Un piège bien préparé [Pv Ambroise]

C'était fort étrange. Lui qui connaissait si bien les recoins des bas fonds de la ville, et pensait tout savoir pratiquement avant tout le monde, on venait de lui apprendre qu'une sauvage ou une esclave en fuite rodait depuis peu dans son quartier. Ce qui l'étonnait, c'est qu'au cours de ces derniers jours justement, il aurait forcément vu si une esclave s'était échappée. Et maintenant, deux personnes lui avaient remonter ce faits, sans que lui ait rien vu.

Mais que pouvait-il y faire de plus ? Certains parlaient de chasser dans la ville même, pour vérifier si cela était vrai. Lui considérait ça comme une perte de temps, rien de plus.

Cependant le destin était fort joueur, et il ne savait pas que cela lui était destiné. La journée touchait à sa fin, et Cyscek rentrait vers sa demeure, quand un mouvement derrière un baril, au coin d'une rue, attira son attention. Sur le coup, il eut l'impression que quelqu'un tentait de se cacher là derrière, d'échapper au regard, le sien ou d'autres personnes.

Sa première réaction fut l'incrédulité. Tout ce qu'il avait entendu, il ne prenait ça que pour des ragôts, rien de plus. Et quand bien même, il ne verrait pas un esclave en fuite se balader ici alors qu'il fait encore jour, même si ce n'est pas pour longtemps. Afin d'en avoir le coeur net, il détourne son chemin pour aller directement vers le tonneau. A une dizaine de mètre, une personne s'élance de derrière le tonneau pour fuir dans la ruelle adjacente.

Sans réfléchir, il se lançait à sa poursuite en courant. Si c'était vraiment une esclave et qu'il l'attrapait, il en aurait les droits, alors autant tenter sa chance.

Il y a des jours ou l'on veux s'amuser. Oui oui s'amuser. La jeune femme avait laisser trainer quelque petit idée, comme quoi il y avait une étrangère qui hantait les rue.. Simplement parce que c'est amusant de se faire attraper.. La chasse est amusante quand elle en est le gibier. C'est tellement amuser de courir et de se sentir poursuivie. Pour tout dire la jeune femme était un peu étrange sur ce point la... Elle avait changer très légèrement son corps.. Elle avait cacher ces belles ailes blanche, et pour une fois ces cheveux avait de beaux reflets d'argent... Un peu comme si ils étaient vraiment  précieux.. Elle portait aussi au pieds et au main des bracelets en fer, au chaine brisée, et un collier en cuir noir autour du coup..

Elle portait un joli tunique blanche, un peu salie. Bref une belle esclave qui se serait enfuies de sa maison... Se cacher c'est amusant, elle sait qui elle veut avoir. Il n'y a rien de plus amusant que de se faire capturer, en faisant croire a l'autre qu'il  était le plus fort.. Les hommes était tellement étrange, il y avait tellement de chose qu'elle voulait encore découvrir..

Mais pour l'instant elle se collait contre un tonneau, bougeant juste un peu pour qu'on l'entende. Des pas qui approche, et la jeune femme bondit, tout en souplesse, le seul bruit qu'elle faisait c'était celui de ces chaines quand elle bougeait.. Il fallait courir, toujours courir, elle se laissait pourtant rapprocher, presque attraper ...

Un coups a droit un coup a gauches.. et la voila dans une impasse. C'est qu'elle ne connais pas vraiment la ville.. Prenant un air des plus apeuré la jeune femme se colla au mur, son souffle était un peu court. Un souffle qui soulève sa poitrine généreuse, sous le fin tissus blanc on pouvait voir ces jolis tétons se dessiner... Sachant que sa jupe couvrait tout juste ces fesses, dévoilant sa joli culotte blanche en dentelles... Doucement elle porta une main a son cœur avant de prendre la paroles.

« ..s..sil vous plait.. ne.. ne me faites pas de mal. »

Sa deuxième main monta et vint se joindre comme dans une prière, soulevant un peu plus sa poitrine généreuse, ces yeux d'un bleu vert des plus profond brillait doucement de larmes.. Elle ressemblait a cet instant a une humaines tout a fait normale.. Bref une vrai petite esclave apeurée.

Cyscek aurait dû se poser des questions, mais tout ce qu'il voyait, c'était son jour de chance. Car après tout, deux jours de fuite de la part d'une esclave, c'était déjà beaucoup. N'importe qui aurait pu la trouver, et à l'heure qu'il est, on aurait pu la penser loin de la ville, tentant de fuir les esclavagistes pour ne pas retomber entre leurs mains. Et voilà qu'il en apercevait la forme.

Connaissant la ville, il savait que la jeune femme venait de s'enfoncer dans une impasse entre deux maisons. Elle ne pourrait pas se sortir de là, à moins d'escalader le mur ou une maison pour tenter de fuir. Le pas rapide, il l'avait suivi pour arriver à son tour dans l'impasse en courant, et s'arrêtant quand il la voit bloqué contre le mur. Un léger sourire vint à ses lèvres alors qu'il comblait la distance qui les séparait en marchant à présent.

Ca, ça ne dépend que de toi.

Si elle était docile et se laissait attraper sans trop de résistance, il ne la frapperait pas. Il fallait éviter au maximum d'avoir à s'en prendre physiquement aux esclaves, afin de ne pas les abîmer. La première règle était de ne jamais frapper au visage, pour ne pas ruiner la valeur d'une esclave. Ensuite, selon la nature des coups et l'endroit, il fallait plus ou moins de temps pour que les ecchymoses disparaissent, il fallait donc bien s'y prendre.

Lentement, il décrochait une chaine de sa ceinture, au bouts de laquelle pendait un fer, surement pour emprisonner le cou de l'esclave. Le tintement des anneaux étaient le seul bruit provenant de la ruelle, pendant qu'il reluquait l'esclave en fuite. Pas mal du tout, elle pourrait rapporter une belle somme.

Tu es à moi. Les esclaves en fuite sont sévèrement punis par la milice, et tu n'aimerais pas ça. Tu es vierge ?

La question a son importance pour lui. D'une part parce qu'une esclave vierge pouvait valoir plus cher, selon le désir du client, même si à partir de là, le client devait faire lui même l'éducation sexuelle. Dans le cas contraire, si elle n'était pas vierge, cela signifiait qu'il pouvait abuser d'elle sans se priver, et vu ses courbes, cela ne lui déplairait pas. D'ailleurs, alors qu'il approchait pour lui passer la laisse en fer, elle pourra remarquer que le pantalon de l'esclavagiste est tendu à son entrejambe, preuve qu'elle lui fait de l'effet. Sur ses gardes tout de même, Cyscek venait porter l'attache en fer autour du cou de la jeune femme. Au pire, si elle essayait de fuir, il pourra toujours se servir de ça comme arme.

Le souffle court, les yeux emplis de larmes la jeune femme paraissait des plus apeuré, il fallait bien se mettre dans le bon esprit. Son corps tremblait doucement, alors qu'elle suivait du regard le moindre geste de l'homme, qu'est-ce qu'il allait faire avec cette chaine. Cela ne dépendait que d'elle ? Humm voyons est-ce qu'elle se défends, ou pas... Cela reste encore a voir.. L'odeur de l'homme était un peu troublante, différente de celle des gens habituels. Elle était a lui, doucement elle respira, laissant sa poitrine se dessiner un peu plus sous ces pauvres vêtements...

Punie ? Pourquoi parce qu'elle voulait jouer ? Doucement elle prit un petit air un peu plus apeuré, se collant le plus possible au mur, il fallait fuir, le plus vite possible. Si elle était vierge.. Bon comment dire cela... C'est assez difficile a expliquer.

« Plus ou moins... »

Oui voila c'était répondre sans mentir, son corps était vierge de tout a chaque fois qu'elle prenait quelque jours pour se reposer.. Son corps était un peu étrange pour cela.. Il reprenait toute son apparence , même sa virginité... Le voila qu'il approche, le corps de l'homme semblait exciter, a cause de son corps a elle. Dieu qu'elle aimait  quand les homme la désirait comme cela.. Doucement elle poussa un petit couinement de peur, un peu sexy aussi...

Il fallait bouger.. Oui très vite... Un mouvement pour fuir, mais son pied se prit dans les chaines qui se trouvait a ces pieds.. Un petit cris de peur lui échappa alors qu'elle bascula en avant, son visage venant un instant se coller contre le ventre du jeune homme, ces lèvres effleurant sans le vouloir son entrejambe... Sans le vouloir vraiment ?? Qui peux le savoir.

« Aie. »

Oui aie, les fesses levée, elle semblait presque avoir envie qu'on la saute, les main au sol, elle sentait ces seins pendre, l'un avait d’ailleurs échapper a son haut. Dévoilant son joli téton rosé, même si ces cheveux blonds cachait une partie de son corps.. 

« Je ne veux pas... »

Elle ne voulait pas quoi, retourner en prison, oui surement, ces larmes se mirent doucement a couleur, la jeune femme était une de ces filles qui pouvait pleurer et avoir l'air belle.. Les larmes ne faisait qu’embellir son visage, son expression, surtout pour une personne un peu sadique.

Alors qu'il s'approchait, la jeune femme trébuchait, en tentant de s'enfuir. Malheureusement pour elle, elle n'ira pas plus loin. Comme elle se retrouvait penchée devant lui, il la trouvait des plus désirables, ses formes mises ainsi en valeur. Et il ne se posait pas une seule question quand à ce concours de circonstances. Après tout, des esclaves habillées courtement, on en voyait souvent, alors pourquoi pas elle ?

Tu croyais aller où comme ça ?

La jeune femme semblait docile, pourtant ses paroles dénotaient un peu de réticence, ne serait-ce que sa réponse concernant sa virginité. Forcément, Cyscek n'avait aucune manière de savoir ce secret là d'Ambroise. Malgré les larmes sur le visage de la jeune femme à présent à quatre pattes, Cyscek baissait les bras afin de passer l'accroche autour du cou de la jeune femme. Dans un bruit métallique, il refermait l'attache qui tenait à l'aide d'un cadenas, ce qui l'empêcherait de l'enlever sans avoir la clé. Voilà, c'était fait. Un coup d'oeil derrière lui, l'impasse était vide, surtout à cette heure ou le soleil commençait à se coucher. Du coup, il se retournait vers elle avec un léger sourire.

On va voir ce que tu vaux, tu m'excuseras de ne pas attendre d'être chez moi.

Il tire sur la chaine, obligeant la demoiselle à se redresser et à laisser voir ainsi son sein débordant de son décolleté, ce qui a pour effet d'agrandir le sourire de l'esclavagiste. Il matte un instant la lourde poitrine, se faisant la réflexion pour lui même qu'avec un corps pareil, elle allait valoir cher sur le marché. Il tire encore sur la chaîne, et cette fois elle se voit obligée de poser sa tête contre la cuisse du jeune homme.

Tu vas me montrer ce que tu sais faire, et pas d'entourloupes. Si tu tentes quoique ce soit, tu le paieras cher.

Il la maintenait toujours contre lui, la main tenant fermement la chaine, pendant que l'autre venait à son pantalon afin de l'ouvrir. Il chutait à ses chevilles, et il baissait en suivant son caleçon pour dévoiler un chibre gonflé de désir à l'idée de se faire cette esclave aux formes somptueuses.

Ou elle croyait aller ? Humm et bien nulle par mais elle n'allait pas le dire. Non il ne faut pas qu'il l'attrape sans le vouloir la jeune femme poussa un petit couinement de peur quand il attacha la chaine a son collier.. bon dieu la voila prisonnières.  Voir ce qu'elle valait, la jeune femme rougit violemment, son souffle se faisant un peu plus court, cela faisait tellement longtemps qu'elle n'avait plus eu d'amant, que son corps commençait a être en manque. Mais encore une fois elle ne pouvait pas le dire.

Soudain elle se retrouve a genoux, son doux regard se posant dans celui du jeune homme, comme pour le supplier, alors qu'au fond elle s'amusait comme une petite folle. Pas d'entourloupes, dans son fort intérieur la jeune femme eu un sourire, et si elle en faisait il l'abimerais pour la vendre moins cher ?

La tête collé a sa cuisse, elle avait le souffle court, un peu trouble pour tout avouer, mais avec ces yeux baisser on ne pouvait pas savoir si elle avait peur ou si elle se sentait excitée, même son souffle rapide pouvait être prit pour de la peur... Sachant que voir le membre de l'homme lui donnait qu'une envie dévorer ce grand membre qui semblait déjà bien dure.

« Je.. je ne veux pas... »

Doucement elle chercha a reculer, ces mains venant se poser sur le membre de l'homme, pour le repousser dans une douce caresse, non elle ne voulait pas prendre cela en bouche... Bouche qui s’entrouvrait pourtant en douceur, comme pour accueillir quelque chose...

« C'est sale, je ne veux pas... »

Sa voix était douce, suppliante, alors qu'elle tournait la tête, ces doigts effleurant en douceur le gland de l'homme, curieuse la jeune femme, non elle avait juste envie de découvrir un peu plus ce membre, bon dieu qu'elle avait envie de l'avoir en elle, c'est si bon de se sentir plein .. Mais il lui fallait encore resister.

« Je vous en prie, lai..Laissez moi partir. »

Bien que les paroles de la jeune femme tournait autour du refus, les gestes et la façon de le regarder sembler indiquer le contraire. Cyscek se fit la remarque qu'elle était un peu étrange. Surement trop habituée à être traitée de la sorte et à se laisser faire, mais encore ennivrée par l'odeur de la liberté, elle voulait y croire un peu encore. Il la regardait d'au dessus, le membre se tendant en sentant les doigts de la jeune femme frôler son gland.

Tu n'iras nul part, et tu vas arrêter de chouiner !

Tenir la chaine n'était pas forcément le moyen le plus pratique pour forcer la jeune femme à faire ce dont il avait envie. Du coup, sans pour autant la lâcher, il portait sa main libre à la tête d'Ambroise pour la guider un peu plus. D'abord, il lui enfouit le visage contre son membre, la tige dure en travers de la figure et les couilles pleines contre le menton et la bouche.

Sors ta langue et lèche moi.

Les doigts se refermaient sur la chevelure dorée, une poigne forte l'empêchant de songer à fuir la situation. Bien sûr, il est loin de se douter que c'est exactement le contraire qu'elle veut. La ruelle est toujours déserte, et même si elle se mettait à crier, c'est peu probable que quiconque tente de s'interposer tant elle ressemblait à une esclave.

Après quelques secondes dans cette posture, il tirait la tête en arrière pour la forcer à reculer, et bougea le bassin pour aligner le gland contre les lèvres de la belle. En poussant un peu, il s'immiscait entre les lèvres charnues, pour finalement donner une impulsion et fourrer son membre dans la bouche d'Ambroise. Un grognement de satisfaction monta de sa gorge, il finissait son mouvement en tapant au fond de la bouche de la jeune femme. Déjà il la repoussait en arrière pour la faire revenir, et ainsi l'obliger à faire des vas et viens le long de la hampe raide. La main tenant la chaine tirait par moment, pour inciter l'esclave à aller plus loin à chaque fois.

Aspire bien, et montre moi ce que tu sais faire.

La queue était tendue à son maximum, et déformait la bouche d'Ambroise de par son épaisseur. Mais il ne se souçiait pas de son bien être à elle, il la considérait déjà comme une esclave lui appartenant et comptait bien profiter d'elle autant qu'il le voulait.

Arrêter de chouiner... Mais heuuu elle ne chouinait pas, elle se plaignait tout simplement. C'est plus amusant comme cela. Cette main qui viens accrocher ces cheveux la fait doucement trembler. Cela ne lui donnait que plus envie, surtout sentir l'odeur de son membre, la jeune femme était extrêmement sensible a l'odeur. Doucement comme un peu hésitante elle sortit sa langue venant lécher les boules de l’homme.. Elle sentait bien son odeur son gout un peu rance,  mais tellement appétissant.. Elle qui n'avait jamais coucher avant de descendre sur terre ne saurais plus se passer de ceci. Cela coulait dans son sang il lui fallait du sexe.

A quoi bon crier, un instant la jeune femme laissa échapper un nouveau gémissement, se laissant un peu aller sous la main de l'homme comme si elle comprenait qu'il était le plus fort, comme si un dressage qu'elle aurait eu prenait le dessus. Il faut toujours obéir au dominant n'est pas ?

Pourtant la jeune femme serra doucement les dents, pour lutter un peu plus.. Avec plaisir elle sentit le gland de l'homme pénétrer dans sa bouche.. C'est si bon, c'est gouteux. Il était gros le jeune homme, il lui emplissait bien sa bouche, avec ces colliers de perle autour son chibre devait être encore plus beau n'est-ce pas ?

Et ces mouvements qui vont et vienne dans sa bouche, la faisant haleter doucement, les yeux clos, elle se laissait aller dans les mains de l'homme.. Pourtant ces lèvres se serrait doucement sur le membre de l'homme, se mettant a le téter doucement, comme une petite chienne bien dressée.

Doucement elle posa ces mains sur les cuisses de l'homme, pour mieux se tenir, sa bouche se serrant de plus en plus sur le membres, les bruit de succion montant un peu dans l'air, elle se laissa aller a l'envie, peu être que l'homme sera satisfait si elle faisait une bonne pipe n'est pas ? En tout cas c'est l'impression qu'elle donnait..

Sa bouche aspirant le plus possible le chibre de l'homme, le pompant avec une certaine force. Sa langue bougea délicatement caressant la peau du membre... C'est qu'il pouvait aller loin dans la bouche de la jeune femme, elle avait presque l'impression que son nez pourrais venir coller contre le ventre de l'homme.. Et elle s'appliquait la demoiselle, sa bouche était  gourmande, et surtout savante, elle semblait savoir ce qu'elle faisait, sa pipe se faisait de plus en plus profonde, plus forte, comme si elle voulait aspirer tout le jeune homme en elle.

Cyscek savourait ce début de fellation que lui offrait -un peu de force- la jeune femme. Le membre raide luttait pour se redresser, et le gland raclait le palet de la jeune femme à chaque fois qu'il passait dans sa bouche. Un gémissement lui échappa, alors qu'il sentait bien qu'elle se laissait faire, reprenant sans nul doute ses habitudes d'esclave. Mais à la regarder, la voir serrer les lèvres ainsi autour de la queue dure, il lui semblait qu'il y avait plus que cela, qu'elle prenait du plaisir à ce qu'ils faisaient.

Il la dominait de part la position et les gestes, et à mesure qu'elle avançait sur le membre, il gémissait plus fortement. Les yeux posés sur elle, il savourait la chance qu'il avait d'être tombée sur elle avant un autre.

T'as été bien dressé, t'es adroite ... Hm ...

Sous l'impulsion de ses mains, et des mouvements de la tête d'Ambroise, le membre frappait à chaque fois au fond de la bouche chaude. Il finit par forcer un peu plus, afin que le gland ne passe l'entrée de la gorge et s'enfouisse plus profondément en elle. Cela rapprochait considérablement le visage de la jeune femme, qui se retrouvait à quelques centimètres à peine du pubis de l'esclavagiste. Et en forçant un peu plus sur les vas et viens suivant, il en venait à la combler totalement, le nez d'Ambroise contre sa peau, le chibre bloqué en travers de la bouche et de la gorge qu'il déforme vulgairement de part sa présence dedans.

Il accélérait subitement ses mouvements, excité par la pipe qu'elle lui administrait et son expérience. Moins de douceur, la queue limait la bouche et la gorge à gestes rapides, se servant d'elle comme d'un vulgaire orifice. Il ne tenait plus, le plaisir était fort, décuplé par la vue de cette belle esclave et de la fellation qu'il lui impose. La jouissance arrivait, et il lâchait un premier jet épais dans la gorge de la jeune femme, avant de se retirer brusquement. Il gémissait plus fort alors que le membre à l'air libre crachait tout ce qu'il pouvait de foutre sur le visage et le décolleté avantageux de l'esclave.

Han ... Branle moi ... Plus vite ... Vide moi bien ...

Ses paroles étaient entrecoupés par son souffle de plus en plus court à mesure qu'il jouissait. Puis petit à petit les giclées cessèrent, les dernières gouttes de sperme coulant le long du membre encore dur. L'excitation était encore trop forte pour qu'il débande, et vu l'état dans lequel était la petite esclave, ce n'était pas prêt de s'arranger.

Bon dieu qu'elle aimait quand les hommes la dominait comme cela, sentir le chibre de l'homme défoncer sa gorge, la faisait s'étouffer un peu, mais qu'elle importance, c'était le plaisir de l'homme qui primait en premier, même si elle sentait sa culotte commencer a devenir bien humide. Hum c'est un petit problème. Oui elle avait bien été dressée, enfin si l'on peu dire, elle pratiquait depuis qu'elle s'était incarnée sur cette terre.. Et plus elle pratiquait plus elle aimait ce monde. Un monde qui lui faisait tourner la tête, quoi elle devenue accroc non même pas, ou juste un chouilla.

Puis il vint si profond en elle, qu'elle eu du mal a respirer, un haut le corps soulevant un instant sa poitrine ces doigts s'accrochant un peu plus aux cuisses de l'homme, bon dieu qu'il y allait fort, ces yeux mi clos se révulsait a moitiez, pourtant elle ne reculait pas, on aurais presque dit qu'elle savourait d'avoir son nez coller a son ventre.

Elle le sentait devenir de plus en plus raide pendant ces mouvements, il allait venir elle le sentait.  Enfin le sperme se répandit dans sa gorge, comme un liquide qu'elle avait tant rechercher, ce liquide qui la rendait folle, les yeux de la jeune femme se rouvrir doucement, exprimant un désir qu'elle avait du mal a réprimer, un peu comme si le foutre , son odeur , son gout l'avait rendu folle.

Le sentir se répandre sur son visage et sur ces seins, la fit doucement rougir, alors qu'elle levait les doigts, caressant avec douceur le chibre de l'homme, le branlant doucement.

« M..ma..maitre ? »

Oui elle ne voulait plus vraiment partir, doucement elle se pencha venant effleurer de la langue son chibre, léchant avec une certaine avidité le sperme du jeune homme qui restait sur son chibre.. Sa langue suivit un instant la descende d'une goute le long de sa jambe, le léchant comme une petit chienne, son souffle se faisant encore plus court qu'il ne le devrait, c'est qu'elle ne cherchait même pas a effacer la souillure qui couvrait son visage.

«Cet..cette odeur me..me rend folle. »

La jeune femme laissa échapper un petit soupire de plaisir, venant délicatement téter le gland de l'homme, un peu comme une petit chienne gourmande.  Elle semblait en vouloir encore le petit ange.

Encore sous le coup de l'orgasme, Cyscek haletait et reprenait son souffle. Le membre palpitait dans la main d'Ambroise, dur et brulant. Il ne l'avait pas loupé, le sperme maculait la peau satinée de la jeune esclave, et pourtant, à voir son visage, cela avait l'air de lui avoir plu. Il était devenu immobile, le temps de récupérer, et sans même lui avoir donné d'ordres, voilà qu'elle se mettait à nettoyer sa queue de haut en bas, chassant chaque goutte de sperme pour la lécher et l'aspirer. Cyscek regardait le spectacle d'au dessus, appréciant la manière de faire d'Ambroise et son côté libéré après cet orgasme un peu provoqué.

Folle ? J'aurai plutôt dit que ça t'as rendu la raison ... Hmm ...

La queue se tendait un peu plus quand les lèvres se refermaient à nouveau sur le gland pour aspirer les dernières gouttes. Il soupirait d'aise, et reposait une main sur sa tête, sans la forcer cette fois. Il laisse filer quelques secondes pour apprécier ce contact avant de repousser légèrement la tête d'Ambroise.

Passons à autre chose, mais si t'es sage, je pourrai bien jouir encore dans ta bouche.

Il reculait d'un pas, pour avoir une belle vue d'ensemble de la jeune femme, puis pour lui désigner le mur à côté d'eux. Aucune spécifité quand au mur, mais il a son idée quand à la suite des évènements. Pour qu'elle accélère le mouvement, il tire un peu sur la chaine afin de l'inviter à se presser.

Installe toi ici, face contre le mur, et donne moi envie.

Comme elle se lèvait, il passa sa main sur les fesses rebondies de la jeune femme pour les palper sans aucune gêne. Puis la main revint à son propre sexe pour se branler lentement et ne pas perdre son érection pendant qu'elle prenait la pause. Il n'avait qu'à faire un pas en avant pour coller son bassin à celui de la belle, lui retroussant la jupe sur les hanches. Le chibre dur longeait la raie, un instant il se frotta comme ça avant de se baisser à peine pour immiscer le gland entre ses jambes.

D'un coup sec, il remontait, le gland trouvant l'entrée de la chatte brûlante pour la fendre en deux. Le coup a été bien fort, de façon à enfoncer autant qu'il le pouvait le sexe en elle. Il marque le pas un instant, se délectant de cette pénétration brutale, avant d'entamer ses vas et viens.

Oui rendu la raison. Oui c’est un peu cela la jeune femme se sentait excitant, il est sur a présent que le sperme la rendait folle, elle ne pouvait plus s'en passer a cet instant elle le savait, elle était maudites, mais c'est une si belle malédictions, un malédictions tellement délicieuse. Doucement elle enfonça a nouveau son chibre dans sa bouche, dieu qu'un membre d'homme était bon, elle l'aurais bien dévorer comme une bonne chienne, mais attendez c'est ce qu'elle faisait.

Un soupire lui échappa alors que l'homme retirait son chibre. Doucement elle observa le mur se redressant avec douceur ces chaines claquant doucement sur le sol. Elle aimait que les hommes lui donne des ordre qu'il soient brute avec elle.. C'était un plaisir que de ce poser contre le mur.

Avec douceur elle fit glisser sa culotte sur ces cuisses sans  même l'enlever, ces jambes bien écartée elle cambra les hanches, offrant ces fesses a l'homme, elle ne souleva pas sa jupe, simplement pour lui laisser l'envie de deviner.

Han oui oui, elle aime sentit ce membre frotter contre son cul, il allait la prendre par la ? Et se gland qui explore son corps, qui la fait frisonner. Il allait la prendre par oui, son souffle se faisant plus haletant un peu comme une chienne en chaleur.. Et puis ce fut le paradis l'homme entra en elle sans aucune hésitation.. Le plaisir qu'elle ressentait la faisait couine , ces doigts se crispant sur le mur.

Elle avait encore sentit son hymen se fendre, du sang coulant le long de ces cuisses. Han cette douleur elle l'adorait, chaque vas et viens de l'homme la faisait couiner un peu plus fort. Ces seins bougeant a chaque mouvements, des gros seins qui ballottait a chaque mouvements.

« han.. han doucement, vous êtes gros, ca.. ca fait.. mal..han.. c'est.. si bon... »

Oui elle semblait au paradis, ces doigts se crispant sur le mur, c'était si excitant de se faire prendre dans une ruelles salle comme cela, elle avait l'impression de n'être plus qu'une poupée entre les mains d'un être, son corps se serra un peu plus autour de l'homme, son vagin était étroit et si accueillant.

« si... han.. si .. .si plus fort.. »

Calé derrière la jeune femme, Cyscek entamait des mouvements brusques, chaque coup faisant claquer son bassin contre les fesses d'Ambroise. Ses couilles encore pleines frappaient le clitoris de la jeune femme quand il l'emplissait, pour repartir aussitôt et revenir. La pose qu'elle avait pris pour la pénétration était parfaite, on sentait une certaine habitude, cela même dans la façon de se mettre en valeur et de l'exciter plus encore.

Malgré les paroles d'Ambroise, il n'allait pas plus doucement, et finalement bien lui en prit puisqu'après quelques coups bien sentis, les refus de la jeune femme se transformèrent en suppliques pour en avoir plus. Pendant de longues minutes, il passait et repassait dans le sexe étroit, l'obligeant à acceuillir son chibre dur et large. Il ne se lassait pas de la limer et de sentir sa chatte s'ouvrir et prendre la forme de son sexe.

Tu as une chatte presque aussi confortable que ta bouche ...

Il était difficile de faire plus doux qu'une langue contre le membre d'un homme, mais cette jeune femme arrivait à lui faire avoir des sensations très fortes rien qu'en la baisant ainsi. Pourtant il se reculait lentement, avec une autre idée en tête. Le membre ressortait petit à petit, et il fut surpris de voir du sang dessus. Elle était vierge ?! C'était impensable, vu comment elle se comportait. Elle ne pouvait pas l'être.

T'étais encore vierge ?! On va voir si c'est partout pareil !

Il glissait son gland au dessus du vagin, jusqu'à le pointer contre l'oeillet d'Ambroise. Le membre glissé entre les fesses, il presse un peu, et la mouille aide à la pénétration. Le gland forcait l'entrée de son cul, obligeant l'orifice à se dilater plus que de raison pour laisser passer le membre imposant. Il la tenait fermement et n'arrêtait pas de forcer, obligeant le cul d'Ambroise à avaler centimètre par centimètre le gros chibre, quitte à la faire crier dans la rue.

Chaque coup de reins la faisait monter un peu plus haut dans le ciel, le plaisir montait malgré la force des coup de reins... Dieu qu'elle aimait quand les hommes se montrait tellement puissant, plus il la défonçait plus elle prenait du plaisir. C'était un peu fou. Dire qu'il y a un peu plus d'un ans elle ne connaissait rien, rien de rien qu'elle ne connaissait pas le goût du foutre, pas plus qu'elle ne connaissait le plaisir de se faire prendre comme une chienne au milieu d'une ruelle glauque. D'ailleurs avec un peu de publique cela pouvait être encore mieux.  Non non encore une pensée parasite.

Ho qu'elle compliment, la jeune femme gronda doucement elle, elle préférait qu'on la prenne par sa chatte simplement parce que la jeune femme ressentait comme cela plus de sensation. Et puis c'est normale elle était un ange aussi, elle était parfaite, surtout que sa mission était de donner du plaisir au homme, de les combler le plus possible, qu'il se sente au paradis pendant quelque temps. Han non qu'il ne recule pas, bon dieu qu'elle n'aimait pas quand les gens se retirait la laissant sans rien elle se sentait alors comme vidée. Et ça ce n'était pas agréable... D'ailleurs son gémissement exprimait cette peine , oui cette peine, c'était viscérales, elle avait besoin de se faire prendre.

«  Je...han.. je me guéris.. me..mon corps se soigne tout seule.. haaaa..non.. pas..par la... »

La jeune femme se mordilla doucement les lèvres, avant de pousser un grondement de douleur, bon dieu que c'est douloureux, la première pénétration est toujours si douloureuse, sentir le sexe de l'homme écarter doucement son œillet est une sensation des plus étrange mais plaisante.

«  D..arrêter...v..vbous all..aller me..me dé.déchire...m..maitre..hann... hAAaa. »

Encore un cris qui lui échappe résonnant dans l'endroit, les mouvements de l'homme l'avait collée au mur, son torse touchant le mur, ces seins s'y frottant, sans qu'on ne sache comment son deuxième seins était sortit de sa tenues, et ballottait avec l'autre... Ces cris montait doucement exprimant douleur et envie, oui de l'envie elle adorait la douleur c'était un plaisir interdit qu'elle dégustait...

Sans réfléchir elle bougea ces mains gardant le torse coller au mur, ces doigts venant écarter ces fesses, comme pour aider l'homme a aller plus loin, sa mouille coulant le long de ces cuisses, quoi complètement folle la jeune femme non pas du tout. Cela faisait longtemps qu'on ne l'avait plus prise par ce coté, c'était douloureux, tellement douloureux qu'elle sentit un larmes couler le long de ces joues.

« le..le maitre est...aie...han... trop.. trop g..gros... »

A mesure qu'il se rapprochait de la jeune femme, le membre forçait, et la demoiselle se retrouvait avec l'obligation de s'empaler un peu plus sur lui. Il ne pouvait pas prendre de prise sur le mur, alors ses mains se contentaient des hanches d'Ambroise pour la forcer de lui même. A son étonnement et son ravissement, elle vint l'aider en s'écartant les fesses d'elle même. Faisait-elle ça pour le plaisir, ou pour atténuer la douleur ? Il ne saurait dire, et à dire vrai il s'en moquait tant que le plaisir était au rendez vous. Il ne voyait pas la supercherie, le fait que ce ne soit pas une vraie esclave, et que ce qui se passait était du seul gré d'Ambroise. On le lui aurait dit qu'il n'y aurait pas cru.

A force d'avancer et de la pénétrer, son bassin rencontrait les fesses d'Ambroise. Le membre était à présent presque entièrement en elle, elle sentira le pubis de l'homme contre sa raie des fesses, mais surtout la largeur du chibre qui l'ouvre profondément. Il marquait alors une pause, la queue palpitant en elle et luttant contre la pression de l'orifice peu habitué à ce genre d'intrusion.

Tu te régénères ... Qui es-tu alors pour avoir cette capacité ? Tu vas me rapporter un paquet d'argent ...

Il imaginait déjà les désirs de ses clients. Certains optaient toujours pour des vierges, alors ils se battraient pour avoir une femme qui pouvait retrouver sa virginité à volonté. Il ne remettait pas en cause les dires d'Ambroise, car il ne la pensait pas capable de mentir. Si elle était vierge et sans pouvoir, elle ne serait pas aussi à l'aise avec une queue en elle. Non, elle avait de l'expérience, et elle se régénérait bien. Il le sentait également en la sodomisant, son cul bien étroit devait reprendre cette forme à chaque fois, ce qui aurait aussi de quoi intéresser des clients.

Ca ne fait rien que je sois trop gros, tu guériras de toute manière, et je suis sûr que tu aimes ça en plus !

Le bassin bougeait brusquement en avant, remuant Ambroise contre le mur. En restant collé contre elle de la sorte, il ne pouvait pas aller et venir en elle, simplement se laisser masser par son anus qui se contractait convulsivement autour de sa queue. Il pliait alors les genoux pour se baisser, et la queue suivait, ressortant lentement de l'orifice serré. Quand il fut à moitié sorti, il revint brutalement vers le haut, emplissant Ambroise comme auparavant. Une fois, deux fois, trois fois, il se mit à tenir un rythme constant pour lui limer le cul sans vergogne. Dieu qu'elle était agréable pour une humaine, c'est ce qu'il se disait.

D'ailleurs, emporté par le plaisir et les formes hors normes de la demoiselle, il sentait qu'il allait craquer à nouveau. Il ne cherchait pas d'échappatoire, et le pieu profondément planté en elle, il se laissa aller à attendre la délivrance. A l'enculer de la sorte, elle ne tarda pas à venir, la semence brûlante giclant en elle à grands jets malgré la première jouissance. Il était toujours aussi abondant et ça ne le gênait pas. Tout à son plaisir il gémissait, se vidant sans vergogne pour se calmer lentement quand le plaisir retombait. D'un pas mal assuré il reculait à peine, le membre s'extirpait de l'orifice pour le laisser se refermer. Il lui semblait planer au dessus de la scène tellement le plaisir avait été fort, sans pour autant réussir à comprendre comment cette esclave pouvait lui donner autant envie de sexe.