Victime...petite victime [PV]

Quelle journée ennuyante aujourd'hui pour notre Chris. Il n'avait strictement rien fait de la matinée, se contentant de flemmarder sur son canapé devant la télévision. Il détestait complètement ce genre de journée, aucun ''ami'' ou connaissance de disponible pour aller s'éclater un peu. Mais, au milieu de la journée, il commence gentiment à perdre pied, s'arrachant presque les cheveux d'ennuis à tels points qu'il décide de s'habiller pour partir à la recherche d'une victime à martyriser. Il est donc en train de marché des les ruelles sombres de la ville, habillé d'une petite chemise de couleur noir et d'un jean bleu foncé, légèrement déchiré au niveau des genoux pour lui donner un petit air rebelle.

Marchant dans les rues mal famé du quartier de la Toussaint, il prie pour qu'une jolie fille innocente ait la mauvaise idée de venir par ici. Il attends donc sagement adossé contre un mur, une cigarette entre les lèvres, fumant tranquillement. Il regarde quelques demoiselles passés devant lui, ne trouvant aucune qui pourrait convenir a ses envies et pulsions. Une fois de plus ennuyé de la situation, il décide de provoquer le destin, se détachant de son mur pour partir en recherche. Il jette, d'ailleurs son mégot sans aucune gêne sur le sol, balayant chaque endroit du quartier du regard pour chercher la victime de ses rêves.

Lorsque d'un coup, il tombe sur une demoiselle tout simplement parfaite à ses yeux, elle possédait un visage angélique et innocent, tout simplement parfait à corrompre. Excité comme une puce, il s'approche de la demoiselle, jouant la comédie, faisant un homme paniqué.

«  Excusez moi...mademoiselle...j'ai besoin d'aide...S'il vous plaît ! »

Sans lui laisser le temps de répondre, il lui agrippe le bras, l’entraînant dans une ruelle sombre, prêt pour pouvoir abuser d'elle comme il le voulait. Il l'entraîne tout au fonds de la ruelle, venant la plaquer contre le mur face à lui, la bloquant de son corps, l'empêchant de fuir.

« Vous avez été choisi par mes soins pour faire office de victime ! Félicitation ! »

S'ensuit alors un rire plutôt machiavélique et terrifiant, s'approchant d'elle comme un lion tournant autour de sa proie, venant poser ses deux mains contre le mur et mettre son corps en opposition d'elle.

*Voilà quelques jours maintenant que j'étais à Seikusu et l’excitation dû à la découverte de cette ville ne m'a pas encore quittée. C'est hâtée que j'avais donc claqué la porte de ma chambre d’hôtel pour avoir le loisir de déambuler dans les rues. Découvrir les gens, les monuments, frémir sous toutes ces nouvelles odeurs... Cette ville m'émoustille au plus haut point. Encore un peu craintive, le capuchon de ma cape vermillon venait recouvrir partiellement mon visage, quant à mes ailes, je les gardais correctement repliées dans mon dos.
Les habitants de cette villes étaient étranges... Nombres d’entre eux ne prêtaient aucune attention à moi. Comme si la présence d'une femme ailée était banale. Banale était le mot. Je me rendis bien vite compte que je n'étais pas la seule créature bizarroïde ici. Et encore plus dans les quartiers que je foulais à présent de mes pas lestes et silencieux. "Les quartiers de la Toussaint". Sombre endroit me direz-vous? Délicieux je réponds alors!
Armée d'un sourire aux lèvres je dois ressembler à une touriste émerveillée en visite.  J'hume avec délectation les volutes de parfums des gens passant près de moi. Je suis ravie de constater qu'ici même la nuit la vie ne s’arrête pas pour autant.

Soudain, je sens que l'on se saisit de mon bras et je porte mon regard d'argent sur un homme aux cheveux grisonnants d'une carrure raisonnable et humain, à en croire son odeur, qui me supplie de lui porter secours.
Mes sourcils se froncent et il m'entraine malgré moi vers une ruelle perpendiculaire à celle que je me trouvais. Sous la surprise, j'ai peine à le suivre et me demande surtout quelle mouche l'a piqué. Je tente de défaire sa main de mon bras mais en vain... Et arrivé dans les méandres de cette ruelle des plus douteuses, il se stoppe avant de changer d'attitude. Avec force, il me plaque contre un mur, crasseux qui plus est. Là je comprends bien vite son petit manège et souris pour moi même alors que mon visage prend une expression de peur.*

- Lâchez moi je vous prie.

*Je tire sur mes bras, maitrisant ma force et me tortille comme un ver coupé pour qu'il me délivre, feignant la détresse. Tu veux jouer mon bel humain? On va jouer. Pauvre tâche, c'est toi qui va prendre bientôt la place de la victime! Attendez un peu.. Que font les demoiselles en danger? Ah oui!! Elles crient.*

- Relâchez moi ou... Ou je crie!!

*Et avant qu'il n'ait eu le temps de répondre je pousse un:"Haaaaa!!" suivit d'un "au secours" retentissant. Prenant tout de même la peine de ne pas ouvrir trop grand la bouche pour dissimuler mes canines acérées.
Le plus triste dans cette histoire, c'est que je joue la pucelle effarouchée pour le moment. Mais je pense également à ma paire d'aile qui prend pour son grade de crasse. On ne me plaque pas contre un mur dégoutant, Mônsieur!! Seule la soie me sied à merveille! Cela se paiera...*

Chris avait tout ''organisé'' pour ne laisser pratiquement aucune chance de s'enfuir à la demoiselle. Il était devant elle, les bras croisés, l'empêchant de partir, tout en l'observant avec un petit air d'envie et emprunt de sadisme. Il avait envie de s'amuser, de s'amuser avec elle et son corps, au gré de ses envies. Bloqué contre le mur, il en profite pour faire tombé le capuchon de sa cape, pour pouvoir encore mieux admirer son visage angélique et appétissant. Mais avant qu'il ne puisse réagir, sa petite victime se met soudainement à crier, le faisant rire un peu plus sadiquement que tout à l'heure. Quelle douce mélodie, le crie d'une petite pucelle effarouchée et en panique. Il se régalait déjà alors qu'il ne l'avait même encore toucher. S'approchant un peu plus d'elle, il vient poser sa paume de sa main sur la bouche de sa victime, émettant une petite pression pour pouvoir la faire taire, sans pour autant lui faire mal ou la blesser, ne voulant pas toucher à son si jolie visage, du moins, pour l'instant.

«  Crie autant que tu veux...personne ne te viendra en aide »

Elle pouvait toujours essayer, mais de toute façon, le quartier de la toussaint est réputé pour le nombre incroyable de crimes qui s'y passe, un cri de plus ou de moins ne changera. Il vient d'ailleurs glisser sa langue contre son nez avec avidité, avant de glisser ses lèvres dans son cou pour y déposer des baisers forcés, et surtout, respirer son odeur qui lui faisait tout un tas de sensation. Il vient glisser ses lèvres contre son oreille, venant lui mordiller par simple provocation.

«  Le mieux...Est que tu te laisses faire...ça passera plus vite... »

Il vient se collé un peu plus contre elle, bassin contre le sien, écrasant sans vergogne ses petites ailes contre le mur crasseux. Etant d'humeur bestial, il attrape son espèce de petite cape, tirant dessus pour l'arracher, la faisant tomber sur le sol. Il se frotte frénétiquement contre elle, lui faisant partager toute l'excitation qu'elle avait rien que pour elle, et pour la torturer.

*La paume de sa main vient couvrir ma bouche et je jubile. Il serait si simple pour moi de lui fiche un coup de crocs et j'avoue que je dois me faire violence pour ne pas le faire. Je mime des cris pour plus de crédibilité qui finissent inévitablement par mourir dans le creux de sa main. Quelle douce torture que mon bourreau m'inflige à l'heure qu'il est. Moi qui n'avait pas encore goutté aux plaisirs de la chair avec l'un des habitants de cette cité. Il vient m'offrir son corps sur un plateau d'or. Sa langue glisse sur ma peau jusque dans le creux de ma gorge et je sens un frisson me parcourir l'échine à la place d'en être écœurée. En pauvre victime que je suis, je tente de le repousser en y mêlant une force mesurée. En effet je pourrai bien si je le voulais l'envoyer valsé contre le mur opposé mais là n'est pas mon but. Je veux profiter. Profiter et profiter encore... Me délecter à présent jusqu’à plus faim, jusqu’à plus soif.
Mais la situation est bien trop excitante pour que j'y mette un terme maintenant, aussi je gémis alors que je sens ses dents titiller mon oreille. Petit son qui pourrait bien passer pour plaintif mais il n'en est rien surtout lorsque je suis à même de pouvoir m’enivrer du parfum envoutant de son sang chaud qui coule dans sa jugulaire, juste sous mon nez.
Ça passera plus vite si je me laisse faire dit-il... Hooo quel dommage! Son conseil n'est pas tombé dans l'oreille d'une sourde entendez le bien. Il se frotte contre moi et de nouveau je cris.*

- Mais cessez donc! Laissez moi par pitié!!

*De mes deux mains je le repousse comme le ferai une chose fragile. Puis sentant qu'il met plus de vigueur dans ses gestes, je change d'attitude me révélant bien moins sans défense.
Je m'agrippe ses vêtements passant dans un premier temps pour un geste qui allait le repousser encore une fois mais je le retiens fermement serré contre moi.
Un sourire ravi se dessine sur mon visage avant que je ne laisse échapper un rire.*

- Surprise!! Ce soir, vous vous êtes planté de victime! Félicitation!

*De mes ailes je prends appuis au mur pour le pousser et le plaquer au mur à son tour. Les formes de mon corps viennent immédiatement couvrir les siennes et je lui offre le plus beau de mes sourires, lui révélant mes crocs.

- Laisses toi faire mon ange, ça passera plus vite...* lui dis-je d'une voix emprunt de désir et d'envie. Je me demande encore a quelle sauce je vais bien pouvoir le manger... Mais une chose chose est certaine, il ne sortira pas de cette ruelle sans avoir été délesté de quelques grammes de sang.*

 

 

Chris était sur son petit nuage, imaginant déjà tout les choses qu'il allait pouvoir lui faire subir. Il était à présent collé à elle, respirant son odeur, tout en profitant de son corps parfait pour s'exciter légèrement dessus en s'y frottant. La jeune femme était toujours sans défense, essayant de crier comme toute victime qui se respecte, malgré le fait que ça soit inutile. Elle tente aussi de le repousser avec ses deux petites mains minables, le faisant à peine reculer de quelques centimètres. Mais, alors qu'il devait plus rude dans ses actions, la jeune femme agrippe ses vêtements avec beaucoup plus de force que tout à l'heure, le faisant se serré contre elle. Surpris de ses mouvements, il se demande bien ce qu'elle pouvait avoir en tête. Mais lorsqu'il entends ses paroles, et qu'il découvre ses crocs, il maudit le monde de ne pas être chanceux.

Sans qu'il puisse faire quelque chose, il se retrouve plaqué contre le mur, le corps de la jeune femme couvrant le sien. Il était devenu la victime, et il semblait être beaucoup plus faible qu'elle. Il fronce d'ailleurs les sourcils, essayant de bouger, de s'enfuir comme un petit lâche, sans vraiment réussir à la faire bouger.

«  Si tu comptes sur moi pour crier...Tu peux toujours courir ! »

Dit-il en lui tirant la langue, essayant une fois de plus de partir. Il avait tout de même peur de la jeune femme, puisque c'est la première fois qu'il rencontré une vampire. Prêt à tout pour s'en sortir, il décide d'essayer de mettre un coup de tête méchamment contre la vampire. Sauf, qu'une fois de plus, la demoiselle semblait ne rien avoir senti, au contraire de lui, qui semblait sonner, avec le front légèrement ensanglanté, une goutte de sang coulant le long de sa joue, glissant jusqu'au coin de ses lèvres.

«  Vous allez me bouffer ? Faites le vite... »

dit-il en arrêtant de gesticuler dans tout les sens, se résignant enfin à être la victime, pensant que c'est déjà la fin de sa vie !

*Et c'est ainsi que le chasseur devient proie... C'est bête!! Voyant un petit air furibond se dessiner sur son visage, je fais une moue attendrie. Il ne veut pas crier? Ho c'est triste... Moi qui aurait adoré cela. Entendre le timbre de sa voix se briser alors qu'il atteindrait de force la jouissance. Vous connaissez plus doux vous comme torture?
Mais pour l'heure, l'humain se rebelle et je prends un coup de boule dans le front. Je lâche un petit gémissement de surprise avant de secouer la tête et de fixer de nouveau ma si fragile victime que je n'ai bien entendu pas lâché.*

- Chuuuuut.... A t'agiter ainsi, ton petit cœur va se fatiguer. Tu ne tiendra pas la distance ensuite...

*J'ai un très grand appétit. Je lui adresse un nouveau sourire -tendre- et j'approche mon visage du sien pour lécher avec une lenteur calculée le sang qui coulait sur sa peau brulante.
Je passe une langue gourmande sur mes lèvres me délectant de son liquide vie et plonge mon regard dans le sien.*

-Hooo non je ne vais pas te bouffer... Enfin pas entièrement. Tu es si délicieux que tu vas finir ce que tu avais commencé.

*Et une de mes dextres vient prendre en son creux l'attribut de monsieur que je masse au travers de son pantalon avec désir. Mes lèvres viennent près des siennes que j’effleure avant de les happer.  Le message est clair non?*

C'était bien la première fois que notre ami Chris se retrouvait dans une telle position. Il n'avait jamais était une victime, et le fait de ne rien pouvoir faire pour s'échapper, l'énervait au plus haut point. Il ne savait pas ce qu'elle allait lui réserver, il lui assène un coup de boule plutôt intense pour tenter de l'assommer. Mais la jolie vampire semble être amusé par ses actions, puisqu'elle vient glisser sa langue délicate le long de sa peau pour récolté les pointes gouttes de sang qui commençait à y perler. Il la fixe sans aucune gêne, sentant qu'elle était gourmande, et qu'elle avait bien l'intention de s'occuper de lui pendant une bonne partie de la nuit...POurquoi avait-il fallu qu'il tombe sur elle...

« Qu'allez vous me faire ? Laissez moi partir... »

Dit-il en essayant de jouer la carte de respect en la vouvoyant. Il fût surpris de sentir sa main se poser sur sa verge légèrement dure. En effet, elle venait de retourné la situation pour ne pas qu'il la viole, et elle était en train de lui offrir ce dont il avait envie de manière tout à fait consentante. Il sentait qu'il y avait un piège quelque part, mais de tout façon, il n'avait pas le choix. Il profite un petit instant de sa langue contre ses lèvres, gouttant au goût plutôt métallique du sang.

«  lache moi ! »

Il fronce les sourcils, bougeant légèrement son bassin, frottant involontairement son membre dure un peu mieux contre sa main. En bougeant, il fait d'ailleurs tomber son jean, qui n'était plus attaché depuis qu'il avait voulu la violer, dévoilant son boxer moulant à merveille sa verge déjà toute dure d'excitation. Il bouge doucement la tête, venant poser ses lèvres contre les siennes pendant quelques secondes, profitant malgré tout de la douceur et le goût de ses lèvres, tout excité par la vampire malgré qu'il soit la victime.

*Comme il est attendrissant n'est ce pas? Il se refuse à moi tandis que son corps me dit parfaitement le contraire. Ma main n'a aucun mal à sentir sa verge tendue par le désir et sa peau dégage ce parfum significatif des hormones destinées à excité celui ou celle qui les respire. Et pour l'heure c'est moi qui m’enivre de cette délicieuse odeur.
Je sens son vêtement glisser vers le bas tandis qu'il gigote comme un ver coupé tentant de se faire la malle. Je souris avant de lui répondre.*

- Non non non... Je ne te lâche plus à présent.

*Et je lis le geste à la parole en serrant ma main plus fermement sur son membre, qui se dévoile un peu plus a mes doigts. Il vient de lui même unir de nouveau nos lèvres et je ne me gêne pas pour approfondir ce baiser ne me souciant pas qu'il soit consentant ou non. Ma langue se fraye un chemin dans l'antre de sa bouche tandis que je me plaque contre lui. Son gout d'humain est délicieux mais j'en viens rapidement à en vouloir plus.
Je mets fin à notre baiser et mes lèvres glisse sur sa gorge, que je mordille avec une force calculée. Je ne veux pour l'heure pas l'égratigner, juste lui donner une irrépressible envie d'être consommé. C'est bien connu, les vampires sont irrésistible pour les simples humains, je serai donc sa drogue, et il me suppliera de faire de lui son repas.*

- N’aie crainte. Je ne te veux que du bien... Humain.

*Mon autre main se saisit fermement d'une des siennes et je la guide sur mon avant cœur. Il ne pourra résister à malaxer ce morceau de chair offert, mais j'espère encore qu'il sera à la hauteur de mes attentes.

Son corps réclamait celui de la vampire ardemment, n'ayant jamais été aussi excité de toute sa vie. Mais pourtant, il ne pouvait pas se laisser faire, rien que pour une question d'honneur, n'ayant aucune envie de passer pour la victime. Mais pourtant, lorsqu'elle serre avec un peu plus de force sa main contre son membre tendu, il ne peut que lâcher un délicat soupir de bien être, aimant lorsque l'on est ferme avec lui. Lorsqu'elle glisse sa langue contre la sienne, il joue avec pendant de longue minute, s'enroulant autour de la sienne, avant de finalement reculer sa tête pour rompre le baiser. Il plante son regard dans le sien, la regardant sans le vouloir avec un regard joueur et excité, malgré le fait qu'il veut partir d'ici.

«  Du bien ? Je veux savoir...Ce que tu as l'intention de me faire ? »

Dit-il en la regardant méchamment, et même si son excitation était à son paroxysme, il n'avait aucune confiance dans un vampire. Elle attrapa l'une de ses mains pour venir la poser sur sa poitrine. Un large sourire s'installe sur ses lèvres, faisant le réticent dans un premier temps ce contentant de garder sa main poser dessus. Et puis, il se dit, qu'après tout il pouvait peut être en profiter, et tenter de fuir a un moment. Il caresse donc sa poitrine un peu mieux, la malaxant avec une certaine expertise dans le but d'exciter un peu plus la vampire. Il vient ensuite poser deux de ses doigts sur son mamelons encore couvert de vêtement, lui pinçant légèrement pour le faire durcir.

Il était un peu plus docile que tout à l'heure, puisqu'il allait prendre son pied, et qu'il n'avait aucune possibilité de s'enfuir. Il approche donc son cou des lèvres de la vampire, se trémoussant légèrement de la tête pour la taquiner et la provoquer, tout en glissant une main à son caleçon, pour le faire tomber au sol, lui présentant son membre dur et déjà dressé d'envie.