C'est un univers humide et vaseux ou seules les élus de ce relief inhospitalier avait le droit de vivre, les créatures qui furent les maîtres du monde en plus de l'avoir forger depuis près de vingt-mille ans sur Terre et qui sont les humains ne pouvait malheureusement qu'être que de passage pour soit: Échapper a leurs semblables ou faire du tourisme. Les marais n'est pas un endroit fréquentable ni donner a tous pour y s'approprier ce territoire qui restera (des millions d'années s'il le faut) inexploitable ni inaccessible. Une Personne règne en maîtresse par contre, elle fut d'origine humaine autrefois mais maintenant, c'est une lombric humanoïde, elle passe son temps a s'accoupler avec les siens dans une orgies boueuse en mettant bas a des nouveaux-nés mesurant plus de trente centimètre quand ils sortent de sa fente, bien que son abdomen peut recueillir cinq a dix portée, il est inimaginable de savoir ce que peut ressentir leur mère quand elle se sent gondolé avec le remue-ménage des bébés vers se bousculant de l'intérieur en se frayant une place et quel forme de torture ça peut représenter pour leur génitrice... Au bas-mot, elle se serait entourés depuis six mois déjà d'un petit groupe comprenant dix-huit adultes de plus sept mètre et demi de long et de jeunes adolescents mâles par dizaines de deux mètres, une petite armée mais comme son logis est réduit pour y vivre, il a fallut agrandir le terrain de près d'un kilomètre afin que ses acolytes ne se dévore pas entre eux par manque de proie qui se faisait rare quand le climat devient tempéré.
*Que faire de mieux ce weekend ?... Aller a la chasse ?*L'ancienne mexicaine s'était déplacer vers le Sud de Nexus avec cinq Lumbricina adulte qui pourrait la protéger et une équipe de d'ados au nombre de quatre qui voulait découvrir le terrain s'estimant assez fort pour se débrouiller a leur tour quand ils grandiront. La foret équatoriale des marais fut un paradis pour miss Kijima, durant sa migration elle tomba sur des cadavres de cerf, cela malheureusement pouvait pas suffire a nourrir sa troupe, donc elle ne que fut la seule qui s'en nourrit, elle sortit de sa gangue de boue en essuyant d'un revers de sa main ganté, la terre molle qui lui masqua le visage avec les cheveux humide, elle se toucha le ventre et d'après son estimation de petit résident en elle, elle en avait qu'un pour le moment, c'est déjà bon signe car si elle en avait plusieurs en ce moment, elle serait rester au nid et donc pas en état de se mouvoir. Pendant qu'elle qu'elle se rassasiait après avoir extrait
un espèce de tube digestif plus ou moins en état de décomposition avancé, elle perçut plusieurs craquement de branchages de brindille au sol... Comme si un groupe important d'être vivant bougeait dans sa direction sur plus de cent mètre. La végétation des brouissailles et buissons touffus des hautes herbes ne lui permit pas une meilleur visibilité afin d'identifier de quoi qu'il pouvait bien s'agir. Trois ados espiègle surgirent du sol tête enfoncés sous terre avec seul la dentition conique qui émergea de la surface avec de petit grognement (similaire a des bruissements d'herbes), elle leur donna les restes des viscères quelle avait en main. Elle leur caressa la surface spongieuse de leur chair et leur demanda de partir en éclaireur voir ce qu'il peut bien s'agir et si il s'agissait d'une proie, ne pas attendre de passer a l'attaque et l'engluer de sécrétion si elle montre des signes de résistance et la dévorer vivante car dénicher des chairs fraîche en cette saison n'est pas a rigoler dans cet foret. Une occasion unique pour ses nouveau petit d'apprendre a chasser et elle mettra sa main a couper qu'elle avait soixante-dix pour chance de tomber sur une milice (donc des hommes) et que le seul moyen de comprendre la raison de leur présence sur son territoire est celle-ci: Un ou des détenus sont en cavale dans la nature et le premier bouffon d'inspecteur a du lancer une mise a prix pour la tête si quelqu'un serait capable de ramener le prisonnier mort ou vif en allant directement dans les marécages.
Hmm.. Amusant. Ces insectes sont aveuglés par l'appât du gain qu'ils n'ont pas réfléchit a deux fois avant de s'aventurer sur ma propriété.. Allez-y mes cocos, régalez-vous, c'est votre mère qui vous régale cette fois !Comprenant l'ordre de leur maîtresse, les vers plongèrent tête sous la surface meuble humide et partiellement liquide a causes des fortes pluies, pendant que les trois éclaireurs se dirigèrent sur le front pour passer a l'offensive, la mexicaine choisit de les suivre et ne souhaita pas rester en retrait et voudrait juste comment se débrouilles ses progénitures bien entendue, elle n'y alla pas seule, le restant de sa famille se joignit en arrière et restèrent a ses cotés, elle ne savait pas si la petite équipe s'en sortira ou non, c'est pourquoi elle ordonna a deux gros Ténia de les rejoindre en renfort, ce qui donnera un total de cinq robuste vers qui iront prendre d'assaut ces humains pitoyable ainsi même dépasser par le nombre et en arme, ils ne pourront contre la force brute, le mucus qui compose leur chair qui est collant et gluant au toucher et notamment avec l'environnement marécageux ou ces imbéciles ont la malchance de s'y trouver car au marais fétides qui coupe toute retraite en arrière avec la terre boueuse et qui risque d'aspirer un imprudent (comme dans la baie du Mont Saint-michel), ces nigauds n'ont nulle part ou aller ni même être en mesure de remporter cette bataille perdue d'avance.
Elle pouvaient alors au loin les mugissements rauque de ses bestioles qui sont partis combattre et la détonation de plusieurs armes a feu tirés dans le tas, il serait difficile de dire qui est rester en vie ou non ou dans quel camp qui a perdue qui... Elle décida néanmoins de se déplacer sous terre, elle plongea comme dans une piscine suivie par ses comparses en s'accrochant sur l'un d'eux pendant que les meneurs dirigea la manœuvre de mouvement de fouisseur, les autres restèrent aux aguets guettant un signe de leur maîtresse pour se ruer sur les éventuels survivants, elle pu voir que les hommes continuait de tirer sur un de ses jeunes qui avec le sang vert dégoulinant fut recroqueviller sur le sol sans signe de vie... Les plus gros avait apparemment réussi a en fourrer deux hommes dans leur bide mais en raison de leur masse et de leur lenteur, ils subirent le même sort que leur frère et moururent sous les balles a haute vélocité de leur armes de poing. Shia qui fut triste de voir la scène de ses enfants mourir sans rien pouvoir faire pour leur venir en aide s’énerva et elle ne fut qu'à présent gorgé de haine et de fureur, les quelques hommes semblèrent soigner les quelques blessés restant dans leur troupe et les plus aguerris rechargèrent leur armes mais ce coup-ci, il n'y aura pas de quartier et ce fut les gros vers qui passèrent tous a l'assaut, eux aussi avait sentis le désespoir de leur proches mort et ce ressentiment fit place a la colère pour être sure qu'ils ne ne vont pas se faire prendre. LEes vers restèrent terrés sous la surface meuble a leur pied et se rua à la surface de tous leur poids en déchiquetant des bouts de chair humaine avec leur bouche conique garnie de dent pointue en touchant un bras ou des jambes sur le passage. Shia attendit que calmement le silence se tasse, les humains nombreux au début ne devrait plus qu'être une poignée maintenant et la petite escouade restante ne va surement pas faire long feu...