Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Saori

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Des bâtiments à l’architecture ordinaire, qui ressemblent à des commerces, des habitations et cependant devant les portes il y avait des panneaux avec des photos, des filles essentiellement avec en dessous des prix pour des prestations. Soi-disant des massages, des soins beautés pour les hommes avant tout, c’était seulement de la prostitution dissimulée pour que la police laisse dans le calme l’établissement. La dynastie Hua avait mis en place des bordels dans la grande ville et vers les bidonvilles pour obtenir le plus d’argent, les filles à l’intérieur étaient pour certaines mineures, d’autres plus vieilles, certaines vraiment très vieilles. Pour Li Hua, c’était juste de la marchandise, il fallait pallier toutes les demandes envisageables et avoir le maximum de filles, elles devaient juste être jolies pour séduire les hommes ou les femmes. Dès qu’elles n’avaient plus assez de clients, elles étaient enfermées dans les salles pour expérimenter la drogue de Li se laissant mourir dans les caves de la famille Hua. Un sort sordide, pour en échapper, il suffisait de parvenir à payer sa liberté.

Saori était dans cette optique, ne pas se laisser démolir, ne pas débourser tout son argent pour un jour régler sa dette à cette Li Hua et sortir de ce trou pour mener une vie normale comme les filles de son âge. Chaque centime qu’elle récoltait, la prostituée le cachait dans son traversin, dans sa chambre, sous son matelas, dans des recoins de mur pour que les autres filles ne puissent pas lui voler. C’était déjà dur de vivre dans cet endroit et encore plus quand on ne pouvait pas avoir confiance avec les collègues…

En début de soirée, Saori avait fait attention de bien cacher son argent à l'abri des regards indiscrets car elle allait bientôt prendre son service. Elle ne s’autorisait que très peu de temps de repos dans la semaine, mettant toute son énergie pour sortir d’ici. Pour attirer les clients plus facilement, la prostituée pouvait à son désir faire du racolage devant l’établissement.

Saori avait sélectionné une tenue à la mode que l’on voyait de tous côtés sur internet et qui était surtout très sexy pour séduire les hommes, un simple petit haut qui entourait ses seins avec une ouverture sur le devant en forme de tête de chat. Un bas blanc avec des froufrous, des hauts talons avec des bas montant jusqu’à ses genoux, il y avait de la dentelle sur ses bras, ses bretelles, ses chaussures un rappel important pour se faire passer pour une servante de ce soi-disant établissement de bien-être. Avec dans ses cheveux noir, un serre-tête avec des oreilles mignonnes.

Saori tenait un plateau en argent, avec des prospectus dedans pour discuter des services qu’elle offrait dans l’établissement avec la possibilité d’en savoir plus en privé bien naturellement. Avec un grand sourire, les fesses à l’air sous ce grotesque jupon qui ne cachait pas grand-chose, elle accostait les hommes seuls. Principalement, les salaryman's, des hommes en costume avec de l’argent à gaspiller et qui se sentaient souvent solitaires avec le boulot qu’il avait.

- Bonjour, je suis Saori…

Regrettablement, très peu prenaient la peine de s’arrêter à ses côtés pour l’écouter bavarder, d’habitude son accent mystérieux attirait les plus curieux. Ce soir n’était pas le grand soir, même avec son plus mignon sourire, les hommes venaient à changer de trottoir pour ne pas se faire amarrer, laissant la prostituée seule au milieu de la route dans sa petite tenue de servante.

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Le miroir de la terre, celui que l'on peut voir à travers des failles qui se nomment terra. Un concept qu'était bien loin d'imaginer Saorie, terrienne sans aptitude, qui avait été victime du système et se retrouvait à tapiner dans une maison close à la solde de la majestueuse famille Hua. Caractère volatil, tantôt docile, tantôt rebelle elle-même ne savait pas qui elle était véritablement. Ce jour-là en début d'après-midi, un client venait de la cogner au visage pour une fellation qui n'était pas à son goût. Il criait tel un ours sur Saori allongée sur le sol, il levait encore son bras pour asséner un coup sur son minois ouvrant sa lèvre dans une giclée de sang.

La prostituée était au sol, à moitié nue son client voulait qu'elle porte uniquement un string en vinyle noir. Elle camouflait désespérément ce qu'elle pouvait avec ses mains, essayant de comprendre d'où les coups allaient venir sans triompher. Un coup de pied dans le ventre, une main venant attraper un sein pour le tracter avec excès, l'autre dans ses cheveux pour la traîner sur le sol…

- Pardon… Excusez-moi…

Des supplices sortant de sa gorge, venant du fond de ses entrailles pour lui réclamer de s'arrêter. Ce n'était qu'une fellation, elle pouvait la recommencer autant qu'il le voulait, il sarchanait sur elle seulement par pur divertissement. Un homme qui n'arrivait pas à se faire respecter dans la société, léchant les pieds de ses supérieurs et qui venait se décharger sur plus faible que lui. Avide de pouvoir il bandait furieusement devant ce pauvre spectacle que subissait Saori.

Il passa sa main sur son vif misérable pour s'astiquer pendant qu'il faisait remuer la peau de ses fesses avec des coups de pied. Il l'insultait de tous les noms, dans son regard la folie illuminait ses orbites. Et c'est quand il lâcha la sauce que Saori eut un moment de répit, giclant tel un puceau sans se contrôler il se laissa tomber sur le fauteuil derrière lui. Saori en profita pour se lever, courir et s'échapper de sa chambre, elle ne pouvait pas descendre au rez-de-chaussée sous peine de croiser le gérant de l'établissement et de se prendre une nouvelle sanction. Elle amorça sa montée vers le deuxième, puis le grenier, pièce interdite à tout le monde, elle s'en moquait à cet instant.

La porte était verrouillée, insistant dessus le verrou céda, usé par le temps et Saori ouvrit la porte pour se faire instamment aspirer. Le grenier cachait une faille en direction de terra, la prostituée tomba à l'intérieur voyant des tourbillons de lumière, le cri lointain des autres voyageurs qui se faisaient aussi aspirer, des objets manquaient de la heurter avant de dévier sur une autre trajectoire. Saori resta entre les deux mondes quelques secondes qui semblaient durer des heures, le temps n'était plus le même.

Devant ses yeux un trou éblouissant se forma, la prostituée se fit cracher avec puissance, de la paille amortissant sa chute roulant dedans. Saori n'y comprenait rien, apeurée elle se recula vers une botte de foin, remontant ses genoux vers sa figure tuméfiée des coups reçus. Ses yeux dépassaient scrutant l'endroit inconnu, des vaches partout… Des bovins vivant leurs vies tranquillement beuglantes quelques minutes surprises de l'inconnue pour retourner sans tarder à leurs occupations voyant que Saori ne bougeait pas. Ses jambes compressaient sa poitrine ressemblant aux mamelles de ces animaux, Saori voulait grimper au grenier comment elle avait fait pour aboutir dans une ferme, l'incompréhension totale.

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Centre-ville de Seikusu / La découverte de la bestialité. - Tani Rei
« le: vendredi 15 avril 2022, 16:16:49 »
Aujourd’hui était une piètre journée pour la petite Saori, elle avait été trop ferme avec un client, celui-ci était parti le froc en bas des jambes en criant que c’était inconcevable qu’une prostituée agisse de la sorte. La barrière de la langue, Saori avait mal interprété la demande du client… Encaisser des coups de fouet sur les fesses lui avait refroidi les idées. Gueulant à travers le bordel, coupant l’envie à des clients, effrayant les autres prostituées… Saori avait reçu un sacré savon de la part du responsable de l’établissement. Pour la sanctionner, elle devait faire le ménage de toutes les salles, de l’argent allait être retenue sur son salaire et pour terminer elle était chargée d’aller faire les courses ce soir. Personne ne voulait aller faire les courses, une corvée que les filles préféraient céder… Les sacs étaient lourds, les filles en profitaient pour fournir une liste d'achats personnels qui allongeait celle générale…

Saori finit son activité dans le bordel, le nettoyage lui avait pris une importante partie de l’après-midi, c’était épuisant elle avait qu’une envie c’était s'allonger dans son lit attendre que le temps passe. Par malheur elle devait filer faire les courses, toutes les filles lui avaient laissé un mot avec de la monnaie avec ce qu’elle devait acheter en plus… Des friandises, des CD, des vêtements, des livres… Elle soupira simplement en voyant ça. Saori prit une douche précipitée pour retirer cette odeur de transpiration, elle attacha ses cheveux mouillés en chignon au-dessus de sa tête et mit des vêtements propres très simples. Un t-shirt oversize bleu azuré avec des motifs d’animaux, qui lui arrive à peu près aux genoux et en dessous un short de cycliste noir si son haut venait à se lever avec le vent. En dessous elle avait un soutien-gorge pour relever sa poitrine et dissimuler ses tétons qui pouvaient émerger, mais Saori n’avait pas pris la peine de mettre une culotte, son short se montrant autosuffisant.

Armée de ses sacs de commissions, de ses listes de courses et de son argent, Saori prit le bus pour se rendre vers le grand magasin, le soleil commençait déjà à descendre annonçant bientôt le début de soirée. Le bus s’arrêta à deux pas de la grande surface, Saori descendit et écarquilla les yeux devant les individus qui se trouvaient devant… C’était son client de tout à l’heure, elle leva la main devant son minois en même temps qu’elle baissait la tête pour se dissimuler.

- Salope ! Encore toi !

Saori ne réagissait pas, contournant le groupe pour tenter de rentrer dans le magasin, quand l’homme lui attrapa le bras pour la retenir.

- Je te parle pute, ne m'ignore pas ! Ton patron n’a pas voulu me restituer l’intégralité de mon oseille, alors tu tombes bien tu vas me rembourser.

Il appuyait sur son bras, la bougeait dans tous les sens, les passants s’écartaient ne voulant pas s'immiscer de cette histoire.

- Je... Excuse, pas comprendre.

L’homme parlait trop rapidement pour que Saori arrive à suivre ce qu’il racontait et avec la pression elle n’arrivait pas à se focaliser. Il insistait devenant de plus en plus brutal avec elle, quand sa main lâcha son bras… Saori ne chercha pas à comprendre et elle prit la fuite dans la ville laissant ses sacs sur place. Elle courait aussi vite qu’elle pouvait, bousculant les promeneurs en s’excusant, pendant que les hommes lui collaient aux fesses, elle se faufila dans l’entrée d’un immeuble quand un garçon en sortie fermant la porte derrière elle. Ses poursuivants ne pouvaient pas rentrer, frappant derrière la fenêtre en continuant de lui brailler dessus. Saori ne perdit pas de temps et avança dans l’immeuble pour cogner aux portes pour chercher de l’aide…

- Je cherche aide… Aide-moi… Allô ?

Saori entendait des bruits derrière les portes, mais personne n'osait lui ouvrir.

4
Le coin du chalant / Sur la route du plaisir.
« le: jeudi 14 avril 2022, 11:02:56 »
Bonjour, Bonsoir.

Saori est à la recherche de ses premiers Rps sur le grand jeu.

Saori est originaire de Corée du Nord, après avoir fui avec sa famille, elle habitait dans un quartier pauvre avant que Li Hua l'achète. La jeune fille est devenue une prostituée dans un des bordels de la famille Hua, contre une énorme somme d'argent elle peut obtenir sa liberté.

Dans ses relations, Saori va prendre la dominance quand c'est envisageable avec des partenaires dociles et vice-versa, elle va être plus soumise si son partenaire est dominant sans pour autant se transformer en une étoile de mer. Saori aime être active et chercher à reprendre le dessus.

Dernier point, elle parle mal le japonais.

Trames :

--> Saori est une prostituée, il est possible de venir la voir quand vous voulez.

--> Client ou prostituée jalouse, vous lui volez l'argent qu'elle a mis de côté et vous allez la faire chanter pour lui restituer.

--> Une horrible journée, Saori est au bout et va fuir le bordel :
           -->propriétaire du club vous allez lui faire passer l'envie de fuir.
           -->Propriétaire du club vous allez lui faire une fleur et lui faire découvrir la ville pour la calmer.

--> Aujourd'hui rien ne va, Saori n'arrête pas d'enchainer les sottise et en tant que client ça ne va pas passer.

--> Vous avez la chance de pouvoir vous payez les services de la prostituée à domicile.

Spéciales :

Inceste --> Son père va venir dans un bordel et va se retrouver dans la même chambre que sa fille.

Orgie --> Vous êtes un client riche qui organise une soirée chic, pour divertir les hommes des filles sont à disposition dont Saori.

Métro --> Saori a eu le droit de sortir faire les magasins, elle va prendre le métro bondé de monde et se faire tripoter.


5
Prélude / Gagner sa liberté. [Keiralidée]
« le: dimanche 10 avril 2022, 23:45:04 »
Identité : Saori de son vrai prénom Kimimo Atshi
Age : 18 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Sexualité : Bisexuelle

Physique : Saori est une jeune demoiselle dans la fleur de l'âge, elle respire la fraîcheur, le bonheur et avec de l'anticernes on ne remarque pas le surmenage sous ses yeux. Son visage d'adolescente est une aubaine dans ce qu'on peut qualifier son métier. Adepte des lentilles de contact décoratives pour élargir ses yeux, Saori en a une importante collection. Elle prend soin de ses longs cheveux, héritage de sa mère, ils lui arrivent au milieu du dos et les laissent sans entrave une grande partie du temps.

Saori ne dépasse pas le mètre soixante, sa petite envergure la rend ravissante vers la gent masculine et très populaire. Certains la qualifient de chubby, ce qu'elle trouve erroné. Elle a des formes certaines qu'elle doit mettre en valeur dans son travail, pourtant Saori est loin d'être potelée. Plutôt svelte, elle a des petites hanches, un ventre plat laissant voir quelques abdominaux, des bras sans excédents qui frétillent quand elle les lèvent. Saori est soumise à une diète spéciale, ne pouvant se faire plaisir qu'une fois dans le mois, ce qui ne l'empêche pas de dissimuler des bonbons et des barres de chocolat dans sa chambre.

Caractère : Les parents de Saori lui ont constamment dit de ne pas répliquer, de se faire toute petite et de se plier aux règles. N'étant pas du Japon, famille d'immigrés, ils voulaient pouvoir se mélanger facilement dans la foule de la basse ville. Elle a suivi de longues années les recommandations de ses parents, le fait de ne pas parler japonais à aider à les écouter. Ils évitaient au maximum de se mêler aux Japonais, sortant en ville exclusivement pour remplir des papiers avec l'aide d'un traducteur.

Saori n'avait pas une grande connaissance de cette nation ni même de son pays natal, un flou qui ne l'a pas aidé quand elle a dû commencer à interagir avec des clients. Des collègues à son activité lui ont appris les bases de la langue pour pouvoir se débrouiller. Et lui ont signalé qu'elle ne devait pas tout tolérer, qu'elle devait avoir du tempérament si elle voulait s'en sortir.

Même après des années, Saori a encore du mal à s'imposer entièrement dans ce métier surtout face à des fortes personnalités, mais elle ne démérite pas ! Quand elle peut prendre les devants elle le fera sans peur et sans hésitation comparée à sa jeunesse. Et ça même dans un japonais approximatif.

Histoire : La famille Atshi a quitté la Corée du Nord avec énormément de difficultés, ils avaient rémunéré un contrebandier qui s'est enfui ultérieurement avec l'argent sans laisser de trace. Dans l'urgence, ils ont jeté leurs ultimes économies à un homme moins sûr et surtout au chemin plus périlleux. Si bien que le petit frère de Saori périt dans la traversée emportée par le courant suite à une tempête…

Suite à des multiples péripéties, la famille arriva au Japon sans papiers et ne parlant pas un mot de japonais ils n'ont jamais réussi à s'intégrer. Ils avaient élu domicile dans un quartier pauvre non loin de la ville, ils vivaient à l'aide du troc et des services rendus. Ce n'était pas la vie de rêve qu'ils imaginaient, pourtant comparé à la Corée c'était un eldorado. Saori n'aimait pas sortir de la tente familiale, les gens à l'extérieur lui faisaient peur. C'est en grandissant qu'elle commença à se risquer à l'extérieur et constamment de journée pour être un minimum en sécurité.

C'est vers ses quinze ans que sa vie changea radicalement, une femme magnifique arriva dans la boue du bidonville perchée sur des hauts talons rouge. Une image irréelle dans cet univers sombre, des hommes en noir la suivait pour regrouper tous les filles ainsi que leurs parents. Saori et sa famille était là, devant la femme sans savoir ce qu'il allait arriver jusqu'au moment où elle commença à parler, ses hommes venaient à traduire dans différentes langues son monologue.

Cette dame, Li Hua venait proposer un futur pour les enfants oubliés, elle se proposait de s'en occuper, de leur offrir une nouvelle vie. Elle prenait en charge, le logement, la nourriture, l'éducation, elle proposait un travail pour les plus grands. Et pour les parents qui venaient à accepter l'offre, ils recevaient une somme d'argent considérable pour les réamorcer dans la vie. La demande camouflée sous des paroles mélodieuses voulait juste dire qu'elle venait acheter les enfants. Des papillons dans les yeux de nombreux parents venaient à approuver, ceux de Saori en outre.

Ce jour-là un dernier aurevoir, Saori se retrouva dans une voiture pour quitter le bidonville pour la grande ville. Un jour dans un hôtel à manger à sa faim, prendre un bain, dormir dans un vrai lit sans les puces. Et le lendemain, elle se retrouva dans un bordel à rencontrer son premier client qui lui prit sans hésitation sa virginité. Madame Hua n'avait pas la moindre intention de s'occuper des enfants, c'était seulement de la marchandises à moindre coups. Si les enfants étaient rentables elle les gardaient sinon ils venaient rejoindre les donjons d'opium.

Saori était populaire avec son jeune âge, ses formes naturelles, son accent coréen et le fait qu'elle ne comprenait pas la langue. Les clients pouvaient tirer parti de sa naïveté pour faire ce qu'ils voulaient. La prostituée grandit dans le même bordel, elle avait le droit de sortir en dehors de ses heures de travail toujours en groupe. Si elle venait à déserter, les hommes de Li seraient prêts à la retrouver pour l'abattre. Ici, on ne rigole pas avec les fuyardes… Le seul moyen de partir était d'acheter sa liberté, de réunir une somme colossale pour retrouver un semblant de vie. Saori était déterminée à sortir de ce bordel, la tête haute et non les pieds devant, économisant tous les centimes possibles.

Autre : Saori travaille dans une maison close de la famille Hua.

Comment avez-vous connu le forum ?Double compte de Li Hua.

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