Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Ayato Nobuchi

Pages: [1] 2 3 4
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Zone Sous-Marine / Re : Sous l'océan ♫ [Pv Lyra]
« le: mardi 25 septembre 2018, 09:47:58 »
Je vis à me faire trainer dans les profondeurs de l'eau, essayant d'imiter le mouvement de queue de la créature, mais cela n'était clairement pas facile, changer un mouvement de marche par un mouvement d'ondulation était assez déroutant. D'autant que contrairement à un humain classique je n'étais pas spécialement doué pour la natation, on pouvait presque considéré que je ne savais pas nager. Heureusement que je pouvais respirer sous l'eau sans avoir besoin de retourner en surface.

J'écoutais la créature se présenter, Lyra, s'était son prénom. Elle parlait de sirène et que j'étais maintenant un triton. Cela était assez difficile à assimiler, du fait que c'était des choses nouvelles. Perdre son humanité n'était pas tellement fait par un choix calme et avec un temps de réflexion, mais il fallait à présent accepter ce fait.  Elle disait être proche du dauphin, quant à moi, elle ne semblait pas tellement savoir de quelle espèce j'étais, par contre totalement au fait qu'il fallait à présent que j'évite les humains, qui sais ce que mes parents pourraient faire s'ils savaient que j'étais en vie, même si je doutais qu'ils envisagent que je sois devenue une créature marine. Elle me disait que j'allais pouvoir rencontrer d'autres sirènes et tritons dans des cités sous-marine, ce qui me rassurait, même si j'allais devoir apprendre le mode de vie. Je pouvais clairement dire adieux à des repas chaud, imaginant mal un moyen de réchauffer.

Elle vint à me guider dans un espèce de labyrinthe de roche, heureusement, je parvenais à mémoriser le chemin, mais il était certain que de moi même je n'aurais pas osé me perdre dedans. Heureusement le chemin ne fut pas si long que ça, venant à déboucher dans une sorte de poche. Lyra vint à me lâcher, venant à instinctivement écarter les bras, comme pour rester bien droit, essayant d'éviter de battre avec ma queue l'eau, pour ne pas refaire de pirouette. Elle se mit à me poser des questions dérangeantes, mais qui devaient avoir des réponses, après tout elle m'avais sauvé la vie. 

-Ayato. En tant qu'humain mes parents cherchent  me tuer.  Je connais beaucoup de leurs secrets et ils veulent me faire taire. Je pense qu'en étant ainsi, ils vont vraiment penser que je suis mort.

Je vins à essayer de me mouvoir dans cette zone, avançant doucement, mes mouvements restant tout de même saccadé, s'était assez gênant de devoir essayer de bouger et d'avoir clairement moins d'aisance qu'elle. J'allais avoir besoin d'un peu plus d’entraînement, mais le principe semblait acquit. 

-J'ai des questions. En terme de nourriture, tu manges quoi ? Tu as des prédateurs, hormis les humains ?

Je me devais de m'informer pour ne pas avoir à mourir bêtement.




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Zone Sous-Marine / Re : Sous l'océan ♫ [Pv Lyra]
« le: lundi 24 septembre 2018, 22:53:11 »
Je la vit me diriger vers les profondeurs, certainement que la transformation nécessitait d’être dans l’obscurité, je ne savais pas comment elle comptait me faire devenir un triton. Elle vint à me lâcher, immédiatement une peur de m’être fait avoir remontait à la surface, la voyant tendre ses main vers moi et entendre un langage inconnue, je sentis la lumière émaner de ma peau, comme si j’étais une ampoule sous l’eau, la sensation dans mon corps était très relaxante, une chaleur que je ne connaissais pas, une sensation de bien-être que je n’avais jamais ressentis, par contre je vis mes vêtements comme se dissoudre. Je voulu battre un peu des pieds, le geste devenant de plus en plus difficile, comme s’ils se raidissaient, constatant que mes pieds se joignaient de plus en plus et que je n’avais pas la possibilité de les séparer.

La fusion des jambes m’émerverillais comme me faisais peur, voyant le bas de mon corps s’allonger, perdre un épiderme de peau pour se recouvrir d’une pellicule d’écaille dont la couleur était semblable à l’améthyste. Mes pieds devinrent une jolie queue de poisson, voyant en dessous de  mes hanches apparaitre des nageoires, supposant que cela devait avoir une utilité quelconque. Mon corps était devenu plus affiné, certainement pour permettre le moins de frottement, bien qu’en voyant la poitrine de l’autre créature, je me disais que cela  ne devait pas être obligatoire. Je mis mes mains sur ma tête, sentant deux appendices à la place de mes oreilles et quand elle me parlait j’entendais très bien. Ma chevelure semblait avoir reçu une nouvelle vie. Je ne voyais pas à cet instant que mes yeux avaient changé, ayant pris la teinte des écailles.  Le corps faisait bien plus féminin que je ne pouvais le voir.

Alors qu’elle venait à dire que je pouvais parler, je me mis à tenter des « ha » « hi » et  « ho » pour tenter de me faire à l’idée de parler sous l’eau. La voix semblait plus fluette, il allait falloir s’y faire, s’est à croire que le destin voulait me jouer des tours. Je voulus tenter de battre des pieds et ma queue se mit à onduler, me faisant faire une pirouette, sans le vouloir, me faisant crier de surprise.
Je me demandais comment j’allais pouvoir bien nager, étant cependant déjà rassurée sur le fait que je pouvais respirer sous l’eau, ce qui était une bonne chose. Je vins à tendre une de mes fines mains vers la créature, pour qu’elle me traine où elle souhaitait, hormis tourner en rond comme un poisson rouge, je ne voyais pas trop comment je pourrais me déplacer pour le moment.

Apparence d'Ayato en Triton

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Zone Sous-Marine / Re : Sous l'océan ♫ [Pv Lyra]
« le: lundi 24 septembre 2018, 19:07:12 »
Je pouvais voir le bateau gigoter sous les vagues, mais tenter de rester à l’endroit où j’étais. Sans doute attendaient-ils dans le cas improbable où je pourrais remonter.  Je vis alors une chose se mettre à s'approcher. Je pensais immédiatement à un requin, ne me concentrant que sur la partie écailleuse de la créature. Ce n’est qu’une entendant la voix que je vins à me figer, observant, les yeux grand ouvert cette créature.

Je n’y connaissais rien en monstre et ne savait pas ce qu’Il…. Enfin elle … était.  Le mot « sauver » restait cependant gravé dans mes oreilles. Elle voulait m’aider, aussi je vins à me laisser faire, de toute manière dans la situation actuelle, elle ne pouvait clairement rien me faire de pire que de me faire mourir plus rapidement ou plus violement qu’une noyade ferait.  Je me mis à rougir, relâchant quelques bulles d’air, alors que je la sentais m’embrasser et remplir mes poumons, mon corps n’était plus en train de suffoquer, me laissant totalement hébété par cette situation et cette action qui m’avais sauvé la vie pendant une minute de plus. 

J’eus un sursaut en sentant du froid au niveau de mes pieds et observer la chaine gelée, comme si elle avait été mise au congélateur avec de l’eau dessus, sans que l’eau autour ne soit sujette à la congélation.  Je ne pouvais comprendre que la créature avait utilisé de la magie. Je tentais de nager, mais la créature pouvait voir que je n’avais clairement pas des compétences de nages comme elle.
Elle vint à m’offrir davantage de l’air et puis à me parler. Elle ne lésinait pas sur les mots, je savais que le bateau en haut était une menace, qu’ils allaient me tuer s’ils me revoyaient sur la berge.  Je tentais de me gratter la tête frénétiquement. Je devais faire un choix rapide, devenir un truc comme elle, ce que pensais qu’elle disait par triton, soit retourné à la berge, mais dans le dernier cas je risquais de me refaire prendre. Cependant le premier choix était être condamné à l’océan, je ne savais pas si j’aurais le courage de tenir mentalement. Le choix devant se faire vite, je vins à désigner sa queue de poisson, autant continuer à fuir dans les océans, telle était la décision que j’avais fait dans la précipitation.


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Zone Sous-Marine / Sous l'océan ♫ [Pv Lyra]
« le: lundi 24 septembre 2018, 16:10:10 »
Je venais de fuir un groupe de voyous qui voulais casser du sans domicile fixe. Je vins à passer pardessus une barrière, venant à courir sur les docks du port.  J’avais semé les  voyous, mais n’eus pas le loisir de pousser un soupir que deux voitures noire jaillir de nulle part, l’un m’empêchant de reculer, l’autre venant à bloquer la seule sortie.  Je n’eus pas le temps de pouvoir me jeter à l’eau que l’on vint rapidement à me plaquer et scotcher mes jambes et les pieds, ainsi que ma bouche, pour que je n’hurle pas. 

Ils se mirent à attendre un appel, venant à frissonner quand ils me passèrent l’appareil à l’oreille, entendant la voix de mon père. 

- Et bien, et bien. Tu nous auras fait courir partout, ainsi que dépenser une somme considérable pour te retrouver. Tu as de la chance, ils vont s’assurer que tu ne nous cause plus de soucis. Il parait que c’est la bonne saison pour admirer la mer, tu diras bonjour à tes camarades de classe de ma part

Ils se mirent à parler dans une langue que je ne connaissais pas et fut emmené sur un petit bateau, alors que le temps se mettait à se gâter. L’un des hommes se mit à m’attacher des poids aux pieds, je tentais de me débattre, je savais à présent ce qu’ils comptaient me faire.  Je parvins à donner un coup de pied, mais l’homme vint à me calmer en frappant mon abdomen avec toute la force de sa jambe, me faisant recroqueviller de douleur. 

Les vagues semblaient prendre de plus en plus d’ampleur, sentant que les hommes faisaient moins les malins. Je tentais de me débattre à nouveau quand deux me saisirent pour me faire passer par-dessus bord. Je me mis à essayer de gesticuler, alors que les poids ne faisaient que me faire descendre vers une inéluctable mort.

Dire que si j’avais mes mains de libres je pourrais me défaire de mes poids, n’étant tenue que par un système simple de crochet, simple mais terriblement efficace dans mon cas.  Je ne voyais pas comment je pourrais survivre cette fois, le désespoir commençant à me faire gesticuler inutilement.


5
Je n’avais pas vraiment de connaissance dans les coiffures à la mode, il faut dire que j’avais d’autre priorité que de devoir me faire « belle ». Je me laissais faire, après tout cette créature était plus expérimentée que moi en ce qui concernait les coiffures et la beauté en général, ce qui n’était pas aussi rassurant que je pouvais le faire croire.  Le sèche-cheveux se mit à me faire frissonner, j’avais la sensation que mes cheveux me chatouillaient le dos, venant  de temps à autre tenter de courber ce dernier pour éviter d’avoir un frisson plus visible qui remontait mon échine.  

Elle se mit à me demander si je préférais la pêche ou la framboise, je me doutais que s’était certainement pour parfumer mes cheveux, je vins à répondre.

- Les deux me vont, mais j’ai une légère préférence pour la pêche.  

Pourquoi la pêche ? Tout simplement car cela me semblait être une odeur plus douce et discrète que la framboise qui était une odeur très sucrée.  Je me laissais conduire dans sa chambre, ne regardant pas trop tout ce qui trônait sur le lit et les meubles. Je vins à observer les tenues de la créature, venant à vite comprendre que trouver une tenue descente serait très difficile. Elle se mit à me demander un avis sur une coupe, venant à me montrer une page d’un livre pour adulte, venant à rougir un peu en voyant le bas et me reconcentrer sur la coupe en elle-même.

- Cela serait parfait.

Je me remis à chercher une tenue qui pourrait un minimum me couvrir quand même. Malheureusement, il n'y avait aucune robe ou tenue qui pouvaient réellement bien me couvrir. Tout ce que je trouvais ce n'était que des ensemble qui laissait le fessier à l'air et qui était très restreint au niveau de l'entre-jambe. Je ins à piocher à droite et à gauche les éléments. Je pris des gants qui remontaient  au-dessus de mes coudes, en guise de chaussure, des chaussures avec un talon, ne trouvant pas des chaussures plate, ses chaussures semblaient aussi faire office de collant, remontant à mi-cuisse et qui semblaient ne pas pouvoir tenir tout seul. Je ne connaissais rien sur la matière, sans doute me trompais-je, mais je vins à prendre un bas qui avaient des attaches, j'avais remarqué que certaine femme utilisaient ses attaches pour tenir les collants. Pour ce qui était de couvrir le haut, je vins à prendre une tenue à bretelle, je crois que le terme est bustier, mais je ne suis pas sur du terme. Il y avait un collier avec .... je vais le prendre juste au cas où, si la matière est chaude, cela pourra toujours protéger un peu ma gorge des coups de froid.  Je vins à déposer le tout sur le lit.

- Tu penses que cela pourrait m’aller ?  

Je montrais la tenue en question. Si elle avait d’autres proposition je n’allais pas dire non, cela aurait certainement été une mauvaise idée.  

Image de la tenue.(image trouvée par Sayuki)

6
Je sentait mas peau comme se faire retirer petit à petit, il ne s'agissait que de la saleté qui s'était incrusté, j'avais beau me laver sous l'eau de pluie, les savons et shampoing prit n'étaient pas de bonne qualité, sans parler du fait qu'avec les rencontres des deux flics, j'avais stoppé de me laver, pour ne pas être prit . je fus surprit de voir la blancheur de ma peau, une peau pale mais d'une grande douceur.

La créature se mit à me faire un petit résumé du programme, une séance de remise ne forme, avec repas et sommeil; Puis elle parlait de préliminaire, quand vint la remarque sur les vêtements, je vins à hausser des épaules, même si je ne connaissais pas les tenues de latex. 

- Un vêtement est un vêtements, j'ai prit l'habitude de m'habiller avec ce que je trouve. 

Je me mis à gémir en sentant les doigts de la dénommée Sayuki, se mettre à gratter mes cheveux, sentant les nœuds se défaire ou se casser, cela faisait un peu mal, mais je savait que s'était nécessaire pour retrouver une chevelure plus saine. Quand je sentit l'eau tomber sur mes cheveux et mon visage, je vins à fermer les yeux et couper ma respiration, sentant l'eau drainer les cheveux cassé et faire onduler sur mon dos et mes épaules les autres qui avaient tenu.

Elle me questionnait sur le fait d'avoir des cheveux long, je vins à les saisir et les rabattre sur le côté, comme pour les protéger.

- Ne les coupez pas.

Mes mains se remettaient à trembler. 

- Je ne sais pas pourquoi, mais ne les coupez pas. 

Je n'avais jamais pensé à les couper, au contraire, cette idée me terrifiait.  Malgré tout ce temps, je n'avais visiblement pas fini mon deuil de mes camarades morts. Je me sentais très bien avec mes cheveux long, je n’avais que faire de ressembler à une fille ou pas.

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Je repensais à tout ce qui se passait, à essayer d’imaginer la suite ce qui se passerait, mais je n’avais pas suffisamment de connaissance pour connaître mon futur. Devenir une créature comme elle était-ce une vraie bonne idée ? Ses paroles étaient aussi tentantes, qu’une part de moi restait en tête que tout cela pouvait être une immonde mascarade. 

C’est alors que les ailes de la jeune femme se mirent à nous entourer, je restais tout de même surpris de constater que ses ailes étaient aussi grandes. Je vins à bouger un peu la tête, pour observer les alentour, où les ailes ne bouchaient pas la vue et j’avais l’impression que le monde autour de nous se mettait à devenir de plus en plus flous, comme lorsque j’avais des vertiges.  Cela était surréaliste et tout se mit à devenir plus net, mais différent. Une fois les ailes dépliée, je découvrais une chambre qui avait quelques peluches et une décoration assez féminine.

Mais je n’eus pas le temps de poursuivre ma contemplation, qu’elle me prit par le rbas pour me tirer vers la salle de bain, réveillant quelques mauvais souvenir, mais me laissant faire. Elle s’occupait de me déshabillait, malgré que je disais être tout de même en état de faire cela  tout seul. Son commentaire sur mon dos fut sans aucune opposition, elle marquait un point.

Elle me passait un gant et du savon, venant à faire couler un petit peu d’eau pour l’humidifier. J’étais habitué à utiliser peu en profitant de la pluie. J’eus un geste vif de retrait en sentant l’eau tiède, qui me semblait chaud, puis entreprit de frotter mon corps. J’eus un frisson en sentant le gant de la dénommée Sayuki venir s’occuper de mon dos, n’ayant pu réfréner une courbure vers l’avant au premier contact.  Je me mettais à réfléchir, donner ma vraie identité serait sans doute encore trop dangereux, un pseudo, un pseudo.  Je pouvais sans doute utiliser celui utilisé envers la policière, non trop dangereuse. 

- Aya, c’est mon pseudonyme.

Je ne pouvais me résoudre à utiliser Ayaki, me remémorant de mauvais souvenir, ni Akino, qui sait si cette policière a tout de même fait un rapport quelconque sur ma personne.
Je ne pouvais m’empêcher d’avoir de la méfiance à son égard, même si le fait qu’elle démontre des capacités inhumaines semblait me pousser à croire à ses dires. Mais qui sait quel genre d’individu mes parents avaient engagé pour me traquer, ils avaient bien payé un espèce de terroriste, alors une créature surhumaine était possible.  De toute manière je trouverais bien des indices pour savoir qui cette Sayuki est vraiment.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Main en l'air ! [pv Masaki]
« le: mardi 17 avril 2018, 14:14:48 »
Je ne bougeais pas d’un pouce en sentant la lame, cela restait difficile vu que j’avais la terrible envie de fuir cet endroit, mais cela n’était pas possible dans mon cas. JE pus sentir l’arme quitter sa position, oyat le membre dressé de ce type, il semblait éprouvé beaucoup de plaisir à cette situation, ce qui ne me rassurait clairement pas sur la suite. Il allait continuer à jouer avec moi, sentant mon ventre comme se comprimer sur lui-même, sans parler de mon membre qui devenait de plus en plus douloureux, mais je me disais qu’il allait m’en remettre une autre si j’ouvrais la bouche à nouveau.

Quand il énumérait le fait de ne pas mentir ou désobéir, je vins à hocher positivement de la tête, que pouvais-je faire d’autres ? Il était totalement maître de la situation et du lieu. Je vins à me lever, même si mes jambes tremblaient beaucoup, je faisais de mon mieux pour essayer de cacher mon état de peur. J’eus un léger cri de souris, quand il me saisit et me tirais vers lui.

C’est alors qu’il m’indiquait la machine et ce que je devais faire, ayant un sursaut en sentant la petit claque sur mes fesses, venant à ne pas réfléchir plus et me mettre comme il me disait d’être, entre rester en vie et avoir honte, le choix était vite fait.  J’entendis l’homme me dire de me masturber. LA posture n’était pas naturelle pour moi, mais je fis de mon mieux, venant à découvrir que mon membre était devenu plus sensible,  était-ce à cause des élastiques ?  Cela avait cependant du bon, car mon entre-jambe était moins douloureux. Mes doigts restaient cependant tremblant, essayant de faire des gestes assez rapide, mais pas trop, car une fois que je viendrais à me lâcher la douleur reviendrait sans doute. 

Le fait de ne pas voir cet homme m’inquiétait grandement, je ne savais pas s’il se contentait de regarder ou s’il était en train de préparer la suite. 


9
J’écoutais attentivement l’étrange créature se mettre à expliquer, venant à parler d’une mère qui transmettrait ses gènes, donc cela ne serait pas d’un claquement de doigts. Je fus cependant assez surprit qu’en vérité j’allais rejoindre sa famille et être un membre à part entière, certainement serais-je considéré comme le cadet de ce groupe, croyant que mon âge humain n’allait pas influencer sur mon rang dans cette famille de démon.  Après je devais avouer avoir un certain apriori sur qui était la mère de cette créature.

Je ne pus m’empêcher d’avoir un sourire nerveux en l’entendant parler d’esclave, ouais si je comprenais bien elle avait certainement déjà des esclaves à ses pied, d’un autre côté c’était une créature que je ne connaissais pas, sans doute dans leurs civilisations les esclaves c’est l’équivalent de nos animaux de compagnie. Elle se mit à me dire que j’allais avoir des cours, un nouveau sourire se mit à se dessiner sur mes lèvres, combien de temps n’avais-je pas été instruit par quelqu’un ? Je ne savais pas. Cependant, la suite me fit bien moins rire. Visiblement la race de cette femme était très dépendante du sexe, sans parler des trucs « saint » comme elle disait, sans doute des objets issu de religion, le genre de chose que je n’ai pas été instruit. Plus je l’écoutais, plus j’avais l’impression d’avoir passé ma vie dans une tour d’ivoire loin de tout. 

La femme semblait s’inquiéter de mon état avant de me transformer. Il était vrai que comparé à une des personnes circulant dans la rue, je faisais grise mine. Cela dit c’était bon signe, car cela voudrait dire qu’elle s’occuperait de moi avant la transformation et que j’allais certainement pouvoir loger au chaud et manger pendant un petit temps. 

Je mis un petit temps à garder le silence avant de pousser un soupir.  Tout montrait qu’elle n’était pas humaine, que pouvait-il m’arriver de pire que de continuer à me cacher, surtout que sa demande semblait sincère.

- Je m’en remets à toi et à ta mère. 

10
Elle fit un geste, mais cela n’avait rien d’hostile, elle semblait au contraire être très sereine, venant à lancer une remarque qui était blessante, mais pleine de vérité. Je n’avais pas véritablement le choix, si je tentais de reprendre une vie normale, je ne pourrais rien faire de plus que d’attirer le regard de mes parents et donc mettre ma vie davantage en danger.

Je voyais mal en quoi cette femme aurait une proposition intéressante, quoi qu’il arrive je ne pourrais aisément effacer mon existence et cela n’allait certainement pas se faire d’un claquement de doigts, aussi j’eus un regard plein de surprise et d’incompréhension quand cette créature vint à proposer de me changer en incube ou une créature comme elle. Visiblement incube voulait désigner une créature de sa rave mais de sexe masculin.  La proposition de changer de sexe était celle que j’avais le plus retenu, les autres étant encore trop vague pour le moment pour me faire une représentation fidèle. Être une femme pourrait être une excellente idée, mes parents doivent se douter que je ne vis pas avec de l’argent, donc changer de sexe par la chirurgie était impossible, si ce changement pouvait se faire, cela serait certainement le meilleur moyen d’avoir une longueur d’avance sur les tueurs à mes trousses.

Son tatouage sur le bas du ventre se mit à émettre une lumière étrange, voyant cette créature devenir un jeune homme androgyne. Mon regard fut grand ouvert, cela n’était clairement pas une capacité humaine et changer aussi aisément était surprenant, voire terrifiant. La créature vint à m’expliquer qu’il s’agissait d’une magie et que l’effet était temporaire, tout en me disant qu’il allait falloir corrompre mon âme à la luxure.

S’en suivit un petit résumé avec en prime une proposition de logement et des repas. Elle me proposait en somme d’être transformé et d’être certainement u serviteur ou un truc du genre. Je vins à abaisser le tuyau, de toute manière cela serait certainement inutile si elle venait à se transformer en quelques chose de plus costaud.

- Je veux savoir, avant de répondre, quels sont les faiblesses de vot … ta race et quel intérêt tu en tirerais ? Je doute que tu me laisses loger chez toi sans rien demander en échange, je vais devoir faire le ménage ou des trucs de ce genre ? 

Je voulais un peu plus d’information, même si au final mon choix avait été déjà fait, entre retourner à une vie avec une laisse autour du coup et une où je risque d’avoir un canon de fusil sur la tempe, je préférais avoir moins de liberté, mais voir ma survie augmenter. La réflexion n’allait pas plus loin que l’espérance de vie gagné. Je comptais de toute manière accepter, prenant le risque qu’elle mente, mais son attitude faisait bien plus petite princesse que tueuse.



11
Le fait qu’elle me dise que je ne pouvais survivre bien longtemps me faisais sourire, un léger sourire moqueur. Elle ne devait pas avoir passé ses journées sous la pluie à gratter les poubelles pour trouver un biscuit à manger. Je n’étais peut être pas courageux, mais j’avais envie de survivre et, jusqu’à maintenant, je suis encore en vie, même si ce soir j’aurais certainement douillé sans sa présence. Elle semblait bien maîtriser le japonais, sans ses ailes et ses cornes on aurait pu croire qu’elle était une native. Elle semblait aussi avoir une bonne éducation, ce qui voulait dire qu’elle devait être ici depuis un moment, avais-je mit les pieds sur son territoire ? Très certainement, mais je n’allais pas partir pour autant, cet endroit disposait de tout ce qu’il me fallait pour survivre et je n’avais pas encore suffisamment de soupçons que l’on ait fini par retrouver ma trace.   Une chose était cependant certaine, je devais éviter au maximum qu’elle m’embrasse, je ne comprenais pas comment elle faisait, mais c’était par le contact de ses lèvres qu’elle semblait drainer les forces des personnes. D’où le fait que je maintenais une certaine distance avec elle.

Cette étrange femme se mit à me questionner si je n’avais pas d’idée sur ce qu’elle était. Je n’avais aucune connaissance des créatures fantastiques, mes parents préférant de loin m’éduquer à la réalité de ce monde qu’aux divagations des esprits pouvant se permettre d’être dans leurs lubies. Je fis un geste négatif de la tête, je ne savais rien et elle vint à m’éclairer de son savoir. Un succube, à l’entendre dire sa race représentait le rêve de toute personne ayant des désirs sexuels. J’en avais, je ne pouvais dire le contraire, mais j’avouais ne pas comprendre comment on pouvait vouloir faire l’amour avec une créature qui vous laissait au sol, vidé de son énergie par simple baisé.
Elle vint cependant à dire son âge, ne sachant pas comment prendre cette déclaration, il devait s’agir d’âge humain, mais cela avait-il un parallèle avec l’âge des succubes, quand on sait qu’un chien fait deux fois, biologiquement, l’âge humain, je ne pouvais savoir si je devais la considérer comme une aînée ou une cadette.

Quand la femme se mit à parler d’une idée pour que mes parents ne me retrouvent pas, les termes « définitif » et « aucun retour en arrière possible » sonnèrent différemment à mon oreille. Mon corps suintait de peur, venant à saisir la première chose à portée de main, par chance c’était un vieux tuyau, mettant cet objet entre moi et cette femme. Je faisais de mon mieux pour essayer de cacher ma peur.  J’avais une forte suspicion qu’elle pouvait être une tueuse envoyé par mes parents, après tout rien ne m’étonnerais d’eux, une femme en apparence fragile, capable de drainer l’énergie facilement, quoi de mieux comme piège afin de me tuer.

- N’avancez pas !

Mon ton était froid et tremblant, le vouvoiement dressant un autre rempart. 

- Vous pouvez me dire votre idée, mais restez à distance, si vous êtes à moins de deux mètres, je n’hésiterais pas à vous frapper.

Je resserrais ma prise sur mon tuyau. Je n’étais pas certain de pouvoir agir si elle se jetait sur moi, ma salive avait du mal à être avalé. Je ne pouvais fuir, car cela reviendrais à passer sous la barre des deux mètres minimum et en plus de m’exposer à une attaque d’elle. Ma concentration était focalisé sur elle, sur ses moindre gestes, ce qui me demandait beaucoup d’effort mental, le genre de chose dont je n’étais plus tellement habitué, sans parler que mes jambes semblaient vouloir à nouveau être fatigué. 



12
Je continuais de me tortiller de droite à gauche pour grappiller les centimètres, sentant la chemise de lycéenne craquer et des boutons sauter dans ma tentative de fuite. Les minutes me semblaient devenir une véritable éternité, mes sens étant en éveil, entendant ce qui se passait à côté de moi, les bruits de baise, entendre la femme gémir et en demander plus, ce qui ne faisait qu’accentuer le frisson que j’avais à la nuque, un frisson de peur, il était probable qu’elle soit la dernière debout et rien ne pourrait l’interdire d’agir de la même manière à mon égard. Cette pensée désagréable me fit aller plus vite dans mes mouvements, avançant avec une telle lenteur que s’en était risible.

Le bruit des mecs qui s’écroulait a sol de fatigue m’annonçais que j’étais de plus en plus proche du moment où je serais seule avec elle et comme je ne savais pas comment elle comptait réagir, cela augmentait la pression qui me prenait à la gorge.  J’entendis le dernier mec pousser un petit cris de peur.

- Sa … sale monstre !

S’en suivit un bruit de cris étouffé puis plus rien. Prenant mes jambes à mon coup, je vins à bouger plus rapidement, entendant derrière moi un battement d’aile, puis la femme atterrir devant moi, me barrant le passage. Je ne bougeais plus d’un pouce, sous le choc de cette vision. Les ailes étaient bien trop réelle et la voir se poser devant moi démontrait que c’était de vraie ailes, je pouvais donc en déduire que les cornes étaient aussi réelle, d’où leurs résistances. J’eus un frisson en entendant les liens sauter dans un bruit qui me fit dresser les cheveux, sursautant au bruit métallique du système permettant le maintien des ceintures.

L’étrange créature se mit à me questionner, rappelant ma méfiance naturelle vis-à-vis d’autrui. Devrais-je parler ? Elle était une créature, certes, mais rien ne me disais que mes parents avaient engagé cette créature pour jouer avec moi, ils en seraient tout à fait capable, ce sont des pourritures jusqu’à la moelle après tout.  Je me relevais tout doucement, venant à courber légèrement le dos, tout en la regardant, méfiant.

- Je vous remercie pour votre aide. Bien que je ne comprends pas trop ce que vous avez fait et ce que vous êtes.

Autant jouer la franchise sur l’incompréhension, peut-être serait-elle du genre très fière et allait cracher le morceau sur ce qu’elle était, les gens ayant un égo surdimensionné ont tendance à en faire beaucoup. Restait en suspend la réponse à ses questions, je devais répondre la vérité, rien ne disait que cette femme pouvait discerner le faux du vrai, tout en évitant d’en dire trop. 

- C’est une longue fugue en effet. Mes parents et moi-même avons une opinion opposée sur mon avenir.

C’est le cas de le dire, il n’y a rien de plus opposé que survivre et être mort. Je venais de tiquer, qu’elle avait m’avait dit « mec », elle avait donc un meilleur sens de l’observation que ses personnes. Ma pomme d’Adam sans doute ou autre chose. Ma chemise n’avait pas eu le temps de vraiment s’abîmer, des boutons et quelques couture de sauté, rien qui n’allait réellement poser de soucis. J’étais déjà bien préoccupé à éviter que la peur me submerge devant cet être étrange qu’était cette femme. Plus vite je serais sortie de cette ruelle, plus vite je pourrais souffler, cette femme me file les chocottes.


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Je regardais la scène, je ne pouvais pas tellement faire autrement afin d’essayer de trouver un moment pour réussir à passer. Je ne pouvais empêcher mon corps d’éprouver de l’envie devant cette scène, ayant un peu mal à la gorge en voyant cette femme se faire prendre avec force, mais elle semblait pourtant éprouver du plaisir à être traitée ainsi. Je ne pouvais pas dire si je la comprenais ou non, premièrement je n’étais pas une femme et deuxièmement, je n’aurais pas aimé être à sa place.

Alors que les hommes se rassemblaient encore une fois autour d’elle, ne laissant aucun membre sans son petit plaisir, je venais à longer tout doucement le mur parallèle à l’avenue principale, je ne devais pas trop bouger, sans quoi je risquais de me faire repérer. Je me mouvais donc centimètre par centimètres, alors que je voyais bien que cette femme ne semblait pas s’épuiser une seule seconde, tandis que les hommes semblaient la bourrer de plus en plus, comme s’ils se doutaient qu’elle n’allait pas tomber de fatigue si aisément. J’eus la confirmation qu’elle n’était pas normale quand le second mec à avoir tenté la fellation se mit à tomber au sol, son corps montrant des signes de fatigue intense. L’homme vint à s’écrouler sur le mur opposé, venant à faire une parfaite diversion, sans parler de cette femme qui en demandait plus, toujours plus, étant comme un gouffre se nourrissant de l’énergie de ses pauvres hommes trop imbue d’eux-même pour reculer devant le fait qu’elle était inhumaine. 

Je pensais de plus en plus qu’elle ne pouvait pas être humaine, son endurance était trop importante à mon goût. Je me trompais certainement, après tout il pouvait peut être exister ce genre de femme insatiable, cela venant à me faire poser des questions sur son éducation.  Les hommes qui restèrent debout se regardaient, sans doute comprenaient-il qu’il allait utiliser d’autre méthodes.  L’un d’eux se mit à saisir les jambes, derrières les genoux pour la suspendre dans le vide, les jambes bien écartée, le mec la tenant venant à la sodomiser, alors qu’un second vint à la prendre de face, faisant le sandwich promis. 

- On va te faire ravaler tes paroles petite chienne, tu vas nous supplier de nous prendre après. 

Le troisième se mit à regarder l’endroit où j’étais précédemment et vint à me capter. Je voulus me mettre à fuir en courant, mais il m’agrippait les cheveux, faisant pousser un gémissement de douleur. 

- Hep hep hep !  Toi ma mignonne tu restes là.

Il se mit à saisir deux ceintures, m’obligeant d’être face contre terre et m’attacher les pieds, avant de me lier les mains dans le dos. 

- Comme ça ma biche, tu ne pourras pas te carapater bien loin.  Les mecs vous me faire une places ?

Les deux hommes vinrent à faire basculer le corps du succube, lâchant une jambe pour qu’elle puisse se mettre en équilibre dessus, le corps étant mis parallèle au sol, permettant au troisième de tenter sa chance à baiser la bouche de cette étrange femme, me délaissant totalement, ce dont je ne me plaignais guère.  Je voulus me relever, mais vint à me vautrer, il avait bien serré aux chevilles et mon état ne permettait pas d’avoir un bon sens de l’équilibre.

Il ne me restait en soi qu’une seule issue pour fuir, ramper comme un ver de terre, ce qui allait prendre du temps et abîmer ma tenue, mais entre une chance de fuir et du tissu, le choix était vite fait, sans parler de ce désir qui montait et que je ne voulais pas.


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J’entendis la lycéenne se mettre à faire un commentaire salace, venant à la voir s’occuper du chibre du leader. Je n’avais pas une vision directe sur ce qui se passait et d’un autre côté je me disais que c’était certainement mieux pour moi. Le mec semblait prendre son pied en venant à prendre la gorge de la sauveuse, les autres ayant sorti leurs bâtons, venant à les astiquer vers la femme. La scène était assez embarrassante pour moi.

Je vis le chef du groupe venir à saisir les cornes de la lycéenne et il semblait forcer pour enfoncer bien plus profondément son membre, venant à dire.

- Bouffe la moi plus profondément. 


Je ne savais pas, mais je ressentais comme un manque d’assurance dans ses propos, les autres mecs semblaient se regarder, ils n’avaient pas jouit depuis un petit moment déjà, ce qui me semblait assez étonnant, les voyant bien plus se vider en chaine, pour bien souiller la jeune femme. Le leader fut le premier à jouir, mais tombait au sol, alors que les autres souillaient de leurs semences la lycéenne. Ma gorge se resserrait à la vue de cette scène, mais très vite mon regard se portait sur l’homme au sol. Son souffle était sifflant, son cops ne bougeait presque pas. Sans la respiration, j’aurais certainement pensé qu’il était mort, un frisson parcourut ma nuque en reposant mon regard sur la femme, qui ne semblait pas essoufflé du tout. Quelques choses clochaient, j’avais la désagréable impression que le groupe avait rameuté un prédateur encore plus dangereux.

Je vis la femme prendre une posture provocante et inviter les autres hommes à donner d’avantage. Ils ne se firent par prier, l’un d’eux se permit de prendre la femme sans prévenir, venant à pousser un gémissement en s’exclamant.

- Putain, elle est étroite, je vais te l’élargir comme il faut. 


Un autre vint à prendre la place du leader pour saisir les cornes, qui semblaient résistant  et pas uniquement des accessoires bon marché, enfonçant son membre dans le gosier, laissant aussi un commentaire.

- Le chef l’a pas assez travaillé, j’espère que t’aime les gorge profonde sale pute. 

Les deux autres se contentèrent de se masturber, l’un deux venant à dire avec un grand rire. 

- Après vous on va la prendre en sandwish, travaillez la bien les mecs

Ils étaient bien trop focalisés sur la lycéenne. L’attitude de cette dernière me fit à nouveau frémir. Mes jambes semblaient aller un peu mieux, m’agrippant à ce que j’avais sous la main pour me relever doucement et réfléchir comment me sortir de cette impasse. J’étais bloqué, mais je me disais que cette femme n’allait pas me laisser partir comme ça. Elle semblait grandement apprécier les hommes, comment allait-elle réagir en sachant la vérité, de la colère ? Pire que ça ? Je ne savais pas et c’est ce qui m’inquiétais. 

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Je les entendais parler de comment ils allaient profiter de moi et m’amocher, mes jambes venant à flancher sous la fatigue. Je continuais mes appels sourde, quand une voix vint à stopper les conversations, une voix et qui avait la mauvaise idée de chercher des crosses. La fin de sa phrase me fit rouvrir les yeux, voyant cette femme avec des attributs assez atypique. Elle semblait les inviter à  passer sur elle, bien que je fus légèrement insulté par le terme de « gamine crasseuse », n’étant pas si sale que ça, je la regardais, ne sachant pas si je devais la dire de déguerpir ou supplier pour son aide. 

Sa tenue et son attitude me faisait penser qu’elle devait certainement être une de ses lycéenne qui aimait jouer les catins la nuit tombé, quel autre genre de personne serait aussi peu vêtu et dirait ouvertement vouloir baiser.

Son intervention vint cependant à désamorcer la situation, le chef du groupe se rapprochant de ma sauveuse pour l’observer, puis saisir son visage avec un sourire carnassier. Il se mit à dire qu’elle était un peu plate et qu’elle avait intérêt à avoir de quoi satisfaire son groupe, sinon elle aurait le droit à se faire défoncer comme moi.

J’aurais pu me mettre à courrir, mais mes jambes ne répondaient plus, j’étais trop épuisé ou était-ce le fait de voir cette lycéenne sur le point de se faire passer dessus qui me paralysait. Le reste du groupe se mirent à entourer ma sauveuse, assistant, impuissant à la suite. J’étais certainement le plus pathétique de tous, ne pouvant me résoudre à laisser cette personne toute seule et n’ayant pas la force de venir l’aider. 

Je tentais de me relever une énième fois, mais mes jambes étaient encore endolories par la course effrénée.  Je ne pouvais absolument rien faire, si ce n’est attendre qu’ils en aient fini avec elle et que je sois le prochain sur la liste.

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