Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Sue L. Stuart

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Sue L. Stuart

Pages: [1] 2 3 4
1
<< - Je suis rhabillée. N'en profitez pas pour essayer de me rabaisser. >>

Sue était honnête, elle l'avait toujours été. Elle savait que parcourir ses plans et lui lancer à la gorge qu'ils étaient mauvais, n'avait pas dû lui faire plaisir, mais elle n'en avait cure. Elle s'en foutait, elle parlait de son travail. On ne pouvait pas arriver, être général, et se croire mécanicien ! Ca ne marchait pas comme ça. Alors ouais, être débraillée et hurler avec son accent populaire du bas-ventre des mines était rabaissant pour elle, mais elle restait dix fois supérieur en génie mécanique et aéro-dynamique. Il n'était rien par rapport à elle, il n'avait que ses armes et son pouvoir pour s'élever, et la chute n'en serait que plus violente et brutale. Maud allait être informé de tout, de tout. Ce Général ne lui plaisait pas, encore moins que Daud et c'était peu dire. Peut-être parce que son charme naturel ne fonctionnait pas et qu'elle n'arrivait pas à se le mettre dans la poche alors qu'elle se rhabillait totalement. Elle retrouva enfin sa ceinture et la remit autour de sa taille pour attacher son pantalon, tandis qu'elle soupirait, très longuement. Non, ça ne lui plaisait pas de s'être ainsi laissée voir à un Général tendu comme une queue en érection mais sage comme un Saint Eunuque. Elle se recoiffa du bout de la clé à molettes qu'elle portait toujours avec elle et l'écouta de loin, sans réellement réagir, paraissant dans ses pensées.

Elles fonctionnaient, ses machines ? C'était assez extraordinaire ça. Elle était étonnée d'ailleurs. Elle haussa un sourcil et fit claquer sa langue à son palet. Elle enroulait une mèche de cheveux autour de son doigt, tirant nerveusement dessus. Non, non, non, ça n'allait pas. Elle se rapprocha et finit par pouffer. Bien sûr qu'ils fonctionnaient ! Etait-elle bête... Elle éclata de rire alors qu'une larme de moquerie coulait lentement au coin de son oeil et sur ses pommettes. BON SANG ! Comment avait-elle pu penser un instant que ces plans avaient donnés des machines en état de marche ?! Elle finit par se calmer alors qu'elle lui faisait signe de lui montrer les nouveaux plans, plus propres. Elle glissa ses doigts sur le papier, lentement et finit par grogner un peu.

<< - J'ai déjà décidé. Je suis avec vous. Ces machines sont des monstres, bon sang. Elles pourraient tomber en lambeaux si vos mécaniciens n'avaient pas peur pour leur vie. Venez là. >>

Elle lui attrapa le poignet sans aucune peur, sans aucune tenue, avec cette attitude un peu sauvage d'une personne qui n'a toujours pas pris l'habitude des conventions et des manies de la cours. Elle lui attrapa la main pour lentement lui montrer différents points de ses plans détaillés, qui avaient beau être meilleurs, rengorgés encore de défauts et de coquilles purement dangereuses. Elle lui plaça l'index sur une des sortes de pattes de la techno-forteresse, en expliquant d'une voix un peu rauque encore par l'éclat de rire qui lui avait échappé. Elle était si naturelle que ça en était un peu étrange, surprenant, parfois gênant. Elle attrapa un crayon, en même temps et doucement se mit à rayer des écritures, des détails, et en rajouter d'autres.

<< - Voilà ce qui a été construit. Vos mécaniciens ont eu la présence d'esprit et l'honnêteté de retirer une à une sans vous le dire les imperfections. Si cette machine avait été construite, elle aurait explosé au moment où on l'emplissait d'un moyen de combustion. Mais non, parce que tous les hommes que vous employez, eux, ils ont su aller outre votre supériorité et votre intelligence terriiiiible, Général, et tout reprendre à zéro, sans vous le dire pour ne pas blesser l'égo aux dimensions assez intenses qui réside ici. >> Elle lui tapota le torse en se recula assez pour le regarder droit dans les yeux, avec un petit mouvement nerveux de la lèvre supérieure. Elle prendrait les mesures adéquates pour qu'on lui transmette en privé ces plans et qu'elle puisse les recopier pour les donner à Daud.

<< - Je travaillerai pour vous. Mais ne me parlez pas comme si vous pouviez comprendre ce que vous faîtes. Vos connaissances en ce domaine sont limitées, très limitées et je crains qu'elles ne le resteront. Donner des ordres, j'obéirais. Dictez vos envies, je trouverai un moyen de les créer. Mais ne me prenez pas de haut concernant le sujet précis de la mécanique. Le reste, vous pouvez bien si l'envie vous prend, je n'en ai rien à taper. Ca m'en touchera une sans faire bouger l'autre. >>

Elle finit par se reculer en relachant le crayon et en attrapant le verre vide du général pour se le remplir d'eau, simplement, buvant cul sec l'entièreté du verre, quelques gouttes glissant le long de sa gorge nue et sur la rondeur douillette de ses seins. Elle finit par poser le verre sur la table basse en mordillant sa lèvre inférieure, l'air un peu curieux, comme si elle réfléchissait en même temps, finissant par revenir sur le plan pour réattraper le crayon. Elle souligna une pièce du plan et vint la dessiner à nouveau, plus large, avec plus de détails, rajoutant peu à peu sa technologie innovante qu'elle essayait d'utiliser ailleurs que sur ses ailes de Vapeur. Elle s'assit à moitié sur le siège en fronçant les sourcils de plus belle. Elle se jeta en arrière brutalement, tandis qu'elle soupirait. Non, non, non, ça n'irait pas. Il lui fallait les voir, tout de suite. Il fallait qu'elle les ai en mains pour pouvoir faire quelque chose.

<< - Amenez moi les voir. J'ai besoin de les voir. >> L'idée de trahir cet homme qui lui offrait sa confiance trainait toujours dans son cerveau, mais elle n'en avait cure, pour l'instant. C'était l'appel de sa passion qui faisait rage et elle ne pouvait que l'écouter. Elle le fixait, les mains sur les hanches comme une bonne travailleuse, rajoutant avec un sourire calme. << - Vous me présenterez vos mécaniciens, aussi ? >> Eux, au moins, elle pourrait les baiser pour avoir des informations compromettantes sur le Général ! Et tout cela à sa barbe, de manière à être sûre de retrouver son frère ... Et de finir par enculer Daud aussi profondément qu'il comptait la lui mettre. Tout un programme en perspective et elle esquissa un nouveau sourire avec son naturel si agréable.

2
Si Lollipop t'intéresse avec son nouveau développement character ça sera avec plaisir.

Voir le Chalant pour le personnage ! Mp pour qu'on en dicute ~

3
Les contrées du Chaos / Re : La Conspiration [Stuart L. Sue]
« le: jeudi 31 mars 2016, 19:46:19 »
<< - OH OH OH ! BOUGE PAS ! NE BOUGE PAS ! >>

L'atelier de Sue ressemble à Sue. Entendez par là qu'il est un peu exigu, autant qu'elle est petite, très peu ordonné, rempli de papiers éparpillés de partout, dans tous les coins, et des prototypes abandonnés sur les étagères, dans des coins un peu sombres. Un lit défait avec encore quelques traces d'ébats, des draps sales où on pouvait remarquer quelques tâches de sperme, le matelas à même le sol et une sorte de long bureau avec des vis de partout. Le résultat était assez étonnant, hétéroclite, bordélique bien sûr, et baigné par la lumière chaude du matin. Sue était levée depuis déjà deux longues heures et dessine des plans illisibles sur un parchemin corné, semblant exaspérée. Son dernier prototype qui git sur le sol poussiéreux de l'atelier est un putain de désastre. Elle ne comprend pas comment elle a bien pu créé une telle horreur. C'est son Frankenstein, un chef d’œuvre si il n'était pas désastreusement monstrueux. Elle se laisse tomber la tête dans l'oreiller, étouffant un grognement intense de mécontentement. On disait qu'ici dans l'Empire de Vapeur, que l'inspiration et les réponses aux plus gros problèmes venaient dans la luxure ... Il était temps qu'elle en fasse l'essai parce que ce n'était pas normal que son oeuvre, ses ailes rétractives soient devenus des putains d'armes pour tuer leur porteur ... Elle retira son haut beige avec une déchirure dans le dos qu'elle n'avait pas pris le temps de recoudre pour rester poitrine nue et fit glisser son pantalon gris sur ses chevilles pour le laisser trainer par terre. Couinant un peu, elle finit par retirer la culotte un peu petite qu'elle portait, qui appartenait en fait à Constance et se cambra en glissant ses doigts sur son intimité. Fallait tenter le truc, de toute façon elle avait pas envie de bosser. L'image de son Empereur s'imprima dans son esprit en quelques secondes et un sourire ravi vint prendre d'assaut les lèvres de la belle mécanicienne. Il ne lui fallut pas longtemps pour se laisser dans le plaisir coupable, le corps en sueur, trouvant une nouvelle utilité tout à fait merveilleuse à certains de ces outils alors qu'elle gémissait, le corps cambré sous la caresse des rayons dorés qui entraient dans l'atelier. Pourquoi n'avait-elle jamais pensé à ça ? C'était putain de ...

Et c'est à ce moment précis, alors que Sue était enfin en train de plonger dans les volutes les plus épaisses de la luxure et de l'excitation que la porte de son atelier fut défoncée par une épaule. Enfin, ouverte, mais dans son état, Sue ressentit ça comme une agression. Elle réagit pourtant super rapidement et pensa d'abord à son prototype que l'inconnue allait sans doute écraser. Et ça ! Ca, non. Elle se relève brutalement sur les coudes, les doigts encore humides et nue, fiévreuse de désir et de plaisir. C'est ainsi que la nouvelle venue put entendre l'accent populaire de Sue, lui hurler de s'immobiliser. Se mettant debout, ou plutôt sautant sur ses pieds, Sue reste nue quelques instants, un peu interloquée. Vue l'air de la jeune femme, elle n'est pas là pour venir la féliciter sur ses inventions. Elle entend le bruit lourds des pas des gardes et finit par froncer les sourcils alors qu'elle attrape la femme par le bras pour la pousser derrière un prototype particulièrement larges, une sorte de combinaison de voltigeur avec des ailes intégrées étrangement légères, encore un désastre d'ailleurs. Elle zieute un peu et pousse une partie de son bordel vers le coin où la femme est maintenant bloquée.

<< - Et touche rien, ou je te jette dans la rue. On sait jamais, ça pourrait fonctionner un jour. >>
Avec un air très sérieux, elle finit par souffler pour se rhabiller. Du coup, elle sait plus très bien où elle en était avec tout ça... A peine a-t-elle eu le temps de finir de mettre son pantalon, large et un peu miteux, les cheveux clairement en bataille, que les gardes défoncent de nouveau sa porte pour pénétrer dans son atelier. Elle se tourne en ne rougissant même pas, alors que les gardes s'approchent. Elle fronce les sourcils. << - Oh. Faîtes gaffe. Je suis protégée par L'Empereur, vous cassez un truc ...
- La Mécano, ferme là. Fouillez.
- Que dalle. Touchez un truc de mon atelier, et je demande à l'Empereur que vous voyez les prochains cobayes de mes prototypes. Vous cherchez quoi, en plus ?!
- Une personne.
- Personne n'est entré ici. Par contre, vous commencez vraiment à être lourd et je sais pas si vous le voyez mais j'attends pour me toucher là. >> Elle fait lentement bouger ses seins dans le vide sous le regard hébété des gardes. L'un deux dépasse le cadavre du prototype abandonné et se rapproche de Sue pour attraper son sein entre ses doigts, et le presser, tirant un grognement surprise à la mécanicienne, qui recule d'un pas. La poigne se fait plus violente, elle lève sa clé à molette. Puis comprend. Elle rabaisse simplement son arme inventée pour le fixer droit dans les mirettes, enfin dans le casque aurait été plus précis. Il soupire. Elle ne lui ferait pas le plaisir de l'agresser pour qu'il puisse écraser ses plans, chercher tout son saoul, et la baiser dans un viol des plus licencieux. Nan, nan. Elle ne sait pas qui il cherchait et pourquoi, mais Sue est du genre à aider, quand l'autorité est en jeu. Malgré tout le respect qu'elle porte à Son Empereur et l'amour profond qui la lie au bonhomme, elle n'aime pas les Marcheurs, ni les gardes et tout ce qui rapproche aux militaires rampants. Finalement il relache son sein rougie par la pression et gifle le téton qui pointait depuis le début de la conversation. Les autres étaient déjà partis fouiller d'autres ateliers, mais il s'attardait encore, mécontent de ne pas vérifier par lui-même que la trainarde n'était pas là.

<< - C'est bon ?
- Tu sais quoi, la Mécano ? Je reviendrai te voir un coup, un soir. T'as un sacré culot.
- Rien à cacher surtout. Allez ...
- Elle veut tuer notre empereur. C'est un traitre à l'Empire.
- Mais je sais même pas de qui tu parles, bourré du cul ! Va la chercher, ta baballe, tu reviendras la queue entre les jambes voir Mlle Sue ! >>

La conversation se termine enfin alors qu'il claque la porte derrière lui et qu'elle soupire. Elle jette un regard à la cachette et se laisse tomber sur son matelas avec un sourire doux. Elle glisse sa main sur son sein meurtri. Relevant les yeux vers la jeune femme, elle lui fait signe de prendre ses aises, lui jetant une clef à molette dans les mains.

<< - Tiens moi ça un instant. >> Elle enfile son haut sans plus de tracas et se relève en donnant un coup dans ses cheveux. << - Je sais même pas pourquoi j'ai décidé de t'aider. Je t'ai vu avec Constance, une fois. Une Fricarde des Beaux Quartiers qui se fait suivre par les Marcheurs ? T'as fait quoi, pépette ? >> Elle reprend sa clef à molettes. Ils avaient raison, ces cons ! Les hormones sont bonnes pour l'inspiration et Sue se laisse tomber au sol pour retirer quelques boulons à ses nouvelles ailes rétractables, la bouche remplie de vis qu'elle tient entre ses dents, prononçant difficilement. << Shoueuh, pouchr te chervirch ! >>

Bavarde et ouverte sur les gens, Sue la laisse prendre ses marques, sans trop s'en faire. L'inconscience et l'insouciance sont des qualités indéniables. Sue recrache une vis pour continuer son bidouillage, sourcils froncés. Non, non ... Ca n'aillait toujours pas.
-

4

Un honneur. Ouais, elle allait lui en foutre des honneurs de ce type, et assez profondément s'il continuait, en plus. Sérieusement ! Vivre dans la boue quand on pouvait vivre dans les airs ? Marcher quand on pouvait voler ? Souffrir quand on pouvait profiter ? Non, il ne lui ferait pas croire qu'on pouvait aimer servir dans les rampants. Et d'ailleurs, elle n'avait que peu d'estime à son propos, de part son statut qu'elle ne considérait pas vraiment. Elle esquisse finalement un sourire en coin, toujours dos au Maréchal. GardRok. Cela lui fait penser à un groin. Depuis le début ce nom lui donne l'impression de parler à un porc. C'est légèrement étrange comme sensation, d'ailleurs. L'esprit est vraiment trop compliqué à comprendre, et la mécanicienne préfère laisser toute la liberté qu'il voulait au sien, pour ne pas avoir à s'en préoccuper. Plus utile comme ça, un cerveau qui partait dans tous les coins et une bouche délicieusement attirante qui savait manier à la perfection les liens de la manipulation. Lui-même ne croyait pas à son mensonge, elle en est bien consciente. Elle finit par sourire plus largement en haussant ses frêles épaules. Les mains de Sue joue sur sa ceinture, l'attachant, la détachant, l'attachant encore, la détachant encore alors qu'elle l'écoute, le visage à peine tourné vers lui. Elle ne peut que ressentir son regard scrutateur. Doucement, darling, tu n'as pas encore acquit le droit de cuisage sur ce corps là. Elle passe sa langue sur ses lèvres charnues, les humidifiant lentement dans un regard qui damnerait n'importe quel passant. Elle-même doute. Est-ce elle qui manipule Daud ou Daud qui tire les rennes ? Elle n'est pas certaine, à vrai dire. Mais elle efface cette pensée déplaisante de son esprit avec une petite moue mécontente alors qu'elle finit par se tourner totalement vers le Maréchal, de nouveau. Le poisson a mordu à l’appât et elle fait un large mouvement de main pour donner son assentiment à ce petit projet, ses yeux retournant dévorer la pièce, déchiffrant quelques mots, difficilement, remarquant des papiers, des livres, des plans. Beaucoup de plans. Elle en est fébrile. Voir autant de plan dessiné lui plaît. Daud est bien gentil, mais le travail manuel ne l’intéresse pas, vraiment pas du tout.

Et pourtant ! On sait bien que déchiffrer des plans et imaginer le résultats en chair et en acier est bien plus intéressant que de baiser à tout va. Cela est une évidence, même pour une frivole mécanicienne comme Sue. Elle ne peut se retenir de pouffer quand il parle de son engagement politique. Darling, darling, es-tu vraiment si naïf ? Tu n'as pas l'air de l'être pourtant. Elle hoche la tête, positivement. Sue se tait pour l'instant, elle réfléchit et se décale un peu pour s'approcher de différents plans qu'elle étudie pensivement. Ses mains glissent sur les parchemins, qu'elle décale un peu pour fouiller, sans attendre d'autorisation. Elle est libre, ici, elle est dans son univers, loin des bijoux de la cours, du doré des appartement de l'Empereur. Elle se salie main dans la graisse étalée sur le bureau et retourne un papier en répondant enfin, d'une voix enjouée.

<< - Je vous en prie, Maréchal, mangez. J'ai déjà grignoté. Ne vous en faîtes pas pour moi. >>

Même si les plans qu'elle peut détailler ne sont pas ceux des prototypes, elle peut déjà noter de nombreuses imperfections qui rend le tout dangereux. Elle fronce les sourcils. Comment a-t-il pu créer des prototypes avec une si mauvaise qualité de détails ?

<< - Vous êtes inconscient au possible. Je ne rentrerai dans aucun de vos prototypes, même forcée. Vos plans sont bourrés de dangers et à la première pierre sur le chemin, vos engins de guerre vont exploser et être soufflé par la puissance de vos erreurs. >>

Honnête. Elle l'a toujours été et de tels plans ne méritent aucune pitié. Elle en a oublié l'objet de sa visite en réalité, trop occupée à décortiquer les plans qui avaient du servir d'esquisses pour les plans finaux. Non, non, non ! Rien ne va. Elle attrape un crayon, et barre certaines partie du prototype, attrapant un tabouret rempli de livres qu'elle fait tomber au sol. Nom de Dieu, comment pouvait-on créer de telles horreurs ? Si c'était ça qui faisait peur à Daud, elle commençait clairement à s'impatienter. Elle mordille le haut du crayon, finissant par pousser un long soupir en roulant le papier en une boule qu'elle jette dans une poubelle. Un manque de respect ? Elle n'a que de la pitié pour un travail si bâclé. Et de la colère, aussi. Finalement, elle se laisse tomber dans un des fauteuils, apparemment pensive.

<< - Ca ne va pas. Rien ne va, dans vos plans. Vous êtes à côté de la plaque. Je me demande même quand vous êtes arrivé à construire des prototypes. Sincèrement, même un écrivain public, ferait mieux ! Vous êtes sûr qu'ils tiennent vos prototypes ? Je n'ai certes aucune influence dans mon domaine, mais je ne suis pas non plus un rebut de la mécanique. Où aviez-vous la tête en créant ces abominations ? >>

Daud allait bien rire, tiens. Elle se relève brutalement, agacée, semblant réfléchir. Rah, ça l'emmerde bien, cette merde au final. Travailler avec de tels abrutis ? Non, non ! Alors qu'elle finit de se remettre debout, elle sent tout aussi soudainement son large pantalon qui se fait la malle. Mais genre, totalement la malle. Genre la malle jusqu'à ses chevilles quoi ! Ah merde, la ceinture. Elle semble un peu choquée, ou tout du moins étonnée de se retrouver en culotte, là, d'un coup, dans le bureau du Maréchal. Culotte tout à fait sympathique d'ailleurs, un shorty gris perle qui met en valeur la rondeur de ses fesses. Elle passe la main dans ses cheveux dans un long soupir, apparemment lassée. Elle remarqua la ceinture qui est restée sur le fauteuil et se baisse pour remonter son pantalon, le tenant d'une main au niveau de ses hanches, allant attraper la ceinture de l'autre main. Sérieusement, sérieusement, sérieusement ! C'est en tout cas son but, mais son pied se prend dans l'ourlet défait du pantalon et elle finit sa course le nez dans le fauteuil et le corps au sol. Parfait.

<< - PUTAIN DE BORDEL DE MERDE ! >> Fleuri.  

Exaspéré, la mécanicienne s'en voudrait presque de s'en être pris aussi fort contre les plans du Maréchal. On appelle ça le karma, non ? Le karma se fout clairement d'elle-même. Elle mord le fauteuil en cuir pour étouffer d'autres insultes qui s'échappe de sa bouche, tandis qu'elle abandonne l'idée de se réhabiller, attrapant brutalement la ceinture dans un grognement sauvage, jetant un regard au Maréchal. Elle n'arrive pas à le voir. Il doit bien se marrer, ce con là. Elle fait le show, tiens ! Quelle idée bordel de mettre un pantalon trop grand ?! Elle était con, elle était con ! C'était pas possible de ... Il faut qu'elle retrouve son calme. Ca ne va pas faire bonne impression de jurer comme une vulgaire mécanicienne, qu'elle est. Mais elle essaie de lui faire oublier son statut. Elle essaie de gérer la situation et là voilà, au sol, à moitié nue. Deux solutions se posent à elle ... Daud avait bien proposé quelques caresses pour régler le cas du Maréchal ? Nan, ça serait trop simple, et bien étrange, voire louche. Un soupir alors que les rougeurs sur ses joues se calment un peu.

<< - Pardon pour le langage. >>

5
Bien le bonjour. Suite à ce retour tout à fait extraordinaire (comme quoi faire des études ennuyeuses ça vous inspire pour d'autres trucs), je pense que je vais supprimer mon dernier coins chalants qui ne faisait pas vraiment le recueil de tous mes persos, et mettre celui-ci régulièrement à jour. J'ai une floppée de perso, en fait, que je ne joue pas tant que ça. Beaucoup de mes rp ont été abandonnés (deux ans c'est long, merci Alice pour avoir accepté de reprendre le notre ♥), du coup, je compte repartir sur la trame de départ de mes perso. A neuf, quoi !

Lollipop Du Vivier

C'est bien, je commence par dire un truc et en fait je fais l'inverse ...

Si nous étions un jeu vidéo, je dirais que Lollipop est mon main (supp ♥). Fiche. C'est donc mon personnage principal. J'avais pas mal de rp chouettes dessus, mais je pense qu'un coup de balai lui ferait bien.

~{ Résumé }~

Lollipop est une vampire manipulatrice de colombes, tueuse à gages quand le coeur lui en dit. Elle est une vampire assez particulière puisqu'elle est très pieuse et cherche par tous les moyens à reconquérir la miséricorde de Dieu pour espérer atteindre un jour son royaume. Froide et légèrement hypnotique, elle est femme de ménage au lycée et reste toujours à la recherche de proie pour se nourrir. Narration à la deuxième personne.

Suite aux rp, voilà les changements :

Après sa confrontation avec Lyan (tu auras une suite OUI), Lollipop se remet difficilement de ses blessures autant physiques que mentales. Elle prend la décision lourde de sens d'arrêter ses activités de tueuse à gages. Affaiblie, ses pouvoirs semblent disparaître peu à peu. Quelques rides apparaissent sur son visage de trentenaire et l'incompréhension fait place à la panique des premiers jours. Elle se coupe le bout de l'index pour finalement arriver à une conclusion alarmante : sa régénération parait n'être qu'un vieux souvenir. Elle tente vaguement de se nourrir du sang d'un élève, mais vomit le sang. Incapable de survivre dans cet état second, elle erre quelques jours avant de comprendre qu'il lui faut décidément une solution avant de vieillir soudainement et crever après ses siècles à survivre.
L'idée d'une punition divine la frôle.

C'est ici que je reprendrais les rp' avec une Lollipop décadente qui se perd dans sa faiblesse, dont les pouvoirs se résument maintenant à une seule et unique colombe. Incapable de trouver une solution, la vampire est en train de se transformer en cendre, littéralement. Lollipop s'efface finalement pour laisser revivre Ophélie, l'espace de quelques mois qui seront peut-être ses derniers ?

~{ 2 Trames }~ ~{ H/Social/Combat (défaite de Lollipop obligatoire)/Terre/Terra }~

Sue L. Stuart

C'est un personnage que je désire vraiment reprendre parce que l'univers steampunk c'est trop bien ♥.

~{ Résumé }~

Fiche.

Mécanicienne de renom, ou du moins désirant se faire connaître, Sue est une surdouée de la mécanique à base de vapeur. Elle est rentrée dans les grâces de son Empereur et profite d'un logement et d'un atelier pour ses expériences toutes plus dangereuses et osées. Elle s'acoquine avec les voltigeurs, toujours à la recherche de nouveaux cobayes. Elle-même assez douée dans l'utilisation de ses Ailes de vapeur, elle est encore illettrée mais essaie tant bien que mal d'apprendre. Elle est au coeur d'intrigues politiques pas très propres et recherche encore son frère qui a disparu, apparemment dans l'armée rampante de l'Empire.
Elle n'a pas de changements à prévoir et elle vogue parfois sur Terra à bord d'une de ses expérimentations.

~{ 3 Trames }~ ~{  H/Social/Terra }~

Clochette


Tinker Bell c'est mon petit bijou. (J'apprécie trop mes personnages, sérieusement.)

~{ Résumé }~

Fiche.

La Fée Clochette est une jeune femme innocente, ingénue, belle, inoffensive et totalement bête. Elle ne ressent qu'un seul sentiment par un seul sentiment. Elle est cependant en pleine évolution avec la découverte de son corps, pendant un voyage spatial tout à fait curieux. Elle n'a actuellement aucun maître sur Terre mais elle veut découvrir le monde, les différents univers, les pratiques, les coutumes. On est devant la vraie, l'unique Fée Clochette qui fait tinter sa clochette pour emmerder le monde (sisi) et qui est une victime idéale pour tous les psychopathes de Terra.
Elle a une relation particulière avec son maître Ulrik mais surtout avec sa clochette qui est aussi magique qu'elle. La clochette qu'elle porte autour du cou et qui lui permet de se transformer (et de parler) a une influence sur elle quand elle la porte. Elle lui permet de rester innocente et de la contrôler pour la garder à jamais une fée. Elle n'arrive pas à grandir ou à devenir une véritable humaine quand sa clochette est sur elle ou à sa portée, tout simplement.

~{ 1 Trame }~

Ophélie

Je ne supprime pas le personnage mais je n'ai toujours pas envie de le reprendre. Juste pour dire que la Déesse des Morts m'appartient, voilà voilà. She's mine.

Aldo and Aloïs

... Bon, ben c'est pareil. Les jumeaux sont miens et leur narration un peu bordélique aussi. Pour autant, je n'ai aucune envie de les reprendre pour l'instant. On va s'y remettre doucement, hein. Mais je les aime bien.

Ephemeraë Mayfly

Au départ je pensais repartir de rien avec un personnage un peu nouveau (tout est relatif, je la traine depuis un an quoi.) Mais au final, j'arrive doucement à répondre à mes anciens rp. J'essaie du moins.

Fiche.

Je ne résumerai pas cette fiche parce qu'Eph' ne se résume pas, elle se savoure. Et ouais. Mais quand même si vous avez la flemme de vous taper le pavé, Eph' est une travestie tueuse à gage bourrée et droguée H24.

~{ 2 Trames }~ ~{ Combat/H/Social/Terre/Terra}~

6
Je suis vraiment, vraiment désolée. J'ai totalement oublié de répondre au mp. Mais alors, totalement. Pardon. éè

Puis je passais oins. BREF. PARDON.

Je réponds à ce mp tout d'suite.

7
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 15 mai 2014, 22:44:44 »
Toujours la même eprsonne, Shadou ?

22h50

Je veille, olalala.

8
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 14 mai 2014, 17:52:07 »
Je vois pas le problème non plus.

Bon j'avoue que je trouvais déjà le concept un peu complexe pour rien. Mais si en plus faut pas l'savoir, c'est quand faire pleins de chichi pour rien.

1753

Et même si c'était super pas subtil, j'avais pas trouvé grâce à ce qu'à dit Lyan. J'ai rien trouvé du tout.

Arrêtez de le maltraiter, ce cher Connard. éè

Pour une fois, il l'a pas trop fait. Et pourtant Dieu sait qu'il m'énerve quand il l'est.

EDIT : Je me dis déjà que je devrais jamais prendre position. éè

9
<< The cake is a lie >>

Sue espère n'avoir pas fait une trop mauvaise impression, parce qu'il est vrai qu'on peut trouver mieux que débouler devant un inconnu haut gradé de l'armée avec le haut limite par terre et la poitrine à l'air. Sur pour se présenter à lui pour la toute première fois, c'était vraiment parfait ... Sue en est à se demander si ce n'est pas dans ses gênes de vaporéenne d'être aussi naturellement dévergondée n'importe quand, n'importe comment pour n'importe quelle opportunité. C'est pas amusant d'être sage, c'est bien connu. Après, il est sûr qu'avec la maîtresse que Sue se tape, elle ne peut pas être totalement saine de corps et d'esprit, avoir Constance comme meilleure amie et amante, ça touche souvent votre cerveau qui se voit perverti de toutes les manières possibles et imaginables. Mais c'est cette perversion et la douce pureté trompeuse du visage de Sue qui la rend si désirable aux yeux de toute cette noblesse. Savoir se servir de son corps pour se faire aimer et user de ses coups de reins pour arriver à ses fins, tout en paraissant plus droite que certaines personnes, c'est quelque chose que Sue arrive à faire avec une simplicité agaçante. Comme si se prostituer était AUSSI une seconde nature. Un grognement de la jeune bicolore se fait entendre à cette pensée et elle arrête enfin de monologuer intérieurement en relevant les yeux vers le Maréchal. Bon sang, l'effet de la musique est toujours aussi mauvais.

Il faut toujours qu'elle passe du temps à réfléchir. Quand le garde disparaît enfin et que son visage se transforme légèrement sous l'effet d'une moue de douleur face à la poigne du maréchal, Sue distingue le bureau/chambre de l'homme encadré de toute sa stature effrayante, dans la porte. D'un coup d'oeil rapide, elle distingue surtout la boite à musique. Un petit frisson la parcoure, son coeur bat un peu plus rapidement alors qu'elle  balaie du regard tout l'endroit. Son regard marron se pose de nouveau sur la boîte, elle en a envie. Elle sait calmer sa kleptomanie, mais à vrai dire, elle n'a pas du tout dans l'intention de se calmer cette fois-ci. Elle dérobera la boite à musique, tant pis pour le Maréchal et sa sensibilité. Après tout, Sue vient en conquérante, ici. Elle sait très bien pourquoi elle est là, et ce qu'elle comprend c'est qu'elle peut y gagner beaucoup, tout en restant la maîtresse du Jeu, celle qui domine et maintient la situation comme elle le veut. Enfin, ça, c'est en théorie, Sue n'a jamais joué ce rôle et la pratique risque d'être un peu plus douloureuse, à vrai dire. Difficile et si jamais c'est un échec, très douloureux ... Enfin, Sue entre, elle s'étire légèrement en souriant doucement malgré les ordres et l'allure, la démarche autoritaire du bonhomme. Il veut quand même pas lui faire peur ? Elle est l'invité, ici, M'sieur le Maréchal, il ne faut pas rire avec ça.

Elle le fixe, le dévisage, passe de ses épaules larges à ses hanches, ses jambes, regardant la stature effrayante par rapport à la petite taille de la demoiselle mécanicienne. Elle ne trouve ça que plus amusant, ce mastodonte et son masque opposé à elle, petite chose frêle mais forte, au visage et au corps bien visible. Elle esquisse un large sourire moqueur et passe une main dans ses cheveux en contrôlant un léger rire qui dégringole dans sa gorge, sa poitrine se soulevant légèrement quand elle rit à la phrase du maréchal.

<< - Son gout pour les femmes ne change rien à son esprit, je vous promets. A vrai dire, Maréchal, et entre nous, il a déjà peu d'esprit, alors comment voulez vous que nos croupes lui enlèvent le reste ? >> Elle hoche la tête quand il lui propose l'alcool.

Sue ne tient pas l'alcool. Il ne faut surtout pas qu'elle boive. Mais à vrai dire, ce cher Maréchal ne lui laisse pas vraiment le choix et lui impose plus qu'il ne plus propose ce verre de Scotch et elle hausse les épaules ne grognant légèrement, reniflant l'alcool d'un air assez particulier. Elle déteste ça, ça lui donne le tournis rien que de sentir l'odeur et un haut le coeur la prend. Pourtant, Sue sait à quel point il est malpoli de refuser de boire un verre qu'on vous donne quand c'est un Maréchal qui vous l'offre. Ils ont tous un amour incontrôlable pour l'alcool, ses soldats, Daud y compris, et ce fourbe a déjà bien usé de l'effet de l'alcool sur Sue pour lui faire faire ce qu'il voulait sexuellement. C'est bien une des raisons qui tirent à Sue un long soupir quand elle éloigne un peu le verre d'elle.

<< - Pas que votre Scotch m'indiffère .. Mais si vous ne voulez pas perdre de ce précieux alcool dans la bouche d'un Ouvrière comme moi .. Je peux vous le rendre. >>

L'affront est là mais Sue ne veut pas être à nouveau la victime .. un peu innocente d'hommes qui la saoulent et trouvent après plus simple de lui demander de faire des choses que sobre elle n'aurait pas fait. C'est sans doute pas le but de ce cher Maréchal, qui a l'air d'être un homme tout à fait honnête, bien sûr. M'enfin. Elle se laissa glisser sur le fauteuil, et haussa à nouveau un sourcil, en acquiesçant aux paroles de l'homme.

<< - Je sais très bien qui vous êtes ne vous en faîtes pas pour ça .. C'est même une des raisons pour lesquelles je suis ici, avec vous, Maréchal. >>

Un gage de sympathie.. Un léger rire, un peu aigre, s'échappa de la gorge de Sue. Putain, quelle sympathie. Daud lui envoie un cadeau empoisonné et il croit vraiment qu'elle est un gage de sympathie ? Puis elle n'est toujours pas un objet, désolée de les décevoir, mais elle ne se considère toujours pas comme une pute qu'on se donne. Wouais, elle sait, la fin de vos espoirs, toussa toussa. Elle se relève et boit enfin une gorgée de Scotch, une grimace se dessinant sur ses lèvres humides par l'alcool. Elle pose le verre sur la table basse qui les sépare et vient perdre sa main dans ses cheveux, les coudes sur les genoux, fixant le Maréchal, l'air sérieux.

<< - Un gage de sympathie ? Je ne sais pas. Je suis ici pour deux raisons, qui sont, je pense, assez liées. Je viens tout simplement vous offrir mes services de Mécanicienne, s'ils vous intéressent ... Et je viens vous faire une demande. >>

Cette fois-ci, Sue se relève totalement, se mettant debout et contournant la table pour s'approcher du Maréchal. Elle s'accroupit face à lui pour être un peu plus basse que lui et surtout, pouvoir le fixer sans le regarder de haut. Ils se vexent si facilement, tous ces jeunes gens.

<< - J'ai un frère, Maréchal. Flitz Stuart. Il est dans votre armée. Et il a été envoyé ... Justement. Je ne sais pas où, mais son boulot est .. horrible. Et.. Comment vous dire ça .. Est-ce que vous pourriez faire quelque chose pour qu'il revienne juste quelques jours ? Il est parti, je .. Je n'ai pas eu le temps de savoir pourquoi. Et toutes mes lettres restent sans réponse, puisque je ne sais pas où les envoyer. Contre ce service, je peux vous .. offrir ce que vous voulez. Mon travail .. >>

Elle s'arrête là. L'hésitation est assez explicite. Elle lui offre ce qu'il veut, surtout qu'elle désir qu'il prenne bien plus que son travail. Enfin, elle verra bien, elle a fait ses deux offres, et suit le plan de Daud au mot près, même si l'émotion qui perce dans sa voix est bien réelle. Elle se relève, la situation pouvant commencer à être gênante et tourne légèrement le dos au Maréchal, glissant son index entre ses doigts qu'elle suçote doucement, avant de tourner la tête vers lui, ses cheveux caressant son dos avec un doux mouvement alors qu'elle murmure.

<< - Mais .. Mais si vous avez des demandes. Je ne fais pas que des ailes, ou des bateaux volants. Si vous avez des plans .. Sans vouloir être orgueilleuse, je peux sans doute vous aider. >>

Elle finit pas lui sourire, soufflant un peu. Les cartes sont dans les mains du maréchal. A lui de s'exécuter ...

10
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 13 mai 2014, 19:50:35 »
Si je tombe contre Jean-Yves, je défonce le lama avec des colombes. En mode ANIMAUX !

19h54

Les gens qui révisent me font culpabiliser.

Mais mon dernier partiel, je sais DEJA que je vais tailler la route en copiant sur n'importe qui. Parce que wi, j'ai pas d'espoir.

11
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 13 mai 2014, 18:28:29 »
Les gens ont des capacités à se vexer éè

18h31

Peace and Steam, meeeeeen. ♥

12
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 13 mai 2014, 18:15:45 »
On a répondu à mon mail. Ca va mieeeeux :3

18H18

Bowa, j'ai bien mis une PUTAIN de colombe en lice. Badass, je sais.

Je suis encore plus hystérique qu'hier. Ca d'vient lourd, toute cette énergie éè

OW ! On peut s'autoenvoyer des mp.

Merveilleux !

13
Le Tournoi / Re : Le retour du come back : LGJ TOURNAMENT #2 !!
« le: mardi 13 mai 2014, 18:07:28 »
Lollipop Du Vivier, Vampire armée de colombes (fuyez pauvres fouuuuuuuuuuuuuuuus), s'inscrit au tournoi. :3

14

Elle est devant la porte. Elle n'ose pas toquer. Pas encore, en tout cas. Non, elle reste juste là, devant la porte, une main sur la hanche, l'autre perdue dans ses cheveux bicolores alors qu'elle hésite longuement sur la démarche à suivre. "Bonjour, c'est Sue, vous savez, celle que Daud baise le samedi soir !" Non. Franchement, ça le fait mal. Puis elle baise avec lui d'autres soirs aussi ... "Bonjour, c'est Mlle Stuart, vous savez, la mécanicienne qu'on vous a proposé pour vos plans débiles !" Non plus. C'était bon pour se prendre une belle baffe dans la joue droite, suivie d'une gifle dans la joue gauche. Ouais, un aller retour, quoi. Elle pousse un soupir et grattouille un peu sa chevelure avant d'aller fouiller dans son baluchon posé sur son épaule droite. Elle fouille quelques minutes pour en sortir le nom de l'homme qu'elle est sensée venir voir. Maréchal GardRok Orion Mais pourquoi Daud s'était-il dit que c'était exactement la bonne personne pour gagner de l'influence ? Aha. Si, Sue sait. Et justement, ça ne lui plaît pas plus que ça, finalement, ce plan là. "Bonjour, je suis Sue, mécanicienne qui vient foutre la merde dans ta carrière en te compromettant !" Non plus. Sinon, le plan tombe à l'eau. Wouais ... Daud l'avait prévenu.

Quelques semaines auparavant ...

<< - J'vais parler de toi à un Maréchal sans tache .. Je te promets que ton prototype deviendra celui utilisé par tous les voltigeurs si tu fais ça pour moi, poulette ! >> Il caressait son ventre du plat de sa main, suçotant une mèche blanche de Sue qui soupirait un peu. Elle se tourna et se releva, laissant glisser le drap sur le sol pour s'étirer, nue, sa peau beige frottant contre le lit avant qu'elle ne cherche ses vêtements des yeux.  << Ne te rhabille pas encore, j'ai envie de toi...
- Faut que j'y aille, Daud chéri. Tu m'demanderas ça un autre jour...
- T'as pas compris, Sue. Restes là, ma belle. >> Il lui attrapa le bras et la tira sur le lit sur lequel la jeune mécanicienne tomba avec un grognement de mécontentement. Il vint doucement glisser sa langue sur le lobe de l'oreille de Sue qui gémit légèrement, son visage rougissant un peu. Elle s'allonge plus confortablement, abandonnant l'envie de lui foutre une baffe, ça ne servirait à rien. << Bien ... Le Maréchal Orion, ma mignonne .. Tu vas aller lui faire un petit coucou, quelques caresses bien placées .. Mets-toi le dans la poche, comme tu sais si bien faire, ma chérie. Et quand il faudra, ce ... Cette saleté d'ordure paiera. Je ne le supporte pas, lui, son zèle, son talent... Il me fait de l'ombre, tu comprends ?
- Je ne suis pas une pute dont tu te sers pour tes vengeances personnelles, Daud.
- Il sait où est ton frère. Et, si tu fais ça pour moi, en tant qu'Amiral je peux enfin faire naître ton petit bijoux d'ailes. C'est à toi de voir, Sue...>>

Elle n'avait rien rajouté et s'était levée de nouveau en lui jetant un regard lourd de rage. Elle détestait qu'on se joue d'elle. Mais c'était intéressant. Et ils étaient arrivés à un accord plus ou moins satisfaisant pour l'un et l'autre. Rester, trouver et garder la confiance du Maréchal pour le faire tomber de son piédestral, lui faire perdre toute cette sûreté. Sue avait bien finie par dire oui à cette mascarade, poussée par Daud et ses coups de reins, même si elle trouvait assez malsain cette manière de l'utiliser elle et ses fesses rebondies comme outil d'une vengeance. Les arguments étaient trop avantageux pour qu'elle refuse, Daud savait décidément y faire ...

Et maintenant, elle ne sait toujours pas comment se présenter. "Sue L. Stuart, on vous a sans doute parlé de moi ?" Ah, c'est pas mal ça. Sue est en train de suçoter son index, nerveusement, avant d'enrouler une mèche de ses cheveux autour de son doigt humide et de la faire boucler légèrement en réfléchissant encore. Elle tapote du pied sur le sol, elle souffle, elle inspire, elle respire, elle ne sait pas comment faire. Elle regarde une nouvelle fois la demeure qui parait pas mal, du luxe mais loin d'être trop clinquant, un luxe discret qui n'en est que plus agréable. Ca ne lui déplaît pas. Elle toque enfin, le lourd battant s'abattant avec fracas sur la porte qui s'entrouvre sur un garde. Il scrute Sue qui a refermé sa besace.

<< - On fait pas le porte à porte, va voir ailleurs.
- Je suis une mécanicienne attendue par le Maréchal, pas une mendiante.
- Mécanicienne ? Laisse-moi rire, gamine ! T'as quoi, dix-sept ans au plus ?
- Tu veux que je t'enfonce ma clef à mollette là où j'pense ou tu vas avertir ton seigneur sur Sue Stuart l'attend ? Parce que je suis pas d'humeur.
- Ow, poulette, tu t'calmes... >>

Il ouvre la porte en grand, en la fixant longuement, attrapant son bras avec nonchalance pour la faire rentrer dans l'enceinte de la maison. Il l'envoie entre les bras de l'autre garde pour aller demander un entrevue avec le maître de la maison, même s'il n'est pas décidé à mettre Sue en avant. Awouais, lui enfoncer une clef à molette dans l'fion ? Mais voilà, Sue sourit au garde qui est sensé la garder sagement le temps que le premier soit vraiment sûr de la véracité des propos de la demoiselle. Elle lui tend sa clef à molette avec un sourire pour murmurer.

<< Si tu revois ton copain, tu lui diras que je l'aime quand même, hein. Tu m'indiques où le Maréchal ?
- Il est allé lui d'mander si tu ... >> Les lèvres pulpeuses de Sue l'arrêtent dans sa réponse, elle joue un instant avec sa langue autour de celle du garde. Se faire présenter par le premier garde va lui apporter que des ennuis, et elle ne se ferait pas bien voir par le Maréchal. La première impression est la plus importante ! Le garde hésite un instant, alors que Sue lui sourit de nouveau. << J'ai pas l'droit et ..
- Je le dirai à personne. Allez, s'il te plaît, mon tout beau !
- Bon ok. Si tu bouges tes .. jambes, tu peux rejoindre mon collègue. >>

Il commence à lui expliquer. Sue rattrape sa clef à molette, la passe derrière son oreille et court en suivant le chemin rapidement esquissé par le garde. Elle court, encore plus vite et ses pieds font un "Tiptap" au sol assez rapides, légers, volant alors qu'elle voit la silhouette du garde qui s'arrête devant une porte. Il toque, Sue déboule aussi vite qu'elle le peut, tapant un sprint pour se glisser entre la porte qui s'ouvre et le garde, essoufflée, ses cheveux éparpillés devant son visage alors que les brettelles de son haut ont glissées le long de ses deux épaules, faisant tomber le haut jusqu'à la bonne moitié de la poitrine de Sue qui le remarque d'un coup d'oeil avisé. Le haut s'arrête à quelques millimètres du haut de ses tétons, et puisqu'elle ne porte pas de soutif, c'est légèrement .. gênant ? Elle remonte tout ça d'un coup avant de lever les yeux sur la silhouette qui s'encadre dans la porte, un peu grande, volumineuse, effrayante. Brrr. La douce musique qui s'échappe du bureau ou de la chambre, elle n'en sait strictement rien, est totalement en opposition avec l'homme qui se tient devant elle. Sue sent les mains du garde essayer de la maintenant mais elle grogne un : "Mais lâche moooooooi, je vais pas le trucider avec ma clef, quand même !"

Tellement de classe en elle. Elle esquisse un sourire vers le Maréchal et sort le petit mot écrit par Daud.

<< - J'suis Sue. Vos gardes sont .. costauds. Je voulais juste venir me présenter, mais c'est carrément la croix et la bannière pour rentrer ici. >>

Elle lui présente un sourire, esquisse une révérence et écrase par la même occasion le pied du garde qui n'ose rien faire devant le maitre de la maison. Sue jette un coup d'oeil à la boite à musique et sourit plus tendrement, passant une main dans ses cheveux pour les remonter un peu et laisser voir son doux visage illuminé par un sourire sympathique. Se le mettre dans la poche. Au moins pour Flitz, envoyé elle ne sait où par l'armée du bas, la seconde. C'est ce Maréchal là qui pourrait le ramener un peu ici. Et ça, ça motive Sue qui murmure doucement, le regard perdu dans le vide à l'écoute de cette musique qui lui donne envie de tourner sur elle-même sans plus rien regarder, voir, dire, entendre, comprendre ...

<< - Vous avez bon gout .. Cette mélodie est délicieuse ! >>

Elle le fixe maintenant dans les yeux, osant tendre sa main. La porte, c'est fabuleux, hein, mais franchement, s'il pouvait la faire rentrer et faire partir ce putain de garde, ça serait cool, et super sympathique de sa part !

15
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 13 mai 2014, 14:01:10 »
A part si ton thème et ta version sont des textes super compliqués.

14h04

Genre comme moi hier. Mon thème avait des phrases de 5 lignes. Incompréhensibles. Et totalement horribles.

Pages: [1] 2 3 4