Ville-Etat de Nexus / Re : Queue de cheval et mamelles de vache. - Clara Caster
« le: mardi 10 mai 2022, 13:46:28 »- Je vais le faire !
Saori remonte les manchons de sa veste prête à exécuter la tâche donnée, ça devrait être facile quand même. La prostituée attrape deux seaux pour aller plus vite pour accomplir sa mission, elle arrive devant le puits en sifflotant, elle accroche le premier seau au crochet pour le descendre au fond et tourne la manivelle dans le sens inverse pour le remonter. Déjà là c’est plus dur, elle fait de même pour le second pour les ramener les deux vers les abreuvoirs. Les poser sur le sol, les lever pour les verser et examiner le résultat.
- Que ça !
L’exclamation de Saori doit se faire entendre même en dehors de la grange quand elle remarque qu’elle n’a même pas réussi à remplir le fond de l’abreuvoir. Finalement, la tâche va être plus longue que ce qu’elle pensait, elle repart directement avec les deux seaux pour recommencer. Au bout d’une demi-heure la fatigue se fait déjà sentir, elle ne prend plus qu’un seau plus gros qu’elle porte à deux mains, le mettant entre ses jambes pour renverser le moins d’eau possible sur le chemin. Et ce n’est pas gagné, sa veste est trempée sur les manches, au niveau de sa poitrine, de la sueur dégouline sur son visage, dans le hangar il fait encore plus chaud que dehors à cause du toit.
Saori souffle comme un boeuf à chaque pas qu’elle fait, ses bras brûlent quand elle porte son seau où qu’elle tourne la manivelle du puits, elle arrive même à la moitié de l’abreuvoir quand elle voit Clara arriver dans le hangar pour lui demander si elle voulait prendre une pause. La prostituée marchant en canard bras tendu vers le bas, avec son seau entre les jambes, serre les dents ne pouvant pas répondre. Une fois encore, elle répète le même mouvement pour le vider, s’éclaboussant le visage comme à chaque fois. Et c’est seulement à cet instant qu’elle trouve la force de répondre à Clara…
- OUI PAUSE !
Un cri venant du fond du coeur pour Saori qui n’en pouvait déjà plus, la fermière faisait ça tous les jours ? Il n’y avait pas des pompes dans cette ferme pour faciliter la tâche ? Saori divague vers Clara, pour se laisser tomber sur son bloc de paille à plat ventre, les bras tendus contre son corps sont en feu.
- Trop dur. Clara faire ça tous les jours ?
Elle roule d’un côté pour se retrouver sur le dos, déboutonnant sa veste pour avoir un peu d’air et se rafraîchir, laissant une nouvelle fois sa poitrine à la vue de la fermière et cette fois très proche d’elle. Les frottements de la jaquette sur ses deux monts, on fait dresser ses tétons, laissant deux perles bien roses pointer vers le plafond. Elle trouve la force de lever son bras pour s'éventer avec sa main juste devant son visage.