(-Hors RP-) Les passages bleues sont ceux faisant référence à l'un des souvenirs de Mélanie, raconté au fil de chacun des paragraphes. (-Hors RP-)Satisfaite de voir ma Pupuce aussi obéissante, je la laissais s'éloigner, le sourire aux lèvres, ma main descendant sensuellement le long de son corps à mesure qu'elle se levait, caressant ses épaules et descendant le long de son dos jusqu'à atteindre ses délicieuses petites fesses, que je pinçais doucement avant qu'elle ne finisse par m'échapper. Elle s'avança, un peu hésitante, peut-être gênée par ma demande après avoir passée ces six dernières années à être sage. Cela ne sera heureusement pas le cas bien longtemps, je prendrais particulièrement soin de ma Pupuce, et la chouchouterais, à ma façon. Tout les doux plaisirs a coté desquels elle était passée durant tout ce temps, je ferais en sorte qu'elle en découvre ou redécouvre la saveur, l'excitation, les sensations, la remettre dans le bain en quelque sorte, dans ces situations qui, au fond, lui plaisaient beaucoup.
Bien que je puisse parfois paraitre un peu égoïste, en particulier dans mes ordres, j'ai toujours été très attentive au plaisir de ma soumise, même si je ne le montrais pas vraiment. Chacun de nos jeux étaient plaisant, et ils l'étaient pour nous deux, même si différemment. Il m'arrivait parfois de dépasser les limites, sans aller très loin, c'était simplement pour tester ses réactions, ou bien pour parfaire son éducation. Ou la punir, aussi, mais ces sanctions étaient toujours mesurées. Jamais je ne lui ferais faire quoi que ce soit qui puisse lui causer du tort, ou lui faire du mal. Je l'aimais trop pour ça...
Cela me rappelait ce fameux jour où je lui avais faites essayer pour la première fois la sodomie... Ce n'était pas vraiment préméditée, pas du tout même. Nous marchions dans les couloirs du lycée, main dans la main, à la recherche d'un petit coin où nous aurions un peu d'intimité. J'étais très excitée, et prise d'une folle envie de faire l'amour à ma Pupuce, une envie que je ne pouvais pas refréner. Mais aucun endroit n'était désert, des lycéens se baladaient eux aussi dans les couloirs, et je n'avais pas spécialement envie de me donner en spectacle. On s'était donc mise d'accord pour nous rendre dans les toilettes, et tant pis s'ils n'étaient pas vides, au moins il n'y aurait pas eu un troupeau d'élèves surexcités qui serait venu nous déranger. J'étais passée devant les toilettes des filles, sans m'y arrêter, et Pupuce m'avait jeté un regard étonné, auquel je répondis pas un large sourire coquin. Je m'avançai un petit peu, la tenant par la main, et entrai alors dans les toilettes des garçons, qui s'avéraient être vides, avant de fondre sur elle, la plaquant contre un mur, trop impatiente de gouter à nouveau à ses lèvres pulpeuses.
Le baiser fut long, langoureux, sensuel, mes lèvres happant incessamment les siennes, ma langue s'y infiltrant et cajolant la sienne. Mes jambes frôlaient et effleuraient les sienne, je relevais ma cuisse et venais la frotter sensuellement contre son entrejambe si sensible, pendant que mes mains partaient à l'assaut de son corps, en redécouvraient les formes, du bout des doigts, ne cessant pas de la caresser, avec une douce volupté. Mon corps tendrement blottit contre le siens, je fermais les yeux à moitié, et laissait mon amour pour elle s'exprimer. L'érotisme du moment prit facilement le pas sur la décence, et nos mains avait tôt fait de nous déshabiller à moitié, nous avions finit par nous retrouver presque nue l'une devant l'autre, et cela ne fit qu'attiser encore plus mon désir pour elle. C'est fou ce qu'elle pouvait m'exciter...La mélodie qui s'éleva me ramena à la réalité, et je constatais avec satisfaction qu'elle s'était lancée dans le début de son affriolant spectacle. Ses gestes étaient sensuels, et son déhanché envoutant. Je la regardais, l'observais, la dévorais des yeux, pendant qu'elle se trémoussait à un rythme captivant, se dénudait avec une lenteur frustrante mais délicieusement excitante. De voir ma compagne s'exhiber ainsi sous mes yeux me ravissait au plus haut point, et quelques gouttes supplémentaires de ma cyprine vinrent tacher le tissus déjà humide de ma petite culotte.
Le jeune homme aussi semblait ravi du spectacle qui s'offrait sous ses yeux, le regard médusé, la bouche entrouverte, son érection menaçant presque de percer son pantalon devenu trop étroit. Et la situation ne s'améliora pas vraiment lorsque ma Pupuce s'approcha de lui pour lui offrir un show plus personnel, se trémoussant juste sous ses yeux, lui offrant une vue terrible sur sa poitrine, à en damner un saint. Je mordillais ma lèvre, follement excitée de voir ma soumise se donner autant en spectacle, mais un tantinet jalouse aussi, de la voir attiser le désir du jeune garçon au dépend du mien...
Néanmoins cela ne dura pas très longtemps, et elle ne tarda pas à se rapprocher de moi, laissant un Kenichi complètement hagard et aux joues cramoisies. Lui qui était toujours fier et d'aplomb d'habitude, c'était cocasse de voir à quel point il était gênée maintenant, incrédule face la nudité sensuelle de cette femme. Mais, c'est vrai que ce n'était pas n'importe quelle femme, ma Pupuce... Je l'accueilli avec plaisir sur mes cuisses, pressant ma voluptueuse poitrine contre son dos, caressant les courbes de son corps au rythme de son déhanché, mes doigts filant avec une douce lenteur sur sa peau, que je prenais plaisir à caresser, et dont j'aimais les gémissements que cela lui soutirait. Mes mains envieuses s'attardèrent sur sa poitrine, que je faisais balloter, malaxais, pressais délicieusement entre mes doigts, titillant par moment son tétons durcis, que j'avais follement envie de suçoter et de mordiller...
Je la laissai à contrecoeur s'éloigner et poursuivre son affolant spectacle, non sans lui avoir ôté sa culotte prodigieusement humide, que je conservais près de moi. Elle était complètement nue, sous nos yeux, et mon sourcil s'arqua un peu, de manière perceptible, à la vue de sa toison pubienne qui manquait de charme... Il allait falloir que je m'assure que ma belle soumise retrouve ses bonnes vieilles habitudes perdues, pensais-je, amusée à l'idée de la dresser à nouveau. Je me mordillais la lèvre, profitant de la vue magnifique sur le corps de mon adorable Pupuce, et mon regard s'illumina d'une lueur follement perverse lorsqu'elle s'avança vers moi, à quatre pattes, comme la chienne obéissante et coquine qu'elle était autrefois. En particulier lors de ce fameux jour, que son attitude actuelle me rappelait beaucoup...
Je m'étais assise sur le mur face à elle, et avait écarté très largement mes cuisses, la laissant voir mon intimité rasée de près, et les contours humides de ma vulve qui ne demandaient qu'à ce que l'on s'occupe d'elle. Ce que je n'avais pas tardé à ordonner à ma Pupuce. " Viens par là, ma belle petite chienne, viens lécher le joli minou de ta maitresse... " Tandis que je la regardais avec envie, elle s'était mise à quatre pattes et s'était avancée vers moi, d'une démarche souple et sensuelle qui me fit me mordiller la lèvre, tant ma Florence était désirable en cet instant. Elle entreprit de venir gouter à ma cyprine, léchant avec application mon intimité, et m'arrachant bien vite des gémissements de plaisir dont la douceur raisonnait à nos oreilles. J'ondulais sous les caresses adroites de sa langue, et gémissais de plus en plus fort, jusqu'à ce qu'un garçon rentre dans les toilettes et découvre les plaisirs auxquels nous nous adonnions en cachette... Prises la main dans le sac, et loin de nous sentir gênées, nous avions poursuivi sous ses yeux, jusqu'à ce qu'il ne s'immisce dans nos jeux...Elle s'installa devant moi et se cambra en arrière, m'offrant sa poitrine tendre et généreuse que je ne saurais refuser. Je fis lentement glisser mon index tout le long de sa fente intime, excessivement mouillée tant elle devait être excitée, et lui fit faire quelques aller et retour, frôlant son bourgeon de plaisir à chaque passage, stimulant ma Pupuce, tandis que mes lèvres happèrent le premier tétons qui passa à leur portée, le pressant un peu et le suçotant avidement, ma langue venant parfois le titiller et le faire vibrer dans ma bouche. Je retirai ensuite mon doigt, luisant de cyprine, et le glissa de gré ou de force dans sa bouche, la laissant gouter à sa propre mouille, non sans relever mes yeux et plonger mon regard coquin dans le sien, avec intensité, tout en conservant en bouche son délicieux sein.
Devant l'érotisme de la scène à laquelle le pauvre Kenichi n'était que simple spectateur, ce dernier ne put s'empêcher de descendre légèrement son pantalon et d'en sortir sa verge à l'érection impressionnante, impatient de se soulager de toute cette excitation qui avait pris possession de ses sens et de sa lucidité. Impudique, il se caressa vivement, tout en nous observant nous ébattre sensuellement. Pendant ce temps, je faisais lentement aller et venir mon doigt entre les lèvres de ma soumise, tout en suçotant avec une gourmandise un peu perverse son sein, tandis que mon autre main était venu agripper et masser celui qui se sentait délaissé. Je ne m'attendais pas vraiment à ce qu'elle accorde de l'importance à Kenichi, mais le fait qu'elle reste ainsi à profiter de mes caresses me fit sourire intérieurement, et je me mis à mordre un peu son tétons, puis de plus en plus cruellement, ne relâchant la pression qu'au bout d'une dizaine de seconde, avant de plonger dans ses yeux un regard amusé.
" Hé bien alors, qu'est ce que c'est que ces manières ? Tu ne vois pas que ce jeune homme a besoin d'un peu d'aide ? " J'adressai un clin d'oeil qui se voulait complice à Keni, avant de poursuivre.
" Je suis persuadée qu'il adorerait profiter de la douceur de tes lèvres... " Je me redressais alors complètement, à genoux, profitant qu'elle soit assise sur ses talons pour la dominer de ma hauteur. Descendant mon regard sur elle, un regard aussi doux que coquin, je posai délicatement mon doigt sur ses lèvres, avant de lui susurrer.
" Et je ne parle pas de celles-ci... " L'instant d'après, nos lèvres se scellèrent en un sensuel baiser, mes mains de part et d'autre de ses joues, je l'embrassais, avec passion, exprimant toute l'affection que j'avais pour elle... Je rompis peu de temps après le baiser, avant de poursuive, avec douceur.
" Car pour celles-ci... je leur ai trouvé une toute autre utilité. " Mes mains quittèrent ses joues, et j'ôtais avec impatience ma culotte blanche et tachée de cyprine, tout en rapprochant mes lèvres des siennes, et en chuchotant sensuellement.
" Ta maitresse a très envie que tu t'occupe d'elle à cet endroit... " Je me reculais alors, un sourire des plus coquins éclairait mes lèvres, et m'allongeais sur le sol de l'infirmerie, les cuisses écartées et attendant que le visage de ma petite soumise ne vienne s'y glisser.
" Tu peux venir en profiter aussi, mon petit Keni... " lançais-je, en lui adressant un clin d'oeil taquin, et lui montrant la croupe offerte de ma délicieuse Pupuce...
*Dans la même position qu'autrefois...* songeais-je.
J'appuyais fermement sur la tête de ma soumise, blottissant son visage contre mon intimité bouillonnante de désir, accentuant grandement les sensations et l'empêchant par la même occasion de relever sa tête. Elle ne pouvait donc voir qui c'était introduit, mais aussi ne pouvait cesser de lécher mes délicieuses lèvres intimes et le nectar qui s'en écoulait. Cela dura de longues minutes encore, durant lesquelles je me tortillais littéralement de plaisir, pendant que Pupuce offrait au jeune homme inconnu une vue fabuleuse sur la cambrure de son corps et sur l'intégralité de son fessier. Et c'est lorsqu'il voulut se joindre à nous que j'eus alors l'idée d'initier ma belle soumise à cette facette particulière de la sexualité.
Après en avoir fait la proposition au jeune garçon, qui accepta avec plaisir, visiblement très emballé à l'idée de s'occuper de ces délicieuses petites fesses qui se présentaient à ses yeux, je relevais doucement le visage de ma Pupuce, chacune de mes mains posées délicatement sur ses joues, et la couva d'un regard doux et affectueux. Il dégaina impatiemment son membre, déjà dressé, et la fit glisser le long de la fente humide de ma soumise perverse et excitée, la lubrifiant suffisamment et stimulant par la même occasion leur désirs. Je savais à quel point cela pouvait être une épreuve déstabilisante, en plus d'être peu conventionnelle, et qui pouvait facilement tourner au vinaigre dans de mauvaises conditions. Je caressais ses joues, tentant de la rassurer, tandis que le gland du lycéen s'était déjà posé sur son délicat anneau, forçant peu à peu le passage, lui arrachant un léger cri, avant qu'elle ne serre les dents. Je serrais affectueusement son visage contre ma poitrine, caressant ses cheveux, à mesure que sa verge ne se glisse entre ses fesses, centimètre par centimètre, étirant ses chairs.
C'était toujours douloureux, au début, et cela nécessitait un certain temps avant de s'y habituer, et de profiter des délicieuses sensations que l'on pouvait en tirer... Une fois qu'un peu moins de la moitié fut rentré, trop impatient de se soulager, il perdit de sa douceur et entama de vifs va-et-vient. Bien que de faibles amplitudes, ses pénétrations étaient rapides, presque brutales. Et Florence ne le supporta pas. Elle se mit à crier, par bref à coup, non pas de plaisir, mais à cause de la douleur qui irradiait son orifice. Je tentais de la rassurer, de lui affirmer que cela allait passer, je voulais vraiment qu'elle découvre ces plaisirs, tout comme je les avais moi-même découverte, j'embrassais affectueusement son front, et caressais sa joue... jusqu'à ce que je ne me rende compte qu'une larme y coulait. Florence pleurait. Je la voyais tenter de retenir ses cris, les yeux embués, un rictus de douleur déformant ses lèvres que j'adorais pourtant voir sourire...
Les traits de mon visage se durcirent, et j'ordonnais à l'homme de se retirer, d'un ton sec. D'abord étonné, il ne m'écouta pas. Deuxième injonction, d'une voix plus forte, accompagnée d'une gifle retentissante. Cette fois, je sentais la colère et la frustration dans ses yeux, mais je n'en démordais pas. L'ordre avait été clair, je voulais qu'il laisse ma Pupuce tranquille. Il se leva finalement, et voulu probablement se venger de cet affront, à croire les étincelles qui fusaient de son regard, mais je fus plus vive que lui, et m'emparai sans aucune douceur de ses bourses, les broyant littéralement malgré ses hurlements de douleur, tout en plongeant mon regard glacial dans le sien, et lui intimant de s'en aller, ce qu'il finit par faire, la queue entre les jambes. S'il y avait bien une chose qui m'insupportait davantage que l'on désobéisse à mes ordres, c'était que l'on fasse du mal à la femme que j'aimais...