Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Danse et fracas [pv Aya]

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Seto valentine

Créature

Danse et fracas [pv Aya]

mercredi 25 août 2010, 23:19:40

Après plusieurs jours à avoir visité la Terre, Seto tomba sur un des fameux portails qui permettait de passé du monde de la Terre au monde de Terra. Son monde, sa planète jumelle. Le jeune homme s’était retrouvé à présent dans un nouveau monde inconnu. Il avait atterri par grande chance dans une ville où les habitants étaient aussi nombreux qu’a Tokyo sur la Terre. Il s’avança curieux de voir ce nouveau monde. Il leva son regard vers les cieux tout aussi bleu que sur le monde de la Terre. Il se dit que cette dimension était très similaire de celle d’où il venait.
 Le Blackard marcha longtemps dans les rues de la ville-Etat. Il finit par tomber, au bout de quelques heures de marche sous le soleil, sur une grande place publique. Dans cette place se trouvaient de très nombreux marchands offrant différents produits tous uniques dans leur type et leur genre. Le faux Terranide s’arrêta à quelques stands pour y observer les différents produits qui étaient proposé sur les tables et les bancs. Certains fruits semblaient très juteux, d’autres au contraire semblaient étranges dans leur forme ovale ornée d’une carapace épineuse. Seto se tourna par après vers les stands où les épices y étaient présentés. Les épices étaient très aimés de ce jeune capitaine. Les plats qui donnaient une sensation de grande chaleur voire presque de brûlure plaisait à notre petit extra-terrestre.

  On regard s’écarta ensuite des stands, il vit au centre de toute cette grande place publique un lieu où des hommes proposaient de nombreux humains, Terranides et autres créatures. Cela semblait être le stand esclavagiste. Là où on pouvait acheter un esclave du sexe et de la race qu’on désirait pour une somme convenue. Il pouvait entendre depuis sa position et grâce à son ouïe fine les enchères augmenter très rapidement pour une Nymphe fraichement trouvée.
  Seto resta quelques minutes sur la vue de cette jeune Nymphe. Elle était jeune. Au début de son adolescence vers approximativement les 15 ans. Il vit ensuite le maitre des esclaves ôter ce qui cachait son corps de ses attributs femelle. Sa poitrine généreuse était à découvert comme le fin triangle en bas de son ventre qui reflétait sa nature véritable. Le Printemps devait commencer à faire son apparition sur Nercalia ce qui signifiait que pour Seto, ses instincts de jeune homme sauvage se réveillaient petit à petit. Il pouvait le ressentir à la vue de la Nymphe. Il décida après de dégager son regard de là. Question de ne pas faire de victimes innocentes. Il reprit sa route dans la voie publique du marché.

  Il vit entre plusieurs marchands différents danseurs et danseuses. Ils n’étaient pas nombreux. Au nombre de trois au total. Un homme et deux femmes. Tous resplendissants sous leurs gestes qui faisaient à peine élever la poussière dans l’air. Ils dansaient tous les trois. Le regard du Blackard s’arrêta pourtant que sur l’une des danseuses.
  C’était une jeune femme et même une jeune fille. Elle aussi était encore une adolescente. Cette danseuse était très fine, surement entre 30 et 40 kilos pour un corps mesurant 1m50 de haut. Elle avait des cheveux blanc étincelant reflétant avec perfection les rayons du soleil dans ses mouvements remplient de grâce. Ses vêtement lui rappela les contré désertiques de sa planète où la lumière régnait en maitre sur ces régions rares. Ces bouts de tissu devaient être très fins. Ses oreilles bougeaient légèrement sous le bruit des petites clochettes que ses vêtements possédaient. Seto sourit en voyant tel spectacle. Il resta là longtemps à la contempler jusqu’à ce qu’elle cesse de danser


..-° Fiche °-..
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Aya

E.S.P.er

Re : Danse et fracas [pv Aya]

Réponse 1 jeudi 26 août 2010, 13:35:21

La grande place de la ville de Nexus était un endroit que je détestais et pour cause, c'était dans ces lieux que j'avais étés vendu comme esclave. Je me souviens encore de cette journée, les hommes qui m'avaient capturé c'était bien fait avoir, c'était mon seul bon souvenir, pour le reste... Non, je ne préfère pas me rappeler. Pourquoi je revenais dans ces lieux alors me demanderiez-vous, eh bien tout simplement parce que je manquais d'argent, car pour vivre, il faut de l'argent. Voilà pourquoi, j'avais rejoint un duo, enfin un couple de danseur. Je les avais abordés un soir alors qu'ils venaient de donner une représentation dans une taverne des bas-cartiers de la ville. J'étaie grandement affaiblie et la faim était ma seule obsession, je les avais donc supplié de bien vouloir me venir en aide au nom de la solidarité qui existait entre tous les membres des activités de spectacles.
Je ne pense pas qu'ils m'aient cru dès le départ qu'en je leur disais que j'étaie une troubadour, il faut dire que ma tenue du moment et l'état avancé de grasse dans lequel je me trouvais était digne d'un clochard vivant dans les égout les plus sales possibles. Malgré tous ces désagréments, la jeune femme m'avais pris en pitié et avait persuadé (comme seules savent faire les femmes mariées), son mari de m'aider. C'est donc dans leur petite roulotte situer en bordure de la ville que j'avais repris petit à petit mes forces et que j'étaie redevenu une jeune et belle fille.

Il me fallut un peu plus d'un mois pour vraiment récupérer physiquement, mentalement c'était une autre histoire. Le couple de danseurs, voyant que j'allais toujours mal, essayaient par tous les moyens de me distraire et finirent finalement par m'apprécier, enfin m'apprécier est un petit mot, ils m'avaient littéralement adopté, me considérant comme leur fille. Je me souviens encore du jour où je leurs avait montrés mon talent, ils avaient été complètement sidéré.

 Tout cela pour expliquer que je m'étaie finalement installé avec eux, ils représentaient pour moi une seconde famille, je n'avais cependant pas oublié ma véritable famille et je contais bien aller la retrouver. Cependant, après tout ce que ces personnes avaient fait pour moi, je ne pouvais par partir comme une fugitive. La moindre des choses était au moins de les remboursés, ils m'avaient nourrie, logée, habillée, je me devais de leur rendre la pareille, au moins financièrement. Je ne suis pas une profiteuse, enfin, je profitais quand même de la sécurité toute relative que me donner l'homme, car dans une ville comme Nexus, une fille comme moi ne passe pas une journée sans se faire agresser.

Voilà pourquoi, je me retrouvais à danser en leurs compagnies sur la place de Nexus, comme le disais Paul, car mon second "papa" s'appelait Paul, il n'y a pas de meilleurs endroits à Nexus pour un spectacle de rue. Même si l'endroit ne me plaisait pas, je n'avais pas émis d'objection quand il avait proposé de faire notre représentation là-bas. Les mauvais souvenirs que j'avais de cet endroit ne concernait que moi, pas la peine d'embêter les autres avec ça. Nous nous étions installés en début de matinée et donnions des spectacles à tour de rôles. Mes compagnons avait commencé par une petite pièce de théâtre de rue, comique, la pièce avait donné le sourire aux nobles venant faire leurs achats, pendant ce temps je passais avec un chapeau pour quémander quelques pièces. Après la représentation, j'avais enchaîné avec un spectacle de jonglerie, au début avec trois balles, puis augmentant la difficulté pour finir par jongler avec une dizaine de couteaux. Mes parents adoptifs avaient ensuite repris le relais et ainsi de suite jusqu'au milieu de la journée où nous nous mirent à effectuer notre final consistant à une démonstration de danse du désert. J'aime bien faire cette danse que je termine toujours en tournant sur moi-même à une vitesse folle tout en tapent dans un tambourin.

Une fois notre représentation finis, nous saluâmes la foule composer d'une cinquantaine de personnes encore présentes et nous pliâmes bagages. Existé par cette matinée que nous trouvions fructueuses, (l'équivalent de deux pièces d'or gagner en une matinée, c'était plus que bien) nous ne firent pas attention au fait que nous ne prenions pas le chemin habituel et nous passions par des rues non recommandables. Bien attendu, ce qui devait arriver arriva, deux jeunes femmes avec de beaux atours ne peuvent passer inaperçue, surtout quand elles parlent d'argent.
 Alors que nous traversions une petite ruelle, trois hommes se placèrent devant nous. Je croie que c'est à ce moment-là que nous compriment que nous avions fait une grossière erreur. Et pour une erreur, c'était une belle erreur car l'un des hommes nous menaça sans détour :

-Alors les donzelles, je vais faire rapide, mes copains et moi on est en manque de belles femmes et d'argent, il se trouve que vous avez de l'argent et que vous êtes des belles filles. Alors donner nous l'argent et laisser vous faire, sinon, après avoir pris notre plaisir, on vous égorge toutes les deux.

A cette menace, mon père adoptif répondit de manière stupide en envoyant un direct dans la mâchoire de l'agresseur, cette attaque n'ayant que pour effet que le déclenchement d'une bagarre qu'il perdit à moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire. Cette action me permis quand même de faire quelque chose, prendre deux des couteaux dont je me servais pour jongler. A savoir si j'allais ensuite les utiliser pour tuer ces hommes, cela était une autre histoire, je n'avais jamais tué quelqu'un et je ne contais pas commencer, alors pourquoi prendre ces petites armes, je pense que ce fut plutôt un réflexe. A ce moment là, je n'étaie sûre que d'une chose, je ne voulais pas subir un viol.

-Tu n'aurais jamais dû faire ça salaud :
répondit l'agresseur à mon père adoptif que deux hommes maintenaient à genoux, lui bloquant les bras derrières le dos. Je vais prendre plaisir à faire souffrir ta femme et ta fille avant de t'égorger devant leurs yeux.

La situation n'était pas plaisante, certes je n'étaie pas encore maintenue pas les hommes et j'aurais pu m'enfuir en laissant les autres ici, je me supposaie être suffisamment rapide et agile pour m'échapper sans difficulté. Cependant, je ne pouvais pas laisser mes amis dans cette situation juste pour sauver ma peau, mais en même temps, je ne voulais pas me faire violer, alors que faire ? Ma mère adoptive semblait elle paralysait par la peur et je devais paraitre à nos agresseur dans le même état. Ma mère ne réagis que quand l'homme qui nous avait parlé l'attrapa et se mit à la tripoter sans aucune douceur. Elle se débattit mollement mais n'émit aucune protestation hormis quelques supplies qui tombaient dans l'oreille d'un sourd.

-Ne t'inquiète pas petite : me lança-t-il, après elle, c'est ton tour, tu vas connaitre enfin un vrai homme.

Pendant un instant, je fus paralysée par les souvenirs que me rappelèrent les paroles de l'homme. Heureusement, la peur de resubir ces évènements me donnèrent suffisamment de courage pour réagir. Prenant bien en main les couteaux que j'avais dissimulé derrière mes bras, je me mis en position de lancer, si je tuais les deux hommes qui maintenaient mon deuxième paternel, il pourrait surement venir à bout du dernier avec mon aide et celle de sa femme.

Seto valentine

Créature

Re : Danse et fracas [pv Aya]

Réponse 2 jeudi 26 août 2010, 22:57:59

  La musique et la danse continuait. La famille de danseur démontrait durant encore quelques heures leurs talents extraordinaires en matière de danse, de distraction et de spectacle à couper le souffle.
  Seto, comme de nombreux spectateurs, étaient resté à les observé jusqu’au bout. Une fois leur spectacle terminé, les habitants de la ville-Etat frappèrent en chœur dans leurs mains. Le bruit résonna jusque très loin dans la ville ce qui attira le regard d’autres personnes bien que trop tard à présent.
  Ceux qui avaient participé à la vue du spectacle donnaient plusieurs pièces de bronze et d’argent ce qui au total devait valoir dans les deux et cinq pièces d’or. Cette somme était assez énorme pour des personnes offrant de la distraction dans des places publiques comme cela était le cas ici même.
  Les danseurs saluèrent la foule avant de se retirer avec leur argent durement gagné dans ce spectacle qu’ils avaient offert aux habitants.

  Seto les regarda partir. Il sourit encore, ravi d’avoir vu un si stupéfiant spectacle avec une si ravissante créature qui ressemblait fort à un humain en fin de compte. Il reprit ensuite sa route dans le marché. Après plusieurs minutes à avoir observé et visité la place du marché, la créature s’adossa contre un grand bâtiment de couleur beige. Les gens passaient devant lui sans trop y prêter attention, Ils étaient plus plongés dans leurs pensées et leur but précis qui divergeait d’une personne à l’autre.
 Les oreilles de Seto pouvait entendre chaque bruit de chaque personnes présentes dans la place comme le vent passer ou encore les animaux qui survolaient la ville aussi bien les mammifères que les insectes. Son Ouïe était très fine. Il ferma les yeux et se reposa laissant son corps face au soleil et laisser les rayons de celui-ci réchauffer doucement son corps. Il plongea à son tour dans ses pensées jusqu'à somnoler.
  Il était près à s’endormir puis ses oreilles s’agitèrent sous ses cheveux. Il entendait de très loin des bruits suspect et même des gémissements.
  Le bruit était très bas. Ce son ne devait être pas se situer à cotés mais plutôt à plusieurs centaines de mètres voir quelques kilomètres.

  Le Blackard ouvrit ses yeux et regarda dans la direction d’où provenait le son. Il se retira de son mur et resta pensif un instant. Il fronça les sourcils.
  Les histoires de cette planète ne l’intéressaient guère mais ici il avait comme un pressentiment. Comme si une des personnes qu’il avait pu croiser ou voir qui avait suffisamment attiré son attention était en danger sur le moment même où il était en train de penser. Il préféra en avoir le cœur net. Seto se rendit dans les grandes rues en quête de s’approcher d’avantage du son que ses oreilles percevaient.

  Il ne vit rien durant plusieurs dizaines de minutes encore mais ses oreilles percevaient le son de plus en plus fort. Il finit par s’arrêter et regarder vers les ruelles.


« Bien sûre pourquoi je n’y aie pas pensé ? Les gens sont bien moins en sécurité dans les petits espaces comme le sont les ruelles que les grandes rues et encore moins les grande place … de toute façon appart cette grande place au centre de la ville … je n’en aie pas vu d’autre … »

   Le Blackard se dirigea donc ensuite vers les ruelles en toute discrétion. Il resta dans l’obscurité afin de mieux cacher sa présence. Il laissa ses cheveux cacher son visage ainsi que ses yeux qui se repéraient facilement dans l’ombre.
  Après avoir pris de nombreuses ruelles, sans avoir émit le moindre bruit, Seto finit par arriver dans la ruelle où il avait pu voir une heure ou plus au part avant le groupe de danseur cerné par trois hommes, tous grand et costaud. Ils en voulurent sans aucuns doutes à la troupe pour l’argent et si ce n’était pas le cas pour les deux femmes. L’homme qui était avec les danseuses était immobilisé une arme contre sa gorge prête à être tranchée à n’importe quel moment. La femme plus âgée était sous les griffes d’un autre des hommes plus pervers qui la touchait sous tous les angles passant même sous les fins vêtements qu’elle portait tant qu’à la dernière elle n’était pas encore assaillit par le dernier.
  Seto resta dans l’ombre à les observer pour concocter un plan afin de les sortir de là. Trois hommes face à un et deux femmes. Les hommes ennemis étaient armés et les danseurs non. Pour Seto, c’était une injustice. Ils n’avaient pas de quoi se défendre. Il voulait d’un coté le faire payer très chef et dans la mentalité d’un Blackard penser de cette façons signifiait donner la mort à son adversaire.

  Seto s’approchait en longeant les murs, profitant de l’obscurité de la ruelle pour avancer sans se faire remarquer. Il regarda Aya reculer vers le mur alors que le dernier homme s’en approchait pour sans doute prendre du plaisir en la violant.


- Allez viens … Je ne te ferais aucun mal et puis tu connaîtras sans doute le meilleur moment de toute ta vie Disait-il en esquissant un sourire mal saint sur ses lèvres.

  Le Blackard fronça fortement ses sourcils à l’écoute de cette phrase venant de cet humain. L’homme s’avança encore en voyant qu’Aya s’était collée contre le mur malgré qu’elle fût prête à lui envoyer ses couteaux cachés dans son dos via ses mains. Elle se trouvait sans le savoir près de la créature encore tapie dans l’ombre. Seto attendit encore qu’il s’approche d’Aya de quelques mètres.
  Après qu’il soit a environ un mètre d’elle en étant prêt à la déshabiller pour profiter d’elle et donc en baissant de moitié sa garde. Seto sorti rapidement sa longue queue de l’ombre pour la planter sauvagement dans son ventre et ressortir par son dos en détruisant au passage de celle-ci le foie, plusieurs côtes mais aussi la colonne vertébrale.
  Aya fut étonné sur le coup au point de s’écarter sur l’instant. Seto était encore braqué sur la proie qu’il venait d’embrocher et retira d’un coup sa queue en agrippant du bout de ses crochets son cœur qu’il envoya ensuite plus loin. 
  Les deux autres hommes l’observèrent obligatoirement.


- Qu’est-ce que c’est que ce truc ?

- J’en sais rien ! Mais il à tuer Jean-Luc cet enfoiré ! disait celui qui tenait la mère adoptive de Aya en sortant de sa veste une arme de sous sa veste et tira rapidement plusieurs balles vers la créature.

 Seto les esquiva bien qu’il ne pu empêcher certaines balles se loger dans le creux de ses épaules ou encore de son torse. Il fonça sur celui qui lui tira dessus après s’être expulsé vers lui à grande vitesse pour le faire tomber au sol tout de suite après s’être accroupis et avoir réussi à exécuter un tour sur lui-même en tendant l’une de ses jambes à la façon d’un ninja. Il prit ensuite l’arme pour l’envoyer plus loin.

-T’as fait une erreur gars en t’attaquant à mes collègues ! Hurlait le dernier qui retenait encore le chef de famille près à trancher la gorge de celui-ci mais se retrouva immobile après quelques seconde, le sang coulant le long de son front avant de s’écrouler sur le sol après avoir lâché son arme blanche et l’homme en question.

   Seto regarda de nouveau l’homme qui avait Immobilisé, celui-ci était tremblant. Le Blackard grondait à sa vue.

- Dit tu sais gars … on … on peut marchander qu’en dis-tu ??! On se ferait les deux nanas et on envoie l’homme à la casse ! Tu … on … Jacassait-il sous la peur de son regard meurtrier.

-Même le pire des animaux ne s’attaque pas à un animal plus faible pour sa fierté …

  Le jeune humanoïde regarda encore l’homme d’un air froid. Il mit rapidement sa main à sa gorge et l’étouffa rapidement. Une fois mort, Seto se releva et porta son regard vers les deux femmes et l’homme. Le sang coulait encore depuis son torse et ses épaules du aux balles qu’il avait ressu.

- Vous vous portez bien ?

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Aya

E.S.P.er

Re : Danse et fracas [pv Aya]

Réponse 3 mercredi 01 septembre 2010, 03:05:22

Alors que je pensais pouvoir réagir et aider mes parents adoptifs, un des hommes lâchât Paul et se rapprocha de moi, l'autre agresseur lui mettant une lame sous la gorge, voilà une chose qui posait problème. Si lui était armée, les deux autres devait l'être aussi. Cela me fit revoir mon plan, si je tuais les deux hommes, le dernier aurait largement le temps de tuer ma mère avant que mon père soit sur lui ou que je lui lance un poignard. Je devais donc trouver une autre solution le plus vite possible car l'homme se rapprochait de moi et je savais qu'une fois entre ses mains, je serais impuissante. Pendant que je reculais lentement pour lui échapper, une idée se forma rapidement dans ma tête. Je pouvais continuer de l'attirer loin de ces collègues et une fois ceci fait, lancer mes armes sur les hommes immobilisant mes amis, ainsi ces derniers pourraient s'enfuir. Pour le dernier homme debout, eh bien, j'espérai qu'il soit trop surpris pour pouvoir réagir avant que je l'élimine d'un autre couteau bien placer.
C'est ainsi que je continuais à reculer lentement vers le mur, attirant vers moi mon adversaire qui pensait bientôt prendre son plaisir sans savoir que ses compagnons allaient bientôt mourir.


Alors qu'il ne se trouvait plus qu'à un mètre et que je préparais à lancer mes poignards et devenir une tueuse, un évènement que je n'avais pas prévu arriva. En effet l'homme devant se retrouva avec une chose plantée dans son ventre, le transperçant littéralement. Surprise, je n'eus que le temps de m'écartait un peu avant de recevoir le sang de la victime de cette attaque brutale. De leur coter, les hommes essayaient, comme moi, de comprendre ce qu'il s'était passé, la réponse m'arriva très vite, une créature qui se trouvait derrière moi venait de tuer le dénommer Jean-Luc. Je pus connaitre son nom car l'un de nos agresseurs venait de le crier avant de sortir une arme à feu et de tirer quelques balles en direction de l'être. Pour ma part, à la vue de l'arme, je me lançais à terre, une balle pouvait très bien m'atteindre. En étant à terre, il y avait moins de risque que je m'en prenne une. La créature évita comme elle put les balles et finie par éliminer celui qui possédait cette arme d'une grande rareté sur Terra. Le dernier homme était paniqué, il criât à la créature qu'il avait fait une erreur tout en continuant de menacer l'otage que faisait mon père adoptif. Cependant, cette menace ne fit aucun effet à la créature qui l'immobilisa, l'homme tenta bien de négocier avec la créature mais cette dernière ne voulut rien savoir et finie par l'étrangler.

Pendant cette action, je m'étais relevé puis rapproché de ma mère, cette dernière était encore sous le choc et tremblait de tous ces membres. Mon père, qui était lui aussi retourner près d'elle, essayer de la calmer. Cependant, je voyais bien qu'il était dans un état proche du sien. Quant à moi, eh bien j'étaie en apparence d'un calme effrayant, il fallait bien que quelqu'un garde son calme et puisque personne ne semblait pouvoir le faire, je devais m'en charger même si intérieurement, je mourrais encore de peur. C'est donc moi qui répondit à la créature quand elle demanda d'une voie masculine si nous nous portons bien.


-Il semblerait que oui, nous ne somme pas blessé, ma mère est choquée parce qu'il vient d'arrivé mais je pense qu'un peu de repos lui permettra de se remettre.

Pendant que je parlais, je détaillais cet être qui venait de nous sauver, il était grand, enfin, je trouve toute personne grande mais il devait bien faire 35 à 40 centimètres de plus que moi, il possédait une longue queue qui devait être presque aussi grande que moi. Il portait aussi une fourrure qui recouvrait presque entièrement son corps. Pour résumer, il ressemblait à un terranide, même si à ce jour, je n'en avais encore jamais vu comme lui. C'est en le détaillent que je pus remarquer qu'il était blessé. Ainsi donc, il n'avait pas, comme je l'avais d'abord cru, esquivait toutes les balles. En tout cas, il provoqua instantanément ma curiosité, pour ne pas montrer la moindre faiblesse après de telles blessures, il devait être vraiment très résistant ou alors très fort mentalement. A sa place, je serais déjà morte depuis un bon moment.


- Vous êtes blessé, il vous faut surement aller voir un médecin avant que cela ne devienne trop grave. : lui dis-je. Puis me retournant vers mes parents, je rajoutais : Papa, amène maman à la maison, je vous rejoindrais plus tard.

Avec cette demande, je donnais à mon père l'occasion de se retirai, je voyais qu'il était à deux doigts de craquer et lui demander de rentrer à la maison lui donnait quelque chose à quoi se raccrocher, de plus, je préférai qu'il soit en sécurité avant de craquer. Il prit donc sa femme par la taille est l'amena hors de la rue. Pendant ce temps, je me retournais à nouveau vers ce que je prenais pour un terranide avant de reprendre.

- Si vous voulez un médecin, j'en connais un qui fait des bons soins pour pas très cher, je peux vous y conduire si vous vous voulez. Au fait, je vous remercie pour votre aide, sans vous, nous nous en serions surement pas sortie aussi bien.


En disant ces mots, je réalisais que j'avais toujours mes couteaux dans les mains et je me mis donc à les ranger dans mon sac que je portais en bandoulière en attendant la réponse de mon sauveur. 

Seto valentine

Créature

Re : Danse et fracas [pv Aya]

Réponse 4 jeudi 02 septembre 2010, 20:23:37

-Il semblerait que oui, nous ne somme pas blessé, ma mère est choquée parce qu'il vient d'arrivé mais je pense qu'un peu de repos lui permettra de se remettre.

  Seto était content intérieurement d’être arrivé à temps pour secourir la famille de la jeune artiste bien qu’ils étaient eux aussi des personnes aux grands talents artistiques inégalables. Il porta ensuite son regard vers l’un des cadavres des ravisseurs qui les avaient attaqués quelques minutes encore au part avant. Il compressa l’une de ses blessures où le sang coulait. Il avait mal certes. Une balle laisse de très nombreuses marques après son impact à l’intérieur de la chair. Les balles des ravisseurs étaient des balles comme ceux qu’utiliseraient les grands chasseurs d’animaux forestiers, c’est-à-dire que ces balles explosait une fois à l’intérieur de la proie y laissant plusieurs débris métalliques qui déchire la chair à l’endroit d’impacte en l’abimant donc fortement et causait la mort de l’animal si ces ballent étaient tirés en un point précis comme le cœur, l’artère aorte ou d’autre zone importante.
  Le Blackard avait bien eu de la chance par son organisme qui est bien plus renforcé que n’importe quel être grâce à l’héritage de son évolution. Malgré cette résistance accrue, Seto n’était pas moins insensible à la douleur bien qu’il apprit par son entraînement militaire à ne pas montrer ce genre de faiblesse à autrui ni à son ennemi.
  Il porta ensuite son regard à nouveau sur Aya qui reprit la parole après avoir constater la gravité de ses blessures.


- Vous êtes blessé, il vous faut surement aller voir un médecin avant que cela ne devienne trop grave, disait-elle avant de rassurer ses parents qu’elle les rejoindrait plus tard avant de reposer son regard sur le capitaine extra-terra, Si vous voulez un médecin, j'en connais un qui fait des bons soins pour pas très cher, je peux vous y conduire si vous vous voulez. Au fait, je vous remercie pour votre aide, sans vous, nous nous n’en serions surement pas sortie aussi bien.

- Ne vous en faites pas, il est tout à fait normal que je vous aie porté secours. Vous étiez en danger et il était de mon devoir de vous protéger … Même si je dois bien avouer que je ne suis pas d’ici.

Il réfléchit un moment à propos du médecin qu’elle lui proposait de rencontrer afin de mieux le guérir. Seto ne savait pas exactement quoi choisir sur le moment car par son apparence il représentait au regard de tous un Teranide exceptionnel. Il présentait les caractéristiques principales : les oreilles semblables à ceux d’un animal sauvage ainsi que la queue bien que celle-ci soit très différente d’un Teranide qualifié « normal ». Seto avait plus qu’un Teranide, il était plus déterminé, plus hargneux, plus doué physiquement à fuir ou joué sur son environnement via son agilité plus développé comme sa vue qui arrivait à percevoir la nuit comme en plein jour. Ce jeune faux Teranide se différenciait encore par la fourrure qui recouvrait une partie de son corps et bien sur par la croissance osseuse présente au bout de sa queue qui fait de celle-ci une arme primitive redoutable. Mais un médecin sûrement humain était-il digne de confiance ? Après tout, il pourrait bien être capable de le dénoncer aux autorités ou demander de le garder en observation pour mieux le revendre à un marché aux esclaves. Seto préféra jouer la carte de la prudence et de la sécurité. Après tout on lui avait enseigné à la caserne comment se soigner personnellement avec ce que la nature leur offrait … bien qu’ici … dans cette grande cité … c’est bien ce qu’il manquait … « La Nature ».
  Le Blackard porta son regard vers Aya.


- C’est bien gentil de votre part de me proposer cette aide pour me soigner mais je préfère refuser … Pour des raisons de sécurité vous voyez ? Je sais que je ne suis pas humain … ni un Teranide … J’ai peur d’attirer son attention sur moi et peut-être être revendu comme esclave teranide spécial ou encore comme cobaye scientifique … Ne m’en voulez pas mais je pense que je serais capable de me soigner par moi-même …

 Son regard se posa ensuite sur ses lames qu’elle rangeait au fond de son sac. Il lui fit signe de les ressortir et de les lui passer. Après avoir eu son autorisation, il s’assit sur le sol contre l’un des murs et retira à la fois son manteau et son dessous pour avoir un meilleur accès à son buste qui était touché par les balles. Avec délicatesse ensuite il plongea la pointe du couteau dans l’une des blessures en serrant les dents et dirigea ses oreilles vers l’arrière. La douleur s’intensifia fortement sur le moment. Il grogna légèrement ce qui signifiait que l’opération n’était pas sans douleur et même que cela amplifiait son mal.
 Au bout de plusieurs minutes, il arriva à enlever la première balle qui ricocha légèrement à terre en plusieurs bons de quelques centimètres. Il reprit son souffle et se détendit sur le moment avant de recommencer. Au total, cinq balles étaient à retirer. Il finit par y arriver. Il retira ensuite de sa poche une gourde contenant une liqueur alcoolisée et le versa sur ses blessures. Il ferma les yeux et grogna d’avantage. Par après il prit un mouchoir et comprima une à une ses blessures en attendant que le sang cesse de couler. En attendant, il reposa son regard sur la toute jeune Aya.


- Excusez-moi pour toutes ces opérations mais cela prend du temps pour tout faire correctement …

Il se tut avant de reprendre.

-J’aimerais savoir, sans indiscrétion, votre nom ? Vous avez après tout bien le droit de connaître le mien… Je me nomme Seto Valentine, il fit une révérence qui accompagnait sa présentation avant de se relever et regarder la jeune femme, comme vous l’aurez compris je ne suis pas d’ici mais de là-haut.

Il en leva son regard au ciel avant de regarder à nouveau Aya.

-Je suis de la race blackardienne , ma planète se situe très loin de cette galaxie mais ça, Rajouta-t-il en riant un peu, C’est assez compliqué à comprendre je suppose pour vous.
« Modifié: jeudi 02 septembre 2010, 20:32:25 par Seto valentine »

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"Je suis peut-être le seul de mon espèce ici mais rien n'est encore perdu"
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Aya

E.S.P.er

Re : Danse et fracas [pv Aya]

Réponse 5 vendredi 03 septembre 2010, 21:07:43

La créature accepta mes remerciements, précisent toutefois qu'il était normal qu'il nous porte secours. Il rajouta cependant qu'il n'était pas d'ici. Cela me fit sourire, il ne devait vraiment pas être d'ici pour dire qu'il était normal de venir en aide à un groupe de personnes qui se faisait agressé. Dans Nexus et dans ces environs, la majorité, pour ne pas dire la totalité des gens passaient leur chemin sans demander leurs restes, ils avaient trop peur de se retrouver dans une sale situation. La créature mit par contre un peu plus de temps à répondre à la proposition que je lui avais faite au sujet d'un médecin pour ces blessures. Elle finie par décliner mon offre, expliquant que pour sa propre sécurité, il préférait se soignait lui-même. Je comprenais tout à fait son choix, par contre, une chose dans ces propos avait attisé ma curiosité, il disait ne pas être humain, cela je l'avais remarqué, cependant, il disait aussi ne pas être un terranide, voilà ce qui m'avait intéressée. Il avait pourtant tout du terranide de base, les oreilles, la queue, même la fourrure.

Me voyant ranger mes poignards, il m'en demandant un, surprise, je lui en passais avant de comprendre ce qu'il allait faire avec. Prenant donc une de mes lames, il mit son torse à nu et commença à retirer délicatement les balles qui s'étaient installées dans son corps. L'opération dura de longues minutes pendant lesquelles la créature poussa des grognements de souffrance. Ne supportant pas de voir quelqu'un souffrir, surtout quand cela était en partie ma faute, je détournais mon regard et chercher une activité pour m'occuper le temps que la créature finisse. Finalement, surmontant mon dégout, je m'approchais des cadavres de nos anciens agresseurs et me mettais à les délester de leurs possessions terrestres. Cette fouille me rapporta une somme d'argent plus importante que je l'aurai espéré, en tout, une dizaine de pièce d'or et quelques pièces de cuivre. En soit une petite fortune que je comptais partager avec mon sauveur. En plus de cela, il y avait deux lames courtes qui pouvaient facilement se revendre à un bon prix, et puis il y avait l'arme à feu et quelques munitions. Je ne savais pas quoi faire de cette dernière, déjà je ne savais pas m'en servir et même si j'apprenais, être prise avec une telle arme signifiait me retrouver à prendre au bout d'une corde. La laisser où elle était n'était pas non plus une bonne option, avec une telle arme, n'importe quel petit truand pouvait devenir un grand criminel. Je pouvais aussi la donner à mon sauveur. Mais s'il la refusait.... qu'est-ce que j'allais en faire ?

C'est à cherchant une réponse correcte à ce problème que je retournais auprès de la créature, cette dernière avait finis de retirer les balles de son corps et compresser maintenant avec un bout de tissu les blessures. Pendant cette action, il s'excusa du temps mis à se soigner, puis il me demanda mon nom, avant de me donner le sien en se levant et en exécutant une révérence. Une fois finis, il reprit la parole en précisant qu'il n'était pas d'ici mais de là haut, il rajouta en rigolant qu'il appartenait à la race Blackardienne et que sa planète était loin de cette galaxie. Enfin, il finit par supposer que tout ce qu'il venait de dire était surement compliqué à comprendre pour moi. Cela me fit sourire, j'avais parfaitement compris ce que me disait Seto. Par contre, je ne le croyait pas, enfin pas tout à fait. Il faut dire que tout ce que je savais sur les possibles autres planètes et sur les extra-terrestres me venais d'histoires que chantaient quelques bardes pour faire peur ou pour faire rêver les enfants.

-Je m'appelle Aya et aussi bizarre que cela puisse vous paraitre, j'ai parfaitement compris ce que vous me disiez. Par contre, permettais moi d'être sceptique, je n'ai certes jamais vu de terranide comme vous, mais de là à croire que vous veniez d'une autre planète. Même si je suis jeune, je ne suis pas une petite fille qui croit aux histoires d'extra-terrestres monstrueux et d'êtres purs et bon venu d'ailleurs pour sauver toutes personnes en difficulté. Ensuite, si vous arrivez à me prouver que vous venez bien du ciel, je vous ferais mes plus plates excuses. En attendant, je vous propose de changer de lieu. Je ne voudrais pas avoir d'autres problèmes.
 
A ce moment, je prenais mon sauveur pour quelqu'un qui essayé de m'impressionner plus qu'il ne l'avait déjà fait, ses faits d'armes et sa résistance à la douleur, plus le fait qu'il se soigne lui-même avait grandement fait monter mon intérêt et ma curiosité. Mais ces paroles sur le fait qu'il venait d'un autre monde étaient trop grosses à avaler. Voilà pourquoi je lui avais fait poliment comprendre que je ne le croyais pas. Ensuite, je trouvais qu'il était grand temps de quitter les lieux, même si cette ruelle était peu fréquentée, il suffisait qu'une personne passe pour que des problèmes nous vienne dessus. Ces problèmes pouvaient être un contingent de gardes ou bien d'autres brigands. Si c'était des gardes, il aurait fallu s'expliquer avec eux tout ça pour finir, au mieux, en prison et avec une amande, au pire au marché aux esclaves, surtout que j'étais déjà une esclave en fuite. Si c'était des brigands, eh bien un terranide blessé et une fille sont des proies de choix. En plus que pour avoir une arme à feu, ces bandits ne devaient pas être n'importe qui.

-Si vous n'avez nulle-part ou aller : rajoutais-je, je vous propose de venir chez moi pour vous reposer, ensuite, si vous avez un autre endroit à proposer, je vous raccompagnerai volontiers. Par contre, vous sentez vous capable de faire un détour chez un marchand qui pourra nous reprendre sans poser de questions les armes de mes agresseurs. Bien entendu, je vous propose de prendre la moitié de l'argent que nous en retirerons. Ah encore une chose, j'ai récupéré l'arme à feu, est-ce que vous voulez la garder ?

Pendant toute ma longue tirade, j'avais pris un morceau de la cape d'un des brigands et essayais en frottant énergiquement de me débarrasser du sang que j'avais reçu.

Seto valentine

Créature

Re : Danse et fracas [pv Aya]

Réponse 6 dimanche 05 septembre 2010, 10:02:38

  La jeune humaine ne semblait pas croire la créature venant d’ailleurs, d’un autre univers même ce qui était le cas mais qui est malheureusement très facile à comprendre. Certain dirait comme Aya qu’il raconte cette histoire pour épater la galerie mais il en était rien cette fois. Seto venait bel et bien du ciel ! Il avait un vaisseau sur terre bien que détruit sous les dégâts du dernier assaut par ses assaillants et par la chute qui a « achevé » celui-ci rendant ainsi le bâtiment volant à l’état d’épave.
  Par les paroles de l’adolescente, Seto réfléchit à un moyen de la convaincre bien que cela devait être facile … ou pas lorsque on a plus le matériel sur sois. Il avait gardé juste son pistolet à plasma. Seul preuve qu’il pouvait apporter mais comment l’utiliser sans causer de dégâts monstrueux ? L’idée était à creuser. Après tout, ils étaient tout deux dans une ruelle ou l’étroit est restreint et toutes les chances étaient du côté de la destruction des bâtiments s’il voulait montrer à Aya la seule preuve qu’il possédait sur lui qu’il venait bel et bien d’haut-delà des cieux.


- En ce qui concerne la preuve que je suis un extraterrestre … J’attendrais d’être dans un lieu sur et non habité … la seule preuve que je possède est une arme à plasma et les dégâts peuvent être incroyable … ici par exemple je risquerais de détruire l’un des bâtiments de cette rue tellement l’espace est restreint … Je préfère donc attendre avant de vous démontrer que ma technologie est bien plus développée que ici et que par ailleurs nous savon nous déplacer à travers l’espace  grâce à l’utilisation de vaisseaux intergalactiques …

  La jeune danseuse proposa ensuite un lieu où loger, passer la nuit. IL avait le choix entre le lieu d’habitat de la jeune humaine ou alors ce serait à Seto de choisir le lieu adéquat en compagnie encore de la petite Aya qui semblait fort intéressée à lui. Cela fit sourire un moment Seto. Pour le peu de temps qu’ils se connaissaient, Seto aimait déjà la présence de la jeune humaine.
  Peut-être parce que la saison de la renaissance et de l’amour revenait sur sa planète et que son instinct le ressentait. Le Blackard ne se rendait pas compte que son instinct jouera un rôle primordial dans son comportement dans les quelques heures ou même quelques jours à venir.

  Ensuite, pour changer de sujet, elle lui proposa, avant de se rendre à un lieu ou se reposer sans doute des évènements et passer la nuit qui allait arriver dans plusieurs heures, de se rendre chez un des marchands de la place pour revendre les armes qui étaient par terres sur le sol poussiéreux sans que le marchand en question ne se pose de question sur l’origine de ces armes.
  Seto y réfléchit en ayant pour reflexe de porter son regard sur les armes en question à cotés du cadavre des agresseurs. Il prit une des armes blanches pour mieux l’observer et y réfléchir.


« Pour ces armes là il faut trouver un bon marchand d’arme … ces armes blanches primitive sont de très bonne qualités malgré les apparence … le métal est bien taillé, l’arme est très résistant, la maniabilité est facile et les coups sont rapide est précis … Je pense qu’un très bon marchand nous revendra tout ca à bon prix et comme elle l’a dit nous partagerons la sommes reçut … Bien que je pourrais encore lui passer la moitié de mon argent … j’arrive encore à survivre sans l’aide de personnes ici … », pensait-il en bougeant le poignet exécutant ainsi quelques manœuvres avec l’arme pour en vérifié sa maniabilité et quelques autres caractéristique de la lame qu’il tenait en main.

  Le Blackard fut interpelé une nouvelle fois par la jeune danseuse qui lui tendait une arme. C’était l’arme à feu avec lequel un des trois hommes avait tiré plusieurs balles sur Seto. Celui-ci ressentait encore la douleur de ses opérations rien qu’a leur vue alors qu’il tentait d’ignorer ceux-ci. Il le prit et la regarda avant de décider de la garder en cachant le pistolet sous sa cape, l’attachant à sa ceinture solidement. Il trouverait bien le moyen de la recharger plus tard ou alors une arme à feu est assez solide pour assommer quelqu’un par l’arrière.
  Seto posa ensuite son regard vers Aya à nouveau.


- Merci bien pour cette arme. Maintenant pour votre proposition je ne connais rien de cette cité et de ses alentours comme je vous l’aie dis plutôt … Je suis donc plus d’avis à séjourné chez vous si cela ne vous gène pas bien entendu … Je ne voudrais pas vous dérangez, disait-il en souriant.

-En ce qui concerne les armes oui nous trouverons bien un marchand d’arme qualifié qui acceptera toutes les armes. Je les aie observées et elles sont encore en parfait état sans oublier qu’elles sont d’excellente qualité. A mon avis, le marchand acceptera ce que nous lui présenterons sans trop discuter. Il nous faudra juste marchander le prix de toutes ces armes, rajouta-t-il avant de porter son regard vers le fond de la ruelle.

-Je me rappelle encore du chemin que j’ai pris pour vous retrouver, annonça-t-il avant de regarder à nouveau Aya en balançant très légèrement sa queue ce qui était signe de son humeur très positif à son égard. Allons-y à présent./

  Ils marchèrent ensemble ensuite jusqu’au marché à nouveau. Seto avait caché par sécurité ses oreilles sous sa chevelure sombre comme la nuit reflétant quelques mèches de sang et sa queue sous sa longue veste où il prenait soin de ne pas déchirer son long vêtement de cuir avec ses crochets.

  Au bout de plusieurs minutes de marché, ils retournèrent à la place du marché. Seto prit doucement l’un des bras d’Aya histoire de l’avoir plus près de lui et pouvoir la protéger d’avantage de tous ces brigands ou hommes qui la regarderaient d’un peu trop près.
  Sa jalousie instinctive survenait déjà comme la compétition entre les mâles était de l’actualité à présent pour le jeune Blackard.
  Ainsi Seto du de nombreuse fois intimidé du regard plusieurs hommes qui semblait intéressé par la jeune danseuse. Son regard était froid et meurtrier qui laissait passé dans son regard un message très clair : « Vous osez la touché et c’est moi qui vous exécuterais ». Il avait comme réflexe de la garder d’avantage près de lui.
  Après plusieurs longues minutes de marche à la recherche d’un marchand d’arme et d’intimidation à ses collègues mâles, Seto et Aya finirent par trouver un marchand d’arme.


-Bien le bonjour messieurs-dames ! Comment puis-je vous être utile ? Demanda l’homme à l’autre coté du comptoir. Il semblait avoir dans la quarantaine et portait plusieurs marques de blessures. Pour Seto cela signifiait que c’était un homme de métier donc pas de risque à avoir au niveau des arnaques.

-Nous vous apportons ceux-ci …, répondu Seto en déposant sur la tale un sac où les armes avaient été soigneusement rangés.

-Hm …

  Le marchand ouvrit le sac et inspecta une à une les armes que renfermait le sac. Il ne lui fallut pas longtemps avant de constater que toutes ces 2 lames, cimeterres et dagues étaient en parfaite état et, comme Seto l’avait deviné, que ses armes étaient de très bonne armes.

- Vous les revendez je présume ?

-Bien sure … Combien ?

-Pour le tout … 20 pièce d’or …

- Bon dans ce cas laissez moi vous dire que ces armes ont réussi à percer le cuir de plusieurs grandes créatures en dehors de la cité… comme le Kodo … vous savez ces grandes créatures tant recherchés à la fois pour leurs cornes qu’on utilise pour former des armes, de leur peau pour créer de formidable armure de cuir et leur viande tant apprécié par les cuisiniers …

- Hm … si vos dires sont vrais … je monte le total de ces armes à 60 pièces d’or.

   Seto n’avait pas besoin de mentir d’avantage en marchandant. Pour lui qui ne savait pas exactement à quel point l’or était important ici, il conclut qu’une telle somme ici devait déjà être bien importante. Il indiqua d’un mouvement de tête que la sommes proposés à nouveau lui convenait après tout c’était le triple de ce qu’il leur avait proposé quelques secondes au part avant.
  Le Blackard prit ensuite la sacoche remplit de pièce d’or et regarda Aya en souriant
.

- Et voici 30 pièces d’or pour la gente demoiselle, dit-il en gardant son sourire aux lèvres avant de regarder Aya. Maintenant c’est à vous de me guider il me semble et n’ayez crainte tant que je suis là nous ne risquons rien, vous pouvez compter sur moi.
« Modifié: dimanche 05 septembre 2010, 13:22:27 par Seto valentine »

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Aya

E.S.P.er

Re : Danse et fracas [pv Aya]

Réponse 7 dimanche 05 septembre 2010, 17:31:22

Contrairement à ce que je pensais, le jeune blackardien essaya encore de me convaincre qu'il venait d'ailleurs, me disant qu'il me le prouverait dans un endroit non habité. J'avais pourtant pensée être claire, je n'étaie pas une petite fille crédule qui croyait tout ce que l'on lui disait. Enfin bon, je n'allais pas insister sur le fait que je ne le croyais pas. C'est donc d'un hochement de tête que je répondis à sa proposition de me prouver ses dires plus tard. A ma suggestion de vendre les armes, il prit une de ces dernières et se mit en à tester la qualité par quelques mouvements. Je ne pus retenir un regard admiratif devant la maitrise dont il faisait preuve. Au sujet de l'arme à feu, il la prit avec lui comme je l'espérais, allant même à me remercier de lui la céder. Et enfin, il répondit à toutes mes autres questions, pour l'endroit où se reposer, il accepta de venir chez moi, pour les armes blanches, il m'annonça qu'il avait vu un marchand qui ferait l'affaire.

C'est ainsi que nous retournions sur la grande place. Pendant tout le trajet, mon compagnon fit preuve d'une attitude que je qualifierais assez animale. En effet, me prenant par le bras, il m'attira contre lui avec quand même une certaine douceur. Ce n'est pas tant ce geste qui me gêna mais plutôt les regards agressifs qu'il lançait à tout les hommes qui posaient un regard appréciateur sur moi. Il avait une attitude tellement possessive envers moi que je commençais à m'inquiéter et à regretter de l'avoir invité chez moi et mes parents adoptifs. De plus, j'avais peur que l'un des hommes prenne mal ce regard et que cela finisse en boucherie. Heureusement, la chance était avec nous car nous arrivâmes devant l'armurier sans encombres. Ce dernier me parut tout de suite sympathique, même si sa première offre me donna envie de changer d'interlocuteur, 20 pièces d'or, c'était ridiculement bas pour deux armes de qualités. Sa deuxième offre fut un peu plus réaliste, même dans des bons prix et c'est ce que du penser Seto car ce dernier lui annonça que l'affaire était conclu. Une fois l'échange effectuer le blackardien me donna la moitié de la somme et me demanda de le guider, m'assurant au passage qu'avec lui, je ne risquai rien.


-Merci beaucoup, au passage, vous pouvez garder 5 pièces d'or, j'en ai trouvé une dizaine sur mes agresseurs. Et merci de m'escorter, cependant, je vous demanderai d'être un peu moins agressif avec les gens qui me regardent, je ne suis pas sûre qu'ils apprécient le regard mauvais que vous leur portait et je ne veux pas qu'une bagarre éclate à cause de ça. 

Sur ces paroles, je partais devant. Je n'avais rien dit sur l'attitude possessive qu'il avait eu à mon égard, je n'aimais pas que quelqu'un me considère comme à lui, même quand cette personne était gentille et protectrice avec moi. Cependant, même si je n'aimais pas cela, ça ne me dérangeait pas trop et je pouvais supporter cette attitude encore un très long moment, donc, jusqu'à chez moi. C'est ainsi que moi et mon compagnon déambulâmes dans les rues de Nexus pour arriver finalement hors de la ville après une bonne heure de marche rapide. Il nous fallut d'ailleurs une bonne demi-heure supplémentaire pour arriver devant la roulotte que j'habitais avec ma deuxième famille. Cette dernière était assez petite et avec ma venu, la place occupée c'était encore réduite. Cependant, c'était mon petit chez moi et j'en étaie fière. D'ailleurs, j'aimais bien ce lieu, la roulotte était placée en bordure d'une petite forêt et se trouvait très à l'écart de la route la plus proche. C'était donc un lieu parfait pour moi et ma famille, nous pouvions répéter nos numéro sans être dérangé ni vu et nous limitions un tout petit peu les risques d'agressions. De plus en cas de problème, nous pouvions très bien fuir dans la forêt pour nous cacher. En bref, pour moi, tout était parfait. Me tournant vers mon sauveur, je lui annonçais avec le sourire :

-Voilà, c'est mon chez moi, c'est un peu petit mais on devrais pouvoir y dormir à quatre, au pire, je peux vous céder ma place. Au passage, je sais que Midi est un peu passé, mais je n'ai rien mangé et vous propose donc de vous joindre à moi, ou plutôt à nous si mes parents mon attendus avant de se restaurer. Si vous voulez bien m'excuser un instant, je vais voir ce que font mon père et ma mère.

Laissant seul pour un moment Seto, je me dirigeais vers la roulotte et ouvrit en silence la porte de cette dernière. Le spectacle qui se montra à mes yeux m'attendrit au plus haut point, mes parents adoptifs étaient en train de dormir dans les bras l'un de l'autre. Ne voulant pas les dérangés, je refermais doucement la porte après avoir prix deux morceaux de viande séchée. Retournant auprès du blackardien, je repris la parole pour lui dire :

- Je suis désolée mais mes parents sont entrain de dormir et après les évènements de tout à l'heure, je préfère les laisser tranquilles. Par contre, j'espère que vous n'avez rien contre la viande séchée, je n'ai pas mieux à vous proposer pour le moment, j'en suis désolé, je vous promets par contre de me rattraper ce soir, si vous voulez rester bien sûr. En attendant, je connais un endroit tranquille en forêt où nous pourrions quand même nous reposer et manger. Si vous voulez bien me suivre.


Partant vers la forêt avec un certain enthousiasme, je m'enfonçais dans cette dernière en guidant Seto vers ce que j'appelais moi-même mon petit coin de paradis personnel. Après une dizaine de minutes, nous débouchâmes sur une clairière d'assez grande taille. Au milieu de cette dernière se trouvais un petit lac à l'eau assez claire, à coter de lui se trouvait une cabane de bois que l'on pouvait deviner assez récente.

-Voilà, je vous présente mon petit chez moi personnel, c'est là que je viens me réfugier quand je veux être seule.
« Modifié: mardi 07 septembre 2010, 11:28:22 par Aya »

Seto valentine

Créature

Re : Danse et fracas [pv Aya]

Réponse 8 mardi 07 septembre 2010, 22:49:14

-Merci beaucoup, au passage, vous pouvez garder 5 pièces d'or, j'en ai trouvé une dizaine sur mes agresseurs. Et merci de m'escorter, cependant, je vous demanderai d'être un peu moins agressif avec les gens qui me regardent, je ne suis pas sûre qu'ils apprécient le regard mauvais que vous leur portait et je ne veux pas qu'une bagarre éclate à cause de ça.

  A l’entende de ses paroles, Seto se tut et en resta presque culpabilisé intérieurement de son geste en vers les gens du genre masculin qui restait était au fond un simple reflexe instinctif en vue de sa période de reproduction très proche. Il se jura intérieurement de faire plus attention aux prochains regards de ces êtres humains et de retenir autant qu’il le peut ses pulsions de jalousie. Le Blackard regarda alors la jeune femme en approuvant juste sa demande sans discuter.

  Ainsi ils reprirent la route. C’était Aya qui menait à présent et Seto qui la suivait. Son regard se posa sur les hommes qui la saluèrent poliment ou portaient simplement un regard attentif et sympathique en vers elle, Seto pouvait ressentir à nouveau se sentiment de dégoût en vers les hommes qui la regardèrent simplement mais fit tous les efforts possibles au monde pour garder l’expression de son visage neutre sans pour autant sourire. Il était très limité à ce point de vue, rester indifférent face à ce qu’il voyait était sa plus grande limite physiquement parlant.
  Après quelques longues minutes de marche voire une heure, Seto et Aya arrivèrent à destination en dehors de la ville de Nexus non loin d’un bois. Seto observa l’habitation où vivait la jeune danseuse avec sa famille. C’était petit comme l’expliquait aya mais que cela suffisait pour que quatre personnes puissent y passer la nuit. Elle ajoutait même que si jamais la place n’était pas suffisante qu’elle se proposerait volontiers pour passer la nuit dehors. Seto fronça un peu ses sourcils en entendant cela. Pour le Blackard, cette humaine n’avait pas le droit de passer la nuit dehors sous le fait simplement que par rapport à lui elle aurait bien plus difficile à supporter les températures de la nuit bien plus basses que ceux en plein jour.


- Ne dites pas cela, si la place ne suffit pas je veux bien me porter volontaire pour passer la nuit sous les étoiles … Je suis plus apte à résister au climat nocturne que vous …  Et ne vous en faites pas, cela ne me gène guère.

  Il sourit en finissant ses paroles. Ils entrèrent par après dans la petite demeure des danseurs et Seto porta son regard sur les parents adoptifs de Aya qui étaient déjà présent et dormaient dans les bras de l’un et de l’autre. Seto ferma à demi ses yeux à la vue de ce moment plein de tendresse, cela lui rappela sur l’instant sa mère et son frère avec qui il aimait serrer dans ses bras et passer de nombreux moment en famille. Son père était rarement présent dans le cercle familial du à son travail à temps plein, il était après tout commando dans les forces militaires de sa planète et aussi son supérieur. Sa famille lui manquait énormément surtout en repensant à son frère décédé au combat. Il eu comme reflexe de baisser la tête en revoyant la mort de son frère sur le champ de bataille, il retenait tant bien que mal une larme qu’il ressentait monté aux yeux. Le Blackard avait baissé un peu ses oreilles et tournés légèrement vers l’arrière en levant l’une de ses mains à ses yeux pour frotter ceux-ci comme si une poussière lui était tombée dans l’œil. Seto était assez émotionnel par moment mais il préférait éviter de le montrer. Comme on disait chez lui : «  les sentiments sont les alliés de la défaite ».

  Aya lui proposa ensuite de manger et Seto accepta poliment. Elle lui proposa de la viande séchée. Bon … Ce n’était pas de la nourriture luxurieuse certes il fallait bien s’en douter  mais chez une population pauvre c’était suffisant pour se nourrir. La jeune humaine lui raconta le fait qu’elle connaissait un endroit charmant non loin de sa demeure et qu’ils pourraient s’y rendre après le dîner. Seto finit rapidement sa viande en quelques bouchés.

  Ensemble, ils sortirent de la maison des danseurs afin de s’enfoncer dans le bois se situant juste à coté de celle-ci.
  Durant quelques minutes de marches, Seto se demandait où elle l’emmenait avec curiosité. Il ne connaissait rien de cette planète. Le capitaine observa toute la végétation présente avec toute la curiosité qu’aurait un jeune enfant. Ils finirent ensuite par débouché sur grande clairière où se situaient un lac assez imposant aussi et une petite cabane.


-Voilà, je vous présente mon petit chez moi personnel, c'est là que je viens me réfugier quand je veux être seule.

  Seto la regarda lorsqu’elle commenta d’une certaine façon l’endroit où elle venait fuir la réalité afin de se retrouver seule avec ses pensées en toute tranquillité et communion avec la nature sous un point de vue naturaliste. Il approuva signe qu’il avait compris. Il se dit aussi que cet endroit était parfait pour se recueillir en paix sans ennuis.
  Le capitaine s’avançait et admirait là où ils se trouvaient à présent. Cette nature lui avait manqué d’un coté. C’était comme si il se retrouvait chez lui, dans son habitat naturel bien que lui et sa race vivaient dans des villes mais au centre d’immenses forêts sombre comme la nuit. Seto s’arrêta une fois près du lac regardant son reflet à sa surface. Il reporta ensuite son regard autour de lui avant de le poser sur Aya en reposant sur ses lèvres son sourire.


- C’est un endroit très calme et charmant. Cette nature qui entoure cet endroit en paix m’est très rarement à porté … J’ai tellement connu de guerre que j’en aie presque oublié à quel point la nature et l’environnement pouvaient être magnifique sur plusieurs planètes … Sur ma planète les arbres sont très haut et cache le soleil … il fait donc très sombre … Nos cités sont bâties sous leurs feuillages si épais … les seuls sources de lumière que nous possédions était les sources d’eau comme ce lac … dans les profondeurs de ceux-ci se trouvaient des plantes fluorescents … c’était magnifique … , disait-il en la regardant toujours avant de reporter son regard sur le lac. Dommage que je ne puisse pas te montrer par hologramme ce genre de végétation … tu aurais sans doute apprécié aussi …

  Il s’abaissa un peu se retrouvant accroupis face au lac pour y toucher l’eau du bout de son doigt. L’eau était légèrement froide mais pas tant que cela. Le Blackard se redresse et enleva sa veste, il comptait bien plonger pour profiter non seulement d’un bon bain mais il aimait aussi nager à son aise. Il s’arrêta un moment, prêt à enlever son dessus pour regarder à nouveau Aya.

- Je vais me baigner quelques instant dans le lac … Cela ne vous gêne pas j’espère et puis … Si vous voulez plonger également ne soyez pas gêné … vous ne me dérangerait absolument pas.


« Cela me gêne assez de la vouvoyez … »


-Encore une dernière chose … puis-je vous tutoyez ?


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