Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hikari Harigato

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Après l’intervention de Nanami, Hikari poursuivit tout simplement son cours, sans demander, à nouveau, l’intervention de la jeune femme. Elle ne voulait pas donner à Nanami le sentiment de la harceler, et s’absorber dans son cours, de surcroît, lui évitait d’avoir à penser à ce qui lui était arrivé hier. Elle parla donc de mathématiques pendant un petit moment, puis poursuivit en donnant des exercices, afin de réveiller une classe apathique. Jeune professeur dynamique, malgré ses airs autoritaires et secs, elle était à l’écoute des besoins de ses élèves, soucieuse de leur intérêt propre, et de leur épanouissement personnel. C’est ce qui conduisit Hikari à se rapprocher d’eux, jusqu’à, progressivement, approcher du fond de la classe, où se trouvait Nanami. La lycéenne un peu rebelle, qui avait refusé de porter l’uniforme scolaire, semblait plongée dans quelque chose, et Hikari y voyait là l’occasion de se rapprocher d’elle. Certes, parler de mathématiques n’était pas ce qui, fondamentalement, était le plus excitant, mais elle, elle y voyait une excellente manière de se rapprocher de cette jeune femme, et, surtout, la seule qui, en l’état actuel des choses, lui soit offerte.

Elle allait donc se pencher vers elle quand elle heurta un bout pointu près de ses affaires.

« Aïe ! »

Elle venait de se couper ! Nanami se coupa également, et toutes les têtes se tournèrent. Une main sur un bureau, l’autre alla masser sa cheville, en relevant un peu cette dernière. Un peu de sang s’en échappa, et une mine contrariée, sous l’effet de la douleur, traversa le visage de la femme. Elle se mordilla les lèvres, et s’essuya donc la cheville. La coupure n’était pas profonde, juste superficielle, et elle secoua rapidement la tête, en regardant Nanami :

« Ça va, Nanami, ce n’est rien... »

Étant alors bien incapable de se douter du stratagème de la redoutable lycéenne, elle s’avança rapidement, se rendant à son bureau, et se dépêcha de prendre un paquet de mouchoirs, puis se nettoya la jambe, ainsi que ses doigts. Hikari n’était pas, fondamentalement, superstitieuse, mais elle trouvait que ça faisait beaucoup... Était-ce là la redoutable loi des séries ? Elle se pinça les lèvres, puis acheva d’essuyer sa cheville, et jeta ensuite le mouchoir dans la poubelle, et observa ensuite ses lèvres.

Ils étaient retournés à leur travail, et elle entreprit de s’asseoir, poussant un léger soupir quand une douleur atroce remonta à partir de ses fesses.

*J’aurais dû amener un coussin... Mais ils se seraient posés des questions, et je m’en pose déjà assez à moi-même comme ça...*

Elle n’était pourtant pas folle. Elle ressentait bien une douleur entre les fesses, et elle attrapa un livre de mathématiques. Ce n’était guère aussi palpitant que de lire un thriller ou un roman quelconque, mais, à défaut d’avoir autre chose...

C’était toujours ça de pris.

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Encore une fois, Nanami s’amusa à la regarder, à la défier du regard, à la provoquer. Cette femme était insubordonnée, provocatrice... Et il y avait aussi autre chose, quelque chose qui étonnait Hikari, et l’inquiétait aussi un peu. Elle avait le sentiment que Nanami lui cachait quelque chose, qu’elle était liée à ce qui lui était arrivé hier soir dans la ruelle. C’était idiot, car la senseï n’avait rien qui ne puisse incriminer Nanami, mais l’idée lui traversa l’esprit... De manière inconsciente, comme une sorte d’intuition. Hikari n’arrivait toujours pas à s’expliquer rationnellement ce qui lui était arrivé, ou pourquoi elle avait terriblement mal aux fesses. Elle songeait à aller voir son docteur ce soir, et comptait l’appeler à la pause. Il fallait qu’elle comprenne ce qui lui arrivait. Peut-être une sorte d’allergie ? Hikari était une pure Japonaise, et, sans avoir jamais versé dans le mysticisme, elle croyait partiellement à ces théories sur les ondes négatives, sur le contexte, sur l’influence des autres, comme la pollution atmosphérique, et le fait que tout cela créait un contexte, un environnement qui ne soit pas pur, et qui puisse engendrer et provoquer des maladies.

Hikari ne s’attendait pas à ce que Nanami ait fait l’exercice, vu sa passion pour les maths... Et pourtant, elle se mit à écrire sur le tableau, après ce petit défi visuel, comme pour dire à Hikari : « Tu me crois pas cap’ d’y arriver ? Détrompe-toi, ma vieille ! » Hikari la laissa faire, et vit, à la fin, que cette dernière, non seulement avait trouvé la bonne réponse, mais aussi choisi le bon cheminement. En maths, l’important n’était pas de trouver la solution finale, mais comment on faisait pour la trouver. On pouvait ainsi se planter sur la réponse finale. Si le cheminement était bon, Hikari accordait quand même des points. Elle ne cherchait pas à être particulièrement stricte avec ses élèves. Tout ce qu’elle demandait, c’était qu’ils soient attentifs, et qu’ils fassent de leur mieux. Les brimer inutilement, même si c’était conforme à l’esprit élitiste japonais, ne faisait pas partie de ce qu’Hikari aimait faire.

« C’est très bien, Nanami... Merci beaucoup, tu peux retourner à ta place. »

Surtout, Hikari espérait qu’elle n’ait pas une sorte d’infection prolongée... Elle comptait aller à Fukushima, elle comptait poursuivre ses activités caritatives au service des autres... Il était impossible que sont rouble vienne du nucléaire, mais, quand on ne savait pas, l’esprit humain se mettait à imaginer tout type de réponse possible, même la plus absurde qui soit. L’esprit humain n’aimait pas le mystère, l’incompréhension, les questions laissées sans réponse, et avait besoin de rechercher une réponse face à une énigme qu’il ne comprenait pas. C’était ainsi que le cerveau fonctionnait, et c’est ce qui expliquait les formidables avancées technologiques et scientifiques dont les êtres humains étaient capables.

Après cet exercice, Hikari poursuivit la leçon, puis, après un petit exposé, leur demanda de réaliser un petit exercice, qu’elle écrivit au tableau. Curieusement, quand elle marchait, elle avait un peu moins mal... Ou, plutôt, la douleur s’exprimait de manière différente, en devenant supportable, plus accessible. Là, en restant sur place, la douleur s’accumulait contre ses fesses. Elle se hissa sur la pointe des pieds pour tracer à la craie des mots, puis se promena ensuite le long des rangs, afin de voir si ses élèves s’en sortaient...

...Ce qui, naturellement, l’amena à se rapprocher de Nanami et de Maki.

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Le geste avait échappé à Hikari, et son excuse, la première possible, lui semblait presque être plus censée que ce qu’elle avait vécu hier soir. Même maintenant, elle n’arrivait pas à comprendre ce qu’elle avait vécu, ni à savoir comment l’expliquer rationnellement. Est-ce qu’elle avait rêvé tout ça ? Elle savait l’effet placebo, et elle se demandait si elle n’était pas victime de ça, d’un phénomène similaire à celui que connaissait Argan, le malade imaginaire. Hikari savait la puissance de l’esprit, et elle savait que, quand l’esprit était persuadé, intimement convaincu, d’être malade, le corps pouvait se sentir malade. Les médecins appelaient ça l’effet placebo, car ils donnaient alors aux malades des médicaments fictifs, mais qui, dans la croyance du patient, servaient à le soigner. Hikari avait lu des études sur la question, fascinée qu’elle était par la psychologie... Elle ne s’attendait clairement pas à en être elle-même victime, et c’était sa théorie la plus probable.

La remarque de Nanami la surprit, non pas par sa grossièreté, mais par le fait qu’elle tapait dans le mille. Personne ne vit le regard surpris d’Hikari, car elle avait tourné le dos à la classe. Elle sentit les élèves rire, et ne sut pas comment réagir. La réaction la plus normale était de sanctionner Nanami. Sans son uniforme, elle pouvait théoriquement être exclue du cours. Même si Mishima avait une politique plus laxiste, le port de l’uniforme restait obligatoire, et la sanction sévère. Le Japon était un pays très conformiste, quelque chose contre laquelle Hikari essayait de se battre. Si elle avait dit ça à Nanami, c’était avant tout pour lui dire qu’elle pouvait tomber sur des professeurs plus stricts et plus sourcilleux du règlement... Et ce même si ce n’était pas la spécialité de Mishima. Néanmoins, ce que Nanami avait dit... En prendre plein le derrière. Simple hasard, ou... ?

*Non, c’est ridicule... Il n’y avait personne hier soir, personne dans cette ruelle... Tu te mets à délirer, Hikari ! Tu es comme tous ces gens qui, face à un phénomène qu’ils ne comprennent pas parce qu’ils en ont toutes les clefs, invoquent le surnaturel.*

Hikari faisait preuve de son esprit cartésien et rationnel. Il devait forcément y avoir une explication logique. Hikari se ressaisit rapidement, et se retourna, en restant près de son bureau. Elle évitait de s’asseoir, ce qui ne se verrait pas trop, car Hikari, quand elle faisait cours, aimait bien marcher.

« Okay... Nanami, puisque tu as envie de parler, je vais te laisser aller au tableau pour faire l’exercice de maths que je vous ai demandé de terminer chez vous hier soir. »

Elle ne faisait pas ça que pour la punir, mais aussi pour essayer de se rapprocher davantage de Nanami... Car Hikari n’aimait pas être en froid avec ses élèves. Certes, Nanami lui avait manqué de respect, mais, des deux, c’était Hikari la professionnelle, Hikari l’adulte. C’était donc à elle de prendre les chsoes en main, et d’amener Nanami à s’inclure dans le groupe, plutôt que de s’en exclure en restant dans l’opposition permanente.

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Se lever le lendemain matin fut presque aussi dur que retourner chez elle. Elle ignorait encore comment elle avait fait pour se relever. Son cul lui faisait atrocement mal, et, une fois chez elle, elle s’était rendue dans la salle de bains, avait observé ses fesses, et était toujours incapable de comprendre ce qui lui était tombé dessus. Hikari avait utilisé du Voltarène et de la pommade sur ses fesses, pleurant en gémissant, et avait eu bien du mal à marcher. Son cul lui faisait terriblement mal, et elle n’avait rien… Aucun saignement, rien… Mais c’était comme si on avait enfoncé quelque chose dans ses fesses, et elle en sentait toujours les marques. Hikari n’avait jamais entendu parler de ça. Elle passa une bonne partie de la soirée sur Internet, cherchant des explications scientifiques, mais ne trouvait absolument rien. Elle avait fini par s’endormir avec le cul endolori, et s’était réveillée le lendemain matin avec cette même souffrance. Grognant et gémissant, elle avait pris difficilement sa douche, le contact de l’eau chaude la faisant sursauter à chaque fois. Elle avait pensé à aller voir un médecin, bien sûr, mais, dans la mesure où elle n’avait rien, elle pensait que ce ne serait qu’une perte de temps…

Hikari prit le bus, un peu nerveuse, restant debout. Elle avait moins mal en étant debout plutôt qu’assise, et, le temps que le bus arrive au lycée Mishima, la douleur était un peu moins forte, l’enlaçant toutefois toujours un peu à chaque fois qu’elle marchait. Arrivant de bonne heure, elle se rendit en salle des profs, et, fort heureusement, personne ne sembla rien remarquer. On la salua, elle les salua en retour. Son premier cours avait lieu avec la classe d’hier… Nanami Seikyo. Curieusement, Hikari repensait à elle, et au dessin qu’elle avait déchiré. Dans la soirée, elle s’était même dit, pour essayer absolument de trouver une justification, que cette douleur était une punition de son inconscient pour avoir réagi si rapidement contre Nanami.

*C’est ahurissant, cette histoire…*

Nanami rejoignit sa sale de classe. La plupart des élèves étaient déjà là, discutant entre eux, et, quand elle entra, toutes les conversations se turent, les élèves s’alignant bien poliment. Hikari leur fit signe de s’asseoir, tandis que d’autres élèves, restés dans le couloir. Nanami et Maki fermèrent la marche, manquant à la plus élémentaire des politesses en refusant de la saluer. Au lieu de ça, Nanami la regarda. Hikari croisa son regard en clignotant des yeux, la vit se lécher les lèvres, puis s’éloigner en ricanant, suivie par Maki. Les deux femmes n’avaient pas leurs uniformes, et les hommes peinaient à ne pas loucher sur leurs corps, celui de Maki ayant un style punk qui suffisait à exciter ces jeunes mâles.

*Pourquoi est-ce qu’elle m’a regardé comme ça ?*

Qu’est-ce que ça voulait dire ? Hikari cligna lentement des yeux, puis s’approcha alors des deux femmes. Maki avait clairement pris de la drogue, mais la voir ici était, en soi, une bonne chose. Elle séchait fréquemment les cours, et ne semblait venir que pour fumer, et probablement s’envoyer en l’air. Hikari se rapprocha donc des deux femmes, et posa ses mains sur le bureau, puis les regarda.

« Nanami, je… Je suis désolée pour ce que j’ai fait à ton dessin hier… C’est vrai, tu n’aurais pas dû dessiner pendant mon cours, mais j’ai fait preuve du même manque de respect envers toi. Alors, je suis sincèrement désolée. »

Elle le pensait, Hikari étant trop naïve pour pouvoir mentir.

« Cependant, et je vais fermer les yeux pour cette fois, mais le port de l’uniforme est obligatoire. Si je vous y reprends, je devrais vous sanctionner. C’est idiot, mais les règles sont faites ainsi. »

Le regard d’Hikari se posa alors sur Maki, et elle soupira légèrement.

« Tu devrais aller à l’infirmerie, Maki, tu as vraiment mauvaise mine… »

Hikari s’écarta alors, et entreprit de revenir sur son bureau… Et tressaillit à un moment. Elle posa une main sur un bureau, en sentant une vive douleur remonter à partir de ses fesses, son autre main venant d’ailleurs s’appuyer dessus. Plusieurs élèves tournèrent la tête, surpris de voir leur senseï ainsi. Elle avait failli tomber, mais elle se releva rapidement.

« Je… Euh… Non, ce n’est rien, j’ai glissé sur un chausson en rentrant chez moi… Hem… Ne le répétez à personne, hein ? »

Hikari se rendit ensuite vers son bureau, et resta debout, évitant de s’asseoir.

« Je n’ai malheureusement pas eu le temps de corriger hier soir vos interrogations, j’ai eu des imprévus… »

Elle n’allait pas s’étendre là-dessus, mais certains élèves se regardèrent entre eux, surpris, étonnés.

« Est-ce que tu crois que… ?
 -  Harigato-senseï se serait fait péter le cul ? »

Les élèves de Mishima n’avaient malheureusement pas l’innocence qu’on pouvait faussement leur attribuer.

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Ce qui se passait ici était en train de défier la logique. C’était un pied-de-nez à la raison. Hikari soupirait et gémissait en se tortillant sur place. Une vive douleur entre ses fesses lui donnait envie de pleurer, mais elle sentait aussi ses tétons pointer sous ses vêtements. La senseï remuait sur place, le corps traversé par d’intenses et inexplicables sensations de plaisir Mais qu’est-ce qui était en train de lui arriver ?! Titubant sur place, Hikari soupira à nouveau, s’appuya contre le mur d’une main, et déboutonna le haut de sa veste. Elle avait terriblement chaud, les joues en sueur, et était en train de... De gémir ?! Mais qu’est-ce qui se passait ?! Est-ce que c’était une drogue qui flottait dans l’air ? Non, impossible... Aucune drogue ne pouvait produire aussi rapidement de tels effets, et surtout des trucs aussi curieux. Se tortillant sur place, Hikari sentait comme des mains palpant ses seins ou s’enfonçant dans ses fesses... Mais il n’y avait personne ! Personne d’autre qu’elle !

« Au... Au secours, quelqu’un... Haaa... ! »

Hikari soupira encore, et gémit à nouveau. Est-ce que c’était un fantôme qui venait de débarquer ? Hikari n’avait jamais été superstitieuse, mais les Japonais avaient toujours été plus enclins au mysticisme que les Longs-Nez. L’inconscient d’Hikari était en train de se dire que c’était la seule explication possible... Et, au même moment, les curieuses sensations disparurent. En soupirant longuement, la senseï se mordilla les lèvres. Elle avait terriblement mal aux fesses, et se toucha son derrière. Son derrière lui faisait mal... Mais il n’y avait rien dedans ! De plus, elle remarqua qu’elle avait ouvert sa veste, et déboutonné le haut de sa chemise, permettant de voir son soutien-gorge rose, avec les bonnets. Ses tétons étaient tendus, douloureux, et elle soupira.

La jeune femme secoua la tête, posant une main sur son front. Elle était incapable de comprendre ce qui venait de lui arriver, et elle entreprit d’avancer un peu. Hikari était épuisée, comme si elle venait de faire un sprint pour rattraper son bus sur le départ. Son postérieur, surtout, lui faisait atrocement mal, et, alors qu’elle commençait à reprendre son souffle... Une vive explosion frappa son sexe.

« HAAAA !! »

Hikari se dandina sur place en portant ses deux mains à hauteur de sa jupe. Quelque chose remuait en elle... Il y avait quelque chose, et rien en même temps ! Hikari conserva une main sur son sexe, et se mordilla furieusement les lèvres, les joues toutes rouges, venant s’appuyer contre le mur. Ses jambes chancelaient sur place, et elle tomba à genoux, en couinant, ne parvenant pas à retenir ses soupirs. Sa culotte était en train de s’humidifier. Si Hikari était vierge, elle n’était pour autant pas totalement ignare. Ça, ce n’était clairement pas de l’urine ! C’était un autre liquide, très différent, et beaucoup plus intime. Hikari soupira à nouveau, le plaisir éclatant dans son corps, vibrant et violent. Il la traversait totalement, la faisant soupirer longuement... Et elle finit ainsi par avoir un orgasme.

Quand cet orgasme arriva, Hikari était à genoux, et tomba sur les fesses. Sa main se crispa sur sa culotte, sur ses poils pubiens trempés, et sa tête heurta le sol, observant les étoiles. Elle finit couchée sur le dos, prostrée sur le sol. L’un de ses pieds heurta le mur, l’autre frappa une poubelle, l’envoyant s’étaler sur le sol.

« Haaaaannn... !! Haaaa... N-Non, haaaaa... !! »

Elle sentit ses lèvres s’humidifier, et ferma les yeux, en se dandinant sur place, remuant son bassin, avant de l’abaisser à nouveau, remuant comme un poisson sorti hors de l’eau. Elle continuait à gémir, et s’étala sur le sol. Hikari resta là, étalée, indécise, et aventura sa main sous sa jupe. Sa culotte s’était trempée, et ses jambes aussi. Elle apporta ses doigts. Ils étaient recouverts de mouille, et elle déglutit. Impossible de se méprendre sur ce qui venait de lui arriver : un orgasme. Comment ? Pourquoi ? Elle n’arrivait pas à comprendre. Ses joues étaient rouges, et sa chemise s’était totalement ouverte, Hikari l’ayant totalement déboutonné. Son soutien-gorge rose était visible depuis le toit, permettant de voir une belle poitrine pour une Japonaise. Elle n’avait pas des seins d’actrice pornographique américaine, mais une poitrine très agréable pour une Japonaise.

*Mais qu’est-ce qui vient de m’arriver ? Bon sang, mais qu’est-ce qui vient de se passer ?!*

Sonnée, elle entreprit de progressivement se relever. Ses fesses lui faisaient toujours mal, et quand Hikari se releva, elle sentit son postérieur la faire souffrir à nouveau.

« Haaa... Merde... ! »

Elle dut s’appuyer contre un mur en soupirant à nouveau, et commença à marcher, entreprenant de sortir de la ruelle pour retourner chez elle.

66
Alors qu’elle marchait dans la ruelle, prenant un raccourci pour retourner plus rapidement chez elle, Hikari se surprit à repenser à Nanami. À bien y réfléchir, Hikari avait été un peu stricte tantôt. Elle avait vu cette jeune fille dessiner en plein cours, et avait déchiré sa feuille rapidement, en lui disant qu’un cours de mathématiques n’était pas un cours d’arts plastiques. L’impulsivité de la jeunesse… En s’asseyant derrière son bureau, Hikari s’était dit que ce n’était pas très juste envers Nanami, car elle comprenait tout à fait qu’un cours sur les fonctions puisse être rébarbatif. Inconsciemment, Hikari avait sans doute libéré un peu de sa frustration sur cette jeune fille. Sa frustration d’avoir une carrière professionnelle décevante, sa frustration de ne pas pouvoir aider mieux que ça d’autres personnes, ou d’être coincée à Seikusu, dans un lycée de seconde zone et mal réputé. Elle avait voulu lui en parler après le cours, mais Nanami l’avait surprise, non seulement en la menaçant, mais aussi en lui léchant la joue. Hikari avait été tellement abasourdie qu’elle n’avait pas su quoi dire, et, le temps qu’elle revienne à elle, Nanami avait déjà disparu. Ce qu’elle avait fait était répugnant, particulièrement au Japon, un pays où le contact corporel était moins bien entendu que dans les pays occidentaux. Les politesses japonaises illustraient cela, puisque l’idée n’était pas de se serrer la main, comme dans les pays occidentaux, mais de faire une courbette, en signe de respect.

On lui avait bien dit que cet endroit était rempli de gens bizarres… Elle s’imaginait déjà raconter ça à ses amies… Les folles aventures d’une enseignante à qui on lui léchait la joue. Les amies d’Hikari, rencontrées à la fac’, étaient toutes dégoûtées du traitement réservé à la jeune femme, qui méritait bel et bien d’aller à la fac’. L’une de ses amies, une avocate, lui avait notamment proposé de poursuivre son directeur de thèse, persuadée qu’il était derrière cette histoire, mais Hikari ne se faisait pas d’illusions. Prouver ce genre de choses était impossible. D’autres amies lui proposaient régulièrement de profiter d’être à Seikusu pour baiser un coup, propositions qu’Hikari rayait rapidement de sa liste. Le sexe, en toute honnêteté, ne l’avait jamais tenté plus que ça. Oh, elle mentirait en disant qu’elle n’avait jamais parfois fantasmé sur les pectoraux d’un acteur américain, mais le fait est que, malgré son côté mignon, elle n’avait jamais réussi à avoir une relation durable ou même courte. Si des hommes lui tournaient autour, elle ne l’avait jamais vue, enfoncée qu’elle était dans ses études. Un « cas désespéré », selon d’autres copines, désespérant à l’époque de pouvoir inviter Hikari à flâner dans les rues d’Akihabara et à se faire sauter en toute joyeuseté.

*Pourquoi est-ce que je repense à Nanami, moi ?*

Elle secoua la tête, en se disant qu’elle allait tenter de lui parler demain, ou lors de leur prochain cours. Ce lèchement sur sa joue la perturbait, et elle revoyait encore en pensée la sourde menace de cette femme… C’était la première fois qu’un élève la menaçait, et elle savait que Nanami n’était pas vraiment une jeune fille sage et obéissante, plutôt une fille manquant de discipline, un garçon manqué. Hikari soupira à nouveau, et, alors qu’elle continuait à déambuler… Elle sentit quelque chose heurter ses fesses.

« Uuuuurrrrkk !! »

Qu’est-ce qui se passait ?! Hikari en lâcha son cartable, qui tomba sur place, et se raidit sur place, portant une main à ses fesses en bondissant, se retournant immédiatement. Personne… Pourtant, elle avait affreusement mal au cul, et soupira en se tortillant sur place, les joues rouges.

*Mais qu’est-ce que… ?!*

Que lui arrivait-il ? C’était comme si quelque chose était en train de s’enfoncer dans ses fesses, mais… Il n’y avait rien ! Absolument rien ! D’où venait donc cette douleur qu’elle ressentait ? Elle se dandina sur place en couinant à nouveau.

« Haaaaaaaaaaaaaa… !! »

C’était comme si elle avait envie de chier, mais que rien ne venait! Hikari grogna, et sentit ses lunettes sautiller le long de son nez. Elle se redressa rapidement, et inspira profondément. Quelque chose était en train de remuer en elle, mais elle n’avait rien !

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa… »

Mais qu’est-ce qui était en train de lui arriver ?!

67
Les alentours de la ville / L'étrange soirée d'Harigato-senseï [Nanami Seikyo]
« le: vendredi 28 novembre 2014, 01:59:34 »
« Maaaaaaaaaaaawww… »

Hikari étouffa un bâillement derrière sa main. Elle tenait avec son autre main sa sacoche, et venait de sortir du lycée. Le soleil commençait à se coucher dehors, et la jeune femme, malgré toute sa motivation et tout son entrain, était fatiguée. La journée avait été bien chargée. Elle avait fini ses cours depuis deux heures, mais avait dû corriger des copies, suite à un contrôle de mathématiques. C’était la saison, et c’était fatigant. Hikari avait fini par prendre ses copies avec elle, et rentrait maintenant chez elle, afin de finir les corrections. Elle avait un appartement dans un autre quartier de la ville, et, malheureusement, n’avait pas encore de véhicule. Ce faisant, elle était condamnée, soit à marcher, soit à prendre les transports en commun. Fort heureusement, le lycée Mishima était plutôt bien fourni, avec une station de tramway à côté et des arrêts de bus. Elle s’avançait donc le long de la rue, saluant de la tête quelques élèves qui la reconnaissaient.

Venant d’arriver depuis seulement quelques semaines à Seikusu, Hikari n’avait qu’un rêve : en partir. Ce n’est pas qu’elle n’aimait pas les locaux, loin de là, mais elle savait que le lycée avait une triste réputation, et elle avait toujours voulu enseigner dans de prestigieuses écoles… Voire dans d’autres pays. Plus elle se renseignait, et plus elle se disait qu’elle ne ferait pas de vieux os à Seikusu. La ville était une sorte d’impasse, et Mishima avait une très mauvaise réputation au sein du rectorat. Hikari savait qu’elle avait été envoyée là parce que son directeur de thèse ne l’avait pas aimé. Une sorte de vengeance à retardement, vicieuse et perfide. Il lui avait offert sa thèse, mais avec un boulot pourri derrière. Hikari était surdiplômée pour cette profession, mais il fallait bien trouver un moyen de payer les factures. Elle avait besoin d’un salaire, non seulement pour elle, mais aussi pour continuer à financer les différentes associations caritatives où elle était inscrite. Elle donnait notamment beaucoup pour un fonds associatif visant à aider les victimes du séisme de 2011. Des millions de ses concitoyens s’étaient retrouvés sans rien, à la rue, et le scandale ne s’était pas limité qu’à l’usine atomique de Fukushima. Beaucoup de Japonais avaient été escroqués par leurs compagnies d’assurance, et plusieurs associations avaient été fondées afin de les aider, de les accueillir, de les héberger, et aussi de les soutenir dans leurs démarches judiciaires. Hikari participait à ces mouvements associatifs, tant d’un point de vue financier (elle avait ainsi fait de nombreuses donations au Central Community Chest of Japan), qu’humain. Sans être juriste, elle avait aidé certaines personnes à rentrer en contact avec des avocats, et à constituer des associations afin d’attaquer en justice les charognards et les escrocs refusant de débourser leurs sous.

*Mon salaire de prof’ dans ce lycée ne me permet pas de les aider comme je le voudrais…*

Hikari venait de rejoindre le tramway en surface. Il était relativement désert, et, dehors, il faisait désormais nuit. Son esprit était embrumé par de tels soucis. La jeune senseï voulait aider son prochain, aussi fort que possible, mais la tâche était difficile. Elle bâilla à nouveau, et secoua la tête.

*Parfois, je devrais juste me détendre… Un bain, et tout ira mieux…*

Pour l’heure, elle passait surtout son temps à corriger des copies, mais sa notation était parfois assez sévère. De plus, elle ne supportait pas les bavardages en cours, et, même si elle s’efforçait de se faire passer pour une professeur avenante et sympathique, le fait est qu’elle manquait de patience, et qu’elle ne supportait pas les gamineries habituelles des collèges et lycées. En fait, elle n’était pas à sa place dans ce lycée. Elle voulait aller ailleurs, enseigner plutôt à la fac’, là où elle pourrait vraiment parler de choses sérieuses, comme critiquer le gouvernement, évoquer la place du nucléaire, définir le rôle que le Japon doit jouer le 21ème siècle… Autant de choses dont elle ne pouvait pas vraiment parler dans un lycée, et qui la frustrait.

Elle sortit du tramway, et continua à marcher, ses talons claquant sur le trottoir. Elle bifurqua dans une rue assez silencieuse, déserte, sans être loin de se douter que sa soirée ne serait pas comme les autres.

Pas du tout.

68
Salles de cours et bibliothèque / Rendez-vous prof/élève [Bran Warren]
« le: vendredi 22 août 2014, 21:22:59 »
Recevoir une élève dans une salle de cours, ce n’était vraiment pas quelque chose qu’Hikari aimait. Malheureusement, elle n’avait pas le choix. L’administration n’avait pas encore eu le temps de lui donner un nouveau bureau, et, à défaut d’avoir un bureau dans lequel recevoir cette jeune élève, Hikari Harigato avait eu le droit de la recevoir dans une salle de cours, une fois ces derniers terminés. Il était plus de 17 heures, et, après avoir travaillé toute la journée, la jeune professeur s’offrait une pause à la machine à café de la salle des profs’. Elle avait salué ses collègues, et rejoignait maintenant la salle, déambulant dans les couloirs. Tout en marchant, elle se disait que ce lycée était vraiment très agréable. Il était grand, les couloirs étaient propres, et elle avait été surprise du nombre d’adolescents que le lycée avait sous sa responsabilité. Il y en avait beaucoup plus que prévu, et, en conséquence, le lycée Mishima avait de nombreux clubs, et un nombre assez impressionnant d’activités extrascolaires.

L’élève qu’elle voulait voir était une jeune élève très douée, vu son dernier relevé scolaire, mais elle avait séché tous ses cours ! Hikari ne pouvait pas tolérer ça. Elle s’imaginait déjà le profil de cette jeune élève : une petite surdouée, qui se croyait trop intelligente pour suivre les cours. Hikari avait choisi de la convoquer, et elle avait son dossier scolaire sous le bras. Apparemment, la jeune Mélinda venait d’Europe, sa famille bénéficiant d’un manoir assez luxueux en hauteur. Une bourgeoise, avec un visage poupon et magnifique. Tous les garçons devaient lui courir autour.

*Il faut que j’en sache un peu plus sur elle...*

Peut-être que ses parents lui manquaient ? Son dossier scolaire précisait qu’elle était orpheline, et que c’était son grand-frère, Bran, qui en avait la responsabilité. Il ne travaillait pas, et bénéficiait d’une rente généreuse fournie par l’héritage de ses parents, dont le patrimoine avait été confié à un important cabinet d’avocats américain. Hikari ne pouvait pas savoir que cette information était complètement factice, et elle avait donc invité, non seulement Mélinda, mais aussi son représentant légal, le fameux Bran. Les deux étaient beaux comme des diables.

La jeune femme, elle, portait son gilet rose et sa minijupe noire, et elle espérait bien que l’entrevue serait courte. Bran lui dirait qu’ils voyaient tous les deux, sa sœur et lui, un psychologue, qu’elle était désolée, et qu’elle ferait tout son possible pour venir en cours et être plus assidue. Elle avait une adorable petite tête d’amour, comme si elle était l’innocence incarnée. Hikari se pressa donc, soucieuse de ne pas les faire attendre trop longtemps, et termina son café en approchant, le jetant dans une corbeille le long du couloir. Elle rentra ensuite dans la salle de cours.

Mélinda était là, dans son uniforme scolaire, assise, le dos bien droit, et Bran était assis à ses côtés. Il portait une élégante veste avec un débardeur blanc et un pantalon en cuir, et Hikari leur sourit en se penchant vers eux.

« Pardonnez-moi pour mon retard, Warren-san, j’ai eu une longue journée. Je vous remercie d’avoir accepté de m’offrir un peu de votre temps. Je suis Harigato-sensei, et je suis la professeur de mathématiques de votre sœur. »

Son ton était poli et courtois, et elle s’assit sur son fauteuil en cuir, croisant rapidement les jambes.

« Je vous ai convoqué, car, venant de commencer mon poste depuis une semaine, j’ai déjà assuré deux cours de mathématiques avec votre classe... Et votre sœur n’y a jamais participé. »

69
Prélude / Re : Hikari Harigato [Valimutée]
« le: vendredi 22 août 2014, 19:55:24 »
Merci beaucoup, belle Modératrice.

*Lui donne un bon point pour la remercier*

Merci pour votre message de bienvenue, Silence... Mais votre avatar me fait un petit peu peur.

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Prélude / Re : Hikari Harigato
« le: jeudi 21 août 2014, 23:49:51 »
O___O !!!

Non, mais ça va pas bien la tête de dire des trucs pareils ?! Des enfants pourraient entendre et être choqués è____é

*La frappe à la tête avec une pile de dossiers scolaires*

Tu m'écriras MILLE FOIS la phrase suivante : "Je ne dois pas dire de méchancetés envers mes professeurs, car c'est très irrespectueux".

Allez, note !

71
Prélude / Re : Hikari Harigato
« le: jeudi 21 août 2014, 23:33:25 »
Je pars du principe que la vie est une perpétuelle formation.

Merci :)

Lucrezia, ce n'est pas bien de menacer des professeurs :o Continuez comme ça, et je me verrais dans l'obligation de vous punir !

72
Prélude / Re : Hikari Harigato
« le: jeudi 21 août 2014, 20:04:07 »
Merci à vous pour vos messages de bienvenue, c'est gentil :)

Lucrezia, j'ai une voiture pour rentrer chez moi. Il n'y a que dans les films que de jeunes femmes se déplacent toutes seules dans des ruelles la nuit.

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Prélude / Hikari Harigato [Valimutée]
« le: jeudi 21 août 2014, 13:50:11 »
Nom/Prénom/Surnom : Hikari Harigato

Âge : 26 ans

Sexe : Femme

Race : Humaine

Orientation sexuelle : Elle se croit hétérosexuelle, mais elle ne l’est pas.

Description physique : Hikari est une belle jeune femme, avec une silhouette fine et élégante. Elle a de longs cheveux bruns, qui sont un héritage de sa mère, ainsi que de beaux yeux bleus, qui proviennent également de sa mère... Tout comme sa silhouette svelte, ses longues jambes fuselées, sa voix douce, son rire cristallin et enfantin. De son père, elle a hérité de sa myopie chronique, si forte qu’Hikari est obligée de porter continuellement des lunettes. Elle arbore des lunettes rondes, qui vont avec son visage poupon. Hikari ne s’est jamais réellement rendue compte de sa redoutable beauté. Ne faisant pas son âge, on la prend encore volontiers pour une adolescente, ce qui fait que les gens ont parfois tendance à la couver.

Depuis qu’elle a connu Tokyo, Hikari se maquille légèrement, notamment au niveau de ses ongles. Ce maquillage reste toutefois extrêmement surfait. Elle a également, depuis Tokyo, un confortable gilet rose qui lui tient chaud, et qu’elle porte fréquemment.




Caractère : Incarnation de la femme parfaite, Hikari est une jeune surdouée, passionnée de mathématiques, qui provient d’un environnement pauvre. Fille de fermiers, elle a le cœur sur la main, et ne supporte pas les injustices, la pauvreté, et la hausse de la pollution. Elle est volontiers militante, en ce qu’elle a déjà manifesté à Tokyo à plusieurs reprises contre l’instauration du nucléaire au Japon, et, ancrée dans l’ère numérique et le Web 2.0, elle entretient régulièrement un blog dans lequel elle livre ses analyses politiques, ainsi que ses sentiments. Elle y critique ouvertement la politique d’Abe sur la politique sécuritaire, la présence trop forte des Américains sur le territoire japonais, se revendique d’une certaine forme de souveraineté, et critique également la Chine, qu’elle perçoit comme le grand rival du Japon, et son ennemi suprême. Elle a parlé d’une « nouvelle guerre froide mondiale en gestation » pour désigner les tensions sous-jacentes entre le Japon et la Chine.

Titulaire d’un doctorat obtenu à l’âge de ses 25 ans dans la prestigieuse université de Tokyo, Hikari est une femme très intelligente. Outre ses activités sur son blog, elle fait également quelques donations pour des associations caritatives, et, en tant qu’étudiante, a travaillé bénévolement dans plusieurs ONG et autres associations afin de venir en aide aux défavorisés et aux plus démunis, notamment durant le tsunami de Mars 2011 qui a ravagé la côte Pacifique du Tōhoku, et qui a eu un retentissement planétaire. Elle a travaillé dans les camps de réfugiés qui ont été dressés, en oubliant totalement ses études, ce qui fait qu’elle a presque perdu une année, mais sans aucun regret.

Élevée dans la plus pure tradition confucéenne, Hikari s’est toujours sacrifiée pour les autres, notamment en venant sa grande sœur handicapée dès son plus jeune âge. Elle est intelligente, douce, et très timide. N’ayant jamais réussi à s’affirmer, elle souffre d’un manque de confiance, et a cette tendance naïve à croire que tous les individus sont fondamentalement bons, et que personne ne voudrait lui faire de mal.

Ayant toujours aimé les sciences, Hikari a toujours eu un esprit très cartésien et très scientifique, ce qui fait qu’elle a toujours brillé dans ses études, et est ainsi professeur de mathématiques.
   
Histoire : Hikari Harigato est née dans la Japon profonde, celle de l’envers, celle des longues campagnes et des petits villages agricoles. Elle a grandi dans les profondeurs d’Hokkaidō, avec des parents qui étaient occupés l’essentiel de leur journée dans une rizière, principale source de revenus économiques du village. Hikari était la deuxième fille de cet heureux couple, mais appauvri. Chaque hiver, la mousson ruinait leurs cultures, et la famille devait se serrer les coudes. L’enfance de Hikari s’est faite dans le froid, avec une chaudière fréquemment en panne, et avec la visite fréquente de créanciers et d’huissiers de justice poursuivant la famille pour des impayés. Cette enfance fut d’autant plus difficile que les maigres bénéfices de la famille étaient engloutis dans les frais hospitaliers et médicaux de sa grande sœur, Honoka, qui était autiste. Les parents d’Hikari travaillant parfois plus de dix heures par jour, la jeune fille devait ainsi s’occuper de sa grande sœur, naviguant entre elle et l’école.

On pourrait croire que l’enfance d’Hikari fut difficile, mais la réalité est plus nuancée. Les pauvres étant plus généreux que les riches, même à Noël, Hikari avait droit à des cadeaux. Honoka, elle, fut placée dans un centre médicalisé, et Hikari allait souvent la voir avec ses parents. La jeune femme travaillait beaucoup chez elle. Ses parents voulaient qu’elle aille à l’école, et elle était si douée qu’elle devint assez rapidement la professeur locale pour tous les enfants des fermiers qui étaient scolarisés, leur donnant des leçons dans la grange de la ferme. Constatant ses résultats exceptionnels, l’établissement scolaire fit passer à Hikari une série de tests de QI, qui permirent de voir qu’elle avait un QI élevé.

Elle quitta son village pour le lycée. Normalement, tous les enfants locaux arrêtent leurs études, car ils sont appelés à reprendre les fermes de leurs ainés. Connaissant le potentiel de leur fille, ses deux parents l’encouragèrent à poursuivre ses études dans l’un des lycées les plus cotés de la préfecture, celui où elle avait les meilleures chances de se faire remarquer. Malheureusement, leur village étant trop éloigné de ce lycée, ils durent payer des frais supplémentaires pour qu’elle rejoigne le dortoir de ce lycée coté. Criblés par les dettes, ils durent vendre leur unique voiture pour avoir de quoi payer les frais de scolarité d’Hikari. Son père, Aiji, n’avait cessé de lui dire que le rôle d’un bon père de famille était de se sacrifier pour cette dernière, et qu’il ferait tout pour que sa fille puisse étudier tranquillement.

Travaillant d’arrache-pied, Hikari devint sans réelle difficulté la première élève du lycée. Elle passa le test Sentā, un test dispensé par une organisation administrative indépendante à la fin du lycée, et qui, au Japon, fait office de Bac. Ce test a pour vocation de servir de base pour les universités dans leur recrutement. Il se déroule au mois de Janvier, s’étalant sur toute une semaine, mais durant deux jours. On dénombre un total de 29 tests répartis dans six sujets : l’éducation civique (100 points), la géographie et l’Histoire (100 points), la littérature japonaise (200 points), les langues étrangères à l’écrit (200 points) et à l’oral (50 points), les sciences naturelles (300 points), et les mathématiques (200 points). Hikari obtint un score total de plus de 1 000 points, avec plus de 180 points en mathématiques. Les universités s’arrachèrent son dossier, et Hikari finit par rejoindre la Tōdai, la prestigieuse université de Tokyo. Quand Aiji l’apprit, il pleura de joie, et assura à Hikari qu’elle était sa plus grande fierté. Elle aurait pu devenir une grande chercheuse en mathématiques, travailler dans des laboratoires privés très importants, mais le choix d’Hikari, depuis qu’elle enseignait à de jeunes enfants dans sa grange, était de devenir professeur. Elle voulait commencer par travailler dans un lycée, puis, avec le temps, finir maître de conférence et professeur d’université.

Elle réussit à obtenir son doctorat avec une thèse très réussie sur les mathématiques, et avait alors les moyens de rejoindre les plus prestigieux lycées de Tokyo ou de Kyoto. Malheureusement pour elle, son directeur de thèse était secrètement jaloux d’elle, car elle était plus intelligente que lui, et surtout de sa fille. Il usa de son influence et de ses relations pour qu’Hikari se retrouve affectée au lycée public de Mishima, à Seikusu, une ville appartenant à la préfecture de Kyoto. Mishima était réputé pour être l’un des pires lycées du Japon, en raison de ses démêlés judiciaires avec des associations de parents d’élèves, et de sa réputation d’être un baisodrome sordide et infect.

Situation de départ : Vierge

Autres : Hikari n’a aucune particularité spéciale.

Comment avez-vous connu le forum : Par le biais d’une amie qui veut me violer

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : En faisant la pom-pom girl !

RPs

1°) Rendez-vous prof' / élève [Bran Warren] [EN COURS]
2°) L'étrange soirée d'Harigato-senseï [Nanami Seikyo] [EN COURS]
3°) Corruption & Tentation [Jeremiah Spencer] [EN COURS]

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