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« le: samedi 11 juin 2011, 22:08:34 »
Que j'aime entendre ces talons , le bruits ressemble pour moi a une musique si douce que j'ai envie de fermer les yeux et d'attendre que le paradis arrive, paradis que je sais toujours précéder de douleur... Mais qu'importe la douleur donner par la maitresse est une bénédictions.
La voix de la maitresse est aussi une musique des plus douce a mes oreilles, surtout que la colère de ma maitresse est diriger contre d'autre. Je ne peux la voir mais qu'elle plaisir que de l'entendre...
Je ne peux laisser échapper qu'un petit grondement de plaisir quand je sens les doigts de la maitresse sur ma combinaison en latex, dieu.. Que cela peu être comment dire frustrant que de sentir ces doigts sans qu'elle ne touche ma peau... Je suis libre de mes mouvements mais pour l'instant je me laisse caresser par la maitresse, dieu que j'aime cela, je suis a ma place a cet instant... Je ne veux rien d'autre...
Alors elle me trouve jolie dans ma tenue, dieu que je suis contente qu'elle me trouve jolie, je ne voudrais pas lui déplaire... je sentit mes seins libéré, le froid les caressant, j'adore que ma maitresse joue comme cela avec mes piercings... et enfin mon vagin fut lui aussi libéré.. Je ne savait ce qu’elle attendais de moi...
Soupirant je la sentit attaché quelque chose a mes piercing, je savait que cela allait me faire mal quand j’allais bouger, le moindre petit mouvement tirais sur les anneau.. Dieu qu'elle douleur quand je vais marcher. En route, doucement je fit un pas a quatre pattes...
Je sentit les chaines tirer sur mon clito, j'avais raison cela faisait mal, je ne pouvait m’empêcher des petit cris de douleur a chacun de mes pas, mais j’avançais, pas après pas, a quatre pattes au sol comme une chienne..
Le plus douloureux était surement ce petit tiraillement sur mon clito, et pourtant.. Pourtant je sentais comme un plaisir monter dans mon corps, dieu que j'aimais quand cela me faisait mal... Un pas de plus avant que je ne trébuche, ce n'est pas facile d'avancer a l'aveuglette..
Pourtant doucement je me relève, couinant de douleur... Il faut suivre la maitresse a tout pris...
« Ma..maitresse. »
Ma voix était étouffée par le vynil qui la couvrais mais je n'avais put m’empêcher de le lâcher, et de me remettre en marche. Je voulait qu'encore la main de ma maitresse me caresse... Je ne pouvais avais qu' a petit pas, tout petit pas, trop grand je m'arracherais les piercings.