ses pieds nus la font souffrir.
Li Hua - Comment je pourrais refuser une proposition de votre part ma chère, devenons amies pour notre bien. Je suis ravie de me joindre à votre soirée filles. La mafieuse n'est pas dupe, elle allait se faire manger à cette soirée. Elle savait qu'elle n'allait pas passer un bon moment à côté de cette vipère. Rachele la précède et s'installe confortablement dans la limousine. Quand Li Hua arrive devant la porte à son tour, l'Esclave Zéro lui saisit les poignets et les lui passe dans le dos pour les attacher entre eux avec des serflex (collier en plastique).
Rachele - Excuse mon esclave ma chérie, elle fait ce qui faut pour qu'on passe une bonne soirée. Li Hua sent soudain la lame d'un couteau parfaitement bien aiguisé frôler sa peau, des fesses jusqu'à la nuque pendant que l'esclave Zéro coupe sa robe et ses dessous. Jusqu'à ce qu'elle soit nue, révélant ses formes sculpturales et élancées.
Rachele - Et ça c'est pour que tu soit plus à l'aise et... ho oui parfait.. tu es aussi belle que ce que je m'étais imaginer, on va vraiment beaucoup s'amuser... Il manque juste un petit quelque chose... humm... voyons voyons... Esclave...L'esclave Zero passe un fin collier en vinyle noir autour du coup de Li Hua, celui-ci est assorti d'un anneau en acier devant. Puis elle s'accroupie entre ses jambes et lui passe des sandales, également en vinyle, à talons si hauts que Li Hua se retrouve a devoir marcher sur la pointe des pieds.
Rachele - Voila, là c'est parfait. Tu es superbe.
Li Hua - Une étrange façon d'accueillir une invité...Li arrête de parler le temps que l'esclave de la Baronne lui passe un collier autour du cou, ainsi que des talons aux pieds, si haut qu'elle aurait bien des difficultés à se déplacer avec.
Li Hua - Ce collier est un généreux cadeau. Je vous remercie. Ironie, Li ressemblait à un vulgaire animal domestique avec un collier autour du coup. Une chienne des bas fond ! Son sourire sur son doux minois se crispait, elle allait lui faire payer un jour ou l'autre cet affront.
Rachele lui sourit d'un air carnassier, en l'espace d'une seconde, Li Hua peut voir son vrai visage, celui d'une perversion et d'une cruauté totale, surprenante chez une femme qui ne semble pas avoir plus de 24 ans.
Rachele - Je savais qu'il te plairais... c'est qu'il correspond mieux à ta vraie nature plutôt que ces.. frusques... que tu portais... ça ne t'allais pas du tout, chacune dans ce monde doit se vêtir en fonction de son rôle et là, tu es parfaitement dans le tien...L'esclave Zéro pousse Li Hua en avant pour l'obliger à monter dans la limousine. Elle l'installe face à Rachele et lui passe sa ceinture de sécurité, bien qu'elle semble plus avoir un rôle de chaînes. Puis l'esclave s'installe à coté d'elle, fixant de ses yeux fou sa maitresse en l'attente de nouveaux ordres. La limousine prend la route et quitte les lieux, trop tôt pour que les secours de Li puisse identifier ses kidnappeurs. Li serre les dents pour ne pas sortir une phrase qui pourrait encore plus lui nuire, elle doit se plier aux règles de Rachele, cette garce.
Li Hua - Nous n'avons pas les même goûts, vous préférez le vinyle et moi la délicatesse des choses. J'ai un cœur comparé à vous Rachele. Il est facile de le reconnaître. Et parfois dans notre monde, il est bon de montrer un peu de compassion surtout envers ses ennemies qui peuvent devenir des précieux alliés avec le temps.Jamais la mafieuse deviendra alliée avec cette femme. Juste de la regarder, elle mourrait d'envie de lui arracher la gorge pour la laisser s'étouffer dans son sang.
Rachele - Ho mais rassure toi, je fais preuve d'une grande clémence et de beaucoup de compassion à ton égard, regarde, tu es encore en vie. Pas de sac poubelle, des talons aiguille en lieu et place d'un bloc de ciment, avoue que ce pourrait être pire. Tout ça parce que je t'aime et que j'ai envie de te faire participer à mon bisness. Regarde l'esclave Zéro, elle aussi, au début, elle n'aimait pas être nue en public, porter des talons haut et les belles tenues que je lui offre. Mais maintenant tu vois, elle est heureuse, elle aime ce qu'elle est. N'es ce pas esclave ?L'esclave zéro glousse comme une adolescente nymphomane à l'idée de sa prochaine sortie, mais le cercle qui tiens sa bouche grande ouverte lui empêche de répondre avec des mots. La situation pourrait être pire, mais Li savait qu'elle allait souffrir avant de rendre son dernier souffle si cela devait arriver. Elle avait confiance dans son équipe, il allait la retrouver et les choses allaient changer. Tout ce que la Baronne allait faire subir à la mafieuse allait lui retomber dessus en dix fois... Non mille fois pire.
Li Hua - Votre esclave à l'air si épanouie en votre compagnie... Les séances d électrochocs ont du la ravir.Li ferait tout son possible pour ne pas se retrouver comme cette esclave zéro, à admirer cette vipère. Rachele prend un air faussement peiné
Rachele - Ho tu sais, ça m'a désolée d'en arriver là avec elle... Mais son métabolisme d' E.s.per était trop puissant, elle assimilait les drogues trop vite, elle résistait au contrôle mental... et aux lavages de cerveau... ça m'a fendu le cœur de devoir lui griller les neurones, ses souvenirs, sa personnalité. Mais au moins elle avait enfin un esprit pure et vide, prêt à être réécrit. Elle y a perdu en intelligence c'est vrai, je ne suis même pas certain qu'elle sache encore lire, écrire ou compter, mais tout ça ne lui servait à rien de toute façon. Vu que son rôle dans la vie c'est de faire plaisir à sa maitresse.L'esclave Zéro écoute le récit de sa propre destruction mais ne semble pas réaliser que Rachele parle d'elle. Au lieux de cela, elle continue de glousser en regardant Li Hua et sa maitresse. Pressant fébrilement son corps contre celui de la Yakuza comme si elle avait du mal à retenir ses pulsions sexuelles. Li se voyait rassurée à demi mesure, elle aussi avait des capacités spéciales qui pourrait lui sauver la mise dans cette épopée, elle pourrait tenir plus facilement à souffrance que la Baronne allait lui faire subir.
Li Hua - Et qu'elle serait mon rôle dans cette histoire ? Vous avez déjà votre esclave personnel en avoir deux ne doit surement pas vous intéressez. Et il serait dommage de détruire ce cerveau si important qui pourrait vous être utile ?Rachele prend une coupe de champagne et commence à la déguster goute par goute, savourant sa première victoire avec ostentation.
Rachele - Tu as raison, même si je ne me fixe aucune limite au nombre de mes esclaves personnels ce n'est pas le rôle que je te réserve. Non, je suis quelqu'un de plus pragmatique que frivole malgré les apparences et j'aime que les choses entrent dans l'ordre. Tu as mis une sacrée pagaille dans mon bisness, je voudrait que tu m'aide à rembourser les dégâts et à faire des profits, voit cela comme des intérêts sur une somme d'argent que tu m'aurais emprunté.Sans prévenir ni crier garde, l'esclave zéro passe un bandeau sur les yeux de Li Hua, celui-ci épouse parfaitement les formes de ses yeux et du creux à la base de son nez. Puis ses mains serpentent lentement vers sa poitrine pour la première et vers son ventre pour la seconde.
Li Hua - Rembourser les dégâts...Ce n'est pas compliqué pour Li de savoir le sort que lui réserve la Baronne, même si sa perversité pouvait dépasser les limites de l'imaginaire. Elle essaya de se dégager quand l'esclave zéro lui déposa le bandeau pour boucher sa vue et la ceinturer avec ses bras, cette folle. Elle n'avait pas à la toucher.
Li Hua - Rachele, profite bien de ce moment quand viendra ma vengeance je peux te dire... Que tu vas regretter de m'avoir gardé à tes côtés.Il en était trop pour Li ça devait sortir. Rachele sourit si fort que Li Hua peut entendre le bruit de ses lèvres se retrousser sur sa dentition parfaite.
Rachele - Hooo, voyons... que de vilains mots... ça partait si bien entre nous pourtant... tu ne veux quand même pas me vexer... tu sais qu'il ne faut jamais vexer sa maitresse... les vilaines esclaves sont puni...Les doigts de la main gauche de l'esclave zéro viennent caresser les seins de Li, elle masse délicatement le bout des tétons avec la pulpe et les ongles pendant que tout son corps glisse le long de celui de la Yakuza. Elle utilise son autre bras pour écarter les cuisses de la prisonnière et faire passer l'une d'elle sur son épaule, ouvrant grand les portes de sa féminité à son visage. Li Hua l'entend toujours glousser et haleter comme la nymphomane décérébrée qu'elle est.
Li Hua - Une maitresse... Laisse moi rire, je ne suis pas aussi faible d'esprit que ton esclave zéro, il m'en faudra plus pour me briser.Li pousse des gémissements quand elle sent des mains se poser sur son corps, sans pouvoir voir qui faisait ça. Elle se doutait que c'était l'esclave zéro, mais le cerveau diabolique de la baronne pouvait cacher des choses. La langue de l'esclave zero se pose sur l'intimité de Li Hua et commence à la lécher de bas en haut, comme une chienne qui laperait son écuelle. Elle le fait jusqu'à ce que Li Hua commence à mouiller d'elle-même, à cet instant Rachele lui ordonne d'arrêter.
Rachele - C'est bon esclave, elle est prête mais elle n'est pas pour toi ce soir... [A Li Hua] Tu es tellement orgueilleuse... pour qui te prend tu ? Tu sais, ça me désole d'en arriver là... mais je vais devoir te rappeler ta place et ta vraie nature ma chérie, pour ton propre bien... Et à propos de ça... nous sommes arrivés...Le bandeau est enlevé des yeux de Li Hua qui découvre que la limousine est maintenant garée dans une sorte de petit parking souterrain aux murs de béton défraichi par la moisissure. Frustré par l'excitation sexuelle et le désir qu'elle ne peut pas assouvir, l'esclave zéro se montre plus brutale dans ses geste. Elle saisit Li Hua par ses bracelets de plastique et la tire hors de la voiture.
Rachele – Doucement esclave, ne l'abime pas, ce n'est pas ton tour ce soir, tu l'auras si tu es sage...La femme en vinyle noir jappe de satisfaction entre ses lèvres grandes ouvertes pour remercier sa maitresse et pousse à nouveau Li Hua vers l'avant, en direction d'une grande porte en fer crasseuse, comme si elle était rongée non par l'humidité mais par une sorte de matière grasse et huileuse. Un des hommes de main leur ouvre la porte et les sens de Li Hua sont soudain assailli par un concert de hurlement de plaisir et de douleur, de gémissement de désespoir et de jouissance. Par l’odeur de la sueur d'innombrables hommes et femmes, de celle du foutre, de l'urine, du sang et du tabac mêlé à celui de l’alcool entêtant. La Yakuza peut alors comprendre que la matière visqueuse qui corrode la porte d'entrée est en fait composé des vapeurs de transpiration et de crasse humaine.
L'esclave zéro la pousse encore en avant, vers cet endroit sombre d'où s'échappe cette mélopée infernale. Après quelques pas dans la pénombre, Li Hua voit alors tout ce qui s'y passe et le spectacle qu'elles observent est d'une monstruosité sans borne. Rachele ne l'a pas amenée à son Club huppé mais dans un bordel clandestin répugnant, réservé à la clientèle la plus pauvre: immigrés clandestins, parias et junkys, ouvriers. Derrière des barreaux crasseux résonnent les gémissements et les cris des esclaves sexuelles livrées à leurs clients. Des matelas crevés et jaunis par l’usage, le temps et le sexe sont disposés à même la pierre défraîchie du sol.
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Abrutis par les drogues qu’on leur injecte constamment pour les garder dociles et obéissantes, les bras couvert de bleus dû aux piqûres, aux traces de doigts et aux coups ; totalement épuisées, lessivées par les interminables heures de baise qu’elles subissent en permanence, les jeunes femmes du bordel ne sont plus que l’ombre d’elle-même. Telle des poupées de chaire, des pantins dont on aurait coupé les fils, elles se laissent manipuler par des mains bestiales qui jouent avec elles comme si elles n’étaient que des objets qu’on peut casser. Elle se font pénétrer par tous les orifices sans qu’elle trouve encore la force de résister ou de hurler leur refus. Elle se contentent de gémir et de crier quand les innombrables queues de leur tortionnaires les pénètrent sans ménagement, profitant du sperme du précédant client pour ne pas perdre de temps en préliminaires et lubrification.
Celles qui ont le malheur d’être suffisamment consciente de ce qu’elles subissent trouvent encore un peu d’eau que leur corps n’a pas utilisé en sueur et en ciprine pour pleurer pendant que leur « propriétaires temporaire », leur « locataire » les sodomisent ou tentent maladroitement une triple pénétration, ou tout autre acte dépravé dicté par leur perversité. D’autres dont le cerveau a totalement été détruit par les drogues et le traumatisme ou que la folie a transformé en nymphomanes hystériques en viennent même à empoigner les bites dressées des clients qui les leurs présentent pour les guider vers leur bouche, leur cul ou leur pauvre vagin béant et déformé.
Rachele – Tu vois ma chérie, c'est dans ce genre d'endroit que les vilaines filles orgueilleuses bossent pour moi. Pour leur apprendre l'humilité et leur place dans le monde.L'esclave Zéro et Rachele entrainent alors leur prisonnière dans la pièce poisseuse, traversant la mêlée de corps pour se diriger vers un coin de la pièce où ont été disposés des lits sur lesquels sont attachées des jeunes femmes qui semblent encore consciente des horreurs qu'elles subissent. Deux d'entre elles, les orifices encore dégoulinants du foutre de leur derniers client regardent, terrifiées, deux vieillards répugnant se déshabiller pour les violer.
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Rachele – Regarde ma chérie, comme tu as été une vilaine fille, j'ai réservé un lit rien que pour toi... enfin toi et tes clients... Et il va en falloir, à cinq dollars la passe tu vas avoir du boulot pour rembourser tes dégâtsLa vengeance de l'italienne est odieuse: elle a décidé de nier totalement la valeur de Li Hua et sa haute naissance. Elle aurait pu vendre sa beauté et ses charmes pour une fortune aux plus riches de la ville, du pays, voir au delà, remboursant ainsi sa "dette" en quelques nuits. Mais non, elle va la prostituer aux pire raclure des bas fond pour que son supplice soit aussi long que répugnant et déshonorant. Comme la jeune femme rousse attachée sur le lit juste à coté d'elle et qui subit déjà les coups de rein de son client en gémissant d'horreur, Li Hua est attachée en étoile pour ne pouvoir serrer ni les bras, ni les cuisses, la laissant offerte et vulnérable à son premier client.
Rachele – Je te présente Marco, un immigré clandestin qui fait des ménages et des jardins, c'est un turque bien membré, je suis certaine que tu n'a jamais offerte tes charme à un homme comme lui... je me suis dit que ce serait bien pour commencer...Dit la baronne en masturbant sans vergogne la queue courte mais exceptionnellement large d'un gros lard à la calvitie prononcée. Celui-ci se content de rire en bavant, trop excité pour parler. Rachele lui lâche la queue et le porc prend cela pour un "top départ". Il se laisse tomber de tout son poids sur le lit, faisant grincer le matelas crasseux et commence à gripper sur le corps de Li en rampant sur elle comme une énorme limasse. La Yakuza sent la sueur et le poids écrasant du butor de 110 kilos la recouvrir. Ses doigts poisseux glisser le long de ses cuisses pour les empoigner et les écarter.
Son gland monstrueux et maladroit chercher la porte de ses lèvres intimes en donnant des coups de reins brutaux jusqu'à ce qu'il finisse par la trouver... la belle asiatique sent alors l'épaisse bite, encore gluante de la mouille d'une autre femme, lui écarter démesurément les lèvres intimes et ses délicates parois vaginales, comme un bélier défonçant une toute petite porte pour s'enfoncer en elle. Et tout en restant affalé sur elle, il commence à bouger les fesses de haut en bas pour la baiser aussi salement que n'importe quelle autre pute du bordel...
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