Gymnase en plein air et piscine / Re : Le sport c'est la santé [La troupe de Luxuria]
« le: mardi 30 août 2011, 16:04:55 »Manque de chance pour eux, cette situation me rappelait un peu une autre dans mon enfance, un kidnapping que la personne qui m'a sous tutelle n'avait visiblement pas du tout prévue, une chance que les servantes sont venue rapidement, mais la il était clair qu'elles allaient tarder. J'allais tout faire pour ne pas que cette situation ne recommence pas, même si dans la situation actuelle j’étaie dans la panade.
Je fis une tentative pour mettre un coups d'escarpin dans la tronche d'un de ses types, mais ils ont une sacre poigne ses lourdeaux, s'en était assez surprenant, les lycéens sont si faibles que ça ? Quoi qu'il en soit je vis le vieux jouer avec mon cul, approchant son membre pour visiblement me sodomiser.
- Ose faire çà et je te ... mfff.
La menace ne fit pas l'effet désirée, c'est a croire qu'ils s'en fiche que je puisse avec mon argent payer une armée de mercenaire pour les abattre un par un, même si par pur sadisme je leurs ferrais payer ça de mes propres mains, c'est toujours plus amusant de préparer sa vengeance. Le vieux laboura mes entrailles sans ménagement, étant extrêmement douloureux car sans un quelconque lubrifiant, ne pouvant qu'attendre qu'il finisse son travail, non sans opposer de la résistance en ralentissant au maximum ses tentatives. Il finit par se décharger en moi, mon visage devint rouge de honte, je pouvais sentir le liquide chaud se promener dans mes tripes. S'il avait continue encore cinq minutes j'aurais sans doute lâche aussi.
Un autre allait prendre la releve quand une voix inconnue se fit entendre.
"Allons messieurs, calmons-nous messieurs, vous êtes si presses, un peu de romantisme ,ne fais de mal a personne. Que faites-vous des préliminaires?"
- Allez vous faire voir avec vos trucs, je vous ferrais payer cher cet affront que vous me faites.
Ce fus la dernière parole que je put formuler, car peu après ils m’enfoncèrent sans ménagement un tuyau, cela me rappelait les trucs que l'on vous mets dans la trachée pour respirer, vous savez l'appareil d'aide respiratoire dans les hôpitaux. S'ils ne pouvaient pas voir, je sentais a ce moment le liquide dans mes fesses ressortir petit a petit, je me faisais passer pour quelqu'un de calme, mais en vérité je commençais a sentir la peur s'insinuer dans mes veines. De mauvais souvenirs refirent leurs apparitions comme si j'en avais pas déjà assez a l'heure actuelle.
Ce que je vis me dégoute, bloquant immédiatement ma respiration et contractant ma gorge pour que rien ne puisse passer, ils voulaient me faire boire leurs ... ça. Je n'aurais jamais imaginez pire chose, il était sur que cela allait me faire gerber, aussi je fis mon possible pour lutter. Plus je luttais, plus l’entonnoir se remplissait, fournissant davantage de pression sur ma bouche, respirer devint un problème car l'odeur était déjà présent, sans parler de cet envie de déglutir, ce qui se serait solde par boire ce truc.
"Bois la bonne pisse de tes maitres chiennes."
Je ne pouvais pas répliquer et j'avais d'autre chats a fouetter pour l'instant, c'est alors que je sentis un pied appuyer sur mes boules, ce qui me fis poussez un cris, seulement à se moment la concentration n'était plus là et une gorgée passa, ce fut un enfer, à chaque gorgées venait l'envie de rendre tout ce qui était dans mon estomac, mais le liquide était en trop grande quantité pour que je puisse le recracher, cela semblait les faire rire de me voir me débattre, quoi qu'il en soit je réussi à renverser l'entonnoir sur le côté, me permettant de tousser et recracher le peu qui restait dans ma bouche, c’était tellement dégueulasse.
Ils n'en avaient pas finit, j'en était sûr, mon corps tremblait, avais-je peur ? Oui, j'étaie même terrifié, cela me rappelait bien la période où je fus vendu dans un bordel et que des hommes comme eux faisaient la queue pour s'amuser avec moi, cette situation n'était pas différente, si ce n'est que ses gens semblaient encore plus tarés, je faisais de mon mieux pour en pas montrer ma peur, essayant de retenir des larmes.