Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Calliope Tick

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Sujets - Calliope Tick

Pages: [1]
1
Les alentours de la ville / Emménagement et cohabitation [Gaby]
« le: vendredi 06 février 2015, 15:57:12 »
Depuis l'explosion de l'appartement de Gabriel, quelques jours plus tôt, Calliope et lui avaient beaucoup discutés. Ils se donnaient une chance, en tant que coup, et elle lui avait naturellement proposé de venir s'installer chez elle. C'était un studio, placé un peu à égale distance de tout, largement assez grand pour eux deux. La disposition n'était pas mauvaise non plus. En entrant, après le petit hall d'entrée, il y avait une porte vers le salon-salle à manger. Spacieux, et sobre. Calliope ne l'avait pas trop décoré. Un bar à l'américaine séparait la cuisine de la salle à manger. Une seconde porte, dans le hall, menait dans un couloir. D'un côté, la chambre de la rousse, avec un grand lit deux places, et un dressing. Une porte coulissante menait à une grande salle de bain aussi. Et de l'autre côté du couloir, une pièce vide, qui lui servait pour le moment de débarras. Pourtant, la pièce était grande aussi, et ferait un parfait bureau. Mais elle n'avait pas vraiment le courage de l'aménager de suite.

Ce jour-là, c'était le jour J. Celui où Gabriel emménageait. Ouvrant la marche, Calliope venait de montrer le garage où il pourrait ranger moto et voiture. Elle avait montré aussi la cave. Qui ne servait à rien pour le moment, mais qui était là. Et, les clés à la main, elle commença à déverrouiller la porte du studio. Troisième étage, avec ascenseur, ça allait. Ce n'était pas trop mal placé.

« Bon, et bien voilà. A droite, tu as, salon, salle à manger et cuisine. A gauche, d'un côté chambre et salle de bain, de l'autre une pièce que j'utilise pour l'instant comme débarras, et au fond du couloir, les toilettes. Tu n'as plus qu'à faire comme chez toi. »

Son sourire s'étira sur ses lèvres, alors qu'elle refermait derrière Gabriel. Allant directement dans la cuisine, elle prit une tasse qu'elle rempli de lait chocolaté, avant de la mettre au micro-onde.

« Tu veux quelque chose à boire ou a manger ? »



Spoiler: plan de l'appartement. (cliquer pour montrer/cacher)

2
Les alentours de la ville / Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]
« le: mardi 09 septembre 2014, 15:56:24 »
Calliope était étendue sur un transat, à la piscine municipale, profitant d'une belle journée ensoleillée. Depuis quelques temps, sa vie n'était pas des plus calmes. Le point d'orgue s'avérant être la rencontre entre Gabriel et elle. Le policier était à se damner, et ils s'étaient retrouvés mariés, à cause d'un abus de boisson. Leur soirée mouvementée avait été épique, presque désastreuse et mortelle, mais ils avaient su s'en tirer remarquablement bien. Ils formaient un bon duo.

Elle l'avait quitté deux jours plus tôt, ayant des affaires à régler hors de la ville, et venait de revenir à Seïkusu.

Allongée là, en bikini, la rousse pianotait sur son téléphone. Elle envoya un petit texto au blondinet.

Calliope : "Salut beau gosse. Je suis de retour en ville. Tu veux qu'on se voit ?
Bisous <3"


Elle eut un sourire en repensant à lui, et éteignit l'écran du téléphone, le glissant dans son sac.

L'heure qui suivit, elle plongea, et nagea un peu, savourant la chaleur de l'eau contre sa peau, et la fraîcheur de l'air quand elle en sortait. Puis, finissant de se sécher, elle décida d'aller boire un café dans un bar méconnu du quartier de la Toussaint.

Elle connaissait bien les lieux, y venant souvent. Le barman était habitué à sa présence, et lui offrait toujours un verre sur deux.

« Salut Tyler, lança-t-elle, toute guillerette. »

Il n'y avait jamais beaucoup de monde dans ce bar, mais aujourd'hui, c'était presque vide. Arrivant au comptoir, après avoir fait la bise au barman, elle demanda :

« Et bien, c'est la crise aujourd'hui ? »

Tyler rit, et secoua la tête. Il expliqua qu'un autre bar avait ouvert aujourd'hui, et que le clients étaient curieux. S'installant sur un des haut tabouret, Calliope commanda un café noir. Elle prit également des petits biscuits pour aller avec.

Un quart d'heure après son arrivée, Tyler dut d'absenter. Il chargea un nouveau de gérer le bar en son absence, et serra Calliope dans ses bras avant de filer.

Seule avec le nouveau venu, et les quatre clients disséminés dans le bar, Calliope rouvrit son téléphone, et surfa sur le net, lisant des articles de l'actualité, ne faisant pas spécialement attention à ce qui se passait dans le bar.

3
« Tu es sûre ? Ce n'est pas un peu dangereux ? »

La voix hésitante, Calliope croisa les jambes sur le canapé. Elle dirigeait son regard incertain vers une petite japonaise dont les cheveux étaient péroxydés.

« Mais oui. C'est sans dangers. Selon le livre, le démon sera prisonnier du cercle de sel et de cristaux. Il sera obligé d'obéir aux moindres de nos ordres. »

Peu convaincue, la rousse regarda tour à tour ses quatres amies. La japonaise blonde, Nana. Puis une petite coréenne aussi brune que la nuit, Ayaka, et aussi menue qu'une enfant. Son regard passa ensuite à Jill, une européenne exilée. Blonde aussi, mais plus sulfureuse que la japonaise. Et enfin, elle termina avec Octavia, la débauchée. Franco-Japonaise, brune, et terriblement sensuelle. Décadente. Rassurée par la détermination de ses amies, Calliope se leva, et rejoignit le cercle qu'elles formaient sur le parquet de son salon. Elle leur donna la main, et psalmodia avec elles le soit-disant rituel.

Nana jetait des ingrédients dans un espèce de chaudron fumant. Puis elle fit passer, parmi elle, une dague effilée. Les autres filles évitèrent soignement de se couper, embrassant délicatement la lame. Mais Calliope se montra plus maladroite, et elle s'entailla la lèvre inférieur, dans le coin droit. Une goutte de sang tomba sur l'argent de la lame. Poussant un petit gémissement, la rousse lécha sa lèvre, et rendit la dague à Nana qui la plongea dans la mixture bouillonnante.

Alors, avec les autres, Calliope récita son texte, peu convaincue cependant.

« Viens, je t'en conjures, et exauces mes désirs les plus profonds. Viens, et obéis-moi. Je t'appelle, démon. »

Grand silence. Seule la musique mystique mise par Octavia troublait le silence dans l'appartement. Elles attendirent un moment. Dix minutes peut-être. Mais rien ne se passa. Découragée, et un peu soulagée, Calliope se leva. Les autres filles étaient déçues. Elles ramassèrent le matériel en silence. Puis, se saluant, les filles finirent par partir, laissant Calliope seule.

Calant tout le matériel du rituel dans un placard, elle partit prendre une longue douche chaude. Quand elle en sortit, dégoulinante, la salle de bain était embuée. Elle s'enroula dans une serviette éponge, et alla dans sa chambre. Malgré la pénombre, elle se dirigea sans encombre vers son armoir. Elle en sortit une petite culotte en dentelle et en coton, blanche, et l'enfila une fois séchée.

Laissant tomber la serviette sur le séchoir, elle se glisse alors dans ses draps, appréciant la douceur et la fraîcheur du satin. Mais quelque chose la chiffonnait. Une... Une présence ?

Elle tourna la tête. Son lit était plutôt grand. Et, de l'autre côté, une silhouette sombre. Dans le noir, elle ne distinguait rien de plus que les contours. Mais ça lui suffit. En sursautant, elle manqua de tomber du lit. Se réfugiant au bout du matelas, serrant le drap de satin contre elle, elle laissa échapper d'une voix qui se voulait imposante (mais dont le résultat n'était guère probant) :

« Qui êtes-vous ? Que faites-vous ici ? »

4
Le coin du chalant / Idées & RPs
« le: dimanche 06 juillet 2014, 14:21:30 »
Message supprimé. Veuillez-vous réferez à ce sujet là, merci <3

5
106-8713 Seïkusu-to,
Minami-ku Minato-Azabu,
6-67-99,
Mlle Calliope Tick.

   Calliope. Ma chérie. Tu me manques tant.

Je ne dors plus sans toi, je ne fais que te voir tout le temps. Je rêve éveillé à ta sublime chevelure de feu. Ton teint d’albâtre sous mes doigts hâlés me manque. Tes yeux d’émeraude hantent mes pensées en permanence. Le souvenir du galbe de tes lèvres couleur cerise m’obsède. J’aimerais tant que tu reviennes, que tu viennes nicher ton adorable menton volontaire dans mon cou pour cacher la petite fossette que tu n’aimes pas, que tu puisses me sourire à nouveau. Je suis fou de toi, et de ton corps aux courbes si douces, surtout lorsque tu viens te coller à moi, te frotter contre mon torse… Calliope, reviens-moi je t’en prie. La paume de mes mains était parfaitement adaptée à ta poitrine ronde et ferme. J’aimais sentir ton corps se cambrer contre moi, tenir tes hanches généreuses, effleurer tes fesses bombées… Oh Calliope…

Tu dois me trouver fleur bleue, mais tu étais la chaussure adaptée à mon pied, tu étais (et tu es toujours) mon âme sœur. Tu es celle qui me fait vivre. Mon cœur ne bat que pour toi. Mon corps te demande, et mes pensées me harcèlent. Je te sais rancunière, mais tu connais la notion de repentir, de pardon. J’ai été naïf de croire que je pouvais te tromper, et entretenir plusieurs femmes à la fois. Mais j’ai compris. Tu n’es pas partageuse. Tu aimes être unique, et tu souhaites laisser un souvenir inoubliable à chaque personne que tu côtoies. Je suis désolé, sincèrement, de t’avoir blessée. Je te connais. Malgré ton air hautain, et inaccessible, tu as mal. Laisses-moi réparer mes erreurs, laisses-moi guérir les blessures que j’ai infligées à ton petit cœur sensible. Tu as le cœur sur la main, et je regrette de tout cœur de t’avoir blessée. J’ai abusé de ta générosité, et de ta confiance. Je t’en conjure, je rampe à tes pieds pour te supplier, laisses-moi te faire oublier ma trahison. Je serais fidèle, je te le jure.

Aimes-moi à nouveau Calliope, comme je ne n’ai jamais cessé de t’aimer.

      Rin Itô.


L’air sombre, Calliope froissa la lettre. Elle prit soin d’en faire une toute petite boulette de papier, ayant du mal à cacher la rage et la douleur qui l’ont saisie en lisant ces mots.

Rin Itô était son ex-fiancé. Ils avaient prévus de se marier au mois de Mai 2015, mais heureusement, elle a découvert à temps qu’il entretenait, en plus d’elle, trois maîtresses. Toutes trois d’une origine ethnique différente. Il y avait eu Jun Tanaka, une petite japonaise décolorée avec de gros seins siliconés. Il y avait aussi eu Teri Costello, une italienne brune toute en formes généreuses, factices elles aussi. Il y avait également Maureen Balievka, une splendide femme russe, blonde, qui avait autant de chaleur qu’un iceberg. Et puis il y avait elle, Calliope Tick, une irlandaise de naissance, rousse et volcanique.

Elle avait aimé Rin. Sincèrement. Découvrir autant de secrets l’avait anéantie. Il lui avait fallu six mois pour s’en remettre. Et alors qu’elle commençait à reprendre goût à la vie, une lettre de Rin venait gâcher sa renaissance.

Se tournant alors vers le feu, la belle rousse lança la boulette de papier avec dextérité. La force du lancer donna une impulsion qui fit que la boulette rebondie sur une bûche, avant de tomber à l’arrière du foyer, se consumant lentement. Un peu comme la jalousie qui l’avait rongée quand les soupçons sur la fidélité de Rin sont apparus.

Elle se détourna de l’âtre, et saisi son téléphone. Un IPhone 5s, tout juste sorti d’usine. Il ne tarda pas à sonner. Elle aurait voulu préméditer ce coup du sort qu’elle n’aurait pas pu le faire.

« Calli’ ? »

De l’américain. Ce ne pouvait qu’être Susan.

« Oui Sue. Tu vas bien ?
— Très bien. Dis-moi, tu es toujours au Japon ?
Oui, oui. Je songe à m’y installer définitivement.
— Oh. On ne te verra plus alors.
Vous pourrez toujours me rendre visite, ou je viendrais en vacances.
— Mais on ne pourra plus faire la tournée des bars chaque vendredi soir…
Il y a toujours Amber et Cass’.
— Ce ne sera pas pareil, sans toi.
Et puis, il y a Skype, chérie. Et les textos.
— Calli’… Tu ne veux vraiment pas revenir à Boston ?
Non. Je ne peux pas. Je ne veux pas.
— Tu sais, j’ai vu Tim l’autre jour. Il est toujours célibataire.
Tim ? Tu essaies de me recaser avec Tim ?
— Enfin, Calli’. Il est temps que tu songes à te poser, et à faire des enfants… Tu as presque vingt-six ans !
Je me fiche de ça, Sue. Et puis, il est hors de question que je revienne pour Tim, alors que j’ai justement quitté le pays à cause de lui. Entre autres choses.
— Calli’…
Bonne journée Sue.
»

Raccrochant rageusement, Calliope réfréna son envie d’apprendre à voler au téléphone. Mais ce n’était pas de sa faute à ce petit truc. C’était de sa faute à elle. C’était ses problèmes qui resurgissaient comme ça.

Vingt-six ans plus tôt, Calliope était née et avait grandi à Boston. Ses parents, médecins, étaient rarement là. Elle avait vite été dissipée. En classe, elle était bonne élève, mais pas très studieuse pourtant. Toujours à bavarder, à jouer à droite et à gauche.

Quand l’adolescence est arrivée, les délinquants aussi. Traînant avec les mauvaises personnes, faisant les mauvais choix, Calliope a eu beaucoup de contacts avec la police. Garde à vue, arrestation, simple sermon… Elle a été finalement inculpée pour possession et consommation de stupéfiants. Incarcérée en centre pour délinquants juvéniles à l’âge de quinze ans. C’est dans ce centre qu’elle a rencontré son premier amour. Elijah. Un type renfermé, mystérieux, tatoué. Pile le type de garçon qu’elle affectionnait, à cette époque.

Ils sont sortis ensemble au centre. Pendant un an, ça a été parfait entre eux. Puis Elijah est sorti, deux mois avant elle. Quand elle l’a recontacté, à sa sortie, il avait replongé, et se complaisait à baiser des putes. Première déception.

Décidée à se reprendre en main, Calliope fit plusieurs formations. Infirmière, secrétaire et animatrice de petits talk-shows passant sur des chaînes locales. Elle fréquentait toujours ses anciens camarades dealeurs, braqueurs et faussaires. Elle leur blanchissait l’argent, principalement. Pourtant, elle finit par céder, et rendre « service » à un ami. Elle accepta d’escorter des hommes les soirs de week-end. Ça rapportait pas mal, et elle n’était pas obligée de faire ce qu’elle ne voulait pas. Pourtant, elle était toujours dans l’illégalité.

Un jour, alors qu’elle avait dix-neuf ans, Timothy Kol, un fonctionnaire de police infiltré, lui demanda d’être son indic’. En échange de quoi, il tairait son implication dans les affaires de drogues et de blanchissement d’argent. Elle accepta, et livra ses amis, le cœur serré. C’était ça, ou la prison pour elle. Surtout que Timothy exerçait une pression sur elle. Il menaçait d’aggraver les faits. De l’inculper pour meurtre, prostitution, et autres crimes.

Le temps s’écoula, et même si Timothy était bel homme, il était tordu. Il était mesquin, sadique et graveleux. Plusieurs fois, il la força à coucher avec lui. Usant de force si nécessaire.

Le déclic se fit à la mort de ses parents. Calliope empocha l’héritage, et passa par un avocat pour demander à ce que Timothy Kol ait une interdiction de l’approcher. Par la suite, elle fit ses bagages, et alla vivre chez une de ses tantes, à Kyoto.

A vingt-trois ans, elle avait commencé à apprendre le japonais. Elle travaillait dans un bar, pour se familiariser. C’est là qu’elle a rencontré Rin. C’était un type mignon. Il l’avait abordée au bar, et il l’avait draguée durant de longues semaines. Ensemble, ils avaient perfectionné le japonais de Calliope. Et ils ont fini par sortir ensemble. Rin avait été étudier à Oxford, en Angleterre, et il connaissait donc bien l’anglais. Plutôt pratique pour aider sa nouvelle copine à assimiler le japonais.

Un an plus tard, ils se fiançaient. Un an après, Calliope découvrait les multiples liaisons de son fiancé. Et elle le quitta. Elle partit s’installer à Seïkusu, trouvant un travail comme secrétaire pour un PDG dans la mode. Et voilà, alors qu’elle était parvenue à retrouver une certaine joie de vivre, qu’on lui rappelait Rin et Tim.

Séchant les quelques larmes de rage qui avaient coulées, Calliope pianota sur son IPhone, appelant une de ses collègues et amie de travail. Juul Makoto.

« Juul ? C’est Calli’. Vingt-heures, au Bronze. On va s’éclater le crâne. »

Elle avait besoin d’oublier. De s’aérer l’esprit. De s’évader.

Âge : 27 ans.
Race : Humaine.
Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle.
Situation de départ : Expérimentée.
Points particuliers :

- Calliope à tendance à choisir les hommes qui lui sont néfastes. Des voyous, ou bien des hommes infidèles, ou encore, des cinglés psychopathes pervers. C’est un peu comme une sorte de malédiction. Chaque homme qui lui plaît n’est pas un homme sain. Encore que, les voyous, ça passe plutôt bien. Il arrive qu’ils soient violents, mais jamais avec elle.
- Elle a aussi tendance à boire beaucoup en soirée. Et à ne pas tenir l’a   lcool. Depuis qu’elle est au Japon, elle s’est déjà pris des cuites mémorables. Ou, plutôt, dont elle ne se rappelle absolument rien. Ces trous de mémoires sont nombreux.
- Rien n’a été diagnostiquée pour le moment, mais il se pourrait que Calliope soit stérile.
- Même si elle ne le veut pas, Calliope se fourre toujours dans les ennuis.

DC ? Yup. Je met la liste.

- Camille Temple ;
- Cindy Terreur ;
- Catalina Taylor ;
- Calliope Tick ;
- Cassandre Trésor ;
- Christy Torres ;
- Charis Trident ;

Pages: [1]