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Les terres sauvages / Re : Zerrikania (Tome II) [Nümba]
« le: mardi 25 octobre 2016, 13:11:54 »
Alors que le convoi progressait et sortait du canyon, une brume épaisse sembla les attendre de pied ferme. C’était la dernière étape avant de rallier Zerrikania. La foret dont la Reine était persuadée qu’elle contenait des réponses. S’il paraissait évident qu’elle en contenait, Nümba venait parfois à se demander si le risque n’était pas peut-être trop grand par rapport à ces fameuses réponses. Et si, tout ceci, n’était en fait qu’un grand traquenard pour attirer la Reine ici ? On était en droit de se poser tout et n’importe quoi comme question. Pourtant il fallait garder espoir et faire confiance à Elena, qui rarement avait prise des décisions stupides. Quoiqu’il en était, la druidesse était là et ce malgré un silence quelque peu pesant, surtout à cause de cette brume.

En vérité, quelque chose provoquait ce silence chez la druidesse. L’approche de la forêt maudite. Son être, chacune de ses cellules commençaient à ressentir l’orée de la malédiction reposant sur Zerrikania. C’était une sensation pour le moment éphémère, qui allait et venait. Mais une sensation que Nümba ressentait. Une sensation légère mais désagréable, suffisamment pour la perturber. Qu’est-ce que cela serait une fois en plein dans la jungle … Elle préférait ne pas y penser. En acceptant de venir épauler son amie, elle avait pleinement accepté le danger que cela représenterait, notamment pour elle-même. Les druides faisaient partie des êtres qui sont les plus sensibles à la malédiction de Zerrikania. Nümba était juste confiant quant au fait qu’elle y résisterait.

Rien qu’un simple regard envers Elena parvint à l’apaiser, alors que le cortège se dirigeait maintenant vers un ranch. Malgré cela, l’inquiétude et un début d’angoisse se lisaient dans les yeux de la guérisseuse, même si elle tentait de le masquer pour ne pas troubler sa Reine encore plus qu’elle ne l’était. Le convoi finit par pénétrer au sein du ranch, et on ne pouvait pas dire que l’atmosphère y était plus réconfortante. Tout ici était à la limite du lugubre, du moins c’était ainsi que Nümba le ressentait. Influence de Zerrikania ou non, on ne pouvait pas dire que cet endroit était accueillant. La guérisseuse, quelque peu anxieuse, finit par déplacer sa main vers celle d’Elena et l’attrapa doucement, la serrant dans la sienne pour simplement … Se rassurer. Tenir Elena par la main était le plus doux et le plus efficace des calmants pour la druidesse.

Elle tourna sa tête vers la monarque, puis lui offrit un petit sourire, malgré tous ses troubles. « Tu vas bien ? » Lui demanda-t-elle alors, tout simplement.

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Les terres sauvages / Re : Zerrikania [Nümba]
« le: dimanche 14 août 2016, 16:55:24 »
Au lendemain matin, les petits ennuis et les tracas de la journée passée semblaient s’être envolés comme par magie ! Cela était sans doute largement dû par la nuit d’amour qu’avaient passé Elena et Nümba ensemble. Cette nuit fut si magique, si belle … Elle constitua un des plus beaux souvenirs de la druidesse. Cette nuit-là, sa reine l’avait fait rêvé, au sens propre du terme. Elle avait été si merveilleuse ! Elle donnerait cher pour qu’elle puisse un jour revivre la même chose, mais le moment était à présent à autres pensées. Si la matinée fut passée en douceur par des préparatifs au départ de sa Majesté, et à son petit-déjeuner, elle fut aussi passée moins en douceur pour les autres. Entre la planification de l’itinéraire et les inquiétudes quant à frôler la foret Brokilone, où Dryades et druides cannibales y vivaient, et les inquiétudes quant à la sécurité de la reine … Il y avait un monde.

Au milieu de tout cela il y avait Nümba, qui tenait à conserver une bonne humeur en restant son dernier beau souvenir ; Elena. La journée avança un peu et voilà que le cortège quitta à présent l’enceinte d’Altenberg. On entendait les gens acclamer la Reine, lui souhaiter longue vie et autre. Cela faisait extrêmement plaisir de voir qu’en province, au moins, on respectait la dernière héritière des Ivory comme cela devrait être le cas partout. Quand Elena sera devenue plus mature, et qu’elle aura fait ses preuves, les gens regretteront de l’avoir autant remise en cause. Elena était une pure Ivory, descendante du Lion ! Comment les gens pouvaient autant remettre en doute sa qualité de monarque ? C’était tout simplement que ces mêmes gens, prétendant aimer l’ancien roi, étaient en fait hypocrites. Parfois Nümba venait à penser de la sorte, même si quelque part, c’était mal.

Le cortège partit donc, et après que la douce Reine eut finit avec son peuple, elle se retourna vers sa guérisseuse. Toujours là, toujours à ses côtés, Nümba lui sourit doucement et serra un peu cette main qui se posa sur la sienne. Les déclarations de son amie la firent sourire et l’amusèrent même un peu. Elle porta doucement sa main à ses lèvres en déposant un respectueux mais court baiser dessus, puis la regarda de manière faussement répréhensive. « Hm, il va falloir que tu comprennes un jour que c’est mon devoir d’être là, ma Reine ! » Lui dit-elle sous forme de taquinerie, en souriant. « Mais c’est un devoir que je fais avec le plus grand des plaisirs … » Ajouta-t-elle alors, signifiant simplement qu’elle était là car c’était avant tout son choix, plus que son devoir. Elena était une femme extraordinaire et très polie en plus de cela. Elle remerciait beaucoup Nümba, et même si celle-ci se sentait quelque part gênée car elle estimait que c’était naturel d’être là, elle prenait toute l’ampleur de la gratitude de sa reine.

Après cette nuit, la druidesse avait senti un changement. Le fait qu’elle ait fait l’amour à Elena, qu’elles se sont mutuellement ouverte l’une à l’autre, avait changé quelque chose. Ça les avait beaucoup rapprochés, et à présent, Nümba était passée au-dessus de cette petite barrière qui la faisait encore vouvoyer Elena. Même si elle faisait ça par pur respect, cela constituait une barrière dans la mesure où Elena, elle, la tutoyait. À présent Nümba était suffisamment rassurée, et s’était mise à tutoyer sa reine. Une chose était sûre ; après cette nuit, Elena et Nümba étaient plus proches qu’auparavant … « Ça fait plaisir de voir que le peuple t’apprécie, en province. Tu es leur Reine et ils t’aiment au moins autant qu’ils te respectent … C’est beau à voir et à entendre. » Lui dit Nümba de sa douce et belle voix. Bien entendu, Nümba était la première personne de son peuple à l’adorer et à la respecter !

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Les terres sauvages / Re : Zerrikania [Nümba]
« le: dimanche 26 juin 2016, 20:07:00 »
C’était à se demander s’il n’existait pas un réel lien connectant sa majesté Elena et l’humble druidesse qu’était Nümba. Pas un lien physique, mais un lien psychologique. Ce qui poussait à cette réflexion était l’état des sentiments qu’elles se portaient l’une envers l’autre. Quand on regardait à quel point Nümba débordait d’amour et d’affection pour cette femme, sans pour autant qu’elle en soit amoureuse, c’était à se poser des questions. La vérité était que la guérisseuse avait un puissant amour profond et sincère pour sa reine, qui s’apparentait réellement à de l’amour maternel. Pas exactement, car jamais elle ne pourrait aimer Elena autant que sa vraie mère ne l’a aimé de son vivant, mais suffisamment pour lui permettre de donner sa vie s’il le fallait. Et suffisamment pour ressentir des choses spéciales.

Comme par exemple ses peines et ses douleurs, autant que ses joies. Quand Elena était heureuse, Nümba l’était. Quand elle se sentait moins bien, même si elle tentait de le cacher, Nümba le sentait aussi, et elle partageait son état. À la manière d’une mère, sans l’être pour autant. La druidesse avait bien trop de respect envers la défunte mère de la reine pour oser ne serait-ce que penser qu’elle pouvait être sa mère de substitution. Être l’amie de cette femme était déjà un grand bonheur et une chance inestimable, alors mieux valait ne pas trop en demander. Toutefois, si Nümba par égard à Elena et à la mémoire de sa mère se refuser à penser de telles choses, cela ne l’empêchait nullement d’agir. Elle protégeait et veillait sur elle continuellement. Elle se souvenait, à titre d’exemple, toutes les nuits blanche passés au chevet de sa reine car celle-ci était malade, et avait besoin de soin et de soutiens. Elle n’était pas sa guérisseuse pour rien après tout, et c’était dans ces moment-là où Nümba exprimait toute sa dévotion envers Elena.

Cela passait aussi par des moments plus joyeux, comme celui qui venait de passer. Elles venaient de faire l’amour, réellement, pour la première fois. Quel honneur, quelle chance, quelle … Grâce venait d’accorder Elena à Nümba. Jamais elle n’oublierait cette nuit exceptionnelle, et jamais elle n’oublierait que sa reine lui à confier sa première fois. C’était à présent inscrit en elle, et Nümba saisissait toute l’ampleur de la chose. Ainsi donc elles avaient fait tendrement l’amour, et étaient à présent fatiguées. Une longue journée les attendait demain, mieux valait donc profiter du reste de la nuit pour se reposer. Surtout que Altenberg était leur dernière escale confortable. La reine se lova contre son amie, posant doucement sa tête au creux de sa poitrine, se laissant doucement enveloppé des bras de Morphée. Nümba aussi était fatiguée, et le sommeil commença à la prendre à son tour. Elle enveloppa son amie avec ses bras, légèrement pour ne pas la gêner, et déposa un dernier et léger baiser sur sa tête.

« Je le serai toujours, Elena … Je te souhaite une bonne nuit. » Lui dit-elle du bout des lèvres, avant qu’elle aussi, succombe lentement, doucement, à l’appel du sommeil. Quoi de plus apaisant, pour le corps comme pour l’esprit, que de dormir avec Elena dans les bras. Une Elena se reposant doucement, dont la beauté était encore plus saisissante en cet état. Il suffisait de pas grand-chose pour être heureux, et pour Nümba, il lui suffisait d’être aux côtés de sa reine, tout simplement. Elena était … Toute sa vie, et elle le serait jusqu’à la fin.

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Les terres sauvages / Re : Zerrikania [Nümba]
« le: lundi 06 juin 2016, 16:00:05 »
Nümba avait ressenti tellement de bien au moment de sa délivrance … Ca avait été à peine croyable ! Elena, pourtant débutante, était parvenue à lui faire un bien fou. Elle s’y était prise de façon à la faire jouir rapidement, et généreusement. Si ça c’était pas une preuve que notre reine ne serait pas plus tard une as au lit … Même si, ça n’allait qu’être un détail de sa vie. Mais il était admis qu’un monarque, homme ou femme, soit en général le ou la plus terrible des amant(e) au lit. Nümba n’en avait à présent aucun doute, et c’était avec un large sourire qu’elle regarda Elena, qui se redressa d’entre ses cuisses. La reine partit rejoindre Nümba à son coté, s’allongeant alors sur son flanc. La druidesse en fit de même, se retrouvant ainsi en face de sa tendre amie. Elle ne dit rien face à sa première phrase, se contenant de sourire chaudement.

Elena s’allongea normalement après, et à nouveau, lui fit part de son état d’esprit. Cela toucha énormément Nümba de savoir qu’Elena se sentait heureuse avec elle, car c’était, au fond, tout ce qu’avait toujours désiré la jeune femme. Rendre heureuse Elena … Etre son amie, sa confidente … Et son amante, désormais. Face à de tel compliments, la druidesse en aurait pu laisser couler une larme, elle était après tout une femme très sensible … Mais en lieu et place, elle sourit, chaudement, avant de déposer un baiser affectueux sur le front de son adorable reine. « Je suis tout autant chanceuse et heureuse d’être à tes côtés, Elena … Tu es la plus belle des choses qui m’est arrivé dans la vie. Je suis encore toute flattée et … Honorée, sincèrement, que tu m’ai accordé ta première fois. Ça représente beaucoup … Et j’en estime toute la valeur. » Lui dit-elle alors.

Nümba décida alors de s’allonger à son tour, mais pas sans se blottir à son amie. Sa chaleur lui manquait déjà. Ainsi, la druidesse se baissa un peu afin de se mettre à hauteur du cou d’Elena. Puis elle se blottit à elle, venant reposer sa tête près de son cou. Elle partit chercher la main gauche d’Elena avec la sienne, et la saisit tendrement, croisant ses doigts avec les siens. « Je t’aime … » Lui murmura-t-elle alors, déposant un délicieux et terriblement affectueux baiser sur la joue, puis un deuxième … Avant de la regarder tendrement, puis de lentement venir approcher ses lèvres près des siennes. Après que les souffles se soient rencontrés, la druidesse parcouru les derniers centimètres les séparant de sa reine, venant alors sceller ses généreuses lèvres aux siennes.

Nümba tenait à partager ce dernier baiser avec son amie, et elle tenait à ce qu’il soit le plus doux, le plus savoureux et le plus … Profond, que possible. Ainsi, les lèvres se choyaient entre elles, et les langues s’éprenaient d’un amour des plus fous, prenant tout leur temps pour se câliner et s’aimer. La druidesse n’avait de cesse de raffoler du gout de ces lèvres, ou de cette salive. Ce n’était pas pour rien qu’elle se sentait accro aux baisers d’Elena … Car ceux-ci étaient les plus beaux et les plus savoureux. Tout simplement. Même ceux d’Adamante n’arrivaient pas à ce niveau … Et pourtant, on savait toute l’affection que portait Nümba à l’égard de la magicienne.

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Les terres sauvages / Re : Zerrikania [Nümba]
« le: dimanche 01 mai 2016, 14:33:58 »
La druidesse ne pensait que pas que son amie s’en sortirait aussi bien, dès le premier coup. À vrai dire c’était une très agréable surprise ! Cela montrait qu’inconsciemment, Elena avait beaucoup retenu de son précédent ébat avec elle. Ou de ses précédents ébats tout court. En tout cas Nümba subissait avec délice les assauts de son amie, qui était venu s’occuper de sa féminité. Ses doigts fusèrent tendrement en elle, remuant dans cette antre chaude et tendre. Sa langue finit par s’inviter à la partie, renforçant ainsi le geste. Plus le temps passait, plus effectivement Nümba la sentait devenir confiante, et ses gestes étaient plus assurés. Ce qui était formidable … Elle apprenait vite. Succions, léchouilles, doigté, Nümba fut très surprise, et bien surprise, de voir la Reine déployer autant de choses rien que pour la faire jouir. Elle s’était attendu à ce que Elena en fasse le minimum, mais là … Elle déployait certain moyen, quand même.

« Ohhhh Elenaaa … » Couina alors la druidesse, dont les doigts se crispèrent dans la chevelure de sa terrible amante. Ses muscles commencèrent à se bander un à un, face au terrible effet que lui procurait le traitement de la Reine. Sensiblement, elle pressa sa tête pour encore plus la caler contre elle. Pour l’inciter à la doigter et à la lécher d’avantage, tellement ceci lui faisait du bien. Elle sentait des papillons commencer à virevolter, et c’était un excellent signe … Décidément Elena ne cesserait de la surprendre. Sa petite langue taquine était la chose qui lui faisait le plus d’effet ! Bon sang, la façon dont elle l’immisçait en elle, dont elle jouait avec pour presser et se lover contre sa chair intime … Elena était en train de faire grimper notre druidesse assez rapidement. Et c’était une petite prouesse pour une supposée débutante !

(Haann … Elle va me faire jouir …) Pensa alors Nümba, constatant par elle-même que son corps réagissait très bien à la dévotion d’Elena. La sentir se frotter contre, la sentir se lover, déployer force et énergie rien que pour la faire jouir, avait quelque chose d’incroyablement jouissif. Les défenses de la druidesse n’allaient pas tarder à céder. Bien que, elle ne tentait nullement de résister à Elena. C’était juste les défenses innées de son corps. La Reine ne s’en rendait peut-être pas compte mais, elle dépassait les espérances de la druidesse. Elle suçait son sexe et le fallait de telle manière qu’il était impossible pour la guérisseuse de ne pas céder. Se mordiller la lèvre à plusieurs reprises, au milieu de ses nombreux gémissements, elle commença à sérieusement se crisper après de longues minutes. « Haaaann, ouiii … Haaaaaaa !!! » Couina-t-elle, pressant malgré elle d’avantage le visage de son amante contre elle, désirant la sentir encore plus fort s’enfoncer dans son corps.

Puis, ce qui devait arriver arriva. Dans un dernier élan, dans un dernier souffle, Nümba s’abandonna complètement, sa mouille éclatant ainsi au visage de sa bien-aimée. « Haaaaaaannnn !!! » Gémit-elle, laissant parler alors son plaisir et sa jouissance … En pleine face d’Elena. La Reine voulait la faire jouir, et la Reine … L’avait faite jouir, tout simplement ! Elle était suffisamment habile pour y parvenir, et la preuve en était là. Nümba sentit une délivrance, un extrême plaisir quand sa mouille fusa et que les milliers de papillons qui virevoltèrent en bas, s’échappèrent. Elle poussa un long soupir d’aisance, les muscles encore un peu tremblotants, avant de se redresser un peu, se mettant sur ses coudes. « Eh bien ! Wouah, c’est … Tu apprends vite ma chérie … » Lui dit-elle avec un large sourire, sa poitrine montant et descendant lourdement pour reprendre son souffle.

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Les terres sauvages / Re : Zerrikania [Nümba]
« le: vendredi 15 avril 2016, 14:15:26 »
La druidesse était si fière d’être, aux côtés d’Adamante, une institutrice sexuelle ! En désirant simplement passer un moment intime et passionné avec son amie Elena, elle s’était improvisée éducatrice et sous couvert de sa bonne formation, avait demandé à l’intéressée de passer à l’action. C’était à la fois un moyen pour se faire plaisir, et pour instruire Elena. Une femme comme elle, une Reine de son acabit, se devait d’être, à terme, parfaite au lit. Si elle n’apprenait qu’à recevoir, elle n’allait jamais savoir comment donner. Et comment parfois, cela faisait un bien fou de donner ! Comme par exemple Nümba qui prenait encore plus plaisir à donner à Elena qu’à recevoir. Cela ne voulait pas dire qu’elle n’allait prendre aucun plaisir aux attentions de son amie, mais que l’échange n’était pas le même.

Mais, ceci n’était qu’une excuse. Car la réalité était que Nümba désirait simplement passer un bon moment avec Elena, sa précieuse et douce Elena … Qui accepta le défi. Elle posa délicatement ses mains sur les épaules de la druidesse et la fit s’allonger sur le dos. Elle ne dit plus rien, laissant la jeune fille prendre ses aises et ses marques comme elle l’entendait. La monarque se plaça à califourchon et caressa le doucereux corps de la guérisseuse, qui se mordilla doucement une lèvre en dévorant Elena du regard. Elle soupira un rire doux en entendant le compliment de la reine, puis ressentit un délicieux plaisir en sentant les lèvres d’Elena se poser sur son corps. Apparemment, elle aussi aimait gouter à la peau de sa partenaire, et ce fut pour cette raison qu’elle embrassa chaudement le cou de Nümba.

Le cou, une zone plutôt sensible chez elle, surtout quand c’était Elena qui l’embrassait. Elle sourit doucement, puis observa en tout plaisir son amie qui descendait progressivement, tout en baisers, le long de son corps. Chaque fois que ses lèvres s’apposaient sur sa peau, sa chaude et très douce peau, la druidesse ressentait un certain plaisir. Nümba était très sensible aux baisers, et ce d’autant plus quand la reine embrassa son ventre. « Hmhm … » Ria alors légèrement Nümba, appréciant fortement le contact des lèvres de son amie sur cet endroit. La druidesse était très … Chatouilleuse par ici et heureusement que Elena ne s’y attarda pas, même si c’était agréable et mignon ! Car elle aurait vu une Nümba partir en crise de rire.

Cependant, la reine opta alors pour descendre encore d’un étage, et finit devant la fine ligne intime de son amante. Sur son bassin elle sentit les mains de son amie se poser, puis son souffle chaud percutant contre sa féminité. Elle s’en mordilla la lèvre et décida de caresser délicatement ses cheveux, posant une main dans sa luxuriante chevelure. Elle gratta doucement sa tête, se délectant de ce qu’elle était en train de lui faire. « Humm … » Gémit-elle alors doucement, surtout quand les lèvres d’Elena finirent par se poser sur sa féminité. Un baiser pile sur son sexe, qui la fit toute chose. Une très agréable sensation, qui commença un peu à la stimuler. Elena ne s’arrêta pas en si bon chemin et multiplia les baisers, jusqu’à immiscer alors sa langue, écartant ainsi les parois intimes de la druidesse. « Ohhhh … Continues ma chérie … Hmm … » Couina alors Nümba qui sentit un pic au moment où les parois de son sexe furent écartés par la langue intrépide de la reine.

Pas de doute, Elena se débrouillait bien ! Sa langue faisant énormément de bien à la druidesse dont les doigts se crispèrent doucement dans la chevelure de son amie. Ses jambes se resserrèrent un peu, alors que tous ses muscles se bandèrent doucement un à un, face au somptueux traitement d’Elena qui avait attaqué là où ça faisait mal ! Sentir sa petite langue remuer en elle était tout simplement fantastique et extrêmement bon ! Tellement bon que plus Elena remuait et léchait sa féminité, tout en s’enfonçant en elle, plus Nümba se crispait et gémissait. Ses gémissements étaient justement là, en partie, pour donner un indicateur à la reine. Pour le moment, c’était assez simple à comprendre ; Nümba prenait son pied de cette langue qui remuait en elle ! C’était tellement bon, tellement bien qu’elle poussa tout doucement la tête d’Elena pour encore mieux l’accueillir entre ses cuisses, et la presser doucement contre elle. Elle sentait une vive chaleur commencer à s’éprendre de son sexe, et cela ne faisait que croitre à mesure que Elena continuait encore et encore à papillonner de sa langue dedans …

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Les terres sauvages / Re : Zerrikania [Nümba]
« le: vendredi 01 avril 2016, 16:58:38 »
L’objectif de Nümba était effectivement clair ; faire jouir sa bien-aimée. Lui apporter une nouvelle sensation, une qu’elle n’avait encore jamais ressenti. Ou très peu. La sensation d’atteindre un état outre, de se sentir en plein état d’extase. C’était un peu présomptueux de la part de la druidesse, de se dire qu’elle allait le faire à coup sûr … Mais elle savait qu’Elena était inexpérimentée et que, du coup, elle était beaucoup plus sensible à cela. Elena était donc en proie aux terribles assauts linguaux de la druidesse, qui redoublait à chaque instant d’effort pour lécher et goûter avec passion et tendresse à sa féminité. Sa langue s’immisçait en toute confiance, écartant tendrement ses parois pour lui procurer encore plus de plaisir. La guérisseuse prenait un grand plaisir à s’occuper ainsi de sa précieuse amie, et elle sentait, à la tension de ses muscles, qu’elle était sur la bonne voie.

La bonne voie de jouir ! Nümba allait y arriver ! C’était si magistral, si beau et si honorant à la fois. Elle, une simple druidesse, qui grâce à son amour débordant pour Elena et son envie de lui faire plaisir, allait parvenir à offrir à sa majesté, un bel orgasme. La guérisseuse léchait encore et encore, faisant papillonner sa langue dans tous les sens, une fois chaudement immiscée dans sa féminité. La mouille de la reine s’accumulait, effectivement, et menaçait d’un instant à l’autre d’éclater au visage de Nümba. Ce qui ne serait pas pour lui déplaire ; la mouille de la reine était précieuse. Elle poursuivait avec encore plus de hargne et de passion, jusqu’à même atteindre le bouton d’amour de son amie. À ce moment-là, elle s’acharna dessus sans ménagement, considérant que c’était le dernier rempart à faire tomber.

Et, suite à cela, suite à de longues minutes d’intenses coups de langue, le final arriva. Nümba senti les mains de son amie se crisper dans sa longue tignasse sombre, alors qu’elle poussa un cri cristallin, salvateur, qui la libéra de toute cette pression accumulée. Sa mouille se libéra, venant asperger le doux visage de la druidesse qui était, à présent, satisfaite. Tellement satisfaite … Elle venait d’offrir un orgasme à sa chère et bien-aimée amie. Nümba ne perdit pas une goutte de ce précieux nectar royal. Avec appétit, elle avala cette mouille qui avait giclé dans sa bouche. Une mouille délicieuse, digne de la reine. Digne d’Elena … Dont Nümba s’en régalait pleinement. « Hmm … » Gémit-elle, alors qu’elle arrêta son dur labeur, pour se mettre à lentement lécher ses lèvres intimes et sa fente, pour aspirer les quelques gouttes restantes. Un orgasme qui, apparemment, avait fait effet chez Elena. Son cri avait été la plus belle et la plus suave des mélodies aux oreilles de la guérisseuse, qui esquissait à présent un large sourire.

Elle se redressa lentement, puis décida qu’après une telle tempête, il fallait … De la douceur ! Oui, une autre louche de douceur, à la façon Nümba. Celle-ci se déplaça et vint s’allonger aux côtés de son amie. « Tu as un gout exquis, mon amie … » Lui susurra la jeune femme, déplaçant sa main sur son ventre, le caressant en toute tendresse. Elle se blottie contre elle, adorant sentir son corps se lover totalement contre le sien. Nümba, avec la délicatesse et la douceur la caractérisant si fortement, vint nicher son visage dans le cou de la reine, en déposant un chaud et affectueux baiser dessus. « Je t’aime si fort Elena … » Lui déclara-t-elle, en toute simplicité et sincérité. Mais ça, Elena le savait déjà … Mais Nümba adorait le dire et le redire. En manque de tendresse et de câlins, la guérisseuse déplaça sa main sur la délicate joue d’Elena et tourna doucement sa tête, afin qu’elle puisse langoureusement capturer ses lèvres.

Un petit baiser pour conclure cette première partie ! Nümba ronronna doucement, alors que ses généreuses lèvres vinrent déclarer tout leur amour envers celles d’Elena. Elle les goutait dans toute leur douceur et leur délice. Ce baiser, ce n’était pas qu’un simple baiser de passion ; c’était une étreinte chaude, prononcée par les immenses sentiments de Nümba envers Elena. Elle ferma doucement ses yeux à ce moment-là, afin de s’immerger complètement dans sa petite bulle intime avec sa reine. Main sur sa joue, elle la caressait finement, la cajolant chaudement alors qu’elle fit rencontrer sa langue et la sienne. Elena avait dû le remarquer ; sa druidesse adorait l’embrassait …

Mais pas que, puisque vint un moment où elle fit descendre sa main, glissant le long du corps de sa muse, afin de rallier un point assez critique. Lentement, et délicatement, ses doigts revinrent auprès de son sexe, qu’elle titilla très doucement. Il s’agissait plus de taquineries qu’autre chose à ce moment-là, mais ça faisait son effet. Ses petits doigts agiles effleuraient sa petite fleur et son bouton, tandis qu’elle continuait d’occuper ses belles et délicieuses lèvres. Cependant, le baiser finit par se rompre, laissant un délicieux gout en bouche à Nümba. La druidesse afficha un sourire assez espiègle, car une idée venait de lui traverser l'esprit. « Dis-moi, ma chérie ... Te penserai-tu capable de me faire ce que je viens de te faire ? »[/b] Lui demanda-t-elle d'une voix coquine. En vérité, elle lui demandait ça non pas par caprice personnel, loin de là. Elle lui demandait ça car elle voyait que Elena était en plein apprentissage sexuel, et que depuis le début ... Adamante et elle n'avaient fait que lui donner. Or, en amour, et surtout en matière de sexe, il y avait un fondamental à respecter ; le don, et la réception. Elena devait avoir une connaissance globale, parfaite, et par conséquent, lui faire faire un peu de pratique ne pouvait être un mal. Et puis, cela permettrait à Nümba de voir comment se débrouille la petite reine ...

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Les terres sauvages / Re : Zerrikania [Nümba]
« le: samedi 19 mars 2016, 16:18:00 »
Les souhaits de sa majesté étaient les ordres de Nümba. Tel que Elena le lui clamait, la druidesse sourit et ne put qu’être satisfaite de l’effet que lui procurait son traitement. Ses doigts agiles continuaient de remuer tendrement dans sa doucereuse féminité, alors que ses lèvres et sa langue continuaient à jouer nerveusement de son petit bouton. Nümba s’amusait actuellement et elle voyait bien que ce qu’elle prodiguait à son amie lui faisait le plus grand des biens. Talentueuse, ça Nümba l’était ! Elle faisait d’excellent cuni’, et Elena devait surement savourer tout son savoir en la matière. Il fallait dire qu’elle avait grandement prit la main grâce à Adamante, qui lui avait tout enseigné, en fait. Si Nümba était si soignée et experte, c’était donc grâce à la magicienne.

Quel que soit la chose, en fait, il y avait toujours Adamante derrière ! Nümba la remerciait inconsciemment de lui avoir permis d’être aussi efficace, car à présent, elle mettait tout cela à profit au nom de sa plus chère amie ; Elena. Ses gémissements procuraient une délicieuse sensation aux oreilles de la druidesse, qui suivit donc son ordre, augmentant son rythme. Sa langue papillonna encore plus sur son bouton d’amour, alors que ses lèvres se mirent à effectuer de terribles succions dessus. Ses doigts remuèrent vite et fort, s’enfonçant délicieusement dans ses chairs mouillée et suintante de mouille. Petit à petit, elle sentait que les parois de sa délicate amie se détendait et put ainsi se permettre d’y immiscer un deuxième doigt, qui vint encore plus stimuler le tout.

« Mes doigts te font du bien à ce que je vois ! » Lui déclara Nümba, osant prendre une courte pause au niveau de ses lèvres. Elle doigta fort et vite la reine, prenant grand plaisir à stimuler autant sa petite fleur. Pour autant, elle faisait attention à ne pas trop forcer. C’était fort, c’était profond et c’était rapide ; mais ce n’était pas précipité. Nümba savait faire cela avec un soin particulier, c’était d’ailleurs ce qui faisait que ses cuni’ étaient si bons. Toutefois, après plusieurs minutes de doigté, elle finit par retirer ses doigts pleins de mouilles. Elle ne put résister à l’envie de les lécher, raclant langoureusement la moindre goutte de la précieuse mouille royale. Et, autant dire que c’était un petit met délicieusement sucré à souhait … Cela fut tellement appétissant, que cela justifia le changement de position de Nümba.

En effet, elle fit descendre son visage et, cette fois-ci, en lieu et place de ses doigts elle introduisit tendrement sa langue. Son visage se blottit contre son être, alors que ses mains vinrent prendre appui autour de ses belles et douces cuisses. Son nez tapa contre son pubis, alors qu’elle se mit à généreusement lécher la fente intime et toute luisante d’Elena. Elle donna de grands et larges coups de langues, rapides, forts, avant d’introduire son appendice lingual. « Hmm … » Ronronna Nümba, qui se mit à remuer à l’intérieur de cette douce féminité, offrant ainsi à la druidesse un festin des plus délicieux qu’il soit au monde ! Ainsi, tandis que sa langue remuer chaudement en elle, ses lèvres enserrèrent tendrement son con, apposant de sulfureux baiser dessus. Nümba déployait tant d’efforts pour satisfaire son amie, qu’elle savait que cela allait payer, forcément. Rapidité et force étaient de mise dans ce cuni’ !

En étant directement à la source, la druidesse s’assurait par ailleurs qu’elle ne perdrait pas une goutte du prochain orgasme de sa vénérable reine … Et ça, ça valait tous les délices du monde, après y avoir goûté !

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Les terres sauvages / Re : Zerrikania [Nümba]
« le: samedi 05 mars 2016, 16:25:40 »
À présent qu’elle avait la pleine bénédiction de sa reine, Nümba allait pouvoir commencer le travail. Elle savait que son amie appréhendait quelque part ce moment, et c’était pour cette raison qu’elle comptait y aller, comme toujours, en douceur. Ainsi, la druidesse sourit tendrement puis se concentra alors sur la petite faille intime de la reine. Son souffle chaud percutait tendrement dessus, alors qu’elle sentait la chaleur pointer de toute part. La guérisseuse déposa langoureusement ses lèvres sur sa cuisse, l’embrassant avec beaucoup de tendresse et d’onctuosité. La douceur de peau de sa reine était un délice dont elle ne saurait se passer ! Et cette douceur était encore plus visible à cet endroit-là. Ainsi, Nümba continua à l’embrasser autour, sans jamais s’affairer au principal, cela dit.

Ses mains finirent par enserrer ses cuisses, et son visage se décala. Son petit nez frotta tendrement contre son pubis couvert d’une fine pellicule pileuse, tandis que ses lèvres effleurèrent son bouton intime. Nümba savait que c’était un point d’autant plus sensible chez les femmes découvrant encore ce qu’était le sexe. Et c’était bien pour cette raison qu’elle allait un peu s’y attarder, afin de faire grimper le plaisir chez Elena. Décidée à la chouchouter jusqu’au bout de la nuit, la druidesse finit donc par abaisser ses lèvres et vint, lentement et sensuellement, prendre en étau ce bouton à plaisir, entre ses lèvres. « Hmm … » Gémit-elle doucement, se mettant à donner de délicieux coups de langues dessus, s’amusant à jouer tout doucement avec. Sa petite mais taquine langue pressa dessus, tout en le titillant en plusieurs sens, se jouant de ce point névralgique.

Les soupirs et gémissements d’Elena étaient non seulement une mélodieuse symphonie, mais ils la guidait sur ce qu’elle faisait. Cela faisait apparemment sensation, donc elle n’avait aucune raison d’arrêter ça pour le moment. La druidesse n’en resta cependant pas là ! En effet, alors qu’elle jouait avec le petit bouton de sa délicate amante, elle ramena une de ses mains, venant doucement caresser l’intimité même d’Elena, du bout de ses délicats doigts. Elle effleurait cette faille avec une grande délicatesse, comme s’il s’agissait d’une fragile porcelaine, qu’il ne fallait pas briser. Nümba mesurait chacun de ses gestes, et quand elle sentit que sa reine était prête, c’est-à-dire que la chaleur et l’humidité augmentèrent assez, elle se mit à jouer de ses doigts tout en continuant son traitement un peu plus haut.

En effet, Nümba finit par tout doucement, en toute prudence, immiscer un de ses doigts. Elle y alla avec mille précaution, mais au final, elle se mit à lentement doigter son amie. À ce niveau-là il ne servait plus à rien de parler. Seul les gestes devaient agir ! Et Nümba savait y faire. Sa langue continua ses sulfureux assauts sur son bouton intime, se mettant à faire de délicieux succions dessus afin de le stimuler davantage. Tout en jouant habilement de ses doigts au niveau de sa féminité, qu’elle doigta lentement et langoureusement, sentant la mouille d’Elena se mettre lentement à couler dessus. Elle espérait que ce traitement, certes un peu lent, convenait à sa reine ! S’il fallait accélérer un peu le rythme, il n’y avait là aucun problème. D’ailleurs, la druidesse se rendit compte elle-même que son rythme, au niveau de ses doigts, était peut-être un peu trop mou.

Du moins pas assez vif pour procurer un vrai plaisir à Elena. Ce fut pour cela qu’elle se mit à progressivement augmenter le rythme, doigtant de plus en plus vite et fort la féminité d’Elena. Mais elle y alla en dégradé, en douceur, habituant petit à petit le corps de la reine à cela. Elle était encore très … Etroite, malgré tout.

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Les terres sauvages / Re : Zerrikania [Nümba]
« le: mercredi 17 février 2016, 19:15:02 »
Plus elle lui faisait tendrement l’amour, plus Nümba se rendait compte que toutes ses autres fois paraissaient … Fades. Chez Elena il y avait quelque chose d’unique, de spécial, qu’elle ne savait nullement décrire. La reine était tout ce dont la guérisseuse désirait en la matière ; douce comme du miel. Plus que jamais, Nümba découvrait à quel point il était si bon et si délicieux de faire l’amour avec quelqu’un que l’on aimait de tout son cœur. Car les sentiments qu’elle lui portait étaient immensément puissants et sincères. Elle l’aimait comme jamais personne ne pouvait aimer quelqu’un. Un amour si puissant qu’elle n’arrivait pas à le décrire, ni à le contenir. Si ce n’était sa nature calme et doucereuse, Nümba passerait son temps à serrer Elena contre elle, ne lui laissant aucun répit. Mais sa raison, et encore une fois, son tempérament firent qu’elle savait comment gérer ses sentiments, et comment gérer sa façon de le lui montrer.

Notamment en ce moment même où elle lui faisait l’amour. Il n’y avait pas de Nümba de la guérisseuse, ou de Elena la reine de Nexus … Il y avait Elena et Nümba, deux amies d’enfances, qui s’aimaient, et qui partageaient un doux et sublime moment entre elles. La druidesse goutait au fruité de sa peau, en venant ainsi l’embrasser directement dans le cou. Avec toujours cette sensualité et cette lenteur langoureuse qui caractérisait si bien sa façon de faire l’amour. Ses belles lèvres cajolaient sa peau aussi fine et délicate que la soie, venant la gouter, et lui apporter mille et une caresses. Sa langue donnait de petits coups, venant agrémenter ces multiples baisers qui vinrent alors parsemer son cou. Tandis que sa bouche était occupée à cela, ses mains vinrent glisser le long de ses bras, lentement, très lentement, prenant le temps de caresser chaque centimètre de sa délicieuse peau. Ses mains finirent par se mêler aux siennes, et elle serra fortement ses doigts aux siens.

Un symbole fort et puissant, qui signifiait à quel point Nümba était attirée par Elena. Et à quel point elle tenait à elle. Tout ce dont elle pouvait espérer, était que sa reine ressentait plus ou moins la même chose à son encontre … Mais même si elle ne ressentait pas ça, cela ne changeait rien. L’amour de Nümba était désintéressé, et elle n’attendait strictement rien en retour. Ce n’était pas un sentiment qu’elle contrôlait ; elle le vivait dans toute sa spontanéité, et sa puissance. Tout ceci pour dire qu’elle l’embrassa tendrement dans le cou, avant de finir par redescendre à nouveau, tout en baisers. Elle embrassa le haut de sa poitrine, l’un de ses seins, puis son petit ventre, jusqu’à se heurter à la frontière imposée par sa petite culotte. À ce moment-là, Nümba esquissa un sourire doux, et se releva, se plaçant ainsi à califourchon. « Si tu me le permets, ma douce amie … » Lui dit-elle de sa voix suave, avant de se dégager doucement. Elle apposa ses mains sur hanches, qu’elle se mit sensuellement à caresser. Nümba ne put résister à l’envie de plonger un instant, pour pouvoir déposer un révérencieux baiser sur l’une d’entre elle, avant de revenir comme avant.

La druidesse commença alors à tirer légèrement sur ce sous-vêtement, le faisait glisser le long des longues et belles cuisses d’Elena. Elle prenait, comme à l’accoutumé, son temps. La fine culotte glissa et caressa ses jambes, jusqu’au bout, jusqu’à ce que Nümba la tienne du bout de ses doigts, la lâchant d’un geste cristallin. Son regard se posa sur celui de son amante, et traduisait toute sa fougue et son amour pour elle. Un regard mielleux et très attentionné, qui trahissait de ce qu’elle comptait faire. Son attention se porta la jambe de son amie, et elle saisit son délicat petit pied, avant de déposer un langoureux baiser dessus. Puis, elle en déposa un autre, sur sa cheville, puis sur son mollet … Et petit à petit, tout en baisers, lentement, elle remonta tout le long de sa jambe, jusqu’à finir par s’allonger entre ses cuisses, ventre contre le matelas. Sa tête était en face de son temple intime, mais elle se laissa séduire par son entrejambe, qu’elle embrassa tendrement.

Elle ne tenait pas à offrir de suite un cunnilingus à Elena ; il fallait préparer le terrain. Et comme l’on pouvait s’en douter, Nümba adorait prendre son temps pour cultiver le désir. Ce fut pour cette raison qu’elle se mit à flatter sa cuisse de mille et un baisers et coups de langue, avant de passer à l’autre cuisse. Puis, ses lèvres se prirent d’amour pour son pubis, où elle y apposa très généreusement ses lèvres, l’embrassant de manière assez appuyée. « Te sens-tu prête, mon cœur ? » Lui demanda-t-elle, de sa voix attentionnée et soucieuse. Rien ne serait fait si Elena ne désirait pas passer à cette étape. Nümba attendit donc le feu vert pour passer par ici, et faire découvrir à sa chère amie des plaisirs dont elle ne soupçonnait même pas l’existence …

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Les terres sauvages / Re : Zerrikania [Nümba]
« le: dimanche 14 février 2016, 21:46:05 »
Le plaisir de sa reine était aussi son plaisir. Cela signifiait que le simple fait de la savoir en train de savourer le moment, de gémir et de laisser son corps découvrir toutes ces nouvelles sensations suffisait amplement à Nümba. Elle n’en attendait pas de son amie à ce qu’elle soit aussi douée et efficace la première fois, mais on n’était jamais à l’abri d’une surprise ! De toutes les manières, ce genre de calcul n’était plus vraiment à l’heure car les deux femmes étaient emportées dans une espèce de bulle intime, où plus rien ne comptait à par toutes les deux. Elles agissaient et s’aimaient de la plus belle et sensuelle des manières, et c’était tout ce qui comptait. Elena, son plaisir, son bien-être … C’était ce genre de choses qui incombait beaucoup à la druidesse, qui donnait tout son cœur dans ce qu’elle était en train de lui faire, à hauteur de son sein.

Ses gémissements résonnaient tendrement dans les oreilles de Nümba, comme une symphonie délicate. La voix de sa reine était majestueuse, douce, surtout dans un moment pareil où elle laissait son corps exprimer son plaisir. C’était quelque part flatteur pour Nümba car cela lui indiquait qu’elle était en train de lui faire beaucoup de bien. Et c’était là tout l’essentiel de ce moment. Faire plaisir à Elena, lui faire découvrir de nouvelles choses, de nouvelles sensations … Et apparemment, elle se débrouillait bien. Sa langue continua donc de jouer tendrement avec son petit téton, qui se mit à durcir. De sa main qui était en train de caresser son autre sein, elle pouvait sentir que celui-ci se mit aussi à durcir, preuve qu’Elena était réellement en train d’apprécier ce traitement.

Comme toujours Nümba y allait avec la plus grande des douceurs et des délicatesses. Faire l’amour avec elle signifiait savoir patienter, savourer le temps qui défilait et surtout, ne pas se presser. Cela revenait aussi à désirer de la douceur et de la volupté, au profit d’un plaisir abrupte, sauvage et rapide. En somme, un plaisir lent et doucereux. Elena semblait désirer cela, et Nümba allait donc le lui offrir généreusement, avec tout son cœur. Cela se traduisait pour le moment en cette grande attention qu’elle portait à ses seins. Elle suçotait langoureusement son téton, mimant presque le fait de le téter. Elle ne pressa nullement la chose, en donnant de lents et passionnés coups de langue. Elle savourait chaque seconde qui passait avec délice, et tentait de faire partager ça au maximum avec son délicate amante.

Finalement, après qu’elle se soit occupée de son autre sein, Nümba décida de passer à l’étape suivante. Maintenant qu’Elena était bien préparée, et que sa poitrine avait déjà bien enduré, il était temps de passer sur un autre registre. La druidesse lui sourit tendrement, venant cajoler ses petites joues entre ses mains. Rapprochant son buste, le collant au sien en venant frotter ses seins contre les siens, elle approcha ses lèvres, et finit par partager avec elle un baiser. Une étreinte chaleureuse et terriblement douce, emplit d’amour et de tendresse. Elle vint sensuellement jouer avec sa langue, s’amusant à venir s’acoquiner avec, tout en venant serrer ses lèvres entre les siennes de manière ponctuelle. Embrasser Elena avait quelque d’incroyablement bon et délicieux, à un tel point que Nümba se découvrit un véritable gout pour cela. Elle n’avait jamais ressenti autant de plaisir à embrasser quelqu’un qu’à ce moment. En réalité, elle était en train de devenir accro au délice de ses lèvres, et nul doute qu’après cela, la druidesse allait devenir un peu plus quémandeuse de baisers.

D’ailleurs elle le lui fit savoir au cours d’une courte pause pour reprendre son souffle. « Je crois que tes lèvres sont devenues mon nouveau pêché mignon, ma douce amie … » Lui susurra-t-elle, d’une voix très câline et suave. Et en parlant de câlin, Nümba lui en donna un gros quand leur baiser se termina. Elle nicha sa tête au creux de son cou et serra son corps contre le sien, en ronronnant doucement. La tendresse et la douceur promise par Nümba ne faisait que commencer, et allait se poursuivre de la plus belle et sensationnelle des manières. En effet, la guérisseuse fit signe à son amie de se relever, puis elle la dirigea de manière à ce qu’elle s’allonge sur le lit. Juste après, elle la rejoignit, se plaçant tendrement au-dessus de son être, ses yeux dévorants les siens. « Tu es magnifique Elena … Je l’aperçois encore mieux qu’avant. » Lui déclara-t-elle, caressant doucement sa joue. Nümba finit par se placer à califourchon, ses mains se mettant à tendrement caresser ses bras, puis ses hanches. Elle lui sourit chaudement, puis elle se pencha, pour finir avec ses lèvres chaudement posées au creux entre ses seins. Elle l’embrassa fougueusement, puis décida de remonter lentement, tout en baisers, jusqu’à son cou … Qu’elle se mit à couvrir, toujours lentement, de tendres et savoureux baisers chargés d’amour.

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Les terres sauvages / Re : Zerrikania [Nümba]
« le: vendredi 05 février 2016, 14:45:09 »
Ce moment, Nümba l’avait à la fois tant rêvé, et redouté. Elle l’avait rêvé car c’était l’instant où elle et Elena allaient se découvrir de manière plus intime, plus proche. Il était évident qu’après cela, leur lien n’allait qu’être encore plus puissant et intense. La druidesse avait toujours désiré, si un jour Elena venait à connaitre le sexe, être sa partenaire, celle qui lui apprendrait à comment faire. Lui faire l’amour avait aussi une grande portée sentimentale. C’était une occasion forte et unique pour lui montrer à quel point elle l’aimait. Et la reine savait bien que Nümba n’était pas amoureuse, mais que son amour était quand même tout ce qu’il y avait de plus puissant et sincère au monde. La guérisseuse voyait ce moment comment un moment où elle pourrait la chérir, lui apporter tant de douceurs et de plaisirs, la couvrir de son amour indestructible.

Et comme toute chose avec Nümba, on commençait en douceur. Son amie vint s’asseoir sur ses genoux, finissant donc juste en face d’elle, collée contre son corps chaud. Ses mains cajolèrent ses hanches, mais son visage resta face au sien, et ses yeux, plantés dans les siens aussi. Elena était d’une rare beauté, et Nümba, bien qu’elle le savait déjà, ne pouvait que mieux s’en rendre compte à cette distance. Une beauté saisissante, pure, juvénile ... La druidesse estimait grandement l’honneur qu’elle lui faisait en lui accordant ses faveurs ainsi. La reine sembla assimiler les précédents dires de Nümba, et se laissa ainsi complètement transportée par le baiser qu’elle lui donna. Les baisers, il y allait en avoir énormément, cette nuit ! Et de partout. La guérisseuse était une grande consommatrice de baisers, trouvant que ceux-ci étaient un parfait outil, alliant douceur, sensualité et plaisir.

Surtout dans un rapport purement lesbien, où les lèvres jouaient un rôle central pour donner du plaisir. Au même titre que les doigts … Mais ceux-ci allaient peut-être venir bien après. En attendant, les deux amantes s’embrassaient doucement, se savourant entre elles. Nümba adorait les lèvres de son amie, qui était aussi douces et sucrées que du miel. Un petit délice qu’elle allait souvent gouter ce soir. Et, par la même occasion, elle allait tenter de transmettre son amour des baisers à Elena … Pourquoi pas ? Néanmoins, leur étreinte finit par prendre fin, et leur visage se décollèrent doucement l’un de l’autre, alors que la monarque saisit les mains de Nümba et serra ses doigts avec les siens. Elle lui demanda à ce qu’elles fassent l’amour, ici-même, et sur le champ. Cette petite déclaration fit sourire la druidesse, qui serra un peu plus ses doigts aux siens. Elle ne lui répondit pas, mais son sourire parlait pour elle.

Elena était prête, et il était temps pour Nümba d’honorer la grande personnalité qu’elle était. Son visage se baissa, s’amenant en face de sa poitrine juvénile. Elle démêla ses doigts à contrecœur, et les plaça dans son dos, qu’elle cajola avec la plus grande délicatesse. Puis, elle approcha doucement son visage, et déposa un baiser révérencieux, doux, au milieu de sa poitrine, entre ses seins. Elle le fit durer assez longtemps, puis en donna un deuxième, savourant la douceur et le parfum de cette peau si délicate. La guérisseuse finit cependant par passer à l’étape suivante, et déplaça son visage un peu à gauche, afin de s’occuper du premier sein de son amie. À nouveau, elle ne put résister à l’envie de l’embrasser, tout innocemment d’abord. La peau d’Elena était d’une extrême douceur et sensualité, dont Nümba en raffolait déjà.

Elle flatta son doucereux mamelon, puis se mit en tête de venir prendre en étau, entre ses généreuses lèvres, sa pointe rosée toute étirée. Sa langue s’activa dès lors, mais avec douceur et attention, veillant à ne pas y aller trop franchement. Nümba tenait à conserver ce rythme langoureux et lent, synonyme de tendresse et d’affection. Sa langue se mit donc à faire connaissance avec ce téton, le titillant doucement. Il fut bientôt enduit de salive, facilitant la légère succion que procurait les lèvres de Nümba sur cette zone. « Hmm … » Gémit-elle, avant de ramener une de ses mains, venant l’apposer délicatement sur le sein libre de sa majesté. Elle se mit à le caresser, sensuellement, dessinant de curieuses arabesques autour de sa zone sensible. Elle s’amusait doucement avec, le chatouillant, sans jamais y aller trop fortement. En espérant que tout ceci soit au gout d’Elena, qui était, aux yeux de Nümba, la maitresse à bord, qui pouvait décider de tout ce soir.

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Les terres sauvages / Re : Zerrikania [Nümba]
« le: mardi 02 février 2016, 15:12:13 »
La druidesse venait donc de proposer à sa reine de faire l’amour, mais de manière bien plus douce et attentionnée que la dernière fois. Car justement, la dernière fois, même si ça avait été sensationnel et important, Elena n’avait pas vraiment gouté au vrai plaisir que le sexe avait à offrir, du fait de sa douleur. À présent, Nümba lui avait proposé de refaire l’expérience mais sans aucune verge, sans aucun artifice ni mise en scène. Juste elle et son amie, qui allaient se faire tendrement et passionnément l’amour. Une occasion en or pour la druidesse, qui y voyait là l’opportunité de montrer, physiquement, une partie de l’étendue gigantesque de ses sentiments envers elle. Elle allait la chouchouter, la bercer doucement dans ce monde de volupté et de pur plaisir. Un plaisir qui se voudra exclusivement doux, sensuel et plutôt lent. Nümba, sauf à de rares occasions, comme le désir de sa reine, n’optait jamais pour le sexe rapide et abrupte. Elle était une grande sentimentale, qui aimait la prise de temps, l’amour et la tendresse.

Tant qu’elle en avait l’occasion, elle comptait au moins transmettre sa vision à son amie, qui après, aura le choix de décider si ça lui plait, ou non. Et cela commença dès l’instant où Elena apporta sa réponse, et en toute timidité, fit glisser sa nuisette au sol. Elle se retrouva nue, avec pour seul habit, sa petite culotte toute fine. Nümba en rougit, surtout quand Elena lui dit qu’elle avait envie d’elle. Les mains chaleureuses de la guérisseuse se posèrent sur ses joues, les caressant avec la plus grande tendresse. « Moi aussi … J’ai envie de toi, Elena … » Lui dit-elle, l’appelant par son prénom et non par son grade. Signe qu’à présent, elles étaient dans une bulle intime, rien qu’à elles, où rien ni personne n’avait le droit d’y entrer. Néanmoins, après cette tendre caresse, la druidesse s’écarta un peu, toujours en plongeant son regard dans le sien.

Elena lui avait offert son corps, il était donc naturel que Nümba en face de même. Ainsi, d’un geste léger et gracieux, elle dégrafa sa fine robe de nuit, qui tomba au sol, glissant le long de sa douce peau sombre, tranchant avec la blancheur pure de celle de son amie. La robe tomba, et la druidesse offrit ainsi sa nudité à la reine, mais contrairement à celle-ci, elle ne portait aucun sous-vêtements. Nümba était nue, tout simplement, s’affichant dans son simple apparat. Elle laissa la jeune monarque remplir un peu son regard, s’amusant de la voir dans cette situation. Puis, elle s’approcha à nouveau, et piégea à nouveau ses joues par ses mains, mais colla doucement son corps au sien. Ses seins vinrent câliner les siens, autant que son ventre ou que l’orée de ses cuisses. Au niveau de son visage, la guérisseuse l’approcha et vint offrir un langoureux mais incroyablement doux baiser à Elena. « Hmmm … » Gémit-elle, savourant cette étreinte composée de pur amour et tendresse.

Un baiser long, mais pas acharné. Long, lent, doucereux … Tout ce qu’avait promis Nümba en somme. Et qui n’était qu’un précurseur à la façon dont elle comptait faire l’amour à la reine. Sa langue joua avec la sienne, créant aussi un savoureux échange entre leurs lèvres, qui se lovèrent l’une contre l’autre, se découvrant, se taquinant. Le parfum de celles d’Elena était enivrant, doux, donnant de multiples frissons à Nümba, qui s’appliquait à la tâche. Néanmoins, au bout d’un moment, elle mit fin à l’étreinte, ses yeux se rouvrant lentement pour se poser dans le regard d’Elena. « Je t’aime … » Lui dit-elle, aussi simplement que sincèrement. Ce n’était bien sûr pas de l’amour comme on l’entendait … Elena devait savoir quel genre de sentiment Nümba ressentait à son sujet, pour ne pas se tromper dans l’interprétation de ces mots.

La druidesse lui sourit chaudement, avant de prendre ses mains avec les siennes, puis de reculer de quelques pas. Elle l’entraina, en ne la quittant pas du regard, vers le grand lit où elles étaient censées passer la nuit. Nümba prit place sur le bord, et invita la reine à la rejoindre. Quand cela fut effectué, elle lui sourit, puis glissa lentement sa main sur son épaule, qu’elle se mit à caresser d’un geste fluide, élancé. Ses doigts se baladèrent librement, finissant par descendre sensuellement le long de son torse, dessinant de fines arabesques autour et au creux de sa juvénile poitrine. « Faire l’amour Elena … C’est quelque part avoir un sens de l’abandon de soi, et de la confiance. Tu le verras bientôt mon amie ; nous nous abandonnerons à l’une comme à l’autre. Mais il faut que tu saches et assimiles quelque chose … Cette nuit, tu me l’as offerte. Tu m’as offert ton corps, et ton cœur … Saches qu’il en est de même pour moi. Mon corps et mon cœur sont tiens, et tu en possèdes tous les droits dessus, aussi longtemps que l’on fera l’amour … » Lui dit-elle, de sa voix douce et suave.

Elle lui sourit à nouveau, puis déplaça sa main sur sa joue, afin de la caresser, et de maintenir son visage tourné vers elle, afin qu’elle puisse lui déposer un énième et tendre baiser sur ses fines lèvres. Nümba l’avait prévenu ; il n’y aura pas de bousculements, ni de précipitations. Elle comptait lui offrir le summum de la douceur et de la sensualité, en prenant le temps que nécessaire …

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Prélude / Re : Au service de la reine de Nexus
« le: lundi 01 février 2016, 20:34:50 »
Re-bienvenue, amie de mon amie ! ;D

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Les terres sauvages / Re : Zerrikania [Nümba]
« le: samedi 23 janvier 2016, 16:06:13 »
Quand Nümba eut finit sa véritable déclaration, elle sentit la reine se mouvoir contre elle. Elle sourit puis se tourna toute contre elle, levant légèrement le regard pour croiser celui de la druidesse. Cette dernière n’avait jamais autant remarqué à quel point Elena était … Belle. Elle le savait bien sûr, mais à la voir d’aussi prêt, et dans un cadre aussi personnel et calme, elle se rendait réellement compte à quel point la reine de Nexus était d’une beauté stupéfiante. Une beauté simple, pure, qui retranscrivait toute sa personne tel une frasque artistique. Fille de l’ancien couple royal, le sang des Ivory coulait dans ses veines. Cela n’était donc guère étonnant de voir qu’elle avait hérité de la frappante beauté de sa maman, et du courage et détermination de son père. Nümba était si fière d’être à ses côtés, si fière de la servir au quotidien, et si fière de pouvoir l’accompagner dans une pareille quête.

La jeune reine sourit, puis décida alors d’ajouter quelque chose aux déclarations de Nümba. Choses qui la fit sourire, et rougir puisqu’elle sentit les douces et petites mains de son amie prendre les siennes, mêlant ses doigts avec. Elle lui stipula qu’elle n’était pas que son amie, avant de se hisser sur la pointe de ses pieds, venant ainsi déposer un doucereux baiser sur les lèvres généreuses de Nümba. La souveraine venait-elle de … De donner un baiser, de son propre chef, à Nümba ? Mais, à ses yeux, elle venait de lui offrir un présent inestimable ! Tant par l’honneur qu’il représentait, que par la douceur et le délice de ce geste, aussi bref fut-il. Il laissa la guérisseuse souriante, heureuse, rêveuse. Elle lui déclara ensuite qu’elle était aussi son amante, et insista sur le fait.

Et comme pour achever les dernières défenses de Nümba, elle se mit à la serrer contre elle, passant ses bras tout autour de son être. La guérisseuse la prit contre elle en retour, l’entourant aussi de ses bras. Elle la remercia … Mais en toute honnêteté, la druidesse estimait que la reine était déjà suffisamment talentueuse pour parvenir à faire tout cela toute seule. Après tout, Nümba n’était qu’une druidesse, une femme qui avait été appelée pour guérir, soigner et accompagner la reine. Certes était-elle devenue très amie avec, mais … Nümba n’aimait guère se dire indispensable aux yeux de quelqu’un. Sa modestie et son respect envers la souveraine de Nexus étaient encore trop fort pour l’admettre. Elle la serra fort contre elle, puis finit par s’écarter doucement, prenant le petit visage de son amie entre ses mains. Elle la regarda tendrement, puis lui sourit avant de lui dire quelque chose … « Je t’aime Elena … Tu seras toujours la personne la plus chère à mes yeux. Bien plus que n’importe qui … Et … Je tiens à te le montrer, ce soir … » Lui susurra-t-elle, avant de lentement approcher son visage.

Au fur et à mesure, ses paupières tombèrent, et se clôturèrent complètement au moment où ses belles lèvres se scellèrent à celle d’Elena. Nümba l’embrassa, très doucement mais en y mettant une tendresse dont elle seule avait le secret. Sa langue alla doucement chercher la sienne, ne la brusquant, pas même une seule seconde. Ce n’était pas un simple bisou ; la druidesse désirait offrir un baiser, un vrai, à son amie. Ses mains délicatement posées contre ses joues, elle l’embrassa donc, goutant lentement à ses lèvres, à sa salive et à sa petite langue avec qui elle jouait tout aussi langoureusement. Elle appuya sensiblement de sa bouche sur la sienne afin de renforce l’étreinte, mais fit très attention à ne pas y aller trop fortement. Nümba n’était pas vraiment accro à la brutalité en matière d’amour et de sexe. Il ne fallait donc jamais compter sur elle si on voulait une partie hyper mouvementée et sauvage ! Avec elle, c’était l’extrême douceur, la sensualité et la prise de temps.

Car pour prendre son temps, elle le faisait ! Elle fit durer assez longtemps son baiser avec Elena, afin de bien la satisfaire de ce côté-là. Mais en vérité, Nümba elle-même n’en avait jamais assez d’embrasser son amie. Toutefois, elle finit par mettre fin à l’échange, retirant lentement ses lèvres en ouvrant doucement ses paupières. « Veux-tu qu’on fasse à nouveau l’amour … Ma précieuse amie ? Je peux te promettre que cette fois-ci … Il n’y aura que du plaisir et de la douceur ... » Lui demanda-t-elle doucement, de sa voix suave et basse. Oui, elle était du genre à demander ça, même si la situation était évidente. Elena restait sa reine, et elle se devait de faire selon ce qu’elle décidait, et non ce qu’elle-même voulait. Nümba garda ses mains sur ses joues, qu’elle caressait très tendrement et chaleureusement.

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