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Messages - Calliope Tick

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Les alentours de la ville / Emménagement et cohabitation [Gaby]
« le: vendredi 06 février 2015, 15:57:12 »
Depuis l'explosion de l'appartement de Gabriel, quelques jours plus tôt, Calliope et lui avaient beaucoup discutés. Ils se donnaient une chance, en tant que coup, et elle lui avait naturellement proposé de venir s'installer chez elle. C'était un studio, placé un peu à égale distance de tout, largement assez grand pour eux deux. La disposition n'était pas mauvaise non plus. En entrant, après le petit hall d'entrée, il y avait une porte vers le salon-salle à manger. Spacieux, et sobre. Calliope ne l'avait pas trop décoré. Un bar à l'américaine séparait la cuisine de la salle à manger. Une seconde porte, dans le hall, menait dans un couloir. D'un côté, la chambre de la rousse, avec un grand lit deux places, et un dressing. Une porte coulissante menait à une grande salle de bain aussi. Et de l'autre côté du couloir, une pièce vide, qui lui servait pour le moment de débarras. Pourtant, la pièce était grande aussi, et ferait un parfait bureau. Mais elle n'avait pas vraiment le courage de l'aménager de suite.

Ce jour-là, c'était le jour J. Celui où Gabriel emménageait. Ouvrant la marche, Calliope venait de montrer le garage où il pourrait ranger moto et voiture. Elle avait montré aussi la cave. Qui ne servait à rien pour le moment, mais qui était là. Et, les clés à la main, elle commença à déverrouiller la porte du studio. Troisième étage, avec ascenseur, ça allait. Ce n'était pas trop mal placé.

« Bon, et bien voilà. A droite, tu as, salon, salle à manger et cuisine. A gauche, d'un côté chambre et salle de bain, de l'autre une pièce que j'utilise pour l'instant comme débarras, et au fond du couloir, les toilettes. Tu n'as plus qu'à faire comme chez toi. »

Son sourire s'étira sur ses lèvres, alors qu'elle refermait derrière Gabriel. Allant directement dans la cuisine, elle prit une tasse qu'elle rempli de lait chocolaté, avant de la mettre au micro-onde.

« Tu veux quelque chose à boire ou a manger ? »



Spoiler: plan de l'appartement. (cliquer pour montrer/cacher)

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Le quartier de la Toussaint / Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]
« le: vendredi 06 février 2015, 10:24:40 »
En sortant de la douche, Calliope se sentait vraiment bien. Détendue. Un peu plus apaisée. Elle ne rêvait plus que de se coucher dans ce lit qui lui faisait de l’œil. Gabriel prit sa suite, à la douche, et elle lui sourit. Elle le laissa à sa douche, et parti de glisser sous les draps. Elle s'étendit de tout son long, prenant toute la place. Elle réchauffait les draps.

Pendant que la douche coulait, elle somnolait. Elle bâillait par moment, mais restait malgré tout éveillée. Plus ou moins. Elle se retourna deux ou trois fois, et finit par se rouler en boule sur un côté du lit. A cet instant, l'eau cessa de couler. Gabriel ne tarda pas à revenir dans la chambre.

« Tu radote, sourit-elle, ensommeillée. »

Elle leva la couette sur le côté libre du lit, l'invitant à s'installer. Et elle se blottit contre lui après, sombrant enfin dans un sommeil mérité.

FIN.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]
« le: jeudi 05 février 2015, 18:59:41 »
Flattée qu’il reconnaisse la beauté du geste, Calliope sourit largement.

« Disons que j’ai un passé assez trouble, et qu’il fallait bien que j’apprenne à me défendre… »

Elle serra sa main en retour, fermant à peine les yeux quand il déposa ses lèvres sur sa joue. Quand il annonça, par la suite, à son collègue qu’ils étaient mariés, elle vit les yeux ronds de Takeo. Il était surpris. Choqué, même. La rousse rit sous cape, amusée.

Une fois que le policier eut remis un jeu de clé de voiture, la sienne, à Gabriel, et qu’il se soit excusé, le blond se tourna vers elle.

« Oui. Oui, on y va. Je te laisse conduire avec plaisir, ne t’en fais pas pour ça, sourit-elle en prenant sa main. »

Ensemble, ils se dirigèrent vers la voiture. Elle monta côté passager, et boucla sa ceinture. Ils n’avaient pas de vêtements de rechange. Mais à vrai dire, ils pourraient voir ça le lendemain, après s’être bien reposés à l’hôtel.

Sur le chemin, d’ailleurs, Calliope fit part de son avis, pour leurs vêtements. Elle proposa qu’ils s’en occupent demain. Puis elle ajouta, regardant par la fenêtre :

« Tu peux t’arrêter ici un instant ? Je n’en ai pas pour longtemps. »

Quand il se fut garé, en double file, elle descendit de la voiture après l’avoir embrassé rapidement. Elle avait vu une enseigne qu’elle connaissait bien, de restauration rapide. Elle connaissait le patron, qui lui était redevable d’un service. Aussi, leur commanda-t-elle à tous les deux à manger. Assez pour un régiment. Et elle repartit, avec les sacs de nourritures gracieusement offerts, vers la voiture.

Le fumet qui s’échappait des sacs lui donnait l’eau à la bouche. Elle avait vraiment la dalle. Ils ne tardèrent pas à arriver à l’hôtel, et Calliope laissa Gabriel s’occuper de demander une chambre. Les sacs remplis et odorants dans la main, la belle attendait près de lui, jusqu’à ce que la carte magnétique de la chambre soit remise au policier.

Le suivant dans l’ascenseur, et puis dans les étages, la rousse repensait à leur folle nuit. Dans son malheur, elle avait quand même eu la chance de tomber sur Gabriel. Et puis, mariés, ce n’est pas si terrible… Ils s’entendaient bien, après tout.

Arrivés dans la chambre, elle posa les sacs sur la table de l’entrée. C’était plutôt spacieux, et le lit avait l’air tout à fait confortable. Mais elle désirait manger avant tout. S’asseyant sur un fauteuil, elle déballa alors le contenu des sacs sur la table. C’était un McDonald. Aussi gras que ceux qu’il y avait en Europe. Moins que ceux qu’il y avait aux USA, mais plus que ceux qu’on trouvait habituellement au Japon. C’était d’ailleurs le seul McDonald de Seïkusu qui soit plutôt traditionnel, et pas à base de tofu ou elle-ne-savait quelle autre merde végétarienne.

« Bon appétit ! »

La jeune femme mordit à pleine dents dans son hamburger. Elle avait pris quatre hamburgers différents, en tout, avec deux boîtes de vingt nuggets, et quatre grandes frites. Pour la boisson, du coca faisait l’affaire. Et évidemment, elle avait pris pleins de sauces différentes.

Elle mangea deux des hamburgers, affamée, avant de se calmer un peu, et de picorer dans les frites en buvant son coca. L’une des deux boîte de vingt nuggets partit aussi vite que les burgers, et elle put finir ses frites et son coca.

Rassasiée, elle se cala sur sa chaise, retenant un soupir de bien-être.

« Je vais à la douche. J’ai bien besoin de ça je crois… Une looongue douche chaude… »

Il pouvait d’ailleurs tout à fait la rejoindre, mais le but premier, c’était de se décrasser un peu. La suie, ce n’était pas très glamour.

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Les alentours de la ville / Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]
« le: jeudi 05 février 2015, 18:55:44 »
Ses sens étaient chavirés. Calliope souriait contre les lèvres de son pseudo agresseur. Le jeu de rôle ne lui déplaisait pas. Et ce fantasme inavoué de viol consenti, ça la rendait toute chose.

Quand il sortit sa lame, elle n’eut pas un frisson de terreur. Elle voyait qu’il était dans le jeu, dans son rôle. Elle frissonna plutôt d’anticipation, et se mordilla la lèvre en voyant la lame déchirer ses vêtements, ne faisant que la frôler. L’acier, plus frais que sa peau échauffée, provoqua mille et un frissons à l’endroit où elle passait. Puis il le rangea, et d’une main, vint torturer avec délice l’un de ses seins.

Quand il donna son ordre, elle frémit, mais son sourire s’agrandit. Sans un mot, alors qu’il déballait son service trois pièces, elle glissa contre le mur, finissant par s’agenouiller devant lui. Ses mains vinrent alors explorer l’organe mis à nu, curieuses, malicieuses. Elle serra délicatement les bourses entre ses mains, tandis que ses lèvres s’approchèrent de la verge…

… Et passèrent au-dessus, venant plutôt embrasser le bas-ventre de l’homme en le fixant dans les yeux. Bien vite, cependant, elle fit revenir ses lèvres sur la chair tendue devant elle, et parcourut la peau veinée de la pulpe de ses lèvres, dardant sa langue comme pour la goûter…

… Avant de l’engloutir. Ses lèvres arrondies autour, elle aspira la peau, fit cogner le sexe érigé contre le fond de sa gorge, et recommença, plusieurs fois, son petit manège. Enfin, sa langue se décida à le torturer, se glissant contre la texture veinée de la hampe, alors qu’elle commençait à exécuter de lents mouvements de vas-et-viens.

Ses mains continuaient de flatter les testicules, les serrant entre ses doigts, les malaxant avec tendresse. Elle prenait son travail très à cœur, comme si sa vie en dépendait. Elle se glissait dans le rôle de la victime de viol, menacée, qui exécutait les moindres désirs de son tourmenteur avec l’espoir de s’en sortir en vie.

Et encore, et encore, sa tête allait et venait sur la longueur du membre, le rendant luisant avec sa salive. Elle suçait avec application, et bientôt, la fougue de leurs baisers se retrouva dans ce geste. Respirant par le nez, à petits coups, la rousse gémissait de façon étouffée. Bientôt, elle se retrouva haletante. Elle délaissa alors le sexe turgescent pour venir cajoler les bijoux de famille dont s’occupaient ses mains, venant les aspirer entre ses lèvres, suçotant la peau tendre avec délicatesses, tandis qu’une de ses mains remontait, venant enserrer fermement la chair rigide entre son pouce et son index. Elle serrait et coulissait, en rythme, avec ardeur. Ses lèvres délaissèrent les bourses, laissant sa seconde main s’en occuper, et revinrent aspirer la verge érigée. Sa main continuait de serrer, et elle continuait de faire aller l’organe plus profondément entre ses lèvres, le faisant cogner contre sa gorge, encore et encore, sans cesser de laisser ses gémissements s’étouffer.

20
Le temps semblait avoir arrêté son cours, pour la rousse haletante. Elle ne savait plus quelle heure il était, ou depuis combien de temps ils étaient ainsi. Tout ce qu’elle savait, c’était que c’était putain de bon, et qu’elle prenait un pied d’enfer. Son corps souple se courbait sous les coups de reins du démon, alors qu’elle criait à s’en casser la voix. Elle plaignait ses voisins. Ou, tout au moins, elle les plaindrait si elle avait les idées claires. Elle faisait un boucan de tous les diables. Si quelqu’un appelait la police pour tapage, elle n’en serait pas étonnée.

« Alastaaaar ! »

Elle avait l’impression de flotter, de nager, dans un océan de désir, de plaisir. Son corps était parcouru de frissons. Sa peau était aussi brûlante que le feu au creux de ses reins. Elle criait à s’en faire mal à la gorge, mais elle n’en avait cure. Le flot impétueux du plaisir noyait son bon sens, et la forçait à venir s’échouer sur les rivages de l’orgasme, encore et encore.

Quand elle ressentit l’instant où le Diablotin aussi se libérait en elle, elle gémit à nouveau, creusant les reins pour l’accueillir au plus profond d’elle. Et quand il se retira, libérant alors le trop plein en elle, elle gémit à nouveau, essoufflée. Le liquide chaud coula entre ses cuisses, déclenchant une nouvelle vague de frissons.

« C’est… Mmm…. Délicieux ! »

Complètement chavirée par la jouissance, Calliope avait les yeux mi-clos. Un sourire étira ses lèvres alors que son amant lui faisait part d’une envie. Elle se redressa, étirant légèrement son corps, avant de se retourner pour faire face au démon. Elle se mordilla la lèvre inférieure, et son regard quitta celui d’Alastar pour descendre jusqu’à cet appendice encore luisant qui venait de quitter le confort chaleureux de son entrejambe. Elle approcha ses lèvres, les arrondissant pour laisser passer le membre toujours dur de façon à ce qu’il soit constamment en contact avec elles. Elle aspirait en même temps, l’invitant à se nicher toujours plus loin.

Ses mains étaient venues se poser sur les hanches de l’amant diabolique, le rapprochant d’elle à mesure qu’elle faisait disparaître le sexe érigé entre ses lèvres carmines. Sa langue se mit à l’ouvrage, alors qu’elle commençait à initier un mouvement de coulissement lent, et langoureux. Elle creusait les joues, l’aspirant jusqu’à ce qu’il touche le fond de sa gorge, et le repoussait, toujours en l’aspirant, nettoyant la peau rouge de leurs précédents ébats.

Puis, peu à peu, le rythme se modifia, devenant plus rapides, plus… Hachés. Elle prenait plaisir à lui faire cette gâterie, et y mettait tout son cœur. Ses cuisses serrées retenaient le flot humide qui ne cessait de vouloir s’échapper, les rendant collantes. Et ses mains vagabondaient sur le corps parfait de l’incube, descendant doucement vers les bourses cachées, pour les malaxer.

De temps à autres, ses lèvres relâchaient leur étreinte sur la verge tendue pour venir aspirer ces dernières, les suçotant avec malice, puis elles revenaient à ce sucre d’orge qu’elle dégustait. Quelques fois, elle relâchait tout, remettant en place sa crinière de feu, et venant parsemer de baiser le bas-ventre d’Alastar. Puis elle reprenait son ouvrage, avec toujours plus de passion.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]
« le: vendredi 30 janvier 2015, 12:47:50 »
Tremblante, la rousse se tenait serrée contre son amant. Elle était un peu en état de choc. Elle hocha la tête en réponse à Gabriel, et le suivit sans faire d'histoire vers le bar où il se dirigeait. Elle ne le quitta pas non plus quand il commanda son verre, ou quand il le but cul sec. Elle resta près de lui tout du long, et se tâtait à demander un verre de whisky elle-aussi.

« D'accord. Je te fais totalement confiance pour ça. »

Lâchant finalement le blond, elle s'appuya un peu contre le bar dégoûtant, se massant distraitement les tempes. Pendant ce temps, le policier graissa la patte du barman pour que le nommé Takéo soit conduit ici.

Se blottissant dans les bras de Gabriel, Calliope reprenait lentement ses esprits. Elle assimilait enfin l'explosion, et à la constatation qu'ils auraient pu être tués, ça la terrifia d'autant plus. Fini le jeu à présent. C'était très réel. Douloureusement réel.

« Et je crois qu'on a bien besoin de ça en ce moment... Sourit-il faiblement. »

La seule chose qui ne soit pas tragique, dans cette histoire, c'est finalement leur mariage. Valide ou pas, la rousse estima que c'était quand même la meilleure chose qui aurait pu lui arriver. Et surtout, c'était le meilleur homme qu'elle aurait pu trouver.

Tendant la main pour attraper le verre, elle le but cul sec également. Secouant la tête lorsque la brûlure de l'alcool la sortit un peu de sa torpeur, elle esquissa un pâle sourire.

« En attendant d'être sûr que mon appartement soit sain... Que dirais-tu d'un petit hôtel ? »

Pas un motel miteux, un bel hôtel, classique, où ils pourraient se reposer tout leur soûl. Elle ne demandait pas un cinq étoiles, quoiqu'elle ne serait pas contre, mais ils n'avaient sûrement pas les moyens. Et puis, du moment qu'il y avait une chambre propre, une salle de bain et un room service, pourquoi demander plus ?

Elle n'eut pas le temps de pousser plus loin sa réflexion que l'homme envoyé quérir par Gabriel arrivait.

« Ah, Valmy. Ça m'étonnais aussi, de ne pas t'avoir vu dehors. Quand j'ai entendu que ton quartier était victime d'une explosion, j'me suis dit que tu avais dû t'attirer quelques emmerdes hahaha. »

Puis il jeta un œil sur la rousse, et son sourire s'élargit.

« Et pas que des emmerdes à ce que je vois. Joli petit lot, mon gars. Un peu trop typé occidentale pour moi... Mais les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas hein... Tu lui as promis de ne pas l'envoyer en tôle si elle te faisait des passe gratuites, hein ? C'est p'tet son mac qui a fait exploser ton appart... »

Humiliée, offusquée, Calliope se redressa. Et le coup partit tout seul. Pas une gifle, comme le font les petite nénettes d'ordinaire. Non. Un bon direct du droit, en plein dans la mâchoire. Et la force n'était pas négligeable, malgré le faible gabarit de la rousse.

« Je. Ne. Suis. Pas. Une. Prostituée ! Déclama-t-elle en détachant ses mots, et dans un japonais parfait. »

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Certaines femmes rêvent parfois de jouer des scénarios osés avec leur partenaire. Un inconnu, un docteur... Parfois même; il y avait le fantasme du viol. Un viol consenti bien sûr. Rien de plus qu'une relation par surprise, par comédie, brutale et passionnée. A cet instant, c'est exactement ce à quoi pensait Calliope, l'esprit brumeux et le corps totalement sous l'emprise du barman. Elle frissonna quand il parla de la violer, encore et encore, et c'est un gémissement qui lui répondit. Elle devenait vraiment folle de désir.

Et quand la machine était lancée... Rien ne pouvait l'arrêter, normalement. Pas même la pensée de Gabriel. Elle tenait à lui, mais là, elle était à plusieurs lieues de penser à lui. Elle n'arrivait qu'à imaginer la suite des événements.  Le récit cru de Johnny la fit frémir d'anticipation. A part peut-être la partie avec la bouteille de bière.

Elle se cabra entre ses bras quand il taquina sa poitrine du bout des dents, ses mains s'accrochant à lui avec une fougue nouvelle. Ses tétons pointaient à présent, fièrement dressé vers celui qui avait su éveiller la passion en elle.

« Tes... Oh... Tes frères ? »

Interpellée par ce détail, la rousse releva la tête, fixant le barman dans les yeux. Elle se perdait dans ces prunelles magnifiques, assombries par le désir.

« Oh ce... Mmh... C'était une blague ? »

Elle rit doucement, et retourna l'embrasser, ses lèvres venant agacer son cou après avoir quitter sa bouche. Mais l'idée d'une tournante restait imprimée dans son esprit. Elle n'en avait pas gardé un bon souvenir. Dans le passé, c'est contrainte et forcée qu'elle avait dû se laisser faire. Et elle s'était promis de ne plus subir ça. Elle se rendit compte alors qu'elle ne connaissait vraiment rien sur ce Johnny. C'était excitant, mais en même temps, elle pensait à son passé, et à ce que sa naïveté avait causé.

« Johnny... »

Elle aurait voulu lui dire qu'elle devait rentrer. Qu'il n'était pas sage de continuer. Pourtant, en croisant son regard, la rousse s'interrompit. Les mots restèrent bloqués dans sa gorge. Et ses mains, agissant d'elle-même, essayaient de déshabiller le barman en commençant par la chemise.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]
« le: mercredi 28 janvier 2015, 00:44:57 »
Elle attrapa la télécommande avec agilité. Un sourire aux lèvres, elle le laissa se lever. Oui, s'ils commençaient à regarder un porno, surtout tourné par eux... Il était plus que certains que ça ne finirait pas en scrabble. Elle s'assit donc sur le lit tandis qu'il filait à la salle de bain après l'avoir embrassée. Son regard le suivit un instant, avant de se poser sur la télé. Vraiment, elle se demandait comment elle avait été, derrière la caméra. Ce serait intéressant à regarder. Enrichissant, peut-être même.

Mais Gabriel revint assez vite, l'air un peu ennuyé. Il annonça qu'il n'avait plus de préservatif. Elle hésitait. Elle était prête à prendre le risque de faire sans, mais quand elle ouvrit la bouche pour abonder dans le sens du policier, il la coupa, s'exclamant brusquement. Elle n'eut pas le temps de le questionner en plus, comme il finit par revenir, affolé, et l'entraîna avec lui pour fuir l'appartement. Elle le suivit sans poser de questions, dévalant les escaliers quatre à quatre, avant de se retrouver projeter au sol, autant par l'explosion qui l'assourdit brutalement que par son amant qui la protégeait.

Elle se redresse difficilement, avec Gabriel, et se frotte les tempes. Le bruit de l'explosion laisse une espèce de résonance aigu dans ses oreilles, mais elle n'a rien de grave.

« Oh... Ouais... Ce devait être... Vraiment pas cool... »

Elle était terrifiée aussi à présent. Elle serra convulsivement la main de son amant. Elle sourit faiblement à sa blague, et se blottit contre lui, tremblante. Elle voulait rentrer chez elle à cet instant, en sécurité.

« Tu... Tu viens ? Faut pas qu'on appelle tes collègues, ou un truc comme ça ? On peut aller chez moi bientôt ? »

Elle ne savait pas exactement la procédure à suivre, mais elle était pressée d'aller au chaud, avec lui, pour se remettre de ses émotions.

24
La présence du Diablotin en elle était vraiment délicieuse. Si Calliope n'avait jamais eu de chance avec les hommes, elle s'avérait néanmoins affamée dans le domaine du sexe. Elle ne résistait jamais face à un homme rentrant dans ses critères. Alors Alastar... Il était plus que dans ses critères. Il exsudait la sensualité, littéralement, et ça avait suffit à la rousse pour qu'elle tombe sous le charme.

Les yeux mi-clos, la belle étrangère ondulait sous les coups de reins puissant du démon, oubliant parfois même qui elle était. Son esprit était enfiévré par le désir. Par la fièvre du sexe. Elle suçait avec application, passionnée, souhaitant rendre le plaisir qu'il lui donnait. Elle se cambrait au maximum qu'il lui était possible, gémissant tant qu'elle le pouvait, malgré sa bouche occupée.

Un bref instant, elle s'étonna de ne pas ressentir la douleur du frottement de ses genoux contre le sol carrelé, mais elle oublia bien vite cette pensée alors qu'il déverse son plaisir en elle. Elle manque de s'étouffer, mais réussit à en avaler une grande partie. Elle gémit sourdement quand la liqueur légèrement salée coula de la commissure de ses lèvres.

« Alastar... mh... »

Sa voix est profonde et sensuelle, marquée par des accents plus aigus quand le plaisir se fait plus pénétrant.

« Encore... Oui...

Encore des compliments, songeait-elle, sous le charme. Encore des sursauts de plaisir... Elle aspira encore cette appendice caudale qui venait de décharger une belle quantité de sperme entre ses lèvres, enfiévrée. Elle remuait comme elle pouvait, possédée par le désir et le plaisir. Elle se cabrait, elle ondulait contre les coups de reins du diable qui la ramonait. Elle était brûlante. Elle était ensorcelée.

« Oh ouiii... »

Elle n'en pouvait plus, et pourtant, elle en redemandait. Son amant était exceptionnel. Elle se devait de l'être tout autant. Elle en avait réellement envie.

25
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 27 janvier 2015, 21:50:19 »
Haha, je me coucherais moins bête ce soir alors.
Même si je ne suis pas sûre de m'en souvenir demain.

21h50, Après le dîner, RP again <3

26
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 27 janvier 2015, 20:15:00 »
Merci Anzo x)
(J'ai grave envie d'écrire "Enzo" dès que je vois ton pseudo)

20h14

27
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 27 janvier 2015, 19:52:12 »
Et de deux. Plus que treize réponses à faire.

19h51, Tu m'fais rire Kyô o/

28
Prélude / Re : Le Corbeau ? TG, CM ! [Valilouvée !]
« le: samedi 29 novembre 2014, 13:56:46 »
Vraiment hyper classe :3
Bienvenue o/

29
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 28 novembre 2014, 15:22:05 »
Haha cool <3

15h21 *Tire Law dans un coin sombre*

30
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 28 novembre 2014, 15:19:55 »
Oh oui, augmentes-le :3

15h19 : J'viens de manger. Mais j'ai encore faim. D:

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