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Niam, une glace. [Pv : Jane Watson]

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Masya

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Niam, une glace. [Pv : Jane Watson]

mardi 29 octobre 2013, 06:28:34

J'aime les week-ends, si ces moments de la semaine n'ont aucune importance sur Terra, sur Terre, ils ont une importance capitale. En effet, ce sont les moments où je n'ai plus cours, ce sont les moments où je peux sortir dehors et m'amuser comme n'importe quelle gamine de mon âge. Enfin de mon âge, de l'âge que je semble avoir sous mon apparence humaine. C'était donc le week-end et comme tous les week-ends qui sont joyeux, celui-là était fort ensoleillé. Et que fait une dragonne qu'en une belle journée s'offre devant elle, eh bien elle va faire du shopping avec sa mère adoptive parce qu’elle n'a pas le choix. Eh oui, alors que j'aurais pu aller à la piscine ou me promener dans le parc, ma mère avait arbitrairement décidé que cette journée serait celle de la remise à niveau de ma penderie. Penderie pourtant très bien fourni mais bon, comme le disait mon père. Quand madame Yrouka décidait de faire des courses, il était inutile de chercher à lui dire non. Pour preuve, j'avais essayé de me soustraire à cette séance en faisant ma bouille la plus attendrissante et ça n'avait absolument pas marché.

J'arpentais donc les boutiques du centre commercial en compagnie de ma mère et de notre majordome nommé James. Eh oui, notre famille avait un majordome. Faut dire que sans être des milliardaires, ma famille adoptive roulait sur l'or et pouvait donc se payer un majordome qui leur servait d'un peu de tout. Homme de ménage, chauffeur, cuisinier ou même porteur comme c'était le cas en ce moment. Le pauvre bougre était en train de porter des tonnes de sacs qui contenaient une multitude de vêtements que ma mère avait choisis pour moi. C'est qu'elle me faisait essayer des vêtements de toutes sortes, du maillot de bain à la tenue de soirée en passant par la tenue de poupée. Autant dire que même si ça ne me dérange habituellement pas de céder à sa lubie, passer une demi-journée à m'habiller et me déshabiller commençait légèrement à m'énerver et l'idée de manger ma tutrice commençait même à me plaire.

Heureusement pour elle, le destin avait décidé de lui tendre la main et ce dernier se manifesta par un coup de téléphone de mon paternel. Ce dernier lui demandait de venir d'urgence à l’entreprise familiale, apparemment, il avait besoin d'elle pour prendre une décision importante pour l'avenir de l'entreprise. Elle devait étudier des offres et lui donner son avis le plus vite possible. C'est donc sur une embrassade que ma mère partait avec James en direction des bureaux familiaux après m'avoir dit de continuer les achats sans elle et de rentrer à la maison avant la tombée de la nuit. Continuer les achats, elle était folle, j'allais plutôt faire une descente dans tous les magasins de nourritures.

Mais avant cela je devais faire une chose importante, me changer. Porter une robe de princesse toute rose n'était pas de mon âge et si je l'avais fait, c'était bien pour faire plaisir à ma mère. J'entrais donc une nouvelle fois dans un magasin de vêtements et en ressortais presque immédiatement seulement vêtus d'une robe noire toute simple. L'habit de princesse se retrouvant au fin fond du seul sac que j'avais gardé. Bien cela étant fait, je pouvais enfin me mettre en chasse de bonne nourriture. Je rentrais donc dans tous les fournisseurs de mets et achetais tous types de nourritures, du rôti de veau à la grande pizza en passant par les bonbons. Tous étaient soigneusement englouti et classé par ordre de préférence. 

J'étais donc aux anges et profitais à fond de ce moment de ripailles qui me semblait sans fin. Mais voilà, pour que ce moment soit véritablement sans fin, il aurait fallu que j'ai de l'argent de manière illimitée et ce n'était malheureusement pas le cas. Résultat, je me retrouvais devant un stand de glace sans pouvoir en prendre une. Je vous laisse imaginer cette torture. Comment faire pour résister à cette délicieuse odeur de chocolat à la vanille ou à celle de cette magnifique glace au citron. Comment faire pour résister à cette délicieuse sensation de fraicheur qui vous envahit la gorge. Oui comment faire ? C'était pour moi impossible et c'est pour cela que je ne pis m’empêcher de gober la glace que tenait une jeune fille. Que voulez-vous, quand la tentation est trop forte, on ne peut que craquer.    
 

Jane Watson

Humain(e)

Re : Niam, une glace. [Pv : Jane Watson]

Réponse 1 mardi 29 octobre 2013, 16:46:51

« The crimson tide is flowing through your fingers as you sleep
The promise of a clean regime are promises we keep.
»

Entre ses oreilles, la musique, délicieuse, défilait. De la crème auditive, tout simplement. Il n’y avait rien de mieux que les Red Hot pour se rappeler le pays. On avait beau dire tout ce qu’on voulait sur les États-Unis, il y avait une chose qui permettait toujours de ramener le débat au niveau : aucun autre pays au monde n’avait une meilleure richesse musicale. Jane n’admettait guère que la présence de l’Angleterre, mais elle estimait que la musique anglaise se confondait dans un genre anglo-saxon très américain. Quand on lui parlait de la France, elle poussait un petit rire dédaigneux : mis à part Indochine, la production française se résumait à des chansons d’amour stupides et creuses. Mais même les Français n’arrivaient pas à faire pire, dans ce domaine, que les Japonais. Leurs voix hurlantes dans les morceaux de rocks donnaient envie à Jane de pleurer, et la J-Pop était une horreur auditive rappelant les pires moments de dépression musicale des années 70’s.

Jane se détendait donc en écoutant, dans son baladeur, une musique du pays. Elle se trouvait dans le centre commercial de Seikusu, une vaste aire commerciale incluant plusieurs étages, de nombreuses galeries, et quantité de boutiques. Comme ses cours étaient finis, elle se promenait donc, car elle n’avait pas spécialement envie de retourner à son appartement, pour le moment.

« Several of my best friends know, the secrets of this town
And Mary wants to raise it up, and Sherry wants to spin it all aaaaaround, girl
»

Il fallait dire que Jane était plutôt frustrée, en ce moment. Pas d’un point de vue sexuel, bien sûr, mais d’un point de vue magique. Depuis plusieurs jours, elle essayait de réaliser un sortilège d’enchantement. Comme toujours, elle s’entraînait dans une pièce spéciale du grand appartement qu’elle partageait avec Nell, sa sœur. Elle se concentrait alors, et enchaînait les incantations, les formules et les sorts, afin d’enchanter son aspirateur pour qu’il fonctionne tout seul, et ce sur une demande de sa sœur. Cette dernière en avait assez de voir tout le bordel qu’il y avait dans l’appartement (bordel généralement causé par elle), et avait dit à Jane de se remuer les miches, et d’utiliser sa magie à des choses « UTILES ». Du coup, Jane, qui estimait que seuls les domestiques devaient passer l’aspirateur, se forçait à enchanter le leur pour qu’il travaille. En quelques jours, tout ce que ce dernier avait réussi à faire avait été de s’enclencher, et de foncer tout droit pour heurter un mur.

Le résultat n’était pas très brillant, mais elle se refusait à désespérer.

« The cross between my former queen, her legendary stare
The holy tears of Ireland, the lovely cross to bear
»

Pour l’heure, rien ne lui faisait envie. Elle passait devant les boutiques de fringues, sans avoir besoin de rien. Elle avait déjà toute une garde-robe fournie, et elle savait que la librairie du coin ne proposait rien de fondamentalement intéressant. Son esprit restait focalisé sur la magie, sur son aspirateur... Et sur la musique qui défilait dans sa tête, alors que, lentement, ses pas venaient à la conduire devant une boutique qui vendait des glaces.

« The saviour of your light
The monarchy of roses
The monarchy of roses
»

Presque à contrecœur, Jane coupa son baladeur, et écarta les écouteurs de ses oreilles, afin de se rapprocher. Une glace, ça ne pouvait pas lui faire du mal, et, comme ça, elle ne serait pas venue ici pour rien.

*Il va falloir que je retourne à l’appartement, je suis sûre que je vais y arriver, cette fois... Ce n’est qu’un aspirateur, après tout ! N’importe quel imbécile patenté est capable de le faire fonctionner, pourquoi est-ce que ça ne marche pas avec moi ?!*

Pour l’heure, la seule chose dans laquelle Jane ne s’était pas plantée était des potions roses, de puissants stimulants sexuels, des aphrodisiaques. Outre l’aspirateur, elle réfléchissait à un moyen de droguer tout le lycée avec ces fioles au réfectoire, lors du déjeuner. Un plan ambitieux et difficile à faire, mais il fallait se donner, dans la vie, de grands objectifs, nobles et altruistes. Créer une méga-partouze, c’était beau.

Jane se retrouva devant le vendeur. Elle portait encore son uniforme scolaire, et demanda une glace à l’italienne, saveur vanille.

« Simple ou double ?
 -  Double, j’aime quand c’est gros. »

Perçut-il le jeu de mots ou non, le vendeur, visiblement lassé par sa passionnante journée à vendre des glaces, enclencha la machine d’une main graisseuse, et tendit la glace à Jane, se fendant d’un sourire télescopé. Jane récupéra son cône, et s’écarta de la foule. Elle s’avança un petit peu, et s’arrêta. Elle voulait manger sa glace en écoutant les Red Hot Chili Peppers, et, alors qu’elle récupérait ses écouteurs, un vil mécréant s’empressa de lui subtiliser sa glace.

*Hein ?!*

Deux mains se saisirent rapidement de sa glace, et, en clignant des yeux, Jane leva la tête... Elle toisa de haut de bas une femme dans une longue robe noire, qui avait l’air d’avoir son âge. Jane se sentit soudain irritée : quelle était l’infâme truie qui osait lui piquer SA glace ?!

« Hey, la faucheuse ! Je sais pas exactement de quel trou-du-cul paumé du monde tu viens, mais cette glace est à MOI ! »

Elle la récupéra alors, en fusillant la pauvresse du regard, et enchaîna :

« Si tu veux une glace, va chercher un boulot, feignasse ! »

Et, comme il fallait conclure, Jane termina par la plus grande insulte qu’on pouvait entendre en Californie :

« Espèce de sale communiste. »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

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