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Le quartier de la Toussaint / Re : La loi de la jungle [Ephemera]
« le: lundi 01 septembre 2014, 11:01:54 »
"Voilà, petite pute... Jouis bien en lui, maintenant, et rappelle-toi qu’il n’y a que moi qui peux te retirer cette chaîne. Moi, et personne d’autre."

"Merci de laisser jouir votre petite pute Maîtresse !"

Jouir librement était probablement la chose la plus naturelle qui soit. Mais la Reine déchue était devenue incapable de raisonner ainsi, à ses yeux Ephemera était une maîtresse à la bonté inégalable qui lui offrait cette jouissance à venir. Enfermez quelqu'un dans une cave pendant des années, puis libérer lui un seul bras. Vous êtes le tortionnaire, vous êtes responsable de sa séquestration, mais votre victime vous verra alors comme la personne la plus sympathique du monde. Parce qu'elle ne retiendra qu'une seule chose après toutes ces souffrances : Vous avez libéré son bras. C'était exactement ce qu'il se passait dans la tête de la démone, chaque "faveur" qu'Ephemera lui accordait ne rendait sa Maîtresse que plus formidable à ses yeux. La Dame des ombres avait voulu que son esclave la haïsse, mais à force de tortures elle l'avait rendue totalement incapable de la haïr, créant ainsi un vulgaire animal de compagnie sous le charme de sa maîtresse.

Je n'avais qu'une seule envie, offrir à ma Déesse un spectacle digne de ce nom. Je voulais quelque chose de parfait, quelque chose qui allait l'exciter, la stimuler. Je me suis levée, menton haut, toisant le petit tas de viande sanguinolent tandis que je me dirigeais vers lui. Ma démarche était assurée, je roulais excessivement des fesses pour exciter ma maîtresse, mais je ressemblais plus à une dominatrice qu'à une esclave avec cette attitude. L'homme était inerte, le regard vide, le visage maculé de larmes, déformé par la douleur, il ne souhaitait plus que crever le plus vite possible. Au rythme où il se vidait de son sang, il en avait encore pour quelques minutes avant de perdre connaissance. Il ne fallait pas perdre de temps quitte à sauter les préliminaires. Je l'ai empoigné par les cheveux, me collant à son corps ouvert avant de mordre dans son cou. Ma morsure avait un effet secondaire très particulier, elle me permettait de fusionner mes cinq sens avec ceux de ma proie, comme si le corps de ma victime devenait une extension du miens et inversement. Mais elle supprimait également toute douleur, plongeant ainsi les deux êtres en communion dans un état de jouissance extrême comparable à un orgasme. L'homme est revenu à lui, gémissant comme une petite catin, toute sa douleur avait brusquement disparue et le plaisir intense qu'il ressentait alors contrastait avec ce qu'il avait connu jusque là.

J'ai enfoncé mon sexe entre ses cuisses, déchirant ses chairs comme si son entre-jambe avait été aussi molle que du yaourt. Il était devenu une sorte de femme à présent, il ne lui manquait plus que les seins. J'ai enfoncé mes doigts dans sa poitrine, créant des os en forme de poitrine féminine sous sa peau, puis j'ai brisé les crochets qui l'avaient ouvert en deux pour le refermer. Mes mains se sont agrippées à ses chaines, j'ai broyé ces dernières comme si elles avaient été en pain d'épice, retrouver ainsi toute ma force avait aussi un côté excitant. Après avoir été aussi misérable dans ce cachot puant, sentir à nouveau ma force démentielle avait quelque chose de particulièrement jouissif. Quoi qu'il en soit j'ai brisé ses chaines, sans rompre ma morsure, allongeant ma petite catin sur le sol, haletante. L'homme était en train d'expérimenter une douleur non-physique, je l'avais transformé en parodie de femme et il prenait son pied, je lui avais volé la dernière chose qu'il lui restait, une once de dignité au seuil de la mort. Alors qu'il se vidait de son sang, il ne pouvait rien ressentir d'autre qu'un plaisir intense en accueillant mon imposante verge entre ses jambes. Je l'ai baisé pendant un bon moment, le faisant crier de joie comme une vulgaire putain de bas étage.

Alors que nous étions à deux doigts de jouir simultanément, j'ai rompu la morsure, rassasiée et désireuse de le voir à nouveau souffrir. Le contraste entre plaisir et douleur allait la rendre encore plus insupportable pour ses derniers instants. Car si une douleur extrême rendait les plaisirs à venir plus puissants, l'inverse était vrai aussi. Il n'était plus habitué à la douleur, il n'était plus résigné à mourir, il n'était plus prêt et sa mort allait être délicieuse à regarder. J'ai continué à le baiser sauvagement, léchant le sang qu'il crachait tandis que tous les muscles de son corps se crispaient. Son cri a été horrible, autant que sa douleur revenue et au même moment j'éjaculais en lui, souillant son corps qui était en train de mourir. Je me suis écartée, le laissant se tortiller de douleur au sol, son sang giclant dans toutes les directions, puis j'ai eu une idée :

"Ma chérie ... Tu crois que nous allons avoir un bébé maintenant ?"

J'ai enfoncé mes doigts dans son ventre, créant un os qui le déforma, lui donnant l'apparence d'une femme enceinte. L'opération fut fatale, il mourut quelques secondes après. Lorsque je me suis retournée vers ma maîtresse mes joues étaient rouges, mes yeux mi-clos, je haletais et ma langue pendait à l'extérieur de ma bouche, répandant ma salive au sol par filets successifs. Sous le coup de l'excitation intense, mon sexe n'avait pas débandé, couvert de sang et de sperme. Je me suis rapprochée à quatre pattes d'Ephemera avant de me mettre à genoux devant elle, soutenant mon sexe de mes deux mains pour le lui présenter. Je me cambrais comme une vulgaire putain, incapable de réprimer mes pulsions.

"M-Maîtresse ... Merci pour le cadeau, la nourriture était délicieuse. Mais je suis trop gourmande, j'ai encore envie ... Vous voulez bien jouer avec le membre de votre petite salope Maîtresse ?"

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Le quartier de la Toussaint / Re : La loi de la jungle [Ephemera]
« le: mardi 26 août 2014, 18:43:01 »
Un peu d'urine ? Je venais de passer une journée entière à patauger dans des excréments avec des créatures zombifiées qui rêvaient de me dévorer vivante ! L'urine avait presque bon goût après une expérience comme celle-là. Non pire, l'urine avait réellement bon gout après ça, je prenais même du plaisir à boire ainsi à la fente de ma maîtresse. J'avais déjà pris tellement cher entre les mains de cette femme que n'importe quelle humiliation passerait pour une récompense à côté de ce que j'avais déjà vécu. Oui Ephemera avait gagné, l'ancienne Reine n'était plus que l'ombre d'une chienne, elle avait perdue toute forme de dignité et était tombée amoureuse de sa tortionnaire. Victoire totale pour la Dame des ombres, indiscutablement.

Je souriais tout en avalant le liquide chaud, le contact avec l'intimité de ma maîtresse était le premier contact "non-hostile" de ces derniers jours. Je le savourais, ces quinze courtes secondes furent presque les plus belles de ma vie. J'ai léché avec entrain la fente d'Ephemera lorsqu'elle me l'ordonna, m'assurant de bien la nettoyer tout en en profitant pour donner du plaisir à ma propriétaire. Si ma langue lui était agréable peut-être obtiendrais-je plus d'attentions de ce genre, je devais m'appliquer pour que la Dame m'apprécie et veuille me réutiliser un jour. Comme déjà accroc au sexe de ma maîtresse j'ai continué à lécher et embrasser son sexe jusqu'à être repoussée, continuant malgré tout à agiter ma langue dans le vide quelques secondes après avoir été projetée au sol. J'ai tout de même senti le frisson que ma tortionnaire avait eu, ça lui avait plu, il fallait juste qu'Ephemera me laisse un peu plus m'occuper d'elle, juste un peu plus pour qu'elle s'attache à sa fidèle chienne. Je me rêvais déjà couchée à ses pieds, protégeant la Dame des ombres et étant récompensée chaque soir par des caresses et quelques coups biens placés sur les fesses. J'en bavais d'excitation, rien ne pouvait endiguer cette nouvelle excitation, même lorsque je l'ai entendue dire qu'elle allait me torturer je continuais à fantasmer.

Les scènes que je voyais autour de nous deux me faisaient mouiller, j'avais finalement compris comment elle faisait pour ressentir autant de plaisir par la souffrance et l'humiliation. Voir des gens se faire démembrer ou ouvrir de la sorte m'aurait laissée indifférente avant, aujourd'hui je ne pouvais plus contenir cette folie que la Dame des ombres m'avait transmise.

"Montre-moi ta verge, petite pute... Transforme-toi, afin que je puisse la voir."

"Petite pute", j'ai frémis en l'attendant m’appeler ainsi. Je me suis couchée sur le dos avant de me retransformer en démone comme demandé. Pour une raison qui m'échappait j'étais maintenant capable de me transformer seule. Peut-être que les effets du coffret s'étaient dissipés ? J'ai écarté les cuisses pour bien montrer mon membre à ma maîtresse, langue sortie et haletante je lui ai dis d'une voix perverse :

"Voici la verge de votre petite pute, maîtresse."

Elle m'a installé un sorte de carcan étrange autour du sexe, pressant ce dernier. Lorsqu'elle l'a serré j'ai gémis de plaisir, sentant mes couilles et mon manche de chair ainsi pressés. Mais le meilleur était à venir, un long pieu en argent, légèrement plus gros que mon canal urinaire. Lorsqu'elle l'a enfoncée à l'intérieur de ma bite j'ai hurlé de douleur et de plaisir à la fois.

"HAAAAN ... AAAAAAAAAH !!!"

Une larme coula le long de ma joue, j'avais l'impression de pisser de la lave en fusion, mais c'était si bon également que je bougeais lubriquement le bassin dans le vide sous le coup de l'excitation. Je me suis tortillée ainsi quelques longues secondes au sol.

"Dorénavant, tu ne pourras jouir que si je le souhaite, ma salope."

"Merci Maîtresse ! Votre salope adore votre cadeau !"

Puis elle m'offrit à manger, mais je ne voulais plus manger comme avant. Non je devais faire honneur à ma maîtresse et manger avec cruauté et créativité. Plutôt que de me jeter sur les filets de sang ou le sang qui inondait le sol je suis allée directement vers l'homme. Ma queue reptilienne se balançait de droite à gauche comme celle d'une chienne heureuse, je pouvais sentir le sang à pleines narines, j'étais affamée et de sang et d'envies nouvelles. J'ai commencé à lécher l'intérieur des blessures, l'homme hurlait, sans doute désireux qu'on l'achève le plus vite possible. J'ai dis d'une voix obscène :

"Pitié arrête de crier ... Sinon je vais jouir et mes couilles risquent d'exploser. Chante moi plutôt une petite chanson, ok ? Bon apparemment tu ne veux pas, tu n'es pas drôle. Hum, des couilles qui explosent ..."

J'ai brusquement attrapé le sexe de l'homme, me mettant à genoux pour le sucer tandis qu'ils continuait à hurler à la mort.

"Slurp ! <3"

Puis sans prévenir j'ai avalé son sexe jusqu'à la garde avant de le sectionner lentement, très lentement avec mes dents. Sitôt l'engin séparé du corps de son propriétaire je l'ai avalé en entier, comme on gobe un vulgaire flan. L'homme n'eut bien vite plus la force de hurler, se vidant de son sang sans bruit, fatigué de se débattre. Alors que j'étais encore en train de me lécher les lèvres je me suis retournée vers ma maîtresse :

"Maîtresse ! Est-ce que je peux retirer la chaine pour me masturber dans sa blessure ? Je vais faire de monsieur nourriture une femme comblée. S'il vous plait, s'il vous plait, s'il vous plait !"

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Le quartier de la Toussaint / Re : La loi de la jungle [Ephemera]
« le: dimanche 24 août 2014, 01:06:09 »
La nuit a été longue, le sommeil a bien failli me gagner et me faire tuer plus d'une fois au cours de cette périlleuse nuit. Rester éveillée dans la pénombre et un relatif silence, alors même qu'on a déjà vécut de nombreuses épreuves en peu de temps, cela tiens du miracle. Je ne sais pas qu'elle force m'avait maintenue en vie, je me sentais tellement vidée. Peut-être était-ce cette fameuse "force du désespoir" dont les humains parlaient souvent et dont je m'étais toujours moqué jusqu'à aujourd'hui. Quoi qu'il en soit, mon corps ne tiendrait pas une seconde nuit ici, j'étais trop affaiblie.

Lorsque la trappe s'est ouverte et qu'Ephemera est venue me chercher, j'ai ressenti une joie sans bornes, indescriptible. C'était la plus belle chose que j'avais vu de toute ma vie. Lorsque quelqu'un vous prive de liberté, vous ne pouvez que le haïr, mais si ce quelqu'un vous prend tout, absolument tout, puis vous restitue une infime partie de ce qui vous appartenait avant, alors à vos yeux il sera la personne la plus gentille et attentionnée envers vous. Les humains appellent ça le syndrome de Stockholm, se mettre à aimer celui qui vous prive de liberté parce qu'il vous en rend une partie ou montre un peu de gentillesse. C'est ce que je me suis mise à ressentir pour Ephemera, de l'amour, aussi dingue que cela puisse paraitre. À l'instant où elle est venue me sortir de mon cachot puant et hostile, je l'ai considérée comme ma sauveuse, même après qu'elle m'ait faite violée, torturée, qu'elle ai tenté de me tuer plusieurs fois.

Quand elle a dit être fière de moi, vouloir faire de moi sa favorite, mon cœur s'est emballé. Être considérée comme un être spécial par celle qu'on aime, quel plus beau cadeau aurait-elle pu me faire ? Je devais être digne de ces paroles, je mourrais d'envie de lui répondre mais je n'en ai rien fait, une chienne ne parle que quand on l'y autorise m'avait-elle déjà dit. Et maintenant je voulais être une chienne modèle, lui apporter tellement de satisfaction qu'elle finira par m'aimer autant que je l'aime. Cette ambition était pitoyable, la reine en moi était morte pour de bon, laissant place à une misérable esclave se complaisant dans sa situation.

Lorsque ma Maîtresse m'a ordonné de récolter son urine, j'ai ressenti une sorte d'excitation. Qu'est-ce qu'un peu d'urine lorsqu'on venait de passer toute une nuit à patauger dans de la merde ? Je me suis mise à genoux devant elle, dans la position d'un chien faisant le beau. Afin de lui transmettre mes sentiments à son égard sans parler, je l'ai regardée tendrement en haletant comme une chienne en chaleur. Ma bouche grande ouverte, langue sortie, prête à recevoir ma douche matinale avec joie.

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Le quartier de la Toussaint / Re : La loi de la jungle [Ephemera]
« le: jeudi 21 août 2014, 15:14:21 »
Je ne comprenais plus rien, Ephemera voulait que je comprenne, elle voulait que je réalise quelque chose. Je sentais bien que j'étais une déception pour elle, qu'elle méprisait ce que je voulais lui offrir, ma dignité. L'erreur que j'avais faite, c'était que je me soumettais à elle pour ne pas souffrir, alors qu'elle voulait que je souffre. Ma vie n'avait jamais réellement été en danger avant, je n'avais jamais été faible à ce point là. Cette fragilité, ces peurs primaires, ces plaisirs malsains, c'étaient des choses incompréhensibles à mes yeux. Elle par contre, elle avait tout compris à mon sujet et elle savait quoi faire pour m'entrainer dans sa folie. J'avais détesté me faire écraser la tête contre le sol, j'avais détesté cette laisse qui me meurtrissait le cou et pourtant tout cela devait devenir source de plaisir ? La seule chose qui pourrait me faire aimer ce traitement, ce serait de vivre quelque chose de tellement traumatisant que ces petites tortures m'apparaitraient comme un simple jeu. Lorsque je me suis retrouvée face à la cellule puante qui m'était destinée je suis devenue livide, j'ai immédiatement compris ce qu'elle voulait faire.

"Voici ta demeure, petite chienne... Montre-moi que tu as envie de vivre, je viendrais te rechercher demain."

"N-non ... Attendez ... Pitié maîtresse je ..."

Autant parler à un mur, je me suis lamentablement écrasée en bas, éclaboussant les pensionnaires d'excréments. Ces ... choses, ce n'était même plus des êtres vivants, ils ressemblaient plus à des espèces de zombies. Eux n'allaient pas me violer ou me torturer, ils s'en foutaient, ce qu'ils voulaient c'était me manger, j'étais le menu de ce soir, rien de plus. Ce qui avait autrefois été un homme m'a immédiatement sauté dessus, il m'a empoignée par les cheveux avant de me frapper violemment la tête contre la paroi du cachot. Aucun doute, il voulait me tuer en m'ouvrant le crâne, si je ne réagissais pas vite j'allais crever ici. Mon cœur n'avait jamais battu aussi vite, mes tripes étaient complètement retournées, je n'arrivais plus à respirer et ma vessie s'était vidée malgré moi. Puisant mes forces je ne sais où, j'ai réussi à me retourner et à enfoncer mes pouces dans les yeux de celui qui voulait me tuer. Cette créature avait déjà tellement souffert que la perte de ses yeux ne suffi pas à lui faire lâcher prise, il essayait maintenant de trouver ma gorge pour m'étrangler, c'était lui ou moi. Je me suis collée contre lui, bloquant sa tête entre mes bras, serrant le plus possible, puis d'un coup sec j'ai réussi à lui briser la nuque et à me réfugier dans un coin du cachot. Les autres pensionnaires se sont désintéressés de moi quelques temps, se battant pour dévorer celui que j'avais tué. Je tremblais, du sang coulait du haut de mon crâne, j'étais fatiguée, l'odeur nauséabonde de ce cachot me donnait envie de vomir. De plus, survivre ne suffirait pas, si je n'en tirais aucune leçon Ephemera était bien capable de me laisser pourrir ici. Il fallait que je comprenne, elle m'avait laissé des indices après tout ... Elle m'avait parlé d'accepter ma peur, de m'y complaire, elle avait aussi parlé de rage de fureur. Voulait-elle que je subisse pour comprendre mes victimes ? Voulait-elle au contraire que je surmonte l'épreuve en m'imposant dans ce groupe de créatures difformes ?

Quoi qu'il en soit, le peu de viande qu'il y avait à récupérer sur le cadavre avait déjà été avalé et j'étais le dessert. Je ne pouvais plus me permettre de réfléchir, tant pi pour Ephemera je devais d'abord penser à ma propre survie. J'étais bloquée dans un coin de la pièce et les zombies m'avaient encerclés, attendant tous que l'un d'eux attaque pour le suivre. S'ils m'attaquaient tous en même temps je n'avais aucune chance de survivre, il fallait les faire reculer sinon j'étais foutue. Sans les quitter des yeux j'ai cherché à tâtons un objet dur pour pouvoir les frapper avec, il y avait des bris d'os un peu partout mais peu de gros morceaux. J'ai quand même réussi à trouver ce qui ressemblait à un humérus brisé en deux, le bout était devenu suffisamment pointu pour pouvoir servir "d'arme". C'était mieux que rien et j'avais l'avantage d'être moins affaiblie que mes agresseurs qui avaient peut-être passé des mois ici. Ce qui ressemblait vaguement à une femme s'est ruée sur moi, je me suis levée, serrant mon couteau de fortune de toutes mes forces et je l'ai planté dans sa cuisse avant de la repousser le plus violemment possible. Elle est tombée au sol, elle criait, les autres ont reculés, ils voulaient survivre, ils voulaient manger, pas être mes futures victimes. Si je voulais survivre je devais leur faire peur autant qu'ils me faisaient peur. Je me suis avancée vers la femme et j'ai fais ce qu'Ephemera voulait, j'ai laissé éclater ma rage, sans retenue. Je lui ai écrasé la tête contre le sol, comme on me l'avait fait subir un peu plus tôt, plongeant son nez et sa bouche dans un tas d'excréments.

"TU VEUX MANGER SALOPE ??? VA Y !!! MANGE !!! RÉGALE TOI !!! C'EST UN ORDRE SALE PUTE !!!"

J'étais toujours morte de trouille, mais si je n'arrivais pas à les intimider j'étais foutue. En plus après tout ce que j'avais subi, passer mes nerfs sur quelque chose était particulièrement jouissif. Tandis qu'elle étouffait, les autres reculaient, comme prévu, c'était du flan, du bluff, j'étais à bout de force et ils auraient facilement pu m'avoir. Mais visiblement la peur marchait dans les deux sens. La bougresse se débattait, me lacérant les mollets avec ses longs ongles et c'est à ce moment que j'ai compris ce que voulait dire Ephemera. La voir se débattre était excitant, sentir ses ongles me griffer était certes douloureux mais me faisait me sentir vivante, mes chances de survie avaient considérablement augmentées en quelques minutes. Puis j'ai fais quelque chose que je n'aurais jamais fais avant, j'ai retiré mon pied et j'ai relevé la femme en empoignant ce qu'il restait de ses cheveux. J'ai attendu qu'elle reprenne son souffle et je lui ai replongé la tête dans la fange, j'ai recommencé l'opération une bonne dizaine de fois. La sensation d'avoir sa vie entre mes mains, la sentir suffoquer, c'était comme Ephemera l'avait dit, c'était le pied. La mort était une punition bien trop douce, laisser cette femme survivre ça voulait dire qu'elle allait continuer à souffrir ici jusqu'à sa mort. Je me suis arrêtée lorsqu'elle a perdu toute volonté de combattre, une victime qui ne se débat pas ce n'est pas amusant. Maintenant, il allait falloir que je reste éveillée toute la nuit pour ne pas me faire dévorer dans mon sommeil, il fallait que je tienne jusqu'au retour de ma maîtresse, tant physiquement que psychologiquement.

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Le quartier de la Toussaint / Re : La loi de la jungle [Ephemera]
« le: vendredi 21 mars 2014, 00:57:08 »
Je pensais qu'en baissant les armes, en me soumettant totalement, en abandonnant toute fierté, toute dignité, j'aurais pu obtenir une place confortable à ses côtés. Devenir une petite chienne aimante, soumise et indigne ne m'aurait pas dérangé plus que ça. J'y aurais même pris du plaisir, j'aurais vraiment pu aimer cette place. Mais tandis que ses fouets s'abattait sur moi et qu'elle me parlait, j'ai compris que j'avais fais une terrible erreur d'appréciation. Elle ne voulais pas être aimée, elle ne voulait pas d'un objet sexuel. Ce qu'elle voulait c'était une créature qui rêvait de se venger, mais qui serait trop obéissante pour oser le faire. Une créature qui ne prendrait pas du plaisir par procuration, mais qui aimerait réellement la douleur en elle-même. Si ce n'était pas par procuration, comment était-il possible d'aimer souffrir ? C'était inconcevablement pour l'ex-reine, elle avait beau réfléchir elle ne voyait pas comment elle pourrait un jour prendre du plaisir avec des coups de fouet. Il n'y avait pas 36 scénarios possibles à partir de maintenant. Soit Ephemera disait vrai et c'était peut être un monde de plaisirs inconnus et sans fin qui s'ouvrait à elle. Soit elle lui mentait dans le seul but de la détruire, par pur sadisme, peut être même pour finir par la pousser au suicide.

Mi chaude, mi froide, elle alternait entre le désespoir et l'excitation. Elle s'imaginait déjà ressentir un orgasme tout en se faisant charcuter. C'était tellement horrible comme façon de prendre son pied. Même si elle arrivait à ressentir du plaisir ainsi, c'était tellement ... Extrême. Mais au final l'excitation l'emporta, elle ne pouvait pas résister à son envie de découvrir de nouvelles sensations, même si elles étaient effrayantes. La queue de chienne de sa culotte était dressée, signe qu'elle était en proie à une forte excitation. Incapable de refréner ses pulsions elle s’est jetée aux pieds de sa maîtresse, se masturbant tout en lui léchant les pieds. Elle n'avait pas le droit de parler donc elle est restée silencieuse. Réfléchir à son destin devenait insupportable donc elle a arrêté de réfléchir, lâchant totalement prise, laissant entièrement son destin entre les mains d'Ephemera. Elle avait régressé à un stade inférieur, sombrant dans la folie à cause de son esprit faible. Elle n'était plus qu'un animal blessé à mort qui attendait qu'on l'achève et qui laissait libre court à ses pulsions les plus primaires. Elle grognait de plaisir, incapable de s'arrêter et elle ne jouait pas la comédie. Ephemera n'avait plus qu'à sculpter la petite salope masochiste de ses rêves dans ce bloc de chair qui se tortillait à ses pieds.

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Le quartier de la Toussaint / Re : La loi de la jungle [Ephemera]
« le: lundi 17 mars 2014, 11:59:04 »
Moi qui riait de la faiblesse de mes anciennes victimes lorsqu'elles se mettaient à supplier, à pleurer, à suivre désespérément mes ordres en espérant que je les épargne, j'en étais réduite à la même chose. Je savais que supplier était inutile, que pleurer ne servait à rien, mais j'étais incapable de m'en empêcher. Je n'avais jamais fait face à la moindre difficulté de ma vie, comptant toujours sur ma force brute pour écraser mes ennemis. Je me rendais compte aujourd'hui que mon esprit, lui, était d'une faiblesse affolante. Et je sentais que me soumettre totalement à Ephemera allait me permettre de devenir réellement forte. Mais à quel prix ? Faire semblant d'être sa chienne ne marcherait pas, je devais réellement devenir sa chienne. Une chienne, aime sa maîtresse plus que tout autre chose au monde, elle la déifie et ne pense qu'à elle à longueur de journée. Elle ressent un plaisir par procuration, si sa propriétaire est contente elle l'est aussi. Tout cela me posait un problème, je n'aimais pas souffrir alors comment aimer plus que tout quelqu'un qui me faisait souffrir ? Il n'y avais pas 36 solutions, si je voulais vraiment aimer Ephemera comme une chienne aime sa maîtresse je devrais d'abord apprendre à aimer la douleur. Je devais devenir masochiste.

C'est ce que j'ai réalisé tandis que les fouets d'ombre de ma tortionnaire me frappait, tandis que je baignais dans ma propre pisse. Si je voulais évoluer et prendre du plaisir je devais totalement m'oublier et ne penser qu'à contenter Ephemera. Était-elle contente actuellement ? Non, elle était en colère, parce que j'étais une mauvaise chienne, parce que j'avais peur d'elle au lieu de l'aimer et parce que j'étais faible. Je me suis mise à lécher le sol, sans un mot, sans pleurer ni gémir. Ce n'était pas agréable mais je ne devais plus jamais penser à moi. Comment ma maîtresse me voyait-elle actuellement ? C'était la seule chose à laquelle je devais penser. Après avoir fini de nettoyer je me suis dirigé à quatre pattes vers Ephemera pour m'asseoir à ses pieds, puis j'ai demandé :

"Pardon de parler sans autorisation maîtresse, mais je pense avoir compris ce que vous attendiez de moi. Je serais une bonne chienne à partir de maintenant. J'aimerai que vous m’appreniez à aimer la douleur."

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Le quartier de la Toussaint / Re : La loi de la jungle [Ephemera]
« le: vendredi 14 mars 2014, 16:37:50 »
Je m'étais réellement résignée à servir cette femme, cette diablesse plutôt. Par dépit, par fatigue, mais aussi par désir. J'en avais terriblement honte mais ce statut de "chienne" m’excitait, la façon qu'avait cette femme de m'humilier, de me pousser à bout m'excitait. Je n'étais pas du tout masochiste, à vrai dire je préférais donner les coups que les recevoir. Mais je découvrais peu à peu ce besoin irrépressible d'avoir quelqu'un au dessus de moi pour me guider. Il y avait aussi ce sentiment étrange que je devenais plus puissante à chaque épreuve surmontée, plus dépendante d'Ephemera aussi. Ma haine envers elle s'émoussait, mon besoin d'être auprès d'elle grandissait et doucement mais surement je devenais sa chose. Il n'y avait rien que je pouvais faire contre ça ou plutôt, il n'y avait rien que j'avais envie de faire contre ça. Je pouvais déjà prédire mon avenir. J'allais juste me complaire dans ma nouvelle situation et soit j'en crèverais, soit je survivrais en subissant toujours pire, en descendant toujours plus bas. Pour l'instant, le mieux à faire était de simplement lui montrer que j'avais définitivement abandonné tout espoir de fuite ou de revanche et que je pouvais lui être utile. C'était la seule chose que je pouvais encore faire pour améliorer ma situation, la satisfaire pour qu'elle ne me punisse plus.

Je me suis dirigé à quatre pattes vers le seau. Je pouvais sentir le gode enfoncé entre mes fesses remuer à chaque pas que je faisais et je devinais le regard de ma maîtresse qui me détaillait. Je voulais m'accroupir au dessus du seau pour uriner, mais je ne savais pas encore que me relever était une très mauvaise idée. Dès que je me suis redressé j'ai ressenti une douleur atroce dans tout mon corps, comme si on brisait tout les os de mon squelette en même temps. J'ai crié tout en tombant au sol, me mettant en position fœtale pendant que tous mes muscles se crispaient. Sitôt la douleur évanouie, mes muscles se sont tous détendus, laissant mes larmes couler et ma vessie se vider sur le sol. J'ai bien essayé de me retenir, hors de question de pisser par terre dans la chambre de ma maîtresse, mais rien à faire je me suis entièrement soulagée. Je me suis remise à quatre pattes en vitesse, j'étais toute pâle, je suais à grosses gouttes, je savais que je venais de faire une bêtise et j'allais tout faire pour éviter une punition. Je me suis mise à bafouiller, confuse :

"P-pardon maîtresse, j-je ne voulais pas ... Je vais tout nettoyer ! Je suis désolée !"

À chaque fois que je me sentais fautive devant Ephemera, les images des tortures et des viols que j'avais subis me revenaient. Je savais de quoi elle était capable et je la craignais plus que tout. Je me tenais prête à satisfaire ses ordres, quelques qu'ils soient, tout plutôt que de retourner me faire violer dans la fosse ou bouffer par ses harpies. Surtout que ce faible corps n'y survivrait probablement pas.

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Le quartier de la Toussaint / Re : La loi de la jungle [Ephemera]
« le: mardi 11 mars 2014, 14:59:41 »
J'étais partagée entre l’écœurement, le plaisir et le doute. Le temps du coït avec l'ogre le plaisir avait dominé, puis vint l’écœurement après avoir été violée par cette créature ignoble. Mais une fois mon calme partiellement retrouvé il y a aussi eu le doute. Comment une demi-déesse comme moi pouvait être transformée en humaine ? Quelle magie était suffisamment puissante pour faire ça ? J'avais peut être encore une fois sous-estimé Ephemera, peut être était elle encore beaucoup plus forte que ce que j'imaginais. Si c'était bien le cas ça voudrait dire que je pourrais quand même retourner vers ma déesse sans avoir trop honte, je devais quand même rester forte le temps de m'enfuir. Ma Déesse allait certainement me pardonner vu que j'avais fait face à une aussi puissante magicienne. Peut être même réparerait elle mon esprit afin que je redevienne comme avant. Pire, peut être qu'Ephemera travaillait pour elle et qu'elle était en train de tester ma fidélité, si c'était le cas je devais me reprendre dès maintenant et résister. C'est ce que j'ai pensé immédiatement après mon viol.

"Ma brave petite chienne... Tu as aimé sentir la queue de ce gros Orc, hein ? Tu es ma petite poupée, maintenant... Regarde... Regarde ceci..."

Je m’apprêtais à lui répondre agressivement lorsqu'elle activa le coffret. J'ai retrouvé tout mes pouvoirs, mon apparence, mon pénis, tout mes sens. Je le sentais maintenant, c'était bien ce petit coffret qui m'avait transformée en humaine. Pourtant, bien que rare, ce n'était pas un artéfact divin. Comment cette babiole pouvait elle avoir le moindre effet sur moi ? Je ne comprenais pas, c'était totalement illogique, quelque chose d'important m’échappait. Mais il n'y avait pas que ça. Le bref instant où j'ai retrouvé mon corps de demi-Déesse, mon instinct m'a envoyé le plus puissant avertissement que je n'avais jamais reçu. Un danger redoutable était sur le point de me frapper, mon instinct ne se trompait jamais. Ça m'a complétement prise au dépourvu, je me suis retrouvé paralysée par la peur, incapable de faire autre chose que des mouvements automatiques. Puis Ephemera a dit ceci :

"Il est lié à ton âme, et permet d’absorber tous tes pouvoirs."

Il ne me transforme pas ? Il me prive juste de mes pouvoirs ? C'était la pièce du puzzle qu'il me manquait pour comprendre, ainsi que le danger qui me guettait. Je devais oublier ça et je ne devais pas comprendre, mais c'était déjà trop tard. Horrifiée par ce que je venais d'apprendre j'ai suivi Ephemera sans dire un mot, machinalement, trop occupée à essayer de trouver une autre explication. Mais il n'y en avait pas. Je suis resté immobile face à mes gamelles, le regard vide et j'ai fini par demander d'une voix faible et branlante :

"D-dite maîtresse ? L-le coffret ? Il ne fait que me priver de mes pouvoirs n'est-ce pas ? Il ne devrait pas me transformer, ce n'est pas normal. Ce corps de vampire de bas rang, ce n'est pas une transformation, c'est ma véritable apparence n'est-ce pas ?"

Le coffret n'avait privé que ma forme de reine de tout pouvoir, je sentais un faible pouvoir magique qui n'avait pas été altéré dans ce nouveau corps, mais d'une faiblesse déprimante. En fait il n'avait fait que dissiper mon illusion de puissance, crée de toute pièce par la Déesse du sang. Mon instinct avait vu juste, comprendre ce que j'étais en réalité était la pire chose qu'il pouvait m'arriver. Ephemera n'avait pas besoin de répondre, je savais déjà que c'était la seule explication possible.

Si j'y réfléchissais bien, pour la Déesse du sang aussi je n'avais été qu'une chienne, imposant sa volonté de force aux autres démons et lui servant d'objet sexuel à l'occasion. La seule différence, c'est que j'avais l'illusion qu'elle était ma mère, qu'elle m'aimait, j'avais l'illusion d'être importante pour elle, d'être forte. Mais au fond elle n'était pas si différente d'Ephemera, la seule vraie différence, c'est qu'Ephemera prenait un plaisir sadique à briser mes illusions les unes après les autres. Avait-elle senti dès le départ que je n'étais pas une reine, mais une sorte de bête sauvage ? Quelque part ce n'était pas si étonnant, je n'ai jamais agit en tant que reine, je n'ai toujours pensé qu'à satisfaire mes bas instincts, à tuer, à violer, à torturer. Mais j'ai toujours eu cette envie inavouable d'obéir à une maîtresse, d'être soumise à quelqu'un de réellement fort. Au final, j'ai juste changé de maîtresse et j'ai également compris ce que je suis en réalité. Je sentais aussi que les épreuves que me faisait subir Ephemera me rendaient plus forte. Elle avait brisé mes illusions et mon esprit, mais j'allai pouvoir rebâtir quelque chose de plus fort à la place, pareil pour mon corps. Je me demandais ce qu'elle voulait vraiment. Avait-elle compris mon potentiel ? Ou alors avait-elle juste envie de s'amuser avec moi ?

"C'est bon vous avez gagné maîtresse, je vous obéirai. Maintenant je sais que plus rien ne m'attends à l'extérieur de ces murs. J'ai perdu toute volonté de me battre contre vous."

Le regard vide j'ai léché les mollets de la femme qui était suspendue à la croix, avant de mordre dedans pour me désaltérer. Puisque j'étais une bête j'allai vivre comme une bête à partir de maintenant, sans réfléchir et en suivant bêtement les ordres de ma maîtresse. C'était une existence minable, mais moins difficile que de lutter perpétuellement contre une femme qui ne me laisserait aucune chance de gagner de toute façon.

"J-j'ai envie de faire mes besoins maîtresse ... S'il vous plait."

Ça avait encore du mal à sortir, je détestais devoir demander ce genre de choses. Et la connaissant elle n'allait pas se contenter de simplement me sortir, elle allait encore m'humilier ou me torturer. De toute façon ça ne pouvait pas être pire, plus maintenant.

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Le quartier de la Toussaint / Re : La loi de la jungle [Ephemera]
« le: vendredi 27 septembre 2013, 00:23:22 »
Après avoir été sauvagement déchiquetée pendant des heures, j'avais finalement sombré dans l'inconscience. La douleur avait été plus forte que ma volonté d'y résister, mais j'avais tenu bon pour réprimer mon pouvoir de régénération et économiser mon sang. Une fois de plus j'avais survécu, mais est ce que survivre dans cet état avait été une si bonne idée que ça ? J'ai fais des cauchemars horribles pendant mon coma, je rêvais que la femme en noir, dont je ne connaissais toujours pas le nom, me dévorait lentement, membre par membre, comme les harpies. Je rêvais aussi à mon avenir, je me voyais aux pieds de cette femme, soumise, minable et avec mon corps transformé en jouet sexuel. Je me voyais lui léchant les pieds, l'appelant "maîtresse". Pire, je me voyais heureuse qu'elle me torture moins, reconnaissante qu'elle me laisse la vie sauve. Et encore pire, ce rêve là fut plutôt agréable et l'idée de devenir son objet me séduisait et me terrifiait à la fois. Malgré mes efforts, je n'arrivais pas à chasser ces pensées malsaines de mon esprit, développant une sorte de syndrome de Stockholm. Petit à petit je tombais amoureuse de ma tortionnaire, me sentant redevable envers elle, redevable de toutes ces fois où elle avait interrompu mes séances de torture, mettant ainsi fin aux souffrances qu'elle me forçait à endurer. Je savais qu'elle voulait me détruire, je savais qu'elle me tuerait sans hésitation si elle se lassait de moi, mais j'éprouvai désormais un besoin maladif d'être aimée par cette femme.

Une violente claque sur les fesses m'a faite émerger, je n'ai pas ouvert les yeux tout de suite, c'était trop dur, il me fallait du temps pour reprendre mes esprits. Puis j'ai senti cette énorme pénis entre mes fesses. Encore un viol ? Je me suis presque dis : "Et alors ? Au point où j'en suis de toute façon ...". Mais autre chose me troublait, les sensations étaient très différentes de la première fois, beaucoup plus intenses. La douleur était plus intense, le plaisir aussi était plus intense et mes 5 sens étaient, différents, je ne sentais plus les différentes présences autours de moi, je ne sentais plus l'odeur du sang. J'en étais sûre, quelque chose clochait avec mon corps, j'étais dans un état anormal. J'ai ouvert les yeux, j'étais dans un endroit diffèrent, une grande salle. Une créature me sodomisait en retenant mes bras en arrière, s'en servant comme d'un guide pour son énorme bite. Je pouvais sentir que cette créature était physiquement beaucoup plus forte que moi, peu importe à quel point je forçais impossible de me libérer. La créature s'est légèrement relevée, me forçant ainsi à me mettre à genoux, retenue uniquement par mes bras qu'elle tirait vers elle. Puis elle a lâché mon bras gauche avant de venir enfoncer un doigt recouvert de morve dans ma bouche. C'était écœurant, je gémissais misérablement, essayant de me dégager lorsque la main me força à tourner la tête vers un miroir.

"HUUUUUUUMPH !!!"

Avec l'énorme doigt enfoncé dans ma bouche c'est tout ce que j'ai pu dire, horrifiée par ce que je voyais. J'avais été totalement changée, j'étais dans le faible corps d'une humaine aux cheveux blancs et aux yeux rouges. En train de me faire sauvagement sodomiser par un Orc gigantesque, je me voyais, léchant ce doigt immonde avec des résidus verts sur la joue. Je crois que cette vision m'a définitivement achevée, j'ai déposée les armes, regrettant amèrement de ne pas avoir laissé les harpies me tuer. Incapable de me retenir j'ai fondue en larmes, incapable de faire autre chose que de constater ma totale impuissance. Et comme si cela ne suffisait pas, j'ai senti son autre main relâcher mon bras pour aller enfoncer ses gros doigts dans ... Dans mon ... Vagin ? Je me suis mise à rire nerveusement, mes rires étant étouffés par le doigt de l'Orc. La dernière bouée qui m'empêchait de sombrer était composée de mes pouvoirs et de mon statut de reine. Mais sous forme humaine je n'étais plus reine, je n'avais même pas de vrai nom et je n'avais plus de pouvoirs non plus. Pourquoi continuer à faire la fière quand tout est perdu ? La femme en noir avait gagné, j'étais sa chose, son objet sexuel dévoué. Elle avait piétiné ma fierté, anéanti mes rêves et détruit mon corps et mon esprit, jusqu'à ce qu'il ne me reste plus qu'une seule chose : Elle.

L'Orc semblait apprécier mon cul et libérée de ma fierté, de mes pouvoirs et de mes fonctions je me suis mise à me dire que sa bite était plutôt agréable à recevoir en fait. Je pouvais sentir son gros ventre claquer sur le dessus de mes fesses et ses énormes couilles me fouetter au rythme de ses amples et brutaux vas et viens. Je pouvais nous voir dans le miroir, la femme en noir était derrière et elle nous regardait, je n'osais pas croiser son regard, honteuse. Le gros doigts du monstre vert était aussi long et large que le pénis d'un humain et les sensation qu'il procurait à mon intimité ruisselante étaient particulièrement agréables. Me laissant aller je me suis mise à gémir lubriquement et à lécher le doigt qu'il avait mis dans ma bouche avant qu'il ne le retire pour pétrir ma poitrine. Laissant un long filet de salive sortir de ma bouche avant de se répandre sur le sol. Goguenard il s'est adressé à la femme en noir :

"Dis donc Ephemera. Tu m'avais parlé d'une reine, pas d'une petite pute soumise. Remarque je ne vais pas m'en plaindre, je pourrais même y prendre goût."

Puis le monstre se retourna vers moi avant de me demander, d'une voix autoritaire :

"Hey petite trainée ! À quel point aimes-tu ma bite ? Sur une échelle de 1 à 10."

"15 maître ! Non ! 20 ! Oui 20 ! Aaaah ! AAAAH !"

"Elle ne sait même plus compter, c'est trop mignon !"

Je ne réfléchissais plus, je me laissais totalement aller, répondant la première chose qui me passait par la tête, submergée par ces plaisirs indignes. Brusquement l'Orc s'est arrêté, retirant son sexe et ses mains de mon corps. Je n'ai pas compris pourquoi. Avais-je donné une mauvaise réponse ? En tout cas il m'a retournée comme une vulgaire crêpe avant de se mettre à quatre pattes au dessus de moi, sa grosse bite pendait en direction de mon intimité. Puis il a dit avec un grand sourire :

"Dis Ephemera ? Tu pense qu'elle pourrait tomber enceinte de moi si je la prends par ici ?"

T-tomber enceinte ? D-de lui ? C'était vraiment devenu possible ? C'était logique après tout ... M-mais ... J'étais en train de paniquer, c'était plus que se faire violer là, c'était carrément offrir une progéniture à mon bourreau difforme et porter ses horribles enfants en moi. Il s'est avachi sur moi, pénétrant violemment ma fente humide en me déflorant au passage. Avant que j'ai pu émettre la moindre protestation, son énorme langue est rentrée dans ma bouche, tandis que ses mains caressaient mes fesses et mes seins. Impuissante je me suis laissée aller, profitant de cet instant de plaisir. Après tout je n'étais même pas sûre de survivre aux prochaines tortures de cette Ephemera, donc même si c'était avec un gros Orc dégoutant autant prendre du plaisir. Le gros monstre vert étant déjà bien excité il ne tarda pas à éjaculer entre mes cuisses, plus d'un litre de foutre chaud se retrouva en moi. Afin d'être sûr de bien me féconder il resta avec son pénis planté en moi pendant une bonne minute, attendant que l'intérieur de mon nouveau sexe féminin soit tapissé de son sperme, puis il se releva en me laissant à terre.

Après qu'il eut contemplé son œuvre, il m'a saisie par le bras pour me remettre debout et par réflexe j'ai plaqué ma main libre contre mon intimité en sentant que tout le sperme qui était en moi allait sortir. L'Orc m'a regardé avec un grand sourire sadique et m'a ordonné :

"Je suis flatté que tu tienne tant à garder ma semence en toi petite chienne, mais je veux que tu te vide. Tout de suite !"

"O-oui maître ..."

Je me suis exécutée, laissant plus d'un litre de sperme dégouliner le long de mes cuisses, face à Ephemera qui devait jubiler intérieurement en me voyant aussi misérable. Puis il m'a finalement poussée pour que je me retrouve seule face à ... Ma maîtresse ? Je suis tombée à genoux à ses pieds, n'osant pas la regarder dans les yeux, partagée entre peur et excitation. Puis je me suis mise à quatre pattes pour lécher ses pieds, priant pour qu'elle ne me punisse plus, voire même pour qu'elle me récompense.

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Le quartier de la Toussaint / Re : La loi de la jungle [Ephemera]
« le: mercredi 25 septembre 2013, 14:32:24 »
J’espérai naïvement que cette victoire lui suffirait, qu'elle allait s'arrêter là et simplement profiter des fruits de son succès sans me traumatiser d'avantage. Je me trompais, elle n'en avait pas fini avec moi, elle n'allait pas me lâcher. Peut être avait elle sentit qu'au fond de moi je rêvais toujours de la tuer, que je ne m'étais rendue que parce que je n'étais pas préparé à l'affronter. À mon grand malheur elle avait l'air d'être une femme intelligente, elle devait comprendre que me laisser le temps de me reposer, de me reprendre lui serait fatal un jour ou l'autre. Elle devait savoir que si elle me laissait me relever, je profiterai de la première occasion pour lui planter un couteau dans le dos. Elle n'avait pas 50 options, si elle voulait vraiment me garder à ses côtés et avoir l'esprit tranquille, elle devait me détruire totalement pour me reconstruire à sa guise. C'est la pensée que j'ai eu alors que je tombais dans le vide, si je voulais préserver ma santé mentale il fallait que je tente quelque chose, n'importe quoi. Mais quoi ? Pour l'instant impossible de s'enfuir ou de résister, j’espérai juste pouvoir subir la suite sans sombrer davantage.

Deux grosses bêtes noires m'ont attrapée au vol, enfonçant leurs griffes dans ma chair avant de me jeter sans ménagement dans une cage suspendue. Autour de moi je pouvais voir des squelettes et des cadavres dans d'autres cages semblables, dont certains en train de se faire bouffer. Je savais ce qu'elle voulait me faire faire, elle voulait que je me défende, que je me fatigue en luttant vainement et que je me retrouve encore en manque de sang. Mais j'avais appris de mon combat contre elle, le sang était ma ressource la plus précieuse et je ne devais pas la gaspiller, surtout dans ce genre de situations. J'ai pris la décision de ne régénérer que les blessures potentiellement mortelles. Pour les blessures qui ne mettaient pas ma vie en danger je me contenterai de refermer les plaies pour éviter l’hémorragie. C'était un choix difficile, il faudra endurer la douleur des blessures sans craquer et rester forte jusqu'au bout, sans gaspiller de sang. J'ai donc commencé par ne pas régénérer mes blessures aux épaules laissées par les Harpies.

La femme en noir m'avait parlé de quelques heures, mais je n'avais aucune confiance en elle. Si elle le désirait elle pouvait très bien me laisser plusieurs jours ici pour me tester ou par sadisme, je devais dès le départ partir du principe que chaque goutte de sang comptait. Très vite les Harpies ont commencées à tourner autour de ma cage, excitées par l'odeur particulière de mon sang. L'une d'entre elles s'est ruée sur moi et m'a enfoncé ses griffes dans le mollet. J'ai dû me forcer à ne pas utiliser mes pouvoirs par réflexe, laissant cette foutue bestiole m'arracher un pan entier de ma jambe et le dévorer. Puis se fut mon avant-bras gauche, arraché de mon corps jusqu'au coude et dévoré. Petit à petit j'ai perdu mes membres et mes deux queues dans une douleur insoutenable. Au début je criais à chaque coup de griffes ou de dents, jusqu'à ce que je n'ai même plus la force de crier. Malgré ma réserve de sang pleine, mon corps était à sa limite, tant moralement que physiquement. Je me sentais faible, mal et sur le point de craquer psychologiquement.

J'ai résisté pendant 8 heures comme ça, à me faire bouffer par ces saletés, mon corps démembré et émasculé, recouvert de sang. Au bout de 8 heures, il ne me restait que le quart de ma réserve de sang. Si j'avais décidé de tout régénérer et de me battre je serais déjà morte depuis longtemps, cette décision m'avait sauvé la vie, mais à quel prix. Mon regard était vide de toute expression, je ne réagissais plus, je ne parlais plus, totalement détruite comme Ephemera l'avait surement souhaité. Mon corps n'avait survécut que parce mon esprit s'était sacrifié pour lui et la femme en noir allait pouvoir faire ce qu'elle voulait de ma carcasse.

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Le quartier de la Toussaint / Re : La loi de la jungle [Ephemera]
« le: lundi 23 septembre 2013, 18:47:55 »
Depuis toute petite j'avais été éduquée pour diriger, soumettre et tuer. Mais jamais, jamais on ne m'avait préparée à subir, à avoir peur, à être humiliée. Je pensais que ma force était suffisante pour que jamais je ne subisse ce genre de choses. Je n'avais jamais souffert, je n'avais jamais cru mourir avant, lorsque j'ai rencontré cette femme noire je n'étais absolument pas prête pour lui résister. Pour la première fois de ma vie j'ai supplié, supplié pour qu'on me laisse vivre ou pour qu'on me tue rapidement, mais tout sauf ce viol immonde que je subissais. Habituée à ce qu'on m'obéisse immédiatement j'attendais que la femme noire saute tout de suite à mon secours sitôt ma supplique entendue. Mais rien, elle restait en haut, me toisant avec son sourire malsain. Aller salope, tu ne veux pas me laisser crever, je le sais, tu veux t'amuser, j'ai été à ta place donc je le sais. Petit à petit mes certitudes se sont envolées. Et si elle voulait vraiment me tuer comme ça ? J'allai vraiment crever dans ce trou à rats ? Violée par ces gros porcs ?

Brusquement une douleur intense m'a sortie de mes pensées. L'humain qui tentait d'introduire son petit doigt dans mon canal urinaire avait finalement réussi, déformant mon pénis et me faisant horriblement mal. Il changea de doigt, enfonçant mon majeur presque immédiatement après, j'avais l'impression de pisser de la lave en fusion. Incapable de crier ou de bouger je subissais presque en silence, pleurant misérablement et gémissant de petits : "S-stop ... P-pitié ...". J'en étais réduite à supplier des humains, mes proies habituelles, pour qu'ils me laissent en vie alors que j'avais impitoyablement fauché des milliers d'entre eux. Après tout, cette femme en noir n'avait aucune raison de me sauver, absolument aucune, elle allait vraiment me laisser crever.

Convaincue que j'allai y passer j'ai arrêté de supplier, résignée à mourir comme un vulgaire sac à foutre, riant parfois nerveusement, sombrant petit à petit dans la folie. Pour couronner le tout, mes bourreaux se sont mis à uriner sur moi, certains visant mon visage et ma bouche ouverte à cause de ma mâchoire en miettes, d'autres visant mon corps ou mes membres et l'un d'entre eux urina directement dans mon cul. L'un des hommes s'amusait à aller et venir avec son majeur dans mon canal urinaire déformé, c'était douloureux, mais derrière la douleur j'ai commencé à ressentir du plaisir. J'ai commencé à aimer la sodomie brutale qu'on m'infligeait et ce foutu doigt planté dans mon pénis devenait aussi de plus en plus agréable. Humiliation ultime, l'homme retira brusquement son doigt, me laissant jouir par terre, je crois que j'ai définitivement abandonné toute résistance à ce moment là. Je me dégoutais, comment pouvais-je jouir dans cette situation ?

Cependant, il y avait bien pire que la souffrance et l'humiliation, il y avait la soif, insupportable. J'avais l'impression que mon corps était en train de se digérer lui-même, brûlant de l'intérieur pour chercher désespérément une dernière goutte de sang. Subitement mon état s'est dégradé, ma vision s'est troublée, mon corps s'est agité de petits spasmes incontrôlables, je sentais ma fin arriver, toute proche. Je n'ai même pas remarqué Ephemera descendant pour exécuter mes violeurs, j'ai juste senti l'odeur du sang et sitôt sa lame devant ma bouche je me suis ruée dessus, léchant sa lame comme une demeurée, tranchant ma propre langue dessus à plusieurs reprises. Petit à petit mes os se sont réparés, mon corps a retrouvé suffisamment d'énergie pour que je puisse ramper vers un cadavre sanguinolent, j'ai léché ses plaies, entaillé sa chair avec mes dents dans un état second. Lorsque j'ai retrouvé mes esprits j'étais couverte de sang, de sperme, de pisse et surtout de honte. Ma jauge de sang était pleine, mais mon corps gardait les traces de mon viol, mon canal urinaire était déformé, élargit par le doigt de l'humain et mon anus aussi était fortement dilaté, irréparable lui aussi. J'allai garder ces marques jusqu'à la fin de ma vie, les marques de mon humiliation. Je me sentais mieux, mais bizarrement je sentais que quelque chose s'était brisé en moi, je suis tombée à genoux et j'ai fondue en larmes, incapable de m'arrêter.

Ça ne me ressemblait pas, je n'aurai jamais pleuré avant, cette expérience avait mis au grand jour mon extrême fragilité face à la souffrance et lorsque j'ai tourné mes yeux rougit par les larmes vers Ephemera, j'ai de nouveau ressenti de la peur. Pas la peur de mourir, la peur de la mettre en colère, la peur qu'elle me balance dans une autre fosse, c'était irrationnel, mais puissant. Je ne savais pas quoi faire, j'avais envie de l'attaquer, mais mes muscles refusaient de bouger, paralysés par la terreur qu'elle m'inspirait. À chaque fois qu'Ephemera bougeait ou parlait j'avais un geste de recul, comme un animal maltraité qui craint que son maître le frappe encore. Finalement, je me suis mise à genoux devant elle et j'ai supplié, détruite :

"J-je ne vous attaquerai plus, ne me faites plus de mal s'il vous plait. Je vous servirai, je vous serais utile. Mais s'il vous plait plus ça, plus jamais, je ferais tout ce que vous voudrez."

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Le quartier de la Toussaint / Re : La loi de la jungle [Ephemera]
« le: dimanche 22 septembre 2013, 16:13:15 »
Était-ce tout ? Je crois que oui, j'étais épuisée, affamée, incapable de continuer le combat. Ça me faisait sincèrement chier de l’admettre, mais cette faiblarde fuyarde m'avait littéralement explosé la tronche. Pourtant je sentais bien que j'étais plus forte qu'elle, il m'aurait suffi d'un seul coup pour lui briser la nuque et en finir une bonne fois pour toute. Mais impossible de toucher cette salope, elle passait son temps à se téléporter à droite ou à gauche, me frappant avant même que je me rende compte de sa présence. Même mes réflexes, d'ordinaire redoutables, n'étaient pas assez rapide pour suivre la cadence. Lorsqu'elle m'a demandé si c'était tout je l'ai regardé, elle pouvait voir ma rage dans mon regard, mon intention de l'attaquer et elle fut malheureusement assez maligne pour ne pas s'approcher.

Sans pouvoir riposter, je me suis retrouvée écrasée contre le mur, affublée d'un carcan corrosif. Dans mon état je n'allai pas pouvoir résister longtemps à l'acide, mon corps était presque à ses limites et ma survie allait dépendre du temps que j'allai passer dedans. Heureusement ce fut bref, douloureux, très douloureux même, mais seuls mes vêtements avaient disparus au final, ma peau n'étant que légèrement brûlée. Je faisais peine à voir, je n'avais même plus la force de crier. Mais mon adversaire cru bon de m'en remettre une couche, histoire de bien s'assurer que je n'allai pas faire de bêtises. Un tentacule m'a attrapé au niveau de la nuque avant de me projeter contre le plafond, sonnée, j'ai sentie ma mâchoire se rompre. Puis le tentacule a pris le chemin inverse, me projetant au sol, me brisant au passage plusieurs côtes ainsi que mon bras droit. Je n'avais jamais été aussi proche de la mort qu'aujourd'hui, d'expérience je savais que supplier était inutile car à ses yeux j'étais probablement juste un animal. Vu la tournure que prenaient les événements il y avait deux possibilités, soit elle voulait me dresser comme un petit chien, soit elle voulait me torturer et jouer avec mon corps jusqu'à ce que j'en crève.

Nous nous sommes téléportées quelque part, dans une espèce de prison infernale, surement quelque part dans les enfers. Je savais mieux que quiconque ce qu'il arrivait à ceux qui se retrouvaient dans ce genre de lieux, pour en avoir moi-même torturé pas mal. J’espérai juste que ma geôlière ne serait pas très inspirée. Manque de bol pour moi elle avait eut une excellente idée, me jetant dans une fosse de violeurs en manque. D'un naturel assez fier, j'avais toujours refusé qu'on me sodomise ou qu'on me domine au lit, mon égo ne supportait pas ce genre de choses. À l'idée même que je puisse être vulnérable face à ces raclures je me suis mise à paniquer. Tombée sur le dos je pouvais voir distinctement la femme en noir qui était responsable de mon état, j'avais l'impression qu'elle se foutait de ma tronche. Qu'elle décide de me violer elle aurait été une chose, mais me jeter en pâture à ces sous-merdes, non je ne pouvais pas accepter ça.

Les hommes se sont rués sur moi, l'un enfonçant son sexe dans ma gorge, tandis que les autres me caressaient comme de grands malades, envoutés par ce corps féminin qu'ils n'avaient pas pu toucher depuis longtemps. Celui qui voulait me baiser la gorge s'est vite aperçu qu'elle était totalement sèche à cause du manque de sang et a demandé à ses copains de l'aider à l'humidifier. À tour de rôle ils m'ont tous crachés dans la bouche, plusieurs fois chacun avant que le premier ne recommence à me pénétrer par voie buccale. J'étais écœurée et ce n'était pas fini, j'ai senti leurs langues sur mon anus, encore une fois leurs crachats, des doigts qui étalaient le tout, puis un sexe qui me pénétrait sans ménagement. Je pouvais sentir leurs mains sur mon corps, leurs doigts qui me pinçaient les tétons, un autre qui essayait de faire rentrer un de ses doigts à l'intérieur de mon pénis, forçant comme un malade et me faisant souffrir d'avantage. Ces gros porcs n'hésitaient pas à me frapper, pour rien, juste pour s'amuser et je n'étais pas bien placée pour les juger, c'est exactement ce que je faisais subir à mes victimes. Et il y avait surtout cette soif insupportable, il me fallait du sang et sentir cette bite dans ma gorge, gorgée de sang et que je ne pouvais pas mordre à cause de ma mâchoire réduite en miettes m'était insupportable.

Les uns après les autres, ils se sont vidés en moi, se servant de mon corps comme un vulgaire sac à foutre. Une, deux, trois, quatre, cinq fois, j'ai fini par perdre le compte. Petit à petit mon anus s'est élargit, lui qui n'avait jamais été pénétré ressemblait désormais à celui de mes victimes lorsque j'en avais fini avec elles. Humiliée, écœurée et en train de mourir de soif, je commençai à comprendre pourquoi les humains disaient pitié même en sachant qu'ils n'allaient pas survivre. Alors en pleurant misérablement j'ai regardé vers le pont, oubliant mon égo j'ai supplié d'une voix faible :

"I-il me faut du sang ... Je vais crever à ce rythme là ... Je ferais ce que vous voudrez ..."

Pour la première fois de ma vie je comprenais ce qu'était le désespoir, la peur et l'humiliation. Je n'avais plus qu'une envie, sortir de cette fosse en vie et qu'on me débarrasse de ces souffrances, quitte à devoir me soumettre. Je pouvais encore tenir quelques minutes, mais au delà mes chances de survie allaient considérablement baisser. Je gisais à terre, recouverte et remplie de sperme, immobile et dans un état critique.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 21 septembre 2013, 00:57:19 »
Oui oui, mais c'est juste que je pensais pas que ça faisait une telle différence le fait voir les choses "autrement", "de plus loin". Ça me surprend un peu pour être honnête.

00h57

Tiens trompé de compte. :)

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Le quartier de la Toussaint / Re : La loi de la jungle [Ephemera]
« le: samedi 21 septembre 2013, 00:19:00 »
Lorsqu'elle s'est retrouvée devant moi en un éclair, mon cerveau a arrêté de fonctionner un bref instant, totalement confus. Ma seule pensée à ce moment là se résuma à : "Comment elle a fait ça bordel ?", suivi d'un bref : "Elle va me toucher, pas le temps d'esquiver.". Je m'étais lancée à fond vers ma réserve de sang de fortune, pensant la trajectoire dégagée. J'ai été totalement incapable de m'arrêter, m'embrochant sur ses lames avant d'être projetée en arrière comme si je ne pesais rien. Agile comme une chatte, je suis retombée sur mes pattes. Mes oreilles étaient plaquées en arrière, mes sourcils étaient froncés, mes yeux étaient grands ouverts, prêts à détecter toute menace alentour, j'avais l'allure d'un animal sauvage en rogne. Mais une fois la surprise passée, mes traits se sont détendus, jusqu'à ce que j'éclate de rire tandis que mes blessures se refermaient toutes seules.

"AH AH AH AH AH !!! OH Oh ... J'y crois pas ... C'est pas vrai hein ? Ah ah !"

Puis j'ai arrêté de rire comme une demeurée, reprenant un ton franchement agressif et irrespectueux :

"Tu as osé me toucher avec tes merdes ? Je ne sais pas quel tour de passe-passe tu as utilisé pour me surprendre mais ... JE VAIS T’ÉTRIPER SALOPE !!! JE VAIS T'ARRACHER LES BRAS ET TE LES ENFONCER DANS LE CUL !!! ET POUR FINIR JE ME BRANLERAI DANS TES ORBITES VIDES PETITE CONNE !!!"

J'étais folle de rage, aveuglée par la colère. Comment pouvais-je tolérer qu'une sous-race semblable aux vampires soit capable de m'entailler ? En plus ça faisait mal ces conneries. Non définitivement, sang ou pas sang, j'étais décidée à la bouffer. En fait, je ne me posais même pas la question de savoir si j'en étais capable ou non. Je n'avais jamais connu la défaite ou la peur, les infligeant tout le temps à mes victimes. Je n'avais aucune raison de douter de ma force, mais je ne savais pas encore que l'issue d'un combat ne dépend pas uniquement de la force brute. Joignant le geste à la parole, j'ai crée une petite boule d'os au bout de ma queue reptilienne, une attaque dévastatrice que j'utilisais rarement. J'ai fais un tour rapide sur moi-même entrainant ma queue avec moi, puis j'ai donné un coup violent avec cette derrière dans le vide pour propulser ce projectile. Lorsqu'elle fut lâchée, la petite boule d'os fit claquer l'air, signe qu'elle venait de passer le mur du son et qu'il fallait mieux ne pas se la prendre. À cette distance avec un projectile aussi rapide et précis, impossible qu'elle l'évite, pensais-je. Mais elle a brusquement disparu, laissant ma balle percuter le mur et y creuser un beau cratère.

"TU ES OÙ ? REVIENT LÂCHE !!! TU TE CHIE DESSUS OU QUOI ? JE VAIS TE ..."

Je l'ai tout à coup sentie dans mon dos, avant de sentir ses lames me lacérer à nouveau. Je n'ai eu ni le temps de la voir venir, ni le temps de l'éviter mais j'étais bien déterminée à la choper et à lui faire payer. D'un geste-réflexe fulgurant, j'ai balancé mon bras dans sa direction, certaine que j'allai réussir à la frapper. Mais mon bras n'a strictement rien tapé, se contentant de me déséquilibrer, me donnant ainsi l'air ridicule. J'avais rarement été dans une rage pareille, personne ne me résistait d'habitude et me faire humilier de la sorte par cette grognasse m’insupportai. Oubliant tout bon sens je me suis mise à frapper dans toutes les directions, à chaque fois cette saleté esquivait mon attaque et parvenait à me frapper. Plus elle gagnait et plus j'enrageai, plus j'enrageai et plus je me battais n'importe comment, lui offrant des occasions pour placer ses coups. Petit à petit je me suis fatiguée toute seule, gaspillant mon énergie à essayer de tuer un fantôme. Ma gorge était sèche et ma soif prenait le pas sur ma raison. Je me suis ruée vers les humains, mais bien sûr elle n'avait pas l'intention de me laisser reprendre des forces, elle m'a repoussée à chaque fois, m'acculant de plus en plus, comme une bête.

Finalement j'ai atteins ma limite, tombant à genoux, à court d'énergie. Je haletais, j'avais du mal à respirer et ma vision se troublait. Mes jambes quant à elles refusaient de me porter davantage, il me fallait du sang, tout de suite. "Aller bouge bordel !", me disais-je tandis que mon ennemie venait de comprendre que je n'allais pas me relever. J'étais quasiment sûre d'être plus forte qu'elle, mais ma force brute ne pouvait rien contre ses déplacements éclairs. J'enrageai de m'être fait humilier de la sorte par cette chose, sans me douter que l'humiliation allait vite devenir le cadet de mes soucis. J'avais un dernier atout en main, juste assez d'énergie pour lui sauter dessus et la mordre lorsqu'elle sera à ma portée. Une fois mordue, je n'aurai qu'à me cramponner à elle pour la vider de son sang. Mais je n'étais pas habituée à élaborer ce genre de stratégies, je n'en avais jamais eu besoin avant et mon intention d'attaquer était bien trop visible pour qu'elle tombe dans le panneau. Néanmoins j'y croyais sincèrement, me voyant déjà en train de planter mes crocs dans sa nuque pour la tuer.

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Le quartier de la Toussaint / La loi de la jungle [Ephemera]
« le: mercredi 18 septembre 2013, 00:44:12 »
Depuis que je l'avais découvert il y a quelques mois j'adorais le monde des humains. Leur sang était absolument dégueulasse, une véritable infection. Mais leur faiblesse affligeante m'amusait, ils ne savaient que courir dans tout les sens en implorant des sauveurs qui ne venaient jamais. À mes yeux ils étaient des animaux, des sous-êtres qui n'existaient que pour me servir. Pourquoi aurai-je dû avoir pitié ? Il y a à peine 10 minutes je dévorais une femme enceinte sous leurs regards horrifiés, au bout de la rue, summum de la gratuité, j'avais écrasé un enfant contre un mur, SPLATCH AH AH AH !!! Un vrai défouloir, voilà ce qu'était ce monde ! Un putain de défouloir ! Et quand ils se ramenaient, les moins lâches d'entre-eux, avec leurs petites armes à projectiles. Quel spectacle pitoyable ! Ils se sentent forts jusqu'à ce que je commence à les tuer un par un, puis ils paniquent dès qu'ils comprennent qu'ils ne peuvent rien faire. Ici personne ne pouvait m'arrêter, je pouvais détruire leurs bâtiments, leurs véhicules, leurs vies, leur santé mentale, les violer, les torturer, les bouffer … Et le plus merveilleux dans tout ça, c'est qu'aucun d'entre eux n'avait la moindre chance de m'arrêter.

Tandis que je m'amusais à jouer avec les voitures et à balancer des poteaux électriques sur les passants, j'ai senti une odeur aussi familière que désagréable. J'en étais presque sûre, il y avait des vampires dans le coin et pas juste deux ou trois, toute une petite armée qui se terrait quelque part. Je hais les vampires, je déteste ces minables qui osent se comparer à ma race alors qu'ils ne valent rien. Je me suis mise à les chercher comme une demeurée. Où ? Où ils sont ? J'étais euphorique, eux aussi avaient dû me sentir, ils devaient se pisser dessus en espérant que je passerai à côté sans m'en m'occuper. Oh que non, j'avais tout mon temps à perdre si c'était pour massacrer ce genre de vermines. Je pouvais les sentir, juste sous mes pieds, grouillants comme des rats dans les entrailles de la ville.

"Allez allez les enfants ! Sortez de votre cachette ! Si vous sortez tout de suite je vous épargnerai !"

Bien entendu personne ne fut assez bête pour sortir. Mais ça ne m'a pas empêchée de trouver la station de métro désaffectée dans laquelle tout ce joli monde se planquait. Comme ils étaient quand même vachement nombreux, j'ai immédiatement recouvert mon corps de mon armure osseuse et fait apparaître une épée à deux mains en os. Ça me faisait gaspiller énormément de sang mais tant pi, il y avait plein d'humains à l'extérieur de toute façon et personne susceptible de me mettre en difficulté dans ce monde. Cédant à mes bas instincts je me suis mise à les massacrer, les traquant jusque dans les vieux conduits d'aération, exactement comme des rats, plein de petits rats qu'il fallait exterminer. Pendant une bonne demi-heure je me suis déchaînée au milieu des cris, fracassant des crânes et tranchant des membres dans la bonne humeur. Jusqu'à ce qu'il n'y ai plus personne, du moins plus personne de visible. Je sentais qu'il y en avait encore, juste à côté, je sentais des humains aussi, probablement leurs prisonniers, leurs réserves de sang frai. J'ai cherché quelques minutes et finalement j'ai trouvé une sorte de couloir camouflé par la végétation. Je m'y suis avancé, tuant les derniers vampires sans difficulté, avant d'arriver dans une grande salle remplie de cellules où des humains étaient entassés par dizaines. Jackpot !

Pourtant mon sourire s'est effacé de mon visage, je pouvais sentir une présence étrange dans mon dos. Pas la présence d'un vampire, ça y ressemblait mais c'était diffèrent. Un démon peut être ? Non, ça ressemblait aussi mais c'était encore diffèrent. Peut être une créature hybride entre les deux ? C'était le plus probable. Je me suis dépêchée d'aller vers les humains prisonniers, j'avais besoin de sang pour refaire mes réserves. De plus, la créature était encore trop loin pour m'atteindre rapidement, du moins c'est ce que je pensai.

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