On m'avait parlé du lycée, un endroit où beaucoup d'humain, c'est ainsi qu'ils appellent leurs espèces, sont agglutinés pour que les ainés puissent leurs apprendre les notions essentielles à la survit dans leurs environnements. Ce lycée me semblait être un lieu des plus propice pour engranger de manière rapide et sans difficulté, tout ce qui est bon à savoir pour comprendre l'espèce humaine, mais aussi, apprendre à mieux m'y dissimuler. Il est toujours plus profitable d'être dans une masse que de s'écarter du troupeau.
Je ne pris pas mon apparence normale, j'avais choisit de m'infiltrer dans cette zone inconnue sous l'apparence hérité d'un livre d'invocation d'une deux pattes qui m'avait accueilli sans me faire du mal. Dans le livre il était marqué qu'il s'agissait d'un kitsune, seulement je ne savais pas s'il y avait une autre définition à mon apparence actuelle.
J'avais donc pris une apparence assez humaine, ayant une chevelure, des oreilles de renard et une queue de renard d'un gris argenté rassurant, pour moi en tout cas. Ne pouvant me déplacer dans mon simple appareil, on m'avait bien expliqué que les humains devaient porter des tissus pour cacher leurs corps.
J'eus donc tôt fait d'emprunter des vêtements dans le premier magasin trouvé, je ne sais pas encore le deux pattes criait "au voleur" sans doute une salutation. Quoi qu'il en soit mon corps était recouvert d'un tissus aussi noir que le ciel noir, aussi rouge que le liquide dans mon corps, avec un jaune d'une jolie plante à pétale. On me dit d'avoir des chaussures, pour éviter de me faire mal aux pieds et de les abîmer. Ce que j'avais volé contenant un haut ainsi qu'un bas où était cousu les chaussures, de drôle de vêtement. Ce qui m'avait attiré c'est une grosse boule sur l'abdomen qui faisait un léger tintement apaisant.
C'est sous
cette apparence que je fis mes premiers pas dans le lycée. Les humains se mirent à me regarder, certains me dévisageaient avec haine, d'autre avec des yeux ayant un sentiment que je ne connaissais pas. Tout ses regards me gênèrent, c'était nouveau pour moi d'être en présence d'autant d'humain et sous une apparence qui était récente. JE me mis à filer rapidement dans le grand bâtiment.
Mon ventre se mit à gargouiller, signe que j'avais faim. Aussi une odeur alléchante se mit à parcourir mes narines, une odeur de nourriture. Je suivis l'odeur et tomba sur une grande salle ou beaucoup de petit objet à quatre patte entourant des objet plus grands étaient disposé. Mais ils n'avaient pas l'odeur de nourriture, je suivis la piste et trouve une grande boite, je l'ouvre et la referme aussitôt. La boite est froide, très froide, cependant la nourriture est dedans.
Avec vivacité j'ouvre la grande boite, saisit quelque chose et referme d'un coups sec la grande boite. Je me mis à observer ce que j'avais prit, donnant un coups de langue pour connaitre la saveur, reniflant pour savoir si c'était dangereux. Une fois ceci fait, je me mis à manger. Sur un grand écriteaux était marqué "ce midi : poulet frite", cela devait donc être du poulet frite ... drôle de nom.
- Hé toi là !!! Viens ici !!!
J'eus une telle surprise qu'un cris de peur jaillit de ma gorge, avalant de travers la nourriture, me faisant tousser. Les kitsunes ne sont visiblement pas excellent quand il faut manger. L'humain, qui était plus grand que moi me saisis par la nuque, retirant de mes mains la nourriture, j'eus beau essayer de récupérer mon bien, il était plus fort.
- Je vais t'emmener voir la directrice et puis c'est quoi cet accoutrement, on ne fait pas de cosplay ici.
Directrice semblait sonner comme chef, était-ce le Prohars de cet endroit ? Il me fallait le saluer et m'excuser, sans doute avais-je pris la pitance de ce chef, d'où l'énervement de cet humain. Je n'offris aucune résistance et fut conduit vers un endroit que je n'avais pas exploré. Il me fit passer une porte, s'adressant à une humaine, une femelle de cette espèce.
- J'ai choppé ce vandale piquer de la nourriture dans le réfectoire. Je vous le laisse le temps que la directrice s'en occupe et appel les flics, une nuit en taule ça devrais le calmer.
Il ferma la porte avec tellement de violence que mes oreilles se plaquèrent contre ma tête, ils en faisaient du bruit ses humains. Je me mis à regarder l'humaine, elle semblait clairement être une Prohars, son regard et sa posture montrait qu'elle était en position de force. J'attendais qu'elle me parle, je ne pouvais pas la parler dans sa tête, cela serait louche. Pour ce qui était de communiquer j'avais des rudiments, observer les humains m'avaient apprit quelque mots.
