Un petit repos avant les choses sérieuses ( PV Hiro )

Mon dieu que les cours étaient l'ennuyaient ! Elle était assise à sa place et regardait du coin de l'oeil la professeur discuter avec un homme … Plutôt pas mal … Elle lui parlait de lui laisser la salle pendant deux heures et demie. Deux heures pour un cours, et une demie heure pour ranger tout. Elle comptait large … D'autant plus qu'elle ne semblait pas avoir compris que l'exposé devait durer une demie heure ...
Elle croisa les bras sur sa tableet posa sa tête par dessus pourfermer doucement les yeux et se laisser bercer par le blabla de l'homme. Elle réussi à capter quelques bribes de son babillage, alors comme ça il était avocat ? Elleremua légèrement sur sa chaise, essayait elle de s'éveiller ? Non, elle cherchait une position plus confortable pour dormir. Tout cela ne l'interessait pas, elle avait passé une nuit assez mouvementée … Et elle était légèrement fatiguée.
Elle bailla à s'en décrocher la machoire, sans retenue, et soudain, son telephone portable se mit à vibrer doucement. Elle avait un message. Elle le sortit de sa poche et  l'ouvrit. Le message venait de l'amant avec qui elle avait couché dernièrement :
« Alors ma belle, t'as mal au fesses ? Faut dire que je t'ai bien défoncée hier soir ! »
Elle sourit et répondit
« Ouais bien sûr ! Paye ta modéstie mon ange, je sens plus rien ! »
Dix secondes plus tard, son portable revibra
« Ah ben viens ce soir je vais arranger ça ! »
«  tais toi je dors. »
« t'es pas en cours ? »
«  ben si ... »
Elle n'eut pas le temps de voir la réponse car elle s'endormit bien vite. Les yeux fermés et les cheveux qui coulaient doucement sur son visage... Elle ne vit pas le temps passer.

Non mais putain, j’suis quoi moi? Un avocat ou un mec avec une pancarte écrite ‘’INNOCENT’’ attachée autour du cou?

Le mec, là, vraiment furieux dans sa bagnole, c’est moi. Je viens tout juste d’apprendre que j’allais devoir passer deux heures avec des morveux, leur expliquer des choses que même leur foutus parents n’ont pas l’intelligence nécessaire pour comprendre un traitre mot de ce que j’allais leur faire part. Foutus relationnistes de merde; tu les engages et ils ont l’impression qu’ils ont le droit de dicter ton planning horaire!

Calmos, Hiro. Tu es venu nous voir pour qu’on t’aide à regagner ta notoriété auprès du public. Et c’est ce que je fais! Si tu explique ton métier aux jeunes, que tu prends du temps pour t’impliquer auprès de notre jeunesse, les parents de ces enfants vont simplement être plus ouverts à ton égard… De toute façon, c’est non-négociable… Et essaie d’avoir un semblant de sourire, tu veux?

Sans aucune forme de politesse je raccrochai, crachant ma rage en juron et klaxon, alors que je me rendais au lycée de Seikusu. Quelques minutes plus tard, j’étais devant la classe de mioches que je devais animer pendant les deux prochaines heures à venir…

Bonjour M. Atayoshi, ou devrais-je dire Me Atayoshi?

Au corps que tu as, tu ne m’appelleras jamais maître, j’ai mes standards de vente, moi!

Je suis hors cours, appelez moi Hiro, ça va suffire

Parfait, alors, Hiro, voici ma classe! Vous allez leur parler de votre métier, et répondre à leurs questions, durant les deux heures qui suivront; avant que le prochain cours ne commence, vous aurez une demi-heure pour ranger vos affaires. Moi, je ne pourrai rester, j’ai quelques travaux à corriger

Dis plutôt quelques Mcdos à visiter… Une baleine se doit d’être honnête envers elle, tu sais?

Quelques secondes plus tard, je me retrouvai devant la salle, certains discutaient, d’autres me regardaient; je pouvais lire dans leurs yeux qu’ils avaient hâte que je commence… Pour pouvoir finir au plus tôt.

Ne vous inquiétez pas, les jeunes, je suis comme vous…

Je commençai alors mon exposé, essayant d’avoir l’air le plus aimable possible; j’avais même emmené quelques outils qui me servaient; mon calepin de notes avec toutes les notes que j’avais écrites pendant les dernières séances, certaines ‘’preuves’’ que j’avais réussi à emprunter, tout à fait légalement, des affaires résolues il y a de ça des années.

Enfin bref; Gros exposé bien chiant, suivis de questions vides et désintéressées et le deux heures étaient passées.

Tous sortirent bien vite de l’endroit, alors que je me laissai tomber dans la chaise du professeur, rangeant toutes les preuves dans mon sac, je devais quand même retourner les porter au commissariat le lendemain… J’avais une demi-heure…? Je serais parti bien avant!

C’est alors que, au moment où je m’apprêtais à partir, environ deux minutes après les autres, mes affaires en main, je vis une jeune femme à la peau foncé qui dormait. Arrivant auprès d’elle, je tapai le dessous de son bureau avec mon pied, d’un coup assez fort pour soulever le bureau et réveiller la belle aux bois dormant en sursaut.

Le prince charmant, c’est des foutaises, pas besoin d’un baiser pour réveiller une femme… Tu étais intéressée par mon exposé, apparemment… Mais ne t’inquiète pas, je n’étais pas ici par plaisir non plus!

Elle voletais au pays des petits oiseaux quand soudain le nuage sur lequel elle était perchée se souleva d'un coup, la faisant tomber. L'atterissage la réveilla en sursaut. Elle détestait se faire réveiller en sursaut et cracha ces quelques insultes
-   Rhaaaa ! Spèce de …
Elle était encore sous le choc pour trouver des mots et se frotta les yeux
-   Il est quelle heure là ?
Elle détailla l'homme devant elle, assez canon … Elle ré ajusta ses cheveux violets qui partaient un peu en live avant de s'étirer et de poser les coudes sur sa table et de déclarer sur un ton innocent
-   Quel exposé ?
Elle souriait. Tout cela la faisait intérieurement rire … Elle sortit son portable pour regarder son message et haussa un sourcil... Vingt-six messages... C'était du lourd … Mais elle avait la flemme de les regarder maintenant et rangea son telephone avant de faire un geste du bras et de se présenter à l'homme
-   Yoruichi … Yoruichi Shihouin. Mais appelez moi Yoru' … Et vous ?
Elle s'étira une seconde fois, mettant involontairement … Ou pas … Son corps de rêve en valeur avant de se tourner vers l'homme
-   La flemme de sortir …
Elle recroisa les bras et s'affala nonchalement sur son bureau. Elle était encore un peu fatiguée et elle savait qu'un dodo arrangerait les choses. Elle murmura
-   Il était sur quoi votre exposé ?
Elle bailla.

Heureux de faire ta connaissance, moi c’est Hiro

Je me mis à rire à sa dernière question, puis mon téléphone sonna.  Lui faisant signe d’attendre quelques secondes, je me retournai avant de m’écarter légèrement, restant tout de même dans la pièce.

Atayoshi? Oh, oui, bonjour Shokizu… Oui bien sûr je peux t’aider… Ouais, c’est bien intéressant, mais mes honoraires restent à 300 euros l’heure… Bah c’était à toi de pas te faire prendre!... Écoute, j’en ai marre, c’est ce prix, ou bien tu vas te faire voir chez les grecs, Capice?... Ouais, je m’en doutais, laisse moi deux heures et je suis à mon cabinet, tu viendras me voir à ce moment… Ouais, salut

Revenant vers la jeune femme, j’attrapai une chaise en face de son bureau avant de la retourner et m’asseoir dessus.

Désolé, le travail. Donc, l’exposé était sur le métier d’avocat à la défense; mon métier. J’ai pas demandé plus que toi d’être ici, mais on m’a dit que c’était bon pour mon image; si c’était que de moi, vous auriez pu vous brosser pour que je vienne ici! Sinon, on peut savoir pourquoi mademoiselle est si exténuée?

La jeune femme sourit et et ne put s'empêcher de reluquer un peu l'homme pendant qu'il était au téléphone et sourit lorsqu'il s'assit devant elle. Ainsi il était avocat ? Il lui semblait l'avoir déjà entendu avant avant de sombrer mais bon … 
-   J'en sais rien … Je choisis pas d'être crevée moi …
Elle mentait bien sûr, elle n'allait pas lui avouer la véritable raison de sa fatigue … Elle plongea ses yeux étincelant dans les siens.
-   Et puis c'est bon, je ne suis plus trop fatiguée … Enfin juste un peu …
Elle se demandait pourquoi il ne lui demandait pas de sortir directement de la classe … Un adulte normal l'aurait immédiatement fait …
Elle se releva et se dirigea vers le bureau de la professeur pour farfouiller dans ses papiers, avec un peu de chance, elle trouverait les sujets du prochain contrôle … Elle sourit à l'homme et commença à examiner les feuilles.
-   Et en ce moment, vous faites quoi ? Vous êtes avocat, vous devez avoir un planning chargé …
Elle rit doucement

J’ai beau être avocat, je m’étais prévu du temps pour venir ici, et j’ai par ailleurs une demi-heure, ou plutôt vingt-quatre minutes, avant de devoir quitter et reprendre mes activités.

La regardant farfouiller dans les documents de sa professeure, probablement pour y trouver des réponses aux examens… Et elle me le confirma assez rapidement, mettant la main sur quelques exemplaires de ces fameux tests, mais avec les réponses inscrites à l’encre rouge.

De toute façon, j’ai bien le droit de faire ce qui me plait, je n’ai pas de compte à rendre à personne… Et toi? Qu’est-ce qui te dit que je ne vais pas aller dénoncer ce que tu fais, présentement, sous mes yeux? Je pourrais presque te forcer à acheter mon silence?

D’un petit sourire, je laissai ma tête balancer vers l’arrière, les deux bras derrière celle-ci. C’était plutôt amusant de n’avoir rien à faire pour une fois, et en compagnie d’une étudiante assez sexy, qui plus est!

Quoi ?! Ah merde ! C'était vrai !!
Il avait raison … Il pouvait maintenant lui demander de faire ce qu'il voulait … Seulement pour son silence... Elle soupira et joua sa carte habituelle.
Elle passa derrière lui et enleva ses bras de derrière sa tête pour commencer à le masser doucement.
-   Si j'arrive à vous donner du plaisir vous ne dites rien ?
Elle était consciente du grooos sous entendu dans sa phrase et avait fait, bien sûr, exprès.
Elle rapprocha sa tête de son épaule, pour qu'il la sente près de lui, pour qu'il sente son souffle chaud sur son cou.
Elle titilla son lobe d'oreille du bout de son nez et soupira
-   Je vous en supplie !
Cette carte, elle n'avait pas l'habitude de la jouer … Mais elle était plutôt bonne en supplication … Alors pourquoi ne pas en profiter … Elle sentait bien que son massage lui faisait de l'effet, elle avait l'habitude et n'était pas novice dans ce genre de chose … Elle eut un rire quasi inaudible, même pour lui dont l'oreille était si proche de sa bouche … 
Elle savait qu'entre eux deux, c'était comme un combat, qui allait céder en premier ?

Elle s’était glissée dans mon dos, pour me masser les épaules? Elle m’offrait déjà un paiement en échange de mon silence; s’étant bien rendue compte que je la tenais… Eh bien, c’était intéressant de voir une jeune femme si encline à payer ses dettes, même si c’était ce genre de dette.

Fermant les yeux, je ne pus m’empêcher d’apprécier le moment, mais aussi de lancer une pique :

Tu sais, ce serait loin d’être professionnaliste de ma part de te laisser ainsi voler des documents en échange… Si jamais tu n’en vaux pas le coup, je fais quoi moi?

Un léger rire alors que je fermais ses yeux en laissant ses mains frotter contre mes épaules. Bon sang, ça faisait longtemps que je n’avais pas pris le temps de me détendre de la sorte!

Tu es jeune et peut-être inexpérimentée, comment je pourrais le savoir?

Elle éclata de rire, Yoruichi, inexpérimenté ? Elle sourit et posa ses lèvres sur son cou en même temps que ces quelques mots qui remontèrent la pente de son cou pour vibrer dans ses oreilles
-   Tu n'as qu'a me dire ton verdict à la fin …
Elle passa sa langue sur son cou en riant puis s'assit sur une table, en face de Hiro, les jambes légèrement écartées. Debout, il était légèrement plus grand qu'elle. Elle tendit les bras et lui prit les mains pour le relever et le placer face à elle.
Ses lèvres effleurèrent les siennes dans un murmure
-   Après … C'est toi qui vois…
Ses lèvres frôlaient toujours les siennes à chaque mot mais ne se joignaient jamais. Elle l'impatientait et elle aimait ça. Elle regardait l'étincelle fievreuse dans son regard à chaque fois qu'il sentait la chaleur de ses lèvres tout près des siennes. Peut-être ne s'en rendait il pas compte, mais Yoru le voyait, et ça la faisait sourire. Elle murmura
- Mais... Goûte-y au moins une fois ...

Je m’étais rapidement trouvé à quelques centimètres de la lycéenne, sentant ses lèvres venir effleurer les miennes… Mmm j’adorais la sensation qu’il y avait en ce moment, l’urgence de la sauter était vraiment l’un des meilleurs sentiments qu’on peut avoir, enfin, selon moi! Bref, elle n’était pas inexpérimentée dans le domaine de la séduction! Rapprochant mon corps contre le sien, mon bas-ventre frottant contre l’intérieur de ses cuisses, je posai mes mains contre la partie nue du dos, contre ses reins.

On peut bien voir ça… Je suis sûr que tu goûte très bon… Maintenant j’ai envie de te dévorer tout cru

D’un petit sourire, j’arrêtai ce petit jeu en posant mes lèvres contre les siennes, allant chercher sa langue avec la mienne, mes mains tentant déjà de remonter son chandail, l’entrainant avec elles vers le haut tout en caressant le dos.

Elle accueilli avec joie ses lèvres sur les siennes et enroula sa langue autour de la sienne quand le baiser s'accentua. Ses mains jouait avec son haut et tentaient de le soulever. D'un mouvement gracieux, elle leva les bras au dessus de sa tête et le laissa enlever complètement ce très court T.Shirt.
Sa bouche jouait avec la sienne tandis que ses mains le dénudaient doucement pour enfin sentir le contact doux et chaleureux de son torse. Ses doigts agiles le carrèssèrent doucement tandis qu'elle appuyait son genoux contre son entre jambe.
Elle n'était vêtue que d'un petit soutien-gorge en dentelles qui laissaient voir une partie de ses seins par transparence. Elle frotta sa poitrine sur son torse sans cesser de l'embrasser. Ses sensations, elle ne s'en passaient pas. C'était toujours le même plaisir à chaque fois, la même excitation. Et surtout avec des hommes solidement burné ...
Elle soupira de plaisir et ses mains glissèrent lascivement sur son torse pour agripper assez fermement, son membre qu'elle commença à masser, par dessus son pantalon.

Finalement, t’as pas l’air si inexpérimentée que ça, je crois que je vais prendre mon pied avec toi!

Alors qu’elle continuait à prodiguer un massage contre mon jeans, je me dégrafai son soutien-gorge, avant de glisser ma main droite vers l’avant, pour caresser un de ses seins. L’autre main se fit plus brutal, attrapant les cheveux de l’étudiante et la ramener vers le haut pour que je puisse enfourner sa langue dans sa bouche.

D’un nouveau geste, je détachai mes pantalons, les laissant glisser jusqu’à mes chevilles, tout en laissant ma langue dans sa bouche, avant de mettre ses deux mains sur ma hampe gonflée (sans l’être au maximum). Bien qu’elle soit assise, alors qu’elle caressait mon membre, je décidai de détacher le bouton des pantalons de son uniforme du lycée, signe que je voulais en voir plus d’elle.

Yoruichi gémit quand sa main s'avança vers sa poitrine pour y capturer un sein. Par contre, elle poussa un petit cri de douleur quand il tira ses cheveux pour l'embrasser une nouvelle fois .
Il déboutonna son jean, cherchant à la dénuder tandis que son propre pantalon glissa jusqu'à ses genoux. Elle releva doucement les fesses en s'appuyant sur les mains pour se laisser déshabiller. Elle ne portait plus qu'un string noir laissant paraître ses longues jambes sveltes. Ses mains caressèrent un moment son boxer pour finalement se glisser sous celui ci et ainsi pouvoir masser sa virilité dans toute sa longueur.
Elle finit par baisser son boxer et dévoiler l'objet de son désir. Elle lui sourit, ferma les yeux et se pencha pour y poser ses lèvres. Elle se détacha un moment de lui pour lui offrir un grand sourire avant de prendre lentement sa virilité en bouche. Elle commença les vas et viens sur son membre en poussant de petit gémissements etouffés, une légère tâche humide apparaissait alors sur son string tandis qu'elle suçait le sexe d'Hiro.
Ses mains caressèrent un moment ses hanches étroites avant de passer entre ses jambes pour masser doucement ses testicules de ses doigts agiles.

Ça y est, mon membre avait finalement pénétré sa bouche, alors que ses deux mains s’occupaient à me masser gentiment les burnes. Fermant les yeux, je poussai un léger soupir de satisfaction, alors que ma main alla se poser elle-même sur la tête de la jeune femme.

Je retire ce que j’ai dit, t’es vraiment très douée pour t’occuper d’une queue!

Je la laissai continuer quelques secondes, appréciant le ‘’massage’’ qu’elle me procurait. Puis, je m’éloignai légèrement de celle-ci, avant de l’attraper, la soulever et la forcer à se mettre à quatre pattes sur le bureau, me faisant face, mon barreau tout juste sous son menton. Je me débarrassai alors des vêtements encore ancrés à mes chevilles, et je posai mon pied à côté de sa main, histoire de hisser ma hampe un peu plus à son niveau.

Alors qu’elle avale encore mon sexe dans sa bouche, je ne peux m’empêcher d’étirer mes bras et de me mettre à caresser ses fesses, l’une d’entre elle glissant sous le bout infime de tissu, commençant à glisser contre l’intimité humide de la jeune femme.

On dirait que je ne suis pas le seul à apprécier!

Sa main se posa sur les cheveux violets de Yoruichi. Elle eut un sourire mental, bon, au moins ça lui plaisait …
Elle ne put s’empêcher de sourire vraiment lorsqu’il la complimenta. Bien, alors ça c’était fait.
Il s’écarta d’elle un petit moment et elle fit la moue, déçue. Mais, il la plaça à quatre pattes devant lui, elle se laissa faire, impatiente de voir ce qu’il lui réservait.
Il plaça son membre devant son visage et elle n’attendit pas plus longtemps pour le reprendre en bouche et recommencer à la sucer doucement, puis de plus en plus vite.
Ses mains commençaient à caresser ses fesses et le petit bout de tissus lui servant de string. Puis, une d’entre elles caressa plus précisément sa fente humide
Non, il n’était pas le seul à apprécier. Même si elle avait l’habitude car elle s’était faite sauter par à peu près les trois quarts du lycée, elle prenait toujours autant de plaisir.
Une de ses propres mains recommença à masser ses testicules avant qu’elle y passe sa langue. Elle échangea les places, ses mains masturbèrent son sexe et elle pinça légèrement ses lèvres sur la peau de ses bourses pour la tirer un peu avant de les masser de sa bouche en poussant de doux gémissement.