Quand on a faim... [Shia Kijima]

Depuis la mort de sa famille, la vie de Golgoth avait complétement basculé. Bon, ce n'était certes pas vraiment sa famille, et il n'en ressentait pas vraiment de tristesse non plus. Mais sans eux, sa vie était devenue affreusement vide. Il n'avait plus de missions, plus d'objectifs, plus d'ordre a exécuter, plus rien. Ses journées se résumaient à ses instincts les plus primitifs. Lorsqu'il se réveillait, il attendait que le temps passe, parfois littéralement, pouvant rester assis immobile pendant des heures, le regard vide. Et puis, de temps en temps, il allait chercher à manger. Et par "chercher", il faut comprendre "voler". Non pas qu'il le fasse exprès, mais pour Golgoth la situation était extrêmement simple : s'il a faim, il cherche de la nourriture, et la mange, c'est tout. Cela lui attire très souvent des ennuis de la part des marchands, mais généralement cela ne va pas plus loin que les menaces. Qui oserait tenir tête à un colosse pareil, et risquer son intégrité physique pour une cuisse de poulet ?

Golgoth venait de se réveiller. Assis au sol, adossé à un arbre, il bailla longuement avant de se lever. Sa précédente balade l'avait fait quitter le marché de Nexus, jusque une forêt qui lui était inconnue, et dans laquelle il décida de faire une petite sieste.

* GRMBLBL *

Des gargouillis d'estomac. Ça, c'était le signe que Golgoth avait faim. Et qu'il était temps d'aller chercher de quoi manger ! Il regarda autour de lui, et se gratta le haut du crâne, un peu confus. A sa gauche ? Des arbres. A sa droite ? Des arbres. Devant lui ? Des arbres. Tous se ressemblaient, et il ne se souvenait plus trop du chemin qu'il avait emprunté. C'était bien malin, ça... Un dernier regard autour de lui, et Golgoth avança dans une direction au pif.

Il espérait que cela allait le mener à de la nourriture, parce qu'il avait vraiment faim ! A défaut d'un festin, il finit par tomber nez à nez avec un terranide au sol, dont la jambe avait été happée par un piège-à-loup. Ce dernier interpella le colosse, le regard plein d'espoir.

« Aaaaahh ! Enfin quelqu'un, que les dieux soient loués ! S'il vous plait, aidez-moi, je suis coincé ! »

Golgoth le regarda silencieusement, la tête incliné, avant de répondre nonchalamment.

« GOLGOTH AVOIR FAIM. »

Le terranide semblait apeuré, craignant certainement d'être dévoré sur place. Il bredouilla rapidement.

« Euh non non, attendez ! Je ne suis pas comestible ! Déjà j'ai très mauvais gout, et puis, euh, ma chair est toxique ! Si si, je vous jure ! »

Le colosse le dévisagea toujours, ne comprenant pas ce qui lui prenait.

« TOI AVOIR NOURRITURE ? »

Le terranide répondit alors, un peu penaud.

« Ah... euh, non, non je n'ai pas de nourriture sur moi, désolé... »

« TOI PAS AVOIR NOURRITURE ? »

Golgoth haussa alors les épaules, un peu déçu, et continua son chemin.

« Hé mais... Attendez ! Vous n'allez pas me laisser planté là quand même ? S'il-vous-plait, libérez-moi ! »

Golgoth ignora ses appels et ses supplications, et avança sans se soucier de lui.

« GOLGOTH ALLER CHERCHER NOURRITURE. »

C'était tout ce qu'il avait en tête pour l'instant : manger. Dommage pour ce pauvre terranide, dont les cris faiblissaient à mesure que Golgoth s'éloignait.

Peu à peu, la forêt s'éclaircissait, la végétation devenait plus rare, et moins verte.... mais ce n'était pas comme il l'espérait. Il quittait la forêt, mais au lieu de se rapprocher de la ville, il s'engouffrait maintenant dans une sorte de marécage boueux. On dirait bien qu'il avait pris la mauvaise direction...

* GRMBLBL *

Et il avait toujours aussi faim.

Que c'est savoureux de prendre un bain de mucus d'arénicole, la forme de vie n'avait pas le choix et comme les poissons qui avait besoin de vivre dans un espace sous-marin, la miss n'avait que cette option pour sa survie et celle de son espèce en voie d'extinction... La foret de Terra fut propice pour son séjour perpétuelle dans les tourbières de cette environnement qui possède un climat humide peu tempéré, les arbres qui l'en peuplait avait des branches si denses avec des branches si denses et leur feuillages si compacte qu'ils formèrent un mur végétale au-dessus du sol a moins de deux mètre de la terre, il y avait aussi des arbres morts et pourrit signe que les éléments sont souvent en mouvement dans le coin alors si il y avait une crue ou une inondation lors de vilains orages, se trouver par-ici lors d'un passage de torrent sale serait dangereux ! Il y avait cependant des petits animaux qui existait dans les environs comme les batraciens et autre reptiles minuscules de la taille d'une règle de dix centimètre allant même jusqu'à la dimension d'un anaconda qui pouvait équivaloir à sept mètre. Bref ! C'est dans ce paysage frisquet et peu fréquentable qu'avait élue domicile la mexicaine et ses comparses gluant, la jeune femme passait son temps à se prélasser avec les siens et dans les jours ou l'apparition de proie se faisait rare, ses alliés se terrait vers le fond en creusant des tunnels et avalait des proies de petite taille tel que des taupes ou des hérissons (si l'un d'eux se manifestait dans leur champs de vision) et même des lapins de Garenne ! Ce qui n'est pas le cas de Shia car son métabolisme ne lui permettait de survivre trop longtemps sans se nourrir (maximum deux jour), les vers préhistorique était vorace et agressif envers la nature mais pas envers leur petite protégée.



Il leur arrivait de l'aider a se nourrir en glissant dans sa bouche des restes de bouilles partiellement digéré qui descend jusqu'à ses entrailles ou les nutriments recueilli soit stocker dans ses organes, c'est vraiment répugnant comme méthode mais judicieux pour la demoiselle au mamelle de vache laitière. Au début sa petite famille sauvage ne fut composer que de cinq membres mais elle a réussi a mettre a trois couvée (car sa période de grossesse dure six mois) et comme les humaines qui accouche difficilement leur bébé sur Terre dans les hôpitaux, il en est de même pour miss Kijima qui trouve la séance éprouvante et insupportable. Lorsque la larve voit le jour, il a besoin d'être immédiatement isoler sous terre afin qu'il grandisse dans son cocon entouré des siens pendant que la reine des vers de vase se fait sauter (elle ne baise pas directement mais disons que cette exercice a pour but de lui transmettre de l’énergie pendant l'orgasme et leur érection), elle se retrouve alors prisonnière d'eux comme avec un genre de "gang bang", un matelas vivant sous le dos et l'autre en la chevauchant et s'en suit une parade nuptiale sous la terre meuble a travers les trous et les fentes, seule en sorte ses cris de jouissance accompagné de ces gémissements de lapine.

Hmmm.. Je mangerais bien un bout de chair mais j'ai besoin de m'accoupler..     

Une voix humaine parvint alors dans ses conduits auditif et il avait l'air seule et c'est bien celui d'un mâle, ces derniers jours elle avait l'idée de changer de mode opératoire de couche pour procréer et désira se tester auprès d'un humain, c'est juste par curiosité et si en admettant la dite créature qui sera sorti de son ventre n'avait rien de familier, il pourra toujours servir de viande fraîche pour elle et les siens. La jeune femme toujours allongé voulu attirer sa proie dans son antre, seul le haut-du-corps émergea de la mare maronnasse, elle ôta les résidus herbeux et sale de sa combinaison en cuir noir entièrement salit par la gadoue et siffla en direction du bruit afin que celui-ci intrigué s'amène sur son territoire, elle n'avait pas prévu de passer a l'attaque par la domination en surnombre avec sa famille mais avait besoin d'abord de savoir avec qui elle affaire.

Cela allait bientôt faire une heure maintenant que Golgoth errait dans les marécages. Il parvenait difficilement à se mouvoir, gêné par les branches, ronces, et racines, qu'il était obligé de contourner, ou de casser, pour se frayer un chemin. Mais ce qui le ralentissait surtout, c'était le sol boueux sur lequel il marchait. Chaque pas qu'il faisait était une épreuve, et nécessitait toute sa concentration pour éviter de glisser et de s'écrouler face contre terre.

Une heure d'escapade, et Golgoth n'avait rien trouvé qui s'apparentait de près ou de loin à de la nourriture. Il n'avait pas rencontre la moindre âme qui vive. Mais rien de tout cela ne l'inquiétait. Ou plutot, il n'y réfléchissait même pas. Le colosse continuait à avancer inlassablement, avec la détermination d'un robot pré-programmé.

C'est alors que, venant de nul part, il entendit un sifflement. Il n'était donc pas seul dans ces infâmes marécages. Peut-être même allait-il enfin trouver à manger ! Golgoth accéléra le pas, martelant le sol de ses grosses bottes, et se dirigea vers les sifflements. Dans sa précipitation, il ne remarqua pas une racine traitresse à peine sortie du sol. Son pied buta contre elle, il perdit l'équilibre, glissa sur la boue, et s'écroula de tout son long sur le sol. De la gadoue plein le visage, il cracha, et lâcha.

« PFOUAAH ! GADOUE PAS ÊTRE BON. »

C'est alors qu'il remarqua, à peine plus loin, le corps d'une femme, qui se trouvait elle aussi dans la boue. C'était la première être vivante qu'il croisait ici. Enfin, "vivante", ça il n'en était pas sûr, étant donné qu'il ne la voyait pas bouger. Mais il n'allait pas tarder à en avoir le coeur net. Golgoth se releva, et tout en avançant vers elle, il l'interpella.

« GOLGOTH AVOIR FAIM. TOI AVOIR NOURRITURE ? »

Le colosse avait l'air assez ridicule, couvert de boue. Mais bon, elle aussi, alors ils étaient deux. Et puis, ce n'est pas comme si un peu de saleté le dérangeait.

Elle qui croyait tomber sur un beau tombeur qui devait devenir le plat de résistance, elle eut affaire à un jambon vivant ! Rien qu'avec pareil quartier de viande, elle aura un garde-manger remplie pour un mois environ mais ce n'est pas l'appétit qui la préoccupa pour le moment mais savoir si "il" fera l'affaire ou non car si ce n'est pas le cas, elle saura comment l’entraîner dans les bas-fonds des tourbières putride. A première vue, il n'est pas très prudent mais il fut sacrément grassouillet comme sur Terre, la mexicaine n'en avait jamais vu pareil masse gambader à l'air libre (et puis connaissant le monde d'aujourd'hui, il n'aurait été que la cible des brimades de la populace éhonté de la ville), par ailleurs ce genre d'individu grotesque, ça ne court pas les rues. Un type comme Golgoth n'est pas supposer avoir faim avec cette corpulence a faire peur les chats mais il se répéta infatigablement, Shia est une dévoreuse de proie vivante et son comparse lui est sans doute omnivore, si elle veut réussir son plan, elle allait devoir lui faire remettre son appétit à plus tard. Ce genre d'homme ne doit pas avoir connu de femme ou a moins qu'il est déjà reçu l'expérience de baiser une fille mais là encore c'est forcément sans suite donc ça ne servira a rien, qu'elle prend des poses en mode glamour et pin-up. Les autres arénicoles restait terré à deux mètre sous terre et ne se réveillait pour se baigner dans ce goudron terreux au crépuscule du soir dans l'attente éventuel d'une proie qui vient se piéger mais en attendant, il n'y avait que miss Kijima avec ce bonhomme.

Oui j'en ais et bien plus à t'en éclater la panse, gros ours ! Si tu veux que je t'en donne, tu va devoir suivre une condition en contrepartie

La mexicaine n'allait pas lui dévoiler son plan, qui dit qu'après il ne changera pas d'avis ? Elle ne connaissait pas du tout l'histoire de ce géant d'homme mais il a une peau de bois et qui sait un cerveau rétrécie de la taille d'une poule mais comme dans tout histoire enfantine qui se respecte, les bougres comme lui n'aime pas qu'on se moque d'eux, notamment les insultes et autres pitrerie sur leur laideur car quand ils sont en mode colère noire, ils peuvent devenir des bourrins de jeu et faire exprimer leur mécontentement avec des vilains beignet dans la figure. Dans l'humanité de la mexicaine en son temps, jamais elle n'avait proférer de vilain mot désagréable a leur encontre, c'est juste qu'elle s'en fiche d'eux, car ils sont humains comme elle et vivent dans la même planète alors pourquoi en rire ? Elle ne sut pas si elle devait y aller mollo avec lui dans ses débuts ou en jouant de la manière douce mais l'essentiel de son idée fut qu'il ne devait rien savoir avant quelle ne lui donne son affirmation, c'est après cela que l'évolution de la situation va se jouer, en attendant de recevoir la réponse du goret, elle se lissa les cheveux meubles en avalant de la terre meuble et fertile dans son organisme.

En se rapprochant, Golgoth réalisa que la femme était vivante. Il restait plutôt neutre à cette nouvelle, sa priorité du moment étant de soulager son estomac. Cependant, son regard pétilla lorsqu'elle lui affirma qu'elle avait de quoi le rassasier. Golgoth était presque heureux ! Mais toujours aussi idiot.

« MOI PAS ETRE UN OURS. MOI ETRE GOLGOTH. GOL-GOTH ! »

Il n'y avait pas à dire, ses facultés intellectuels étaient assez limité. Comprendre le sens propre d'une phrase était déjà bien assez sophistiqué pour lui, alors dès qu'il y avait un peu de subtilité, on l'avait vite perdu. Et il ne s'en rendait même pas compte. Cela dit, aussi limité soit-il, Golgoth était très fort physiquement. Une montagne de muscle, mais pas très malin. Heureusement, il était plutôt docile en général, et même inoffensif, si l'on excepte ses bourdes, comme lorsqu'il salue en serrant la main assez fort pour briser les métacarpes. Mais bon, il ne faisait pas exprès. Par contre, mieux valait éviter de l’énerver, comme le prendre pour un imbécile, ou essayer de le tuer, sinon là oui, il va faire exprès de vous faire mal. Très mal.

La vie de Golgoth était assez simple. Manger, se balader, dormir. Parfois, il lui arrivait d'avoir des rapports sexuels, lorsqu'il avait "le zizi tout dur qui chatouille", comme il disait. Dans ces moments là, il cherchait une partenaire sur qui soulager ses pulsions, et cela donnait généralement lieux à des ébats assez brutaux. Les femmes qui acceptaient, ou n'acceptaient pas d'ailleurs, finissait souvent avec de larges bleues et le pas boiteux, le lendemain. Quelque soit la nature de ses envies, Golgoth les assouvissaient. Et en ce moment, aussi sexy soit la femme devant elle, l'envie de Golgoth était de se remplir la panse.

« TOI VOULOIR CONTREPARTIE ? TOI QUOI VOULOIR ? GOLGOTH AVOIR FAIM. OÙ ÊTRE NOURRITURE ? »

Golgoth se montrait assez conciliant, et se demandait ce qu'elle voulait de lui en échange de la nourriture. Il avait l'habitude de prendre ce dont il avait besoin sans demander, mais en l’occurrence, s'il devait fournir quelque chose pour obtenir ce qu'il voulait, c'était dans l'ordre des choses. Tant que l'enjeu était honnête, et que l'on n'essayait pas de l'entourlouper. Lorsque il remarqua que la femme avalait le sable, Golgoth eu un éclair de génie -relativement-, et fût pris d'un doute.

« TOI MANGER GADOUE ? SI NOURRITURE ÊTRE GADOUE, GOLGOTH PAS VOULOIR. GOLGOTH PAS MANGER GADOUE ! »

Bah oui. Si la nourriture qu'elle proposait était le sable même qu'elle était en train de manger, ça n'allait pas du tout arranger la faim du colosse.

Ce bonhomme devait être unique en son genre et même que la mexicaine trouva qu'il ressembla fortement à un protagoniste de BD et lui s'appela "Grossbouf" et pouvait avaler n'importe quoi, mêmes des pierres mais contrairement à son acolyte qui lui vivait à Terra, celui-ci n'avait l'air de se nourrir que de chose organique (voire cuisiné). La Mannequine de l'érotisme ne résidait malheureusement pas dans un palace cinq étoiles avec un personnel culinaire de premier ordre pour pouvoir répondre aux attentes de son hôte mais elle pense qu'elle saura résoudre la nature de sa requête en moins de temps qu'il ne lui en faut. Le gros gus ne souhaita pas non plus être prit en terme de comparaison animal et pourtant il n'y avait rien d'offensant ou d'insultant mais bon, qu'importe sans doute qu'il n'avait pas comprit la différence, miss Kijima se souvint que le service technique lui avait remit un espèce de sac de survie aux couleur de l'armée terrestre, il n'avait jamais eus l'occasion d'y jeter un œil mais quinze minute avant son envoie dans le monde virtuel, elle se rappela avoir vu un objet bizarre qui avait l'apparence d'une machine à écrire et pendant qu'elle se lissait les cheveux pour sa préparation au tournage, elle vit un stagiaire déposer l'item aperçu dans le sac et tandis que dans le pc, elle vit un truc con qui ne pouvait aucunement exister dans la réalité et l'utilisation de l'appareil fut extraordinairement simple malgré qu'un autre détail concernant ce dactylo lui revint en mémoire car ce jour-là elle avait constater un défaut... La machine est bien lourde et devait faire moins de deux kilos, la jeune femme avait consulter la liste du matériel qu'elle a sa disposition quand elle commencera le jeu et se mit en désaccord avec l'un des producteur-technique au sujet de ce truc et prétexta sans cesse qu'elle ne put porter ce machin car ça pouvait lui faire lourd au dos et d'autant qu'elle n'est pas homme pour cette tâche, elle n'y verrait qu'une perte de temps ou un ralentissement. Un assistant se joint au monologue entre l'actrice et le producteur et appuya le communiqué de son supérieur en disant que ce dactylo n'est pas comme les autres et que si dans le jeu (si elle devait faire face à un boss ou résoudre une énigme comme remonter ses PV), l'héroine devait avoir une difficulté de parcours a suivre pour atteindre son objectif, il suffirait juste qu'elle tape ce qu'elle veux sur la machine à écrire et aussitôt, l'item demandé apparaît.

Je ne voulais pas te contrarier bel homme mais laisse-moi le temps de revenir vite fait, je te prie

Shia plongea sous la surface boueuse et molle du marais et en ressortit en perçant de sa tête la couche meuble et épaisse de la fosse, elle y posa sur la berge humide un sac en plastique et se servit de ses mains gantés pour nettoyer en évacuant les bouts de terre en arrière par lancée. Elle y trouva ce qu'elle cherchait et il s'agissait de l’œuf du destin. A l'époque ou la mexicaine fut galibot, elle adorait lire et rire de la scène dans les aventures rigolote des schtroumph, elle se souvint d'une séquence de lecture ou les petits êtres bleus avait découvert par hasard un œuf en foret et de l'avoir amener au village et comme par hasard au premier contact "PAF", il suffisait que quelque chose effleure la coquille de l’œuf et d'un seul coup sous une illumination lumineuse qui devait durer une seconde, le vœu exauce plus ou moins la nature de la demande de l'intéressé. Au bout du compte, elle le présenta devant le gros bonhomme mais se ravisa à la seconde, craignant que celui-ci croit être un déjeuner, il le brisera même avant de le saisir.

Je te présente un trésor ayant jamais existé et comme tu n'en a jamais vu ! Rien qu'avec cette objet en ta possession, tu pourras avoir le monde à tes pieds !

Shia brandit fièrement mais délicatement de ses deux mains l’œuf miracle malgré que miss Kijima n'avait aucune idée de la durée estimable du temps d'usage de cette coquille ronde même si elle n'y avait pas encore toucher, au moins grâce à cette perle rare, elle réussira certainement à appâter son brave compagnon.