Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Vaelh

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Incroyable. Bien que la Déesse n'était pas aux Enfers et donc que ses pouvoirs étaient amoindris, bien que Vaelh donnait absolument tout ce qu'il avait... Elle ne craquait pas. Elle s'amusait même d'être aussi désireuse, mais sans jamais verser dans la folie. Oh, Vaelh se jura qu'il faudrait qu'il la rencontre aux Enfers, d'abord pour pouvoir prendre sa revanche et la soumettre à toute l'ampleur de ses pouvoirs, mais aussi pour qu'il subisse lui même la puissance maximale de la Déesse. Ce serait une rencontre... Historique ! On s'en rappellera comme le jour où plaisir et tentation se s'affrontèrent pour au final ne faire qu'un.
Parallèlement, de folles idées naquirent dans l'esprit malmené du démon. S'il réussissait à écraser la Déesse sous le plaisir, dans son propre palais, pourrait-il prétendre l'avoir vaincu ? Si oui, cela impliquait-il qu'il pouvait prendre sa place, son statut ? Sinon, être l'amant favoris d'une Déesse pouvait-il aider être propulsé aux devants de la scène ?

Il aurait aimé y penser plus souvent, mais d'autres vagues d'envie le submergèrent cruellement, le tirant de ses pensées. La puissance du don de la Déesse semblait ne jamais décroître, comme s'il était une machine qui, une fois entraînée, ne perdait jamais son élan. Mais qu'est ce que ça pouvait être bon ! L'Incube n'avait jamais autant désiré une femme de toute sa vie. Tout son corps lui hurlait de la prendre, de la posséder ; son coeur battait si fort qu'il menaçait d'éclater, son cerveau secrétait des doses d'endorphine records qui perturbaient complètement ses pensées en noyant son intellect sous des sensations d'extase et de satisfaction. Et que dire de son membre qui commençait à se dresser glorieusement, chaudement...

Les baisers tendres et les mains de la Déesse n'arrangèrent rien à la situation du démon. Encore une autre vague d'extase désireuse, si puissante qu'elle aurait tué un humain, vint le frapper. Il ne put retenir une suite de discrets gémissements qui transportaient avec eux des brides de ses pouvoirs. Si elle les entendait, Kalianna serait forcée de faire face à un désir encore plus grand. Les sons que produisait la gorge de l'Incube était anormalement envoûtant, excitant... Et nul doute qu'il en pousserait d'autre si la Déesse s'appliquait.

La voix de la Déesse -un véritable nectar pour les tympans- se fit entendre comme dans un rêve, à la fois si lointaine et si proche. Vaelh était littéralement écrasé par son pouvoirs, si bien que ses perceptions étaient brouillées. Il lui fallut un gros effort de concentration pour lui répondre.

Si, je connais le poids de tes mots. Mais que pourraient-il m'apporter ? Que pourrais-tu dire à mon propos qui me soit avantageux ? Il laissa s'écouler un instant puis, dans le plus merveilleux et lubrique des sourires, souffla : ah, peut-être vas-tu raconter à quel point il t'a plu de connaître pour la première fois le véritable orgasme avec un Incube ? Vaelh vacilla, heureusement que la Déesse était proche, elle l'aida à garder son équilibre. Avec un air provocateur, il ajouta : Après pareille expérience, crois moi, tu auras très envie de m'inviter maintes et maintes fois dans ton palais.. Et aux Enfers, le plaisir que tu ressentiras n'en sera que plus grand.

Sonné par le désir, il ne remarqua que maintenant qu'il était torse nu. Sa peau pâle était parcourue de symboles étranges à la signification occulte. Ils étaient minuscules, mais s'imbriquaient les uns aux autres pour former de plus grosses runes, qui elles même s'assemblaient les unes aux autres pour construire des marques plus imposantes. En fait, l'ensemble du torse et du ventre du démon était le support d'une grande rune constituées d'une infinité d'autre symboles. Selon l'angle à partir duquel on regardait le tout, le symbole changeait littéralement de forme pour adopter des géométrie perverties, corrompue. La magie de tels tracés résidaient dans le fait que, même si la Déesse ne pouvait les lires, ils lui transmettait d'avantage de visions d'extase. C'était comme les comprendre sans pouvoir les déchiffrer.
En dessous de ces tatouages se tendait la musculature parfaite du démon, développée dans le but de plaire. Ses muscles fermes et fins lui donnait une silhouette d'athlète toute en souplesse. Sa peau y était délicieusement tendue, bouillante... Et semblait inciter Kalianna à y poser ses lèvres pour la goûter.
Avoir enfin une pleine vue sur le torse nu du démon pouvait agir comme une révélation chez la Déesse. Comme si... On lui avait raconté toute sa vie des contes et légendes qui évoquaient un être merveilleux, parfait, et qu'elle le tenait enfin en face d'elle.
Et tout ça, elle pouvait le toucher, le posséder.

Puis il remarqua que sa main avait été guidée sur la poitrine de la Déesse. Il sourit, ravi de se dire qu'un tel geste était la preuve charnelle que la Déesse le désirait vraiment. Cette petite victoire fit enfler son courage. Il vissa son regard enfiévré dans celui de Kalianna, lui promettant silencieusement une extase comme elle n'en n'avait jamais connu, puis avec une douloureuse lenteur entreprit de décrire de simple petit cercle sur ce grand sein offert. Sa main y était plaqué, s'enfonçant subtilement dans cette colline de chair ferme tandis qu'elle y appliquait un massage sensuel. Brusquement, l'Incube concentra tout son don de plaisir dans ce contacte, foudroyant littéralement la Déesse d'une vague d'extase irrésistible. Il avait tellement envie d'elle qu'il fit s'intensifier son don à un point jamais atteint, la soumettant à une infinité de visions dans lesquelles elle se laissait pétrir la poitrine d'une multitude de manières différentes. Les visions étaient si nettes, si puissantes qu'il n'était même plus possible de faire la différence avec la réalité. Ainsi... La déesse était, pour l'heure, condamnée à se laisser masser la poitrine dans une infinité de vie différentes, mais simultanément. Là, l'Incube massait avec force et rage ses deux seins, les pétrissant comme deux balles de pâtes, lançant à la Déesse un regard fou de désir, en lui soufflant nombres de coquineries ; ici, Vaelh était allongée sur elle, répandant mille et un baiser sur ses seins, n'hésitant pas à sucer délicatement leurs extrémités tendues ; là, l'Incube venait d'arracher avec sauvagerie le misérable petit bout de tissu qui préservait la poitrine de la Déesse, avant de l’entraîner au sol pour l'y soumettre. Dans cette vision -ou peut être était-ce la réalité ?-, l'Incube écrasa ses lèvres contre celle de la Déesse, avant de se dresser sur elle pour lui imposer la présence de son intimité raidie entre ses deux montes de chair avant d'y commencer des vas et viens sensuels.
Tout ceci sembla durer une éternité. Éternité durant laquelle la Déesse n'avait absolument plus de repère. Elle ne pouvait que contempler l'infinité de visions, subir tout l'improbable plaisir qu'elles engendraient, et se demander où était la réalité.

Vaelh arborait un sourire carnassier, excité au possible. Kalianna était la Déesse de la tentation, et il avait perdu son duel contre elle. Il avait été tenté, soumis à un pouvoir trop puissant pour lui. Mais... Kalianna n'était pas la Déesse du plaisir. Et le plaisir, Vaelh en connaissait un rayon dessus. Il en avait fait sa spécialité et sa raison d'être.
La Déesse avait gagné la première manche, mais ce sera bientôt à elle d'implorer que Vaelh ne cesse jamais ses caresses. Il en bouillonna d'envie. Il fantasma en s'imaginant le corps de la Divinité secoué de spasmes de plaisir incontrôlables... Quelle délicieuse vision. Il se perdit dans ses pensées, laissait la Déesse subir sa torture pendant encore de longues secondes, avant de faire cesser les vision. La Déesse était de retour dans la réalité et pouvait sentir l'Incube qui caressait son seins avec une tendresse touchante, comme pour la rassurer.

As-tu fais bon voyage ? Lui souffla-t-il sensuellement en faisant mention aux visions. Je suis sûr que tu as vu de merveilleuses choses. Et tu en verras bientôt beaucoup plus. Oh oui, tellement plus...

Vaelh jeta à la Déesse un regard qui sous entendait qu'il connaissait nombre de tours plaisants. Avec lenteur, il se pencha pour poser un baiser sur le haut de son sein puis, avec une habilité étonnante, priva la Déesse de son haut, exposant ses appâts opulents à l'air libre. Il se perdit dans leur contemplation en se mordillant la lèvres, serrant son bassin contre celui de sa partenaire. Ces collines étaient simplement merveilleuses, si bien qu'il ne put résister à l'envie d'y coller son oreille pour entendre le coeur de la Déesse battre en dessous. Il se régala de ses palpitation anarchique avant de revenir poser sa main sur le sein de la Déesse pour le masser pensivement, saisissant parfois son extrémité jusqu'à sentir le tout se durcir douloureusement. Il fixa à nouveau la Déesse, son expression sensuel se changeant en un masque de malice. Il souffla :

Tu m'as tenté. Tu as gagné cette première bataille. Mais tu vas perdre la suivante. Maintenant jouons selon mes règles. Il aurait voulu se détacher, mais l'envie de rester contre la poitrine de la Déesse était beaucoup trop fort. Trop de tentation ! Hm... Souhaites tu ressentir... "plus" ? Si oui, montre moi ce paysage que j'ai mendié tout à l'heure. Il souffla, plus bas encore, plissant les yeux et détachant chaque mot : tout de suite, Kalianna.

Il avait sciemment employé son prénom, sous entendant ainsi que malgré le fait qu'elle soit une déesse, il pouvait parler comme si elle était son égal.

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L'expression délicieusement malicieuse de la Déesse de la Tentation confirma à Vaelh qu'il s'était en fait dirigé droit dans un piège. Il pensait avoir plus ou moins le contrôle de la situation, il s'était persuadé que cette Divinité ne devait pas être tant diabolique que ça... Et voilà que toutes ses certitudes se lézardaient, fragilisées par le doute. Une violente onde d'incertitude chatouilla son coeur, fit se tarir légèrement son sourire narquois... Et ses craintes se firent encore plus grande quand la Déesse lui exposa sa stratégie. Elle avait retourner l'avantage de Vaelh contre lui, ni plus ni moins.
L'Incube, ultra-sensible de nature, fut si vexé, si bafoué qu'il eut envie de meurtre. Une telle colère fit s'enflammer son sang déjà bouillant. Mais en même temps... Il ressentait quelque chose d'étrange et d'inhabituel pour quelqu'un de son rang et de son caractère. Il savait maintenant qu'il était le jouet des désir de la Déesse, et que quoi qu'il fasse la Divinité aurait toujours un coup d'avance sur lui. Il eut conscience de n'être vu, malgré ses pouvoirs immenses, comme une distraction. Cette sensation était à la fois horrible et... Délicieuse. Il n'avait pour ainsi dire pas l'habitude de se trouver face à plus fort que lui. Et... Il avait un mal à l'admettre, mais se sentir si faible, si petit, si insignifiant face à une authentique Divinité du vice était jouissif. Il adorait ça au point que le pouvoir de charme de la Déesse fit encore plus durement effet sur lui, et au même moment elle lui imposa le contacte de ses doigts experts sur son torse. C'est précisément à cet instant que Vaelh perdit le duel de volonté contre la Déesse. Ses pouvoirs n'étaient tout simplement pas assez grand pour qu'il garde un semblant de conscience après un tel assaut de sensualité. Son esprit était plein de vision d'érotisme, plus intenses, plus excitante à chaque secondes qui passait. Les doigts de la Déesse contre sa peau le brûlait, et la sensation d'extase qu'il ressentit lorsqu'elle fit glisser sa main sur son intimité encore dissimulée... Indescriptible. Le corps de Vaelh réagit sur le champ, le sang affluant dans son bas ventre pour que ce relief sous sa ceinture devienne un élévation nettement dessinée qui croissait doucement, étirant  à chaque instant un peu plus le tissu.

De ce qu'il était capable de se souvenir, il n'avait jamais baigné dans une telle sensualité. Ses sens aiguisés étaient soumis à des stimulus quasi-meurtrier, si puissant qu'on ne savait plus s'il s'agissait de douleur ou de plaisir. Sentir la Déesse derrière lui, sentir sa main à cette endroit... Dire qu'elle venait juste, elle, la Divinité, de caresser du bouts des doigts toute l'ampleur du désir d'un Incube ! C'en fut trop, et le gémissement de pur plaisir qu'il libéra de sa gorge véhiculait une excitation telle qu'il ne manquerait pas de faire vibrer d'envie la Déesse.

Et zut. Il décida d'abandonner, se laissant subtilement aller contre le corps de la championne de ce petit tournois d'aguichement. Mais ça n'était pas grave, elle était une déesse, et lui un démon. C'était pure folie d'avoir pu croire qu'il l'aurait emporté. Il avait quand même bien lutter malgré son statut non-Divin. Le fait d'accepter la défaite, de se soumettre en quelque sorte, fit se briser quelque chose en lui. Les visions ne cessaient plus, elles étaient si bonnes ! Il en tira inspiration, et son don s'embrasa, gagnant une puissance phénoménale pour frapper la Déesse de plein fouet. S'il devait perdre, il emporterait son adversaire dans la folie avec lui ! Son pouvoir de charme vint lécher la Déesse au moment où il se retourna pour se ruer contre elle, lui imposant le contacte de ses lèvres fiévreuses contre les siennes. Un tel baiser déclencha dans tout le corps de sa partenaire des frissons de plaisirs qui s'apparentaient à une véritable extase. La chaleur était suffocante, et pour ne rien arranger, il transmit tout ses désir à la Déesse. Ainsi, toute ces envies qu'elle lui imposait se retournèrent contre elle, et elle fut confronté à son propre pouvoir.
Avec sauvagerie, il donna à la Déesse surprise un second baiser si chaud, si fougueux, que le précédent n'était rien en comparaison. Sans même attendre, il entre ouvrit sa bouche pour que sa langue agile passe entre les lèvres de la déesse pour venir caresser sa propre langue. Ainsi, les deux organes entamèrent un ballet d'érotisme pendant lequel l'Incube rendu complètement fou ouvrit les yeux pour fixer la femme. En tant que Divinité de la Tentation, elle n'eut pas de mal à comprendre le message : "vois comme je suis habile de ma langue, et imagine là ailleurs". Pour illustrer ses propos implicite, il fit décrire à sa langue un mouvement de subtile va et viens dans la bouche de la déesse, avant d'y décrire quelques cercles.

Mais ça n'était pas tout. Tout son corps était pressé contre la responsable de sa folie. Elle avait voulu ronger la patience de Vaelh, et elle y était arrivé. Sa récompense fut de sentir onduler le corps musculeux du démon contre le siens. Ses ondulations souples, subtiles, presque serpentines faisait s'appuyer son torse contre la poitrine de la Déesse, l'écrasant avec envie, et permit au relief de son intimité tendue de venir clairement s'appuyer contre l'entre jambe de sa tortionnaire pour y décrire des caresses suivant un mouvement de va et viens. De telles caresses, à un tel endroit... Même si leur peau ne se touchait pas directement, la Divinité pouvait sentir entre ses jambes une chaleur incroyable, mais surtout un plaisir brut et soudain qui approchait déjà celui d'un orgasme.
Qu'est ce que ce serait, lorsque l'Incube passerait aux choses sérieuses ? Que la Déesse fantasme sur pareille question !

Au prix d'un effort incommensurable, il parvient à se détacher de quelque centimètres. Jamais il n'avait été aussi enivré, et la déesse devait le sentir, sinon le subir. Il plongeait l'esprit de cette femme sous des visions érotiques d'une puissance complètement débridée, provoquant une excitation telle que, même si elle était une déesse, elle pouvait avoir un peu de mal à les dominer. Mais elle pouvait sentir que sa proie était à point... Vaelh lui souffla d'un ton qui n'était plus que désir.

Tu gagnes cette bataille, Déesse. J'ai tant perdu ma raison que le contrôle sur mon corps, tu sens ça ? Fit-il en imprimant un mouvement souple à son bassin, qui fit se glisser son intimité voilée entre les jambes de la Déesse, sur toute sa longueur. Je suis forcé... Un gémissement. D'admettre que tes pouvoirs sont grands. Mais tu es une déesse. Il semblait pensif, poursuivant toujours ses assauts sensuels sans cesser de fixer la démone. Et si maintenant tu me parlais de ce moyen de me faire connaître ? J'aurais tant à t'offrir en retour...

Sa voix s'était faites mystérieuse, si bien que la Déesse sut qu'il devait détenir quelques sombres secrets sur des domaines qui lui plaisaient.

Et... Hm... Oh, donne moi encore plus envie ! Maintenant. En es-tu seulement capable, ou donnes-tu déjà ton maximum ?

C'était une provocation. La Déesse allait-elle y répondre ?

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L'Incube fut grandement satisfait de voir que son petit sous-entendu égrillard avait fait mouche. Il lut le désir dans les yeux de la Déesse lorsque celle-ci comprit qu'elle aurait Vaelh tout entier si il obtenait satisfaction. Incroyable ! Le démon venait tout bonnement... De tenter la tentation elle même ! Une grande fierté lubrique l'étreignit, et sa curiosité fut exacerbée : pouvait-il donner encore plus envie à cette Déesse de le dévorer ? Et quelle curieuse Déesse d'ailleurs. Vaelh n'arrivait pas à la faire se braquer. Il se montrait discourtois, autoritaire... Mais rien. Elle faisait preuve d'un sang froid effrayant. En fait, Vaelh comprit rapidement qu'il ne s'agissait pas de sang froid dont la Déesse faisait preuve, mais d'assurance. Comme si... Tout ce qui advenait là était prévu, comme si l'issue de cette rencontre était inéluctable. Elle avait le contrôle...

La divinité se mit finalement en marche, aguicheuse, provocatrice et désireuse à souhait. Vaelh sentait l'aura de cette femme frapper sa conscience comme une furieuse tempête s'écrase sur une digue fragile, menaçant de tout engloutir. Son regard se fit lointain en même temps qu'il souriait béatement. Ces scènes, ces envies qui s'imposaient à son esprit était tellement excitante, même du point de vue d'un Incube, c'est dire ! Tout son corps vibrait, secoué par de puissant frissons de désir et par les battement fou de son coeur démoniaque. L'organe propulsait un sang bouillonnant dans -tout- l'organisme du monarque, si bien qu'à mesure qu'il suivait la Déesse en lui fixant les hanches, un délicieux fourmillement vint lui chauffer le bas ventre. Il ne put contenir un soupir, caressant sans même chercher à s'en cacher son bas ventre, avec la volonté d'apaiser ce feu vicieux qui brûlait dans ses entrailles. Tout son corps chauffait à un tel point que c'en devenait douloureux. Même le souffle lui manquait ! Impressionnant. C'était donc ça, faire face à Kalianna, Déesse de la tentation.

Il était à nouveau sur le point de craquer, le désir poussé à des sommets vertigineux, si puissant qu'il n'avait qu'une envie, et la Déesse devait s'en rendre compte : sauter sur elle, la déposséder de ses légers atours avec une fougue effrayante et lui donner ce qu'elle voulait tant à même le sol. Ça aurait été bestial, ça aurait délicieux... Mais ça aurait été trop tôt. Le démon souhaitait être aguiché comme jamais, littéralement rendu fou par le désir. Et la Déesse l'y aiderait.

Visiblement, elle connaissait le coin. Le cadre était idyllique, et le démon avait cette délicieuse impression qu'il avait été attiré en plein dans un piège de luxure ! La proximité qu'elle lui imposa ne l'aida pas à garder les idées claires. Les images qu'elle lui imposait... Son parfum surnaturelle... La douceur de ses caresses... Le simple fait de la voir... Tout ceci devenait si bon, si extatique que ça en devenait insupportable. Et Vaelh, pauvre fou qu'il est, continuait de mettre sa santé mentale en périls en n'opposant aucune résistance à tout ses désirs. Il en redemandait ! Oh, qu'il voulait tant s'effondrer sous le poids de trop grandes envies... La déesse devait n'avoir aucun mal à voir... "l'ampleur" du mal qu'elle lui faisait pour peu qu'elle daigne descendre les yeux au niveau de sa ceinture.

Étonnement, malgré sa délicieuse vulnérabilité, Vaelh réussit à se ressasser ses propres mots."Monts, collines et chutes d'eau !" L'Incube avait cru que la Déesse avait saisit ce sous-entendu là, mais elle avait tout pris au pied de la lettre. Il était un peu plus subtile certes, mais cette Femme n'était-elle pas le charme incarné ? Elle était censé en connaître un rayon sur les non-dits. Pourtant... Pour le coup, Vaelh fut prit d'un rire impromptu. Le son clair de son hilarité évoquait la chute d'une pluie cristalline sur des étendues de pierres précieuses chauffées par le soleil. Pareilles musique n'avait rien d'humain, mais par tout les Diables, qu'elle était belle...
En notant la surprise de son interlocutrice, Vaelh lui expliqua les raisons de ses rires d'un ton mi-amusé, mi-désireux.

Oh, navré... Mais c'est que tu es si naïve ! Oh oui, naïve ! J'ai souvenir de chansons, sagas et poèmes sur ton compte, dans lesquels tes talents de... Courtisane sont magnifiés ! Même certaines légendes parlent de toi. Des textes évoquent tes compétences dans le domaine de la chair, et comment tu en fit usage contre mille et un ennemis, les terrassant d'extase à la seule expertise de tes mains. L'on chante des louanges sur ta poitrine, sur ta chute de reins ! L'on glorifie ton timbre suave, ta capacité à faire fantasmer quiconque ose poser les yeux sur toi... Et tout cela est vrai, je l'admet. Mais malgré tout... Tu restes bien naïve. Innocente même. La preuve, tu n'as pas saisis ce que j'exigeais. Il s'approcha, si près que le relief qui se formait avec lenteur sous sa ceinture vint effleurer l'entre jambe de la Déesse. Il la fixa d'un regard de braise, consumé par une ardeur torride sans pareille. Un regard aussi chaud aurait suffit à faire tomber quiconque l'aurait croisé, du moment qu'il ne s'agissait pas d'une divinité.
Tu sais... Par "collines", je m'imaginais la découverte d'une lande merveilleuse, débutée par une plaine basanée, musculeuse, reliée à deux collines jumelles, fermes et charnues. Pour appuyer ses propos, il resta face à la déesse et fit courir ses doigts dans son dos, mettant tout son talent pour lui transmettre nombre de frissons de plaisir. Ses caresses étaient vectrice d'une telle magie que c'était comme si le dos de la Déesse était devenu érogène. Quand il mentionna les deux collines jumelles, Vaelh passa ses doigts sous les vêtements de la prédatrice pour effleurer directement son fessier, faisant mine de guider ses doigts toujours plus bas.
Et par "monts"... Je sous entendait qu'il m'aurait été plaisant de voir ces deux monts là, perchés plus haut, fermes eux aussi à n'en pas douter. Sa voix s'était teinté d'un furieux et soudain appétit animal. Encore pour illustrer ses propos, et parce qu'il en mourait d'envie, il déplaça avec une célérité déconcertante ses mains jusqu'à la poitrine de la déesse, jetant la délicatesse aux orties pour les pétrir très brièvement, mais avec une fougue si intense, si folle, que la Déesse pouvait en perdre la tête. Et c'était sans mentionner ses pouvoirs fantastiques qui transmettait un réel plaisir à chaque contacte ! Même si ses doigts n'avait pas traînés longtemps sur les seins de la Déesse, nul doute qu'elle avait dû ressentir quelque chose qui devait s'apparenter à un véritable orgasme à même sa peau.
Et par "chute d'eau"... Je m'imaginais une toute autre rivière, plus étroite que celle derrière nous, et qui laisse s'écouler une eau bien plus chaude. A cet instant, ses doigts glissèrent -enfin- le long du ventre de la Déesse avec une intolérable lenteur. Une véritable torture tant c'était délicieux ! Il dépassa avec une extase non dissimulé le nombril de la démone et glissa avec expertise l'une de ses mains sous ces petits bout de tissus qui lui barrait la route. Quelle fournaise ! Se savoir si près de l'antre des délices de la Déesse lui carbonisait le coeur d'une soif de sexe brûlante. Il descendait, encore et encore, jusqu'à ce que son majeur soit odieusement près de ce petit organe sensible sur l'intimité de la Déesse. Un millimètre, un seul, et il pourrait mettre le doigt directement dessus pour y décrire de délicieux petits cercles.
Mais dans une ultime bravade, sa main se retira, et il afficha un sourire cruel. L'insolence dont il faisait preuve l'enivrait, le rendait dingue. Qui d'autre aurait osé se comporter ainsi avec une authentique Déesse ? Lui seul en était capable ! Mais c'était douloureux pour lui également de faire durer les choses...

Tu ne m'as pas montré le paysage que j'attendais. Je suis... Déçu. Pour te racheter, tu peux me parler de ce moyen que tu as de faire de moi une célébrité, et peut être même un Dieu. pendant tes explications, guide moi vers ces contrées sur lesquelles que souhaite poser mes yeux. Et... Tu sauras que je ne résiste pas au désir. Regarde, mon corps ne peux pas mentir. Oh, si tu savais comme je te veux, hmm... Fit-il en reversant lentement et sensuellement sa tête en arrière, exposant sa gorge. Mais j'aime aussi savourer toute cette douleur que tu m'inflige. Je t'ordonne de m'en infliger plus. Je sais que me tourmenter te plait, et que tu dois trouver délicieux cette manière que j'ai de te regarder...

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Le cœur de l'Incube fut percé par un élan de vive frustration lorsque la Déesse choisit d'éluder ses questions plutôt que d'y répondre. Par tous les Diables, qu'il détestait ne pas obtenir ce qu'il voulait ! Sous le coup d'un saut d'humeur d'une incroyable soudaineté et intensité, Vaelh ne put contenir un froncement de sourcil exhaustif. L'espace de quelque infimes instants il détesta cette femme et n'avait que l'envie de la gifler. Mais lorsque les doigts experts de la Déesse vinrent flatter son pectoral, son ire fondit comme neige au soleil. Il était littéralement électrisé par toute cette ivresse transmise par ce simple geste ; comme sous l'effet d'une puissante drogue, son regard se fit vide. Quelles merveilleuses scènes de débauches lui imposaient la Déesse ! Chacun de ses fantasmes était magnifié et poussé à son extrême, son désir était aiguisé encore et encore, jusqu'à devenir si acéré qu'il pouvait aisément trancher les derniers liens qui maintenaient sa raison en place en son fort intérieur.

Il fut encore plus ardu de garder la tête froide lorsque le corps de la Divinité se lova avec une sensualité toute démoniaque contre le corps du noble Incube. Pour cette fois, Vaelh était forcé d'admettre qu'il avait trouvé quelqu'un avec de plus grands pouvoirs que lui. Quoi que... Peut être pas ! Il se rappela que depuis son incarnation, ses pouvoirs s'étaient atténués. Sans doute que dans les Enfers, les choses se seraient déroulées autrement. Pour l'heure tout portait à croire que ce serait lui la proie. Il n'avait pas l'habitude d'être vu comme une casse-croûte puisque c'était normalement lui qui dévorait autrui ; ça ne l'empêcha pas de trouver la situation enivrante. Tellement enivrante...

Comme à son habitude, il ne luttait pas contre le désir. Il le laissait l'enflammer, consumant sa raison petit à petit pour le conduire jusqu'à la l'extase mentale. Ses tourments étaient bien visibles, ses envies de débauches trahis par l'excessive dilatation de ses pupilles qui ne laissait de ses prunelles que deux fines corolles chatoyantes. L'on pouvait également voir sa carotide battre anarchiquement, pulsant puissamment son sang brûlant à travers tout son corps. Pareil désir aurait rendu fou un humain, broyant son esprit pour le faire retourner à l'état de stupide bête, mais en Vaelh coulait l'essence même du pêché de chair. Il ne manquerait certes pas de se jeter sur la Déesse pour livrer un corps à corps torride, mais ne verserait pas dans l’abîme de la déraison.

Coincé sous une pluie torrentielle d'érotisme, et trop enivré pour la faire cesser, Vaelh eut peine à comprendre ce que la Déesse lui soufflait. Toute sa concentration fut requise pour qu'il parvienne à mettre un sens sur ce qu'il entendait, et quand il y parvint, il ne put répondre que dans un soupir qu'on aurait aisément confondu avec le râle de jouissance le plus sensuel jamais entendu.

Étonnant... Est-ce là mon nom complet que je viens d'entendre ? Peu le retienne du premier coup. Quelle mémoire... A moins que tu ais déjà entendu parler de moi ! Ah, serais-je connu même jusqu'à notre panthéon démoniaque ?

Il vacilla avec indolence, se laissant doucement déporter contre le corps de la divinité. Son regard voilé de désir se braqua dans celui de son interlocutrice, et avec autant de subtilité que d'intimité, il fit se modifier  les visions qu'il imposait à la femme pour qu'elles reflètent celles qu'elle même faisait se générer dans l'esprit du démon. De cette manière, la Déesse  devint la spectatrice privilégiée des désirs imagés qu'elle provoquait chez Vaelh. Les visions étaient si claires, nettes, intenses, qu'il n'était plus possible de les dissocier de la réalité. L'espace d'un  bref instant, la démone pouvait se voir allongée à même le sol, subissant les assauts viriles de sa "proie". Le moment d'après, la scène se modifiait pour prendre place contre le tronc d'un des arbres des plaines, avec la Déesse qui s'y accrochait ferme pour ne pas se laisser déstabiliser par des coups de bassins trop vigoureux. Ainsi se succédaient plusieurs vue, chacune plus érotique que la précédente ; les dernières prirent même une tournure ésotérique, mettant en scène les corps couvert d'étranges symboles des deux démons qui s'ébattaient avec une ardeur impossible.
Et pour chacune des caresses ainsi imaginée, les sensations semblaient réelles. Quand les images cessèrent, la Déesses pouvait sentir refluer une authentique sensation de plaisir consommé mais ténue, comme si toutes les scènes avaient eut véritablement lieu, mais comme si elle s'étaient achevés depuis quelques instants. Là où les doigts de Vaelh avait imaginairement glissé sur -en- la Déesse persistait une intolérable sensation d'extase sourde ; là où la langue de l'Incube avait dérapé, la Démone pouvait sentir comme des sillons humides et bouillant qui provoquaient nombres de minuscules spasmes musculaires. Il y eut comme une sensation de vide, puis la femme se retrouva à nouveau face à l'Incube, dans la réalité. Il lui faisait face, si proche qu'il devenait douloureux de résister. Alors, dans un sourire d'une complicité touchante et d'une avidité effrayante, il souffla.

As-tu vu tout ce que tu m'inspires ?

Sans attendre de réponse, il approcha ses lèvres fines de celles de la démone. Dans le même mouvement, avec une grâce et une subtilité époustouflante, ses paumes glissèrent sur la peau de la Déesse, portées par des caresses d'une rare légèreté. Calculateur, il fit coïncider l'instant ou ses lèvres ne furent qu'à un misérable petit millimètre de celle de la Divinité avec l'instant ou sa main gauche et droite s'immobilisèrent plus près que jamais de son entre jambe et de sa poitrine opulente. Ses doigts étaient si proche de la peau de sa victime qu'elle n'avait plus aucun mal à se les imaginer sur elle. Les secondes s'étiraient, véritable torture de passivité. Il n'aurait fallu qu'un minuscule mouvement pour que la Démone obtienne ce qu'elle désirait, rien qu'un geste insignifiant... Elle pouvait sentir la chaleur fiévreuse de Vaelh qui irradiait de tout son corps, trahissant un désir incommensurable ; elle pouvait percevoir les battement de son cœur qui cognait à ses côtes comme un prisonnier fou furieux frapperait les barreau de sa cage pour qu'on le laisse sortir !
Bien sûr, le désir de faire sienne cette Déesse le consumait. Oh, par les diables, quand il s’abandonnerait, ce serait merveilleux, sauvage, primal. Mais pour l'heure... Il préférait prendre son pied autrement. En se nourrissant d'incrédulité et de frustration.
Alors il recula, comme ça, se soustrayant lentement mais inexorablement, laissant sa victime baigner dans une mare de désir en fusion sans la moindre pitié pour elle. Il exhala un souffle avant d'arborer un sourire tant joueur que moqueur.

Hmhm, pas maintenant... Je suis venu en ce lieu pour que ce soit la nature, par ses roches, ses cieux et ses plantes qui me régalent les yeux. Il fit quelque pas en fixant non plus la démone, mais le paysage. Il ne pouvait plus retenir ses frissons d'extases qui le secouaient parce qu'il faisait mariner une authentique Déesse ! Ah, il ne s'était pas amusé comme ça depuis si longtemps ! Et si je te demande de me montrer quelques merveilles naturelles de ce monde, hm ? Oh, au cas où tu demandes, il s'agit d'avantage d'une question rhétorique que d'une requête. Il claqua des doigts avec insolence. Alors passe devant, et montre moi monts, collines et chutes d'eau !

Un sourire luxurieux vint alourdir le sens de cette fin de réplique. La Déesse comprendrait-elle ? Et surtout, comment allait-elle réagir ?

Allez, en chemin ! Sois sûr que je te dévorerais du regard, Lish'ra, souffla-t-il. Evidemment, tout travaille mérite salaire. Si tes talents de guide sur le chemin des merveilles sont satisfaisant, tu seras rémunérée. Et je suis quelqu'un de ... Généreux

Vaelh n'ajouta rien de plus, pas même un geste. Le message était pourtant on ne peut plus claire : "peut être vais-je payer en nature".
A la déesse de faire ses choix.

215
A l'instant même où la déesse posa ses doigts sur les lèvres fines de Vaelh, il fut électrisé. Comme c'est le cas avec les créatures versées dans l'art du charme, les contacts physique ont tendance à décupler les désirs déjà ressentis. L'Incube ne fit pas exception à la règle. Il aurait normalement dû craquer et se jeter sur le femme, sauf qu'il n'avait pas l'habitude d'être attiré de la sorte et sa curiosité prit le dessus sur le désir. Vaelh était après tout le monarque du Palais des Plaisirs, ses dons et sa résistance étaient immenses, si bien que c'était normalement lui qui faisait craquer autrui, pas l'inverse. Mais là, cette  créature lui donnait du fil à retordre et, même s'il enrageait de l'admettre, le charme qu'elle exsudait était au moins égal au sien, sinon supérieur.

Cette tentatrice ne  pouvait plus être une simple démone. Soit il s'agissait d'une Succube de haut rang, peut être une reine, une impératrice ? Ou une déesse ? Ah, quelle chance ce serait de pouvoir converser avec une divinité ! Et quel hasard ! C'était la première personne à qui Vaelh adressait véritablement la parole. Pour le coup, sa curiosité salvatrice ne fit que croître, lui empêchant un abrutissement par le désir qu'il ressentait. L'heure était à a contre-attaque.

Avec une habilité qui trahit des éons de luxurieuses aventures, Vaelh entre-ouvrit la bouche pour s'emparer du bout de l'index de l'inconnue. Il le gratifia d'une très légère morsure, comme s'il goûtait  ce met délicieux qu'on lui proposait, sans omettre d'y placer un très discret coup de langue. Le geste était subtil, mais emprunt de plus de sensualité qu'aucun humain n'en serait capable en une vie complète. Pendant sa manoeuvre, ses yeux d'or se rivèrent dans ceux de l'inconnue. Son regard se fit chaud, entendu ; le message était claire : "devine où ma langue pourrait appliquer pareille caresse". Bien sûr, un tel contacte lui permit à son tour d'amplifier ses pouvoirs de séduction. Ils étaient tels qu'après présent, un vivant qui en aurait été victime aurait perdu une grosse partie de ses facultés mentales pour sombrer dans ses instincts primaux. Satisfait, il laissa la femme se défiler. Elle se mis à graviter autour de lui d'une démarche indécemment chaloupante, si gracieuse qu'on se serait damné mille fois pour pouvoir y jeter un œil. Pendant qu'elle était dans son dos, Vaelh ressentit le désir grimper d'un échelon. A nouveau, il laissa son esprit se noyer sous les trombes de scènes osées qui s'imposèrent à lui. Heureusement, sa curiosité infinie le gardait conscient, si bien qu'il décida de jouer le jeu pour durcir son aura autour de la femme, la soumettant à son tour à d'avantage de visions, d'envies, de désir.

-Vous ne me connaissez point? Pourtant je suis une être que tous devrais connaître…surtout vous tentateur incube!

Elle croisa les bras, invitant sommairement l'Incube à porter son attention sur sa poitrine. Simple mais efficace : il ne se fit pas prier. Ce genre de chose, pour lui, était comme un bon présent : ça ne se refuse pas.

-Je suis Kalianna, déesse des péchées et des tentations et toi Incube qu’elle est le nom qu’on t’a attribué?

Une déesse ! Sous le coup d'une authentique surprise, le sourcil gauche du démon s'arqua. Il bouillonnait d'extatisme, trop enjoué de rencontrer une si lubrique divinité en un lieu pourtant si reculé. En même temps, il était rassuré : si la femme n'avait été qu'une Succube anonyme, Vaelh se serait trouvé faible de succomber à ses charmes banaux. Mais là, avec une déesse... Il était excusable ! Il pencha innocemment la tête sur le côté, offrant subtilement sa gorge. Se montrer défiant avec une telle déesse pouvait être risqué.
Et Vaelh aimait le risque.

L'on m'appelle... Inkueh Stre'Ex Zabd'Evect Kom'rgahg Bihiel'Ehtan Sta'Ph. Monarque du Palais des Plaisirs, Gardien des Doux Secrets, treize fois vainqueur des jeux de l'extase, Grand Chante-Âme, Créateur de la fresque de l’orgasme infini -et bien d'autres-. Mais ne te casse donc pas la tête à retenir tout ceci, tu n'y arriverais pas. Appelle moi plutôt Vaelh, c'est mon pseudonyme le plus fréquemment employé.

Sans laisser à la déesse le temps de répliquer, il osa lever sa main avec grâce et arrogance pour lui imposer le silence. La divinité n'avait certes pas d'ordre à recevoir d'un Incube, même noble, mais la surprise de se voir imposer le silence pouvait peut être la faire se taire quelques instants. Vaelh mit ce petit délais à profit pour approcher de la déesse et entreprit de graviter autour d'elle à son tour. Lors de sa première révolution, ses yeux se posèrent sans vergogne sur chaque parcelle de peau visible et sur les attributs démoniaques maintenant visibles. Il se livra ainsi à un intense examen, prenant son plaisir par la vue. Quel corps que celui-ci, quand même ; digne d'une déesse.
Au second tour, Vaelh s'arrêta dans le dos de la femme. Sans le moindre son, il vint poser ses paumes bouillantes sur ces hanches basanées. Ses mains étaient d'une légèreté telle qu'on pouvait aisément confondre leur contacte avec la caresse d'un nuage duveteux. Avec beaucoup de subtilité, ses doigts s'appuyèrent le longs des courbes de cette paire de hanches, comme pour se les approprier ; un excellent moyen de sous-entendre à la déesse que le démon avait mit la main sur elle, pour le meilleur et pour le pire. Puis, sur une impulsion, il entreprit de laisser glisser une de ses mains sur le ventre nu de la femme, avant de la faire remonter dangereusement près de sa poitrine. A chaque nouveau millimètre carré de peau parcourue, les délices infligés par la caresse croissaient. Là où au début le contacte était électrisant, il était maintenant intolérablement délicieux. Une véritable extase pour la peau, un tel plaisir que les muscles en dessous pouvaient en frémir. Dans la foulée, sa seconde main adopta une trajectoire plus descendante pour marquer l'arrêt sur la cuisse de la déesse. Vaelh soupira. Inspiré par le désir qu'il ressentait, il devenait facile d'amplifier encore toutes ces scènes indécentes qu'il faisait voir à sa proie. Les images était d'une concupiscence folle, et le simple fait de les visionner apportait un plaisir réel, palpable. Il y eut un silence et une immobilité intolérable qui sembla s'étirer sur l'éternité puis, malicieux, l'Incube recula, ôtant ses mains. Il frémit d'extase, pas pour avoir touché une déesse, mais pour ne pas lui avoir donné ce qu'elle attendait.

Les idées de diverse jeux se profilaient déjà depuis longtemps dans l'esprit de l'Incube. Cependant, il refuserait de s'y livrer tant que sa curiosité sans borne n'était pas satisfaite. Aussi revint-il devant la divinité, arborant un sourire taquin.

Ah, revenons-en à ce que tu prêchais à l'instant. Je ne t'ai pas reconnu tout de suite, non, parce que les descriptions qu'on ma faite de toi divergeaient de ton apparence précédente. Maintenant tout est si clair ! Mais... Me cacherais-tu d'autres appendices ? Voilà des cornes, des ailes, une queue... Dissimule tu d'autres surprises ? Est-ce là ta véritable forme ou l'une de toutes celles que tu peux prendre ? Il secoua la tête avec un sourire entendu. Ne sois pas timide, montre-toi sous ton véritable appareil !

Vaelh avait théâtralement écarté les bras, comme s'il s'attendait à une autre transformation spectaculaire. Il avait choisit ce dernier mot, "appareil", à dessin. La déesse comprendrait-elle ce que l'Incube lui avait véritablement demandé de manière pourtant si innocente ?
Comme une autre question lui vint soudain, il baissa les bras.

Oh ! Légende que tu es, sans doute pourras-tu m'éclaircir. Tes... Spécialité sont sujettes à débats. Quand tu évoques être la divinité des pêchées, évoques-tu tous les pêchées, ou celui qui me sied le mieux ?

C'était effectivement quelque chose que l'Incube se demandait, mais si au final, il avait sa pettie idée sur la question...

216
Les craintes de l'Incubes s'était avérées justes : les hautes herbes et feuilles séchées bruissèrent, trahissant l'approche peu discrète de quelque visiteur. Au pseudo-vacarme que l'intéressé générait, soit il était particulièrement mauvais pour masquer sa présence, soit il ne cherchait justement pas à se dissimuler. Insouciant de nature, Vaelh choisit plutôt de croire en cette seconde option. A peine quelques instants plus tard, la créature qui s'approchait fut enfin en ligne de vue.
Et quelle créature ! Une femme... Non, plus que cela. Une simple mortelle n'aurait jamais pu exsuder pareille sensualité au moindre de ses mouvements. Celle-ci avait quelque chose en plus qui fit bouillir le sang du démon. Elle avançait dans un silence arrogant et majestueux, avec la démarche de celle qui sait qu'elle est sublime.
Quand elle fut plus proche, il plongea son regard d'or dans celui émeraude de la femme. Alors il sut qu'il avait peut être à faire à l'une de ses sœurs.

A présent, le démon souriait de toutes ses dents. Un sourire si grand, si blanc, si merveilleux ! Paradoxalement, son esprit bouillonnait de ressentis contradictoires. Un désir violent l'étreignait : celui de battre cette petite impertinente jusqu'à ce qu'elle soit méconnaissable juste pour avoir osé interrompre sa contemplation ; mais il mourrait d'envie de savoir ce qu'une de ses semblables pouvait bien faire ici. En même temps, son esprit était assaillit par un torrent de concupiscence. Chacune de ses pensées se teintait d'un intolérable désir. Plus de doute, cette créature n'était définitivement pas humaine.

Plutôt que de lutter, Vaelh décida de se laisser emporter sans retenue dans ce tourbillon de désir impérieux. Dans un soupire d'appréciations, il laissa ses pupilles dilatées courire sur le corps de la créature sans faire montre de la moindre gêne, appréciant ses courbes d'une beauté surnaturelle. Ainsi, ces envies qu'elle suscitait s'en trouvaient décuplées, et quand bien même, Vaelh choisit de s'abandonner aux scènes indécentes qui se jouaient dans son esprit pervertit. Il laissa le pouvoir de séduction de cette femme l'imprégner sans y résister, puis il ferma les yeux.

Pour l'Incube, se laisser ainsi submerger par les désirs qu'autrui provoquait chez lui revenait à préparer la dégustation d'une coupe de bon vin. Là où l’œnologue remuait sa coupe pour que l'arôme du nectar lui embaume les narines, Vaelh laissait le charme de la femme lui enflammer l'esprit. Il put ainsi en savoir un tout petit peu plus sur elle, sur sa nature. Une prédatrice à n'en pas douter... Allait-elle ne dévorer ? Cette rencontre promettait d'apporter son lot de surprise !
Mais peut être qu'aujourd'hui, celle qui se prétendait chasseresse deviendrait la proie d'un prédateur plus puissant qu'elle.

L'Incube afficha un sourire béat qui ne fit que sublimer la stupéfiante perfection de ses traits. Les mots manquaient en cet instant pour le décrire. Il était la personnification même du charme, de la beauté, de l'envie, de l'invitation à découvrir quelques obscures plaisirs. Il fit un unique pas en direction de la femme, porté par une telle déité qu'il semblait n'être que le fruit d'un rêve, d'un fantasme. Chacune des zones de sa peau pâle mise à nue par ses étranges vêtements provoquaient la spectatrice, l'incitant à venir y poser ses doigts pour y découvrir une douceur et une chaleur insoupçonnée. Dans le même mouvement, il laissa toute son aura de charme filer vers la créature. Le nuage éthéré s'enroula autour des membres de sa "victimes" avec la douceur d'une  brise d'été, flattant la moindre zone de sa peau d'une caresse imaginaire d'une telle puissance qu'elle ne pouvait pas manquer de provoquer nombres de frissons.
Mais non content de flirter avec la chair de la créature, le don du démon s'insinua dans son âme, soufflant à la femme mille et une choses qu'il serait plaisant de faire avec Vaelh. Les images se succédaient à un rythme fou. Les unes suggéraient ce à quoi cet Incube parfait devait ressemblé, une fois délesté de ses atours. Les autres vantaient ses capacité à faire perdre la tête de ses victimes dans quelques jeux érotiques. D'autres encore enluminait les fantasmes que la femme pouvait déjà avoir, les amplifiant, les faisant progressivement passer du stades de désir à celui de besoin quasi-vital ! Il lui faudrait un sacré self-contrôle pour prétendre résister à tout ça.

Tandis que la femme se trouvait à son tour noyée sous quelques pensées indubitablement enivrantes, le démon daigna lui faire l'honneur d'entendre sa voix. En fait, la qualifier de voix aurait été un insultant euphémisme. C'était d'avantage une divine ode, si pure, si claire que chaque mot prononcé semblait prendre consistance dans les airs. Chaque son produit était le vecteur d'une impossible et stupéfiante musicalité. L'atmosphère elle même vibrait pour propager une si belle musique que celle qui sortait de la gorge du démon. En somme, écouter Vaelh devait conduire à ce qui se rapprochait d'un orgasme auditif.

Heureuse rencontre... Créature. Mais qu'es-tu ? Une amie ? Une ennemi ? Une démone ? Une ange ? Ah... Peut être es-tu l'une de mes sœurs ! Il sourit, l'air à la fois patient et arrogant.  Eh bien qu'attends-tu pour te présenter ? Mon temps en ces lieux m'est précieux, aussi veille à te montrer intéressante si tu veux encore avoir la chance de retenir mon attention.

En attendant que la réponse vienne, le démon croisa les bras. Même un geste d'apparence si simple devenait un tissu de sous-entendus et de provocations charnelles.

217
Zda'Dubrel Vecth, "La nature qui décide". Ainsi annoncerait, avec emphase, un démon s'apprêtant à narrer son incroyable périple au travers des terres sauvages. Quel endroit... Les éléments s'y livrent une lutte pour la domination du paysage, un combat titanesque qui relègue les civilisations au second plan. Un monde où l'horizon est la ligne de front d'un conflit d'usure avec pour protagonistes la roche érodée de gargantuesques monolithes minéraux, contre la sublime empyrée azure zébrée de ses flottilles de nuages. Là bas, le sol élève ses milliards de tonnes de roches en de terribles pointes menaçantes qu'il appelle montagne. Là haut, le firmament se défile habilement pour évité d'être percé par pareils épieux, mais ne manque pas d'en vicier le piquant par ses pluie torrentielles. Ils luttent, sans considération pour la vie qui n'a d'autre choix que de s'adapter au relief de ce champ de duel.

En retrait, infiniment loin et pourtant si proche de ce tableau apocalyptique, se tient l’astre du jour. Il ne fait qu'observer, juge impassible au cœur pourtant en fusion, spectateur indifférent de toute cette débâcle de splendeur. Cet astre est là pour nous aider, misérables être vivants insignifiants que nous sommes. Comment ? Avec ses rayons, ces chaudes raies d'or qui se posent avec indulgence sur les endroits de ce champs de bataille infini que l’œil ne doit pas manquer.
Comme les doigts doucereux d'une amante, sa lumière glisse sur la peau rocheuse des montagnes, les sublimant, les chauffant. Parfois, cette même lumière accroche le reflet arc-en-ciel de quelque veine de minerais précieux éclatée, ouverte comme une superbe plaie.
Comme une onde qui se propage, sa lumière bondit d'un nuage à l'autre, dispersant sa chaleur au cœur de ces amas de coton. Elle leur donne ainsi vie et les fait s'illuminer d'un scintillement apaisant.

Et tandis que se déroule le silencieux et merveilleux combat des éléments en cette chaude journée, un discret faisceau d'or, scindé par quelque lointaine charmille émeraude, se pose sur le sol non loin de nous. Il met à jour une pousse, chétive, bousculée par la brise tiède. Puis une seconde, puis d'autre, et une multitude. Les hautes herbes, les collines, les arbres. La vie. Partout atour de nous, tout porte la marque du ciel et de la terre qui, las de leur conflit, se sont imposés une trêve pour s'aimer. Une trêve pendant laquelle le ciel à fécondé la terre par ses pluie. Une trêve pendant laquelle deux ennemis sont devenus amants et ont procréés. Mais une trêve qui visiblement n'aura pas durée longtemps, puisque en arrière plan, monts et cieux se défient encore.
Ainsi l'ennemi peut devenir un ami, puis un amour, pour mieux redevenir un ennemi. L'histoire se répète depuis l'aube des temps, mais ne s'achèvera qu'à sont crépuscule.
Et au milieu de tout ça, nous sommes petits. Infiniment petits.



Le décor est planté.



*
**



Vaelh cligna des yeux. Il n'avait pas la moindre idée du temps qu'il avait passé ici. A vrai dire, le temps avait semblé cesser de s'écouler depuis que la magnificence du paysage, du monde, s'était imposé à lui. Dans les Enfers, il n'y avait ni soleil, ni plantes émeraudes. Mais ici, clarté et vie s'étalaient à profusion. Une telle vision l'avait d'abord choqué, avant de manquer de le rendre complètement fou. En effet, Incube qu'il est, chaque expérience, chaque sensation, chaque petit plaisir est amplifié des centaines de fois pour devenir une extase sans pareille. Là où la brise caressait la peau des vivants, elle provoquait des frissons d’exaltation chez le démon. Là où la vue ébahissait les badauds, elle avait fait tomber à genoux l'Incube. Tout était amplifié, à un tel point que le plaisir devenait torture.
Alors quand il s'était trouvé face à ce panorama impossible, oui, la folie avait menacée de tout balayer.
Heureusement, des siècles d'hédonismes avaient enseignés au démon que pour un plaisir découvert, mille et uns autres encore plus intense attendaient. Vaelh s'était alors lentement redressé, un sourire carnassier, avide et conspirateur aux coins des lèvres. Terra recelait-elle d'autres jouissances plus spectaculaire que celle-ci ? Le seul moyen de le savoir restait de partir à l'aventure.

Il se félicita d'ailleurs d'avoir eu le génie de choisir Terra comme premier périple touristique. Ses attentes étaient si nombreuses en ce lieu. Il espérait tant voir le monde dans son entièreté ! Il espérait tant rencontrer les vivants ! Ah, ce serait une étape fort amusante... peut être pourra-t-il en pousser un très grand nombre à s'abandonner aux plus extrêmes débauches d'hédonismes. Ils finiraient ainsi en Enfer et viendraient grossir les rangs des sujets du démon.

L'esprit plein d'espoir de découvertes et de rencontres, l'Incube s'était lentement dirigé au gré des vents. Il avait déjà, à plusieurs reprise, contourné quelques petits villages peuplés d'êtres mi-humains mi-bêtes. Il ne voulait pas se mélanger à eux tout de suite, il souhaitait encore profiter des plaisirs de l'explorations tant qu'ils le faisaient frémir d'envie. Il n'essaya pourtant pas d'être discret, de toutes façons ses atours d'outre-monde ne l'y aidait pas. Il était vêtu comme le monarque des plaisirs, véritable personnification de la tentation. Sont haut aux étranges découpes laissait nu son ventre et son pectoral gauche sur lequel était tatoués nombre de motifs complexes. Sont pantalon, d'avantage semblable à une robe de mage, était taillée indécemment bas au niveau du ventre. En regardant de plus près, on devinait qu'il cachait tout de même des armes là dessous. Partout sur son costume s'étalaient diverses inscriptions ésotériques. Il était semblables à un amas de mots occultes et interdits gravés à même sa chair pâle, parfaite et musculeuse. Chacun de ses pas, chacun de ses gestes, exsudaient une grâce telle qu'un bête mortel n'aurait pas même pu l'appréhender. Le moindre de ses regards semblait être vecteur des plus indécentes invitations au plaisir ; pourtant il sondait simplement les environs, en quête d'autres merveilles à dévorer des yeux.

Il eut alors un pressentiments, comme l'intime conviction que quelque chose... non, quelqu'un allait très bientôt avoir le culot de le déranger alors qu'il était occupé à prendre sa dose de plaisir. L'idée paraissait folle. Qui pourrait oser lui adresser la paroles -ou du moins s'imposer à son champ de vision- en cet instant ?

218
Le coin du chalant / Re : Demande de RP d'arashi et ses doublettes
« le: samedi 24 août 2013, 23:30:29 »
Hello. La trame suivante m'intéresse :

Kalianna vous observe, vous êtes de son type d'homme (Car elle aime plus les hommes, sont plus amusant à jouer) et elle vous apparaît soit sur sa forme de déesse ou d'elfe normal et lorsque vous êtes prêt d'elle, toute vos tentations se multiplies à son égard, résisterez-vous à la tentation?


Il se trouve que mon personnage, un Incube, est lui même l'incarnation de la tentation, du vice et de tout ce qui s'y rapporte. Une rencontre entre deux protagonistes chacun détenteurs de pouvoirs liés au désir peut être amusant. Ils se testent, voient jusqu'où ils peuvent aller dans la provocation et tentent de se faire craquer l'un l'autre.

Tentée ?

219
Le coin du chalant / Trames de Vaelh
« le: mercredi 21 août 2013, 08:30:56 »
Sup'.

En terme de longueur, j'fais pas des pavés monstrueux. J'aime quand ça avance et que ça va à l'essentiel.
En terme de style, je peux m'occuper de vous en toute délicatesse, ou vous déglinguer comme la dernière des chiennes, ou trouver un juste milieu.
Pussy only thanks <3 -traps are not pussies go the fuck away from me-

Voilà, maintenant, les trames.



1) Invocation (social, combat, H)
Grâce à d'antique rituel, vous en appelez aux forces démoniaques pour vous aider à accomplir un objectif. C'est Vaelh qui viendra à vous, soit parce que c'est bel et bien lui que vous avez appelé, soit parce que le perfide Incube sera parvenu à parasiter l'invocation d'un autre démon. Quoi qu'il en soit, il se montrera très efficace si le job consiste à vous faire prendre votre pied. Le paiement ? Vous faire prendre votre pied une seconde fois.

2) Révocation (Social, combat, H)
Votre mission est de renvoyer Vaelh d'où il vient. Il faudra d'abord le trouver, l'identifier, et veiller à ce qu'il ne vous casse pas la gueule parce qu'il ne compte pas se laisser faire. S'il venait à prendre le dessus lors de cette confrontation, nul doute qu'il vous le ferait payer;

3) Infiltration (Social, H)
Grâce à ses dons, Vaelh s'est fondu dans la société et a gravi les échelons pour se sécuriser une position tout à fait enviable. De là, il s'amuse comme il le peut. Il peut par exemple avoir usurper un poste de professeur, de haut cadre, etc... Et il s'avère que vous allez avoir affaire à lui, pour un cours, un entretiens, etc. Attendez vous à passer sous le bureau.

More soon.

220
Prélude / Re : Vaelh [Validora !]
« le: lundi 19 août 2013, 10:06:00 »
Hoy.


Aucun soucis pour le délais de validation, j'ai été habitué à attendre bien plus longtemps sur d'autres forum RP ou MMO orienté RP. D'ailleurs, cette validation aura été la plus rapide de toute.

221
Prélude / Re : Re : Vaelh [Nora]
« le: lundi 12 août 2013, 23:27:38 »

222
Prélude / Re : Vaelh [Nora]
« le: lundi 12 août 2013, 09:17:14 »
Corrections faites. Je n'en ai pas trouvé tant que ça donc je pense malgré tout en avoir manqué pas mal. Si tu en retrouve une qui gêne vraiment la lecture, préviens moi.

Description mentale étoffée.

223
Prélude / Vaelh [Validora !]
« le: dimanche 11 août 2013, 21:56:17 »
Nom/Prenom/Surnom : Vaelh

Âge : -

Sexe : masculin

Race : avatar (démon Incube)

Orientation sexuelle: hétérosexuel

Description physique : le démon arbore l'apparence d'un jeune homme de 25 années. Chaque muscle, chaque fibre de son corps à été sculpté avec un incroyable soucis du détail pour répondre le plus possible aux canons de la beauté. Le plus souvent, ses lèvres fines s'étirent en un subtil sourire moqueur et arrogant, soulignant ses yeux fait d'encre aux milieu desquels flottent des iris d'or liquide. Un tatouage complexe orne la gauche de son faciès, à demi dissimulé par une coiffe bicolore élaborée qui laisse jaillir ses deux oreilles pointues -qui ne sont pas sans rappeler celles d'un elfe-.
Son corps est surnaturellement beau. Il ne comporte pas le moindre défaut. En fait, il semble même avoir été taillé dans l'unique but de plaire, de charmer. La peau y est douce, chaude et emprunte d'une subtile fragrance indéfinissable mais au combien plaisante. Quiconque a eut la chance de le voir torse-nu aura pu remarquer qu'un autre tatouage ésotérique décor son pectoral gauche.
Mais demandez à deux personnes de le décrire, et vous obtiendrez deux signalements légèrement divergeants. C'est l'un des dons de l'Incube : sa magie "ressent" les goûts et critères de beauté d'une personne et modifie -très légèrement- le physique de l'Incube en conséquence.

Caractère : disposant d'une certaine autorité aux Enfers -et de par sa nature démoniaque-, Vaelh est naturellement d'une arrogance folle. C'est bien simple : il considère que toutes les autres races ne sont bonnes qu'à lui servir de "nourriture" ou à le distraire. Il peut donc se montrer discourtois voir impoli avec autrui, à moins que faire preuve d'une gentillesse feinte puisse servir ses intérêts.
Vaelh se complaît dans la moquerie. Il s'extasie du fait de rabaisser les autres, comparant leur existence insipide à la sienne, merveilleuse. C'était même l'un de ses petits pêchés mignons aux Enfers : faire comprendre à ses captifs qu'ils ne sont rien, pour mieux les briser ensuite. Il est également très provocateur et apprécie pousser les gens aux limites de leurs patience pour son simple amusement. Cela le distrait de voir les autres vainement tenter de garder leur calme.
Vaelh estime aussi avoir toujours raison. Et qu'importe si on lui démontre qu'il se trompe avec preuve à l'appuis. Sa parole fait force de loi. Mais il demeure incroyablement curieux, et c'est cette curiosité qui l'a poussé à s'incarner.

Histoire :
Tous autant que vous êtes, je vous aime, vous qui m'avez enfanté.
Vos désirs, vos secrets, vos lubies, vos obsessions, vos fantasmes ; autant de graines qui ne restent pas que dans vos esprits et dans vos cœurs, mais qui germent dans l'Ailleurs. C'est au départ un bourgeon fragile, que les créatures pourraient piétiner sans même s'en apercevoir. Mais peu à peu, le chétif bourgeon change et devient quelque chose de plus concret, plus solide. Il ne devient pas vraiment une fleur ni un arbre, ni un être vivant, du moins pas exactement. Il devient une entité qui a faim, et qui se nourrit des mêmes choses qui l'ont conduit jusque là :
Vos désirs, vos secrets, vos lubies, vos obsessions, vos fantasmes.
La chose grandit, et si elle a bien grandi, elle développe une conscience, une vie, et ce qu'on pourrait appeler un âme. C'est à ce moment que la chose décide qu'il lui faut un nom. Un joli nom, qui se ronronne, qui roule sur la langue avec chaleur.
Vaelh.

J'ai dévoré tout vos secrets les plus inavouables depuis le tout début. J'ai goûté à ceux de vos ancêtres, mais aussi à ceux de vos successeurs, et au votre. Là d'où je viens, il n'y a ni début ni fin, aussi ai-je pu m'abreuver sans jamais marquer la moindre pause.
Toutes ces choses que vous avez en vous, dans vos coeurs... Ces désirs, ces envies, voilà ce qui a fait de moi ce que je suis. Je vous connais mieux que vous ne vous connaîtrez jamais. Je sais ce que vous voulez, et parce que je vous aime, j'arrive vous le donner. Mes bras son chargés de présents : la luxure, l'excès, la liberté, et tout ce qui s'en suit. Tous ces délicieux concepts qui n'attendent que de se concrétiser par votre consentement. Alors n'ayez pas peur, et embrassez moi. Je suis vous, et vous êtes moi.

Et ainsi, grâce à votre prolifération, je n'ai eu de cesse de grandir. J'ai d'abord souffert de la solitude, avant que ces pouvoirs qui m'alimentent grâce à vous ne me permettent d'avoir une petite meute, puis un plus grand groupe, puis une armée, une légion, un royaume. J'ai été très assidu, au point de me hisser tout au sommet. Et vous savez ce qui se passe une fois qu'on arrive si haut que plus rien ne peux ne serait-ce que rêver de vous menacer ? Rien. Il ne se passe strictement plus rien. Alors je me suis laissé tomber, j'ai laissé mes doux adorateurs s'entre dévorer, pour le seul plaisir de pouvoir repartir du début.
Me voilà de retour. Cette fois, je m'invite dans votre monde, où le temps s'écoule de cette étrange manière, si linéaire.

J'espère vous rencontrer très bientôt.

Situation de départ : expérimenté

Autres :
Vaelh dispose bien sur de pouvoirs liés à son état. Il connaît vos envies, et se sert de ces connaissances pour vous faire sombrer toujours plus bas. Avec lui, le plaisir peut venir d'un simple effleurement, d'un simple mot, ou ne pas venir du tout jusqu'à ce que vous vous rompiez la gorge à force de grogner de frustration. Il est un maître de la chair, un avatar du plaisir, et se languit de pouvoir vous dévorer à sa manière.

Comment avez vous connu le forum : -

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: -

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