Nom/Prenom/Surnom : Ophelia MacKenzie. El, Ely ou Mac pour les intimes (ha ha)
Age : Plus de 20 mais moins de 25 selon son interlocuteur (21 ans à l’état civil mais personne n’a besoin de le savoir)
Sexe : Demoiselle
Race : « I am not an animal !! I am a human being !!! » (Je présume que vous êtes tous trop jeunes pour voir la référence ? T_T)
Orientation sexuelle: Bi et bi !^^
Description physique : Une crinière d’un roux flamboyant et une silhouette longiligne et voluptueuse. Voilà de quoi attirer l’attention. Bien que ne se souciant pas trop de son apparence, elle aime les belles choses et crée ses propres tenues, généralement des vêtements assez sportifs. Ce qu’elle ne crée pas elle-même, elle l’achète : en général des jeans et sous-vêtements. Il est à noter qu’elle a en cette dernière matière des goûts on ne peut plus variés allant des ensembles en cotons roses tous simples à d’affriolants morceaux de satin et de dentelle noirs. Elle a un don pour accorder les couleurs et les formes, les tenues qu’elle se faits sont donc confortables mais aussi seyantes, soulignant sa poitrine, sa taille fine, ses hanches rondes et ses longues jambes.
Indéniablement, El est séduisante et ce n’est pas son visage d’ange qui fera dire le contraire. Une bouche pulpeuse en forme de cœur, des pommettes hautes, des yeux noisette en amande un petit menton pointu et un nez fin. Elle a un visage aux traits distingués, presque impressionnant avec sa peau laiteuse, ses petites lunettes (quand elle n’oublie pas où elle les a mises bien sûr) et ses sourcils fins. Elle peut paraître hautaine mais ce sera bien malgré elle. Heureusement, quand elle sourit elle semble se transfigurer. Ophelia peut se montrer d’autant plus intimidante pour les Japonais, qu’elle mesure 1,70 m, même en évitant soigneusement les chaussures à talons, elle dépasse tout de même la plupart de ses interlocuteurs.
Caractère : Ely est une jeune fille joyeuse, positive, généreuse, ouverte… Un peu trop pour son propre bien. Elle le sait d’expérience ! Aussi, comme un chat reste-t-elle méfiante, ou au moins distante, vis-à-vis des inconnus. Brut de pomme, elle peut paraître antipathique mais ce n’est que pour se protéger. Réflexe quelque peu inefficace si l’on considère la facilité avec laquelle elle accorde sa confiance. Ainsi, très rapidement et sans raison apparente, elle retrouve tout son naturel dans sa plus expansive affection dès qu’elle se sent à l’aise avec ses connaissances. Limite brut de pomme, elle a le franc parlé d’un garçon manqué. Elle se montre d’ailleurs parfois franchement peu féminine dans son comportement. Grimpant aux arbres (quand ce n’est pas formellement interdit bien sûr), adepte du roller citadin, un peu sanguine dans ses réactions les plus vives, elle arbore parfois un hématome ici, une éraflure là…
Evidemment, dans le cadre de ses obligations professionnelles, elle fait des efforts. Pas qu’elle court grand-risque de se laisser entraîner par l’action, sagement assise à son bureau. Mais quand elle se promène dans les couloirs de l’établissement, il faut bien qu’elle montre un peu l’exemple, et en tant que membre de l’équipe pédagogique, elle doit bien faire un peu respecter le règlement.
Gentille fille, certes, mais il ne faut pas trop la chatouiller. Un peu bagarreuse quand on la cherche –mettant ça sur son tempérament de Highlander-, son père s’est chargé de lui apprendre à se servir de ses poings.
En ce qui concerne les affaires d’alcôve, elle considère que l’amour et le sexe sont deux choses différentes et que tant que l’autre est d’accord, aller voir ailleurs ce n’est pas tromper. En même temps, elle n’est pas du genre à donner son cœur au premier venu !
Histoire :
Ophelia est née il y a 2*censuré* ans dans une petite maison en Ecosse. Sa mère était une gentille petite femme aux cheveux blonds vénitiens, son père une sorte de géants aux cheveux noirs. A l’heure où elle vint au monde, le couple avait déjà deux enfants : d’adorables jumeaux de 3 ans. Sa venue au monde fut une bénédiction pour la petite famille. Ils vécurent heureux et comme le temps passait, ils savouraient leur bonheur simple mais si grand…
Ca c’est la version rêvée que raconte Ely à ceux qui abordent le sujet. En vérité, sa mère, Mary, était maladivement jalouse des siens, ne supportant pas qu’on s’approche d’eux mais aussi qu’ils soient proches les uns des autres. Certains auraient appelé cela de l’égoïsme, El pensait plutôt que sa mère les aimait trop. Son père aussi, il n’était pas ce doux géants que la jeune femme se plaisait à dépeindre, mais un homme impatient et froid qui ne se souciait pas de sentimentalisme. Son frère et sa sœur enfin. A trois ans déjà, ils faisaient le désespoir des environs, en affrontement constant ils étaient les pires rivaux imaginables. Ah oui ! En fait de charmante maisonnette, elle a grandi dans un château pluri centenaire au sommet d’une falaise, entouré de forêts noires dans les hauteurs des Highlands. Sa famille était riche et puissante, sa mère était issue d’une famille influente de Londres et la vie de la famille était ponctuée de fréquents séjours dans la capitale anglaise.
Où qu’elle aille, Ely avait un certain succès. Jeune fille de bonne famille, elle alliait des manières exquises et un physique non moins délicieux. Les membres de sa famille n’étaient pas les derniers à tenter de garder son attention : sa mère cherchait le même monopole qu’avec les autres, son père considérait qu’elle était la seule de ses enfants à mériter son intérêt et son frère et sa sœur s’étaient très tôt disputé son attention. Vous n’imaginez pas ce que c’est difficile de conserver un peu de naturel dans une famille comme la sienne. Tiraillée entre son moi profond et la jeune fille parfaite que sa famille attendait d’elle, Ely développa cette personnalité de prime abord calme, digne et presque froide mais en réalité vive, chaleureuse et facilement attendrie.
Etait-ce du à son charme personnel ? Ou plus vraisemblablement au caractère particulier des membres de sa famille ? Toujours était-il qu’il régnait chez eux une certaine ambigüité qui en aurait troublé plus d’un. Mais dans ce genre de société, ce qui se passe dans la sphère privée reste dans la sphère privée. C’était tout juste si les gens pouvaient remarquer l’empressement que mettait son père à éloigner d’éventuels soupirants, l’attachement que montrait sa mère à tout moment, ou les sous-entendus plus ou moins discrets que lâchaient son frère et sa sœur. Si ses parents se contentèrent d’une affection par moment presque étouffante, son frère et sa sœur se montrèrent peut-être un peu plus… « proches » qu’ils ne l’auraient du. C’est ainsi que sans se concerter (ils se seraient entretuer sinon !) chacun vint lui faire une petite visite la veille de son départ pour le Japon où elle devait achever ses études.
C’est à peu près tout ce qu’elle sait des relations entre adultes consentants. Il faut dire que les deux aînés des MacKenzie étaient romantiques à leur façon un peu bizarre. Aucun ne voulait aller « trop loin » avant le retour d’El. Comme une sorte de promesse. De son côté, elle avait été trop préoccupée par sa nouvelle vie dans les mois qui suivirent pour s’en soucier. Dès qu’elle eut son diplôme, elle chercha un emploi. C’était dur et elle ne tarda pas à se résoudre à accepter de se faire pistonner. La famille de sa mère avait des relations un peu partout, son oncle même travaillait à l’ONU et le haut-fonctionnaire n’eut aucun mal à l’orienter vers le ministère de l’éducation japonais : la petite princesse ne devait pas trop se fatiguer non plus ! Si Ely était inconsciente de cet aspect ci des choses, elle n’en fut pas moins reconnaissante quand elle eut cet entretien pour le poste d’assistante de la directrice d’un établissement scolaire assez réputé.
Ophelia eut bien un peu peur de ne pas avoir le poste quand elle découvrit que ladite principale était la jeune femme devant laquelle, non seulement elle était tombée en roller mais en plus avait enguirlandé un élève qui avait lancé fort mal à propos un paquet de cigarettes. Son caractère franc et volatile n’allait-il pas lui jouer des tours ? Apparemment non.
Situation de départ : Elle est techniquement vierge puisque son hymen est intact mais certaines personnes de son entourage lui ont enseigné quelques petites choses.
Autres :
Comment avez vous connu le forum: Euh… je crois qu’elle a quitté les lieux…
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous? Si oui lesquels: Aucune idée !^^’
Je crois que j'ai tout mis mais je peux me tromper (ça m'arrive plus souvent que je ne le souhaiterais donc bon!
)