Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Absolution divine [Père_Yves]

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 15 dimanche 18 août 2013, 07:53:48

Yves, te rends-tu compte de l'absurdité de la situation ? Tu es là, agenouillé à l'extérieur du confessionnal, en train de suçotter des orteils. Mais tu es aussi là, une trique inouïe entre les jambes, en train de te caresser d'une main, alors que, derrière le rideau, on ne peut pas dire que ce soit une religieuse en pleine méditation qui pousse ces petits gémissements ou te raconte sa vie sexuelle. Arrête de de raconter toi-même des histoires ! Tu bandes et elle mouille ; ce n'est pas la première fois que tu es dans cette situation depuis ton arrivée à Seikusu, mis à part le contexte de ton église. Si cette femme a, comme elle le dit avec conviction, eu des relations avec bien des lycéennes de Mishima, peut-être que l'une d'elle lui aurait avoué avoir couché avec toi aussi. Rassure-toi, elle n'est pas venue te faire la morale ; vu comme tu la voyais se caresser via ton I-Pad, elle a d'autres choses en tête que jouer les rédemptrices. Et pas qu'en tête d'ailleurs !
Et c'est en ôtant ma main gauche de mon pantalon, avec l'envie d'ouvrir enfin ce rideau devenu inutile, que le hasard fait se poser, à sa place, un pied encore couvert d'un collant. Un électrochoc aussi violent qu'imprévu, qui fait perler une goutte au bout de mon sexe. Diabolique, satanique, ou autre, peu m'importe, elle a visé juste !
« (…) physiques, je le crains (...) », j'ai moi aussi les mêmes tourments, hésitant entre rompre mon vœu de chasteté et céder au plaisir de la chair. Bien sûr, Yves, tu es encore fidèle à ton vœu, on peut même en parler avec certaines lycéennes de Mishima !
« (…) un certain doigté. », elle a employé le mot à dessein, c'est sûr ! Et elle a très bien réalisé la bosse qui tend mon pantalon. Alors, à quoi bon cacher mon désir ? Le confessionnal est abrité de l'entrée car il est dans sa petite chapelle latérale, et je n'entends aucun bruit de talon de quelque bigote venant me raconter les coucheries de son mari. Allez, juste défaire mon ceinturon, juste ouvrir la braguette, juste guider de ma main gauche son peton inquisiteur et encore paré du collant vers mon caleçon gonflé, tandis que ma main droite s'affole entre sa cheville et son mollet nus.
« Oui, vous me troublez. J'avoue que votre confession m'a ému. »

C'est exactement le terme, Yves ; autant parler d'émotion plutôt que d'excitation, surtout vu l'état dans lequel tu es !
« Et vous avez eu raison de venir m'en parler. D'ailleurs, si vous avez d'autres choses à me dire, n'hésitez pas. »
Et, comme ça, tu fantasmeras davantage en l'entendant se caresser avec une autre ou se faire prendre en sandwich !
« Je me dois de soulager vos tourments, quels qu'ils soient, même s'ils sont physiques comme vous dites. »
Allez, exprime-toi ; tu n'as qu'à lui dire que, si elle est venue ici pour trouver un nouvel amant, tu ne te défileras pas !
De toutes façons, je n'en ai ni l'envie ni la possibilité. Ses orteils gantés du collant sont redoutablement efficaces et leur danse à travers le caleçon met mon sexe en feu, tandis que ma main droite avance désormais sur sa cheville, avec le souvenir d'une courte jupe vue sur mon I-Pad. Le rideau est encore présent, mais pour combien de temps... à moins que je ne la fasse venir dans ma propre partie du confessionnal. J'ai l'impression de planer dans ma propre église, de monter vers un paradis autre que celui que j'enseigne, et sans commettre le moindre blasphème.

Shani Stevens

Dieu

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 16 mercredi 21 août 2013, 16:35:15

« Oui, vous me troublez. J'avoue que votre confession m'a ému. »

Shani avait le don d’émouvoir, en effet. Que voulez-vous, elle était née ainsi. Elle avait toujours su susciter le désir des autres. Au collège, elle était la coqueluche, celle que tous les garçons rêvaient d’avoir avec soi, pour se la péter. Shani n’avait aucune honte à dire qu’elle avait fait ses petites listes, listant les performances et les défauts de chacun, et que, pendant une certaine période, elle sortait par roulements : le Lundi et le Mardi avec Jérôme, le Mercredi tout entier avec Thierry, le Jeudi et le Vendredi avec Yasoune, etc... Oui, elle s’était follement amusée dans sa jeunesse, ses nombreux amants entraînant, naturellement, des séances de rivalité, comme quand elle annonçait à Maxime qu’elle ne sortirait pas avec lui demain, car il n’avait pas autant de points positifs que Jérôme. Et, comme à chaque fois, plutôt que de s’en battre à elle, reine de leur nuit, ils se tapaient entre eux. Elle adorait les voir s’affronter, se battre pour ses beaux yeux. L’administration l’avait menacé, à bien des reprises, car les surveillants n’étaient pas dupes. Au collège, les surveillants étaient trop grands pour elle, mais, au lycée, quand ce petit jeu continuait, elle leur faisait l’amour, surtout en Terminale. Shani avait toujours été ainsi : irrésistible et envoûtante. Elle ne pouvait pas savoir qu’elle avait en elle l’essence d’Eros, Dieu grec du Désir, l’un des principaux Dieux du Panthéon, et que de simples mortels étaient donc soumis aux pulsions naturelles et divines que Shani émettait.

Elle sentait le prêtre remuer, et, en souriant, elle avança un petit peu le bout de son pied, le fourrant sous son pantalon. Il avait défait sa ceinture, ce bruit si magnifique, et elle continua à s’avancer, fourrant son pied dans sa culotte, tendant alors sa jambe à l’extrême, déformant le rideau. Elle pouvait sentir le monceau de chair, qui continuait à troubler le pauvre prêtre, mais ce n’était pas encore suffisant pour qu’il sorte de son émoi, et agit. Il était malheureusement rare que Shani tombe sur des hommes qui la dominaient vraiment, instinctivement. Ceux qui le faisaient étaient généralement des sauvages imbus de leur propre personne.

« Je me dois de soulager vos tourments, quels qu'ils soient, même s'ils sont physiques comme vous dites. »

Dieu, ce qu’il pouvait parler ! Et on disait les femmes pipelette ? Face au sexe, il était curieux de voir combien les hommes, si réservés, se mettaient à parler, comme si c’était une manière de détendre l’atmosphère, de dire que ce qu’ils ressentaient n’était pas aussi pressant que ça. Un subterfuge qui s’écroulait bien vide devant les femmes mûres et expérimentées comme Shani. Diable, elle n’allait pas tourner en rond pendant des heures ! Ses mains doucereuses continuaient à remuer sur ses jambes, faiblement, et Shani, sans rien dire, récupéra alors ses jambes, se releva, et tira le rideau d’un coup sec.

Elle l’observa, sur le sol, avec un léger sourire. Elle ne l’avait jamais vu, mais elle ne lut pas dans son regard la surprise. Elle fronça les sourcils, intelligente. Le confessionnal était un espace clos, et, vu son état d’excitation, il aurait normalement du lui sauter dessus, ou observer son beau visage parfait avec stupéfaction. Shani ne l’avait jamais vu, et tourna la tête vers sa propre partie du confessionnal, souriant alors.

« Hum... Je vous imaginais un peu plus grand, mon Père... »

Elle lui souriait, d’un air espiègle. Un œil observateur aurait pu voir des espèces de petits reflets sur sa cuisse, le long de sa jupe. Sa mouille. Les vitraux l’observaient, et elle se retourna alors, faisant voleter sa jupe, puis écarta le rideau de la partie du prêtre, et vit rapidement le petit appareil de surveillance, négligemment posé. Elle l’attrapa, et put voir l’autre partie du confessionnal. Elle s’assit alors à la place du prêtre.

« C’est vrai qu’on se sent bien, dans cette autre partie du confessionnal... J’ai peut-être commis le péché de luxure, mon Père, mais il me semble que le vôtre est encore plus grave que le mien... Alors, mettez-vous à genoux devant et moi, et implorez mon pardon... Comme je le souhaite. Qui sait, peut-être vous offrirais-je l’absolution divine ? »

Le ton était rapide, légèrement amusé, emballé. Shani était excitée.
DC d’Alice Korvander.

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 17 mercredi 21 août 2013, 22:19:35

Yves, ton comportement est incohérent ! Te rends-tu compte comment tu te montres en spectacle ? Te rends-tu compte que tu risques ton poste si tu ne te ressaisis pas ? Te rends-tu même compte du grotesque de ta posture ? Certes, tu n'as pas affaire à une enfant de choeur, ni même à une lycéenne délurée, encore moins à une bigote sur le retour d'âge. Tu es en compagnie, si l'on peut dire, d'une femme, d'une vraie femme, comme tu n'en as jamais rencontrée auparavant. Et toi, toi qui as lu quantité de livres osés ou regardé des DVD classés X, toi qui n'a jamais connu l'intimité avec une femme aussi exceptionnelle, tu es là à tergiverser, hésiter, te demander, ne pas oser...
Et cette tergiversation se retourne contre moi lorsque, me surprenant, elle ouvre le rideau, juste après s'être relevée, me privant du contact de ses pieds. Le ridicule ! Le sommet du ridicule ! Le prêtre à la braguette ouverte devant son propre confessionnal. L'homme d'Eglise agenouillé devant une succube. Une succube peut-être, mais si belle ! Une tenue qui lui va à ravir. Une stature debout qu'elle utilise pour me rabaisser quant à ma taille !
« Je ne vous imaginais pas ainsi. Vous êtes encore plus... euh plus féminine en vrai qu'en... euh qu'en paroles, comme celles que nous avons échangées ». Un mot de plus, et je lui disais que je l'observais depuis le début. Mais le répit est de courte durée, et, avant même que je puisse réagir, ce qui est lus difficile quand on est à genoux avec le pantalon ouvert, elle découvre le I-Pad resté sur mon siège, et surtout les images qu’apportent les caméras. « (…) Il me semble que le vôtre est encore plus grave que le mien (…) ».
Là, elle vient de marquer un point ! Je t’avais dit, Yves, que la situation était dangereuse ; mais tu as joué avec le feu, et, là, tu es mal parti. « (…) mettez-vous à genoux devant moi, et implorez mon pardon », là elle rêve ; elle n’a pas à dire ça, encore moins à me demander de m’abaisser ainsi dans ma propre église. Sait-elle seulement à qui elle s’adresse ?
Oh oui, Yves, regarde-toi, à genoux, le pantalon ouvert, le caleçon marqué de gouttes qui ont perlé. Alors, décide-toi ; tu as déjà assez perdu de temps auparavant. Tu aurais pu faire autre chose que de mater, et tu n’en serais pas là.
« Mais vous ne pouvez pas me demander ça ! Et puis je n’ai pas commis de péché, j’ai respecté le secret de la confession. Vous avez trouvé mon écran, mais c’est uniquement par sécurité ; j’ai déjà eu de mauvaises surprises, alors je préfère savoir qui est de l’autre côté. D’ailleurs, vous pouvez voir que rien n’est enregistré. »
Elle n’a pas vraiment l’air convaincue, mais il faut dire qu’elle a de quoi avoir des doutes, même si je suis vraiment sincère. Les yeux levés vers elle, je ne peux m’empêcher de m’attarder sur les prémices d’un corset noir qui se devine sous sa chemise blanche, et aussi sur la belle poitrine qui se dessine ainsi.
« Et puis, vous demander pardon, euh… », réfléchissant à une diversion qui m’évite ce que je ne maîtrise pas, « en fait, je suis déjà à genoux, mais pour une raison que vous connaissez ». Là non plus, je ne semble pas dérider son envie ; l’humour n’est pas davantage un moyen de se défiler. Et Dieu seul sait quelles idées peuvent lui passer par la tête, encore faudrait-il qu’il le sache vraiment.
« Bon, si vous y tenez… »
Alors, déjà à genoux, je me contente de pivoter vers elle, sous son air sûr d’elle, l’air de celle qui sait qu’elle a les cartes majeures en main. Sans même refermer ma braguette, posant les mains à terre, retrouvant mon visage tout près de ses jambes, je me résouds à accéder à sa demande :
« Ma s… Enfin, mademoiselle, je vous ai peut-être blessée, mais je ne le voulais pas. J’avoue juste que j’utilise ce système par sécurité, et que j’ai été fort surpris de voir combien vous viviez à nouveau vos péchés par leur simple évocation. Enfin, vos péchés si l’on peut dire. Vous avez parlé du péché de luxure, mais ce n’est pas vraiment le cas »
Allez, Yves, arrête ton sermon, vois comme elle tape du pied sur le dallage ; ce n’est pas un sermon qu’elle veut entendre !
« Alors, si je vous ai offensée, je vous prie de bien vouloir me pardonner ». Et, joignant le geste à la parole, sans même vraiment réaliser mon geste, je m’incline encore jusqu’à presque frôler ses mollets, avec une envie folle de les embrasser. Mais, avec ce qu’elle a découvert de moi, autant ne pas faire de geste qui lui déplaise, elle qui parle de m’offrir « l’absolution divine ».
Me penchant encore plus, mes lèvres se trouvent à nouveau en contact avec ce pied nu, que je ne peux m’empêcher d’embrasser à nouveau.

Shani Stevens

Dieu

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 18 vendredi 23 août 2013, 01:51:45

Pour la sécurité... Shani, en d’autres circonstances, aurait éclaté de rire devant un mensonge aussi grotesque. Sérieusement, espérait-il vraiment qu’elle le croirait ? La sécurité... Si tel était le cas, il y aurait un avertissement que le confessionnal était filmé, la caméra serait visible... Et, même dans cette circonstance, Shani doutait que ce soit légal. Un confessionnal était un lieu intime, un endroit où le croyant devait être en contact direct avec Dieu, un endroit intime. Le prêtre était lié par le secret divin, et ne pouvait pas dire le contenu d’une confession aux autres. C’était un secret moral particulièrement fort. Ce prêtre était un menteur, et Shani comprit qu’il n’était pas un véritable prêtre, qu’il était rongé par le vice, par le désir, et par la luxure. S’il avait atterri à Seikusu, ce n’était pas surprenant. Face à elle, il niait, visiblement offusqué à l’idée de voir cette femme prendre sa place... Mais Shani ne disait rien. Elle savait qu’elle avait gagné, et que ses mensonges ne valaient rien. Si elle aurait été un peu plus perverse, elle l’aurait menacé de porter plainte. L’atteinte à la vie privée constituait une infraction pénale, et elle se demandait s’il n’était pas possible de le poursuivre également pour violation du secret professionnel. Cependant, Shani n’était pas une mauvaise personne, et voulait juste s’amuser. En l’état, elle trouvait très excitant d’être de l’autre côté du rideau, sentant comme une espèce de puissance en elle. Le confessionnal était bien pensé. Il y avait un petit panneau coulissant de ce côté, et le jeu d’éclairage faisait qu’on voyait bien plus facilement de l’autre côté, même si tout était sombre...

Devant elle, le prêtre, dont Shani ignorait toujours le nom, luttait contre ses pulsions, et finit par fléchir les genoux. Un frisson de désir traversa tout le corps de la secrétaire devant ce spectacle, qu’elle trouvait particulièrement fascinant. Elle était à la place du prêtre, de celui qui, du haut de son arrogance, entendait les péchés des autres, et parlait au nom de Dieu. Shani trouvait ça arrogant, sans pouvoir se l’expliquer, et ceci rendait encore plus excitant le fait de manipuler ce pauvre prêtre, de le dominer. Éros parlait à travers elle sans qu’elle réalise, et les anciens Dieux n’aimaient pas énormément les religions monothéistes, qui avaient, pendant des siècles, sciemment contribué à détruire les cultes païens, en les diabolisant. Le prêtre retourna à nouveau embrasser le pied de Shani, qui pencha la tête sur le côté.

Maintenant qu’elle le voyait de visu, elle trouvait qu’il ressemblait assez à un prêtre. Des cheveux courts, quelques rides, un front dégagé, deux petits yeux noirs... Elle l’imaginait volontiers comme prêtre, avec son apparence maigrelette... Dommage qu’il ait le sexe déréglé... S’il avait officié ailleurs qu’à Seikusu, il aurait probablement été un prêtre normal, mais Seikusu était remplie de pervers. Shani parlait en connaissance de cause, puisqu’elle faisait partie du lot.

« Allons, allons, mon Père, vous vous contentez du pied, alors que vous avez tout mon corps devant vous ? Suis-je si repoussante à regarder que vous préfériez vous contenter de mes pieds ? »

Elle se moquait gentiment de lui, de son humilité. Il était comme un gamin pris en faute par sa mère en train d’avoir une érection en regardant le dernier clip de Britney Spears, et qui chercherait n’importe quelle excuse valable pour justifier ses vêtements débraillés, son sexe gonflé, et ses rougeurs. La honte totale, le genre de trucs qui pouvaient vous tuer dans la cour de récréation !

« Je suis sûre que, quand vous me regardiez par votre écran, vos yeux ne se posaient pas sur mes pieds... Alors, que signifie cette timidité, mon Père ? »

Elle continuait à jouer, et écarta ses jambes, révélant sa culotte, légèrement humide. Sous la minijupe, il y avait de petites tâches.

« Je sais que l’Église vous apprend à courber l’échine et à vous agenouiller, mon Père, mais pas à être couché... Alors, agenouillez-vous, et laissez votre langue se répandre... Laissez-là glisser, et venez... »

Elle n’attendait que ça.
DC d’Alice Korvander.

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 19 samedi 24 août 2013, 06:43:24

« Suis-je si repoussante à regarder (…) ? », la réponse paraît si évidente, d'autant plus que, la regardant d'en bas ; je suis au pied de jambes si longues et si belles. Oubliant tout, le lieu et mon enseignement, redevenant homme juste homme, je continue à embrasser, mais en remontant de plus en plus haut, son mollet, son genou, m'agenouillant désormais avec ces gestes.
Et, alors qu'elle me lance un « (…) que signifie cette timidité (…) ? », la question apparaît presque incongrue, car il n'y a plus ni timidité ni retenue. Ma main gauche ne reste pas inactive et, de mon pantalon à moitié débraillé, elle extrait mon sexe tendu hors du caleçon. Il est enfin libre, il peut bander à son aise ! Je n'en pouvais plus de cette prison de tissu, de cacher mon désir, de songer que j'irais juste me caresser dans la sacristie en pensant à elle. Je la veux, et je me moque de qui je suis et d'où nous sommes !
Ma langue continue à remonter tandis que ses cuisses s'entrouvrent. Sous cette minijupe, la culotte est encore un peu dans la pénombre, mais l'odeur de son excitation, le dessin humide sur le tissu. Gourmand et même vorace, ma langue a passé ses cuisses, et dessine son sexe au travers de la culotte. Je hume sa cyprine, je sens sa chaleur.
Ma main droite vient à la rescousse, s'insinuant sous sa culotte. Mon index dessine son sexe, les grandes lèvres ourlées et humides. « Hum, vous êtes bien mouillée. Inutile de garder cette culotte ! ». Et, joignant le geste à la parole, mes deux pouces se glissent chacun dans l'élastique par un côté, faisant descendre le tissu que, une fois enlevé, je porte à mes lèvres pour bien humer son parfum intime. Peu importe que ça l'excitait de repenser à ses ébats ou de me perturber, j'ai juste envie d'en profiter !
« (…) Laissez votre langue se répandre (...) », elle ne croyait pas si bien dire. La pointe de ma langue s'insinue entre les lèvres, écartées de mon doigt. Elle s'ouvre, son parfum m'enivre. « Hum, vous êtes bonne », dis-je avant que ma langue ne s'enfonce en elle, la pointe d'abord, pour entrouvrir plus encore son sexe. Elle est humide, elle bouillonne, ses cuisses s'écartent pour m'offrir ce spectacle. Et ma langue vorace explore, sa pointe effleure le petit bouton d'amour, l'entoure en esquissant une danse, tourne et retourne pour le faire gonfler. Hum, elle est sensible de là, ça va être un plaisir de lui titiller. J'ai envie de l'entendre gémir comme ça.
Ecartant un peu mon visage, pour savourer ce spectacle parfumé, je laisse la place à mes deux pouces qui écartent les lèvres, m'offrant l'excitante vision d'un sexe béant, où mon index droit glisse sans hésiter, tournant sur lui-même comme pour plus l'ouvrir encore, tel, un sexe tout petit, glissant au creux d'elle, dans son vagin brûlant, l'en ressortant pour goûter une cyprine si parfumée, y revenant en lents va-et-vient.
« Il faut soigner le mal par le mal, et je vais vous absoudre de tous vos péchés ! », je ne sais plus ce que je dis, surtout par rapport aux préceptes de l'Eglise, mais je m'en moque éperdument. Seule compte celle qui est là, cuisses ouvertes ! Et, de mon autre main, libre elle, l'index glisse au long du périnée avant de sentir la raie des fesses encore serrée, mais pas pour longtemps, je vais y veiller. Oubliée la religion qui l'interdit ; si elle a péché par là, je l'absoudrai par la aussi. Il n'y a qu'un an que j'ai rompu mon vœu de chasteté, mais j'en ai pris aussi des fesses, et celles-ci seront à moi quand ma langue les aura bien ouvertes !
« Oubliez ce que je vous ai dit tout à l'heure, il y a des moments où... », cette phrase se perd dans l'infini abîme de mes engagements religieux, tandis que ma langue replonge avec délice dans ce nectar que je n'aurais jamais imaginé aussi enivrant, gobant son petit bouton d'amour pour le faire saillir davantage encore.

Shani Stevens

Dieu

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 20 dimanche 25 août 2013, 02:40:05

Et il vint. Enfin. Shani tremblait sur place, son corps traduisant tous les signes externes du manque. Ce maudit prêtre l’avait excité. Ce n’était pas intentionnel, ce n’était pas son projet initial, mais elle se retrouvait dans cette situation, et il n’y avait que lui pour la satisfaire. Lui, un pervers... Comme tous les autres. Comme ses professeurs, ses employeurs, son psychiatre, et les docteurs de sa thérapie... Tous lui avaient fait l’amour avec passion, sans relâche, de manière très énergique. On lui avait défoncé le cul sur le canapé où elle racontait à son psychiatre son attirance pour le sexe. Et, quand elle s’était tournée vers une femme, elle s’était allongée avec elle pour enfoncer ses doigts en elle. La même situation allait se répéter ici, le même scénario, inlassablement... Il fallait donc croire que Shani n’avait aucun problème.

Yeux clos, elle sentait les doigts du prêtre jouer en elle, et, naturellement, elle gémit. De ses belles lèvres, des soupirs de plaisir s’échappèrent. C’était très agréable, délicieux et succulent. La langue du prêtre remuait en elle, et elle aventura ses doigts, caressant ses cheveux, sentant également ses doigts se joindre. Elle avait vu son membre tendu, jaillissant de ses vêtements. Le pauvre était très excité, et elle, elle était en train de mouiller sur son siège, en sachant que ce type s’était probablement masturbé pendant qu’elle lui parlait. En d’autres circonstances, elle en aurait probablement été choquée, mais, en réalité, tout ça l’amusait... L’amusait, et l’excitait. Elle laissait donc l’homme s’attaquer à son clitoris, constatant qu’il était plutôt doué. Aucun doute possible, ce n’était pas la première fois qu’il s’attaquait ainsi à un minou.

*Quelque chose me dit que ce ne doit pas être la première fois que tu te glisses sous une culotte, toi...*

Quels étaient ses petits secrets ? Quand avait-il perdu sa virginité ? Elle savait que l’Église n’aimait pas le sexe, et que, d’un point de vue religieux, catholique un prêtre ne devait pas faire l’amour. Le mariage légitimant le sexe, et un prêtre devant rester célibataire, il en résultait, fort logiquement, qu’un prêtre ne pouvait pas avoir de relations sexuelles. Une logique imparable, qui n’avait jamais été appliquée par ceux qui l’avaient édicté. Un masque d’hypocrisie, un visage d’or aveuglant dissimulant des craquelures réalistes et pernicieuses.

« Haaa... Hummm... »

Elle se laissait aller, se laissait guider vers l’escalier du plaisir, gravissant les marches à toute allure. Oui, ce brave homme était doué. Il fallait croire que Dieu le guidait. Il tremblait nerveusement, se remettant à parler, encore.

« Oubliez ce que je vous ai dit tout à l'heure, il y a des moments où... »

Elle ne lui laissa pas le temps de parler. Ses mains sur ses cheveux le poussèrent, et sa tête fila à nouveau entre ses cuisses, tandis que Shani continuait à mouiller, à délicieusement mouiller, son corps traversé de délicieux frissons électriques. Apaisée et sereine, voilà comment elle se sentait. Apaisée... Et en même temps anxieuse, nerveuse, désireuse de passer à la suite. Le sexe fonctionnait ainsi, un terrible mélange de satisfaction et d’insatisfaction. Elle lui caressait les cheveux, yeux clos, les seins tendus, se sentant de plus en plus à l’étroit dans ses vêtements, des vêtements qui cherchaient à l’étouffer.

« Oh... J’espère que... Que ta virilité... Sera à... Aaaaaahhh... »

Un nouveau gémissement traversa ses lèvres, l’empêchant d’achever ce qu’elle avait en tête.
DC d’Alice Korvander.

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 21 mardi 27 août 2013, 19:45:57

Ah, si seulement toutes les pécheresses en confession pouvaient autant mouiller, je passerais mes jours voire mes nuits dans le confessionnal ! « Haaa… Hummm… », rien que ses gémissements sont un encouragement, et me confirment que je sais de mieux en mieux y faire ; car, pour troubler une jeune femme qui semble avoir autant d’expérience, il faut avoir du talent. Et, sentir ses mains insister sur mes cheveux, ne peut que…
« Oh… J’espère que… Que ta virilité… Sera à… Aaaaahhhh… » m’interrompt presque dans mon élan. Elle mouille, elle est ouverte, elle en veut plus… Mais moi aussi ! Le confessionnal est béant sur une jeune femme excitée, cuisses écartées, gémissante, et qui devrait m’en montrer davantage. Alors, je me relève, sans que mon pantalon ne suive le geste, glissant pour de bon à mes pieds, et, de mes mains précises et rapides, j’ouvre sa chemise blanche, sur son corset noir, à travers lequel mes mains aussitôt caressent ses seins. La toile légère du tissu ne peut masquer l’érection de ses tétons, que je pince entre mes doigts, les tortillant, les étirant, tout en regardant son visage aux yeux mi-clos. Sa poitrine se tend, en réclame davantage encore, mais chaque chose en son temps.
Sa minijupe juste écartée n’a plus de raison de demeurer là, et, prestement, j’en défais les agrafes pour qu’elle s’ouvre naturellement, s’évasant sur ses cuisses entrouvertes, sur son sexe ouvert, trempé et brûlant. Hum, l’envie de la baiser là, comme ça, sans autre préliminaire, de m’enfoncer là où tant d’autres sont passés, de la limer plus fort que Sushira San ! Tiens, oui, lui faire oublier ce gros porc, même si c’est dans un lieu où c’est interdit. Que, si elle retourne le voir, elle puisse lui dire : « Tu n’est qu’un minable ; le Père Yves, lui, est un bon coup » ! Oh oui, je veux la faire monter au septième ciel et, s’il ne doit y en avoir qu’une dans ma vie, que ce soit elle.. Mais pas tout de suite ! Elle en a trop envie, elle est venue pour ça, elle ne se sauvera pas.
Mon pantalon à terre, je m’en sépare, et il m’est d’autant plus aisé de baisser le caleçon qui ne demandait ue ça. Prenant mon sexe dans la main gauche pour achever de le décalotter, agréablement surpris par la dimension et la raideur qu’il a acquises d’une excitation hors du commun, le masturbant juste un peu pour lui donner plus de vigueur encore, je saisis sa cravate de la main droite, pour la faire se courber en avant. Peu importe que la Bible l’autorise ou l’interdise, j’ai envie qu’elle me suce, là, juste pour le plaisir, avant de la culbuter dans le confessionnal. J’ai longuement observé ses lèvres sur le I-Pad, j’ai même vu sa langue tourner avec sensualité. Comme ce doit être bon d’être dans ce chaud fourreau. Et je fais ainsi descendre son visage, jusqu’à ce que ses lèvres se posent enfin sur mon gland turgescent.
« Vas-y, suce ! Tu as une bouche faite pour ça… »
Il n’y a plus ni retenue, ni vouvoiement, ni élégance ; il n’y a que le désir, celui qu’on m’a interdit pendant de longues années, un manque que je veux rattraper ; et, là, j’ai une belle opportunité.

Shani Stevens

Dieu

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 22 mercredi 28 août 2013, 19:27:12

Le prêtre agissait avec plus d’assurance, plus de fermeté. Il se redressa, entreprenant de la déshabiller. Shani se mit à soupirer, sentant son chemisier glisser le long de ses épaules, révélant son corset noir. Serré et étroit, il moulait très bien ses formes, et il s’attaqua à ses seins, manifestant un certain contrôle de lui-même, un certain talent qui amena Shani à se dire que ce brave prêtre ne devait pas en être à son premier coup d’essai avec la gente féminine. Combien de filles avait-il déjà culbuter dans ce confessionnal ? Shani trouverait-elle des traces sous le siège, en menant des fouilles profondes ? Elle ne doutait pas une seule seconde que les rares Japonaises venant ici se confesser devaient avoir des confessions tournant autour du sexe. Nous étions proche de Mishima, après tout, à Seikusu, une ville de tentateurs. Une superbe ville, en réalité. En sentant les mains de l’homme sur ses tétons, Shani se tortilla sur le siège, fermant les yeux en gémissant, remuant de gauche à droite, son corps se serrant contre celui de son partenaire. Le confessionnal était très étroit, et elle sentit ensuite la main baladeuse de l’homme dégrafer sa minijupe.

Cette dernière tomba sur le sol, et un frisson parcourut Shani. Son intimité était exposée, sans aucune protection, puisqu’elle n’avait plus sa culotte. Le prêtre l’avait bien déshabillé, et elle put sentir l’hésitation de son dernier. Elle avait en effet senti, avec son pied, la dureté de sa virilité, ce membre assoiffé, et savait qu’il hésitait à la prendre, ou à s’enfoncer plus loin dans la luxure... Et la deuxième idée fut la meilleure. Attrapant Shani par sa cravate, qu’il ne lui avait pas ôté, il usa de sa force, et, en quelques secondes, la belle secrétaire se retrouva devant son membre, comprenant ce qu’il voulait. Cette chose que tous les hommes adoraient, dont ils raffolaient tous à l’idée d’être avec une femme.

« Vas-y, suce ! Tu as une bouche faite pour ça… » l’encouragea le prêtre, lui arrachant un nouveau sourire.

Ce genre de phrases, ce n’était pas très chrétien... Elle avait vraiment affaire à un prêtre dévoué. Ou, plutôt, à un homme qui avait cessé de lutter contre ses pulsions, et leur laisser libre court. Ce faisant, ces dernières le dominaient. Elle hocha la tête, et s’empressa d’agir, sans attendre plus longtemps. Ce membre la tentait. Ses lèvres s’écartèrent donc, et elle commença par lécher le bout du sexe, tirant un peu sur la peau à l’aide de ses dents. Elle tira ainsi sur sa gauche, et relâcha la sexe, qui fila dans l’autre sens, puis s’amusa à frotter contre cette peau chaude et tendre son nez, glissant dessus avec sa langue, remontant de la base du membre à son extrémité. Shani prenait tout son temps, afin de le faire patienter encore plus. La secrétaire savait y faire, et un sourire étira ses lèvres.

Elle approcha ensuite l’une de ses mains, et le caressa, venant le masturber, tout en léchant le bout du sexe, avant de finalement le prendre en bouche. Après ce long préliminaire, elle le glissa en elle, dans sa bouche, et remua sa tête d’avant en arrière, se reposant sur ses cuisses, et avança sa tête, léchant avec sa langue ce membre, glissant dessus. Des soupirs étouffés s’échappèrent de ses lèvres, et elle remua donc, enfonçant progressivement le sexe en elle, inspirant de l’air, ce qui creusait ses joues autour de son membre, sa langue filant sous la verge pour la relever, la heurtant avec ses dents, avant de poser ses lèvres, de les serrer, filant ensuite d’avant en arrière.

Pour le coup, elle se faisait clairement plaisir !
DC d’Alice Korvander.

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 23 jeudi 29 août 2013, 21:49:57

Hum, sa langue, un vrai dispenseur à plaisir ! Comment ai-je pu ignorer ça ? Alors que je me faisais faire une telle caresse par quelque lycéenne peu experte, il y avait, dans le même bâtiment, une jeune femme incroyablement douée, qui m’aurait fait monter au septième ciel, peut-être même le Paradis en fait, et n’aurait pas fait la moue lorsque j’aurais tenu sa tête pour qu’elle puisse avaler toute ma semence, et fasse ainsi preuve d’une vraie soumission à mes désirs !
Mais, là, je ne veux pas que ça finisse comme ça. Oh non ! Même si ses lèvres sont d’une douceur inouïe quand elles glissent sur mon sexe, même si sa langue a une subtilité incroyable pour le contourner et lui glisser de petits coups, même si sa main masse avec délice la base de ma verge et mes bourses électrisées. Il y a une telle intensité, que j’en oublie bien des choses, et que ma main se pose sur sa belle crinière ; je voudrais la saisir et lui imprimer moi-même le mouvement que je désire (alors qu’elle sait si bien y faire, qu’elle a le rythme dont je rêve, qu’elle a l’application idéale pour faire monter le désir sans risquer de jaillir), mais je demeure à caresser ses cheveux avec une douceur presque incongrue dans une situation aussi brûlante.
« Hum, oui, continue, c’est trop bon ; jamais on ne m’avait fait ça comme ça ! »
Tu viens de te trahir, Yves ! Maintenant, elle sait qu’elle n’est pas la première mais, en même temps, vu comme tu l’as déshabillée et léchée, elle ne devait plus avoir beaucoup de doutes. Au moins s’applique-t-elle avec une douceur qui me fait finalement écarter un peu son visage, laissant sous son regard mon sexe tendu et luisant de sa salive, une goutte perlant juste au bout du gland. Presque par tendresse, je saisis sa main, encore posée sur ma verge, et la fais se relever. Mes yeux plongés dans ses yeux n’y voient que le plaisir à venir, et mon esprit retrouve quelque élégance vouvoyante.
« Vous êtes la tentation, Shani, comme celle qu’on m’a appris à fuir. Mais je n’ai pas envie de vous fuir, car vous êtes aussi ce que Dieu m’aura offert de plus beau. »
Ses lèvres sont entrouvertes et j’y pose les miennes comme pour mélanger mes gouttes de sperme qu’elle a gobées avec sa cyprine au goût encore présent sur ma langue. J’ai l’impression de découvrir l’amour, celui-là même qu j’espérais avant d’entrer dans les ordres, celui-là aussi que je croyais à tort trouver chez les lycéennes de Mishima. Et voilà que c’est une simple secrétaire, venue en confession, qui m’offre cela ! Oh, pas une sage secrétaire, puisque ses confessions trahissent un passé déjà fort débauché, mais peu importe.
« Je sais que je ne dois pas le dire, mais j’ai envie de vous faire l’amour. Si je ne dois connaître ça qu’une fois dans ma vie, je veux que ce soit avec vous. »
Mais je ne lui laisse pas le temps de répondre, et le confessionnal sera, encore une fois, détourné de sa fonction initiale ! Saisissant alors sa taille de mes mains, je la fais se retourner, la poussant un peu en avant, face contre la paroi du fond, pour qu’elle prenne appui au dossier de ma chaise. Dans cette pénombre, toute de bois et de cuir, juste traversée de quelques rais de lumière, cette vision est à la fois la plus explicite vision de la tentation et la plus irrésistible vision du désir charnel. Ses fesses, oh qu’elles sont belles, la perfection de la Création, deux globes parfaits juste séparés d’une petite fente que j’explorerai volontiers. Ses hanches, une fois ôté son chemisier blanc et relevé son corset noir, ont des courbes aussi élégantes que l’œuvre d’un sculpteur, et ne demandent que l’appui de mes mains pendant que je lui ferai l’amour. Ses jambes, que j’ai moi-même écartées, sont comme interminables d’être fines et d’une peau aussi parfaite.
« Hum, Shani, vous… tu es sexy comme ça ! », une parole peu chrétienne mais pleine d’amour ! »
Yves, rassure-toi, tu ne vas pas commettre le péché de chair ; tu vas juste combler le désir de deux êtres de chair. Et, ayant vivement expédié pantalon et caleçon embarrassants à mes chevilles, je pose ma main gauche à sa hanche, tandis que ma main droite guide mon sexe toujours aussi raide, jusqu’à frôler ses lèvres intimes. Je me rappelle que certaines lycéennes de Mishima avaient été étonnées d’apprendre que ce que je leur dis comme étant la levrette, avait une faculté d’excitation très forte ; ma pénitente de ce jour ne semble y voir aucune contre-indication, écartant plus encore ses jambes pour m’offrir le passage vers son sexe. « Oui, c’est ça, ouvre-toi ; hum, c’est chaud, c’est trempé ! », je retiens, mais pour combien de temps encore je ne le sais, l’envie de laisser libre cours même à mes mots. Ce chaud fourreau que ma langue avait exploré, dont les parois s’écartent doucement sous la poussée de mon sexe. J’en oublie toute précaution et toute retenue, je sens ma verge comme happée, je pousse lentement en lui tenant les hanches, je veux faire durer ce moment jusqu’à être au plus profond d’elle.

Shani Stevens

Dieu

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 24 samedi 31 août 2013, 15:28:17

Une petite fellation, ça ne payait pas de mine, et c’était toujours délicieux. Les hommes adoraient ça, et Shani aussi. Dans le sexe pur, la femme avait souvent le rôle passif, se bornant à être le récipient de la verge, laissant ainsi à l’homme le rôle central et impérial de lui prodiguer du plaisir. La fellation était différente, elle instaurait un rythme différent, puisque c’était désormais la femme qui avait le rôle actif, qui jouait avec la verge de l’homme. Partant de là, n’importe quelle perverse se devait d’aimer ça, d’adorer la fellation... Et, fort heureusement, Shani n’était pas une exception. Elle adorait ça, tout simplement. Elle jouait avec la queue du prêtre sans aucune difficulté, excitant ce dernier, continuant à lui faire plaisir. Pour elle, c’était un véritable délice, et c’était également le cas pour ce brave prêtre.

Et, une fois l’échauffement terminé, le prêtre agit. Shani le laissa faire, se retrouvant rapidement à quatre pattes dans le confessionnal, lui offrant la vue de ses magnifiques fesses. Son postérieur était à l’image de son corps : beau, tendre, ferme, attirant, exquis. Et son fessier... Aaaah, qui n’avait pas été plein de désir en le voyant ? Beau et ferme, il était tendu devant le prêtre, et, pour mieux le tenter, Shani le remuait, le bombant légèrement, tournant légèrement la tête, en souriant. Allait-il la gifler ? À cette idée, elle en frissonnait. Oui, elle aimerait bien que l’homme la gifle, mais le prêtre s’y refuserait, tout en rapprochant son membre, non pas de sa petite porte, mais de son intimité. En un sens, elle en fut soulagée. Se faire prendre par l’arrière sans aucune formation initiale, c’était terrible, même pour elle. Elle se mettait à frissonner, mouillant de plaisir, en le sentant se rapprocher. Elle écarta ses jambes, sentant les courants d’air glisser sur son intimité. Elle mouillait, et poussa un léger soupir.

« Oui, c’est ça, ouvre-toi ; hum, c’est chaud, c’est trempé ! »soupirait le prêtre.

Elle frissonnait, et hocha lentement la tête, soupirant faiblement, avant de le sentir s’enfoncer en elle. Shani sentit son souffle se couper quand cette grosse queue alla se perdre dans son corps.

« Haaaa... !! »

Elle se tortilla un peu, d’avant en arrière, et poussa un cri de plaisir, fort et vivace, qui se répercuta dans tout le confessionnal. Ses ongles se crispèrent sur le sol, et elle se mit à remuer d’avant en arrière, soupirant de plaisir, en gémissant longuement.

« Haaa... Allez, allez, encore, plus fort, huuummmm !!! »

Shani était en train de frissonner longuement, fermant les yeux, savourant délicieusement ce moment. Oh, comme c’était bon ! Dans un confessionnal, en plus ! Pour Shani, c’était le trip total !
DC d’Alice Korvander.

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 25 dimanche 01 septembre 2013, 23:00:38

Un geste, juste un mouvement des hanches, à la fois comme une provocation et une acceptation. La situation est aussi irréelle qu'indécente, mais c'est pourtant réellement que je sens ses hanches venir vers moi, que je vois ses fesses onduler au même rythme. Son vagin brûlant semble happer mon sexe, comme s'il voulait le ressentir plus profond encore, comme si elle voulait me happer jusqu'au cœur de son être.
Presque tendres au début, mes va et vient s'accélèrent, au rythme où ses hanches viennent à mon encontre. Elle s'ouvre et elle gémit, elle tourne parfois la tête vers moi avec un regard qui en dit long sur son excitation, elle pousse des gémissements de plus en plus forts, et son sexe entoure ma verge d'ondulations qui manquent me faire exploser.
Je me moque du confessionnal détourné de ses fonctions, tout comme je me contrefiche de qui pourrait entendre ses soupirs et ses cris. J'ai envie d'elle, un désir déraisonnable, une ignorance de mes vœux ; plus rien d'autre ne compte, je tiens ses hanches entre mes mains, et je vais et viens en elle. Son corps semble comme désarticulé au rythme de mes coups de reins.
« Hum, Shani, je n'ai jamais connu ça. Si je t'avais connue auparavant, je n'aurais jamais embrassé les ordres ! »
Je sens mon cœur qui bat la chamade, j'ai les tempes qui cognent, je sens mon esprit qui n'a plus toute sa raison. J'ai envie de plus encore ! Ses fesses sont trop tentantes ; fermes, d'une rondeur parfaite, cachant presque à regret sa petite porte. Et, tandis que je vais et viens en elle, mon index glisse dans la raie de ses fesses, faisant de petits aller et retour, ouvrant peu à peu la raie.
Oh Dieu, tes Saintes Ecritures disent peut-être que tu as détruit la ville où les mécréants copulaient par le vase indélicat ; mais, là, avec tout le respect que je te dois, je m'en moque ! C'est trop bon de sentir ce petit orifice s'entrouvrir sous la pointe de mon index, c'est incroyable que mon doigt aille et vienne en cet endroit qui lentement s'entrouvre, comme mon sexe va et vient au même rythme dans son vagin brûlant.
Elle est toute cambrée, elle gémit de plaisir, je me retire de son sexe, posant le gland sur son petit trou à peine ouvert. Lorsqu'elle avait mon sexe en bouche, elle maîtrisait tout, elle avait le pouvoir d'accélérer et de ralentir, elle pouvait à tout moment me faire craquer, elle a su faire durer. A moi désormais de lui offrir cette jouissance, là en cette église où l'amour est tant prôné, là en ce confessionnal où les péchés sont tous oubliés.
Tenant ses hanches, je pousse, un peu, juste un peu. La crainte qu'elle refuse comme le firent certaines lycéennes, la crainte qu'elle ait peur de ce plaisir hors de la morale. Mais le désir aussi, un désir que je retiens comme je peux, le désir de l'ouvrir ainsi et de la prendre jusqu'à ce que ses cris résonnent dans toute l'église...
« Ouvre-toi, Shani ; j'ai trop envie de te sod... de te prendre comme ça ! », qu'importe le mot, seul compte l'envie.

Shani Stevens

Dieu

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 26 mardi 03 septembre 2013, 17:28:38

Il la prenait comme une traînée. Une vulgaire chienne qui ouvrait les cuisses devant un homme dominateur. Le confessionnal était un lieu saint, un lieu béni, un lieu de protection, où le pêcheur devait venir se confesser en toute quiétude. Ce n’était pas une conversation entre lui et un autre homme, c’était une conversation entre une créature de Dieu et Son intermédiaire. C’était, en définitive, une introspection, une invitation à la réflexion, à la méditation, afin de comprendre la portée de ses erreurs, de les accepter, et de les dépasser, pour se surpasser, pour s’améliorer et ne plus commettre les mêmes fautes.

Partant de ce principe, de manière assez détournée, Shani était en train d’appliquer ce concept. Le sexe conduisait à l’orgasme, et, si on en croyait les Hindous, c’était une manière de se rapprocher du divin, alors, dans ce cas... Jouissons sans entraves ! Shani se laissait donc pleinement aller, sa tête heurtant parfois le rebord du confessionnal, qui était vraiment petit, tandis que ses cris résonnaient autour du confessionnal. Elle avait trop chaud. C’était un endroit étroit, et le membre du prêtre était avide, s’engouffrant en elle, la dominant. Sa mouille glissait lentement sur le sol, alors que Shani avait les joues rouges, yeux clos, se contentant de savourer. Elle n’avait pas grand-chose à faire dans ce genre de situations, et trouvait que l’homme se débrouillait bien.

« Hum, Shani, je n'ai jamais connu ça. Si je t'avais connue auparavant, je n'aurais jamais embrassé les ordres ! »

Charmeur... Elle se contenta d’un léger sourire, rouvrant les yeux, haletant et gémissant, et avança l’une de ses mains près de son intimité, la caressant, atteignant, du bout des doigts, le sexe de l’homme, près de ses lèvres vaginales. Ses doigts s’humectèrent ainsi de cyprine, et elle entreprit de les lécher, tout en sentant ce membre continuer à remuer dans son corps. Elle sentait également ses mains se rapprocher de sa croupe, de son fondement. Le plus intéressant, c’était que Shani arrivait à se contrôler. Jadis, une telle séance de baise l’aurait amené à s’écrouler sur le sol, à être submergée par son plaisir, mais, maintenant, avec l’expérience qu’elle avait accumulé, elle savait se calmer, réagir normalement, sans se laisser aller.

Elle finit par sentir quelques doigts s’aventurer le long de son fondement, l’excitant encore plus. Ses mains se fermèrent, ses dents grincèrent, et elle gémit lentement, excitée par ça, par cette idée. Le truchement dans la demande du prêtre ne lui échappa pas, lui arrachant un sourire. Elle tourna la tête vers lui. Quelques mèches de cheveux tombaient en rideau devant ses yeux, et elle les retira d’une main habile.

« Mon cul vous plaît, n’est-ce pas, mon Père ? »

Shani balança avec un léger sourire. Contrairement aux apparences, c’était bien elle qui menait la danse ici. Et elle le fit savoir, en lâchant alors :

« Prenez-moi par là... Vous ne serez pas le premier à me défoncer le cul, ne vous en faites pas... Tous les hommes aiment ça, alors... Allez-y. Baisez-moi le cul ! »
DC d’Alice Korvander.

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 27 jeudi 05 septembre 2013, 06:44:28

Oh, Dieu, comme il fait chaud dans cette église ! Moi qui, chaque hiver, peste contre la froid de cette bâtisse impossible à chauffer, j'ai là la solution. Cette jeune femme me met dans un état incroyable, me fait bander comme jamais je n'aurais pu imaginer, et, comble de bonheur, j'aime à faire durer encore et encore. Son vagin brûlant m'arrache pourtant des gémissements et me lance des étincelles dans tout le bas-ventre, mais je veux moi aussi prolonger ce moment.
« (…) Baisez-moi le cul ! », une expression qu'elle n'aurait pas dû employer ! Je retire mon index, juste pour deviner, dans la pénombre, un orifice encore petit, mais elle m'a dit elle même que je ne serai « pas le premier ». Sortant de son vagin mon sexe comme ruisselant de mouille, je pose juste le gland sur sa raie. Juste un peu, pousser juste un peu. Ses hanches se tendent, sa taille se cambre, aurait-elle une appréhension ? Oh, Sushira San a bien dû passer par là, ce pervers, et lui n'a certainement pas fait preuve d'autant de délicatesse !
Tenant ses hanches de mes mains, je pousse, le gland écarte les chairs encore serrées, et finit par disparaître dans cet étroit fourreau. Doucement, Yves, contrôle-toi ; tu es un homme de Dieu, et non une bête. Sodome et la Bible, tu y penseras plus tard ! Poussant encore un peu, je sens son fondement comme emprisonner mon sexe, le comprimer. Juste de petits mouvements, Yves, prends le temps et le plaisir n'en sera que plus intense.
« Hum Shani, c'est tout serré, et je ne veux pas vous faire mal. »
Dis-toi bien que d'autres sont passés par là, alors... Alors, dans ce confessionnal où une telle vision donnerait un infarctus à toutes ces bigotes coincées, je pousse encore. Mon sexe tendu avance peu à peu, je sens Shani un peu crispée malgré cette liberté sexuelle que je n'aurais jamais imaginée. Et, tout en avançant, mon sexe fait de petits mouvements, comme pour tapisser de sa mouille chaque avancée.
« Shani, je ne devrais pas... Mais, pour vous, je crois que je serais prêt à tout ! »
Prêt à tout, comme pousser encore, comme sentir son anus s'ouvrir sous mon sexe, comme à avancer encore, comme à me sentir entièrement en elle. Rester un instant comme ça, juste immobile hormis une ondulation, peu à peu prendre possession de ce lieu avant d'y aller en va et vient débauchés... d'un prêtre décidément débauché lui aussi.
« Oh, Shani, c'est trop bon... »
Ultimes mots, avant que je ne cède à cette tentation de lui « défoncer le cul » comme elle dit.

Shani Stevens

Dieu

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 28 jeudi 05 septembre 2013, 20:35:25

Elle le sentit venir, s’approchant lentement... Il était bien trop tard pour ce genre de sentiments, pour faire preuve de réserve, de timidité, ce genre de choses qui étaient à bannir de cette église. Les Chrétiens avaient toujours tout fait en grand, alors, il était temps de pousser cette logique, de s’appliquer. Shani était une cliente difficile, ce n’était pas une vulgaire lycéenne prépubère venant confesser au prêtre qu’elle avait vu son grand-frère avoir une érection dans la douche, et qu’elle en avait rougi de honte. Shani était d’un autre calibre, une femme qui ne pouvait pas lutter contre ses pulsions, et il en allait visiblement de même pour ceux qui la croisaient. À quatre pattes, elle dominait son sujet, en position de chienne, tellement désirable. Ses vêtements la collaient bien trop, et elle sentait la sueur sur sa chemise. Il fallait qu’elle s’en débarrasse, et, tandis que le prêtre se rapprochait, d’une main, elle s’affairait déjà à déboutonner sa chemise. Shani ne portait pas de soutien-gorge, mais un élégant corset noir à la place. N’était-ce pas la preuve la plus ultime qu’elle était une petite perverse ?

Ses doigts jouaient sur la chemise, mais l’exercice fut plus difficile quand elle sentit les mains moites du prêtre se poser sur ses courbes, avant de sentir sa virilité se rapprocher. Shani hoqueta, sentant un frisson la traverser. Putain, si c’était bon ! La douleur explosa, vive, totalitaire, la dominant totalement !

« Hum Shani, c'est tout serré, et je ne veux pas vous faire mal » avoua-t-il.

Ceci déclencha un éclat de rire nerveux chez la femme, qui posa ses deux mains sur le sol. Elle avait réussi à ouvrir sa chemise, qui pendait le long de ses épaules, et secoua la tête, faisant voleter ses boucles. Elle ne dit rien, avant de serrer les dents, poussant alors un hurlement, autant de douleur que de plaisir, qui se répercuta dans le chœur de l’église, s’échappant de l’enceinte du confessionnal pour rebondir le long des vitraux... Mais ce n’était pas encore assez, Shani voulait plus. Elle voulait continuer à détériorer l’ambiance sacrée de cet endroit, jouer la succube, jouir sur l’autel, baiser sous la gueule des Très Saints. Ses mains se crispèrent, alors qu’elle remuait son corps, isolée dans ce confessionnal, sa tête venant rebondir contre le banc du prêtre.

Lentement, douloureusement, le membre de l’homme avançait. Shani grinçait des dents, se forçant à respirer, à contrôler sa respiration. N’était-ce pas, encore une fois, une chose que les religions apprenaient ? Le contrôle de la respiration était quelque chose d’important pour permettre la méditation, et c’était ce que Shani faisait, en rouvrant les yeux, haletant et grognant. Sa chemise n’allait décidément plus, et elle utilisa l’une de ses mains, tirant dessus, la décollant de sa peau, jusqu’à la balancer sur le sol. Elle frissonna, mais il restait encore son corset, qui lui collait à la peau. Peu importe, dans le fond, elle avait d’autres sujets de préoccupations.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN !!!! » hurlait-elle.

Ces cris n’étaient nullement feints. La sodomie avait pour elle de réveiller instantanément. La douleur... Elle était jouissive, car elle était l’indicateur de la vie. On naissait dans la souffrance, comme si la douleur était un baptême. On la fuyait autant qu’elle nous attirait, et il n’y avait que dans ce sexe que cette alchimie était parfaite, presque magique.

« Oh, Shani, c'est trop bon... » soupirait le prêtre.

Pour le coup, elle ne pouvait que confirmer. Oh oui, c’était délicieux ! Shani se faisait joyeusement labourer le cul dans une église. Elle était en sueur, les joues rouges. Plaisir et douleur se mélangeaient pour la transcender, sa mouille venait lécher le sol, et elle ne se contrôlait plus.

« OHHHH OUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUIIIIIIIII, OUUUUUUUUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! »

Elle se laissait pleinement aller, mais, pour autant, elle restait maîtresse d’elle-même. Le plaisir était fort, mais, entre chacun de ses hurlements, Shani respirait lourdement. La respiration, c’était la clef. Du moment qu’elle arrivait à ne pas sentir son souffle s’emballer, elle pouvait conserver la tête froide.Elle baissa la tête, en serrant les lèvres.

« Jouis... Juis en moi, surtout, hummmm !! Je veux sentir ta semence en moiiii !! »
DC d’Alice Korvander.

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 29 vendredi 06 septembre 2013, 22:28:18

Jamais ces lycéennes novices n'auraient pu me procurer un tel plaisir, et encore est-ce loin d'être fini ! Et je ne suis pas le seul à avoir très chaud, on dirait. Shani n'a plus qu'un corset noir, mais elle en paraîtrait peut-être plus provocatrice encore que d'être entièrement nue. Et ses fesses dressée et cambrées, cet anus qui s'est écarté finalement sans souci. Lui faire mal, oh non je ne veux pas. La sodomiser au mépris de la sacro-sainte morale, je n'ai aucun scrupule.
« Hum Shani, je sens comme vous... comme tu... tu es ouverte ! », mais assez parlé, je tiens bien ses hanches et je commence à la labourer. Son corps, comme celui d'un pantin désarticulé, oscille dans le confessionnal, sa tête venant sur mon coussin de siège comme pour étouffer ses cris. Elle fait venir ses hanches à la rencontre de mon sexe, et je m'enfonce en elle de plus en plus fort, de plus en plus vite.
« Oh oui, j'adore te déf... te prendre comme ça ; c'est le plus fort que j'aie connu ! », ma taille se contrôle à peine, insouciante de ce qui pourrait se passer dans l'église. Mon sexe coulisse désormais dans son anus dilaté.
« Han... Hum... Encore ! », ses cris résonnent dans l'église.
Je vais et je viens, je sens mes mouvements qui accélèrent encore.
« Oui, encore, bouge tes fesses ! »
Comme si j'avais besoin de lui dire ; elle les remue, comme si c'est elle qui maîtrise les ébats. Mais peu importe, du moment que je la prends comme ça et qu'elle aime.
Moi aussi, et je sens bien pus que des gouttes qui perlent, plutôt des vibrations qui se lancent dans mon sexe à n'avoir plus qu'une envie, éjaculer enfin ! Et, quand elle me lance « Jouis en moi ! », c'est comme une délivrance qui arrive enfin. Tenant ses hanches, dans un ultime geste qui me plaque à elle, alors qu'un « Hhhhaannnnn ! » semble comme déchirer ma poitrine, je sens ce liquide brûlant enfin jaillir sans plus aucune retenue. Je ne suis plus que suspendu à ces électrisations qui parcourent mes hanches, à ces mouvements désordonnés qui agitent mon bassin, à ce sperme dont le flot ne semble jamais s'arrêter.
Je suis chaud de cette fièvre dans une église dont je ne perçois plus le froid, je suis dans un état qui confine à la transe mais sans drogue, je suis dans le vrai Paradis que je conseillerai désormais à mes fidèles. Et, comme sous moi, Shani ne semble plus qu'être un pantin désarticulé qui aurait reçu la même décharge électrisante. Juste vêtue de son corset noir, son petit trou gardant encore mon sexe qui demeure dur, elle me met et me laisse dans un état d'excitation qui semble ne pas vouloir s'arrêter. Pas un mot ne sort de ma bouche, juste la sensation charnelle d'un moment unique !


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