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Les alentours de la ville / On s'ouvre plus aux étrangers - PV (Luxury)

« le: dimanche 19 mai 2024, 13:55:04 »

La petite ville de Corry en Pennsylvanie ne compte même pas 7000 habitants. Un mélancolique couché de soleil se reflète dans le regard d'un homme qui vient de quitter une bâtisse constituée de pierres rouges à l'instant. Une porte en bois claque derrière lui en se refermant alors que son regard reste fixe vers l'horizon. Le temps se veut légèrement frais mais agréable. Ses cheveux se soulèvent légèrement à l'arrière de son crâne sous l'effet d'une brise qui traverse la rue principale qui serait qualifiée de déserte dans une grande métropole.
Les gens du coin ne trainent pas dehors passé 19h. Ils sont généralement chez eux, en famille. A profiter d'un repos bien mérité après une longue journée de travail. L'anomalie qu'il représente a se promener dans la rue à une heure pareille, glisse ses mains légèrement humides dans les poches d'un manteau bien chaud porté par-dessus un costume bleu marine. Errant d'un pas lent, l'homme finit par s'arrêter devant un panneau suspendu à un mur qui indique "Traveler's pub" (le pub du voyageur). Cette drôle de coïncidence le fait sourire timidement et l'incite même à pousser la porte pour investir les lieux.

Une forte odeur de bois et d'alcool lui emplit les narines au premier pas effectué à l'intérieur. Ce parfum nostalgique pourrait presque lui faire baisser sa garde le temps d'une seconde. Sa tête se redresse le temps de vérifier où se trouve le bar avant de décider quoi faire.
L'endroit est bien entretenu et sans fioriture au niveau de la décoration. Bien que légèrement vide. Seule une poignée de personnes, qui doivent probablement être des habitués, est là. Aucune d'entre elle ne semble cependant intéressée par son entrée. Aucun regard n'est dirigé vers cet homme qui décide de s'approcher du bar.

Une fois assis à l'un des tabourets du comptoir, un homme dont l'apparence ressemble plus à celle d'un employé de bureau que d'un barman s'approche de lui « On voit rarement de nouvelles têtes par ici. Qu'est-ce que je vous sers ? ». « Whisky, sec. » lui répond l'inconnu en posant un billet sur le comptoir.
La somme inscrite sur le billet a de quoi surprendre le propriétaire « Je pense que vous vous êtes trompé... ». « Laissez la bouteille. » l'interrompt-il sans pour autant hausser la voix.

La surprise passée, le propriétaire hausse les épaules et fait ce que son client lui demande après lui avoir versé son premier verre.

« Longue journée ? »
« On peut dire ça. »

Il peut arriver que de riches investisseurs viennent à Corry pour visiter des terrains ou juste faire escales durant un voyage plus long. Mais jamais ils ne viendraient passer de leur temps dans un pub avec de parfaits inconnus. Ce qui rend la présence de cet homme aussi déroutante qu'insolite.

« Qu'est-ce qui amène un homme comme vous dans notre ville ? » cherche à savoir le propriétaire des lieux pour engager la conversation. L'homme vient se saisir de son verre de la main droite pour siroter une gorgée de son breuvage bien corsé avant de répondre « Je me posais justement la question en entrant ici. Peut-être que cette soirée m'en donnera la réponse. »

Le propriétaire n'a pas le temps de le relancer qu'un client à une table l'appelle pour commander quelque chose. Celui-ci s'éloigne alors en s'excusant. Laissant son interlocuteur seul à fixer le contenu de son verre qui reflète la lumière.
C'est vrai, qu'est-ce qui l'avait amené à venir ici ? Aux USA. Ou plus précisément dans un patelin paumé au milieu de nulle part. Ce n'était clairement pas pour le changement de décor ou d'air. Lui qui vit aujourd'hui principalement au Japon n'est venu qu'une dizaine de fois aux États-Unis avant aujourd'hui.

De quel bâtiment venait-il de sortir avant d'arriver ici d'ailleurs ? Il n'y avait aucune inscription ou plaque sur ce dernier. A peine un numéro de rue effacé par le temps. Y était-il seul ? En tout cas lui se posait une question bien différente sur l'instant : Est-ce que ce voyage était une bonne idée ?
D'un côté cela lui a permis de régler un problème en plus de développer une opportunité commerciale rare. Mais loin d'être indispensable à sa réussite. Son objectif était davantage personnel que professionnel et c'est cela qui semblait le perturber plus que le reste.

Perdu dans ses pensées, seul, il termine son verre d'une traite pour se resservir tout aussi rapidement.

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La zone industrielle / Tester la marchandise - PV (Sareeth)

« le: mardi 14 mai 2024, 20:20:15 »

Le croassement d'un petit groupe de corbeaux vient briser le silence pesant qui règne sur la zone industriel en pleine nuit alors qu'une dizaine de personnes vient s'introduire dans un entrepôt désaffecté. L'endroit empeste le tabac bon marché et l'urine. Les restes d'une usine de cigarettes qui a été squatté par des clochards durant de longues années avant le "grand nettoyage" qui était censé relancer l'activité locale. Un lieu parfait pour ce qui est sur le point de s'y dérouler ce soir.

Au milieu de ce rassemblement se trouve un homme qui se démarque clairement des autres qui l'entourent en conservant une certaine distance. Autant pour leur sécurité que la sienne. L'homme en question est imposant. De part sa carrure et sa prestance. Le costume qu'il porte n'a rien à voir avec ceux bons marchés de ses hommes de main. Ce n'est pas le seul personnage du groupe à se démarquer car parmi eux se trouve aussi un homme à l'allure plus atypique et vêtu comme monsieur tout le monde. Au point de faire tâche dans le tableau.
Un livre à la main, il se tient aux côtés du leader du groupe alors que tous s'avancent jusqu'à se positionner dans une zone vide au milieu du bâtiment désert.

« J-Je crois que cet endroit devait faire l'affaire. » s'exclame difficilement l'homme au livre qui n'est visiblement pas à son aise. Difficile de dire si cela est dû à la présence de cette bande d'hommes à l'apparence peu amicale ou à l'endroit parfait pour un scénario de film d'horreur.

Le leader du groupe ne pipe pas un mot et lui fait signe de la main de procéder. Ce a quoi l'homme obéit en ouvrant son livre dans un premier temps. Ses doigts parcourent les pages en utilisant le faible éclairage dispensé par une lampe de poche jusqu'à trouver ce qu'il cherche. Il prend quelque secondes pour vérifier le maximum d'informations avant de ranger la lampe dans sa poche pour en sortir une craie.

« Vous êtes sûr que c'est pas un canular, boss ? » s'exprime un des sbires légèrement préoccupé. Celui qui est qualifié de boss par ce dernier fixe son regard sur l'homme qui s'est mis à tracer des motifs à même le sol en répondant « Je n'espère pas... pour lui. »
La menace qui plane sur les épaules de ce pauvre bougre n'est même pas un tant soit peu voilée.

Les minutes passent et seul le son de la craie contre le bitume abimé se réverbère grâce aux parois métalliques rouillées encore disposées à certains endroits. L'ambiance, elle, se veut lourde. Limite anxiogène. C'est alors que l'homme se relève en mettant quelques coups dans son pantalon au niveau des genoux pour tenter d'en retirer la saleté. « Tout est prêt ? » lui demande l'homme à l'imposante carrure avec un ton grave.
Ce à quoi son interlocuteur répond d'un simple acquiescement.
Randal lui ordonne alors « Continue ! »

D'un geste brusque l'homme laisse tomber sa craie à même le sol pour commencer à réciter des mots dans une langue inconnue. Le scepticisme qui occupait l'esprit des sbires de Randal se dissipe rapidement lorsqu'un halo de lumière fait son apparition sur le tracé au sol. Certains se mettent même à paniquer en effectuant un pas en arrière ou en levant légèrement les bras comme pour anticiper une possible attaque.

Ce qui ressemble à une incantation se termine dans un énorme cri qui résonne presque comme un écho dans ces lieux abandonnés. Puis... le silence complet. Une dizaines de secondes passent quand un sbire décide de briser le silence « Tu t'es payé nos têtes, du- ».
Il n'a pas le temps de finir sa phrase que quelques éclairs font leur apparition. On dirait presque qu'ils dansent autour d'un nuage de fumée qui se transforme petit à petit pour prendre une forme légèrement humanoïde. Est-ce que le rituel aurait fonctionné ? Les premiers indices semblent indiquer que oui. Mais qui va apparaître ?

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Le coin du chalant / Tu l'as vu ma grosse poigne ?

« le: lundi 13 mai 2024, 14:53:35 »

On va faire simple pour ne pas embrouiller les membres de ce forum inutilement. Randal il fait dans la violence, la brutalité, la sauvagerie, la barbarie, la bestialité, la  férocité. Avec peut-être une pointe d'atrocités et de sadisme en fonction de la situation.

Autrement c'est quelqu'un d'abordable, serviable, charmant, charismatique, courtois, avenant, sociable.


Tout dépendra de vos intentions à son égard. Sachez qu'il appréciera plus particulièrement les personnes avec de la personnalité/du caractère. L'arrogance peut attiser davantage sa curiosité que son hostilité.


Possibilités de situations pour RP

• Un arrangement commercial à négocier : pognon, marchandise (objets, terranides/créatures).
  Terre/Terra - Social/bagarre/baise
  
  
• Revanche sur une personne/organisation.

Terre - Social/bagarre/baise

• Voyage dans un autre monde univers pour capturer/récupérer une créature exotique.

Terra - Social/bagarre/baise



L'idée ici n'est pas vraiment de faire de la baise gratuite. Il faut que celle-ci serve à quelque chose dans le scénario pour donner un ratio de 70% d'histoire et 30% de nique par exemple.

Si un truc vous tente ce sujet mes MP sont ouverts pour en causer de manière plus détaillée.[/list]

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Prélude / Passez votre chemin, ça vaudra mieux [Vanéalidé !]

« le: dimanche 12 mai 2024, 09:35:42 »

Identité : Randal Dragunov - Surnommé également le démon dans le milieu.
Âge : 42 ans.
Sexe : Masculin
Race : Créature (humain à la naissance)
Sexualité : Hétéro.


Physique :

Dire qu'il en impose du haut de ses deux mètres serait un terrible euphémisme. Le temps s'arrête généralement lorsque Randal Dragunov pénètre dans un lieu. Tout le monde se retourne dans sa direction pour différentes raisons, mais il ne fait aucun doute que cet homme ne laisse personne indifférent. Serait-ce dû à son charme naturel ou à une prestance qui s'est développée au fil des années ? Difficile à dire et lui même serait incapable de donner une réponse précise à cette question.
Certains osent le penser sans jamais le dire à haute voix, mais il fait clairement plus vieux que son âge. Là encore, de nombreuses rumeurs et autres théories circulent à son propos depuis quelques années.

Son rôle exige de lui d'avoir une image irréprochable en public comme dans le privé. Et cela se répercute sur sa tenue vestimentaire qui est principalement composée de costumes de couturiers qui coutent facilement plusieurs années de salaire pour un employé de bureau lambda. Lors des évènements importants on peut le voir porter un costume rouge flamboyant qui sert autant à attirer l’œil qu'à rappeler une chose évidente : le rouge est un signal d'arrêt/de mise en garde.

Ancien combattant dans des arènes clandestines et autres fight clubs il y a des années de cela, ses chemises cachent une musculature parfaitement sculptée qui détonent avec les traits fins et raffinés de son visage. Sa chevelure blonde lui tombe légèrement jusqu'au bas du cou et sous son nez se présente souvent une petite moustache parfaitement entretenue. S'il ne s'en débarrasse pas c'est uniquement parce que sa défunte femme en était fan.



Caractère :

S'il était autrefois connu pour sa joie de vivre et son altruisme, il ne reste plus rien de cet homme aujourd'hui. La vie a fait de lui un monstre à tout point de vue. L'ancien combattant qui était sur le point de se faire un nom en passant professionnel et qui faisait baver tous les promoteurs est devenu l'exact opposé de ce qu'il était.

Au sommet d'un petit empire criminel, Randal fait régner l'ordre dans ses rangs par une poigne de fer inflexible. Et pour y parvenir tous les moyens sont bons. Le dernier membre de sa propre organisation à avoir voulu détourner les fonds d'une de ses activités légale a été retrouvé par les autorités sur un terrain vague. Certains policiers en parlent encore car l'état dans lequel était le cadavre l'avait rendu identifiable uniquement grâce à ses effets personnels laissés à quelques pas de la. Beaucoup de chefs d'organisations délèguent ce genre de chose pour limiter les risques d'être pris. Dragunov, lui, met un point d'honneur à régler ce genre de problème de ses propres mains et seul un idiot fini irait lui causer des problèmes.

A ses yeux tous les moyens sont bons pour parvenir à ses fins. Trafic de stupéfiants, rackets, jeux d'argents, prostitution. Tant qu'il y a de l'argent à gagner ou des relations profitables à nouer, il est présent.

Et son état mental ne s'est pas amélioré avec les années et les expériences inhumaines qu'il a fait vivre à son corps dans sa quête de pouvoir. C'est d'ailleurs de là que lui vient son surnom de démon car lorsqu'il est pris de rage ce dernier devient incontrôlable, comme s'il n'avait plus la moindre conscience.

Cependant s'il y a une chose à laquelle sur laquelle il est intransigeant c'est qu'il est interdit de s'en prendre à des enfants. Inutile de préciser ce qui est arrivé à celui qui est venu lui proposer de lancer un réseau de prostituions avec des mineurs.



Histoire :

La vie était souriante et pleine de promesses pour la famille Brukov -de son de l'époque-. Accompagné de sa femme Linda et de leur fille Alex, le jeune combattant au futur prometteur faisait de plus en plus parler de lui sur internet et dans les cercles de combat bulgares. Doté d'un charisme évident qui allait de paire avec un style de combat novateur et dévastateur pour ses adversaires, ce n'était qu'une question de temps avant qu'il ne passe professionnel.

C'est à l'âge de 22 ans que son premier combat de grande envergure a été annoncé. Tout était prêt pour lancer sa carrière sur de bons rails et officialiser, en cas de victoire, son entrée sur le circuit professionnel. Ce qu'il ignorait c'était que son adversaire était sur la pente descendante et qu'une défaite signerait l'arrêt de sa carrière. Personne ne lui a rien dit et le combat se déroula comme tout le monde s'y attendait avec une victoire facile du prodige montant.
Fier de lui, Brukov appelle sa femme pour lui annoncer la bonne nouvelle avant de partir fêter son succès avec son agent et son entraineur. Le trio fait la tournée des bars jusqu'à pas d'heures.

La lune est encore bien visible dans le ciel alors qu'il rentre chez lui pompette. L'alcool heureux il arrive tant bien que mal à glisser la clé dans la serrure de sa porte d'entrée qui s'ouvre toute seule sans qu'il n'appuie sur la poignée. Ce détail lui glace le sang et le fait émergé brutalement.

- Bah alors ? Tu bouges plus ?

Une voix masculine qu'il ne reconnait pas semble provenir du milieu du salon qui est plongé dans l'obscurité. D'une main il tente d'allumer la lumière mais l'interrupteur ne semble pas fonctionner.
Il décide donc de s'approcher de l'étrange voix et manque de tomber en marchant sur un objet cassé au sol. En y regardant bien, un tas d'objets ont été renversés par terre. Comme s'il y avait eu une bagarre.

- Hein ? Aah... Tu rentres que maintenant ?

Au même moment où l'inconnu prononce ces mots une lumière provenant de l'extérieur illumine suffisamment la pièce pour afficher une vision d'horreur. Sur le sol glacé git le corps sans vie de son épouse... qui se fait pénétrer par un homme au visage couvert de bandages. Un hurlement bestial vient alors envahir la pièce.
Paniqué, se demandant s'il est en train de faire un cauchemar, son regard parcourt la pièce à toute vitesse pour tomber sur la dépouille de sa fille un peu plus loin.

Pris de rage, sa main droite vient saisir l'inconnu à la gorge pour le soulever à la seule force de ses bras pour lui écraser le crane contre le mur. Une fois, dix fois... Les traînées de sang et la matière cérébrale de l'inconnu viennent maculer les murs en l'espace de quelques secondes. Pourtant cela ne suffit pas à calmer la rage qui bouillonne dans les veines d'Igor qui s'acharne sur le cadavre sans vie qui se trouve à ses pieds.

Ce n'est qu'au bout d'une heure qu'il finit par reprendre ses esprits pour aller chercher deux draps afin de recouvrir les dépouilles de sa femme et de sa fille et appeler la police pour leur expliquer ce qu'il vient de se passer. Activement recherché à travers tout le pays pour le meurtre de celui a éliminé sa famille, plus personne n'a entendu parler de lui durant des années.

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Aujourd'hui 20 ans ont passés et l'ancien combattant se fait appeler Randal Dragunov étant donné qu'il reste un criminel recherché à l'étranger. Tout le monde l'a forcément oublié et personne n'ira venir l'interpeller au Japon mais il a préféré éviter de prendre le moindre risque lors de sa cavale.

Craint et respecter à la fois, il est à la tête d'un petit empire criminel qui touche à tout ce qui peut rapporter de l'argent de près ou de loin. Ses méthodes sont réputées pour être sans pitié et il n'hésite pas à se débarrasser de ses ennemis lui-même. Dragunov est également suspect dans la mort d'une brigade entière de policier mais aucune preuve n'a pu être rassemblé pour constituer un dossier. Car ce que les gens ignorent c'est qu'en amassant sa fortune le mafieux s'est adonné à des pratiques qui donneraient des cauchemars à la majorité des gens.

Vivre dans l'ombre peut ouvrir bien des portes et mener à des découvertes parfois étranges. Ce n'est qu'au Japon que Dragunov a découvert l'existence des E.S.P.er, des terranides et autres créatures exotiques provenant d'autres mondes ou dimensions. A coups d'expériences inhumaines il est parvenu à développer un pouvoir inhumain qui a transformé directement son ADN.
Ce pouvoir il ne le maîtrise pas encore même s'il lui procure une force surhumaine lorsque sa chevelure vire au blanc et que son regard se met à briller d'un éclat rouge qui paralyse ceux qui le regardent dans les yeux.


Autre :

Suite à des expériences pratiquées sur des terranides et autres créatures venant d'autres mondes et dimensions, des scientifique sont parvenues à procurer un pouvoir encore incontrôlable à un homme dont l'esprit était déjà en train de sombrer dans le chaos.


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