Etre ou ne pas être une violeuse, tels est la question. [PV Émilia Phillips]

Windy devait venir en salle de français pour faire sa colle, elle s'en serait passée bien volontiers, mais deux chose l'obligeait à y aller, primo, elle devait récupérer tous son petit matériel qui lui servait pour éviter de sauter sur le premier humain et le violer jusqu'à ce qu'il n'est plus d'énergie, deuxième raison, la prof avait utilisée des arguments qui avait fait mal en classe.

Tous le monde la regardait comme-ci la harpie était une fille de rue, regard que n'appréciait pas la femme-oiseau car cela faisait fuir ces proie les plus prometteuses, bien sur cela ne l'avait pas empêchée de se faire une jeune fille de seize ans avant de devoir aller dans la salle de colle. Elle en avait profitée un max, au vue des longues heures à passé dans une salle à attendre et retenir sa faim insatiable de sexe.

Elle passa au toilette et récupéra des œufs vibrant, qu'elle plaça sur ces tétons avec du scotch, au moins cela la calmera un peu pendant la colle, restait à espérer que la prof ne dévoile pas le stratagème, cet idée fit sourire la harpie, qui n'hésiterait pas à se jeter sur un prof pour assouvir ces pulsions.

Elle planqua le boitier sous sa robe noire, le bloquant sous un collant noire, prêt à augmenter ou diminuer la vitesse, elle le mit à une vitesse convenable, permettant à al harpie de se sentir bien, sans que cela ne soit décelable, enfin en théorie.

Windy, toqua à la porte et entra avec une voix enjouée et dit.

- Bonsoir madame, je suis là comme vous me l'avez demandée.

Restait à savoir comment la prof allait réagir devant ce drôle d'oiseau.

Assise sur la chaise pivotante de mon bureau, dans cette salle de classe aux couleurs d'un blanc apaisant, légèrement assommée par cette rude journée de travail à mâter ces rejetons d'une génération rebelle et irresponsable, je lisais une revue pornographique que j'avais piquée à une élève que j'avais surprise, la joue appuyée sur la paume de ma main. Je ne comprenais simplement pas pourquoi tant de jeunes semblaient croire que la sexualité devait être aussi rabaissante. Je regardais ces jeune femmes se dévergonder pour le plaisir de pervers et je me disais que ce devait être un véritable calvaire. Au bout d'un moment, je rangeai cette moquerie sexuelle dans la boîte d'objets confisqués, soupirante. Entre mes jambes, ma queue s'affairait à me faire plaisir, se frottant doucement à mon intimité et absorbant ma cyprine. Mon visage restait de marbre et je cessai ces traitements, soupirante d'une déception abominable. Il était dur de se faire du bien sans rien d'excitant à se mettre sous les yeux.

C'est alors que mon élève de la soirée entra pour sa colle, l'air bizarrement enjouée pour quelqu'un qui vient d'être punie. Au niveau de sa poitrine, je voyais bien du tissu. Elle se servait donc de vibromasseur pour satisfaire ses envies. Non pas que cela me gêne, mais c'était un peu déplacé et un soupir s'échappa de mes lèvres. J'ai plusieurs élèves qui étaient accro au plaisir du sexe, comme elle, et donc, je ne passais pas de commentaire à ce sujet. Si je ne vois pas l'appareil, je ne peux pas le confisquer. Je lui souris gentiment et je me relevai de ma chaise. Contournant mon bureau, ma queue se rétractant sous ma peau, je m'approchai de la jeune femme-oiseau puis je m'arrêtai devant elle, la regardant avec gentillesse. Cette gamine était vraiment séduisante à sa façon. Poliment, je m'inclinai et, me redressant, je lui indiquai un pupitre

-Bienvenue, Windy-chan. Tu m'as l'air de très bonne humeur et tu m'en vois ravie. Nous allons commencer comme ça, nous en aurons plus vite fini.

Vive comme l'éclair, ma queue se dégaina et fouetta les deux vibromasseurs avant de retourner se cacher sous ma chair, ni vue ni connue. Voyant les deux objets tomber du haut de mon élève, je m'inclinai et je les rangeai dans ma poche, lui souriant gentiment. La soirée se promettait d'être longue, ces deux petits jouets venant de lui coûter cinq heures supplémentaires de retenue. Les règlements de l'établissement me permettaient de garder cette élève aussi longtemps que je le voulais et, avec un peu de chance, nous pourrions en être très contente si le climat s'accentuait. La plupart des élèves étant entrés dans cette classe pour une colle en ressortait très contente, laissant leur bon professeur libre de tout stress. Je lançai un regard à la jeune femme et sourit de toutes mes dents.

-Je te rendrai cela si je suis satisfaite de la période de temps que nous allons passer ensemble, jeune demoiselle.

wndy
fut surprit et sentit comme un fouet frapper les deux endroits où était son matériel si bien caché, d'un geste vif, par derrière, elle retira le boitier bloqué sous son collant, histoire de ne pas avoir l'humiliation de voir la prof le sortir elle même, elle avait du retenir un mouvement d'aile, car officiellement c'était un accessoire de cosplay, elle retenait aussi un juron, à défaut de ne pas pouvoir encadrer le prof, il fallait tous faire pour récupérer son matériel le plus vite possible.

Une minute c'était déjà écoulée et Windy était déjà en manque, une vrais droguée cette harpie. Elle s'assit sur la chaise qui lui avait été indiquée, elle vit son devoir et lâcha un soupir de frustration, elle ne savait plus combien d'heures devit rester dans cette salle, mais cela sera l'enfer sans partenaire avec qui faire l'amour ne serais-ce qu'une fois tous les dix minutes, en pensant cela une idée malsaine traversa son esprit.

La femme-oiseau avait une idée, une très bonne idée, elle allait faire payer la prof et pas avec de la douleur, avec du plaisir, personne n'avait connaissance de sont hermaphrodisme, aussi il aurait été facile de profiter de l'effet de surprise pour retourner la prof et la prendre par tous les trous, aussi bien conventionnelle que non.

Mais pour l'heure la harpie se contenta de fermer la bouche et de se mordre la langue, jusqu'à sentir du sang, cela allait apaiser son manque ... pendant un certain délai, cinq minutes grand max. Les exercices étaient de niveau en dessous, mais elle buta sur une chose, la recherche des comparatifs, elle n'aimait pas cet figure de style qu'elle ne maîtrisait pas. Ce qui étonna la femme-oiseau, c'est la simplicité des question, comme-ci ce devoir avait deux parties, cela tritura l'esprit perverse de Windy qui ne put s'empêcher d'en faire la remarque.

- Dites, c'est normal que tu m'ai donnée un devoir aussi simple ou est la farce, d'habitude on donne des devoir compliqué pour faire durer le plus longtemps possibles, bon il y a toujours ces comparatif de merde où je pige que dalles mais j'ai l'impression que ce devoir c'est juste du vent pour autre chose.

Windy avait arrêtée de jouer l'élève modèle, ce n'était pas son genre et ces divers contrôle sur table en attestait, la harpe n'écrivait que en SMS, même lors des contrôles ou quand elle allait au tableau pour répondre à une question. Elle préférais de loin tutoyer, changeant la donne de dominant et dominé.

Lorsqu'elle fut assise, j'en profitai pour cacher les oeufs vibrants dans un tiroir de mon bureau. Lorsque j'ai entendu son commentaire au sujet du travail que je lui avais donné, un sourire étira mes lèvres. Bien sûr que c'était simple comme tout, c'était du travail de sixième de primaire, alors, si elle trouverai cela difficile, je l'aurais considérée comme un cas désespéré. Les comparatifs semblaient lui poser des problèmes, mais c'était normal, la plupart en avait horreur. ALors, en bon professeur que je suis, je me plaçai à ses côtés, me penchant sur son travail. De là ou elle était, elle pouvait très bien voir mes seins par mon décolleté. J'étais peut-être un bon prof, mais je n'aimais pas particulièrement porter un ensemble-cravate, alors, je m'habillai comme je le voulais et je faisais taire ceux qui n'étaient pas contents. Ce que je porte ne regarde que moi et si je veux m'habiller en décontracté, ce n'est pas la direction qui va m'en empêcher. Je regardai alors les mots et je souris.

-C'est pourtant si simple.

Je lui souris puis je pris le crayon et j'entourai le comparatif d'un mouvement élégant de la main, ayant glissé mon bras derrière mon élève pour avoir plus de contrôle sur mes gestes. Je lui récitai les phrases descriptives exactes du comparatif. J'avais aussi une mémoire photographique et cela m'aidait grandement lors de problèmes que je devais résoudre de mémoire. Passionnée comme j'étais, je pris doucement la main de la demoiselle, y déposant mon crayon, toujours avec mon plus beau sourire, et je lui fis encercler certains réponses, lui expliquant le plus simplement du monde le fonctionnement de cette matière. J'avais la capacité de faire comprendre aux gens les plus difficiles et les plus têtus la manière de faire, c'était un véritable don, et ils ne se rendaient parfois même pas compte que j'étais là. Lorsque la page fut complétée, je répondis à sa question.

-Si ce serait déplaisant, une retenue avec moi, les gens ne voudraient pas revenir, non?

Mon sourire innocent prouvait que je ne tenais même pas compte du pétillement pervers dans les yeux de la demoiselle, je les ai vu si souvent que cela ne me gênait pas le moins du monde, j'en avais l'habitude. Après tout, la moitié des élèves masculins avaient essayé de me baiser et la plupart s'est heurté à un mur, puisque je ne suis pas du genre à être facilement dominée. Mais mon gros défaut, c'était ma force physique. Je n'étais pas très musclée et j'étais assez facile à maitriser, mais je savais orienter une personne et lui faire foutre le camps presto. Je caressai doucement les cheveux de mon élève tout en lui souriant.

-Tu comprends ce que je t'ai expliqué, au moins?

Windy eut une bonne surprise, elle avait une vue plongeante sur la poitrine de la demoiselle, ce qui ne fit que augmenter sans envie de sexe aussi décida-t-elle, avec une certaine peine, de regarder du côté opposé, son membre masculin commençait à être douloureux et heureusement pour la harpie, la prof de français ne pouvait pas le voir tendue, faisant une bosse sous sa robe. Aussi la femme-oiseau se concentra sur les dires de la demi-succube, même si dans sa tête l'idée de prendre la prof sur la table lui trottait dans la tête.

Elle entendis la demande de la demoiselle et ce fut la chose qui avait faillit faire craquée Windy, mais cette dernière se contenta de se mordre encore plus sauvagement sa langue, il fallait attendre le moment opportun et ce moment n'était pas avantageux pour la harpie, qui préféra donc attendre encore une peu, il suffisait juste que la prof se retourne, pour que la demoiselle la saute dessus, l'enlace de ces ailes pour l'empêcher tous mouvements et puisse la violer, car c'est ce qu'elle avait en tête, violer la prof, bon cela aurait aussi la malchance de se faire renvoyer, mais après tous c'est cette prof qui lui avait mit des heures de colles e retiré son matériel qui l'empêchait de se jeter sur le premier humain à dépuceler.

- Oui j'ai bien comprit, tu peux me rendre un de mes trucs.

Une demande assez rude, la harpie voulait un des ces jouets, pour pouvoir, d'un se calmer, de deux, l'utiliser plus tard contre ce qu'elle prenait pour une humaine classique.

Elle semblait vraiment désintéressé par mon cours. Il me semblait qu'elle ne faisait que m'écouter à moitié. Je ne sais pas pourquoi, mais elle semblait totalement absorbée par un truc dans son esprit. Après un moment à essayer de lui enseigner des choses et voyant qu'elle ne m'écoutait toujours pas, je me tus. Elle me demanda ensuite si elle pouvait récupérer un de ses jouets à masturbation. Je lâchai un soupir, visiblement déçue par son apparent désintéressement, puis je lui tournai le dos, affligée. Vraiment, cette génération n'aimait pas apprendre et ne pensait qu'au sexe. C'est vraiment décevant de sa part. Dans un silence total, je me dirigeai vers l'avant de la classe où se trouvait mon air de travail.

Je n'avais pas vraiment envie de contourner mon bureau, alors, je me penchai par-dessus puis j'ouvris le tiroir. À tâtons, je cherchai les oeufs vibrants. Je ne m'étais jamais servi de tels jouets pour me satisfaire et sincèrement, c'était triste à savoir. Si ma génération était une bande de drogués, eh bien je préfère la drogue à cette espèce d'auto-satisfaction sexuelle. Ca allait finir que les filles allaient se payer des hommes robotisés et inépuisables pour se faire du bien et les hommes en feraient de même pour les femmes. Déjà, ces petits appareils semblaient être assez satisfaisant pour qu'on s'y accroche. Je regardai un moment mon reflet dans l'oeuf brillant puis, curieuse, je l'activai avec la petite télécommande. Accidentellement, j'échappai la petite boule quand elle se mit à vibrer et elle se brisa sur le sol.

-O..oups...