Le quartier de la Toussaint / Re : La loi de la jungle [Ephemera]
« le: lundi 01 septembre 2014, 11:01:54 »"Merci de laisser jouir votre petite pute Maîtresse !"
Jouir librement était probablement la chose la plus naturelle qui soit. Mais la Reine déchue était devenue incapable de raisonner ainsi, à ses yeux Ephemera était une maîtresse à la bonté inégalable qui lui offrait cette jouissance à venir. Enfermez quelqu'un dans une cave pendant des années, puis libérer lui un seul bras. Vous êtes le tortionnaire, vous êtes responsable de sa séquestration, mais votre victime vous verra alors comme la personne la plus sympathique du monde. Parce qu'elle ne retiendra qu'une seule chose après toutes ces souffrances : Vous avez libéré son bras. C'était exactement ce qu'il se passait dans la tête de la démone, chaque "faveur" qu'Ephemera lui accordait ne rendait sa Maîtresse que plus formidable à ses yeux. La Dame des ombres avait voulu que son esclave la haïsse, mais à force de tortures elle l'avait rendue totalement incapable de la haïr, créant ainsi un vulgaire animal de compagnie sous le charme de sa maîtresse.
Je n'avais qu'une seule envie, offrir à ma Déesse un spectacle digne de ce nom. Je voulais quelque chose de parfait, quelque chose qui allait l'exciter, la stimuler. Je me suis levée, menton haut, toisant le petit tas de viande sanguinolent tandis que je me dirigeais vers lui. Ma démarche était assurée, je roulais excessivement des fesses pour exciter ma maîtresse, mais je ressemblais plus à une dominatrice qu'à une esclave avec cette attitude. L'homme était inerte, le regard vide, le visage maculé de larmes, déformé par la douleur, il ne souhaitait plus que crever le plus vite possible. Au rythme où il se vidait de son sang, il en avait encore pour quelques minutes avant de perdre connaissance. Il ne fallait pas perdre de temps quitte à sauter les préliminaires. Je l'ai empoigné par les cheveux, me collant à son corps ouvert avant de mordre dans son cou. Ma morsure avait un effet secondaire très particulier, elle me permettait de fusionner mes cinq sens avec ceux de ma proie, comme si le corps de ma victime devenait une extension du miens et inversement. Mais elle supprimait également toute douleur, plongeant ainsi les deux êtres en communion dans un état de jouissance extrême comparable à un orgasme. L'homme est revenu à lui, gémissant comme une petite catin, toute sa douleur avait brusquement disparue et le plaisir intense qu'il ressentait alors contrastait avec ce qu'il avait connu jusque là.
J'ai enfoncé mon sexe entre ses cuisses, déchirant ses chairs comme si son entre-jambe avait été aussi molle que du yaourt. Il était devenu une sorte de femme à présent, il ne lui manquait plus que les seins. J'ai enfoncé mes doigts dans sa poitrine, créant des os en forme de poitrine féminine sous sa peau, puis j'ai brisé les crochets qui l'avaient ouvert en deux pour le refermer. Mes mains se sont agrippées à ses chaines, j'ai broyé ces dernières comme si elles avaient été en pain d'épice, retrouver ainsi toute ma force avait aussi un côté excitant. Après avoir été aussi misérable dans ce cachot puant, sentir à nouveau ma force démentielle avait quelque chose de particulièrement jouissif. Quoi qu'il en soit j'ai brisé ses chaines, sans rompre ma morsure, allongeant ma petite catin sur le sol, haletante. L'homme était en train d'expérimenter une douleur non-physique, je l'avais transformé en parodie de femme et il prenait son pied, je lui avais volé la dernière chose qu'il lui restait, une once de dignité au seuil de la mort. Alors qu'il se vidait de son sang, il ne pouvait rien ressentir d'autre qu'un plaisir intense en accueillant mon imposante verge entre ses jambes. Je l'ai baisé pendant un bon moment, le faisant crier de joie comme une vulgaire putain de bas étage.
Alors que nous étions à deux doigts de jouir simultanément, j'ai rompu la morsure, rassasiée et désireuse de le voir à nouveau souffrir. Le contraste entre plaisir et douleur allait la rendre encore plus insupportable pour ses derniers instants. Car si une douleur extrême rendait les plaisirs à venir plus puissants, l'inverse était vrai aussi. Il n'était plus habitué à la douleur, il n'était plus résigné à mourir, il n'était plus prêt et sa mort allait être délicieuse à regarder. J'ai continué à le baiser sauvagement, léchant le sang qu'il crachait tandis que tous les muscles de son corps se crispaient. Son cri a été horrible, autant que sa douleur revenue et au même moment j'éjaculais en lui, souillant son corps qui était en train de mourir. Je me suis écartée, le laissant se tortiller de douleur au sol, son sang giclant dans toutes les directions, puis j'ai eu une idée :
"Ma chérie ... Tu crois que nous allons avoir un bébé maintenant ?"
J'ai enfoncé mes doigts dans son ventre, créant un os qui le déforma, lui donnant l'apparence d'une femme enceinte. L'opération fut fatale, il mourut quelques secondes après. Lorsque je me suis retournée vers ma maîtresse mes joues étaient rouges, mes yeux mi-clos, je haletais et ma langue pendait à l'extérieur de ma bouche, répandant ma salive au sol par filets successifs. Sous le coup de l'excitation intense, mon sexe n'avait pas débandé, couvert de sang et de sperme. Je me suis rapprochée à quatre pattes d'Ephemera avant de me mettre à genoux devant elle, soutenant mon sexe de mes deux mains pour le lui présenter. Je me cambrais comme une vulgaire putain, incapable de réprimer mes pulsions.
"M-Maîtresse ... Merci pour le cadeau, la nourriture était délicieuse. Mais je suis trop gourmande, j'ai encore envie ... Vous voulez bien jouer avec le membre de votre petite salope Maîtresse ?"