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Le quartier de la Toussaint / Re : Les portes du paradis
« le: vendredi 20 avril 2018, 18:44:26 »
La jeune femme a vu juste : son look lui vaut nombre de regards intéressés dans la file à l'entrée du club. A mesure qu'elle s'approche des videurs, elle peut constater qu'effectivement, ceux-ci ne laissent pas rentrer n'importe qui. La lie des environs est promptement refoulée sans autre forme de procès. Chaque refus manque de provoquer une altercation tant les promesses de cette drogue qui circulerait à l'intérieur son grandes, mais les individus sont très vite dissuadés d'en venir aux mains avec les videurs. D'abord parce qu'ils sont typiquement du genre gorille, avec des bras gros comme vos cuisses, et aussi parce qu'il sont trois.
Le fait qu'on puisse voir la crosse d'armes de poing à leur ceinture, subtilement mises en évidence, est une raison de plus pour ne pas les faire chier.
C'est enfin au tour de VI de se faire inspecter. Cela ne dure pas longtemps. Les trois gars la regarde de bas en haut, estime qu'elle à l'air à peu près nette -consciente, du moins-, et apprécie le côté excentrique de son look. En d'autres occasions, nul doute qu'ils auraient profité de leur position pour exiger quelques faveurs afin de permettre à la jeune femme d'entrer. Mais ce soir, la foule est trop grande, pas le temps pour ça. Il lui font signe de passer en vitesse, grognant quelque chose à propos de sa poitrine, et l'échange s'arrête là.
VI débouche alors dans un petit couloir sombre qui vibre au rythme de la musique qu'on entend déjà d'ici. Un couple sort à ce moment, bousculant les portes et VI d'une démarche ivre. Alors que les battants devant elle se referment, la jeune femme peut apercevoir toute la foule qu'il y a la dedans.
A l'intérieur, la fête bat son plein. Le paquet a été mis en terme d'effet et de musique. C'est même un DJ connu dans les quartiers qui joue aux platines. D'un coup d’œil, on réalise que la foule est comme prise d'une espèce d'euphorie étrange. C'est un peu comme l'ivresse, sans les effets négatifs. Les gens bougent, hurlent, dansent, parlent avec un manque d’inhibition notable. En fait, en les observant un peu mieux, on réalise que seuls certain d'entre eux sont affecté, et leur humeur, littéralement contagieuse, pousse leur entourage à se lâcher autant qu'eux.
Bien sûr, il n'y a pas que la joie. Si la plupart des gens ici profitent de la soirée, cette étrange presque-ivresse affecte certaine personne de manière plus notable. Des altercations éclatent avec une certaine fréquence, mais les nombreux gros bras qui sont sur place parviennent à maintenir l'ordre, parfois en virant les gens par demi-douzaine ; peu importe, des dizaines attendent encore dehors.
Voilà le chaos dans lequel la jeune femme vient de plonger. Reste à savoir ce qu'elle compte faire à présent. La piste de danse, saturée au point que les gens en débordent largement, offrirait une bonne distraction. Le bar, tout aussi occupé, semble être le théâtre d'un jeu de boisson impliquant une bonne vingtaine de personnes. Les tables elles aussi sont occupées, à l'exception bien sûr de quelques unes vers la zone V.I.P, auxquelles les gens savent qu'ils ne feraient mieux pas de s'installer.
Le fait qu'on puisse voir la crosse d'armes de poing à leur ceinture, subtilement mises en évidence, est une raison de plus pour ne pas les faire chier.
C'est enfin au tour de VI de se faire inspecter. Cela ne dure pas longtemps. Les trois gars la regarde de bas en haut, estime qu'elle à l'air à peu près nette -consciente, du moins-, et apprécie le côté excentrique de son look. En d'autres occasions, nul doute qu'ils auraient profité de leur position pour exiger quelques faveurs afin de permettre à la jeune femme d'entrer. Mais ce soir, la foule est trop grande, pas le temps pour ça. Il lui font signe de passer en vitesse, grognant quelque chose à propos de sa poitrine, et l'échange s'arrête là.
VI débouche alors dans un petit couloir sombre qui vibre au rythme de la musique qu'on entend déjà d'ici. Un couple sort à ce moment, bousculant les portes et VI d'une démarche ivre. Alors que les battants devant elle se referment, la jeune femme peut apercevoir toute la foule qu'il y a la dedans.
A l'intérieur, la fête bat son plein. Le paquet a été mis en terme d'effet et de musique. C'est même un DJ connu dans les quartiers qui joue aux platines. D'un coup d’œil, on réalise que la foule est comme prise d'une espèce d'euphorie étrange. C'est un peu comme l'ivresse, sans les effets négatifs. Les gens bougent, hurlent, dansent, parlent avec un manque d’inhibition notable. En fait, en les observant un peu mieux, on réalise que seuls certain d'entre eux sont affecté, et leur humeur, littéralement contagieuse, pousse leur entourage à se lâcher autant qu'eux.
Bien sûr, il n'y a pas que la joie. Si la plupart des gens ici profitent de la soirée, cette étrange presque-ivresse affecte certaine personne de manière plus notable. Des altercations éclatent avec une certaine fréquence, mais les nombreux gros bras qui sont sur place parviennent à maintenir l'ordre, parfois en virant les gens par demi-douzaine ; peu importe, des dizaines attendent encore dehors.
Voilà le chaos dans lequel la jeune femme vient de plonger. Reste à savoir ce qu'elle compte faire à présent. La piste de danse, saturée au point que les gens en débordent largement, offrirait une bonne distraction. Le bar, tout aussi occupé, semble être le théâtre d'un jeu de boisson impliquant une bonne vingtaine de personnes. Les tables elles aussi sont occupées, à l'exception bien sûr de quelques unes vers la zone V.I.P, auxquelles les gens savent qu'ils ne feraient mieux pas de s'installer.
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Le Palais Infernal / Re : Comme on se retrouve !( pv Vaelh)
« le: mercredi 14 mars 2018, 15:24:57 »
Depuis son dernier caprice, le Démon ne possède plus un aussi grand domaine aux Enfers. Par simple envie, par jeu, Vaelh avait décidé il y déjà quelques temps de repartir de zéro. Habile qu'il est, il ne lui a pas fallu longtemps pour reconstituer une partie de sa puissance. Ainsi, le Démon a réussi à se sortir de son ennuis, en se lançant dans une toute nouvelle quête d'influence et de puissance, pour laquelle il évitera les erreurs passées.
Pour l'heure, Vaelh siège sur un confortable trône argenté, ses yeux perdu dans les remous magiques contenus dans un orbe qu'il tient entre ses mains. Cet artefact est l'un des rares trésor qu'il a conservé pour l'avantage qu'il lui accorde en toute circonstance. En effet : il s'agit d'un orbe de vision, qui offre à son utilisateur la capacité de surveiller le monde. C'est grâce à cela, entre autre du moins, que le Démon à toujours un coup d'avance sur ceux qui veulent sa ruine. Les yeux perdus sur l'objet, Vaelh se laisse bercer par le chant de toutes les succubes qui s'ébattent à ses pieds dans la chambre, toutes plus séduisantes les unes que les autres. L'absolue pureté de la luxure qui exsude de leurs jeux permet à l'artefact de fonctionner a une certaine capacité, mais pas assez pour que Vaelh puisse voir arriver l'intruse.
Les succubes se figent toutes, tournant la tête vers elle, de même que Vaelh qui tend déjà la main vers son arme. Il fronce, puis affiche lentement un grand sourire en reconnaissant de qui il s'agit :
-Nombreux sont ceux qui cherchent ce petit coin tranquille que je me suis bâti pour venir m'y tordre le cou. Et toi, simple petite mortelle, voilà que tu apparais ici. Extrêmement impressionnant, sincèrement. Je serais curieux de savoir quel puissant maléfice tu as employé pour y arriver, mais tu m'as l'air aussi surprise que moi.
Le bellâtre se lève, n'ayant rien perdu de toute sa glorieuse élégance, bien au contraire. Il fait un signe apaisant à ses suivantes, lesquelles reprennent leurs petits jeux doucement, non sans rester méfiantes, tandis que Vaelh approche de la jeune femme qu'il observe d'un regard intense.
-Cela faisait longtemps, en effet. Où espérais-tu aller, dis moi ?
Pour l'heure, Vaelh siège sur un confortable trône argenté, ses yeux perdu dans les remous magiques contenus dans un orbe qu'il tient entre ses mains. Cet artefact est l'un des rares trésor qu'il a conservé pour l'avantage qu'il lui accorde en toute circonstance. En effet : il s'agit d'un orbe de vision, qui offre à son utilisateur la capacité de surveiller le monde. C'est grâce à cela, entre autre du moins, que le Démon à toujours un coup d'avance sur ceux qui veulent sa ruine. Les yeux perdus sur l'objet, Vaelh se laisse bercer par le chant de toutes les succubes qui s'ébattent à ses pieds dans la chambre, toutes plus séduisantes les unes que les autres. L'absolue pureté de la luxure qui exsude de leurs jeux permet à l'artefact de fonctionner a une certaine capacité, mais pas assez pour que Vaelh puisse voir arriver l'intruse.
Les succubes se figent toutes, tournant la tête vers elle, de même que Vaelh qui tend déjà la main vers son arme. Il fronce, puis affiche lentement un grand sourire en reconnaissant de qui il s'agit :
-Nombreux sont ceux qui cherchent ce petit coin tranquille que je me suis bâti pour venir m'y tordre le cou. Et toi, simple petite mortelle, voilà que tu apparais ici. Extrêmement impressionnant, sincèrement. Je serais curieux de savoir quel puissant maléfice tu as employé pour y arriver, mais tu m'as l'air aussi surprise que moi.
Le bellâtre se lève, n'ayant rien perdu de toute sa glorieuse élégance, bien au contraire. Il fait un signe apaisant à ses suivantes, lesquelles reprennent leurs petits jeux doucement, non sans rester méfiantes, tandis que Vaelh approche de la jeune femme qu'il observe d'un regard intense.
-Cela faisait longtemps, en effet. Où espérais-tu aller, dis moi ?
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Le coin du chalant / Re : Trames de Vaelh
« le: mercredi 21 février 2018, 02:31:33 »
Ouch, ça fait trop de temps pour que je réussisse à m'y remettre, sorry x_x
(Du coup demande close, Shad à pris la place o/)
(Du coup demande close, Shad à pris la place o/)
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Le coin du chalant / Re : A la découverte de votre monde, ou le RP avec un Incube
« le: samedi 17 février 2018, 22:50:46 »
P'tit up gentil, je reprend du service mais faut y aller doucement parce que je suis rouillé.
Kiss.
Kiss.
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Le quartier de la Toussaint / Les portes du paradis
« le: mardi 13 février 2018, 02:06:41 »
La crasse, la précarité, le danger… Il n'est aucune mégalopole sur cette planète libre de ces tumeurs qui grossissent dans leur ombre colossale. Il s'agit parfois d'une simple boite de nuit, d'un parc commercial abandonné, ou même d'un quartier tout entier. Ce sont des zones de non-droits, où la gentillesse et l’humanité ne sont rien d'autre que des raccourcis vers la tombe.
''Tumeur'' est sans doute le terme qui convient le mieux à ces enclaves d'instabilité. On ne peut les supprimer que lorsqu'il qu'ils ne sont encore qu'à l'état de petit bourgeons insignifiants. Mais lorsqu'ils ont commencé à grossir, a étendre leur corruption à tout ce qu'il touche, à influencer tous les aspects de la société qu'ils parasitent… Alors il est déjà trop tard. Il n'y a plus rien à faire d'autre que de vivre avec, et de vainement faire en sorte que ça n'empire pas trop vite.
Le quartier de la Toussaint est l'un de ces affreux enclaves. Pour le faible, il est comme l'enfer sur terre, ancré dans une réalité de laquelle on ne s'échappe pas. Pour le peu scrupuleux, il est un havre d'opportunité. On trouve de tout ici, sans jamais vraiment avoir besoin de se soucier des autorités ; en dehors de quelques très rares patrouilles qui tournent sur ordre spécifique, personne ne descend jamais dans ce trou à rat avec l'intention de le changer. En fait, si ; il y a toujours des idiots naïfs pour tenter le coup. Puis la réalité les rattrape, soit sous la forme d'une illumination, soit, comme c'est le cas le plus souvent, sous la forme d'une balle dans la tête.
Il est parfaitement vain de chercher à démanteler tous les réseaux criminel du quartier infernal. D'abord parce qu'il s'agirait d'une perte de ressource proprement monstrueuse, ensuite parce que cela pourrait signifier quelques arrêt de mort, et enfin… Parce que même si ce petit univers est parfaitement dégoûtant, la Belle Ville ne saurait s'en passer. C'est ici que l'élite se fournit pour assouvir ses fantasmes les plus inavouables et illégaux. C'est ici que les Grands de ce monde règlent leurs comptes. Jamais d'eux même bien évidemment : l'argent leur permet d'avoir recours à des proxy pour ne jamais se salir les mains. Mais sans le quartier de la Toussaint, aucun de ces pourris ne serait là où il en est aujourd'hui. Aucun d'entre eux ne serait vraiment devenu riche sans les putes et la drogue…
Il faut dire que pour ce genre de chose, c'est l'endroit rêvé. Un marché des plus florissant, pour peu qu'on ne se soucis pas de la provenance des choses qu'on achète. On paye, on reçoit. Et on meurt si on fini avec trop de dette. Un système simple et efficace à sa manière, mais sans le moindre scrupule. C'est d'ailleurs ce manque de scrupule qui va de pair avec… Une certaine créativité, si l'on peut dire. Là où dans des quartiers moins chauds, on resterait sur des recettes de substances classiques, ici, à la Toussaint, nombreux sont les artistes qui expérimentent. Il n'y a pas une semaine sans qu'on entende parler d'une nouvelle poudre magique qui vous envois en orbite en moins de trois seconde, d'une nouvelle pilule enchantée qui vous change n'importe quelle fille en chienne en chaleur. Tout ça a un côté très commercial, et chaque nouveau plaisir s'accompagne de promesses et de slogans tous plus accrocheurs les uns que les autres. Et chaque création vient sur le marché avec son lot de règlements de compte, évidemment.
Pour quiconque s'intéresse de près à ce marché, il y a eu du grabuge ces derniers temps. Les Blue-Bloods, le gang en possession de la petite zone situé non loin de la bordure Nord du quartier de la Toussaint, à une demi-heure des facultés, aurait reçu de la visite. On parle de coups de feu, de coups de couteau dans le dos, et autres assassinats bien sales comme on les aime. Brisé, avec trop peu de ses membres restants pour reformer un groupe viable, le gang s'est évanoui en laissant derrière lui un vide de pouvoir que d'autres gangs opportunistes ont su saisir. Parmi ces groupes, un tout nouveau dont personne n'avait entendu parler. Tellement nouveau qu'il ne semble même pas avoir de nom, mais on sait déjà qu'il se démarque des autres par sa… Diplomatie. Oui, de la diplomatie dans un marché tel que celui là, dans cet environnement là.
En quelques semaines, les transactions de drogue on explosées dans ce secteur malgré l'amoindrissement graduel du nombre de client. La raison ? Un nouveau produit. Révolutionnaire ; vraiment. Au point que les prix se sont envolés et que des vents s'effectuent encore.
Pour les junkies du coin, c'est l'occasion d'enquêter. Et justement, le bruit que l'un des clubs tenu par un des ces groupes d'opportunistes proposerait à la vente, du moins pour cette semaine, ce fameux produit.
Il ne reste plus qu'à aller y faire un tour.
''Tumeur'' est sans doute le terme qui convient le mieux à ces enclaves d'instabilité. On ne peut les supprimer que lorsqu'il qu'ils ne sont encore qu'à l'état de petit bourgeons insignifiants. Mais lorsqu'ils ont commencé à grossir, a étendre leur corruption à tout ce qu'il touche, à influencer tous les aspects de la société qu'ils parasitent… Alors il est déjà trop tard. Il n'y a plus rien à faire d'autre que de vivre avec, et de vainement faire en sorte que ça n'empire pas trop vite.
Le quartier de la Toussaint est l'un de ces affreux enclaves. Pour le faible, il est comme l'enfer sur terre, ancré dans une réalité de laquelle on ne s'échappe pas. Pour le peu scrupuleux, il est un havre d'opportunité. On trouve de tout ici, sans jamais vraiment avoir besoin de se soucier des autorités ; en dehors de quelques très rares patrouilles qui tournent sur ordre spécifique, personne ne descend jamais dans ce trou à rat avec l'intention de le changer. En fait, si ; il y a toujours des idiots naïfs pour tenter le coup. Puis la réalité les rattrape, soit sous la forme d'une illumination, soit, comme c'est le cas le plus souvent, sous la forme d'une balle dans la tête.
Il est parfaitement vain de chercher à démanteler tous les réseaux criminel du quartier infernal. D'abord parce qu'il s'agirait d'une perte de ressource proprement monstrueuse, ensuite parce que cela pourrait signifier quelques arrêt de mort, et enfin… Parce que même si ce petit univers est parfaitement dégoûtant, la Belle Ville ne saurait s'en passer. C'est ici que l'élite se fournit pour assouvir ses fantasmes les plus inavouables et illégaux. C'est ici que les Grands de ce monde règlent leurs comptes. Jamais d'eux même bien évidemment : l'argent leur permet d'avoir recours à des proxy pour ne jamais se salir les mains. Mais sans le quartier de la Toussaint, aucun de ces pourris ne serait là où il en est aujourd'hui. Aucun d'entre eux ne serait vraiment devenu riche sans les putes et la drogue…
Il faut dire que pour ce genre de chose, c'est l'endroit rêvé. Un marché des plus florissant, pour peu qu'on ne se soucis pas de la provenance des choses qu'on achète. On paye, on reçoit. Et on meurt si on fini avec trop de dette. Un système simple et efficace à sa manière, mais sans le moindre scrupule. C'est d'ailleurs ce manque de scrupule qui va de pair avec… Une certaine créativité, si l'on peut dire. Là où dans des quartiers moins chauds, on resterait sur des recettes de substances classiques, ici, à la Toussaint, nombreux sont les artistes qui expérimentent. Il n'y a pas une semaine sans qu'on entende parler d'une nouvelle poudre magique qui vous envois en orbite en moins de trois seconde, d'une nouvelle pilule enchantée qui vous change n'importe quelle fille en chienne en chaleur. Tout ça a un côté très commercial, et chaque nouveau plaisir s'accompagne de promesses et de slogans tous plus accrocheurs les uns que les autres. Et chaque création vient sur le marché avec son lot de règlements de compte, évidemment.
Pour quiconque s'intéresse de près à ce marché, il y a eu du grabuge ces derniers temps. Les Blue-Bloods, le gang en possession de la petite zone situé non loin de la bordure Nord du quartier de la Toussaint, à une demi-heure des facultés, aurait reçu de la visite. On parle de coups de feu, de coups de couteau dans le dos, et autres assassinats bien sales comme on les aime. Brisé, avec trop peu de ses membres restants pour reformer un groupe viable, le gang s'est évanoui en laissant derrière lui un vide de pouvoir que d'autres gangs opportunistes ont su saisir. Parmi ces groupes, un tout nouveau dont personne n'avait entendu parler. Tellement nouveau qu'il ne semble même pas avoir de nom, mais on sait déjà qu'il se démarque des autres par sa… Diplomatie. Oui, de la diplomatie dans un marché tel que celui là, dans cet environnement là.
En quelques semaines, les transactions de drogue on explosées dans ce secteur malgré l'amoindrissement graduel du nombre de client. La raison ? Un nouveau produit. Révolutionnaire ; vraiment. Au point que les prix se sont envolés et que des vents s'effectuent encore.
Pour les junkies du coin, c'est l'occasion d'enquêter. Et justement, le bruit que l'un des clubs tenu par un des ces groupes d'opportunistes proposerait à la vente, du moins pour cette semaine, ce fameux produit.
Il ne reste plus qu'à aller y faire un tour.
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L'Art / Re : Galerie de dessin
« le: mercredi 04 octobre 2017, 21:03:50 »Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)
Un dragon girafe pigeon. Hmm...
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L'Art / Re : Galerie de dessin
« le: mercredi 27 septembre 2017, 02:33:32 »
Ty' o/
De nouveau du mignon :
facebook.com/Kokorvesa/
kokorvesa.deviantart.com/gallery/
minds.com/Kokorvesa
De nouveau du mignon :
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)
facebook.com/Kokorvesa/
kokorvesa.deviantart.com/gallery/
minds.com/Kokorvesa
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L'Art / Re : Galerie de dessin
« le: mardi 05 septembre 2017, 02:08:23 »
*thumbs up le gif de h3h3*
Nop, j'ai pas de carte de the witcher en stock, mais je prends volontiers les commandes.
Nop, j'ai pas de carte de the witcher en stock, mais je prends volontiers les commandes.
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L'Art / Re : Galerie de dessin
« le: lundi 04 septembre 2017, 16:35:31 »
Hey thanks o/. Et le niveau même si tu ne l'as pas tout de suite, ça viendra en essayant.
