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Messages - Ludmilla

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Non, elle n'avait pas émit le moindre son. Ni quand ce sale type était venu la regarder, essayant de jouer avec comme l'on s'amuse d'un chaton affaibli. Ni quand on l'avait sortie de sa cage sans douceur, la traînant sur le sol sans aucune considération. Ni même quand cet homme dégoutant passa une laisse autour de son cou, manquant de lui arracher ses nombreux colliers. L'habitude, sans doute. Sa peau meurtrie rougit davantage en effleurant les pavés qui constellaient le sol de ce préau sordide, et elle manqua de s'ouvrir la main avec un morceau de verre qui traînait, là. Elle ne dut son salut qu'à ce sale type, qui tira violemment sur la laisse pour qu'elle se dirige vers lui. Un hocquet. Mais pas un son. La jeune esclave le laissa la tripoter sans rien dire, laissant juste une maigre grimace transparaître sur son visage si doux. Encore une fois, elle ne protesta pas, n'hurla pas comme l'aurait fait une autre esclave, encaissant silencieusement sa dignité qui s'égrenait. Son regard d'écume s'égarait sur la contemplation du sol, des murs, mais ne se perdait jamais à regarder un être humain. On pouvait prendre cela soit comme du mépris, soit comme une soumission certaine. Ou un peu des deux.

Le seul son qui outrepassa la barrière de ses lèvres arriva pour trahir sa douleur, au moment où il la jeta sur le chariot. Ludmilla se releva, prenant appui sur les paumes de ses mains, sans broncher. Et quand il s'approcha d'elle, elle ne remua pas non plus. La jeune fille en était venue à se dire que ce n'était qu'un mauvais - voir très mauvais, vu l'allure de cet homme - moment à passer. Et cela prit fin. L'esclave ne put s'empêcher de lever un moment les yeux vers cet homme, qui semblait fort noble, et à qui elle devait le salut - au moins temporaire - de sa virginité toute fraîche. Et son nouveau propriétaire se retira. Je suis une perle tombée d'un collier. Au mauvais endroit. Au très mauvais moment. Ludmilla se cala contre le mur, pour regarde ce type s'éloigner, sans rien ajouter. Tous ses bijoux tintérent dans cet ultime effort, tandis qu'elle fermait les yeux.

Ne plus voir. Ne plus parler. Ne plus entendre. C'en était presque libérateur. Et elle savait que cela la ménerait au sommeil. La nuit avait été bien trop courte pour elle, et l'épuisement griffait ses muscles, au point qu'elle se mette à rêver d'un sommeil réparateur. Les cris, de cette nuit, provenait des plaintes d'une esclave qui se faisait soit battre, soit violer par leur propriétaire. De temps en temps, il en choisissait une. L'idée même que cela puisse être elle, là, qu'il choisisse, la terrifiait encore. Elle ne put s'empêcher de caler sa tête contre le sol, s'installant en position allongée avec tout le naturel du monde. Après tout, elle n'était qu'une esclave ... Dormir ainsi, sans se soucier d'une quelconque dignité, était devenu son lot quotidien. Un soupir, et elle ferma les yeux. Un autre, et le sommeil vint la happer. Elle avait cru comprendre qu'ils feraient route, cela lui laisserait le temps de reprendre un peu ses esprits.

Ce qu'ignore Ludmilla, c'est ce qu'il se passe quand elle dort, étant donné que ça se passe, justement, quand elle dort. Ce qu'une personne aurait pu voir, là, à cet instant précis, c'est le corps de la jeune esclave qui se dissout dans l'air, jusqu'à devenir une petite boule lumineuse, blanchâtre. Une petite boule qui, d'un coup d'un seul, s'évapore vers les cieux. Car, si l'on ne voit pas les étoiles en plein jour, cela n'empêche aucunement Ludmilla de rejoindre une constellation quelconque pour s'y réfugier un moment. Son absence devenait l'effluve même de la nuit. Si William, ou un autre, avait le regard dardé sur elle à ce moment, croyez-moi, il n'aurait rien compris. Mais alors rien.

Car n'oubliez pas qu'il est impossible de réveiller une étoile. Il faut attendre que ce soit elle qui en fasse le choix.


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C'est un cri qui la réveilla. Un cri suraigue, qui eut le mérite de la faire grimacer comme une enfant contrariée. Le corps dissous de Ludmilla redevint celui d'une jeune femme, et elle atterit à nouveau sur ce matelas aussi froid et dur que le marbre, quittant à regret son statut d'étoile perchée hors de la réalité, au creux du cosmos. Son regard bondit vers la lucarne, là, à côté d'elle. Dehors, il faisait encore noir. La lune, dorée, dodelinait dans le ciel, et les étoiles semblaient s'entrechoquer silencieusement. La jeune fille remonta sa couette sur ses jambes, et se surprit à trembler. De froid. De peur. Elle n'en savait foutrement rien. Un battement de cils, et ses paupières se couchérent sur ses orbites. Puis ce cri résonna à nouveau dans cette immense salle, où dormaient tous les esclaves à vendre. Elle put sentir que certains remuaient sur leurs couches, intrigués et effrayés. Cette fois, elle se redressa carrément, cherchant à se diriger vers ce son inquiétant ... Mais elle tomba. Les liens à ses pieds, l'empêchait de remuer comme bon lui semblait. Elle serra les dents, s'emmitoufflant dans cette couette dont l'odeur la répugnait, lui rappelant celle de caves dans lesquelles elle avait pu se cacher, un jour, pour éviter des coups trop violents. Ludmilla secoua la tête. Cesse de penser. Il fallait qu'elle dorme. Cette nuit serait son dernier répit avant la vente.

Et bien, évidemment, elle ne parvint pas à se rendormir. Si bien que, le lendemain, lorsqu'à 7 heures, on installa les esclaves, enchainés dans des cages, sur le marché de Nexus, Ludmilla avait ce regard fuyant et épuisé propre aux insomniaques. Les mains et les pieds libérés de leur carcan, la petite s'agita dans cette cage bien trop grande pour elle. On aurait pu y faire tenir quatre comme elle en largeur, mais elle ne pouvait même pas tenir debout tant la cage était basse. Elle avait la sensation d'être un animal de foire, que l'on regarde en ricanant, à qui l'on jette des piècettes ou de la nourriture. Oubliant sa situation dégradante, la jeune fille prit la peine de bailler, quand son propriétaire s'approcha d'elle. Pour venir clouer, sur le devant de la cage, une pancarte. Les coups de marteau la firent couiner, tant la cage remuait, tant elle en était assourdie. Son unique réflexe fut de se replier sur elle-même, au centre de la cage, en espérant que cela cesse vite. Et cela se conclua sur un coup de pied rageur de son propriétaire, qui fit remuer violemment le carcan tout entier, et Ludmilla par la même occasion.

- Tu as intêrét à ne pas trop remuer, petite conne !

C'était son surnom, ça. Petite conne. Depuis un an, on la nommait ainsi, au point qu'elle en oublie son véritable patronyme. La jeune esclave se faufila vers un des coins de sa cage, pour espérer y lire ce qu'il y avait d'inscrit sur cette foutue pancarte.

"L. 20 ans. Née à Nexus. Vierge. Calme et docile."

Elle poussa un long soupir. C'était donc à cela qu'on la reconnaissait, maintenant ? C'était ces 10 mots-là qui décrivaient sa vie et ce qu'elle était ? Elle n'avait même plus de prénom, juste une lettre ... Elle envoya un coup rageur contre un des barreaux de la cage ... Mais cela lui fit plus de mal que de bien. A nouveau, elle couina, venant embrasser cette plaie comme l'aurait fait une mère qu'elle aurait pu avoir. Dans une autre vie. Je suis perle tombée d'un collier, au mauvais endroit, au mauvais moment, songea t'elle en baissant les yeux sur sa peau rougie. Je suis tombée sur du velours. Personne ne m'a entendue. Personne ne s'est baissé pour me ramasser. Puis elle se cala dans un des coins de la cage, proche du mur, en éprouvant la fraicheur un moment. Un vent frais, de ceux que l'on ne croise que le matin, vint la faire frissonner, tandis qu'elle remettait correctement son sari.

Une tenue rouge, orange, dorée, gravée de milles motifs exotiques. C'était là sa seule toilette. Le plus amusant, sur elle, ce n'était pas ce vêtement atypique, mais bien la quantité de bijoux qu'elle pouvait porter, pour une esclave. Des bracelets aux chevilles, dont l'un était couvert de clochettes qui tintaient quand elle dansait. Et puis, d'autres bracelets, en cascade, sur ses poignets fins. Une ribambelle de boucles d'oreilles. Et une myriade de colliers, comme des amulettes. Elle ressemblait à une princesse déchue. C'était aussi triste que beau.

Calée contre ce mur, elle ferma un moment les yeux, pour éviter les regards de ces gens qui la dévisagerait sans peine. Autour d'elle, tous les esclaves s'agitaient, hurlant, proférant des insultes dont elle ne soupçonnait même pas l'existence, cherchant à mordre ceux qui s'approchaient de trop près. Bandes de sots, vous vous ferez battre, pensa t'elle, sans le dire. Car, oui, Ludmilla ne parlait plus. Depuis presque un an. Elle couinait, parfois, pour exprimer sa douleur. Elle murmurait, souvent, des comptines pour rassurer ses comparses. Mais cela faisait un an qu'elle avait oubliée le son de sa propre voix. Cela n'embêtait pas plus que ça ses propriétaires, qui préféraient une esclave muette plutôt qu'une hystérique. On n'exige pas d'une esclave qu'elle ouvre sa gueule, juste qu'elle la ferme et qu'elle encaisse.Ce qu'elle faisait depuis sa naissance, en somme. Alors, elle resta là, immobile, les jambes repliées contre sa poitrine, maintenues par ses bras nus, le visage et les yeux fermés. Il était agaçant de deviner, tout de même, malgré ces barreaux et ce lieu insalubre - une sorte de préau immense suitant l'alcool et la sueur - qu'elle restait délicate, et presque noble.



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Prélude / Re : La petite esclave [VAL.]
« le: samedi 09 juin 2012, 17:25:26 »
Merci beaucoup  :D

Ludmilla, je l'adore ** Comme mes 1538920585217 autres personnages, mais bon.

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Prélude / Re : La petite esclave [VAL.]
« le: samedi 09 juin 2012, 17:17:59 »
Tu ne vois pas mon avatar ... ? Zut'. Euh. P'têt parce que c'est une image qui bouge.

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Prélude / Re : La petite esclave [VAL.]
« le: samedi 09 juin 2012, 17:14:33 »
Je sais que tu plaisantais  :D

'puis j'aime bien embêter mes collègues. Aussi.

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Prélude / Re : La petite esclave [VAL.]
« le: samedi 09 juin 2012, 16:54:15 »
Haha, toutafé !

... Etant moi-même modératrice, je pourrais me valider, mais bon. Non, non, non, ce n'est pas bien.

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Prélude / Re : La petite esclave [VAL.]
« le: samedi 09 juin 2012, 16:49:38 »
Je suis en train de réaliser que Ludmilla est le personnage a qui j'ai offert le plus de ... retouches, disons. Promis, c'est la dernière éè

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Prélude / Re : La petite esclave [VAL.]
« le: samedi 09 juin 2012, 16:38:20 »
J'ai modifié ma fiche ... Y'aurait-il moyen de la valider à nouveau ? (:

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Prélude / Re : Vael Aurea : Une âme au rabais. (Valithé)
« le: samedi 09 juin 2012, 15:06:12 »
Bienvenu parmi nous !  :)

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 09 juin 2012, 15:05:00 »
... J'adore ma famille, en vrai.



15 : 05

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 22 décembre 2011, 01:11:44 »
Entre Mano et ça, y'a pas photo ... ( Ce screamo est ban-dant. Si j'ose dire ... Oh, et puis j'ose, on s'en cale. )


01 : 12

EDIT : Coucou la chaine où un fantôme te balancera dans les égouts si tu ne la renvoies pas. Ohlalala. J'ai peur.

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Blabla / Re : J'épouse, j'esclavagise, je tue
« le: jeudi 04 août 2011, 14:36:58 »
Mmh, j'épouserais volontiers Isis

J'esclavagiserais ... Lilith et Sya ?

( Je ne peux tuer personne, voyons ... )



Je propose Sandji, Miya, Kyo-Sama.

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Les alentours de la ville / Re : Kichigai ! Shine !
« le: mardi 26 juillet 2011, 00:15:18 »



Un cinglé. Ce type était un cinglé. Balbutiant des " Putains " à tour de bras, cherchant un refuge quelconque, Ludmilla le fixait, les yeux exorbités. D'où sortait-il ? Elle l'avait regardé faire, sans ciller, terrorisée et immobilisée. Jamais elle n'avait eu aussi peur ... Et elle avait d'ailleurs toujours aussi peur. Elle recula lentement, butant n'importe où, tombant même en arrière plusieurs fois. Son agilité lui ordonnait de se relever, ce qu'elle faisait sans se ramasser sur le sol. Elle poussa un cri de peur, quand elle le vit la regarder.

Elle était vue. Elle était certaine qu'elle allait mourir. Crever. Clamser.

Le peu de conscience qui lui restait lui ordonna de trouver un refuge. Il y avait quelque part, peut-être, une maison encore debout, ou un renfoncement. Une cachette. Il me faut une planque, putain, une planque. Elle pria quelques divinités, avant de se retourner et de courir, haletante. Pieds nus, elle bondissait sans problèmes. Le visage de cet être était ancré dans son esprit, comme un cauchemar qui vous suit jusqu'au réveil, qui vous hante. La peur lui ordonna de crier, tout en courant, puis le souffle lui manqua. Elle s'arrêta un moment. Bon, tu la fermes, tu cours. Elle s’exécuta, et prit un tournant, entrant dans une rue vaste et peuplée de demeures dévastées.

- Je dois me cacher ...

Elle se murmurait à elle-même des ordres, comme pour ne pas oublier la mort qui la suivait. Elle trouva un arbre, immense, et grimpa sans problème se cacher dans les feuillages.

- Merde, merde ... merdemerdemerde.


Elle s'efforça alors de calmer sa respiration, afin de conserver toute discrétion.

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Les alentours de la ville / Re : Kichigai ! Shine !
« le: vendredi 15 juillet 2011, 16:54:28 »
( Quelques minutes avant le chaos )

- Je ne veux plus jamais te voir ici ! Tu m’entends ?!

En un éclat de secondes, la jeune femme fut éjectée hors de sa maison, des valises plein les bras, les yeux embués par les larmes. Elle se retrouva au sol, et tenter de se relever pour une ultime réplique qui pourrait la sauver. Mais, à voir son mari, elle en déduisit qu’il n’y avait plus rien à expliquer. Il avait appris qu’elle l’avait trompée une bonne centaine de fois, qu’elle trainait dans des maisons de joies, qu’elle fréquentait prostitués et prostituées. Le coup de trop … A peine rentrée, il lui avait jeté au visage ses valises, ses bijoux, et l’avait mise dehors.
Elle s’apprêtait à entrer à nouveau dans la riche demeure qu’était la sienne, mais se prit les pieds dans son sari et s’étala sur le sol. Elle portait encore cette tenue rougeoyante, dorée, rempli de motifs ethniques, qui lui était chère. Elle revenait de la maison de son amant « régulier », et s’était fait avoir. Il l‘avait suivie. Elle aurait dû s‘en douter … Pauvre conne. Elle tapa contre la porte du poing, et abandonna. C’était foutu. Jamais elle ne pourrait retourner dans cette maison, et avoir tout cet argent sous la main, ce luxe ambiant, cette sensation de faire partie de la haute société. Elle ragea à nouveau, et pris ses valises sous la main. Elle s’éloigna de son ancienne maison, jeta ses affaires dans une grotte environnante, creusée par l‘érosion, et sursauta violemment. Une explosion. Un cri. Des bruits, partout. Dans un élan, elle se jeta dans la grotte en hurlant de peur, cherchant un refuge. Elle pressa ses mains contre ses oreilles, repliée sur elle-même, les yeux fermés, essayant d’ignorer le chaos.

Le temps parut une éternité. Tout tremblait autour d’elle, tandis qu’elle se maintenait en vie, dans ce recoin de la ville, le cœur battant. Elle sortit de la grotte, tremblante et choquée, scrutant les environs. Putain, qu’est-ce qu’il s’est passé ? Un tremblement de terre, une explosion nucléaire ? Elle joignit les mains dans une ultime prière, bien décidée à chercher de l’aide. Elle laissa là ses valises, marchant au milieu du chaos. Elle avait, pour la première fois, réellement peur. Son cœur menaçait de bondir hors de sa poitrine.

- Qu’est-ce qu’il se passe … ?

Elle cherchait le moindre signe d’une vie, n’importe quelle vie. Elle perçue le bruit d’une femme courant, non loin d’elle, et se dirigea dans la même direction qu’elle.

- Mademoiselle ! Mademoiselle !


Hurla t’elle, emplie d’espoir. Elle se mit à courir, ainsi, pieds nus sur le sol, son bracelet de cheville orné d’une clochette résonnant dans le vaste silence. Elle la perdit des yeux, mais essaya de deviner sa position. Et se stoppa, interdite, en voyant brusquement le corps de la jeune femme sur le sol. Et personne aux alentours. Elle reprit sa respiration, terrifiée, adossée contre le reste d’un mur, cherchant la moindre aide autour d’elle.
Elle prit la décision de s’approcher du corps de l’inconnue, espérant que celle-ci soit encore en vie, et brava le chaos environnant, prenant le risque de s’accroupir à ses côtés. Elle est morte. Merde. La jeune femme chercha le moindre indice indiquant la cause de sa mort, et vit la trace de la lame sur sa gorge. Elle releva les yeux, chargés de larmes d’angoisse, et chercha désespérément la moindre présence autour d’elle. Il n'y avait personne, personne d'autre qu'elle. Alors, Ludmilla se releva, se remettant en route, vers une destination inconnue, errant comme une âme en peine.

Il fallait qu'elle trouve de l'aide, et vite.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 15 juillet 2011, 15:26:31 »
Mes chats s'appellent Sacha ( à la base, c'était un nom temporaire parce qu'on ne savait pas si cette créature était un homme ou une femme. C'est un mec. Et on aime le charrier quand il course des souris " Attrapez-les tous ! " U.U )  et Jazz ( une femelle noire et blanche qui se la joue " J'agresse ... le vent et tes jambes et je saute sur les murs ". Elle est un peu limitée. )

Les deux aiment te regarder avec un air blasé.

Les deux aiment aussi sauter sur ton assiette dés que tu tournes la tête.

Les deux aiment aussi cacher des cadavres d'oiseaux dans toooooute ta maison.

... ( et gueuler comme des porcs qu'on égorge dés qu'ils ont faim )



Un chat, c'est opportuniste.


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