Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - James Howlett

Pages: [1]
1
One Shot / Le rapt. [PV]
« le: vendredi 05 avril 2019, 13:01:47 »
Son visage couturé de cicatrices baigné par la lumière chatoyante du petit matin, Sven observe la route du haut de la petite butte fleurie sur laquelle il a établi son poste d’observation. Confortablement installé sur son canasson, il déguste un délicieux pain à la viande – une spécialité locale, semble-il, qu’il arrose de temps à autre d’une rasade de bière coupée d’eau de la gourde qui pend à son ceinturon. En contrebas, tapis dans les bois, ses hommes, un ramassis de bâtards et de tarés qui le suivraient jusqu’au bout du monde - attendent son ordre. Il y a bien des années que Sven Uthersson, ne fait plus dans le rapt ou l’assassinat, mais cette fois-ci, l’offre est bien trop belle pour être déclinée. « Hm. » Loin devant, au-dessous de l’horizon, à l’endroit où la route décrit une légère boucle, il aperçoit un premier cavalier, suivi par un petit peloton serré. L’allure de la troupe est un trot confortable, probablement pour ne pas trop abîmer l’auguste postérieur de Madame. Faisant pivoter sa monture, vers le versant forestier, il lève la main en direction de son lieutenant, le truculent Gunnar, un colosse de sept pieds de haut, ferme trois doigts sur les quatre qu’il lui reste à la main droite. Le nombre approximatif de minutes qu’il leur reste à patienter. Il patiente, plisse les yeux. Lève de nouveau le bras, ouvre et referme trois fois de suite ses doigts sur sa paume gantée. 12 hommes, pas grand-chose. La mauvaise troupe est presque deux fois plus nombreuses. Et infiniment plus dangereuse. Il n’a que peu d’informations sur la cible, simplement qu’elle a les cheveux blancs comme le lait et qu’elle est probablement la fille de quelque hobereau de province. Puis le lieu et l’heure les plus propices à son enlèvement. De ses deux mains, il rajuste le col de son manteau de fourrure, puis invite sa monture à redescendre au pas le versant boisé. Lorsqu’il les rejoint, ses brigands sont déjà en place, en tapinois des deux côtés du chemin.

Ils patientent. Puis le bruit caractéristique des sabots foulant le gravier se fait entendre, et les hommes sourient dans leurs barbes sales, remontent leurs foulards sur le bas de leur visage. Alors que l’escorte les dépasse, une charrette tirée par deux canassons s’extirpe paresseusement d’une trouée, quinze mètres plus loin, bloquant la route de toute sa longueur. Le cocher, un marchand peu scrupuleux crache au sol, puis baille aux corneilles. « ECARTEZ-VOUS CITOYEN », » s’égosille le Hérault en première ligne. Sven, accoudé à un orme, hausse un sourcil. L’escorte est sacrément bien équipée, la demoiselle doit être de bonne lignée. Il note toutefois qu’aucun blason n’est arboré. « Y’a mon essieu qu’est cassé, m’sieu », grogne le paysan, en sautant lourdement de son perchoir.  Forcé de ralentir sa course, puis de s’arrêter le cavalier tire ses rênes, imité par le reste de l’escorte. Au milieu des soldats, il distingue une forme plus menue, montée sur un cheval racé. La fille. Un geste lapidaire lui suffit pour que ses hommes jaillissent des fourrés, armés de haches et de coutelas. Lui-même, son adjoint et deux autres gaillards dirigent leurs montures sur la route afin de couper toute retraite. Le visage dissimulé par un capuchon de bure, il observe les militaires se faire jeter à bas de leur monture par les siens. Les armes dont il a muni ses hommes sont volontairement émoussées, mais l’escorte de la gamine n’en a pas la moindre idée. Se débattant comme de beaux diables avec leurs glaives en acier trempé, il se font assommer, désarmer par un arsenal d’entraînement. Pathétique, songe le mercenaire en soupirant. La sécurité du royaume est en péril, avec des militaires de cet acabit. Seul le Hérault semble opposer davantage de résistance, puisqu’il fait reculer deux des siens du bout de sa hallebarde. Mais Gunnar s’approche au pas, s’empare du manche de l’arme de ses grosses mains gantées de cuir et le jette à terre sans sourciller, avant de l’assommer du revers de sa hache. Il ne reste bientôt plus sur son cheval que leur proie, dont le cheval affolé caracole en vain. C’est le moment que Sven choisit pour s’avancer, forçant son cheval à enjamber les blessés qui jonchent le sol sablonneux.

« Soyez plus ferme sur votre bride, où il vous jettera au sol en un instant », grogne-il, en attrapant les rênes de l’animal de sa main droite pour le calmer. Il jette un rapide coup d’œil à la fille. Jolie, plutôt élégante, vraisemblablement déboussolée. « N’essayez pas de crier ou de vous enfuir, je vous assure que c’est parfaitement vain. Mon ami va vous aider à descendre de cheval, puis vous monterez dans cette carriole, là-bas. » Le ton est froid, catégorique. Il lâche la bride, adresse un signe de tête alors que ses hommes dépouillent les blessés. « Vous… Je vous assure que vous commettez une grave erreur, étranger ». Le Hérault, encore lui. Sven se tourne vers l’homme, au sol, la lèvre fendue. Le mercenaire essaye de ne pas montrer son agacement ; il ne parvient toujours pas à lisser son rude accent du nord. « Hm ? ». Et son interlocuteur de hocher la tête en silence, regardant la captive avec un air désolé. Dans cet intervalle, Gunnar est descendu de cheval et tend désormais une main secourable à la jeune femme.


2
La canne à pêche du vieil homme avait frémi plus d’une fois, mais il ne semblait pas s’en être rendu compte. Les yeux mi-clos, tournés vers le lac endormi, ses mains robustes nouées sur ses genoux, il méditait. Il y avait bien cinq heures qu’il n’avait presque pas bougé, se délectant du silence environnant. Le printemps s’installait doucement sur Seikusu, mais les soirées et les nuits étaient encore bien fraîches. Pourtant le pêcheur, simplement vêtu d’un jean, d’une canadienne retroussées sur les avants bras et d’une paire de bottines patinées par l’âge, ne semblait pas avoir froid. Lorsque le vrombissement d’un vieux pick-up vint troubler la tranquillité de son âme, l’homme soupira et remonta tranquillement sa ligne avant de fourrer son siège pliable sous son bras et de quitter la petite jetée en bois sur laquelle il s’était installé. Une trentaine de pas à peine le séparaient d’une robuste petite maisonnette en bois, qui avait probablement vécu presque autant d’hivers que lui et à côté de laquelle le véhicule s’était garé. Un quarantenaire ventripotent, l’air sympathique, claqua la portière pour se diriger vers le vieil homme, qui balança sans cérémonie son barda sur le sol pour aller saluer son visiteur.

« Akimoto, tu tombes bien, je commençais à manquer de bières », grogna-il, en guise de bienvenue.

L’intéressé éclata d’un rire gras, en secouant vigoureusement la main puissante de son interlocuteur. Lorsque cet étrange individu lui avait proposé d’acheter une partie de son terrain à six fois son prix, il avait cru à une arnaque, mais le barbu avait payé comptant, à la seule condition que lui, Akimoto, le ravitaille une fois par semaine. En effet, la cabane que l’étranger avait achetée était éloignée de la civilisation d’une cinquantaine de kilomètres. Et si le canadien possédait une superbe Ducati de 1992, il ne semblait pas disposé à s’en servir. Le véhicule, garé de l’autre côté du bâtiment, était bâché depuis son arrivée.

« Je vous ai également rapporté pas mal de fruits, je sais que vous n’aimez pas ça, mais vous allez détériorer vot’ santé à manger que des cochonneries surgelées, l’ami ! »

Logan haussa les épaules. Le pire régime alimentaire du monde n’était pas susceptible de lui faire prendre un gramme. Contournant le pick-up d’un pas chaloupé, le mutant saisit les quatre sacs de victuailles qui s’y trouvaient et les posa sur le sol, avant de se tourner vers son interlocuteur, l’observant quelques instants dans le plus complet des silences.

« ‘Voulez rentrer boire un coup à l’intérieur ? » La politesse n’était pas l’une des qualités premières de Logan. Solitaire et sauvage, il préférait souvent la compagnie de la nature à celle de ses semblables… Même si Charles Xavier, son mentor, l’avait aidé à faire pas mal de progrès dans ce domaine.

« Non merci, Monsieur Howlett, ma femme m’attends et… Vous savez comment elle est ! »


Logan fit la moue en hochant la tête. Il ne savait pas comment était la femme d’Akimoto et il s’en moquait pas mal. Le bougre lui était sympathique, mais il escomptait bien passer une énième soirée en solitaire et le refus de son invitation le soulageait. Quelques secondes plus tard, l’homme avait rebroussé chemin à travers la forêt et Logan rentrait ses sacs de provisions à l’intérieur de sa cabane. S’asseyant sur le rocking-chair qui trônait au beau milieu du salon, il se décapsula une bière qu’il ingéra goulûment. L’alcool – et fortiori la bière – n’avait que très peu d’emprise sur le métabolisme du mutant et celui-ci devait boire des quantités invraisemblables de Whisky pour être ivre, l’espace d’une quinzaine de minutes.  Toutefois, il en appréciait le goût, de même que celui des cigares. Le mutant sourit alors qu’il en allumait justement un entre ses dents acérées ; l’alcool et le tabac, deux fléaux qui ravageaient l’espèce humaine étaient pour lui des plaisirs récréatifs sans la moindre conséquence.

Il y avait bien deux mois que Logan s’était retiré de la civilisation. Ses rapports tumultueux avec Iron Girl, et la courte incarcération qui avait suivi l’avait incité à se mettre au vert quelques temps ; pour une raison qu’il ignorait, son tempérament sauvage et ombrageux avait pris le dessus à tel point qu’il était devenu incontrôlable et qu’il avait manqué de tuer un officier supérieur du S.H.I.E.L.D. Il ne devait sa relaxe qu’à sa participation forcée à une opération d’envergure lancée par l’organisation secrète, qui s’était soldée par un sacré bordel. Pour l’heure, l’agent Lloyd lui avait demandé de ne pas faire de vagues, ordre auquel le mutant avait été ravi d’obtempérer.

« Allons bon », grommela-il, en attisant les flammes de sa cheminée. « Là où je me trouve, il est peu probable que les ennuis viennent à moi ». Il en était parfaitement convaincu.

3
One Shot / L'obscène et l'ingénue [Pauline]
« le: samedi 24 septembre 2016, 00:08:20 »
Anton Catalino observa son reflet dans le miroir de la salle de bain, et ne se reconnut pas. Echevelé, les yeux cernés et l’œil hagard, l’avocat n’était plus que l’ombre de lui-même depuis qu’il avait contracté cette diabolique obsession. Il actionna le robinet d’eau froide et s’en aspergea le visage, avant de s’essuyer et de sortir précipitamment de la pièce. Il faisait encore sombre dans le pavillon, mais en bon insomniaque, Anton savait se repérer à l’aveugle dans son propre domicile. Empoignant l’appareil photo reflex qu’il avait laissé sur le buffet avant d’aller se rafraîchir, il emprunta les escaliers pour rejoindre l’étage, la moquette posée sur les marches de bois étouffant le bruit de ses pas. La culpabilité lui vrillait les entrailles, mais le désir impérieux qu’il ressentait ne pouvait être réfréné. Ma pauvre Pauline, songea-il, alors qu’à la simple évocation de son prénom, il sentait un frisson lui courir le long de la colonne vertébrale. Sa femme ne serait probablement pas levée avant une heure ou deux. Quant à Pauline, elle émergeait rarement avant neuf heures du matin. Il s’arrêta un court instant sur le palier, le temps d’allumer son appareil photo et d’en régler la vitesse d'obturation, puis à pas de loup, se glissa dans le couloir jusque devant la porte entrouverte de sa fille.

« Bon… »

Si lorsqu’elle était enfant, Pauline dormait en pyjama, à présent elle se glissait entièrement nue sur les draps… Probablement l’un des restes des traitements dégradants qu’elle avait subi de longues années durant. Il y avait plusieurs semaines qu’elle avait regagné le foyer à présent, et si une routine commençait à s’installer, leurs rapports étaient encore complexes. Comment s’occuper d’une jeune fille qui avait été continuellement violée et martyrisée ? La mère de Pauline avait choisi d’ignorer le problème et de faire comme si rien ne s’était passé, alors qu’Anton au contraire, s’efforçait de comprendre la jeune femme qu’elle était devenue. Cependant, très vite, les courbes de la jeune femme et son air ingénu avaient réveillé de bas instincts chez lui. Sa femme et lui ne faisaient plus l’amour depuis des années, si bien qu’il avait pris l’habitude d’une masturbation coupable et compulsive. Mais depuis le retour, le support de ces séances d’onanisme n’était plus les sites pornographiques qu’il avait l’habitude de consulter, mais des projections de sa fille nue sous sa douche, ou pire, en train de se caresser.

« Allez. »

Anton repoussa délicatement la porte de la chambre de sa fille. Couchée en chien de fusil, la jolie brunette dormait à poing fermé sous les draps qui découvraient l’une de ses épaules d’albâtre. Ses vêtements avait été soigneusement repliés sur sa chaise, à côté de la fenêtre, jusqu’à la petite culotte. Hésitant un court instant, le père indigne saisit le sous-vêtement entre ses doigts tremblants, avant d’y plonger le nez et d’inspirer profondément. La culotte embaumait la sueur et la pisse. L’odeur entêtante lui monta à la tête, alors que le sang affluait massivement vers sa grosse verge. Fourrant la culotte dans la poche de son jean, il s’approcha de la belle endormie, et écarta doucement une mèche brune de son visage, pour découvrir sa joue. Puis lentement, comme un automate, il fit glisser le drap sur les hanches étroite de la jeune fille, dévoilant sa poitrine menue. Entre ses deux jambes fuselées, l'avocat pouvait apercevoir l'arrondi du mont de venus de l'ingénue. Oh mon Dieu... Le souffle court, Il recula de trois pas, puis leva l’appareil photo à hauteur de son visage pour prendre un premier cliché… Puis plusieurs autres.

4
Place publique / Un voyage inattendu [Shad]
« le: samedi 15 août 2015, 22:15:19 »
Logan se releva tant bien que mal, son bras serré contre ses côtes ; Sabretooth , son ennemi de toujours l'avait salement amoché en le prenant par surprise, alors que le vieux mutant battait la campagne avec sa grosse cylindrée. Victor s'était jeté sur lui depuis le bord d'une route caillouteuse et l'avait précipité au sol, alors que sa moto était partie s'écraser contre un chêne centenaire. Wolverine, durement touché par la chute avait néanmoins fait face à son adversaire et l'avait immédiatement chargé, toutes griffes dehors. Victor étaient tout deux de redoutables combattants et une centaine d'année d'affrontements n'était pas parvenue à les départager. Mais cette fois, Wolverine craignait que son adversaire ne prenne le dessus ; trop préoccupé par Laura, ses réflexes étaient émoussés et il n'avait pas vu venir une attaque pourtant évidente.

" 'manquait plus que toi, fils de pute. ", cracha-il à l'intention de la silhouette massive qui se découpait au clair de lune.

Victor l'avait acculé sur une corniche. Jetant un coup d’œil par dessus son épaule. Pus de trente mètres plus bas, les vagues se brisaient sur des récifs acérés. Pourtant Logan n'hésita guère ; il savait que Sabretooth était un assez mauvais nageur, et il avait trop à faire pour perdre son temps avec lui ; leur inlassable combat à mort devait être remis à plus tard, X-23 , dont il n'avait pas encore retrouvé la piste, était sa priorité. Alors que Victor bondissait sur lui, toutes canines dehors, Wolverine plongea, tête la première, dans l'océan pacifique, visant un endroit où l'eau lui semblait suffisamment profonde. Protégeant son visage de ses bras tendus, Logan fendit la surface et s'enfonça dans les eaux bouillonnantes ; courants froids et chaud s'embrassaient, rendant la nage dangereuse pour tout être humain normalement constitué. Or Wolverine nageait bien, mais il n'était pas un triton ; aussi ne parvint-il pas à lutter contre un courant plus fort qu'un autre, qui l'attira vers la falaise. S'efforçant de s'éloigner des rochers tranchants, Wolverine avisa ce qui lui sembla être une petite grotte sous-marine, vers laquelle il se dirigea. L'entrée était aussi sombre qu'un four, mais Logan ne craignait rien ; il était capable de retenir sa respiration très longtemps. D'un battement de jambes presque gracieux, il se projeta à l'intérieur. Alors qu'il en franchissait l'entrée, un éclair vif lui brûla la rétine et l'instant d'après, Logan ne sut plus où il se trouvait. Alors qu'au dessus de lui devaient normalement se trouver des centaines de mètres de lourdes pierres, il apercevait la surface, à moins de dix mètres. Fronçant les sourcils, Logan rejoignit la surface pour respirer tout son soûl.

" Qu’est ce que c'est que ce bordel... "

Un lac. Il était dans un putain de lac. Ou plutôt un petit étang boueux d'un kilomètre de circonférence. Pestant contre la vase qui l'empêchait de progresser à sa guise, il finit par rejoindre la terre ferme, jetant un regard circulaire alentours. Il avait l'air de se trouver au beau milieu de nulle part. La végétation était presque sauvage et la seule construction humaine qu'il apercevait était un vieux moulin qui jouxtait une route, ou plutôt un chemin de terre. Il faisait frais et une averse menaçait à l'horizon. Une chose était sûr, il n'était plus à Seikusu, qu'il avait quitté sous un soleil éclatant. Il avait atterrit ailleurs, par quelque maléfice dont il ignorait la nature. Une chose était sûre, Victor n'en était pas l’instigateur. Logan haussa les épaules et s’engagea sur le sentier accidenté. S'agirait de se tirer de ce trou au plus vite. Ses vêtements étaient lourds et ralentissaient son pas chaloupé, mais il ne lui fallut que quelques minutes pour rejoindre le moulin qu'il avait repéré. A quelques mètres de là, une charrette avait été rangée contre le bord de la route, alors qu'un vieil alezan mâchonnait paresseusement un taillis, derrière sa clôture. Logan leva les yeux au ciel.

" Une charrette, une putain de charrette... ", grogna-il, avant de taper à la porte du meunier.

Quelques jours plus tard.

C'est à l'arrière d'une charrette, la barbe hirsute  mais avec ses vêtements propres et secs que Wolverine pénétra dans la cité-Etat de Nexus, les yeux écarquillés devant les merveilles architecturales qu'il contemplait. Il avait fallu à Logan trois bonnes heures pour comprendre qu'il n'était plus sur terre, mais bel et bien sur un autre monde, qui souffrait visiblement d'un retard technologique assez conséquent. Le meunier, le prenant pour un étranger à sa patrie – tekhan, avait-il dit-  s'était montré chaleureux, et l'avais accueilli chez lui quelques jours. Le vieil homme estimait que Logan avait reçu un « coup sur la tête » et que cela expliquait sa perte de mémoire, ce que Logan ne nia pas un seul instant.

« On descend ici Etranger, la chaussée est encombrée à cause du marché. Va falloir que tu continues ton chemin à pied », lui lança le nain, qui conduisait la charrette. En effet, dans ce monde, ceux que Logan considérait comme des mutants étaient monnaie courante. Ils se répartissaient en plusieurs races et semblaient vivre à peu à peu près en harmonie les uns avec les autres. Les nains en faisaient parti, de même que les terranides, qui ressemblaient à des humains croisés avec divers animaux, y compris les plus improbables.

« Merci Mothril », grogna Wolverine, en sautant du véhicule, avant d'adresser un dernier signe à son chauffeur bénévole. L'homme joua des coudes pour s'enfoncer dans la foule amassée. Lorsque Logan avait évoqué avec le meunier l'idée d'un autre monde, celui-ci avait fait une petite moue, puis lui avait conseillé de se rendre à Nexus pour rencontrer une certaine Anna, magicienne de renom, qui connaissait les mythes et légendes ancestrales. Tant qu'elle me trouver un moyen de me tirer d'ici... Écartant sans aménité les badauds qui lui barraient le passage, Logan parvint sur une place hexagonale, sur laquelle un étrange individu tenait une jeune femme en laisse, alors que plusieurs personnages vêtus de vêtements coûteux – Wolverine supposa qu'il s'agissait de notables locaux – semblait discuter de son prix. Un marché aux esclaves.

Logan serra les dents. Le vieux mutant avait été séquestré pendant des années, au cours desquelles les sévices les plus atroces lui avait été infligés, aussi la liberté était une chose à laquelle il tenait particulièrement ; l'idée même de l'esclavage lui faisait horreur et les larmes silencieuses qui coulaient sur le visage de la jeune captive achevèrent de le convaincre qu'il fallait faire quelque chose.

« Hey, pousse-toi un peu, je vois pas bien ses nibards, ducon ! C'est la dernière vente de la journée, et pas des moindres, Hin hin...»

Logan ignora l'importun, et s'approcha du petit attroupement d'un pas tranquille. Le reste se passa très vite ; saisissant simultanément le crâne de deux des acheteurs, il les cogna brutalement l'un contre l'autre avant de les laisser glisser sur le sol, tandis-ce que les autres clients s'éloignaient en criant. L'esclavagiste n'eût pas davantage de chance ; un coup de pied envoya sa chaise basculer trois mètres plus loin.

«  LA... LA GARDE, APPELEZ LA GARDE, ON ME VOLE ! »

Sans se préoccuper de l'esclavagiste, Logan trancha la longue chaîne qui reliait la jeune femme à une carriole surmontée d'une grosse cage, dans laquelle elle avait probablement fait le voyage jusqu'à la ville. La jeune femme, choquée, roulait des yeux effarée, ne sachant que faire.

" Viens avec moi ", lui glissa Logan. " Tout va bien se passer."

Pourvu qu'elle se mette pas à brailler. L'entraînant par la main à travers la foule, Logan entendit la garde arriver, avant même de la voir ; ils donnaient de la trompe pour disperser la foule à la différence de Logan ils étaient à cheval, connaissaient la ville, et n'avaient pas de jeune femme effrayée à traîner derrière eux.

" Ils... Ils vont nous attraper, il faut vous arrêter, étranger ", couina-elle. Il le voyait, la petite commençait à regretter d'avoir accepté de s'enfuir; la perspective de la servitude l'effrayait probablement moins que celle d'être battue, ou pendue... Cependant il était bien trop tard pour faire demi-tour.

" Tu parles finalement ? ", ralenti par l'allure de la captive qui courrait pied nu sur le pavé irrégulier, Logan la souleva sans lui demander son avis, et s'enfonça dans les ruelles malodorantes de Nexus. Il n'avait aucune idée de la manière dont il allait réussir à s'en tirer sans provoquer une catastrophe. "Moi et ma foutue conscience", grogna-il. Mais il ne regrettait rien. Jamais.

5
Le coin du chalant / Avalanche de testostérone !
« le: vendredi 13 juin 2014, 00:30:42 »
Salut la compagnie !

Ce thread me permettra de traiter en un seul endroit les demandes et suivis de rp pour mes différents personnages. Il n'y en a pour l'instant que deux, mais ce chiffre pourrait être amené à augmenter sous peu. Pas de trames, mais n'hésitez pas à me contacter par MP pour me proposer les vôtres. Et vous pouvez me relancer si je vous ai oublié.

De manière générale, je ne le cache pas, je suis un chouïa élitiste dans le choix de mes partenaires, parce que je n'ai pas forcément énormément de temps pour jouer, et que j'ai envie que ce soit l'éclate totale à chaque fois. Je me réserve donc la possibilité de refuser (par mp et avec diplomatie évidemment, on est pas des bêtes), si je n'accroche pas à votre style. Je m'adresse donc à des joueurs expérimentés !

Par ailleurs, s'agissant d'un forum hentai jusqu'à preuve du contraire, tous les RP que j'entreprendrai devront déboucher sur/commencer par/être agrémentés de scènes érotiques. Il n'est donc pas pertinent de me proposer un combat à mort ou de discuter poterie et tricot.


***


Personnages disponibles

I- Jack Taylor

Agent de la CIA envoyé à Seikusu pour enquêter sur les divers phénomènes paranormaux qui y ont été constatés. Sympathique, souriant et, disons-le, carrément beau gosse,  il se soucie de sa mission comme d'une guigne et ne se soucie de rien d'autre que de se livrer aux perversions les plus diverses et abjectes qui soit avec un maximum de partenaires possibles. Il dispose de compétences indubitables en combat à main nue et en tir de précision. Il est parfaitement pansexuel.

II- Wolverine

Logan est un mutant, parmi les plus dangereux de la planète, du fait de sa quasi-immortalité et de son caractère de merde. Après avoir bourlingué ces 150 dernières années dans pas mal d'organisations gouvernementales ou para-militaires, il sert dorénavant la cause du professeurs Charles Xavier, c'est à dire essayer d'orienter au mieux les jeunes mutants dans leurs choix pour pouvoir vivre en harmonie avec les humains ordinaires. Il est hétérosexuel.








6
Les alentours de la ville / Genosha [Iron Girl]
« le: mardi 10 juin 2014, 00:23:10 »
l'Hélicoptère volait à basse altitude, afin de n'être pas repéré trop aisément depuis les côtes volcaniques de Genosha. L'océan indien était calme, et l'absence de nuages permettait au pilote de manœuvrer à vue sans trop s'inquiéter de sombrer dans l’océan, qui reflétait la face blanchâtre d'une lune pleine. La double porte blindée du flanc de l'appareil était ouverte et Logan s'était assis au bord du vide, offrant son visage buriné au vent d'ouest et aux embruns marins. Le mutant portait la tenue bleue nuit caractéristique des agents du shield. Celle-ci avait beau avoir été confectionnée sur-mesure, elle lui compressait quand même les couilles.

« Tu vois quelque chose avec ce truc, Koshinen ? », lança-il à l'adresse de la jeune femme aux jambes interminables qui se trouvait debout dans son dos.

Aleksandra baissa ses lunettes thermiques, un pli soucieux barrant son front d'albâtre.

« Négatif monsieur. La plage me semble déserte, mais au delà de la bande littorale, la végétation et le relief m'empêche de discerner quoique ce soit. Une imagerie satellite aurait pu nous être utile, monsieur », acheva la finlandaise, avec un accent fortement prononcé.

« T'en parleras à Lloyd, il a pas dû frapper aux bonnes portes, cet empoté. »

Un murmure agacé s’éleva de l'intérieur de l'appareil. La demie douzaine de bidasses que lui avait refilé le S.H.I.E.L.D l'appréciait toujours aussi peu, ce qui était relativement compréhensible, vu le boxon que le mutant avait mis au quartier général de Seikusu. Quoiqu'il en soit, le SHIELD avait jugé la menace suffisamment sérieuse pour employer les grands moyens. Pas moins de quatre hélicoptères furtifs faisaient route vers Genosha. Logan se trouvait dans celui de tête, Lloyd et Rachel dans le suivant. Les transporteurs avaient pour consigne de déposer à terre l'ensemble des unités, puis de repartir se poser au large sur le destroyer qui les attendait. Logan n'en savait guère plus, si ce n'était que ledit navire était armé de plusieurs têtes nucléaires. Juste au cas où. Dans un premier temps, l'ordre de mission était pour l'instant d'identifier la nature des d'activités suspectes sur l'île – censée avoir été désertée depuis de nombreuses années par mutants et humains-, et de n'engager l'ennemi qu'en dernier ressort. En d'autre termes, une mission chiante. L'immortel n'avait pas vraiment eut le choix de participer ou non à l'opération, mais il était probable que même sans contrainte, Logan eût cherché à découvrir qui dupliquait les pouvoirs des anciens X-men. Fort heureusement, leurs détenteurs étaient instables, et représentaient une menace moindre que les originaux. Néanmoins, il fallait prier pour ne pas se retrouver face à face avec un copycat du professeur Xavier, ou de Jean Grey.

« Monsieur, nous allons nous poser sur la plage dans trois minutes, vous devriez prendre votre équipement. » Aleksandra avait posé sa main sur l'épaule du mutant afin de le sortir de ses rêveries, et tardait à la retirer. Chassant de son esprit toute pensée parasite, le mutant se redressa à l'aide de la barre de sécurité en acier.

« Je n'ai pas besoin d'équipement », grogna-il, regrettant de ne pas avoir emporté un bon cigare cubain avec lui.

En vérité, Logan était un tireur honorable ; il avait, du fait de sa condition mutante, une coordination œil-main exceptionnelle, et avait eu l'occasion de se servir de fusils ou de revolvers à de nombreuses reprises. Néanmoins, Logan n'avait guère le goût des armes à feu, et se satisfaisait davantage de ses propres griffes en adamantium ou, à la limite d'armes blanches. Aussi avait-il fermement refusé tout passage à l'armurerie.

« Tu repars avec l'hélico, fillette ? », lança-il suffisamment fort pour couvrir le bruits des rotors.

« Je suis le tireur d'élite affecté à votre unité, je vous couvrirai sur le terrain », répondit la finlandaise, les lèvres pincées.

Une gonzesse tireur d'élite, et puis quoi encore. Logan avait jusqu'à présent identifié la blondinette comme un officier de liaison. Si les milieux militaires et paramilitaires se féminisaient depuis une cinquantaine d'année – Rachel en était un parfait exemple- le mutant persistait à y voir une certaine forme d'anormalité.

« Le tireur d'élite. Naturellement. »

Le mutant n'eût pas le temps d'épicer la conversation d'un commentaire machiste ; la plage était en vue, et l'hélicoptère perdait de l'altitude, tandis que les hommes s'emparaient de leurs sacs à dos, bourrées de rations de survie et de munitions. Aleksandra elle-même s'éloigna pour aller dire quelques mots au pilote. L'appareil se stabilisa à une trentaine de mètres au dessus du sol, et Logan  lâcha dans le vide la solide cordelette qui devait permettre leur descente en rappel. S'asseyant comme d'accoutumée dans son baudrier, il fléchit les jambes et se regroupa sur lui-même afin de conserver l'équilibre nécessaire et laissa filer la corde dans sa dégaine. Sitôt à terre, il se débarrassa sur le sol de son matériel sans plus de cérémonie. A une trentaine de mètres, le second appareil déposait ses passagers. Sans guère se préoccuper de son équipe qui achevait de se réunir en arc de cercle dans son dos, le mutant s'y rendit d'un pas rapide, Aleksandra sur ses talons. Lloyd et Rachel avaient probablement des instructions à lui donner... Qu'il tâcherait d'observer le moins mal possible. 

7
Vous nous quittez déjà ? / Hibernation
« le: mercredi 08 janvier 2014, 14:53:49 »
Ce sujet pour prévenir mes partenaires de jeu que j'ai une grosse période de préparation de stage, avec ce que ça comporte comme lecture de bouquins imbuvables, d'aller et retour chez le tailleur, etc. Je serais donc moins assidu s'agissant de mes réponses, même si j'essaierais d'en poster çà et là.

Mes excuses !

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Les alentours de la ville / Consultation privée (Dylan)
« le: dimanche 10 novembre 2013, 22:12:31 »
Logan avait pris rendez-vous avec Dylan Ellison la veille, prétextant une dépression à la suite du décès d'un être cher ce qui d'ailleurs n'était pas complètement faux, puisqu'il avait toujours du mal à se remettre de la mort de Jean Grey (Ou Phénix) ; son cœur ne guérissait pas aussi vite que ses blessures. Il s'était présenté à Dylan sous son nom de naissance, James Howlett ,qui étrangement, était si peu notoire qu'il préservait mieux son identité que n'importe que masque. La jeune femme avait rapidement accepté de le recevoir, moyennant une somme d'ailleurs, tout à fait scandaleuse du point de vue de Logan. Naturellement, Logan ne craignait nullement pour sa santé mentale ; il voulait vérifier quel genre de personne était la jeune Ellison, quelle connaissance elle avait de ses pouvoirs, et à quels usages elle l'employait. Une semaine plus tôt, son contact au Japon, Hattori lui avait envoyé par e-mail une coupure de journal qui avait attiré son attention. Une jeune femme de vingt-huit ans avait été victime d'un terrible accident de la route ; renversée par un camion de fret, la voiture de Dylan avait fait quelques tonneaux, avant de s'écraser quelques dix mètres en contrebas. Lorsque les secours étaient arrivé, la jeune femme avait été extirpée du véhicule en flamme, inconsciente mais absolument indemnes. Les examens ultérieurs n'ayant révélé aucune lésion cérébrale, on avait qualifié l’événement de véritable miracle, avant de l'employer. Ce genre de phénomènes était plus courant qu'on le pensais et la plupart du temps, il disparaissait dans les méandres de l'histoire ; si Logan n'avait pas eu un informateur aussi zélé que Hattori, il n'aurait jamais eût connaissance de l'existence de Dylan. De toute évidence, elle devait se demander ce qu'elle était, si elle était dangereuse, et quelle était l'étendue de ses pouvoirs, comme de nombreux jeunes mutants avant elle. Et Logan était là pour le lui apprendre.

Dans l'objectif de paraître le plus normal possible, Logan avait passé l'une de ses rares chemises blanche pour l'occasion, et portait des chaussures de ville, des derbies marrons à la mode, et un jean bleu brut. Il avait même pris le temps de se coiffer avant de passer son inévitable veste en cuir et de quitter sa chambre d'hôtel : il ne fallait pas effrayer la jeune femme. Néanmoins il le savait, sa pilosité et la puissance de sa musculature ne pouvaient pas passer inaperçues. Ponctuel comme à son habitude, il avait facilement trouvé le cabinet ou Dylan exerçait, et une fois arrivé dans la salle d'attente, s'était plongé dans la lecture d'un quotidien quelconque. Polyglotte, Logan parlait aussi bien le japonais qu'il le lisait ; sa longévité exceptionnelles lui permettait de passer des décennies entières dans de nombreux pays, ce qui était largement suffisant pour en apprendre les langues. Au bout d'une bonne vingtaine de minutes d'attente, la porte du cabinet s'entrouvrit et un homme quitta précipitamment le cabinet avant de s'engouffrer dans les escalier. Logan patienta cinq bonnes minutes supplémentaires puis, voyant que Dylan ne venait pas le chercher, décida d'aller à elle. Posant le journal sur la table basse il traversa la salle d'attente, et s'approcha de la porte de la psychologue, toujours entrouverte

"Mademoiselle Ellison ?" Lança-il, avant même de l’apercevoir. "Je suis James Howlett, nous avions rendez-vous à dix-huit heures trente, j'espère que vous ne m'avez pas oublié", poursuivit-il, avec un sourire carnassier.

L'objectif des prochaines minutes était de jauger Dylan, de déterminer si elle était ou non, digne de confiance. Si tel était le cas, alors Logan lui révélerait sa propre identité, et lui apprendrait ce qu'elle devait dorénavant savoir pour ne pas se faire épingler par le SHIELD, ou disséquée dans quelque laboratoire occulte. Avoir des supers-pouvoirs impliquait nécessairement de grandes responsabilités, et il était temps de mettre Dylan Ellison devant les siennes.

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Les alentours de la ville / Wolverine versus the S.H.I.E.LD ? (Iron Girl)
« le: mercredi 06 novembre 2013, 19:41:10 »
James pressa le pas. Depuis qu'il avait reçu cet e-mail de Charles, il ne tenait pas en place ; partout où il allait il avait l'impression d'être observé. « Pour une raison que j'ignore, le S.H.I.E.L.D te surveille, pas de vagues, Logan ». Le X-man shoota rageusement dans une canette vide. Par « vagues », Charles faisait sûrement référence à sa fâcheuse tendance à tuer sauvagement ceux qui se mettaient en travers de sa route. Si le S.H.I.E.L.D le pistait et qu'un événement malheureux venait à se produire, il n'y avait aucun doute que cette bande de tarés n'hésiterait pas à lui tomber dessus pour le mettre hors d'état de nuire, voire le liquider. L'organisation n'aimait pas les éléments incontrôlables comme Logan. Et puis, il y avait eu cet affrontement avec les Avengers, à cause de Jean Grey ; peut-être que la pilule était mal passée du côté d'Iron man, et qu'il avait finalement décidé de faire jouer ses relations pour qu'on lui envoie une équipe de nettoyeurs. Mais pourquoi aussi tardivement ? Ca n'avait pas de sens. Désormais, il lui fallait prendre garde à agir le plus civilement possible et à se préparer à toute éventualité. Avant toute chose, il fallait quitter la ville, et disparaître quelque temps dans la montagne : la mission qui lui avait été confiée par Xavier attendrait bien quelques mois. Lorsqu'il arriva devant son hôtel, il leva les yeux vers sa chambre, au second. Le S.H.I.E.L.D savait probablement déjà qu'il créchait ici. Peut-être même qu'une demie-douzaine de types en costumes l'attendaient dans sa chambre, armés d'invraisemblables gadgets. En passant devant le comptoir de la réception, Logan dévisagea le majordome. Celui-ci le salua respectueusement, sans que sa physionomie ne trahisse un quelconque trouble. Peut-être sa chambre était-elle sûre, après tout ?

La sonnerie de l'ascenseur ramené Logan à la réalité. Sur ses gardes il fit tourner sa clé dans la serrure avec une infinie précaution. Son flair ne lui indiquait rien d'anormal, mais Logan savait que les nouvelles technologies pouvaient faire des merveilles ; dissimuler son odeur ne devait pas être un processus particulièrement difficiles. Néanmoins, un rapide coup d’œil circulaire dans la pièce lui confirma que son odorat ne l'avait pas trompé. Elle était vide, et sa valise, préparée quelques heures plus tôt n'avait pas été déplacée. De toute façon, elle ne contenait rien d'autre que des cartes routières, vêtements de rechanges et livre de voyage. Éviter de passer devant les fenêtres. Logan se saisit de son chapeau, attrapa sa valise et quitta rapidement la chambre. Peut-être qu'il n'avait pas encore été repéré, ou peut-être que le S.H.I.E.L.D le gardait simplement à l'oeil au cas où. « bip ». Logan jeta un rapide coup d'oeil à sa montre, alors que la porte de l'ascenseur s'entrouvrait. L'instant d'après, une douleur cuisante lui traversait la clavicule, puis une seconde, le poumon droit. Wolverine fit un pas en arrière ; trois hommes armés et en costume lui faisaient face, en joue. Il ne leur laissa pas le temps de réitérer. Malgré son physique trapu, le Wolverine était particulièrement rapide. D'un bond, il fondit sur son premier assaillant et lui plongea ses griffes dans le cœur, puis trancha la gorge du second avant qu'il ne lui vide son chargeur dessus. Quant au troisième, il l'envoya s'écraser contre le fond de l'ascenseur d'un coup de pied. Se saisissant immédiatement d'un glock tombé au sol, il tira, et l'homme s'effondra, le front percé d'une balle. Mais l'instant d'après, un nouveau projectile, bien plus épais lui transperçait le foie, et Wolverine tituba. Son facteur guérisseur pouvait remédier à des blessures parmi les plus graves, mais elle ne le rendait pas immortel. Néanmoins les dégâts subis n'étaient pas encore trop importants pour menacer sa survie, d'autant que ses premières blessures commençaient doucement à cicatriser. Il se rua donc, toutes griffes dehors sur le quatrième inconnu qui, à la différence des autres, était d'une stature tout à fait impressionnante. Grand, blond et pâle, il avait des yeux gris aciers qui ne reflétaient aucune émotion. Il esquiva le premier coup de griffe du Wolverine d'un habile mouvement de hanche, puis envoya la pointe de sa botte percuter le foie percé de Logan, avant de lui tirer dessus à bout portant dans l'abdomen, le faisant tomber à genoux. Néanmoins l'instant d'après, un cri inarticulé s'échappa de ses lèvres alors que le Wolverine lui déchirait la cuisse de ses griffes ensanglantés. Lorsque le russe, fou de douleur, s'abaissa à sa hauteur, sa gorge fut emporté par un nouveau coup de griffes.

Crachant des salves de sang, Logan se releva tant bien que mal, s'appuyant contre le mur du couloir pour avancer. L'affrontement n'avait duré que quelconque secondes, mais il avait été bruyant ; des bruits de pas précipités se faisaient entendre au dessus, et au dessous de lui. « La dernière chose dont j'ai besoin, c'est de me faire coffrer par les flics », grogna-il, en se dirigeant vers la sortie de secours. Logan avait reconnu le russe qu'il avait égorgé : son excellent mémoire visuelle le trompait rarement. Le type travaillait pour le S.H.I.E.L.D, il avait du le croiser deux ou trois fois dans les couloirs, des années plus tôt. Les doigts poisseux de son propre sang, il extirpa son téléphone portable de son jean-désormais inutilisable- et composa un numéro qu'il avait appris par cœur, depuis qu'il était arrivé au Japon.

« Allô, Hattori ? »

«James, c'est toi ? Tu m'as pas l'air très en forme, mon pote ! »

Logan ne put s'empêcher de sourire, le contact du professeur Xavier était un vrai bout-en-train, qui avait la furieuse manie de l'appeler James, alors que le monde entier le connaissait sous le surnom de Logan. Crachant le reste du sang qui lui restait dans la bouche, il ouvrit la porte de l'escalier de secours et se faufila au dehors. Au loin, il entendait déjà des sirènes de police.

« Ecoute moi attentivement, je n'ai pas beaucoup de temps devant moi. Le S.H.I.E.L.D m'est tombé dessus et il me semble bien qu'il se soient mis en tête de me liquider. J'ai besoin d'un moyen de pression, trouve moi quelque chose dans le quart d'heure. »

Avant même d'attendre la réponse de son interlocuteur, Logan raccrocha, et enfila une petite ruelle en titubant. Il n'avait pas fait cents pas que son téléphone vibra. Le SMS contenait une adresse, et un nom qui ne lui sembla pas tout à fait inconnu : « Rachel Hawkes ». Une fille. Avec probablement ce qu'il faut d'influence pour servir de monnaie d'échange. « Bouge pas ma grande, j'arrive ».

Quelque temps plus tard

Logan attendait depuis trois longues heures, à présent. Tapis dans l'ombre, derrière la porte de l'escalier de secours il guettait l'arrivée de Rachel, toutes griffes dehors. Ses organes internes étaient loin d'être encore cicatrisés, mais tout du moins, il ne saignait plus, et parvenait à respirer à peu près normalement. Soudain, son ouïe hypertrophiée lui signala un bruit de pas dans les escaliers de l'immeuble. C'était suffisamment léger pour être celui d'une femme, suffisamment rapide pour qu'il s'agisse de quelqu'un de jeune et en bonne santé. C'était Rachel Hawkes. Lorsqu'elle arriva devant sa porte pour chercher ses clés, le couloir était dans le noir complet : Logan avait pris soin de dévisser l'unique ampoule qui y figurait et il était plus de 23h. Il ne la voyait pas, mais contrairement à Rachel, privé de la vue il n'était pas sans défense. Le souffle et l'odeur de la jeune femme lui suffisait pour la localiser avec exactitude. Il se glissa dans le couloir, et attendit que Rachel n'entrouvre la porte de son appartement pour se rapprocher avec une infinie précaution. Lorsqu'il fut juste dans son dos, il plaqua sa grosse main calleuse contre la bouche de la jeune femme pour étouffer ses cris et l'attrapa par l'épaule avant de la pousser à l'intérieur sans ménagement, refermant la porte derrière eux d'un coup de botte. « Vous criez, vous êtes morte, vous vous défendez, vous êtes morte, entendu Mlle Hawkes ? A partir de maintenant vous allez faire exactement ce que je vous demande de faire. Je vais vous lâcher, et nous allons avoir une petite conversation, vous et moi. Inutile de vous préciser à quel point je suis dangereux, j'imagine ».

Sur ces derniers mots, il relâcha son étreinte de fer afin de laisser Rachel libre de ses mouvements. Comme il s'en doutait, elle ne représentait pas une grande menace pour lui. Qui plus est, c'était un sacré joli petit lot, cette Rachel Hawkes. « J'espère ne pas avoir à faire usage de la force avec vous, ça me fendrait le cœur d'abîmer un aussi joli minois », lança-il, sarcastique. Il sentait la transpiration, le sang et le tabac froid, et avait l'apparence d'une bête fauve blessée ; n'importe quelle jeune femme normalement constituée se serait évanouie en le voyant. Mais pas Rachel Hawkes, évidemment.

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Prélude / James "Logan" Howlett (Valiprimé !)
« le: mardi 26 mars 2013, 02:51:35 »
(Cette fiche est une adaptation assez libre, dans laquelle je me suis permis d'assez larges libertés sur certains points. Que les puristes m'excusent !)

Nom : Howlett

Prénom : James

Surnom : Logan (fait office de prénom usuel)/ Wolverine/Serval (noms de code).

Sexe : masculin
 
Race : humain (mutant) 

Age : environ 180 ans, mais son apparence physique est celle d'un homme dans la force de l'âge, entre 30 et 35 ans. 

Orientation sexuelle : hétérosexuel

Situation de départ : expérimenté

Description physique :

De taille modeste (1m75), Logan est proportionnellement doté d’une musculature particulièrement impressionnante qui effraie parfois davantage qu’elle n’attire. Le nez épais, le front haut et large, les pommettes saillantes, les cheveux en bataille et la barbe fournie, sa physionomie est peu amène, d’autant que le X-man sourit assez rarement. Il reste néanmoins que certaines femmes lui trouvent un charme sauvage et aiment à se perdre dans ses yeux d’un bleu glacé alors qu’il les prends avec une vigueur animale. De l’animal, Logan a aussi l’odeur forte et musquée. En dépit de son hygiène plus ou moins irréprochable, Wolverine sent le fauve. Et son haleine parfumée au tabac et au whisky n’arrange guère les choses. En outre, il dégage une quantité de phéromones invraisemblables qui lui valent d’arriver assez facilement à ses fins avec la gent féminine, en dépit de sa franchise et de sa vulgarité.

L’élégance naturelle de Logan lui permet de porter à peu près n’importe quoi sans avoir l’air d’un idiot, du smoking hors de prix à la combinaison en latex. Se souciant assez peu de son apparence, il se contentera généralement d’enfiler un jean, un débardeur, des bottines, et de jeter un blouson de cuir sur ses épaules. Lorsque les températures sont moins clémentes comme au canada, et bien qu’il soit bien moins sensible au froid que le commun des mortel, Logan se couvre davantage avec des manteaux et des bottes en peau. Notons que le seul signe de coquetterie - un brin désuet - que l’on puisse lui prêter est son goût pour les couvre-chefs. Il possède en effet une impressionnante collection de chapeaux de différents endroits du monde et de différentes époques, bien que sa préférence aille à son vieux chapeau de cow-boy élimé.

Caractère :

Impulsif, agressif et stupidement téméraire, Wolverine est avant tout une machine de guerre bien huilée, prêt à accomplir les plus basses besognes ou à se sacrifier pour le plus bonheur de l’espèce humaine, qui le lui rend d’ailleurs assez mal. Logan paraît insensible à la crainte ou au doute, lorsqu’il est en charge d’intérêts qui le dépasse. Plus prompt à privilégier l’action que la réflexion, son côté tête brûlée lui a valu de se mettre à de nombreuses reprises dans des situations délicates qui auraient largement pu être évitées, et de se mettre à dos les mauvaises personnes. Son insoumission et son caractère en faisant un élément plus ou moins incontrôlable, Logan travaille assez peu en équipe…Ou alors à ses conditions. En dépit de sa nature de mutant, Wolverine semble prendre plaisir à mener une vie quotidienne tout à fait ordinaire, et à côtoyer simples humains et humaines. Comme la plupart des brutes épaisses, le canadien est au fond un brave type qui cache son cœur d’or derrière des manières brutales et un langage grossier. L’affection et la confiance de Logan sont difficile à obtenir, mais elles sont indéfectibles.

Archétype du mâle dominant, Wolverine est un indubitable machiste, noceur et ripailleur qui passe une grande partie de son temps libre dans les bordels ou les troquets, pour tromper sa solitude et sa peur du vide. Les phénomènes sociaux modernes comme la mode, l’émancipation de la femme ou l’écologie lui sont aussi incompréhensibles que les secrets de la naissance de l’univers. Il se conduira donc avec le beau sexe comme un parfait goujat et ira directement à l’essentiel, parfois de façon particulièrement vulgaire. Mais, contrairement à ce qu’on pourrait croire, Logan est un individu assez subtil; sa longévité lui ayant permis de faire de longues pauses dans sa « carrière » de super-héros, ce dernier semble avoir passé de longues années à s’instruire. Polyglotte et amateur d’opéra, certains moqueurs disent même de lui qu’il connaîtrait Byron par cœur.

Histoire :

Précision préalable : Ces quelques notes sont issues du journal intime de Logan, choisies en fonction de leur importance pour le protagoniste. Ce choix arbitraire ne prétend pas à l’exhaustivité.

8 janvier 1875, Alberta : Je suis retourné au château de Basbury, pour la première fois en cinquante ans;  Il n'en reste que des ruines. Sur le pas de la porte d'une maison en bois à proximité, un vieillard m'a interpellé. Il m'avait reconnu immédiatement, même si le visage que je lui présentait était une insulte au temps qui passe. C'était mon vieux copain Kerrick, le fils de mon ancienne gouvernante, avec qui j'allais relever les collets dans la forêt, et chasser à la carabine près du lac. Il faisait bien ses soixante-douze ans, le pauvre. Je n'ai pas su lui expliquer pourquoi j'avais l'air si jeune, ni pourquoi je revenais après tout ce temps. Nous avons partagé une bouteille de scotch, il m'a donné son vieux chapeau de Cow-boy et je suis parti. Un jour, j'écrirai mes mémoires. Mais j'ai déjà vécu trop longtemps pour que les souvenirs ne se mélangent pas dans mon esprit. C’est pourquoi j’entame dès à présent ce qui sera probablement le plus long journal de l’histoire. Les gens ne se souviendront peut-être pas de moi, qui suis voué à œuvrer en secret pour l’intérêt général, mais j’aimerais me souvenirs des gens comme ce brave Kerrick.

14 mai 1898, Salt Lake City : suffisamment de temps est passé depuis la guerre de sécession pour que je me réengage dans l’armée américaine sans éveiller les soupçons. McKinley pense que Cuba doit être indépendante. En ce qui me concerne, je m’en contrefiche, mais j’ai bien envie de voir un peu de pays. J’ai rencontré une femme ici. Elle s’appelle Ellen, et je vis avec elle depuis six mois. Je crois qu’elle m’aime, mais mis à part sa beauté, c’est une femme assez insignifiante. Je vais la quitter bientôt.

2 juin 1918, Château-Thierry, France : promu capitaine. Vais commander demain un assaut capital. Blessé trois fois, blessures cicatrisées, encore. Poids de la responsabilité : mes hommes vont mourir, moi pas.

17 février 1927, Londres : J’ai découvert Byron, et j’y passe désormais tout mon temps libre. C’est encore plus beau que Shakespeare. Hier, j’ai perdu 2000 livres au casino : j’ai du céder ma bécane. Le boulot est ennuyeux, le président irritable et Mary adorable. Je n’ose pas la demander en mariage. Cela fait trois ans déjà, et j’ai découvert une nouvelle ride au coin de ses lèvres. Elle est encore jeune et jolie, mais cela ne durera pas. Pourrais-je l’endurer ? Rien n’est moins évident. Elle m’a proposer que nous ayons un enfant, mais j’ai éludé la question. Mes gènes peuvent-ils se transmettre à mes progénitures ?

3 mai 1934, au milieu du pacifique : Je ne sais pas comment, mais le gouvernement américain m’a retrouvé. On leur a parlé de moi. Je suis nécessaire au maintien de la paix. Je n’ai pas pu refuser, d’autant que le mutant qui est venu me chercher a menacé de révéler ma nature à ma femme, et l’horreur de mes crimes passés, alors que je travaillais pour à peu près n’importe qui, dès lors qu’ils me payaient. J’ai laissé une lettre à Mary dans laquelle je lui ai confessé tromperies et remords imaginaires. Je pars avec une modeste consolation : chaque année, une somme exorbitante lui sera adressée par chèque jusqu’à sa mort.

14 septembre 1940, Ahyong, Chine : Je crois n’avoir encore jamais vu telle barbarie à l’œuvre. Les japonais sont encore plus monstrueux que mes confrères mutants. Des villes entières sont mises à sac, des gamines violées, des vieillards égorgés. J’ai assassiné comme prévu l’empereur fantoche du Mandchoukouo alors qu’il prenait son bain. Exécuter ce malheureux m’a empli de honte, mais la paix mondiale réclamait sa tête. Depuis lors je me cache; les japonais ne doivent pas savoir que les Etats-unis sont déjà entré en guerre. Sans que je sache comment, les japonais ont déniché un sosie du trentenaire malingre dans le corps duquel j’ai plongé mes griffes, et ils l’ont replacé sur le trône. Mon acte n’a servi à rien.

14 août 1943, Taipei : LOTUS fait aux japonais la même chose que les japonais aux chinois, et les nazis à leurs prisonniers. Aujourd’hui, un homme a été transformé en torche humaine : sa température externe était phénoménale, mais il en a perdu l’esprit : L’expérience était à moitié réussie. J’ai exécuté le cobaye, avant qu’il ne représente une menace pour nous. Je ne sais plus ce que je fais ici.

18 octobre 1971, Kyoto : la vie avec Mariko est agréable, nous allons probablement nous marier bientôt. Je suis plus heureux que je ne l’ai jamais été.

2 décembre 1971, même endroit : J’ai été dans l’obligation de la tuer de mes propres mains. Je sens encore l’odeur de son sang sur mes griffes. J’entre en guerre. Lorsque j’aurais terminé, il n’e restera plus un seul en vie. Cette femme est morte à cause de moi : je ne dois plus jamais m’attacher à une humaine.

8 juin 1999, New-York : Cyclope est un petit con. J’apprécie énormément Charles Xavier, mais je refuse de me soumettre à l’autorité de cet imbécile qui a tout juste du poil au menton, sous prétexte que son sens tactique est supérieur au mien. Son intelligence supposée n’est que la béquille de son incompétence sur le terrain et de son incapacité à maîtriser son pouvoir. Ses aptitudes au combat au corps à corps sont pratiquement nulles, et même Diablo lui colle des raclées. Je ne comprends pas ce que Jean trouve à ce type. On a couché ensemble plusieurs fois, mais elle me dit se « refuser à l’abandonner ». Je ne comprend rien aux femmes. Tant pis, je me rabattrai sur Emma. Ou bien sur la petite nouvelle, Anna Marie, elle est plutôt mignonne. Hier, je suis allé boire un verre avec Diablo. C’est un bon gamin.

14 mars 2007, Transsibérien en direction de Vladivostok : j’ai quitté le SHIELD pour revenir travailler avec le professeur Xavier. Ces deux dernières années passées à Moscou avec Diablo m’ont permis de travailler avec quelques jeunes que Charles avait localisé.  Mon travail ici est terminé et je pense que Diablo me remplacera avec brio, même si je regrette d’avoir à me séparer de lui. Charles a détecté une forte concentration d’individus disposant de pouvoir paranormaux au Japon et y requiert ma présence, plutôt que celle de cyclope à raison de ma parfaite maîtrise de la langue. J’ai pris quelques contacts préalable sur place ; on m’a dégoté un job idiot comme couverture. Quand j’arriverais, la première chose que je ferais sera d’aller fleurir la tombe de Mariko. Ensuite je me rendrais à Seikusu.

Pouvoirs :

- Facteur guérisseur et régénérateur : Wolverine dispose d'une régénération cellulaire accrue, lui permettant de cicatriser à une vitesse extraordinaire. Il semble qu’il lui-même possible de recréer des parties entières de son corps, mais au prix d’une douleur incomparables et d’un processus pouvant aller jusqu’à plusieurs heures en fonction de la gravité de la blessure.
- Vieillissement ralenti : conséquence directe de son pouvoir régénérateur, Wolverine a une espérance de vie qu’il est impossible de déterminer à l’heure actuelle; le temps semble s’être interrompu pour son corps aux alentours de la guerre de Sécession.
- Squelette en adamantium (dont griffes rétractiles)
- Force physique, rapidité, souplesse, endurance et réflexes surdéveloppés.
- Hypertrophie des cinq sens.

Comment avez-vous connu le forum ? : Ceci est un double-compte.

Avez-vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels ? : a priori non, mais je vais voir ce que je peux faire !

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