Pour un puceau, il se débrouillait merveilleusement bien. Si on décernait une médaille pour ce genre de prestations, il l’aurait eu depuis longtemps. Ivy était comblée, et s’extasiait encore plus à l’idée de voir la performance que l’homme offrirait avec ses plantes. Ivy ne faisait quasiment rien dans sa vie sans avoir en tête ses précieuses plantes, qu’elle chérissait et nourrissait de tout son corps et de toute son âme. Elle se dévouait entièrement à elles, et le plaisir sexuel qu’elle ressentait se répertoriait sur ses plantes, qui s’agitaient, de plus en plus affamées. Le lien fusionnel existant entre elle et ses plantes s’illustrait à nouveau, donnant à Poison Ivy l’envie furieuse de se ruer dans le laboratoire pour satisfaire ses bébés... Mais pas avant d’avoir satisfait son propre corps. Elle haletait et hurlait, semblable à une espèce de chienne, de prostituée qui n’attendait qu’à se faire sauvagement baiser par son client.
Il était de plus en plus hargneux, de plus en plus excité, de plus en plus impatient, et s’enfonçait de plus en plus profondément dans les tréfonds du corps de la femme-plante. Elle tremblait et hurlait de plus en plus frénétiquement, les sons qu’elle émettait devenant de plus en plus aiguës. Squall la baisait comme jamais elle n’avait pu imaginer être baisée jadis. Là, à quatre pattes devant un mâle, alors qu’elle se voyait plutôt en dominante, à s’empaler fièrement sur lui, telle une espèce d’Amazone sauvage et végétale. Était-ce là la preuve que l’ambiance érotique de Seikusu influait sur elle ? Elle le craignait, sans savoir si c’était une bonne chose ou une mauvaise... Mais elle devait bien ça à ce petit puceau, qui lui avait si gentiment offert son corps... Lui qui voulait améliorer son expérience sexuelle allait être prochainement très satisfait. Oh oui, il serait satisfait de ce point de vue, et un sourire carnassier perla sur ses lèvres à cette idée.
« Pam...Je sent que...Hmm je ne vais pas tarder à venir... » glissa l’homme.
Elle aussi mouillait de plus en plus, et se contenta de gémir en soupirant.
« A-A-A-alors... Viiiiiieeennnss !! »
Ivy se lâcha bientôt, atteignant son orgasme. Sa mouille partit rapidement, se déchargeant de son corps, et elle se sentit, comme à chaque fois, partir. Une sensation enivrante qui la faisait décoller, un sentiment merveilleux que rien n’arrivait à imiter à la perfection. Comment douter des bienfaits de la Nature quand on atteignait le plaisir sexuel intense ? Quand tout le corps semblait s’animer sur une seule onde, et se lâcher ? C’était la petite mort, mais aussi un ode à la vie, un ode à la Nature, un ode à l’Homme dans sa conception animale, une affirmation éternelle et sempiternelle de la domination de l’animal sur l’humain. Pamela jouit avec plaisir, sans la moindre forme de retenue. Quelle honte y avait-il à voir ? Elle se faisait plaisir, un plaisir offert et prodigué par la nature. La honte, justement, consistait pour elle à refuser ce plaisir simple, simple et ô combien merveilleux. Alors, elle jouit, et sa mouille magnifique, délicatement parfumée, glissa de ses merveilleuses jambes fuselées, formant de minuscules rivières blanchâtres qui mouillèrent légèrement le bureau.
Elle sentit également le sperme de l’homme en elle, et hoqueta, se sentant remplie. Une autre sensation merveilleuse, qui n’aboutirait qu’à cela. Pamela était capable d’enfanter, mais, vu sa nature spéciale, il fallait réunir certaines conditions spécifiques que son organisme n’élimine pas toutes les traces de spermatozoïdes dans son corps... Et elle n’avait pas rempli ces conditions. Elle laissa le membre en elle pendant encore quelques secondes, avant de lentement s’affaler sur le bureau, et de se retourner, glissant tendrement et sensuellement ses jambes de part et d’autre du corps de l’homme, lui offrant un léger sourire séducteur et enivrant. Tendant l’un de ses doigts, elle envoya un tentacule, qui caressa délicatement la joue de l’homme.
« C’était fascinant, mon petit Squall. J’ai beaucoup apprécié ton corps.. Toi aussi ? »
Une question très rhétorique, mais ce serait l’occasion de lui permettre de se remettre. L’autre main de Pamela caressait rêveusement son estomac, comme si elle s’imaginait sentir ce sperme grouiller en elle. L’atmosphère était chargée d’un parfum doux et sensuel, enivrant et léger, guère agressif, mais ô combien délicieux. Il fallait l’humer pour l’apprécier, et, dans un tel cocon, les désirs sensuels ne tardaient pas à émerger à nouveau. Il en serait de même pour ce brave Squall.