Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Saori

Pages: [1] 2
1
Saori se redressa d’un coup quand Clara mentionna qu’elle pouvait se rendre utile dans les travaux de la ferme, elle n’attendait que ça en fin de compte. Elle suivit la fermière sur ses terres, saluant les employés qu’elle croisait, pour rentrer dans la grange où les vaches rentraient le soir pour se reposer. Clara lui proposa de remplir les abreuvoirs à l’aide d’un seau, elle devait aller chercher l’eau dans le puits et revenir avec. C’était facile à comprendre.

- Je vais le faire !

Saori remonte les manchons de sa veste prête à exécuter la tâche donnée, ça devrait être facile quand même. La prostituée attrape deux seaux pour aller plus vite pour accomplir sa mission, elle arrive devant le puits en sifflotant, elle accroche le premier seau au crochet pour le descendre au fond et tourne la manivelle dans le sens inverse pour le remonter. Déjà là c’est plus dur, elle fait de même pour le second pour les ramener les deux vers les abreuvoirs. Les poser sur le sol, les lever pour les verser et examiner le résultat.

- Que ça !

L’exclamation de Saori doit se faire entendre même en dehors de la grange quand elle remarque qu’elle n’a même pas réussi à remplir le fond de l’abreuvoir. Finalement, la tâche va être plus longue que ce qu’elle pensait, elle repart directement avec les deux seaux pour recommencer. Au bout d’une demi-heure la fatigue se fait déjà sentir, elle ne prend plus qu’un seau plus gros qu’elle porte à deux mains, le mettant entre ses jambes pour renverser le moins d’eau possible sur le chemin. Et ce n’est pas gagné, sa veste est trempée sur les manches, au niveau de sa poitrine, de la sueur dégouline sur son visage, dans le hangar il fait encore plus chaud que dehors à cause du toit.

Saori souffle comme un boeuf à chaque pas qu’elle fait, ses bras brûlent quand elle porte son seau où qu’elle tourne la manivelle du puits, elle arrive même à la moitié de l’abreuvoir quand elle voit Clara arriver dans le hangar pour lui demander si elle voulait prendre une pause. La prostituée marchant en canard bras tendu vers le bas, avec son seau entre les jambes, serre les dents ne pouvant pas répondre. Une fois encore, elle répète le même mouvement pour le vider, s’éclaboussant le visage comme à chaque fois. Et c’est seulement à cet instant qu’elle trouve la force de répondre à Clara…

- OUI PAUSE !

Un cri venant du fond du coeur pour Saori qui n’en pouvait déjà plus, la fermière faisait ça tous les jours ? Il n’y avait pas des pompes dans cette ferme pour faciliter la tâche ? Saori divague vers Clara, pour se laisser tomber sur son bloc de paille à plat ventre, les bras tendus contre son corps sont en feu.

- Trop dur. Clara faire ça tous les jours ?

Elle roule d’un côté pour se retrouver sur le dos, déboutonnant sa veste pour avoir un peu d’air et se rafraîchir, laissant une nouvelle fois sa poitrine à la vue de la fermière et cette fois très proche d’elle. Les frottements de la jaquette sur ses deux monts, on fait dresser ses tétons, laissant deux perles bien roses pointer vers le plafond. Elle trouve la force de lever son bras pour s'éventer avec sa main juste devant son visage.

2
One Shot / Re : Retrouvailles charnelles [PV]
« le: dimanche 08 mai 2022, 22:24:51 »
Le cours de Saori allait débuter pour ne plus faire d’erreur et devenir une idéale secrétaire, elle laissait son client venir derrière elle pour l’englober entre ses bras et saisir son stylo pour commencer à écrire des choses sur sa feuille. La prostituée avait énormément de mal à parler, lire le japonais était encore plus difficile quand ça dépassait le stade des bandes dessinées pour les enfants. Dieu merci, son directeur dessinait aussi des sexes, des seins pour rendre le tout plus compréhensif.

- Je comprendre, explications Directeur.

Il lui redonna le stylo pour qu’elle lui montre qu’elle avait bien interprété les explications en profitant pour cajoler sa poitrine à pleines mains. Pendant, qu’il prenait satisfaction à la tripoter au point de faire sortir ses seins de son haut, dévoilant ses deux gros tétons dressés, Saori dessinait à son tour des queues sur la feuille, s’appliquant à détailler les veines, les poils au niveau des bourses, puis une vulve avec un clitoris gonflé au-dessus.

- Saori bien apprise !

La prostituée était contente de ses dessins, continuant avec l’illustration de ses seins, une grosse paire au milieu de la feuille tout en commençant à pousser des soupirs grâce aux caresses de son directeur. Qui lui demanda de gémir, pour accroître la productivité de l’entreprise. En bonne secrétaire qui ne voulait pas trahir son patron et surtout ne pas faire sombrer l’entreprise, Saori allait tout donner pour être rentable. Commençant à geindre plus fort avec les caresses de son directeur chéri.

- Ehnnn… Ehnnn…

Les lèvres à peine ouvertes, elle soufflait, la main qui tenait le stylo descendit vers son ventre pour parvenir à son entre-jambe.

- Directeur va être fière de secrétaire.

Saori tira sur le tissu de son assortiment blanc pour faire sortir sa petite chatte rose, s’appuyant contre le dossier de la chaise pour que son client puisse bien voir ce qui allait se passer. Elle faufila le stylo entre ses lèvres pour l’appuyer contre son clitoris.

- EHN.

Un gloussement puissant sortit de ses lèvres, sous la pression vigoureuse qu’elle venait d'exercer et ça allait persévérer, la prostituée descendit le stylo pour trouver l’entrée de sa vulve afin de le faire rentrer à l’intérieur. Il était fin et pourtant qu’il était coriace de le faire rentrer à l’intérieur de sa mignonne chatte.

- Ehn. Ehn. Ehn.

Des gémissements à chaque fois que le stylo rentrait un peu plus en elle, Saori bascula sa tête en arrière pour apposer son visage contre le pantalon de son client, frottant sa tête sur son vif bien gonflé sous le tissu.

- Ehn Directeur. Ehn. Ehn.

La main libre de Saori se leva vers la feuille toujours sur le bureau, son doigt se mit à pointer au-dessus tournant en rond, avant s'abattre sur un des mots que son directeur avait écrits lors des explications.

- Secrétaire veut faire ça pour augmenter argent.

Son doigt s'était posé sur le mot uriner, même si elle avait lu Saori n’aurait pas su qu’elle était cette pratique, la découverte allait être surprenante.

3
Saori déclina l’eau dans son whisky pour ne pas déranger Clara qui venait de se mettre à la table pour manger aussi et car elle voulait montrer qu’elle pouvait le faire pour ne pas se ridiculiser. Buvant même une nouvelle gorgée dans son verre, essayant de moins grimacer cette fois, crispant son visage en fermant à moitié les yeux, souriant en même temps. Sa tête semblait sortir d’un cartoon pour les enfants à cet instant, avant de sentir le goût passer même si la brûlure ne voulait pas s’effacer de sa gorge.

- De Seikusu, pas loin de Tokyo !

Peut-être en donnant le nom de la capitale, Clara allait plus situer sa ville et qu’elle pourrait même la ramener si ce n’était pas trop loin ! Saori devrait vraiment commencer à chercher comment elle était arrivée ici, loin de chez elle… Sauf qu'elle ne trouvait pas le moment et le comment pour aborder la chose, dire qu’elle s'était retrouvée d’un point A à un point B sans savoir comment était bizarre… Peut-être même suspect ! Au fond, la prostituée avait peur de dire quelque chose de mal et de se faire botter les fesses, avant de se retrouver à la porte dans un endroit qu’elle ne connaissait pas. Ici, elle se sentait bien ! En sécurité avec la personne qui lui avait tendu la main.

Saori fit un oui de la tête, la bouche pleine de sa tartine, dévorant le tout avant de prendre un peu de viande séchée, ses yeux brillants de bonheur à la découverte de ce nouveau goût. Même avec les seins à l’air, elle arrivait à savourer ce repas.

- Bon ! Trop !

Elle lança un sourire finissant son assiette n’en laissant pas une miette, buvant des petites gorgées entre chaque bouchée pour faire passer la brûlure de l’alcool dans sa bouche. Quand elle finit, elle accompagna Clara à l’étage pour découvrir sa chambre.

- Wah, beau.

Pour la jeune prostituée qui avait vécu dans un bidonville toute sa jeunesse, pour se retrouver dans un bordel, ensuite découvrir la chambre d’une vraie maison était géniale, merveilleuse ! Et elle ne disait pas ça pour flatter Clara pour ses goûts à l’intonation de sa voix, on pouvait sentir la sincérité et surtout à son visage ébahi regardant la pièce sous toutes les coutures.

- Merci !

Saori se met assise sur le bord du lit, pour essayer la jaquette que venait de lui donner Clara, elle ferma les premiers boutons pour cacher sa poitrine, et même avec la grande taille de la veste, elle se sentait un peu à l’étroit dedans avec ses volumineux attributs. Elle se mit ensuite à remonter les manches qui cachaient ses mains, roulant le tout au-dessus de ses poignets.

- Devenir comme forte Clara, Saori fermière !

Levant les bras en l’air pour ajuster encore un peu la jaquette, Saori semblait bien s’amuser et oublier l’homme qui juste avant lui avait marqué le visage. Bon elle était encore loin de devenir une véritable fermière, même avec son seul vêtement, passer une journée entière aux travaux de la ferme devrait la coucher de fatigue pour plusieurs jours. S’agitant sur le lit, Saori écarta ses cuisses fermes, libérant une meilleure vue sur son string qui avait décidé de se faufiler d’un côté dans sa vulve libérant une de ses lèvres intimes toute rose, lisse, petite. D’un coup, elle se laissa tomber en arrière, profitant du matelas moelleux du lit, laissant une vue panoramique sur l’ouverture de ses cuisses et ses deux monts qu’elle ne pouvait pas cacher.

- Saori toute petite la nuit, pas faire de bruit, pour pas réveiller toi !

Si elle devait se lever tôt pour travailler, Saori n’allait pas la perturber, par contre elle pensait encore à comment la remercier. Est-ce que lui apporter son petit-déjeuner au lit demain lui ferait plaisir ? À un homme, la prostituée aurait proposé une gâterie en plus, mais pour Clara ça allait être difficile… Enfin, c'est ce qu’elle croyait sans savoir que la fermière avait un attribut caché sous son pantalon.

4
Saori gigotait contre le canapé pour se dégager, voulant ramper plus loin, attrapant une table basse pour purement renverser le contenu qu’il y avait dessus sentant le démon lui descendre entièrement son short de cycliste jusqu’à ses genoux dévoilant ses fesses dodues avec sa petite rondelle plissée et surtout ses lèvres intimes toutes roses, serrées semblables à une pucelle. L’homme avait beau dire qu’il n’était pas un diable, pourtant la prostituée ne connaissait pas d’humain capable de faire surgir des oreilles sur sa tête et d’avoir des temps aussi pointues.

- Nonnnn…

Un couinement de désapprobation, alors qu’elle mettait toute sa vigueur dans ses bras qui venaient s’appuyer contre le bas du canapé pour avancer sentant quelque chose aborder de ses lèvres intimes. Elle était assez expérimentée pour deviner que c’était bien le vif de son soi-disant rédempteur qui venait les écarter pour s’y coincer. Pour entamer une pénétration lente…

- NON EHN. EHN.

Saori le sentait s’introduire en elle, à sec il écartait sa chatte serrée rentrant centimètre par centimètre sans s’arrêter pendant que la prostituée couinait. Levant sa tête vers le mur, les yeux un peu plissés luisant de la douleur qu’elle ressentait, la bouche ouverte ses cris étaient saccadés. Elle avait arrêté d’agiter ses jambes, les laissant purement retomber sur le canapé juste écartées pour laisser traverser celui qu’elle prenait pour un démon passer. Au fond d’elle, Saori pouvait sentir son vif gonflé, s’allonger encore plus, les cannelures de son intimité moulaient ses veines pour lui fournir un fourreau parfait.

Et très vite, il commença à la besogner, se retirant intégralement d’elle pour y revenir, rouvrant sa mignonne chatte pour cogner son bassin contre son postérieur offert entre les oreillers du canapé.

- Ehnnn. Ehnnn.

Chaque fois qu'il touchait le fond de son antre, Saori était prise d'un hoquet de détresse tout en poussant des couinements puissants et secs. Sa poitrine balançant dans le vide, remontait brusquement proche de venir frapper le bas de son menton vu le volume de celle-ci. Il cherchait sans tarder sa main pour la rehausser, la prostituée essaya de le retarder en claquant sa main quelques fois avant de se faire saisir le poignet.

- HNNNNN.

Un cri de stupéfaction en même temps qu’il s’enfonçait au plus profond d’elle, déformant son ventre plat sous son passage. Son étroite chatte avait commencé à s’humidifier accompagnant sa voix percutante avec des bruits humides à chaque fois qu’il rentrait et qu’il se retirait pour la prendre avec bestialité. 

5
Nexus ? Saori leva un sourcil d’étonnement, elle n’avait jamais entendu ce nom même dans les villes à côté de la sienne, est-ce que c’était une abréviation d’un mot…

- Je venir de…

La prostituée s’arrête voyant la main de la fermière se tendre devant elle pour l’aider à se relever, doucement Saori fit de même pour venir saisir celle-ci pour se redresser, se tenant à présent sur ses jambes elle enlevait la paille qu’elle avait partout sur son corps. Surtout ses fesses dodues qui remuaient à chaque claquement de ses mains dessus.

- Beaucoup merci Madame.

Saori n’en revenait pas qu’une femme puisse mettre à la porte des hommes avec des coups de pied, en même temps avec son travail elle devait avoir des sacrés muscles pas comme elle qui avait tout dans les seins et rien dans les bras. Elle lui explique ensuite que la prostituée ne lui devait rien, qu’elle avait déjà des employés pour faire le travail. Saori ne voulait pas abuser de sa générosité et vivre aux frais de la princesse.

En attendant de trouver quelque chose à lui proposer elle se mit à la suivre jusqu’à son domicile pour reprendre des forces, elle laissa la jeune femme lui sortir un tas de nourriture qu’elle ne connaissait pas ainsi que des boissons dont une alcoolisé qu’elle décida de goûter.

- Whisky c’est ça ?

Saori met ses lèvres dedans pour faire une grimace avant de tousser tellement c’était fort, elle n’avait pas l’habitude, dans le bordel elle buvait couramment du champagne ou des boissons à bulles. Pas des choses aussi fortes.

- Pardon… C’est fort ! Pas habitude.

Elle tousse encore une fois, mettant sa main devant sa bouche pendant qu’elle l’écoute.

- Clara, moi Saori de Seikusu pas de Nexus, connaît pas cette ville ! Je travaille dans bordel de ville de Madame Hua.

Elle pose son verre beaucoup trop fort, l’alcool allait rapidement monter si elle buvait vite pour se tourner vers la tartine et se remplir l’estomac. C’était pas mal cette mélasse, pas comme la confiture de chez elle.

- Je euh aidez vous ou remercier, pour accueil, nourriture et gentille avec moi !

Saori affiche un grand sourire, vraiment déterminée à ne pas profiter de Clara pour son hospitalité. 

6
Saori ne devait pas désespérer et redoubler de confiance en elle, le poisson allait bien finir par mordre ce soir ! Elle allait trouver un client pour la soirée, il fallait juste se montrer patiente et surtout ne pas perdre son joli sourire pour toujours mettre en valeur son minois de poupée innocente. La jeune fille était de profil, remettant en place les prospectus qu’elle avait pris avec elle quand la prostituée entendit une voix grave à ses côtés, un léger sursaut lui fit lever la poitrine dans son ensemble blanc tout en se retournant pour voir un grand gaillard qui se tenait à ses côtés. La lumière de la rue dessinait son visage jeune et pourtant si dur au premier abord.

- Bonsoir, Monsieur !

Mais Saori ne devait pas se laisser impressionner, elle affichait un magnifique sourire, dévoilant ses dents blanches pendant que l’homme devant elle gonflait ses muscles sous sa lourde respiration tendant son t-shirt et sa veste en cuir. Il signala rapidement qu’il avait besoin de quelques massages tout en portant sa main à la ceinture de son pantalon, machinalement Saori descendit ses yeux pour voir une bosse apparaître le long de sa cuisse. Son vif caché semblait si long et épais, anormalement gros et surtout bien trop compressé à l’intérieur de ce jean. Il fallait y remédier avant de le voir tout exploser.

- Saori est libre pour vous massez, avec plaisir grand !

Le sens des mots dans une phrase, c’était encore approximatif pour la prostituée qui s’emmêlait parfois les pinceaux, tant que le tout restait compréhensible ça allait.

- Monsieur à l’air tendu, je sais faire pour relaxer et décompresser vous.

Saori s’approcha de son client de la soirée pour le prendre par le bras et le conduire à l’intérieur de l’établissement à l’abri des regards indiscrets de la rue. Elle déposa son plateau sur le comptoir de l’accueil où un homme servait de manager pour les filles et également de sécurité si les choses venaient à déraper. C’était plutôt avec les autres gangs car à l’intérieur de ces murs, les clients étaient extrêmement libres et pouvaient se livrer à toutes leurs envies même les plus folles et dominantes.

- Saori va prendre soin de vous, Monsieur ?

Pendant qu’elle conduisait l’homme à sa chambre personnelle, Saori en profitait pour faire connaissance en attendant son prénom ou un quelconque surnom pour la soirée. Certains clients voulaient garder l'anonymat ou simplement ils aimaient que la prostituée utilise des petits surnoms tantôt mignons à base de mon amour, mon chéri ou tantôt affirmateur avec maître, directeur, monsieur. À voir ce que son nouveau client allait choisir pour la soirée qu’il allait passer avec la douce Saori qui venait d’arriver devant sa chambre.

Elle ouvrit la porte pour laisser passer en premier son client avec une petite courbette, au centre de la pièce était disposé un grand lit avec des couvertures blanches, des oreillers à gogo en face et au-dessus étaient disposés des miroirs pour que les clients profitent de tous les angles. Vers l’entrée se trouvait une table basse avec des sièges, où était disposé un plateau d’accueil avec du champagne et des snacks, ainsi que des meubles sur le côté contenant des vêtements pour Saori pour l’habiller à son goût ainsi que des jouets pour profiter du temps avec elle. Du simple gode, au harnais d’esclave il était possible de laisser libre son imagination. Au fond de la pièce se trouvait une baignoire sur pied deux places pour se prélasser à l’intérieur avant, pendant, après n’importe quand finalement. S’il fallait plus d'intimité, il y avait quand même une porte donnant sur une salle de bain plus simpliste à l’extérieur de la chambre.

- Laissez-moi mettre à l’aise.

Saori passa ses mains sur les bras musclés de son client pour remonter jusqu’au col de sa veste pour la faire glisser, il n’allait pas en avoir besoin ce soir, autant ne pas la salir et la pendre sur le côté le temps qu’il découvre les lieux.

7
One Shot / Re : Retrouvailles charnelles [PV]
« le: mercredi 04 mai 2022, 17:04:41 »
- Je suis contente que vous acceptiez.

Saori applaudi sur les cuisses de son client se dandinant dessus, avant de lever les bras vers le plafond pour lui procurer un énorme câlin, collant le visage de son nouveau directeur une nouvelle fois contre ses seins.

- Secrétaire prend soin de son patron toute soirée !

La prostituée se laisse délicatement poser sur le matelas, reprenant son verre pour absorber des nouvelles gorgées pendant que son client en profite pour ouvrir la penderie et découvrir tous les vêtements qu’elle renferme. Il y a un large choix, pour tous les goûts des clients, des vêtements en cuir intégraux pour ceux qui aiment se faire commander ou des harnais avec des colliers pour ceux qui aiment dominer. Entre ça, il y avait la possibilité de faire de nombreux jeux de rôle, secrétaire, infirmière, professeure, fermière… Tout est n’importe quoi ! Et s’il par infortune il n’y avait pas le costume que le client voulait, il pouvait téléphoner à l’accueil pour faire une réclamation et l’avoir dans l’heure qui suit.

- Saori adore les surprises.

Elle se laisse mettre le bandeau autour de ses yeux pour qu'elle ne puisse pas voir ce que son client allait sélectionner comme vêtement dans la penderie. Saori continue à onduler sur le matelas, ses doigts sur ses genoux n’arrêtent pas de bouger montrant son impatience.

- Monsieur le Directeur à toujours bon goût, je suis hâte de découvrir ma garde-robe nouvelle et celle de patron chéri. 

Saori se laisse diriger par son client pendant qu’elle a les yeux dans le noir, se levant du matelas pour avancer de quelques pas. Elle tend les bras et écarte les jambes pour qu’il puisse plus aisément enlever ses vêtements se retrouvant nue un petit instant, se demandant ce que son directeur doit penser d’elle. De son corps de poupée pour adultes, une grosse poitrine qui tient bien en place, un ventre plat, des petites hanches avec des cuisses plus larges et des fesses dodues. Sans négliger ses lèvres intimes serrées l’une contre l’autre, sans pilosité, un peu plus rose que le reste de son corps avec un petit grain de beauté sur l’une d’elles. Son client finit de l’habiller, n’oubliant pas de lui mettre des chaussures à talons aux pieds.

- Je peux !

Saori lève les bras vers le bandeau, elle sent déjà qu’elle ne porte pas grand-chose sur elle.

- A la un. A la deux. Et à la… La… Quatre !

Elle fait voler son bandeau dans les airs, ouvrant les yeux lentement pour ne pas s’éblouir avec la lumière de la pièce, découvrant dans le miroir un ensemble blanc ajusté à son corps, très ouvert sur sa poitrine et cachant à peine sa mignonne petite chatte. Elle ferme ses mains devant elle, se mettant sur une jambe pendant que l’autre se lève derrière elle dans les airs.

- Saori très contente !!!

Elle se tourne vers son client pour le voir en costume, elle se jette à son cou pour lui déposer un baiser sur la joue.

- Monsieur le Directeur très beau !

Saori se décolle pour aller vers l'armoire pour chercher des derniers accessoires, elle fouille dans un tiroir pour sortir une fausse paire de lunettes avec une monture ronde qu’elle dépose sur son nez pour ajouter une touche à son uniforme de secrétaire coquine. Et un classeur avec des papiers quelconque à l’intérieur. Elle regarde son client, en mettant un doigt dans sa bouche tout en se mettant de profil pour montrer ses belles formes dans sa tenue, serrant le classeur contre sa poitrine.

- Monsieur le Directeur, je crois avoir fait faute dans les comptes de entreprise, il faut expliquer à moi comment faire.

Sans attendre, Saori fait claquer ses talons sur le sol, elle pose ses affaires sur un bureau qu’elle vient tirer pour le mettre au milieu de la pièce, tirant une chaise pour se mettre assise dessus en face de son client. Elle écarte les cuisses pour qu’il puisse voir en dessous du bureau son ensemble blanc s’écarter à quelques centimètres de laisser voir son bourgeon. Elle pose ses seins sur la table, prenant un crayon pour le glisser sensuellement dans sa bouche attendant que son client commence son explication. Prête à prendre des notes très chaudes.

8
Saori était si confuse dans cette paille entourée de toutes les vaches, dans sa tête elle se remémorait le chemin jusqu’au grenier et essayait de comprendre comment elle avait réussi à se trouver dans une ferme. Ses mains venaient se serrer sur ses cheveux, c’était incompréhensible, défiant toutes les logiques de l’univers et d’un coup la prostituée arrêta d’y penser quand elle vit une ombre humaine se poser sur un des murs. Elle n’était plus seule, est-ce que c’était son client qui avait réussi à la suivre jusqu’ici pour venir encore la battre pour son plaisir. Saori eut un haut-le-coeur, une montée de larmes juste à cette idée, elle ne voulait plus le voir et poussa un soulagement à la vue d’une femme.

Il y avait des femmes bien plus méchantes que certains hommes, mais au fond Saori pensait avoir trouvé du réconfort, quelqu’un qui pourrait peut-être l’aider à comprendre où elle se trouvait et comment elle avait pour y arriver. À la vue de ce vêtement, la prostituée devinait qu’elle était sûrement à la tête de cette ferme et c’est elle qui devait s’occuper de tout ce troupeau. C’était bien courageux pour une femme de travailler dans une ferme, elle avait peut-être des subordonnés pour lui venir en aide dans les tâches trop difficiles. Ce n’était pas le moment de penser à ça, Saori devait trouver un moyen de l’interpeller sans lui faire peur, trouver une étrangère presque nue dans sa paille pouvait surprendre.

Sauf que leurs regards venaient de se croiser et c’est la fermière qui lança la première la parole, stressant Saori quand elle entendit domaine privé. Elle ne voulait pas être en infraction, la prostituée n’avait même pas ses papiers avec elle pour prouver qu’elle était bien du Japon ne sachant pas encore qu’elle n’était plus dans son monde.

- Je être désolée madame !

À la première phrase, Saori avait du mal à se calmer montrant sa difficulté à parler comme il faut, son accent coréen prenant le dessus.

- Je suis Saori, je suis de la ville.

Tout de suite, elle bascula en avant pour se mettre sur les genoux pour se prosterner devant la fermière, semblable à un salut très formel, elle appuya sa volumineuse poitrine contre la paille ressortant sur les côtés de son buste prête à exploser.

- Moi fuir, car l'homme me vouloir du mal. Homme m’avoir frappé plusieurs fois.

La prostituée lève son visage montrant les marques sur son visage, dont sa lèvre ouverte à cause des coups qu’elle avait reçus.

- Est-ce que Saori peut se reposer dans ferme à madame ? Je peux payer en aide.

Ou en nature s’il le fallait vraiment, mais Saori pensait qu’une femme n’était pas intéressé par ce genre de service ne devinant pas la nature de son interlocutrice en face bien trop occupée à continuer à la saluer contre la paille. Écrasant toujours sa poitrine, tendant ses fesses sur l’arrière pour les lever vers le plafond quand elle se penchait en avant.

9
One Shot / Re : Retrouvailles charnelles [PV]
« le: mardi 26 avril 2022, 16:14:32 »
- Saori est très contente de vous connaître Yao.

La prostituée passa sa main dans ses cheveux tout en souriant à son client, pendant qu’il s’occupait de servir le mousseux dans les verres, lui tendant sa coupe pour trinquer.

- Santé !

Saori pencha son verre vers celui de Yao pour faire retentir une brève mélodie quand les deux venaient à se croiser, elle trempa ses lèvres dans le fluide pour en prendre une petite gorgée. Avec le temps, elle avait appris à apprécier le champagne, à en boire des bouteilles, comparé à ses débuts où elle n’arrivait pas à en boire une seule coupe.

- Je venir d’un autre pays !

Elle se mit assise sur le lit juste à côté de son acquéreur, se collant à lui, imposant sa poitrine sur son bras, prenant une autre gorgée dans sa coupe.

- Je n’ai pas le droit de dire, mes managers ne sont pas contents.

Dans les bordels de la dynastie Hua, il y avait énormément des filles qui n’avaient pas de papier, qui étaient mineures, qui avaient disparu de la circulation pour être forcées à coucher avec des hommes. Pour contourner les problèmes avec la justice, les filles n’avaient pas le droit de parler d’elle, où elle devait élaborer une fausse histoire. Saori ne préférait pas s’aventurer sur ce terrain, ne parlant pas bien japonais, inventer une histoire était difficile, alors elle préférait dire la vérité.

- Et vous n’êtes pas ici pour parler de moi, c’est Saori qui doit prendre soin de vous.

Saori ricane venant déposer ses moelleuses lèvres sur la joue de son client pour l’embrasser, reculant pour lui transmettre encore une fois un doux sourire pour le mettre à l’aise et le détendre à peine voyant qu’il était timide.

- C’est première fois que vous venez ?

Saori attendit la réponse de Yao, même si elle se doutait de ce qu’il allait répondre.

- Je vais expliquer à vous.

La prostituée se leva pour venir se mettre assise sans attendre sur les genoux de son client, en amazone, pour qu’il puisse venir cajoler sa tendre peau s’il le voulait. Sa poitrine était postée au niveau de son visage, il pouvait sentir son doux parfum, Saori passa sa main libre derrière sa tête pour lui câliner les cheveux.

- Je sais tout faire et vous, le droit à demandez tout ce que vous voulez. Patron a dit que vous avez pris forfait tout compris.

Yao avait la possibilité de rester le temps qu’il voulait jusqu’au lendemain et bénéficier de Saori de toutes les manières possibles, il pouvait employer des préservatifs ou non, utiliser des accessoires ou non, changer ses vêtements à sa guise, exiger tout ce qu’il voulait avec le téléphone disponible dans la chambre.

- Yao est roi pour journée.

À cette nouvelle, Saori se trémousse sur son client, levant son verre vers le haut pour célébrer ça, collant ses seins contre son visage en guise de câlin affectif envers son client.

- Saori aime qu’on lui donne surnom quand on s’amuse, vous avez idée pour moi ? Et vous aussi, vous voulez surnom ?

La prostituée se penche vers la table pour placer son verre dessus et empoigner la bouteille pour remplir le manquant dans le verre de Yao, glissant la bouteille glacée entre ses cuisses et sur le vif de son client qui durcissait en dessous. Saori leva la tête pour faire mine de réfléchir à un surnom, tapotant son menton de ses doigts. 

- Monsieur Yao ? Monsieur ? Chéri ? Daddy ? Papa ? Maître ? Directeur ? Monsieur le Directeur… Monsieur le Directeur et moi votre secrétaire ou surnom que vous voulez.

Saori aimait les jeux de rôle, cela permettait de pas uniquement baiser et de s’amuser, laissant grimper le plaisir dans la chambre. Si Yao le voulait il pouvait approuver sa proposition ou rejeter pour assouvir ses instincts primaires sans tarder, il pouvait quand même noter que les yeux de la prostituée brillaient à cette idée. S’il acceptait, il allait devoir changer de vêtement pour devenir un directeur et principalement relooker Saori pour faire d’elle la secrétaire de ses fantasmes. Dans les armoires dans la chambre, il allait pouvoir trouver son bonheur et faire d’elle sa poupée à sa guise.

10
Saori voulait échapper à ses adversaires contre tout au monde, elle ne voulait pas savoir ce qu’ils allaient bien pouvoir lui faire pour se venger, c’était un réel soulagement quand l’homme lui prit la main pour la relever et la traîner chez lui fermant la porte. La prostituée était en sécurité contre à la rigueur une petite fellation ou simplement écarter les jambes quelques minutes ce n’était pas grand-chose pour sauver sa vie. Sauf que l’homme se montra violent au premier contact, signalant à Saori qu’elle était peut-être tombée chez la mauvaise personne.

Elle poussa un sifflement de souffrance au contact du mur dans son dos, fermant les yeux sous le choc avant de rouvrir ses deux petites amandes sombres pour fixer l’inconnu qui lui avait ouvert la porte pour mieux la dévorer.

- Aïe ! Doucement…

Saori essaie de se débattre, posant ses mains sur les épaules de l’homme pour tenter de le pousser en arrière, y mettant toute sa force, serrant ses dents en poussant des sons de désespoir. Et sous la peur, la prostituée lâcha prise voulant se replier sans pouvoir y parvenir, sur la tête de son détracteur des oreilles venaient d’apparaître, elle pouvait voir s’agiter derrière son dos une queue et ses dents alors qu’il ouvrait la bouche étaient acéré.

- Tu es quoi ? Un monstre ?

Les terranides, Saori ne connaissait pas et voir cette chose devant ses yeux, c’était incompréhensible pour l’humaine. La prostituée était attachée au folklore de son pays, les démons, qui peuvent prendre l'apparence d’animaux pour venir terroriser les humains et bien plus encore.

- Tu es démon !

Le soi-disant démon venait attraper la main de Saori pour la glisser vers la serviette alors qu’il plaquait ses lèvres contre les siennes, pendant qu’elle bougeait la tête pour se dégager de l’homme. Il ne restait pas en place, attrapant la prostituée pour la traîner dans le salon, alors qu’elle essayait de résister, mettant le poids de son corps en arrière pour retarder ses plans.

- Démon, lâche-moi.

De son bras libre Saori attrapait ce qu’elle pouvait, se tenant aux meubles, laissant exploser sur le sol des affaires qui traînaient là. Arrivant au salon, l’homme dominait encore la valse, la poussant, arrachant son haut avec des griffes laissant sa poitrine surgir sans en profiter préférant la faire s'asseoir sur le canapé pour frotter son vif encore protégé de la serviette contre son doux minois.

- Saori pas faire ça ! Un démon ne mérite pas.

Pas de doute pour la prostituée, elle venait de se faire duper par un démon, tout ce qu’elle lui avait dit en à l'extérieur de l’appartement ne tenait plus. Il avait dissimulé sa véritable identité pour profiter de la situation, si Saori avait su qu’il était un déchu elle n’aurait jamais accepté de tout lui offrir.

- Va en enfer, démon !

Saori lui donna un coup de boule dans le bas de son ventre pour le faire régresser un peu en arrière, pour pouvoir s’échapper de son influence, elle se tourna sur le canapé pour prendre la fuite à genoux. Le souffle court, elle passa son buste par-dessus les dossiers laissant les derniers morceaux de son haut choir sur le sol. La tête vers le bas elle tirait le reste de son corps coincé entre les gigantesques coussins, son short de cycliste descendait contre sa peau laissant surgir la raie de ses fesses et ses lèvres intimes éternellement aussi bien moulées dans ce tissu noir.

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Des bâtiments à l’architecture ordinaire, qui ressemblent à des commerces, des habitations et cependant devant les portes il y avait des panneaux avec des photos, des filles essentiellement avec en dessous des prix pour des prestations. Soi-disant des massages, des soins beautés pour les hommes avant tout, c’était seulement de la prostitution dissimulée pour que la police laisse dans le calme l’établissement. La dynastie Hua avait mis en place des bordels dans la grande ville et vers les bidonvilles pour obtenir le plus d’argent, les filles à l’intérieur étaient pour certaines mineures, d’autres plus vieilles, certaines vraiment très vieilles. Pour Li Hua, c’était juste de la marchandise, il fallait pallier toutes les demandes envisageables et avoir le maximum de filles, elles devaient juste être jolies pour séduire les hommes ou les femmes. Dès qu’elles n’avaient plus assez de clients, elles étaient enfermées dans les salles pour expérimenter la drogue de Li se laissant mourir dans les caves de la famille Hua. Un sort sordide, pour en échapper, il suffisait de parvenir à payer sa liberté.

Saori était dans cette optique, ne pas se laisser démolir, ne pas débourser tout son argent pour un jour régler sa dette à cette Li Hua et sortir de ce trou pour mener une vie normale comme les filles de son âge. Chaque centime qu’elle récoltait, la prostituée le cachait dans son traversin, dans sa chambre, sous son matelas, dans des recoins de mur pour que les autres filles ne puissent pas lui voler. C’était déjà dur de vivre dans cet endroit et encore plus quand on ne pouvait pas avoir confiance avec les collègues…

En début de soirée, Saori avait fait attention de bien cacher son argent à l'abri des regards indiscrets car elle allait bientôt prendre son service. Elle ne s’autorisait que très peu de temps de repos dans la semaine, mettant toute son énergie pour sortir d’ici. Pour attirer les clients plus facilement, la prostituée pouvait à son désir faire du racolage devant l’établissement.

Saori avait sélectionné une tenue à la mode que l’on voyait de tous côtés sur internet et qui était surtout très sexy pour séduire les hommes, un simple petit haut qui entourait ses seins avec une ouverture sur le devant en forme de tête de chat. Un bas blanc avec des froufrous, des hauts talons avec des bas montant jusqu’à ses genoux, il y avait de la dentelle sur ses bras, ses bretelles, ses chaussures un rappel important pour se faire passer pour une servante de ce soi-disant établissement de bien-être. Avec dans ses cheveux noir, un serre-tête avec des oreilles mignonnes.

Saori tenait un plateau en argent, avec des prospectus dedans pour discuter des services qu’elle offrait dans l’établissement avec la possibilité d’en savoir plus en privé bien naturellement. Avec un grand sourire, les fesses à l’air sous ce grotesque jupon qui ne cachait pas grand-chose, elle accostait les hommes seuls. Principalement, les salaryman's, des hommes en costume avec de l’argent à gaspiller et qui se sentaient souvent solitaires avec le boulot qu’il avait.

- Bonjour, je suis Saori…

Regrettablement, très peu prenaient la peine de s’arrêter à ses côtés pour l’écouter bavarder, d’habitude son accent mystérieux attirait les plus curieux. Ce soir n’était pas le grand soir, même avec son plus mignon sourire, les hommes venaient à changer de trottoir pour ne pas se faire amarrer, laissant la prostituée seule au milieu de la route dans sa petite tenue de servante.

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Centre-ville de Seikusu / Re : La découverte de la bestialité. - Tani Rei
« le: mercredi 20 avril 2022, 23:56:29 »
Saori tambourinait à toutes les portes, se collant contre les œillets pour espérer voir quelqu’un à l’intérieur d’un des logements ne comprenant pas que l’objet fonctionnait dans l’autre sens. Dans sa maison close c’était pourtant comme ça que ça marchait, les managers devaient constamment avoir un œil sur les filles depuis l’extérieur pour garantir la sécurité ou en tirer profit en se masturbant. Dans ce cas ne voir personne alors que Saori était sur d’entendre des bruits à l’intérieur des pièces ne l’aidait pas à garder son calme, attrapant les poignées de porte pour les secouer de haut en bas.

- Quelqu’un j’entends ! Ouvre-moi !

Dans la confusion, Saori n’arrivait pas à enchaîner des phrases précisément construites, son japonais était déjà approximatif à la base alors là les gens pouvaient croire à une enfant de quatre ans essayant de s’exprimer. Cela ne jouait pas en son avantage, ajoutons qu’elle soit étrangère avec des fous furieux qui voulaient démolir la porte d’entrée personne n’allait lui ouvrir la porte. Sauf cet anonyme qui venait de lui adresser la parole à quelques portes d’où la prostituée se trouvait. Saori tourna la tête en une fraction de seconde, avant de trotter vers lui, c’était son seul espoir à cet instant. Son visage criait à la panique, à l’épuisement de cette course folle dans la ville juste avant.

- Non, je veux pas mettre la merde à… Ici. Eux me veulent du mal pour plaisir.

Saori s’étranglait en parlant, elle donnait tout pour se focaliser sur ce qu’il disait et ce qu’elle répondait pour être la plus ordinaire possible. Sauf que son cœur allait encore plus s’emballer quand elle comprit que l’homme était prêt à ouvrir la porte d’entrée si elle ne proposait pas une offre alléchante. Une goutte de sueur descendit instantanément de la racine de ses cheveux jusqu’à son menton.

- Pas ouvrir porte ! Moi, Saori. Moi très gentille personne.

Saori se retourna sur l’arrière, entendant les hommes crier de plus en plus fort, demandant aux habitants d’ouvrir la porte pour venir la chercher et après ils allaient partir. Elle trépignait sur place, sa poitrine se soulevait sous son t-shirt à cause de sa respiration qu’elle n’arrivait pas à canaliser. Et brutalement elle se laissa tomber sur le sol à genoux, les mains serrées devant son visage en guise de supplication.

- Je faire tout ce que tu veux, si tu m’aides.

Son buste bascula en avant, elle lança ses bras au-dessus de sa tête pour empoigner les jambes de l’homme qui lui avait ouvert la porte, se prosternant à ses pieds.

- TOUT. Je suis sur le table.

Saori n’avait rien de mieux à offrir que sa propre personne, elle le faisait tous les jours en échange d’argent et cette fois c’était pour épargner sa vie. Elle approcha sa tête des pieds de l’inconnu sans trop forcer pour qu'il ne referme pas la porte, embrassant la base de ses orteils donnant une démonstration qu’elle était vraiment prête à tout pour réussir à s’en sortir et ne pas tomber dans les mains des dégénérés qui allaient bientôt rentrer à force.

La prostituée baisait les pieds de son potentiel sauveur, le buste en avant sa poitrine fructueuse qui touchait le sol et ses fesses relevées vers le haut, son t-shirt oversize glissant contre son dos découvrant son short de cycliste qui moulait son postérieur et ses deux petites lèvres intimes laissant juste un creux minime entre ses deux falaises légèrement gonflées.

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One Shot / Re : Retrouvailles charnelles [PV]
« le: lundi 18 avril 2022, 23:11:41 »
Dans la maison close, le rez-de-chaussée et le premier étage étaient dédiés aux services et le second accueillait les filles, des chambres à plusieurs où les prostituées s'entassaient pendant leur temps de répit. Quelquefois, le gestionnaire venait chercher une fille pour lui indiquer qu'elle avait un client et qu'elle devait se préparer.

- Saori c'est pour toi !


La prostituée était sur un lit à étage regardant des bandes dessinées pour enfants afin d'apprendre à lire. Elle ferma son magazine, pour descendre de son lit à l'aide de l'échelle sur le côté, sans un mot elle alla dans la salle de bain pour se préparer. Son manager avait posé les vêtements qu'elle allait devoir porter pour retrouver le client, il pouvait après les modifier à son goût, comme une poupée. La prostituée portait une chemisette noir translucide remontant au-dessus de son nombril, en dessous un soutien-gorge noir, sur ses hanches remontait les ficelles de son string assorti avec une minijupe par-dessous allant à peine plus bas que son intimité. Finissant elle faufila ses pieds dans ses chaussures à talons noirs.

Saori sortie de la salle de bain avec une touche de maquillage, les cheveux bien coiffés et une fragrance délicate aux fleurs. Son manager était encore là calculant le temps qu'elle mettait à se dresser.

- Bien. Tu peux aller à la chambre 103.

Elle descendit les escaliers, devant les autres prostituées et clients, arrivant promptement devant la chambre où un plateau d'accueil était placé. Même si le bordel se situait dans le quartier pauvre, la grande patronne Li Hua voulait maintenir un standing pour les clients, s'ils se sentaient bien ils reviendraient systématiquement. Saori prit le plateau pour le poser sur sa main telle une serveuse, dessus un pot à mousseux avec une bouteille encore fumante après l'ouverture, deux flûtes et un éventail de toasts. Elle se mit à sourire avant de pousser la porte pour entrer.

- Monsieur, bonjour !

L'accent mi-coréen mi japonais venait en aimable mélodie dans la pièce, accompagné du tempo de ses hauts talons quand son bassin chaloupait à chacun de ses pas. Elle s'approcha de la table basse pour y placer le plateau de bienvenue, penchant seulement le haut de son corps pour tendre ses fesses au client, sa jupe si minime qu'elle ne cachait rien. Elle se redresse, un large sourire illumine son minois, croisant les mains devant sa jupe pour honorer l'homme devant elle.

- Je suis Saori ! Je suis servante de vous pour le soirée.

Les étrangères dans les bordels étaient monnaies courantes, de la main-d'œuvre pas chère. Et pour éluder les mauvaises surprises, Saori donnait le ton sur son niveau de langue, pas adroite et un manque de vocabulaire conséquent.

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Le miroir de la terre, celui que l'on peut voir à travers des failles qui se nomment terra. Un concept qu'était bien loin d'imaginer Saorie, terrienne sans aptitude, qui avait été victime du système et se retrouvait à tapiner dans une maison close à la solde de la majestueuse famille Hua. Caractère volatil, tantôt docile, tantôt rebelle elle-même ne savait pas qui elle était véritablement. Ce jour-là en début d'après-midi, un client venait de la cogner au visage pour une fellation qui n'était pas à son goût. Il criait tel un ours sur Saori allongée sur le sol, il levait encore son bras pour asséner un coup sur son minois ouvrant sa lèvre dans une giclée de sang.

La prostituée était au sol, à moitié nue son client voulait qu'elle porte uniquement un string en vinyle noir. Elle camouflait désespérément ce qu'elle pouvait avec ses mains, essayant de comprendre d'où les coups allaient venir sans triompher. Un coup de pied dans le ventre, une main venant attraper un sein pour le tracter avec excès, l'autre dans ses cheveux pour la traîner sur le sol…

- Pardon… Excusez-moi…

Des supplices sortant de sa gorge, venant du fond de ses entrailles pour lui réclamer de s'arrêter. Ce n'était qu'une fellation, elle pouvait la recommencer autant qu'il le voulait, il sarchanait sur elle seulement par pur divertissement. Un homme qui n'arrivait pas à se faire respecter dans la société, léchant les pieds de ses supérieurs et qui venait se décharger sur plus faible que lui. Avide de pouvoir il bandait furieusement devant ce pauvre spectacle que subissait Saori.

Il passa sa main sur son vif misérable pour s'astiquer pendant qu'il faisait remuer la peau de ses fesses avec des coups de pied. Il l'insultait de tous les noms, dans son regard la folie illuminait ses orbites. Et c'est quand il lâcha la sauce que Saori eut un moment de répit, giclant tel un puceau sans se contrôler il se laissa tomber sur le fauteuil derrière lui. Saori en profita pour se lever, courir et s'échapper de sa chambre, elle ne pouvait pas descendre au rez-de-chaussée sous peine de croiser le gérant de l'établissement et de se prendre une nouvelle sanction. Elle amorça sa montée vers le deuxième, puis le grenier, pièce interdite à tout le monde, elle s'en moquait à cet instant.

La porte était verrouillée, insistant dessus le verrou céda, usé par le temps et Saori ouvrit la porte pour se faire instamment aspirer. Le grenier cachait une faille en direction de terra, la prostituée tomba à l'intérieur voyant des tourbillons de lumière, le cri lointain des autres voyageurs qui se faisaient aussi aspirer, des objets manquaient de la heurter avant de dévier sur une autre trajectoire. Saori resta entre les deux mondes quelques secondes qui semblaient durer des heures, le temps n'était plus le même.

Devant ses yeux un trou éblouissant se forma, la prostituée se fit cracher avec puissance, de la paille amortissant sa chute roulant dedans. Saori n'y comprenait rien, apeurée elle se recula vers une botte de foin, remontant ses genoux vers sa figure tuméfiée des coups reçus. Ses yeux dépassaient scrutant l'endroit inconnu, des vaches partout… Des bovins vivant leurs vies tranquillement beuglantes quelques minutes surprises de l'inconnue pour retourner sans tarder à leurs occupations voyant que Saori ne bougeait pas. Ses jambes compressaient sa poitrine ressemblant aux mamelles de ces animaux, Saori voulait grimper au grenier comment elle avait fait pour aboutir dans une ferme, l'incompréhension totale.

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Centre-ville de Seikusu / La découverte de la bestialité. - Tani Rei
« le: vendredi 15 avril 2022, 16:16:49 »
Aujourd’hui était une piètre journée pour la petite Saori, elle avait été trop ferme avec un client, celui-ci était parti le froc en bas des jambes en criant que c’était inconcevable qu’une prostituée agisse de la sorte. La barrière de la langue, Saori avait mal interprété la demande du client… Encaisser des coups de fouet sur les fesses lui avait refroidi les idées. Gueulant à travers le bordel, coupant l’envie à des clients, effrayant les autres prostituées… Saori avait reçu un sacré savon de la part du responsable de l’établissement. Pour la sanctionner, elle devait faire le ménage de toutes les salles, de l’argent allait être retenue sur son salaire et pour terminer elle était chargée d’aller faire les courses ce soir. Personne ne voulait aller faire les courses, une corvée que les filles préféraient céder… Les sacs étaient lourds, les filles en profitaient pour fournir une liste d'achats personnels qui allongeait celle générale…

Saori finit son activité dans le bordel, le nettoyage lui avait pris une importante partie de l’après-midi, c’était épuisant elle avait qu’une envie c’était s'allonger dans son lit attendre que le temps passe. Par malheur elle devait filer faire les courses, toutes les filles lui avaient laissé un mot avec de la monnaie avec ce qu’elle devait acheter en plus… Des friandises, des CD, des vêtements, des livres… Elle soupira simplement en voyant ça. Saori prit une douche précipitée pour retirer cette odeur de transpiration, elle attacha ses cheveux mouillés en chignon au-dessus de sa tête et mit des vêtements propres très simples. Un t-shirt oversize bleu azuré avec des motifs d’animaux, qui lui arrive à peu près aux genoux et en dessous un short de cycliste noir si son haut venait à se lever avec le vent. En dessous elle avait un soutien-gorge pour relever sa poitrine et dissimuler ses tétons qui pouvaient émerger, mais Saori n’avait pas pris la peine de mettre une culotte, son short se montrant autosuffisant.

Armée de ses sacs de commissions, de ses listes de courses et de son argent, Saori prit le bus pour se rendre vers le grand magasin, le soleil commençait déjà à descendre annonçant bientôt le début de soirée. Le bus s’arrêta à deux pas de la grande surface, Saori descendit et écarquilla les yeux devant les individus qui se trouvaient devant… C’était son client de tout à l’heure, elle leva la main devant son minois en même temps qu’elle baissait la tête pour se dissimuler.

- Salope ! Encore toi !

Saori ne réagissait pas, contournant le groupe pour tenter de rentrer dans le magasin, quand l’homme lui attrapa le bras pour la retenir.

- Je te parle pute, ne m'ignore pas ! Ton patron n’a pas voulu me restituer l’intégralité de mon oseille, alors tu tombes bien tu vas me rembourser.

Il appuyait sur son bras, la bougeait dans tous les sens, les passants s’écartaient ne voulant pas s'immiscer de cette histoire.

- Je... Excuse, pas comprendre.

L’homme parlait trop rapidement pour que Saori arrive à suivre ce qu’il racontait et avec la pression elle n’arrivait pas à se focaliser. Il insistait devenant de plus en plus brutal avec elle, quand sa main lâcha son bras… Saori ne chercha pas à comprendre et elle prit la fuite dans la ville laissant ses sacs sur place. Elle courait aussi vite qu’elle pouvait, bousculant les promeneurs en s’excusant, pendant que les hommes lui collaient aux fesses, elle se faufila dans l’entrée d’un immeuble quand un garçon en sortie fermant la porte derrière elle. Ses poursuivants ne pouvaient pas rentrer, frappant derrière la fenêtre en continuant de lui brailler dessus. Saori ne perdit pas de temps et avança dans l’immeuble pour cogner aux portes pour chercher de l’aide…

- Je cherche aide… Aide-moi… Allô ?

Saori entendait des bruits derrière les portes, mais personne n'osait lui ouvrir.

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