1
L'Art / Re : [HENTAI] Some lemons...
« le: samedi 17 décembre 2016, 13:22:47 »
Ça fais plaisir de revoir les Some lemons reprendre, j'avais beaucoup aimé les précédents et encore une fois il est très bon, vivement la suite
Voir les derniers messages
Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.
2
Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Une strip-teaseuse au lycée [PV Ethan Garest]
« le: mardi 13 décembre 2016, 02:54:04 »
Le contact que j'eus avec elle instinctivement me plut beaucoup aussi. Avoir la main d'une femme dans la sienne était quelque chose de magique en soi, elle était si douce, si douce que j'aurais presque regretté de ne pas l'avoir caressé un peu en plus, mais cela lui aurait sûrement déplu et je ne l'avais pas fait pour mon plaisir personnel, il n'y avait que peu de chances que cela lui plaise aussi en plus. Non finalement, heureusement que ce n'était pas allé plus loin.
Après avoir payé l'addition, j'étais encore rêveur de me retrouver là avec une autre femme, cela ressemblait vraiment à un rendez-vous amoureux, et lui avoir pris la main comme ça ne devait pas avoir aidé. Un frisson remonta le long de mon corps alors que j'imaginais déjà encore plus de regard se poser sur nous, accusateur ou encore curieux. Je m'enfonçai presque dans mon siège et mes joues s'empourprèrent encore un peu plus, mon cœur battait à tout rompre. Mais ce dernier rata un bond alors qu'un autre pincement, mais différent cette fois se fit ressentir.
- Arrête de faire ton timide ! Je préférerais encore que tu fixes...
Sa main était passé sans que je m'en rende compte sous mon visage, un doigt juste en dessous du menton pour me l'attraper et me faire relever la tête. Nos yeux se croisèrent, proches l'un de l'autre, mais j'étais bien trop surpris par ce que j'étais en train de sentir pour en être gêné. Il y avait de l'irritation, pas au point de la colère, mais tout de même une certaine forme d'agacement, et elle était dirigée contre lui. Il est vrai qu'avec les femmes, j'éprouvais beaucoup de difficultés, et cela pouvait vite rendre la conversation impossible.
Toutefois, c'est autre chose qui me surpris. Je ne l'avais pas spécialement remarqué sur le coup, mais maintenant qu'elle ressentait ça, et une fois qu'elle redevint normale et me lança un sourire, je pouvais sentir en elle un peu de joie. J'avais vraiment réussi à l'aider ? Ce geste envers elle avait adouci les souffrances de son cœur ? Et comme un idiot, la seule chose que j'avais prit en compte était qu'on pouvait nous prendre pour un couple en rencard, et quelle idée stupide en plus !
- Sinon, quels sont tes centres d'intérêt ? Tu aimes quoi comme genre de films ? Moi, j'aime bien les films d'horreur...
Le rire qu'elle fit m'acheva. Il est vrai qu'elle était une femme, mais elle m'avait aidé, et c'était fort désagréable pour elle que je la remercie de cette manière. Un léger sourire se dessina sur mes lèvres alors que le rouge de mes joues s'envola, ne laissant que quelques petites marques, tout autant signe de ma timidité que de mon bonheur. Mes yeux étaient remplis de gentillesse envers cette femme. On aurait pu croire que c'était la colère que j'avais senti qui m'avait changé, et pourtant ce n'est qu'en partie le cas. Je n'avais pas changé, mais ressentir la joie en elle et savoir que j'avais pu l'aider me rendait tout chose. Je voulais passer un bon moment avec elle et détruire sa bonne humeur, je m'efforçais donc inconsciemment de chasser ce problème, comme quand je ressentais la tristesse chez les autres. D'une voix plus calme, et beaucoup plus chaleureuse, je pus donc répondre:
- Je suis plutôt dans tout ce qui touche à l'art ou la science, mais j'adore passé du temps sur les jeux vidéo, ça reste ce que je préfère. Et pour les films, je suis plutôt film d'aventures. J'ai trop peur devant les films d'horreur et je les évite du mieux que je peux, mais je n'en ai jamais regardé avec quelqu'un encore. Et vous, quels sont vos centres d’intérêt, et que faites-vous dans la vie ?
Après avoir payé l'addition, j'étais encore rêveur de me retrouver là avec une autre femme, cela ressemblait vraiment à un rendez-vous amoureux, et lui avoir pris la main comme ça ne devait pas avoir aidé. Un frisson remonta le long de mon corps alors que j'imaginais déjà encore plus de regard se poser sur nous, accusateur ou encore curieux. Je m'enfonçai presque dans mon siège et mes joues s'empourprèrent encore un peu plus, mon cœur battait à tout rompre. Mais ce dernier rata un bond alors qu'un autre pincement, mais différent cette fois se fit ressentir.
- Arrête de faire ton timide ! Je préférerais encore que tu fixes...
Sa main était passé sans que je m'en rende compte sous mon visage, un doigt juste en dessous du menton pour me l'attraper et me faire relever la tête. Nos yeux se croisèrent, proches l'un de l'autre, mais j'étais bien trop surpris par ce que j'étais en train de sentir pour en être gêné. Il y avait de l'irritation, pas au point de la colère, mais tout de même une certaine forme d'agacement, et elle était dirigée contre lui. Il est vrai qu'avec les femmes, j'éprouvais beaucoup de difficultés, et cela pouvait vite rendre la conversation impossible.
Toutefois, c'est autre chose qui me surpris. Je ne l'avais pas spécialement remarqué sur le coup, mais maintenant qu'elle ressentait ça, et une fois qu'elle redevint normale et me lança un sourire, je pouvais sentir en elle un peu de joie. J'avais vraiment réussi à l'aider ? Ce geste envers elle avait adouci les souffrances de son cœur ? Et comme un idiot, la seule chose que j'avais prit en compte était qu'on pouvait nous prendre pour un couple en rencard, et quelle idée stupide en plus !
- Sinon, quels sont tes centres d'intérêt ? Tu aimes quoi comme genre de films ? Moi, j'aime bien les films d'horreur...
Le rire qu'elle fit m'acheva. Il est vrai qu'elle était une femme, mais elle m'avait aidé, et c'était fort désagréable pour elle que je la remercie de cette manière. Un léger sourire se dessina sur mes lèvres alors que le rouge de mes joues s'envola, ne laissant que quelques petites marques, tout autant signe de ma timidité que de mon bonheur. Mes yeux étaient remplis de gentillesse envers cette femme. On aurait pu croire que c'était la colère que j'avais senti qui m'avait changé, et pourtant ce n'est qu'en partie le cas. Je n'avais pas changé, mais ressentir la joie en elle et savoir que j'avais pu l'aider me rendait tout chose. Je voulais passer un bon moment avec elle et détruire sa bonne humeur, je m'efforçais donc inconsciemment de chasser ce problème, comme quand je ressentais la tristesse chez les autres. D'une voix plus calme, et beaucoup plus chaleureuse, je pus donc répondre:
- Je suis plutôt dans tout ce qui touche à l'art ou la science, mais j'adore passé du temps sur les jeux vidéo, ça reste ce que je préfère. Et pour les films, je suis plutôt film d'aventures. J'ai trop peur devant les films d'horreur et je les évite du mieux que je peux, mais je n'en ai jamais regardé avec quelqu'un encore. Et vous, quels sont vos centres d’intérêt, et que faites-vous dans la vie ?
3
Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Une enseignante à la magie [PV Édéline]
« le: mardi 13 décembre 2016, 02:07:08 »
Produire un tel exercice de mes pouvoirs m'affaiblissait lourdement. Je devais presque me tenir à un mur pour éviter de perdre l'équilibre. Le plus étrange était qu'au repos, la consommation d'énergie était bien plus élevé, preuve même que je devais faire quelque chose de mal, comme un muscle jamais utilisé et qu'on essayait de faire bouger grâce à d'autres muscles. Mais quand on ne sais pas comment le bouger on a pas d'autres moyens, et pourtant, dans les situations de stress ou de danger, il est assez fréquent que ce muscle s'active de lui-même, il fallait maintenant comprendre comment. Et cette femme devait m'aider à cela.
Pourtant, je la sentais encore sceptique. Après tout ça, elle ne voulait toujours pas m'aider ? J'avais finalement une véritable occasion de pouvoir les maîtriser, mais encore une fois, le sort avait décider de se jouer de moi. Mais je ne pouvais pas attendre des années, je devais apprendre à maîtriser cette force, quoi qu'il m'en coûte. Mon poing se serra alors que mon souffle se faisait de plus en plus court, qu'est ce que je ressentais ? De la crainte ? De la colère ? Et pourtant, toutes ces émotions venaient de moi, et je devais les maîtriser. Mais les horreurs que l'on peut entendre à la télé, les morts qui se faisaient par milliers à cause des guerres, tous les crimes commis dans le monde, toutes ces personnes qui souffraient, et toutes ces choses surnaturel dont l'humanité ignore tout et planant au-dessus de leurs têtes tel des épées de Damoclès. Je sentais en moi le pouvoir d'arrêter tous cela, je sentais le besoin de le faire, un besoin vital pour moi, et je ne pouvais encore rien y faire ?
L’éther s'échappa de mon corps et fondit dans les murs, ouvrant les sceaux qu'elle venait de placer pour qu'il puisse se balader librement, à la recherche de ce qu'elle désirait tant. Il était encore invisible aux yeux des humains, et rien n'était sûr s'il était capable de le détecter, mais une chose était sûr, quiconque pouvait sentir l'énergie dans les environs me verrait comme on voit le nez au milieu du visage. Je ne maîtrisais rien à ce moment là, il réagissait tout seul, mais je ne pouvais même plus m'en rendre compte, alors que mes yeux brûlant de désir de pouvoir en découdre, de protéger, d'aider, de sauver et d'aimer. Ses yeux étaient rivés vers cette personne, presque toute ma personnalité venait d'être balayé. Et c'est presque en criant que je lança:
- Ce pouvoir, il est nécessaire à ce monde. Je dois le maîtriser ! Trop de choses s'y passent, trop d'horreurs ont lieu alors même que nous parlons. Tu n'en as peut-être rien à faire oui, mais c'est tout ce que tu veux en dire ? Je n'ai peut-être l'air que d'un fou, mais je montrerais que je ne suis qu'un homme qui cherche à utiliser cette chose qu'il à reçut, et certainement pas dans la joie et la douceur. Tu es la seule qui puisse m'aider et qu'importe que tu ne saches pas ce que c'est, je le transformerais, tout comme je changerais pour pouvoir aider ce monde. Même si tu ne le connais pas, tu as bien plus de capacités que moi, alors aide moi ! Je trouverais cet objet que tu cherches, je t'aiderais et ferais tout ce que tu désires, et te convaincras de m'aider. Aide moi à protéger ce monde !
Les paroles d'un homme désespéré et totalement fou dirait le premier, et pourtant. Ces mots ne venaient pas de ma bouche, mais de celle de l'ange, celle de celui qui est apparut en ce monde avec cet objectif, ce besoin et ce pouvoir, le pouvoir de sauver le monde, et quelqu'un de suffisamment avertit pourrait sans doute s'en rendre compte.
Pourtant, je la sentais encore sceptique. Après tout ça, elle ne voulait toujours pas m'aider ? J'avais finalement une véritable occasion de pouvoir les maîtriser, mais encore une fois, le sort avait décider de se jouer de moi. Mais je ne pouvais pas attendre des années, je devais apprendre à maîtriser cette force, quoi qu'il m'en coûte. Mon poing se serra alors que mon souffle se faisait de plus en plus court, qu'est ce que je ressentais ? De la crainte ? De la colère ? Et pourtant, toutes ces émotions venaient de moi, et je devais les maîtriser. Mais les horreurs que l'on peut entendre à la télé, les morts qui se faisaient par milliers à cause des guerres, tous les crimes commis dans le monde, toutes ces personnes qui souffraient, et toutes ces choses surnaturel dont l'humanité ignore tout et planant au-dessus de leurs têtes tel des épées de Damoclès. Je sentais en moi le pouvoir d'arrêter tous cela, je sentais le besoin de le faire, un besoin vital pour moi, et je ne pouvais encore rien y faire ?
L’éther s'échappa de mon corps et fondit dans les murs, ouvrant les sceaux qu'elle venait de placer pour qu'il puisse se balader librement, à la recherche de ce qu'elle désirait tant. Il était encore invisible aux yeux des humains, et rien n'était sûr s'il était capable de le détecter, mais une chose était sûr, quiconque pouvait sentir l'énergie dans les environs me verrait comme on voit le nez au milieu du visage. Je ne maîtrisais rien à ce moment là, il réagissait tout seul, mais je ne pouvais même plus m'en rendre compte, alors que mes yeux brûlant de désir de pouvoir en découdre, de protéger, d'aider, de sauver et d'aimer. Ses yeux étaient rivés vers cette personne, presque toute ma personnalité venait d'être balayé. Et c'est presque en criant que je lança:
- Ce pouvoir, il est nécessaire à ce monde. Je dois le maîtriser ! Trop de choses s'y passent, trop d'horreurs ont lieu alors même que nous parlons. Tu n'en as peut-être rien à faire oui, mais c'est tout ce que tu veux en dire ? Je n'ai peut-être l'air que d'un fou, mais je montrerais que je ne suis qu'un homme qui cherche à utiliser cette chose qu'il à reçut, et certainement pas dans la joie et la douceur. Tu es la seule qui puisse m'aider et qu'importe que tu ne saches pas ce que c'est, je le transformerais, tout comme je changerais pour pouvoir aider ce monde. Même si tu ne le connais pas, tu as bien plus de capacités que moi, alors aide moi ! Je trouverais cet objet que tu cherches, je t'aiderais et ferais tout ce que tu désires, et te convaincras de m'aider. Aide moi à protéger ce monde !
Les paroles d'un homme désespéré et totalement fou dirait le premier, et pourtant. Ces mots ne venaient pas de ma bouche, mais de celle de l'ange, celle de celui qui est apparut en ce monde avec cet objectif, ce besoin et ce pouvoir, le pouvoir de sauver le monde, et quelqu'un de suffisamment avertit pourrait sans doute s'en rendre compte.
4
Les contrées du Chaos / Re : L'ange du désert [PV Eris Langnar]
« le: mardi 13 décembre 2016, 01:12:59 »
Une fois que le chef des hommes qui m'avaient capturer avait finis de parler avec leurs seigneurs, les soldats m'escortèrent jusque dans la salle du trône. J'avais bien du mal à tenir debout. Je n'étais revenu que depuis peu de temps, j'avais beaucoup utilisé mes pouvoirs et je m'étais fais transporter dans le désert, assommé par l'un d'entre eux. J'avais maintenant la nausée, j'étais épuisé, et je devais être assez blanc, mais je tenta toutefois de me tenir du mieux que je pouvais. Pour accentué un peu plus le tableau, j'étais encore nu comme un ver, du sable un peu partout sur moi et la peau brûlé par le soleil. Au moins, je n'avait pas froid, mais la chaleur pourrait avoir rapidement raison de moi.
Une fois la porte passé, je me sentis minuscule en ce lieu. Le plafond était haut au dessus de nos têtes, décorés de symboles exotiques, finement recouverts d'or. Sous cette voûte, les murs ne palissaient pas, décorés par nombres de décorations tels des peintures ou encore d'autres symboles canon avec ceux du plafond. Leurs tailles immenses donnaient un sentiment de palais des cieux et de lumière, choses confirmés quand on s'attardait un peu sur la décoration qui faisait mainte et mainte fois références au soleil et aux rayons de l'astre, mais aussi en bonne partie dans l'histoire de cette ville. La taille se faisait aussi par la largeur, la salle était immense, avec un sol en mosaïque, et un effet de résonance, la voix s'élevant du trône se faisait aisément entendre de toute la salle. Et quel trône ! Sur un piédestal après cinq marches, le trône dominait tout en ce lieu. Il ressemblait à une immense gueule de dragon ouverte, entièrement en or, un air menaçant m'observant presque. Sa position surélevé lui donnait l'impression de grimper aussi que les murs, ceux-ci ajoutant en plus l'illusion qu'il se trouvait bien au dessus de nous.
Et pourtant, ce ne fut ni la salle, ni le trône qui fut le plus impressionnant, mais celle qui était assise dessus. Épousant parfaitement le trône, une immense majesté exaltait de son corps, alors que sa beauté sans pareille dans des habits à la fois somptueux mais aussi très sensuel redonnèrent des couleurs à mon visage. Ses yeux me donnait l'impression d'être transcender, comme si elle pouvait lire en moi chacun de mes secrets, chaque facette de mon esprit, comme si elle savait déjà tout de moi et même bien plus que je ne pourrais jamais savoir. Quel sentiment étrange, en temps normal, il aurait été aisé de savoir que j'abusais fortement les choses, et pourtant ces sensations étaient réels. Quelque chose me la faisait contempler, quelque chose lui voua un grand respect en moi, et j’eus bien du mal à m'en défaire. D'un côté, et j'ignore comment ou pourquoi, mais je percevais que ses sentiments n'étaient pas les miens.
- Ah, mais par pitié, il faut le vêtir !
Ces paroles impériales me sortirent de ma rêverie, et je me rappela avec beaucoup de gêne que je me tenais devant la dirigeante de la ville et peut-être même de ce désert nu comme un vers et encore un peu salis par le désert. L'un des hommes vint donc en portant dans ses bras un vêtement ressemblant à une tunique, de couleur blanche et marron. J'aimais bien la couleur. L'homme qui la tenait m'aidait à m'habiller dans cette pièce sous le regard de tous le monde, mais au moins, je pouvais de nouveau récupérer un peu de ma pudeur. La texture était souple et légère, et je me sentais plutôt bien dedans. Au moins, je n'allais pas avoir trop chaud avec mes jeans et mes hauts habituels. L'homme se recula ensuite, et je me tenais debout, seul face à celle que j'avais entendu se faire appeler dame Eris. Une situation bien compliquée.
- Quel est donc ton nom, jeune homme ? Tes origines ? Depuis quand es-tu arrivé ici ?
A ces mots, une pression se posa sur mes épaules, déjà à cause du stress de me retrouver ici, tous les regards posé sur moi, me scrutant et attendant ma réponse d'un air presque accusateur. Le plus difficile à soutenir fut bien entendu celui de Eris, brûlant mon âme comme s'il n'était qu'une brindille bien sèche. En elle, je pouvais sentir une émotion étrange, comme une certaine forme d'inquiétude, ou était-ce autre chose ? Je ne le savais simplement pas, et pour l'heure, une autre pression s'accumulait, une pression si grande que je finis par la reconnaître, bien que j'avais peine à y croire. Cette pression, c'était le désert. Je ne saurais dire comment, mais je sentais le désert tout autour de moi réagir à ma présence face à cette somptueuse femme, ressentant l'importance qu'elle avait, mais aussi une forme de destin. Elle était en partie sa maîtresse, son amante, une part précieuse de lui-même, et importante de ce qu'il pourrait devenir. Emporté par cette pression mais aussi par mes propres émotions, je posa un genou en terre, baissant la tête vers le sol et commença à m'exclamer:
- Je me nomme Ethan, Ethan Garest votre douce puissance. Je viens de la ville de Seikusu, au Japon, sur Terre. Je ne sais pas si je me trouve encore dans le bon monde, mais je commence à penser le contraire, votre seigneuriale beauté. J'ai été inconscient tous le voyage jusqu'à cette ville, grande impératrice du désert, mais je pense ce que cela ne fait que quelques heures.
Je n'osa pas en dire plus pour le moment, préférant attendre ces réactions à ce que je venais de lui révéler. Il faut dire que je n'étais clairement pas rassuré ici, il y avait toutes les chance que ce finisse mal pour moi, la réaction de ces hommes face à mes pouvoirs n'avaient clairement pas été chaleureuse. Je devais maintenant me calmer et me concentrer sur ce qui se passait, cette femme ne semblait pas être malveillante à mon égard. Relevant un peu la tête, je put l'apercevoir de nouveau, et sans que je ne sache pourquoi, une nouvelle vague de rougeur apparut sur mes joues, il faut dire qu'elle était vraiment très belle et fort peu habillé...
Une fois la porte passé, je me sentis minuscule en ce lieu. Le plafond était haut au dessus de nos têtes, décorés de symboles exotiques, finement recouverts d'or. Sous cette voûte, les murs ne palissaient pas, décorés par nombres de décorations tels des peintures ou encore d'autres symboles canon avec ceux du plafond. Leurs tailles immenses donnaient un sentiment de palais des cieux et de lumière, choses confirmés quand on s'attardait un peu sur la décoration qui faisait mainte et mainte fois références au soleil et aux rayons de l'astre, mais aussi en bonne partie dans l'histoire de cette ville. La taille se faisait aussi par la largeur, la salle était immense, avec un sol en mosaïque, et un effet de résonance, la voix s'élevant du trône se faisait aisément entendre de toute la salle. Et quel trône ! Sur un piédestal après cinq marches, le trône dominait tout en ce lieu. Il ressemblait à une immense gueule de dragon ouverte, entièrement en or, un air menaçant m'observant presque. Sa position surélevé lui donnait l'impression de grimper aussi que les murs, ceux-ci ajoutant en plus l'illusion qu'il se trouvait bien au dessus de nous.
Et pourtant, ce ne fut ni la salle, ni le trône qui fut le plus impressionnant, mais celle qui était assise dessus. Épousant parfaitement le trône, une immense majesté exaltait de son corps, alors que sa beauté sans pareille dans des habits à la fois somptueux mais aussi très sensuel redonnèrent des couleurs à mon visage. Ses yeux me donnait l'impression d'être transcender, comme si elle pouvait lire en moi chacun de mes secrets, chaque facette de mon esprit, comme si elle savait déjà tout de moi et même bien plus que je ne pourrais jamais savoir. Quel sentiment étrange, en temps normal, il aurait été aisé de savoir que j'abusais fortement les choses, et pourtant ces sensations étaient réels. Quelque chose me la faisait contempler, quelque chose lui voua un grand respect en moi, et j’eus bien du mal à m'en défaire. D'un côté, et j'ignore comment ou pourquoi, mais je percevais que ses sentiments n'étaient pas les miens.
- Ah, mais par pitié, il faut le vêtir !
Ces paroles impériales me sortirent de ma rêverie, et je me rappela avec beaucoup de gêne que je me tenais devant la dirigeante de la ville et peut-être même de ce désert nu comme un vers et encore un peu salis par le désert. L'un des hommes vint donc en portant dans ses bras un vêtement ressemblant à une tunique, de couleur blanche et marron. J'aimais bien la couleur. L'homme qui la tenait m'aidait à m'habiller dans cette pièce sous le regard de tous le monde, mais au moins, je pouvais de nouveau récupérer un peu de ma pudeur. La texture était souple et légère, et je me sentais plutôt bien dedans. Au moins, je n'allais pas avoir trop chaud avec mes jeans et mes hauts habituels. L'homme se recula ensuite, et je me tenais debout, seul face à celle que j'avais entendu se faire appeler dame Eris. Une situation bien compliquée.
- Quel est donc ton nom, jeune homme ? Tes origines ? Depuis quand es-tu arrivé ici ?
A ces mots, une pression se posa sur mes épaules, déjà à cause du stress de me retrouver ici, tous les regards posé sur moi, me scrutant et attendant ma réponse d'un air presque accusateur. Le plus difficile à soutenir fut bien entendu celui de Eris, brûlant mon âme comme s'il n'était qu'une brindille bien sèche. En elle, je pouvais sentir une émotion étrange, comme une certaine forme d'inquiétude, ou était-ce autre chose ? Je ne le savais simplement pas, et pour l'heure, une autre pression s'accumulait, une pression si grande que je finis par la reconnaître, bien que j'avais peine à y croire. Cette pression, c'était le désert. Je ne saurais dire comment, mais je sentais le désert tout autour de moi réagir à ma présence face à cette somptueuse femme, ressentant l'importance qu'elle avait, mais aussi une forme de destin. Elle était en partie sa maîtresse, son amante, une part précieuse de lui-même, et importante de ce qu'il pourrait devenir. Emporté par cette pression mais aussi par mes propres émotions, je posa un genou en terre, baissant la tête vers le sol et commença à m'exclamer:
- Je me nomme Ethan, Ethan Garest votre douce puissance. Je viens de la ville de Seikusu, au Japon, sur Terre. Je ne sais pas si je me trouve encore dans le bon monde, mais je commence à penser le contraire, votre seigneuriale beauté. J'ai été inconscient tous le voyage jusqu'à cette ville, grande impératrice du désert, mais je pense ce que cela ne fait que quelques heures.
Je n'osa pas en dire plus pour le moment, préférant attendre ces réactions à ce que je venais de lui révéler. Il faut dire que je n'étais clairement pas rassuré ici, il y avait toutes les chance que ce finisse mal pour moi, la réaction de ces hommes face à mes pouvoirs n'avaient clairement pas été chaleureuse. Je devais maintenant me calmer et me concentrer sur ce qui se passait, cette femme ne semblait pas être malveillante à mon égard. Relevant un peu la tête, je put l'apercevoir de nouveau, et sans que je ne sache pourquoi, une nouvelle vague de rougeur apparut sur mes joues, il faut dire qu'elle était vraiment très belle et fort peu habillé...
5
Prélude / Re : Maki, une esclave parmi d'autres. [Violidée ~♥]
« le: lundi 12 décembre 2016, 11:55:02 »
Bienvenue à toi belle demoiselle, je te souhaite de bien t'amuser ici, et si tu as besoin d'aide n'hésite pas je viendrais te libérer 
6
Prélude / Re : Et non, ce n'est pas le loup que t'a vue ! [Violidée ~♥]
« le: dimanche 11 décembre 2016, 00:07:53 »
Je ne vois pas de quoi tu veux parler :p
7
Prélude / Re : Et non, ce n'est pas le loup que t'a vue ! [Violidée ~♥]
« le: samedi 10 décembre 2016, 22:44:20 »
Bienvenue à toi, viens chez moi, je te protégerais des chasseurs, et j'adore donner des caresses :3
8
Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Soumission [Ethan Garest]
« le: samedi 10 décembre 2016, 10:03:47 »
Malgré ma tentative de me détacher de cette femme, je ne réussis malheureusement qu'à me bloquer un peu plus. Dos au mur, elle était très proche de moi, même trop, et ses mains étaient baladeuses, joueuses, et je le sentais sur moi, à la moindre tentative de prendre mes jambes à mon cou, je me ferais automatiquement plaqué à nouveau. Je cherchai donc à garder mon calme, la laisser faire pour qu'elle se rende compte que j'étais mal à l'aise et qu'elle devait arrêter, mais elle ne semblait pas le vouloir. Je sentis sa main glisser vers mon érection et l'effleurer du bout des doigts, je la regardais comme un animal pris au piège et paniqué.
- Ben... Je m’occupe de toi, Ethan. Comme une grande-sœur, tu vois ? Je voulais juste te remettre ta chemise, mais, maintenant que je sens ça, je crois qu’il vaut mieux que j’intervienne... Tu ne risques pas de suivre beaucoup le cours avec une érection pareille, tu ne crois pas ?
Intervenir !? Elle n'allait quand même pas... "Hmmmmm !!!" Je venais de retenir un long gémissement entre mes lèvres alors que je sentis sa main me serrer le pénis, c'était la première fois que l'on me touchait de cette manière. Même moi je ne me touchais que rarement cet endroit, uniquement pour me la laver en plus, je me refusais tous plaisirs que je pouvais m'offrir, de peur que cela ne me monte à la tête, je me demandais si j'allais pouvoir tenir longtemps.
Réfléchir devint de plus en plus difficile de secondes en secondes, la masturbation de Pepper était vraiment agréable. J'en venais presque à regretter qu'elle ne passe pas sa main dans mon caleçon. Elle n'était pas du tout une grande sœur, je le sentais dans ses sentiments, elle adorait me faire ça, il est même possible qu'elle n'attendait que ça. Mais je ne devais pas trop observer ses émotions, cela ne fera qu'aggraver ma situation dans le cas présent, toutefois, dire que je gardais la tête froide serait un mensonge quand même.
J'arrivais à peine à voir les personnes passant dans le couloir. Mais voir ces filles glousser et partir en souriant, voir cet élève baisser la tête et faire comme s'il ne voyait rien, je ne sentais pas de la peur que cela lui arrive, plutôt une gêne, dans le genre celle que l'on a quand on voit arriver à quelqu'un ce qu'on a déjà subis. La dernière pensée lucide fut en voyant ce surveillant nous regarder faire, un petit sourire au lèvres et une envie débordante. Tout le lycée était comme ça, mais où est-ce que je suis tombé ?
Essayant d'en parler avec Pepper malgré les éclairs de plaisir qui me remontait de mon entre-jambe, je n'en eu pas l'occasion, sentant ses lèvres scellés les miennes. Ce fut la goutte d'eau, et je ne put que répondre timidement à ce baiser. Ses seins si chauds s'enfonçaient dans mon torse, j'avais des envies de les pétrir, de voir à quel point ils étaient doux, mais ce ne fut qu'une rougeur supplémentaire qui apparut à mes joues. Sentir sa langue me passer dans le creux de mon cou et les petits pincements excitants de ses dents me rendait dingue, je recommençais à gémir, perdant pied.
- Tu vois ? Tendu comme tu es, tu n’aurais pas été concentré... Il fallait bien que je fasse quelque chose ! Laisse-toi faire, mon chéri... Pepper s’occupe de tout !
A ce niveau-là, je la laissais faire ce qu'elle voulait. J'aurais bien voulu résister, me dégager rapidement pour courir loin d'elle, mais je ne pouvais même plus penser à ça, j'en aurais presque voulu plus. Voilà pourquoi je fuis les femmes généralement...
- Et puis... J’adore faire jouir les hommes de si bon matin dans leur pantalon. Tu ne trouves pas ça excitant, toi ? Allez, Ethan... Je te sens près de jouir, tu sais... Ça te fera tellement de bien !
Ses paroles susurrer à mes oreilles me donnaient l'impression d'être des ordres divins. Et en parlant d'ordres, j'aurais bien obéis à chacun des siens maintenant. Il n'en fallait vraiment pas beaucoup pour me faire perdre la tête, mais cette femme le faisait divinement bien. Je n'avais toujours pas bouger, mais j'avais les yeux fermés, emportés par le plaisir, mes gémissements sonnaient de plus en plus fort.
Une sensation pressant arriva alors. Je commençais à m'agiter alors que sa main redoublait d'effort, mes bruits se faisaient irrégulier, ma main se posa sur celle qui me donnait tant de plaisir. Je sentais que j'allais craquer, et de la peur revint, je voulais donc la repousser, mais c'était peine perdue, je n'avais plus de forces, et elle me tenait bien, un grand sourire aux lèvres. Rapidement...
"Aaaaaaahhh... Aaaaaaaahhhhh... Aaaaaaahhh..."
Je me retenais encore de crier, je ne savais même pas pourquoi, pour mon amour-propre, par peur, ou par excitation ? Impossible à dire. Mais le plaisir explosa en moi, comme si on venais de m'élever haut dans les airs, percés de toute part par des lances de plaisir, chaque blessure me faisant perdre la tête. Une sensation de grande chaleur remplit mon pantalon, alors que mon foutre sortait en abondance. Plusieurs mois d'abstinences, la quantité que je déversais avais de quoi impressionner.
Les yeux embués, je reprenais mon souffle en tremblant de plaisir, qu'allait-il se passer maintenant ? Irait-elle plus loin ? Ou me laissera-t-elle partir en cours ? Mais une fois là-bas, avec que que j'ai vu, n'allais-je pas me faire littéralement violé dans un coin ? Une grande famille un ? On est pas frères et sœurs, on est juste tous amants.
- Ben... Je m’occupe de toi, Ethan. Comme une grande-sœur, tu vois ? Je voulais juste te remettre ta chemise, mais, maintenant que je sens ça, je crois qu’il vaut mieux que j’intervienne... Tu ne risques pas de suivre beaucoup le cours avec une érection pareille, tu ne crois pas ?
Intervenir !? Elle n'allait quand même pas... "Hmmmmm !!!" Je venais de retenir un long gémissement entre mes lèvres alors que je sentis sa main me serrer le pénis, c'était la première fois que l'on me touchait de cette manière. Même moi je ne me touchais que rarement cet endroit, uniquement pour me la laver en plus, je me refusais tous plaisirs que je pouvais m'offrir, de peur que cela ne me monte à la tête, je me demandais si j'allais pouvoir tenir longtemps.
Réfléchir devint de plus en plus difficile de secondes en secondes, la masturbation de Pepper était vraiment agréable. J'en venais presque à regretter qu'elle ne passe pas sa main dans mon caleçon. Elle n'était pas du tout une grande sœur, je le sentais dans ses sentiments, elle adorait me faire ça, il est même possible qu'elle n'attendait que ça. Mais je ne devais pas trop observer ses émotions, cela ne fera qu'aggraver ma situation dans le cas présent, toutefois, dire que je gardais la tête froide serait un mensonge quand même.
J'arrivais à peine à voir les personnes passant dans le couloir. Mais voir ces filles glousser et partir en souriant, voir cet élève baisser la tête et faire comme s'il ne voyait rien, je ne sentais pas de la peur que cela lui arrive, plutôt une gêne, dans le genre celle que l'on a quand on voit arriver à quelqu'un ce qu'on a déjà subis. La dernière pensée lucide fut en voyant ce surveillant nous regarder faire, un petit sourire au lèvres et une envie débordante. Tout le lycée était comme ça, mais où est-ce que je suis tombé ?
Essayant d'en parler avec Pepper malgré les éclairs de plaisir qui me remontait de mon entre-jambe, je n'en eu pas l'occasion, sentant ses lèvres scellés les miennes. Ce fut la goutte d'eau, et je ne put que répondre timidement à ce baiser. Ses seins si chauds s'enfonçaient dans mon torse, j'avais des envies de les pétrir, de voir à quel point ils étaient doux, mais ce ne fut qu'une rougeur supplémentaire qui apparut à mes joues. Sentir sa langue me passer dans le creux de mon cou et les petits pincements excitants de ses dents me rendait dingue, je recommençais à gémir, perdant pied.
- Tu vois ? Tendu comme tu es, tu n’aurais pas été concentré... Il fallait bien que je fasse quelque chose ! Laisse-toi faire, mon chéri... Pepper s’occupe de tout !
A ce niveau-là, je la laissais faire ce qu'elle voulait. J'aurais bien voulu résister, me dégager rapidement pour courir loin d'elle, mais je ne pouvais même plus penser à ça, j'en aurais presque voulu plus. Voilà pourquoi je fuis les femmes généralement...
- Et puis... J’adore faire jouir les hommes de si bon matin dans leur pantalon. Tu ne trouves pas ça excitant, toi ? Allez, Ethan... Je te sens près de jouir, tu sais... Ça te fera tellement de bien !
Ses paroles susurrer à mes oreilles me donnaient l'impression d'être des ordres divins. Et en parlant d'ordres, j'aurais bien obéis à chacun des siens maintenant. Il n'en fallait vraiment pas beaucoup pour me faire perdre la tête, mais cette femme le faisait divinement bien. Je n'avais toujours pas bouger, mais j'avais les yeux fermés, emportés par le plaisir, mes gémissements sonnaient de plus en plus fort.
Une sensation pressant arriva alors. Je commençais à m'agiter alors que sa main redoublait d'effort, mes bruits se faisaient irrégulier, ma main se posa sur celle qui me donnait tant de plaisir. Je sentais que j'allais craquer, et de la peur revint, je voulais donc la repousser, mais c'était peine perdue, je n'avais plus de forces, et elle me tenait bien, un grand sourire aux lèvres. Rapidement...
"Aaaaaaahhh... Aaaaaaaahhhhh... Aaaaaaahhh..."
Je me retenais encore de crier, je ne savais même pas pourquoi, pour mon amour-propre, par peur, ou par excitation ? Impossible à dire. Mais le plaisir explosa en moi, comme si on venais de m'élever haut dans les airs, percés de toute part par des lances de plaisir, chaque blessure me faisant perdre la tête. Une sensation de grande chaleur remplit mon pantalon, alors que mon foutre sortait en abondance. Plusieurs mois d'abstinences, la quantité que je déversais avais de quoi impressionner.
Les yeux embués, je reprenais mon souffle en tremblant de plaisir, qu'allait-il se passer maintenant ? Irait-elle plus loin ? Ou me laissera-t-elle partir en cours ? Mais une fois là-bas, avec que que j'ai vu, n'allais-je pas me faire littéralement violé dans un coin ? Une grande famille un ? On est pas frères et sœurs, on est juste tous amants.
9
Prélude / Re : Iki Ota
« le: mercredi 07 décembre 2016, 10:10:54 »
Re-Bienvenue, c'est vraiment pas le genre de proviseur que je veux avoir moi ^^
10
Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: mardi 06 décembre 2016, 23:57:00 »
Arrive timidement sur scène, les joues rouges, le visage baissé dans les épaules, les bras recroquevillé sur lui-même pour cacher et protéger quelque chose. Respire un peu, allume les différents morceaux qu'il a composé et libère sa guitare pour doucement la caresser et bien la prendre en main, et démarre le morceaux:
/kill_Darth
/kill_Darth
11
Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Une enseignante à la magie [PV Édéline]
« le: mardi 06 décembre 2016, 18:00:04 »
- C'est là le noeud... J'ignore à quoi il ressemble, ça pourrait bien être autre chose qu'un objet, mais j'en doute.
Tout ce que je lui racontait ne semblait pas avoir le moindre impact sur elle. Ça allait vite devenir compliqué. Pire encore, je sentais en elle de l'amertume et de l'agacement, si j'insistais trop, il y avait de grandes chances que je la fasse juste fuir. Mais elle se stoppa un moment, apparemment, ce que j'avais dit sur les pouvoirs innés l'avait atteint, l'espoir regagna mon cœur.
Elle prit son grimoire, le faisant voler autour d'elle. Je m'intéressais beaucoup à cet objet aussi, je me demandais bien de quoi il pouvait s'agir. Bien entendu c'était un grimoire, mais donnait-il des pouvoirs ? Contenait-il des secrets importants ? Et surtout d'où venait cette puissance écrasante s'il ne s'agissait que d'une source de savoir ? Mais ce n'était vraiment pas le moment de me les poser, préférant observer ce qu'elle faisait.
- Et c'est quoi ton pouvoir inné au juste ?
Ça question me surpris un peu sur le cou, mais c'était bon signe, elle s'intéressait donc à mes pouvoirs. Cela ne voulait pas forcément dire qu'elle m'aiderait, et il était même possible qu'elle ne prenne ces infos que pour son compte et qu'elle refuse après sans m'aider. Mais je décida de lui faire confiance, elle ne semblait pas méchante mais plutôt digne de confiance.
-Mon pouvoir est de la création d’éther, je l'ai obtenue il y a 3 ans après...après avoir subit une expérience dont j'ignore tout. Cela a provoqué quelques modifications dans mon corps, ainsi que plusieurs capacités. La principal est donc cette éther, que j'arrive à faire apparaitre et à modeler à peu près comme je le souhaite, mais cela me demande beaucoup d'effort et a déjà provoqué des catastrophes. Je ne connaît rien de cet élément, je ne connais aucune de ses propriétés, et je préfère généralement évité de l'utiliser. Ensuite, il y a ma capacité à ressentir les émotions des autres, surtout leurs tristesses ou leurs douleurs. Mais je ne peux m'empêcher de le voir, et je ne peux pas m'empêcher non plus d'aider ceux qui en ont besoin. Et enfin, le pouvoir que je comprend le moins, c'est mon immortalité. Quand je meurs, je reviens plusieurs jours après dans un lieu aléatoire, nu et mon corps sans aucune marque, l'ancien ayant disparu. C'est comme ça que je suis arrivé à Seikusu.
Nous arrivons alors dans une réserve de matériel, et cette fille ferma la porte et plaça une étrange glyphe dessus, quelque chose de purement magique, certainement un moyen de la verrouiller et de bloquer le son. Elle me proposa alors d'utiliser mes pouvoirs ici afin de lui montrer, et je m’exécuta. Levant la main, une boule de lumière plus grosse qu'un point apparut au dessus, une boule faite d'un éther blanc pur, une énergie rayonnante et puissante. Mais elle était instable, comme sur le point de s’affaisser ou disparaître à tout moment. Je la fit doucement bouger mais de façon bien maladroite et je ne pouvais que lui donner des formes grossières. Tout cela demandais de moi une concentration infaillible et beaucoup d'endurance, je commençais à transpirer juste avec ça, et je fit disparaître la boule avant de franchir la ligne, et tentai de reprendre mon souffle.
Tout ce que je lui racontait ne semblait pas avoir le moindre impact sur elle. Ça allait vite devenir compliqué. Pire encore, je sentais en elle de l'amertume et de l'agacement, si j'insistais trop, il y avait de grandes chances que je la fasse juste fuir. Mais elle se stoppa un moment, apparemment, ce que j'avais dit sur les pouvoirs innés l'avait atteint, l'espoir regagna mon cœur.
Elle prit son grimoire, le faisant voler autour d'elle. Je m'intéressais beaucoup à cet objet aussi, je me demandais bien de quoi il pouvait s'agir. Bien entendu c'était un grimoire, mais donnait-il des pouvoirs ? Contenait-il des secrets importants ? Et surtout d'où venait cette puissance écrasante s'il ne s'agissait que d'une source de savoir ? Mais ce n'était vraiment pas le moment de me les poser, préférant observer ce qu'elle faisait.
- Et c'est quoi ton pouvoir inné au juste ?
Ça question me surpris un peu sur le cou, mais c'était bon signe, elle s'intéressait donc à mes pouvoirs. Cela ne voulait pas forcément dire qu'elle m'aiderait, et il était même possible qu'elle ne prenne ces infos que pour son compte et qu'elle refuse après sans m'aider. Mais je décida de lui faire confiance, elle ne semblait pas méchante mais plutôt digne de confiance.
-Mon pouvoir est de la création d’éther, je l'ai obtenue il y a 3 ans après...après avoir subit une expérience dont j'ignore tout. Cela a provoqué quelques modifications dans mon corps, ainsi que plusieurs capacités. La principal est donc cette éther, que j'arrive à faire apparaitre et à modeler à peu près comme je le souhaite, mais cela me demande beaucoup d'effort et a déjà provoqué des catastrophes. Je ne connaît rien de cet élément, je ne connais aucune de ses propriétés, et je préfère généralement évité de l'utiliser. Ensuite, il y a ma capacité à ressentir les émotions des autres, surtout leurs tristesses ou leurs douleurs. Mais je ne peux m'empêcher de le voir, et je ne peux pas m'empêcher non plus d'aider ceux qui en ont besoin. Et enfin, le pouvoir que je comprend le moins, c'est mon immortalité. Quand je meurs, je reviens plusieurs jours après dans un lieu aléatoire, nu et mon corps sans aucune marque, l'ancien ayant disparu. C'est comme ça que je suis arrivé à Seikusu.
Nous arrivons alors dans une réserve de matériel, et cette fille ferma la porte et plaça une étrange glyphe dessus, quelque chose de purement magique, certainement un moyen de la verrouiller et de bloquer le son. Elle me proposa alors d'utiliser mes pouvoirs ici afin de lui montrer, et je m’exécuta. Levant la main, une boule de lumière plus grosse qu'un point apparut au dessus, une boule faite d'un éther blanc pur, une énergie rayonnante et puissante. Mais elle était instable, comme sur le point de s’affaisser ou disparaître à tout moment. Je la fit doucement bouger mais de façon bien maladroite et je ne pouvais que lui donner des formes grossières. Tout cela demandais de moi une concentration infaillible et beaucoup d'endurance, je commençais à transpirer juste avec ça, et je fit disparaître la boule avant de franchir la ligne, et tentai de reprendre mon souffle.
12
Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Soumission [Ethan Garest]
« le: mardi 06 décembre 2016, 16:34:34 »
Je regardais souvent autour de moi, j'avais déjà retenue une bonne partie du lycée, et je n'avais donc pas vraiment de soucis pour m'y repérer. Je ne le faisais donc pas pour chercher où je me trouvais, mais plutôt pour éviter de trop regarder la surveillante qui me faisait beaucoup d'effet, et c'était bien ça le problème. Depuis mes soucis, j'étais presque devenu hyper-sensible, surtout avec mes sentiments, et une bonne partie de mon être me hurlait déjà d'aller plus loin. Et c'est cette partie là que je déteste le plus, je ne voulais pas tomber dans ce genre de débauche, je devais résister. Mais allez résistez vous avec le sourire qu'elle était en train de me faire, accompagné de ce maudit parfum.
-Eh bien... Comme tu as dû le réaliser, Seikusu dispose d’un grand campus scolaire. La municipalité a décidé, après la guerre, de regrouper le lycée et l’université en un même lieu. Mais, si ça facilite les démarches et permet une économie de moyens, inversement, pour les arrivants, c’est plus compliqué. Il y a beaucoup d’annexes et de lieux, alors, pour pallier à ça, l’administration du lycée essaie, autant que possible, d’adjoindre aux arrivants des tuteurs. Il peut s’agir des professeurs, des secrétaires, de lycéens plus âgés, même... Et, bien entendu, des surveillants !
Je l'écoutais simplement, comprenant un peu plus la situation du lycée. Mais, avec ma chance, il avait bien entendu fallut que je tombe sur "cette" surveillante. Pourquoi je ne pouvais pas simplement avoir un homme pour me servir de tuteur. Mais cette démarche était appréciable, j'avais donc quelqu'un sur qui je pouvais compter, et sentir un tel soutien me fit chaud au cœur et abaissa un peu plus mes défenses. J'arborais maintenant un petit sourire en coin, mais les yeux toujours baissé et les joues un peu rouge. Cependant, une chose me dérangeait, je n'avais jamais entendu parler de cette histoire de tuteur, peut-être qu'ils ne l'avaient simplement pas mentionné car il ne s'agit de rien d'officiel, une petite règle maison en somme, ou peut-être que cela cachait quelque chose, mais je n'allais pas m'en plaindre. Pas encore...
-Je te passerai mon numéro de portable. Il faut bien que tu comprennes une chose essentielle à Mishima. Nous formons un lycée très communautaire. Certains ont parfois du mal avec ça, au début, mais... Tu verras, crois-moi. Ce lycée, ce sera un peu comme ta seconde famille. Il ne faudra pas que tu hésites à m’appeler si tu as des questions, tu ne me dérangeras jamais.
Mes oreilles sifflèrent en entendant le mot "communautaire". Est-ce que j'avais rêvé, ou sa voix avait légèrement changé de ton à ce moment-là, et un sentiment étrange était apparut pour disparaître rapidement. Était-ce un tic que je venais de voir ? Je devenais véritablement parano et me décontracta, mon imagination devait sûrement me jouer des tours. Il n'y avait aucune raison pour qu'elle me mente non ? Je laissais donc ce sentiment de côté en me réjouissant plutôt de la nouvelle. C'en était presque utopique, mais cela voulait-il dire que tous les problèmes que j'avais eu jusque-là sont terminés ? J'en rêvais, simplement, c'était peut-être enfin ma chance de pouvoir m'ouvrir aux autres et vivre avec le monde, sans plus avoir à me cacher dans l'ombre.
-Ma première famille...ce serait vraiment génial. Je n'hésiterais pas, promis.
Ce fut à mon tour de lui faire un sourire réel, remplis de bonheur mais aussi de gratitude et de chaleur, cela accentuait encore plus mon côté mignon et tête d'ange, sans que je le veuille bien sur. Ma mère étant morte et mon père ne s'étant jamais occupé de moi, je n'avais jamais eu personne sur qui compter, et pas non plus de famille. Il était possible que cette simple nouvelle transforme cette journée en la plus belle de ma vie. En sortant des escaliers, on croisa un groupe de garçons qui nous sourit, et la surveillante leurs rendit leurs sourire. Ce même sentiment réapparut pendant une seconde, mais j’étais surtout concentré sur le fait que l'on m'avait vu en tenant la main de cette femme, la rumeurs allaient encore se répandre sur moi. Cela me refroidit rapidement.
Mais un peu plus loin, elle décida de s'arrêter et se tourna vers moi. Je me demandais bien ce qui lui arrivait, mais son parfum me revint en pleine figure pour me réchauffer et sa beauté me fit rougir de plus belle.
-D’ailleurs... Tu as couru tellement vite qu’un pli de ta chemise s’est défait. Laisse-moi t’aider !
Ses mains se posèrent sur moi, des mains que je sentais douce et chaude par-dessus ma chemise. Ma respiration accéléra alors que mon cœur se mit à battre la chamade. Mon corps, bien que n'étant pas celui d'un sportif de haut niveau, possède malgré tout des formes, assez dur pour plaire malgré tout. Toutefois, ce fut mon trésor dans mon pantalon qui cachait bien des richesses. Ses doigts ne mirent pas longtemps à atteindre mon membre rendu très dur depuis déjà plusieurs minutes. D'une taille remarquable malgré mon gabarit, un frisson me parcourut alors et je ne put retenir un léger gémissement de surprise. Je sauta presque en arrière et me plaqua au mur, le visage rouge et la voix tremblante, je la regardais presque choqué mais aussi avec une pointe d'excitation.
-Qu...qu...qu...qu'est ce que...vou...vous faîtes ?...
-Eh bien... Comme tu as dû le réaliser, Seikusu dispose d’un grand campus scolaire. La municipalité a décidé, après la guerre, de regrouper le lycée et l’université en un même lieu. Mais, si ça facilite les démarches et permet une économie de moyens, inversement, pour les arrivants, c’est plus compliqué. Il y a beaucoup d’annexes et de lieux, alors, pour pallier à ça, l’administration du lycée essaie, autant que possible, d’adjoindre aux arrivants des tuteurs. Il peut s’agir des professeurs, des secrétaires, de lycéens plus âgés, même... Et, bien entendu, des surveillants !
Je l'écoutais simplement, comprenant un peu plus la situation du lycée. Mais, avec ma chance, il avait bien entendu fallut que je tombe sur "cette" surveillante. Pourquoi je ne pouvais pas simplement avoir un homme pour me servir de tuteur. Mais cette démarche était appréciable, j'avais donc quelqu'un sur qui je pouvais compter, et sentir un tel soutien me fit chaud au cœur et abaissa un peu plus mes défenses. J'arborais maintenant un petit sourire en coin, mais les yeux toujours baissé et les joues un peu rouge. Cependant, une chose me dérangeait, je n'avais jamais entendu parler de cette histoire de tuteur, peut-être qu'ils ne l'avaient simplement pas mentionné car il ne s'agit de rien d'officiel, une petite règle maison en somme, ou peut-être que cela cachait quelque chose, mais je n'allais pas m'en plaindre. Pas encore...
-Je te passerai mon numéro de portable. Il faut bien que tu comprennes une chose essentielle à Mishima. Nous formons un lycée très communautaire. Certains ont parfois du mal avec ça, au début, mais... Tu verras, crois-moi. Ce lycée, ce sera un peu comme ta seconde famille. Il ne faudra pas que tu hésites à m’appeler si tu as des questions, tu ne me dérangeras jamais.
Mes oreilles sifflèrent en entendant le mot "communautaire". Est-ce que j'avais rêvé, ou sa voix avait légèrement changé de ton à ce moment-là, et un sentiment étrange était apparut pour disparaître rapidement. Était-ce un tic que je venais de voir ? Je devenais véritablement parano et me décontracta, mon imagination devait sûrement me jouer des tours. Il n'y avait aucune raison pour qu'elle me mente non ? Je laissais donc ce sentiment de côté en me réjouissant plutôt de la nouvelle. C'en était presque utopique, mais cela voulait-il dire que tous les problèmes que j'avais eu jusque-là sont terminés ? J'en rêvais, simplement, c'était peut-être enfin ma chance de pouvoir m'ouvrir aux autres et vivre avec le monde, sans plus avoir à me cacher dans l'ombre.
-Ma première famille...ce serait vraiment génial. Je n'hésiterais pas, promis.
Ce fut à mon tour de lui faire un sourire réel, remplis de bonheur mais aussi de gratitude et de chaleur, cela accentuait encore plus mon côté mignon et tête d'ange, sans que je le veuille bien sur. Ma mère étant morte et mon père ne s'étant jamais occupé de moi, je n'avais jamais eu personne sur qui compter, et pas non plus de famille. Il était possible que cette simple nouvelle transforme cette journée en la plus belle de ma vie. En sortant des escaliers, on croisa un groupe de garçons qui nous sourit, et la surveillante leurs rendit leurs sourire. Ce même sentiment réapparut pendant une seconde, mais j’étais surtout concentré sur le fait que l'on m'avait vu en tenant la main de cette femme, la rumeurs allaient encore se répandre sur moi. Cela me refroidit rapidement.
Mais un peu plus loin, elle décida de s'arrêter et se tourna vers moi. Je me demandais bien ce qui lui arrivait, mais son parfum me revint en pleine figure pour me réchauffer et sa beauté me fit rougir de plus belle.
-D’ailleurs... Tu as couru tellement vite qu’un pli de ta chemise s’est défait. Laisse-moi t’aider !
Ses mains se posèrent sur moi, des mains que je sentais douce et chaude par-dessus ma chemise. Ma respiration accéléra alors que mon cœur se mit à battre la chamade. Mon corps, bien que n'étant pas celui d'un sportif de haut niveau, possède malgré tout des formes, assez dur pour plaire malgré tout. Toutefois, ce fut mon trésor dans mon pantalon qui cachait bien des richesses. Ses doigts ne mirent pas longtemps à atteindre mon membre rendu très dur depuis déjà plusieurs minutes. D'une taille remarquable malgré mon gabarit, un frisson me parcourut alors et je ne put retenir un léger gémissement de surprise. Je sauta presque en arrière et me plaqua au mur, le visage rouge et la voix tremblante, je la regardais presque choqué mais aussi avec une pointe d'excitation.
-Qu...qu...qu...qu'est ce que...vou...vous faîtes ?...
13
Les alentours de la ville / Re : Le croisement des destins. [PV Ethan Garest]
« le: mardi 06 décembre 2016, 12:18:29 »
La nuit régnait déjà depuis deux heures sur la ville de Seikusu, alors que je me trouvais allongé dans mon lit, toujours habillé, mon but n'était pas là de se reposer mais plutôt de réfléchir au calme. Enfin, le calme était pour moi de nombreuses musiques variés, généralement des ost des mangas ou de jeux, mes écouteurs sur les oreilles et le volume à fond. C'était bête, mais la musique m'aidait souvent à penser, me détachant du monde réel. La fenêtre de ma chambre était ouverte, laissant un faible courant d'air passer. Dehors, on pouvait apercevoir les lumières de la ville et entendre le bruit des voitures. Dehors, il y avait le monde normal, vivant tranquillement dans un rythme routinier. Et pourtant, ce monde était loin d'être normal.
Relevant le bras, j'observais dans ma main une carte blanche très sobre malgré le petit effet transparent sur les contours. Dessus se trouvait une adresse ainsi qu'une heure, il s'agissait d'une invitation à un évènement "très particulier", mais cette invitation était au nom d'Arvak. Aujourd'hui, un homme était venue me voir, un monsieur tout le monde comme on dit, habillé d'un costume simple de cadre. Ses cheveux bien coiffé, ses yeux marrons sûr de lui, son visage des plus commun, si je le revoyais dans la rue, je serais peut-être incapable de le reconnaître, mais jamais je n'oublierais ce qu'il me dit à ce moment-là. Il savait qui j'étais, et il connaissait l'existence de mes pouvoirs, il savait aussi que je ne les maîtrisais pas totalement. Il me proposa alors de venir à cette évènement qui devait servir de vente à un objet très puissant, mais ce qui m’intéressa moi fut la présence de beaucoup de personnes aux pouvoirs hors du commun. Des personnes différentes, qui se réunissait lors de cette vente, et on m'avait promis que là-bas, je pourrais apprendre à développer et maîtriser mes pouvoirs.
Je déposa sur ma table de chevet la carte et me planta devant la fenêtre, observant le monde, ce monde qui ne connaissait rien des dangers qui vivent en son sein, et moi non plus je n'y connaissais pas grand chose. Je n'aimais pas l'idée de devoir me montrer avec mon pseudonyme de cette manière, son identité étant pour moi plus importante que la mienne, mais il s'agissait la aussi de la chance pour Arvak de se révéler au grand jour. Tous ces pouvoirs, tous ces secrets, Arvak devra un jour protéger le monde de tout ça, mais je devais d'abord réussir à maîtriser ces pouvoirs. Aussi loin que l'on pouvait regarder, les problèmes d'une telle réunion étaient légions, mais plus j'y pensais, et plus je savais que je devais y aller, qu'importe ce qu'il pouvait m'en coûter à moi, si cela permet de faire baisser la note pour le monde.
Le jour fatidique, j'avais décidé de sécher les cours pour pouvoir correctement me préparer. J'étais passé chez le coiffeur et chez plusieurs magasins de vêtements pour m'acheter une costume gris sans cravate, avec une chemise blanche en dessous, et de belles chaussures de ville pour compléter le tout. Je n'avais pas vraiment les moyens de faire plus alors je me contentai de ça. Mon look était désormais à se tordre de rire tellement il faisait bizarre sur moi, mais il fallait bien avoué que cela me donnait une certaine classe. Un petit peu de parfum, et surtout de l'anti-transpirent, et j'étais finalement fin prêt, sauf mon stress qui continuait de me tirailler sans me laisser tranquille.
Je ne voulais surtout pas me faire remarquer durant cette soirée, et c'est pourquoi j’arrivai à l'heure pétante, ni en retard, ni en avance, mais si on se rendait compte de ma ponctualité extrême, ce n'allait sûrement pas être mieux. Heureusement pour moi, aucune remarque ne vint, les gardes me fouillant puis me laissant passer avec mon téléphone et mon porte-feuille une fois que je leurs avait montrer mon invitation. A l'intérieur, il y avait déjà plusieurs personnes qui attendaient que cela commence. Mon regard passa rapidement sur chacun d'entre eux et je me rangea dans un coin sombre, ne me voyant pas les déranger pour finalement ne plus savoir parler en face d'eux. Seul l'organisateur, un homme très classe et richement habillé, vint me saluer et me remercier d'être venue, chose à laquelle j’eus bien du mal à répondre, mais finis par y parvenir quand même. Il me lança un dernier sourire avant de s'en aller pour aller voir les derniers arrivés. Je surveillais l'entrée pour voir toutes les personnes qui entraient et essayer de voir avec qui il serait possible de parler et d'en apprendre plus sur mes pouvoirs. Quand une femme étrange, mais néanmoins très belle entra, l'organisateur débuta sa présentation.
"Comme vous le savez tous, vous êtes ici car vous avez des particularités. Aussi nous sommes là pou vous permettre de les montrer et les développer. Pour cela nous avons prévu un petit jeu."
C'était finalement ce que j'attendais, je n'était peut-être pas venue pour rien finalement, et il avait l'intention de faire ça avec un jeu, c'était tant mieux, je me sentais déjà plus dans mon élément. Mais une chose m'interpella, ce fut la surprise de toutes les autres personnes présentes, comme si ils n'avaient jamais été mis au courant. Des hommes armés sortirent de nul part et nous entourèrent très vite, les armes braqués sur nous. Mon poing se serra et je retins avec difficulté mes pouvoirs, dans la salle, je sentait désormais de l'inquiétude, de la colère et de la peur, et je ne supportait pas ça, je voudrais tellement les protégés de cette menace. A ce moment-là, je ne pensais pas du tout à moi, je me disais que je ne risquais rien, si je mourrais, je réapparaîtrais ailleurs plus tard. Mais quelque chose me vint en tête. Nous avions tous des pouvoirs, et cet homme semblait bien connaître les miens, il devait donc aussi connaître mon immortalité. Le risque qu'il ait trouvé quelque chose pour y palier n'était pas anodin, surtout que je n'étais jamais mort a cause de magie, je ne savais pas du tout ce qu'il se passerait dans ce cas. Pour la première fois depuis un moment, j'étais en danger.
"Sur la table de droite se trouve une boite, vous allez prendre un papier dedans, il contient un chiffre suivit de A ou B, vous formerez ainsi une paire. Chaque paire sera emmenée dans une chambre où il pourront faire connaissance, avant de commencer le jeu."
C'était du pvp ? Au moins je ne me retrouverais pas seul, mais cela voulait dire que j'allais me battre contre 24 personnes qui n'avaient rien demandé, et surtout qui devaient maîtriser leurs pouvoirs bien mieux que moi. Je ne partait vraiment pas gagnant et devais trouver un moyen de se sortir de là, mais rien ne me vint. Nous étions prit au piège. Je m'approchai de la table et sortit un papier marqué le numéro 13A, mais ma paire n'avait pas encore été tiré. Dans ma tête, j'essayais de mémoriser chaque personne et chaque numéro tiré, cela nous donnerais au moins un avantage. Ce fut finalement la dernière personne à être entrer, cette femme étrange, qui se retrouva avec moi. Sans même pouvoir nous adresser la parole, on se retrouva rapidement emmener dans une des chambres. La femme avec moi me fit signe de ne rien dire quand nous étions finalement seuls.
Elle commença alors à fouiller un peu partout, et je la vis arracher des caméras et des micros. Super, en espérant que cela ne finisse pas en jeu de télé-réalité, j'avais horreur de ça. Mieux valait ne pas gâcher ses cartes à utiliser mon pouvoir pour tout trouver, je savais très bien que cela ne marcherait pas, pas encore. Je retira donc simplement ma veste pour être plus à l'aise avec juste ma chemise, il fallait se tenir prêt, aucun doute que les choses allaient bouger. Je la gardais néanmoins avec moi, ça pouvais toujours servir. Mes mains tremblaient alors que le stress et la peur cherchaient à me gagner, mais je ne devais pas céder, advienne que pourra. La femme termina sa fouille et se retourna vers moi pour me lancer:
- Je ne vais pas aller par quatre chemin. Je me nomme Vermillion, c'est mon pseudo d'indic. Ma capacité est assez complexe à expliquer, disons que je peux convertir mon énergie en armes. Donne moi juste ton prénom et ta capacité. Ne dis pas de choses trop personnel hormis ça, il peut rester des micros et des caméra, je ne me suis occupée que des plus facile à dénicher.
-Euh...je m'appelle Arvak, un pseudo aussi. Mes pouvoirs sont de l’éther, surtout de la création, mais je ne les maîtrise quasiment pas.*
Mes joues commençaient déjà à s'enflammer, il fallait dire que j'étais seul dans une pièce avec cette sublime femme, mais heureusement pour moi, le plus gros de ma timidité était tenue à l'écart par la gravité de la situation, et aussi par la tension et le sérieux que je ressentais en elle. Nous étions coéquipier maintenant, la pire erreur que je pouvais faire était de n'être qu'un poids, je devais être à ses côtés pour la soutenir, et cette objectif sera le principal pour le reste du jeu.
Relevant le bras, j'observais dans ma main une carte blanche très sobre malgré le petit effet transparent sur les contours. Dessus se trouvait une adresse ainsi qu'une heure, il s'agissait d'une invitation à un évènement "très particulier", mais cette invitation était au nom d'Arvak. Aujourd'hui, un homme était venue me voir, un monsieur tout le monde comme on dit, habillé d'un costume simple de cadre. Ses cheveux bien coiffé, ses yeux marrons sûr de lui, son visage des plus commun, si je le revoyais dans la rue, je serais peut-être incapable de le reconnaître, mais jamais je n'oublierais ce qu'il me dit à ce moment-là. Il savait qui j'étais, et il connaissait l'existence de mes pouvoirs, il savait aussi que je ne les maîtrisais pas totalement. Il me proposa alors de venir à cette évènement qui devait servir de vente à un objet très puissant, mais ce qui m’intéressa moi fut la présence de beaucoup de personnes aux pouvoirs hors du commun. Des personnes différentes, qui se réunissait lors de cette vente, et on m'avait promis que là-bas, je pourrais apprendre à développer et maîtriser mes pouvoirs.
Je déposa sur ma table de chevet la carte et me planta devant la fenêtre, observant le monde, ce monde qui ne connaissait rien des dangers qui vivent en son sein, et moi non plus je n'y connaissais pas grand chose. Je n'aimais pas l'idée de devoir me montrer avec mon pseudonyme de cette manière, son identité étant pour moi plus importante que la mienne, mais il s'agissait la aussi de la chance pour Arvak de se révéler au grand jour. Tous ces pouvoirs, tous ces secrets, Arvak devra un jour protéger le monde de tout ça, mais je devais d'abord réussir à maîtriser ces pouvoirs. Aussi loin que l'on pouvait regarder, les problèmes d'une telle réunion étaient légions, mais plus j'y pensais, et plus je savais que je devais y aller, qu'importe ce qu'il pouvait m'en coûter à moi, si cela permet de faire baisser la note pour le monde.
Le jour fatidique, j'avais décidé de sécher les cours pour pouvoir correctement me préparer. J'étais passé chez le coiffeur et chez plusieurs magasins de vêtements pour m'acheter une costume gris sans cravate, avec une chemise blanche en dessous, et de belles chaussures de ville pour compléter le tout. Je n'avais pas vraiment les moyens de faire plus alors je me contentai de ça. Mon look était désormais à se tordre de rire tellement il faisait bizarre sur moi, mais il fallait bien avoué que cela me donnait une certaine classe. Un petit peu de parfum, et surtout de l'anti-transpirent, et j'étais finalement fin prêt, sauf mon stress qui continuait de me tirailler sans me laisser tranquille.
Je ne voulais surtout pas me faire remarquer durant cette soirée, et c'est pourquoi j’arrivai à l'heure pétante, ni en retard, ni en avance, mais si on se rendait compte de ma ponctualité extrême, ce n'allait sûrement pas être mieux. Heureusement pour moi, aucune remarque ne vint, les gardes me fouillant puis me laissant passer avec mon téléphone et mon porte-feuille une fois que je leurs avait montrer mon invitation. A l'intérieur, il y avait déjà plusieurs personnes qui attendaient que cela commence. Mon regard passa rapidement sur chacun d'entre eux et je me rangea dans un coin sombre, ne me voyant pas les déranger pour finalement ne plus savoir parler en face d'eux. Seul l'organisateur, un homme très classe et richement habillé, vint me saluer et me remercier d'être venue, chose à laquelle j’eus bien du mal à répondre, mais finis par y parvenir quand même. Il me lança un dernier sourire avant de s'en aller pour aller voir les derniers arrivés. Je surveillais l'entrée pour voir toutes les personnes qui entraient et essayer de voir avec qui il serait possible de parler et d'en apprendre plus sur mes pouvoirs. Quand une femme étrange, mais néanmoins très belle entra, l'organisateur débuta sa présentation.
"Comme vous le savez tous, vous êtes ici car vous avez des particularités. Aussi nous sommes là pou vous permettre de les montrer et les développer. Pour cela nous avons prévu un petit jeu."
C'était finalement ce que j'attendais, je n'était peut-être pas venue pour rien finalement, et il avait l'intention de faire ça avec un jeu, c'était tant mieux, je me sentais déjà plus dans mon élément. Mais une chose m'interpella, ce fut la surprise de toutes les autres personnes présentes, comme si ils n'avaient jamais été mis au courant. Des hommes armés sortirent de nul part et nous entourèrent très vite, les armes braqués sur nous. Mon poing se serra et je retins avec difficulté mes pouvoirs, dans la salle, je sentait désormais de l'inquiétude, de la colère et de la peur, et je ne supportait pas ça, je voudrais tellement les protégés de cette menace. A ce moment-là, je ne pensais pas du tout à moi, je me disais que je ne risquais rien, si je mourrais, je réapparaîtrais ailleurs plus tard. Mais quelque chose me vint en tête. Nous avions tous des pouvoirs, et cet homme semblait bien connaître les miens, il devait donc aussi connaître mon immortalité. Le risque qu'il ait trouvé quelque chose pour y palier n'était pas anodin, surtout que je n'étais jamais mort a cause de magie, je ne savais pas du tout ce qu'il se passerait dans ce cas. Pour la première fois depuis un moment, j'étais en danger.
"Sur la table de droite se trouve une boite, vous allez prendre un papier dedans, il contient un chiffre suivit de A ou B, vous formerez ainsi une paire. Chaque paire sera emmenée dans une chambre où il pourront faire connaissance, avant de commencer le jeu."
C'était du pvp ? Au moins je ne me retrouverais pas seul, mais cela voulait dire que j'allais me battre contre 24 personnes qui n'avaient rien demandé, et surtout qui devaient maîtriser leurs pouvoirs bien mieux que moi. Je ne partait vraiment pas gagnant et devais trouver un moyen de se sortir de là, mais rien ne me vint. Nous étions prit au piège. Je m'approchai de la table et sortit un papier marqué le numéro 13A, mais ma paire n'avait pas encore été tiré. Dans ma tête, j'essayais de mémoriser chaque personne et chaque numéro tiré, cela nous donnerais au moins un avantage. Ce fut finalement la dernière personne à être entrer, cette femme étrange, qui se retrouva avec moi. Sans même pouvoir nous adresser la parole, on se retrouva rapidement emmener dans une des chambres. La femme avec moi me fit signe de ne rien dire quand nous étions finalement seuls.
Elle commença alors à fouiller un peu partout, et je la vis arracher des caméras et des micros. Super, en espérant que cela ne finisse pas en jeu de télé-réalité, j'avais horreur de ça. Mieux valait ne pas gâcher ses cartes à utiliser mon pouvoir pour tout trouver, je savais très bien que cela ne marcherait pas, pas encore. Je retira donc simplement ma veste pour être plus à l'aise avec juste ma chemise, il fallait se tenir prêt, aucun doute que les choses allaient bouger. Je la gardais néanmoins avec moi, ça pouvais toujours servir. Mes mains tremblaient alors que le stress et la peur cherchaient à me gagner, mais je ne devais pas céder, advienne que pourra. La femme termina sa fouille et se retourna vers moi pour me lancer:
- Je ne vais pas aller par quatre chemin. Je me nomme Vermillion, c'est mon pseudo d'indic. Ma capacité est assez complexe à expliquer, disons que je peux convertir mon énergie en armes. Donne moi juste ton prénom et ta capacité. Ne dis pas de choses trop personnel hormis ça, il peut rester des micros et des caméra, je ne me suis occupée que des plus facile à dénicher.
-Euh...je m'appelle Arvak, un pseudo aussi. Mes pouvoirs sont de l’éther, surtout de la création, mais je ne les maîtrise quasiment pas.*
Mes joues commençaient déjà à s'enflammer, il fallait dire que j'étais seul dans une pièce avec cette sublime femme, mais heureusement pour moi, le plus gros de ma timidité était tenue à l'écart par la gravité de la situation, et aussi par la tension et le sérieux que je ressentais en elle. Nous étions coéquipier maintenant, la pire erreur que je pouvais faire était de n'être qu'un poids, je devais être à ses côtés pour la soutenir, et cette objectif sera le principal pour le reste du jeu.
14
Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Une strip-teaseuse au lycée [PV Ethan Garest]
« le: mardi 06 décembre 2016, 07:37:44 »
- Viens, on va en discuter autour d'un café !
La réponse de cette femme me surprit beaucoup, mais il était vrai que pour parler de pouvoirs et de magie, le lycée n'était clairement pas un bon endroit, et il valait mieux aller dans un endroit plus calme. Je devais avoir cours après la chimie, mais je m'en moquais bien, je pouvais obtenir leur diplôme sans aller une fois en cours, je me forçais à y aller uniquement pour m'habituer au contact social et m'améliorer. Et partir discuter avec une femme aussi canon était pour moi un entraînement hardcore, bien plus difficile donc qu'avec mes camarades de classe.
D'ailleurs, je venais tout juste de tilter alors que je la suivais dans la rue, mais je suis actuellement en train de suivre cette femme et plein de personnes nous regardaient, ils devaient sûrement penser qu'on allait à un rencard, ou peut-être même que l'on était déjà ensemble. Bon, j'abusais certainement là, mais je ne pus m'empêcher de rougir de plus belle.
On s'arrêta finalement à un café, le Cat's Eye. Je ne m'étais jamais rendu ici, je n'avais d'ailleurs jamais vraiment exploré la rue, et instinctivement, j'avais noté la position d'un magasin de jeux rétro non loin de là, on était passé devant. Je regardais mes mains sur la table, préférant ne pas trop la regarder dans les yeux, je n'arrivais pas encore à faire quelque chose comme ça, et puis si je relevais la tête maintenant, c'était sur ses seins que je tomberais, et il valait mieux éviter.
Le serveur était venu assez rapidement pour nous demander ce qu'on voulait, et alors que mon interlocutrice prit un café, je préférai me rabattre sur un bon chocolat chaud, j'étais déjà suffisamment à cran comme ça, inutile de me transformer en boule de nerfs en plus.
- Je m'appelle Priscilla, Priscilla Kitaen... Voila pour la première question. Passons aux suivantes.
Je sentis alors quelque chose dans ma poitrine, comme un pincement au cœur, et je connaissais très bien cette sensation. En elle, je sentis une légère inquiétude, ainsi qu'un peu de regret et de peur. J'étais suffisamment intelligent pour savoir que cela avait sûrement un lien avec son utilisation de ses pouvoirs avec plusieurs témoins autour.
Même si cela ne dura pas longtemps, ma timidité et mon problème avec les femmes s'envolèrent, comme s'il n'avait jamais existé et je relevai les yeux pour la regarder dans les siens et lui faire un sourire chaleureux et un poil mignon. Je tentai même, entraîné par ma volonté, de la rassurer et de tenter un premier contact en posant doucement ma main sur la sienne, en signe de soutien.
-Moi c'est Ethan Garest, vous le savez déjà mais vous pouvez m'appeler Ethan. Je vous remercie encore de m'avoir aidé là-bas, et ne vous en faites pas, on était en expérience avec de l'azote liquide, et ces idiots s'amusaient à faire n'importe quoi, il n'avait qu'à faire gaffe plutôt que de s'en mettre sur la main.
Oui, cette explication est étrange, et difficilement crédible, mais les bêtises en classe de Thomas étaient bien connues, et qui croirait à une histoire de femme faisant de la glace, il était donc sûr que le problème étoufferait tout seul dans son coin sans que cette rumeur loufoque ne puisse se propager.
Me rendant compte de ce que je venais de faire, ma tête redevint plus rouge encore qu'une tomate et je baissai les yeux sur ma main encore à sa place et la retirai rapidement en m'excusant promptement. J'étais sûrement allé beaucoup trop loin et je n'osais encore une fois plus la regarder, mais il le fallait bien, je me calmai donc lentement alors qu'elle reprit.
- Si je t'ai ramené ton cahier , eh bien c'est parce j'avais ma BA du jour à faire !
Son petit rire résonna à mes oreilles, et il semblait que son inquiétude ait bien vite disparu, tout comme je ne ressentais aucune colère de ce que j'avais fait. Encore une fois, je la remerciai timidement et m'inclinai légèrement. Le serveur vint avec nos consommations et je sortis mon portefeuille pour payer le serveur, avec un assez généreux pourboire. Je lançai ensuite un petit regard vers Priscilla et lui dit timidement:
-Vous avez déjà fait votre bonne action du jour avec mon cahier, faut bien que je vous remercie de votre gentillesse pour m'avoir aidé avec ce garçon, une deuxième bonne action envers la même personne, ça fait un peu trop
Je détournais les yeux rapidement, les joues bien rouges après avoir dit ça, c'était clairement osé, mais en même temps, c'était le moins que je puisse faire pour elle. Je la regardais timidement et furtivement pour voir sa réaction.
La réponse de cette femme me surprit beaucoup, mais il était vrai que pour parler de pouvoirs et de magie, le lycée n'était clairement pas un bon endroit, et il valait mieux aller dans un endroit plus calme. Je devais avoir cours après la chimie, mais je m'en moquais bien, je pouvais obtenir leur diplôme sans aller une fois en cours, je me forçais à y aller uniquement pour m'habituer au contact social et m'améliorer. Et partir discuter avec une femme aussi canon était pour moi un entraînement hardcore, bien plus difficile donc qu'avec mes camarades de classe.
D'ailleurs, je venais tout juste de tilter alors que je la suivais dans la rue, mais je suis actuellement en train de suivre cette femme et plein de personnes nous regardaient, ils devaient sûrement penser qu'on allait à un rencard, ou peut-être même que l'on était déjà ensemble. Bon, j'abusais certainement là, mais je ne pus m'empêcher de rougir de plus belle.
On s'arrêta finalement à un café, le Cat's Eye. Je ne m'étais jamais rendu ici, je n'avais d'ailleurs jamais vraiment exploré la rue, et instinctivement, j'avais noté la position d'un magasin de jeux rétro non loin de là, on était passé devant. Je regardais mes mains sur la table, préférant ne pas trop la regarder dans les yeux, je n'arrivais pas encore à faire quelque chose comme ça, et puis si je relevais la tête maintenant, c'était sur ses seins que je tomberais, et il valait mieux éviter.
Le serveur était venu assez rapidement pour nous demander ce qu'on voulait, et alors que mon interlocutrice prit un café, je préférai me rabattre sur un bon chocolat chaud, j'étais déjà suffisamment à cran comme ça, inutile de me transformer en boule de nerfs en plus.
- Je m'appelle Priscilla, Priscilla Kitaen... Voila pour la première question. Passons aux suivantes.
Je sentis alors quelque chose dans ma poitrine, comme un pincement au cœur, et je connaissais très bien cette sensation. En elle, je sentis une légère inquiétude, ainsi qu'un peu de regret et de peur. J'étais suffisamment intelligent pour savoir que cela avait sûrement un lien avec son utilisation de ses pouvoirs avec plusieurs témoins autour.
Même si cela ne dura pas longtemps, ma timidité et mon problème avec les femmes s'envolèrent, comme s'il n'avait jamais existé et je relevai les yeux pour la regarder dans les siens et lui faire un sourire chaleureux et un poil mignon. Je tentai même, entraîné par ma volonté, de la rassurer et de tenter un premier contact en posant doucement ma main sur la sienne, en signe de soutien.
-Moi c'est Ethan Garest, vous le savez déjà mais vous pouvez m'appeler Ethan. Je vous remercie encore de m'avoir aidé là-bas, et ne vous en faites pas, on était en expérience avec de l'azote liquide, et ces idiots s'amusaient à faire n'importe quoi, il n'avait qu'à faire gaffe plutôt que de s'en mettre sur la main.
Oui, cette explication est étrange, et difficilement crédible, mais les bêtises en classe de Thomas étaient bien connues, et qui croirait à une histoire de femme faisant de la glace, il était donc sûr que le problème étoufferait tout seul dans son coin sans que cette rumeur loufoque ne puisse se propager.
Me rendant compte de ce que je venais de faire, ma tête redevint plus rouge encore qu'une tomate et je baissai les yeux sur ma main encore à sa place et la retirai rapidement en m'excusant promptement. J'étais sûrement allé beaucoup trop loin et je n'osais encore une fois plus la regarder, mais il le fallait bien, je me calmai donc lentement alors qu'elle reprit.
- Si je t'ai ramené ton cahier , eh bien c'est parce j'avais ma BA du jour à faire !
Son petit rire résonna à mes oreilles, et il semblait que son inquiétude ait bien vite disparu, tout comme je ne ressentais aucune colère de ce que j'avais fait. Encore une fois, je la remerciai timidement et m'inclinai légèrement. Le serveur vint avec nos consommations et je sortis mon portefeuille pour payer le serveur, avec un assez généreux pourboire. Je lançai ensuite un petit regard vers Priscilla et lui dit timidement:
-Vous avez déjà fait votre bonne action du jour avec mon cahier, faut bien que je vous remercie de votre gentillesse pour m'avoir aidé avec ce garçon, une deuxième bonne action envers la même personne, ça fait un peu trop
Je détournais les yeux rapidement, les joues bien rouges après avoir dit ça, c'était clairement osé, mais en même temps, c'était le moins que je puisse faire pour elle. Je la regardais timidement et furtivement pour voir sa réaction.
15
Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Une enseignante à la magie [PV Édéline]
« le: dimanche 04 décembre 2016, 02:05:48 »
Je continuais de la suivre car j'étais bien décider à ne pas laisser cette chance passer. Étrangement, devant la possibilité d'avoir trouver quelqu'un capable de m'aider à maîtriser mes pouvoirs, ma timidité s'envola de plus en plus, il y avait pour moi beaucoup trop de choses en jeu, comme ce que je pourrais faire si je parvenais à maîtriser un tel pouvoir, ou encore découvrir ce que j'avais véritablement subis. Si cela me permettrais de sauver une seule vie en plus, alors tous les efforts devaient être fait.
- Je ne suis pas là pour faire des leçons, mais récupérer un objet qui ne devrait pas être dans ce bâtiment.
-Alors il suffit juste de trouver un objet ? Très bien, je t'aiderais comme je peux pour le retrouver, dis moi simplement ce que tu cherches.
Au vu de son livre et de ses pouvoirs, il était certains qu'elle cherchait un objet de nature magique, donc peut-être que mes pouvoirs lui permettrait de rapidement le découvrir, tout comme je l'avais découvert elle. Mais l'hypothèse que ce soit un objet sans aucun pouvoir ne m'échappa pas quand même et cherchait un moyen d'utiliser mes pouvoirs afin de le dénicher, peut-être pouvais-je m'en servir comme d'un radar...
- De plus je ne connais rien à tes pouvoirs et la sorcellerie c'est un apprentissage vicennal au minimum...
-Je ne demande pas forcément à apprendre la sorcellerie, juste à maîtriser des pouvoirs inné. Et même si cela doit prendre 20 ans, alors je le ferais. Je saurais me montrer reconnaissant à hauteur du travail, et si tu ne sais pas ce que sont mes pouvoirs, une personne de connaissance comme toi doit sûrement avoir quelque chose qui peut l'intéresser avec moi.
Oui, j'appuyais beaucoup trop à ce niveau, mais je voulais vraiment qu'elle accepte, même si cela devait me coûter bien chère, j'étais prêt à jeter ma main dans le feu pour pouvoir le faire. Une fois au rez-de-chaussé, elle finit par sortir une boussole qui ne semblait pas diriger vers le nord, et tournait avec hésitation, jusqu'à s'arrêter dans ma direction. Comprenant que cela venait de mes pouvoirs, je les enferma le plus profondément possible pour que l'objet retrouve sa véritable cible.
-Je te le demande encore, je t'en supplie, j'ai vraiment besoin de quelqu'un pour maîtriser mes pouvoirs, j'ai besoin d'eux pour aider ceux qui en ont vraiment besoin, et je ferais tout ce que tu me demandera. Tu n'auras qu'à claquer des doigts pour que le moindre de tes désirs les plus fou soit pour moi un ordre.
- Je ne suis pas là pour faire des leçons, mais récupérer un objet qui ne devrait pas être dans ce bâtiment.
-Alors il suffit juste de trouver un objet ? Très bien, je t'aiderais comme je peux pour le retrouver, dis moi simplement ce que tu cherches.
Au vu de son livre et de ses pouvoirs, il était certains qu'elle cherchait un objet de nature magique, donc peut-être que mes pouvoirs lui permettrait de rapidement le découvrir, tout comme je l'avais découvert elle. Mais l'hypothèse que ce soit un objet sans aucun pouvoir ne m'échappa pas quand même et cherchait un moyen d'utiliser mes pouvoirs afin de le dénicher, peut-être pouvais-je m'en servir comme d'un radar...
- De plus je ne connais rien à tes pouvoirs et la sorcellerie c'est un apprentissage vicennal au minimum...
-Je ne demande pas forcément à apprendre la sorcellerie, juste à maîtriser des pouvoirs inné. Et même si cela doit prendre 20 ans, alors je le ferais. Je saurais me montrer reconnaissant à hauteur du travail, et si tu ne sais pas ce que sont mes pouvoirs, une personne de connaissance comme toi doit sûrement avoir quelque chose qui peut l'intéresser avec moi.
Oui, j'appuyais beaucoup trop à ce niveau, mais je voulais vraiment qu'elle accepte, même si cela devait me coûter bien chère, j'étais prêt à jeter ma main dans le feu pour pouvoir le faire. Une fois au rez-de-chaussé, elle finit par sortir une boussole qui ne semblait pas diriger vers le nord, et tournait avec hésitation, jusqu'à s'arrêter dans ma direction. Comprenant que cela venait de mes pouvoirs, je les enferma le plus profondément possible pour que l'objet retrouve sa véritable cible.
-Je te le demande encore, je t'en supplie, j'ai vraiment besoin de quelqu'un pour maîtriser mes pouvoirs, j'ai besoin d'eux pour aider ceux qui en ont vraiment besoin, et je ferais tout ce que tu me demandera. Tu n'auras qu'à claquer des doigts pour que le moindre de tes désirs les plus fou soit pour moi un ordre.