Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Holocauste.

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Holocauste.

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Lone Wanderer

Holocauste.

mercredi 03 octobre 2012, 10:55:40

[Demande par MP avant de poster ici]

[Votre perso sera quelqu'un ayant naturellement une vie de merde. Votre père vous a abandonné, votre mère est bête comme ses pieds, quand une tuile tombe, c'est pour votre tronche, une erreur administrative vous a fait perdre une année scolaire, votre petit copain vous a quitté pour votre (ex) meilleure amie, vous marchez immanquablement dans les flaques profondes mais qui n'en ont pas l'air, et quand vous allez aux toilettes, il n'y a plus de papier (pas même le rouleau en carton pour remplacer). Bref, VDM intégrale. Vous voyez le genre ?]


Au 66, rue Abraham, la vie a toujours été simple. Pas forcément facile, mais simple.
En ce soir du 16 septembre, votre mère regardait tranquillement une chaîne évangélique, quand une lumière soudaine apparu au plafond. Une voix sourde lui parla alors.
Vous, vous étiez tranquillement dans votre chambre. Sur votre PC, avec votre connexion qui sautait encore. Vous pestiez contre, tout en mangeant un kinder. On frappe à  la porte. Vous rangez la friandise à  votre taille, au niveau de la ceinture, entre votre bassin et votre vêtement, puis alliez ouvrir.

"Dieu m'a parlé."

Votre mère, devant la porte, tenait haut un couteau de boucher. Vous, vous reculiez nerveusement, tandis qu'elle marchait vers vous.

"Laisse-toi faire, maintenant. Je dois t'offrir en sacrifice pour prouver mon amour à  Lui. Il est bon et grand, il t'accueillera en Son royaume !"
"Non mais maman..."


Shlak, le couteau s'abat. Vous l'esquivez de peu, mais il entame le haut de votre vêtement. Votre mère a visiblement pété un cêble - ou Dieu ne vous aime pas. Après tout, ce ne serait pas le premier.

Vous fuyez donc, en passant par la fenêtre ouverte, atterrissant pieds nus sur l'herbe, puis courrez vers la cabane au fond du jarding, où vous vous refugiez en bloquant la porte avec le loquet rouillé. Mais votre mère, pourtant pas sportive, est déjà  au seuil, et tape à  l'entrée en essayant de forcer la poignée.

"Ouvre-moi ! Il faut que je te sacrifie !"
"Maman, arrête ! Tu me fais flipper ! Arrête !"


Mais elle ne semble pas vouloir vous écouter. Elle finit par briser une petite fenêtre et y passer sa tête, ses yeux de folle vous fixent, et elle hurle.
Quelques gouttes d'urine finissent au fond de la culotte. C'est qu'elle est vraiment effrayante, comme ça.

En reculant, vous butez contre un lourd anneau en fer fixé au sol. Vous n'y avez jamais fait attention, mais maintenant que vous y regardez de plus près, il vous semble qu'il est attaché à  une sorte de trappe.
Pas le temps d'hésiter. Elle commence à  escalader la fenêtre, en se coupant de partout avec le verre brisé. "GRAAAAAH", dit-elle de sa plus belle voix.
Vous tirez sur l'anneau, levez la trappe. L'ouverture est étroite, elle ne passera pas. Tant mieux. Vous vous y faufilez, et entamez une longue chute dans un conduit oblique, jusqu'à  une chute qui vous fera rouler sur le sol et perdre connaissance.

A votre réveil, vous constatez être dans une salle aux murs de terre, étroite et sombre. Une ampoule est accrochée à  un mur et suspendue par ses fils conducteurs, et dispense assez peu d'éclairage. Le plancher où vous êtes allongée est crasseux et grince affreusement. Un rai de lumière vient de l'ouverture sans porte à  deux mètres de vous. Dans la salle adjacente, vous voyez la danse des ombres, des formes semblant s'agiter près des lampes. Ils ne sont pas dans votre champ de vision.

Attendrez-vous que ces formes disparaissent ? Irez-vous à  leur rencontre en espérant qu'ils sont sympathiques, ou tenterez-vous simplement de les observer au risque de les alerter ? Ou allez-vous vous terrer dans un coin sombre de votre pièce, en chialant ? Êtes-vous candidate au suicide immédiat ?
Et avez-vous remarqué que votre Kinder a été complètement écrasé, et a fondu sur votre hanche ?
« Modifié: mercredi 03 octobre 2012, 19:43:14 par Lone Wanderer »

Charis

Créature

Re : Holocauste.

Réponse 1 jeudi 04 octobre 2012, 21:32:20



Il y a des moments où l'on se demande si le monde entier n'a qu'un seul but ... se liguer contre vous pour vous tuer ou du moins vous réduire à un état proche de la mort. C'est ce que pensait Ange à ce moment là.

La jeune femme se demandait encore pourquoi le destin s'acharnait contre elle. Dès sa naissance elle hérita du prénom d'Ange, un prénom mignon pourtant.

Six mois plus tard son père fit ses bagages et l'on ne le vit plus jamais, la mère de la jeune fille se mit à collectionner les dettes. La jeunesse d'Ange fut traduite par trois notion : travail, patience et oublie. En effet la jeune fille se mit à travailler plus que quiconque, accumulant une malchance légendaire lui collant sur le dos le surnom de "Miss Poisse". Chaque fois qu'elle avait bien révisé le sujet avait été changé à la dernière minute, arborant toute sa vie un bulletin proche de zéro et qui contenait des appréciations démotivantes.

Ange grandis dans un environnement où la patience fut mise à rude épreuve, là où un enfant avait un cadeau à Noël, elle avait dû en attendre deux voir trois pour recevoir un cadeau. En cumulant le malheur comme on accumule la poussière chez soi, Ange apprit très vite à oublier, oublier les cours qui ne servaient à rien dans sa vie, si ce n'est se rappeler des heures de colle à cause de sa malchance, oublier des amis qui ont vite fait de vous trahir, oublier tout simplement une vie merdique pour s'en imaginer une plus radieuse, se mentant à elle-même pour ne pas être dépressive et éviter les pièges faciles comme la drogue par exemple.

Au lycée elle avait la réputation d'apporter le malheur, mais ce qui faisait le plus mal était sans doute que l'on peigne une image d'elle comme une rebelle. Comme beaucoup de gens elle avait une grande gueule, son côté un peu agressif n'étant que le résultat d'une vie de merde où elle essayait, en vain, de s'en sortir. Les rares personnes à l'avoir approché savent qu'Ange est une personne sensible qui serait prête à beaucoup de chose pour garder l'amour des autres dans son coeur, sauf offrir son corps, c'est une chose qu'elle ne peut faire.

Parlons justement de sa vie sexuelle, c'est le nomansland, sa poisse finissant toujours par frapper un peu avait un éventuel plan chez un petit copain ou petite copine. Ange s'étant jetée dans la bisexualité par dépit, pour trouver une personne qui, elle espère, saura échapper à sa poisse.

Ce soir du 16 septembre elle tentait péniblement de contacter une agence d'intérim pour trouver un nouveau travail à temps partiel, les deux derniers ayant finit en fiasco. Le premier patron avait fini castré en "massant" un peu trop ses fesses et le second avait finit avec des algues cuites sur son crâne chauve. Quand la scène se passa, nous faisant retourner à présent dans l'instant immédiat et non le passé.


Ange tremblait de peur, jamais elle n'aurait cru une seule seconde que sa mère aurait voulut atteindre à sa vie, bon elle l'avait quand même envisagé, mais plus sous le ton de la rigolade. Elle se mit à regarder son téléphone et vit qu'elle avait du réseau. Elle fit le numéros de la police et attendit, puis quand elle entendit un policier répondre, elle se mit à raccrocher.

Pourquoi ? Imaginez donc un instant dire au policier que vous êtes dans un endroit inconnue sous une cabane à jardin où votre mère veut vous tuer ... pas très crédible comme demande, non ? La jeune femme se mit à plaquer son dos contre le mur, respirant doucement pour calmer son esprit, faisant une récapitulation dans sa tête, s'enfermant presque dans un monde où le bruit peinait à venir.

Ange put calmement réfléchir et se mit à régler son téléphone pour faire des flash lumineux et en rafale, à défaut de la bombe au poivre qu'elle avait laissé dans sa chambre il s'agissait de la seule "arme" qu'elle possédait.

Elle voyait bien que remonter par là où elle était sortie n'allait pas être facile, surtout si sa mère était toujours là pour la planter. Aussi n'y avait-il qu'une seule issue, l'endroit aux ombres dansante, même si la peur de tomber sur des fanatiques, conférait une légère douleur abdominale.

D'un pas lent et avec prudence, elle tenta de se coller contre un mur et de jeter un petit coup d'oeil dans la salle des ombres, au vue de la couleur de la lumière cela devait être des flammes, ce qui donnait une atmosphère encore plus glauque qu'une maison hantée.

Lone Wanderer

Re : Holocauste.

Réponse 2 vendredi 05 octobre 2012, 19:22:46

La salle était... vide. Absolument vide. Enfin, vide de personne ! Car il y avait bien une source de lumière : Une bougie, posée sur une petite table calée contre un mur, à côté de l'autre des deux sorties de la salle, et dont la flamme dansait au rythme d'un léger courant d'air qui traversait la pièce. A côté, plusieurs petits tas de nombreux cailloux, empilés comme des tumulus miniatures. Des victuailles diverses (carottes pourries, pain rassis, bouteille d'huile poussiéreuse et carafe d'eau+ marronnasse) parsemaient le plan. Ce sont eux qui font obstacle au feu, et créent les ombres qui s'égaient autour.

Soulagement, donc. De courte durée, cela dit.

Une chose longue et poisseuse court soudain sur le bassin de la jeune fille. C'est une langue, oui. Une langue qui lèche le chocolat fondu sur la peau découverte de la pauvre paumée.

Son propriétaire est rattaché à l'organe. Il est tout gris, tout ridé, presque nain (il se penche à peine pour atteindre le bassin). Après son méfait de léchouille, et la réaction de la jeune fille, il lève ses yeux vitreux vers elle, l'une de ses paupières voilant misérablement la moitié de son regard.
Son arrivée fut tout à fait furtive. D'où venait-il ? Probablement était-il dans la même pièce qu'elle quand elle s'est réveillée. Ou d'ailleurs... En tout cas, il semble avoir toujours vécu ici.

« Chocolat. »

Sa voix est stridente et irrégulière. L'homme paraît tout à fait pathétique. Il tentera de la dévorer de nouveau. Mais plus que sa langue, ce sont ses dents qu'il cette fois-ci, comme s'apprêtant à la mordre.

« Chocolat ! »

Et la pénombre renforce son aspect affreusement malsain.

Charis

Créature

Re : Holocauste.

Réponse 3 vendredi 05 octobre 2012, 21:35:11

Ange se mit à pousser un cris de surprise en sentant la langue se mettre à lécher le chocolat, passant sous la jupe au motif de camouflage militaire, ce qui allait bien avec son allure de rebelle. Elle eut un visage exprimant le dégoût en voyant que cette langue appartenait à un espèce de nain digne de l'époque des hommes de totavel. La réaction en se fit pas attendre et Ange se mit à poser ses mains pour éviter que le nain ne puisse regarder sous la jupe, le visage rouge à l'idée qu'il est put voir sa culotte blanche. Par ce geste elle put voir que la jupe était déchirée sur sa hanche gauche, sans doute dû à la descente dans le tuyau où elle avait crut entendre un « crac », à présent elle savait d'où venait le bruit. Le regard du nain fut sans doute ce qui remit Ange dans un état plus calme, elle croyait que ce petit homme voulait un peu de compagnie, non pas pour faire l'amour, mais pour ne pas se sentir seul. La jeune femme se mit à culpabiliser de l'avoir jugé sur son apparence et sa réaction. C'est alors qu'elle entendis le mot « chocolat », elle se dit que se pauvre homme ne devait pas en avoir mangé beaucoup dans sa vie et au vue de la victuailles qui pourrissait, personne ne semblait vouloir le nourrir sainement.

Elle fit cependant un pas  en arrière quand le nain vint essayer de continuer sa dégustation, c'est alors qu'Ange vit la dentition du pauvre homme. Immédiatement la jeune femme se mit à penser aux légendes sur les monstres prenant une apparence humaine. Face à une menace si proche, elle se mit à faire un bond en arrière en décochant un magistrale coup de pied sous le menton de la créature, cette dernière se mordant sans doute la dent car Ange entendit un cris strident et le voyait se replier sur lui-même.

Sans attendre le rétablissement de la créature, Ange se mit à chercher du regard une possible sortie. Elle sortie même son portable pour flasher le visage de la créature si elle se remettait trop rapidement de son coup de pied.

Lone Wanderer

Re : Holocauste.

Réponse 4 lundi 08 octobre 2012, 11:03:34

La bestiole avait d'abord l'air déçu lorsqu'elle se reculait, mais le high-kick avait raison de sa face. Il décolle du sol, perd toute notion d'équilibre, s'écroule lamentablement à terre. Déjà sonné, les flashs n'arrangent pas son cas, et il se met alors à se tortiller au sol en s'éloignant de cette vile blonde qui vient de l'humilier proprement.

La salle n'avait qu'une autre sortie. Elle menait à une salle parsemée de crevasses sans fond, réduisant la traversée à une marche de funambule et d'acrobate. De nombreuses chandelles fixées au mur éclairaient la pièce, en particulier le plafond, qui luisait d'un sombre éclat écarlate. Du sang, oui oui. Le plafond en toile de jute, qui devait être autrefois brun, était entièrement teint en rouge, et il perlait, comme des stalactites prêtes à tomber, des gouttes qui finissaient immanquablement par faire un saut de l'ange, tombant soit dans les cratères au sol, soit sur le sol lui-même, rendu de ce fait ultra-glissant.

D'une fissure dans le mur adjacent à l'entrée, un autre nain, avec la tronche encore plus déformée que le précédent, apparaissait.

« Fille ! Chocolat ! »

Il tente de sortir de son trou, s'extirpe un peu trop vite, et roule jusqu'à un trou, où il finit par tomber après avoir tenté de se rattraper sur le sang semi-coagulé. On entend alors un long cri, puis, en écho venant du fond, une série de craquement, signe distinctif d'un squelette en morceau.

Un homme apparaît alors à l'autre bout de la pièce, torche en main. Une vingtaine de mètres le sépare d'Ange.

« Venez ! Traversez ! Vite ! D'autres finiront par venir ! »

Pas forcément beau gosse, le type est en tout cas plus ragoûtant que les nains. Il fait presque 2 mètres, a une barbe très fournie et lisse, de très longs cheveux bruns en bataille, et ne porte qu'un pagne.

« Sautez prudemment ! »

Il parle bien : C'est déjà ça.

Charis

Créature

Re : Holocauste.

Réponse 5 lundi 08 octobre 2012, 20:57:17

Ange se mit à avoir la sensation qu'une serpent enlaçait sa gorge et resserait son étreinte, la sortie était bien morbide, mais heureusement il y avait une sortie que ses petite créatures ne pouraient prendre,e n tout cas l'humeine esperait qu'ils soient suffisament débile pour tomber. Elle eut la preuve en image que ses petite créatures étaient idiote en effet, tout comme elle sentit son estomac légèrement tourner en entendant le bruit de sa mort. Un mort horrible qui confirma qu'en bas il n'y avait pas d'eau.

En voyant l'homme avec la torche et la tenue typique des autochtone, Ange se mit d'abord à hésiter. Puis elle se mit à regarder le chemin pour y arriver, elle allait devoir sauter sur une bonne distance, elle était assez bonne en acrobatie, mais elle eut une autre idée. L'humaine se mit à faire marche arrière, prennant bien soit d'attacher son télephone à son poignet et se mit à courir vers la crevasse. Au moment où ses pieds touchèrent la zone glissante, elle se mit à plier légèrement ses genoux et faire des pas en parabole, imitant les pas du patinage. Cela fut suffisant pour que la demoiselle gagne un peu de vitesse et puisse faire une petite impulsion et sauter au-dessus du ravin. L'atrerrisage fut plus difficle dans le sens où elle était un peu trop courte et s'acrocha à la parois, serrant des dent car sa poitrine avait quand même prit le choc.

Elle se mit à saisir des prises qui adhère et remonta jusqu'à atteindre enfin le niveau du sol, l'autochtone ayant aidé la demoiselle à la fin. Elle put voir que sa chemise blanche avait prit une teinte rouge, montrant un visage de dégoût à l'idée de devoir porter du sang jusqu'à nouvel ordre. Sans une réelle gêne, elle déchira ses manches et le tissu recouvrant son ventre, jettant le tissus imbibé de sang dans la crevasse. Elle se rendit alors compte que son portable était tombé dans la crevasse lors de sa petite acrobatie.

Ayant un visage souriant, elle se mit à regarder l'homme et tendis sa main droite.

- Moi c'est Ange et vous ?

Lone Wanderer

Re : Holocauste.

Réponse 6 mardi 09 octobre 2012, 23:41:47

Le sauvage ne tardait pas à s’agenouiller, attrapant l'avant-bras de la demoiselle pour l'aider à se hisser jusqu'à lui. Il regardait ensuite un des lutins bizarres tenter le même saut que la demoiselle, mais, beaucoup trop court, il lui manquait un bon mètre, et il va s'écrouler dans les profondeurs comme le précédent. Puis, d'un œil intrigué, il observe avec un grand intérêt la façon qu'elle a de supprimer des longueurs de tissu sur son corps.

Elle tend ensuite la main. Il lui semble important de la saisir et de la serrer, doucement.

« Je suis Amos. Nous sommes très heureux de te savoir là. Nous t'attendions. »

Il y a, dans sa profonde voix grave, quelque chose de prophétique, de mystique. Amos pourrait être considéré beau, si il avait la peau moins poussiéreuse et si il prenait plus soin de son capital beauté, notamment au niveau capillaire. Cela dit, le style homme des cavernes, ça jette un peu.
Il s'engage dans un long couloir étroit, torche le précédant.

« Tu es dans le Sheol. Le séjour des morts. Ici, le temps ne s'écoule pas. Rassure-toi : Tu es parfaitement en vie. Il est théoriquement possible de revenir Là-Haut. Mais personne n'ose tenter de remonter. Notre vie est simple, quoiqu'ennuyeuse. Cela fait 7 ans que nous attendons ta venue, Ange. »

Son nom prend d'ailleurs une signification toute particulière, du coup. Comme si elle était la messagère qu'ils espéraient, une sauveuse ou quelque chose du genre. Il continue de progresser dans son couloir. Au bout, une lumière, qui apparaît comme une délivrance. On y entend quelques bribes de voix.
Amos reprenait dans son discours occulte.

« Il y a 10 ans est arrivée une fille comme toi. Elle était aussi blonde que tu l'es. Peut-être moins belle. Elle est arrivée et nous a complètement purgé de nos vices. 3 ans plus tard, elle est décédée. Sa mort était affreuse... Le Poulpe l'a attrapé alors qu'elle s'était éloigné de notre repaire. Il l'a emmené et démembré. Nous avons pleuré des semaines durant. Sans elle, la vie est fade, terne et froide... Elle était notre lien avec Dieu Mais maintenant, tu es là. Et ton nom prouve que c'est le Très-Haut qui t'envoie ici. Tu as probablement vécu dans la souffrance toute ta vie. Désormais, tu es libérée de tout ce qui te pesait. »

Il entre enfin dans une grande salle cubique, qui fut taillée à même la roche. Il y avait plusieurs hommes. Certains étaient assis par terre, d'autres sur une roche autour d'une table rafistolée à la barbare. Ils jouaient avec un vieux jeux de carte. Un autre mangeait, avec ses doigts, à l'intérieur d'une boite de conserve de maïs. Mais surtout, surtout... Contre un mur en face, il y avait un trône dressé grâce à des morceaux de squelettes, tout en majesté morbide. Dessus, un type à l'air royal, blindé de colliers en os, avec une épaulière de cuir surmontée du crâne d'un reptile géant. A part cet attirail, il était totalement nu. Le boss local ? Sans aucun doute. Situation notable : Une fille en pagne, très poilue, accroupie, état visiblement en train de lui faire une fellation.
Le mec sur son trône se redresse soudainement, faisant tomber en arrière la personne devant lui, qui se retourne. La tailleuse se révèle être UN tailleur, rasé à la va-vite, qui portait une perruque brune. Il la retire aussitôt, puis se malaxe la mâchoire.
Son énorme sceptre est dressé, et il sourit une fois la surprise passée.

« -Je l'ai trouvée de l'autre côté d'un gouffre, Cain. Elle s'appelle Ange.
-Ange ! Magnifique ! »


Tous les hommes se lèvent, font bloc autour d'elle. Le Roi s'affale dans son siège, et vire d'un coup de pied celui qui restait accroupi à ses pieds.

« Je suis hyper content de te voir, Ange ! On va fêter ça. Viens me sucer ! »

Et Amos de saisir la jeune fille par le bras et la forcer à avancer jusqu'à lui, la jetant à ses pieds

Charis

Créature

Re : Holocauste.

Réponse 7 jeudi 11 octobre 2012, 15:04:10

Ange fut contente de voir que la personne parlais sa langue et semblait la comprendre. L'humaine pensait que dans le rôle d'un autochtone, Amos aurait sa place, pas le genre à vous faire du mal et essayer de comprendre quelque chose qui le dépassait. De plus sa voix avait un léger charme, comme si avec lui chaque parole était une vérité.  L'annonce de ce monde éternel ne vint pas à l'intriguer, elle aimait à vrai dire l'idée d'être une espèce de déesse et que pour une fois cela allait être elle qui commanderais et non son entourage.

La simplicité de la pièce faisait un ravissant contraste avec le seigneur des lieux. Cependant voir une femme pratiquer quelque chose de suspect fit travailler l’imagination d'Ange, qui se mit à rougir en pensant que cela devait être quelque chose de … spéciale.  La surprise fut de voir qu'il s'agissait en vérité d'un homme,  Elle fut d'un coups moins à l'aise avec autant d'homme autour d'elle.

C'est alors que le seigneur demanda à Ange de le sucer, son visage devint aussi rouge qu'une tomate et sa surpris e fut de voir Amos la forcer à avancer, demandant à ce dernier de la lâcher qu'elle avait mal.

Elle vint à être au pied, ayant des larmes et se massant le poignet. Elle fut face au membre du seigneur et se sentit mal, ayant presque des vertige.

- Je ne sais pas faire ce que vous me demandez, faite le par une autre femme.

Sa phrase était idiote, car il n'y avait visiblement aucune femme dans la salle à part Ange elle-même.


Lone Wanderer

Re : Holocauste.

Réponse 8 lundi 15 octobre 2012, 23:26:54

« Au moins tu fais pas ta vierge effarouchée... C'est pas grave si tu sais pas, t'apprendras ! T'auras tout le temps pour ça ! »

Sa puissante main attrape les cheveux d'Ange et ramène son crâne vers elle, entre ses deux cuisses. De l'autre, il fourre pouce, index et majeur dans sa bouche, phalanges bloquant les dents. Il est fort, l'animal, et le démontre à l'instant. Lâchant la blondeur de la jeune fille, il rentre son autre main entre ses dents, pour lui ouvrir la mâchoire en grand. Pas plus d'hésitation : Un coup de bassin en avant, et le voilà bien au chaud, gland calé entre palais et langue.

« T'es notre pute à tous maintenant ! On va bien te traiter, crois-moi ! »

Cain, machiste ? Pas du tout voyons ! Il était le stéréotype même de la brute au pays des brutes. Une montagne de muscles, avec un début de bide pas spécialement disgracieux, une gueule carrée, et ses crânes et ses os, qui forment une parure de cérémonie pleine de majesté pour celui qui semble régner sur le séjour des morts. Il avait la peau couverte d'une sorte de voile de poussière, qui brunissait son aspect, le ternissait même, assombrissait sa personne, ne le rendant que plus convaincant dans son rôle de souverain des ténèbres.
Et son regard. Malgré son sourire, ses yeux n'expriment aucun bonheur. On ressent chez lui une certaine forme de sadisme, celle du juge cruel, celui qui condamne avec bonheur. Il n'a qu'une justice, la sienne, et la rend pour son propre bonheur, au détriment de celui des autres. Surtout si cet « autre » n'a pas de chromosome Y.

Sa main se referme de nouveau sur sa chevelure, dans sa nuque. Il la bloque. Impérieux, il ne ressent même pas le besoin de bouger, comme si ce n'était pas tant l'acte qui était important que le symbole : Il marque son territoire, il montre à tout son clan qu'il se tape une fille, qu'il la soumet proprement, comme un trophée de guerre. Après 7 ans sans acte hétérosexuel aucun, le tableau ne peut être que grandiose.

« Cette queue dans ta bouche, c'est notre pacte. Nous faisons tous le serment de te vénérer et de tout faire pour satisfaire tes besoins. Toi, tu devras nous servir de sac à foutre divine, à moi le premier. Tu peux toujours refuser ! »

De sa main libre, il extrait un os particulier de l'enchevêtrement squelettique à son épaule. Celui-ci semble être un tibia, de par la forme d'une extrémité. L'ivoire a été taillé finement, et a maintenant l'air d'une lame très pointue, d'une dizaine de centimètres. Il pose le pic sur la nuque de la demoiselle. Elle a maintenant le choix : Soit elle recule sa tête pour se dégager, auquel cas elle s'expose à la punition fatale de l'os... Soit elle ne bouge pas.
Il lâche alors ses cheveux. Elle est maintenant complètement libre. Il attend quelques secondes sans bouger, juste à la fixer. Il ne se passe rien... Son sourire s'agrandit alors.

« Mes amis, Ange est des nôtres. »

Il dit ça avec une simplicité toute princière, rangeant aussitôt son arme morbide. Ses paumes saisissent alors le crâne de sa captive-déesse pour se masturber vulgairement avec, baisant ses lèvres en n'hésitant pas à être violent, forçant sa gorge, se stoppant parfois pour profiter de l'étroitesse de sa gorge, imprimant de légers coups de bassin tout en fixant son visage meurtri, sous les regards pervers de toute sa tribu.
Il finit par exploser dans sa bouche, dans un grand râle soudain, comprimant sa tête, la remuant férocement. Une quantité insoupçonnée de semence qui tapisse l'intérieur de ses joues, parfois coulant directement de sa gorge. Il la repousse aussitôt violemment en arrière, pour qu'elle aille s'écrouler à terre.

« Soulage mes copains maintenant ! Et mets-y de la bonne volonté, ou on t'utilisera pour d'autres choses. On a faim, tu sais... »

Charis

Créature

Re : Holocauste.

Réponse 9 jeudi 01 novembre 2012, 14:33:40

Ange ne put pas lutter contre la force de brutasse du chef. L'humaine se mit à frémir de peur, qu'elle conne elle avait été de ce fier à un mec plutôt beau gosse. Entendre le chef la désigner sous le terme "notre pute" ne fit que confirmer sa peur.

La jeune femme se mit à hésiter, devait-elle tenter de mordre son membre au risque d'avoir un arrière goût de sang ou devait-elle au final se laisser faire. Elle se sentait prise au piège, fuir n'aurait servit à rien, ils étaient trop nombreux et elle si frêle. Toute lutte étaient vaine et cela écœurait Ange de l'admettre.

Le chef parla de serment, comme quoi en échange de se faire passer dessus par tout le monde, elle aurait le droit à une vie confortable. Ange ne pouvait pas réellement se réjouir de cette annonce, même si elle savait que sa vie ici ne serait pas d'être attachée à des chaines. En échange de sombrer dans la luxure elle serait une sorte de reine, cela valait sans doute mieux que de mourir.

Au moment du choix elle ne bougea pas d'un poil, l'outil de mort frottant sa nuque comme pour l'inciter à obéir. Ce choix n'en était pas une, une simple mise en scène d'humiliation, rien de plus.

Ange fut surprise de la bestialité que le chef imposa à sa gorge, manquant plus d'une fois de s'étouffer, ayant presque des nausées et en ne parlant pas de la sensation de noyade une fois qu'il libéra sa semence.

Ange se mit à pousser un cris de surprise en se faisant rejeter en arrière, tombant sur le sol  qui raclait son dos, se mettant à tousser pour recracher autant de sperme qu'elle pouvait. Le goût était immonde pour elle, cela agressait tellement, cela semblait si amer, comment pouvait-on apprécier cela.

Le chef donna ses ordres et Ange se mit à trembler de peur, elle avait peur du chef qui n'hésiterait pas une seule seconde à donner l'ordre de la dévirer vivante, elle avait peur de  toute ses bêtes sauvage autour d'elle. Mais au final Ange se savait seule et sans la moindre chance de survie dans cet endroit inconnue où un poulpe semblait attaquer les fuyards.

N'ayant pas le choix, elle se releva, regardant le sol, évitant autant que possible de pleurer, cela n'aurait servit à rien à part énerver le chef. Ange avait conscience qu'aujourd'hui elle perdrait toute virginité de son corps, alors mieux valait essayer de la perdre avec autant de dignité que possible.

Une fois debout, elle se mit à détacher sa cravate, déboutonnant la chemise. L'humaine de mettait en tenue d'Eve, elle ne voulait pas que ses hommes arrachent ses vêtements. Aussi fit-elle un tas, qu'elle déposa près d'un coin. C'était tout ce qui restait de son existence à la surface et elle désirait conserver cela.

Une fois totalement nu, elle se mit à choisir le premier homme. Ange fit son choix en prenant l'homme le moins poilu, elle refusa cependant que celui-ci la touche ou saisisse sa chevelure. Elle voulait tenter une fellation sans que l'on ne lui impose un rythme particulier.
Seulement l'humaine eut très vite un blocage, quoi de plus normal quand précédemment une brute vous a défoncer la gorge.

Ange fit de son mieux pour éviter la colère du chef. Elle grelottait de peur en entendant le pas des autres hommes s'approcher.


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