Faire les courses... d'héabitude, ce n'était pas quelque chose d'agréable : suivre l&a liste, prendre les produits, remplir le chariot et payer....ren d » bien passionnant ! Le shopping par contre , ça, c'était intéressant ! Passer dans les rayons, vadrouiller à la recherche de ce qui attire l'oeil, quel que soit le vêtement, depuis la robe de soirée aux bottines en passant par les jeans pour rejoindre les hauts sexys ! Charlène était du genre à regarder tout !
Sans être une passion, Vilma aimait bien les sorties shopping entre sœur, voir, plus largement, entre amies, c'était toujours le bo moyen de rire et de se dérendre, mais bon, n'exagérons rien, elle n'y passerait pas des heures. Loin de là ! Et puis bon, quand elle sortait avec Charlène, il y avait toujours le problème de s'occuper de Emma, aussi, si elles étaient toutes les deux en train de faire du shopping, le landeau ou la poussette n'était jamais ben loin. Le landeau en l'espèce !
Charlène était là, deux bottes différentes, une sur chaque pied, celle de droite, en imitation de cuir très lustré remontait presque jusqu'au genou avec un laçage noir ressortant sur le cuir marron et finissait par un bouton doré. Pour l'autre, la botte était plus une bottine avec un talon de cinq bons centimètres, mais large, pas aiguille, une meilleure stabilité ! Elle était là et s'admirait. Ou du moins, admirait ses gambettes.
De son côté, Vilma avait déjà fait son choix, une paire d'escarpins très simples et très jolis en même temps, elle imprimait de la main un mouvement d'avant en arrière sur le landeau dans lequel la petite Emma dormait paisiblement, totoche en bouche. C'était un beau landeau, sombre, bleu marine avec structure métallique apparente, et dont l'espace rangement était rempli du strict nécessaire pour la changer si elle en a besoin, et elle en aurait sans dooute besoin une fois qu'elle serait réveillée, ah et elle aurait aussi besoin de se nourrir à ce moment là ! Et ça, c'était le rôle de Charlène. Ayant arrêté son choix sur l'allaitement au sein, elle devait donc la nourrir elle même !
Mis là n'était pas la priorité, la petite dormait et Charlène avait un dilemme cornélien la botte de droite ou la botte de gauche ? C'était d'un compliquer de choisir quoi acheter, elle aurait bien pris les deux, sa carte ayant largement de quoi chauffer pour deux paires de bottes, mais elle préférait limiter ses dépenses, par sécurité, elle avait encore une robe de soirée à s'offrir pour un petit gala auquel le producteur de son prochain film l'avait invtée ! Oh elle savait très bien qu'il espérauit plusnqu'un merci, mais il devrait s'en contenter, elle n'était pas ce genre de femme après tout ! Elle soupira et se tourna vers sa sœur jumelle.
« Alors ? Tu préfères laquelle ? »
Vilma se contenta de hausser les épaules, façon de lui montrer qu'elle se déintéressait de cela au plus haut point et ça se comprenait, en effet, cela faisait bientôt une demi-heure que sa sœur était là à réfléchir sur la paire de bottes.
« Allez, oublies ça et viens Charlèe sinon tu n'auras pas le temps de te trouver une robe le centre commercial est ouvert epndat encore une heure, une heure et demie, et en plus, logiquement, Emma va bientôt se réveiller Et il faudra faire une pause le temps de la nourrir, la changer et larecoucher, tu le sais ! Alors viens on s'en va de cette boutique ! »
Charlène jeta un œil desespéré aux bottes et finalement, pressée par le temps, elle choisit deuxième paire, celle sans lacets. Avant de se diriger vers la caisse. Chose étrange, dès que vous avez un landeau en main, on vous cède la place relativement facilmeent, surtout avec ces japonais, boien plus polis que les européens en règle générale. Elle paya les achats, offrit à sa sœur sa nouvelle paire d'escarpin et se retrouva dans le hall du centre commercial.
Les deux jeunes femmes regardèrent autour d'elle à la recherche de la boutique idéale pour acheter la robe quand quelque chose les prit de cours...une silhouette dont elles avaient du mal à se rappeler mais qui leur était paticulièrement familière. Ce fut Charlène qui la remarqua le premier, tambourinant alors du coude dans les côtes de sa sœur pour qu'elle la voit elle aussi. C'était sans doute une erreur, ça remontait à sept ans grosso merdo, mais bon, ele était restée la même ou alors elle avait un clone. Mais elle n'arrivait pas facilement à mettre un nom...rhaaaa...ça alllait lui revenir !
Poussant le landeau, Vilma prit les devants pour se porter à la rencontre de la jeune femme qui lui semblait familière. La jeune femme au cheveux longs qui lui tombaient au milieu du dos et vêtue d'un haut rose laissant apercevoir son nombril et d'un jean bleu délavé se frayait un chemin dans la foule présente, telle une nouvelle moise qui fendait les eaux, sauf que là où Moise avait utilisé un bon et grand coup de bâton, elle, elle usait de coups de coudes dans les côtes et dans l'estomac, c'était autrement plus efficace !
Charlène la suivit de lin, préférant fuir la foule, qui sait, si quelqu'un reconnaissait l'actrice qu'elle avait été, on allait lui mener la vie dure, notamment à cause des paparazzis, et elle préférait éviter surtout qu'elle ne pouvait pas courir se cacher pour la simple et bonne raison qu'entre ses talons et sa robe noire, courir était délicat, elle se serait retrouvée au sol avec un faramineux mal de chevilles ! Alors Vilma se chargea de tout.
« Euh excusez moi...pupu...euh Florence ? C'est toi ? Vilma, l'échange avec Munich au lycée ? Oh je savais que c'était toi ! »
Elle n'avait pas attendu la réponse pour lui sauter au cou, lâchant temporairement le landeau alorq u'elle embrassait sur les deux joues la belle blonde. Ce comportement était limite, il fallait le reconnaître. Mais elle était tellement sur d'elle ! Comment ne pasen être sur ? C'était forcément elle !
« Je ne savais pas que tu étais au Japon ! »