Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Allo ? Maître ? [Pv Hiro]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Lizzie Carter

Humain(e)

Allo ? Maître ? [Pv Hiro]

dimanche 20 mai 2012, 01:43:47

L'enveloppe que j'ai reçue hier m'a vraiment ... Comment dire ? Je me sentais vraiment bizarre, d'un côté j'avais du mal à réaliser ce qu'il se passait et d'un autre des centaines de questions se bousculaient dans ma tête. Qui était ce type ? À quel point pouvait il être dangereux ? Quelle sorte de pouvoirs avait il pour contrôler ce genre de monstres ? Qu'étaient ils exactement ? Qu'est ce qu'il allait m'arriver ? Pourquoi moi ? Je n'avais que des questions et aucune réponse, le seul truc que je savais c'est que la situation sentait mauvais et je ne voyais pas qui pourrait m'aider. La police ? Est ce qu'ils seraient capables de se battre contre des monstres ? Si seulement mes agresseurs étaient humains, la situation serait beaucoup plus simple. Ma famille ? Mes amis ? Mes profs ? Et s'il les tuaient avant de me "punir" comme cette Saya ? Peu importe dans quel sens je prenais le problème, j'avais deux choix : Devenir son jouet ou subir les punitions en me rebellant. En plus nous étions Vendredi, donc après les cours je m'étais retrouvée seule dans ma chambre à tout ressasser pendant des heures, à me torturer l'esprit avec ces histoires.

J'avais bien vu dans les yeux de mes parents qu'ils avaient remarqués que quelque chose n'allait pas mais, pour la première fois de ma vie je ne pouvais rien leur dire sans les mettre en danger. Donc je les aient évités au maximum, je ne sais pas comment ils l'ont pris, j'espère qu'ils ne pensent pas que c'est de leur faute ... J'ai eu beaucoup de mal à dormir cette nuit là, je me suis réveillée plusieurs fois en sursaut, en sueur, à court de souffle et les cauchemars se succédaient. Puis le matin est arrivé, je suis restée sous mes draps, n'osant pas regarder si une enveloppe était là ou pas, je ne voulais pas savoir et je ne voulais surtout la voir au pied du lit. J'ai soulevé les couvertures et mes yeux se sont directement posés sur l'enveloppe rose qui était posée au sol, après un moment de flottement je me suis à nouveau enterrée sous mes draps en pensant : *Mais dégage ! Je ne veux pas te lire, je veux pas savoir, je veux pas voir ce qu'il y a dedans ! Je veux pas, je veux pas, je veux pas ! Laissez moi tranquille ...* Puis je me suis rappelé du visage de Saya sur les photos, la première où elle criait, la seconde où elle pleurait et la dernière où elle avait complétement perdu la raison à force d'être punie par son bourreau et en me rappelant qu'elle en était morte.

On m'a toujours enseigné que tant qu'il y avait de la vie il y avait de l'espoir, j'ai donc fait le pari de m'en sortir plus tard en endurant maintenant mais, j'étais sûre de mourir si je résistais trop à cette personne. Je me suis assise sur le lit en regardant l'enveloppe, je suis restée un moment comme ça, parce que je voulais vraiment la cramer sans regarder le contenu. J'ai tendue une main tremblante vers elle avant de la prendre dans mes mains et de l'ouvrir, à l'intérieur se trouvais une lettre, un catalogue, un portable, un petit papier avec un numéro de téléphone et ... Une grosse liasse de billets ! Décidément l'homme ou la chose à laquelle j'avais affaire n'était pas n'importe qui et je me sentais tellement désemparée devant tout ce qui était fait pour me pousser vers le gouffre. Je me suis alors dis que de toute façon la situation était déjà catastrophique, donc autant lire cette putain de lettre pour me préparer à ce qui m'attendait :


"Ma mignonne petite Lizzie, tu es si adorable quand tu dors, on te violerai.

Enfin bref ! Avant d'être digne de mon corps de rêve tu as encore beaucoup à vivre et à apprendre ma petite Lizzie, tu es encore inexpérimentée et le démon de la morale t'enchaine ! Tu es prisonnière de ta pudeur, de ta décence et les démons essayent d'enfermer ta si belle âme dans cet ignoble carcan, le diable est en toi mais je te purifierai ma jolie petite Lizzie. Dieu tout puissant créa nos corps pour que nous baisions comme des animaux assoiffés de sexe, pour retrouver cette liberté tu devras réapprendre à être un animal. Et je connais une personne qui peut t'apprendre à le redevenir, alors je t'ai donné un portable et son numéro pour que tu le contacte, ainsi qu'un peu d'argent de poche pour te payer ses services. La moitié de la liasse devrait suffire à le payer, sert toi de l'autre moitié pour t'acheter des vêtements plus appropriés, je t'ai mis un bon catalogue dans l'enveloppe et ton dresseur choisira pour toi ! Sinoooooon ... PUNITION !!! C'est un crime absolument infâme que de cacher ton si joli petit corps avec ses horribles vêtements, c'est un BLASPHÈME !!! Ô Dieu des pervers pardonne cette enfant, elle ne sait pas ce qu'elle fait ... Ah et au fait, invente un prétexte pour que tes parents l'acceptent chez toi, je veux qu'il te dresse à la maison, c’est tellement plus drôle. Tu ne trouve pas ?

Mais ne t'inquiète pas Lizzie, Dieu t'aime et meurs d'envie de te pilonner les fesses, Dieu aime toutes les petites salopes de ce monde, toi compris. Je te sauverai et je te ramènerai sur le droit chemin, comme j'ai sauvé de centaines de brebis égarées en les purifiants de mon gros crucifix. Ta jolie fente sera purifiée par le saint fluide des milliers de fois, ainsi tu pourras échapper aux démons et ton âme sera sauvée des flammes de L'ENFER !!! Je prie avec toi pour la réussite de ta mission, que le seigneur te prenne en levrette mon enfant."


Ce mec ou cette femme ou cette chose était complétement folle à lier, je n'en revenais pas d'être tombée sur un malade pareil et je me sentais encore plus mal après avoir lue la lettre. Je n'arrivais plus à respirer, complétement paniquée et je me suis précipitée vers les médicaments qui étaient posés sur ma table de chevet. Mes mains tremblaient et ma vision se troublait à cause du manque d'air, j'ai réussir à ouvrir la boite mais elle m'échappa des mains et tout les cachets furent éparpillés au sol. A bout de nerf, je me suis surprise à sortir une insulte :

"Merde, merde, merde, merde et merde !"

Et je me suis jetée par terre pour ramasser lamentablement mes foutus médicaments et les avaler le plus vite possible. J'étais par terre, couchée sur le dos au milieu des cachets, le bras placé devant mes yeux et pendant que je reprenais mon souffle on pouvait voir des larmes couler sur mes joues. Je ne voulais pas appeler cette ordure, je ne voulais pas lire ces lettres de merde, je voulais juste me recoucher et oublier tout ça. Sans réfléchir j'ai pris le téléphone, j'ai fais le numéro et je me suis retrouvée avec quelqu'un au bout du fil et j'ai dis :

"J-je ... On m'a dit de vous appeler pour un ... Dressage ... Je vous payerai bien et mes parents ne doivent pas savoir, je leur dirai que vous êtes heu ... Un professeur pour m'aider à réviser. J-je ... Je veux que vous me dressiez comme un animal et que vous m'aidiez à devenir ... Différente ... Je vous donne l'adresse, je suis au ... A-au 24 rue Asekawa à Seikusu. Et dépêchez vous de venir que je sois quitte ..."

Puis j'ai raccroché immédiatement après avoir balancé mon texte sans interruption, je n'avais même pas pris la peine de dire "bonjour" et "au revoir", s'il voulait me punir pour cela après et bien tant pi. J'ai séché mes larmes et je me suis habillée avec mon uniforme scolaire, après tout un professeur à domicile restait un professeur et mes parents seraient plus convaincus s'ils me voyaient prendre la chose au sérieux de cette façon. Je suis donc allée les voir dans le salon et je me suis forcée à sourire pour leur dire :

"Papa, Maman, je ne voulais pas vous le dire mais ... Je ne suis plus satisfaites de mon travail à l'école et j'ai appelé un professeur particulier pour m'aider à réviser, il devrait arriver bientôt."

Mes parents parurent soulagés et me répondirent :

"Ah c'est juste l'école ! On voyait bien ta mère et moi que quelque chose n'allait pas et on avait peur que ce soit grave. Bien sûr ton professeur est le bienvenu à la maison, je vais aller préparer du thé pour le recevoir quand il arrivera."

De toute façon ils ne pouvaient pas m'aider, donc autant qu'ils croient que tout se passe bien pour moi, les inquiéter ne servirait à rien. Je suis remontée dans ma chambre en attendant, j’appréhendais énormément et je commençais à avoir une boule au niveau du ventre et des problèmes pour respirer. Je n'avais qu'une hâte, qu'il arrive, qu'il fasse son affaire et surtout qu'il se barre !
Vrai nom : Lizzie Carter / Nom officiel : Aya Suzuki

~~ Mon histoire ~~
Merci d'envoyer vos MP à mon compte principal : Inuko

Hiro

E.S.P.er

Re : Allo ? Maître ? [Pv Hiro]

Réponse 1 dimanche 20 mai 2012, 18:12:39


Marrant... Il n’y a pas d’autres mots pour caractériser comment la tournure que la journée avait prise. Comme à mon habitude, j’avais commencé à travailler tôt; à environ cinq heures, j’étais assis à mon bureau, un grand café sur le bureau histoire de me réveiller un peu plus. Deux heures ont passé quand même normalement; À cette heure, personne ne m’appelle, je peux donc terminer mes dossiers en suspens sans me faire déranger… Mais là, dans les environs de 7-8 heures, mon portable se mit à sonner. Étrange, personne ne m’appelle à cette heure! Je n’eus qu’à peine le temps de décrocher le téléphone qu’une jeune femme se mit à parler…

Un dressage?  Bon sang! Il y a quelques années, une jeune femme, nommée Saya, m’avait aussi appelée pour un dressage… Une fois que j’étais là, elle m’avait expliqué qu’un homme lui avait demandé de m’appeler, ça devait être le même qui lui avait donné mon numéro… Bien, je devais me faire passer pour un professeur du Lycée de Seikusu, me rendre chez elle et la dresser, alors que ses parents seraient tout juste dans la pièce d’à coté! Ce serait un sacré défi, mais quel défi intéressant!

Première chose à faire, retracer l’appel. Elle ne m’avait pas dit son nom, et j’avais besoin de ça pour être préparé. Appelant au  commissariat, je demandai à un de mes hommes de retracer l’appel que j’avais reçu sur mon portable. Je n’avais pas besoin de l’adresse, seulement du nom de la personne y résidant. Après deux minutes, le policier à ma solde me donna un nom : Carter… Ils n’étaient donc pas japonais. Bien, entrainer une européenne me changera un peu, je commençais à être fatigué de toutes ces japonaises à violer…

Donc, un petit changement de style vestimentaire s’imposait : Je troquai mon complet pour des pantalons noirs, une petite chemise blanche avec une camisole noire avec quelques petites lignes blanche, rendant le noir carottés, en par-dessus. Bon, maintenant que tout ça était prêt, il ne me restait qu’à me trouver des livres du Lycée…

Quelques minutes plus tard, je me retrouvais devant un professeur, qui me donna, en échange de quelques billets, son manuel, il ne fallait tout de même pas arriver là-bas sans avoir de manuel. Ensuite, dernier arrêt,  le 24 rue Asekawa! Il ne me fallut pas beaucoup de temps pour trouver la petite maison normale, sans grands apparats. Arrêtant ma voiture devant la porte, dans la rue, j’attrapai le manuel avant de sortir de la R8.

Appuyant mon doigt contre le bouton de la sonnette,  j’attendis quelques secondes avant qu’un homme ne vienne ouvrir la porte.

Vous devez être Monsieur Carter! Je suis Hiro Atayoshi, j’enseigne à votre fille! Elle m’a demandé de venir faire un peu de tutorat avant le contrôle, qui aura lieux la semaine prochaine!

Oui, Bien sûr! Lizzie nous a parlé que vous étiez censé venir! Mais il est un peu tôt, pour un jour de congé Monsieur Atayoshi, non?

Je suis toujours là pour mes étudiants!... Je peux entrer?

Mais bien sûr! Ma femme a fait du thé, vous voulez bien en prendre avec nous avant de commencer votre labeur?

D’un petit sourire, j’acceptai faussement avec joie l’invitation. Entrant dans la petite maison, la mère m’offrit une tasse de thé avant de m’assigner une place, près d’une jeune fille… Ce devait être Lizzie. Un petit « Bonjour! » sortit de ma bouche alors que je m’assoyais.

J’ai cru comprendre que vous étiez Anglais? Lizzie m’a parlé de ses origines… J’ai moi –même été en Angleterre, à quelques reprises. Un ami proche y habite.

Quelques minutes de discussion avec ses parents, le temps que je finisse ce thé plutôt goûteux, quoique moins bon que les thés que je suis habitué de boire… J’attrapai alors  le manuel qui était posé à mes côtés, avant de lancer mon plus beau sourire au vieux couple.

Je suis vraiment désolé de couper court à notre conversation, aussi palpitante soit-elle, mais je crois que nous devrions commencer, Lizzie et moi, au plus tôt. Ainsi, je pourrai vous laisser tranquille!

Nous comprenons que vous avez probablement autre chose à faire d’un congé, mais sachez que vous ne nous dérangez pas, vous êtes de si charmante compagnie! Allez-y, nous tâcherons de ne pas vous déranger.

D’un nouveau sourire, je regardai Lizzie en me levant.

Tu me montres où nous pourrions travailler? Je ne veux pas non plus déranger tes parents durant le tutorat!

La jeune femme se leva alors, avant de se diriger vers sa chambre. Une fois nous deux dans sa chambre, elle ferma, et même verrouilla sa porte. À ce moment, je pus finalement lâcher mon rôle d’homme aimable et m’assit sur son lit, les jambes croisées.

Tes parents sont adorables… Bon, en quoi consiste ce que tu veux que je fasse au juste? J’ai bien besoin d’indications… Au fait, ils peuvent nous entendre?

Lizzie Carter

Humain(e)

Re : Allo ? Maître ? [Pv Hiro]

Réponse 2 dimanche 20 mai 2012, 21:06:16

Bon je suppose qu'un professeur particulier vient dans les chambres de ses élèves, le seul problème de ma chambre c'est que les murs étaient assez fins et qu'on entendait beaucoup de choses. Et en plus le salon était juste en dessous, donc niveau discrétion c'était vraiment pas ça, les conversations devront se faire à voix basse et il faudra probablement qu'il fasse semblant de m'expliquer des choses. Et comme l'avait dit l'autre dingue dans sa lettre : "il ne doit être au courant ni pour lui, ni pour les enveloppes." en d'autres termes il fallait que je trouve une cachette pour les deux premières enveloppes. Sous le lit ? Trop évident. Derrière l'armoire ? Pour deux ça passerait mais, ce sera vite plein. *Où ? Où ? Où ? Ah, je sais !* J'ai pris une paire de ciseaux et j'ai pensé un instant à les détruire, avant de me raviser. La personne qui me les avaient envoyé n'était pas normale et j'avais peur de sa réaction en voyant ce que je faisais de ses lettres, Saya était morte à cause de ce taré et je ne voulais pas finir comme elle pour une raison aussi stupide.

Finalement elles ont finis dans un tiroir vidé pour l'occasion, je pourrais toujours trouver une meilleure cachette plus tard et la seule chose qui comptait c'est que ce prof ne les trouve pas. Je n'ai pas eu le temps de souffler qu'une voiture s'arrêtait dans la rue, c'était surement lui et je n'étais pas du tout prête psychologiquement à le rencontrer. J'ai pris mes médicaments en vitesse avant de descendre dans le salon pour m’installer à la table où le thé serait servit et la sonnerie a retentit. *Mais qu'est ce qu'il va se passer ? Je fais quoi là ? Pitié, faites que ça passe vite ...* C'est papa qui a ouvert la porte et effectivement, c'était bien mon "professeur" qui arrivait et il s'appelait Hiro Atayoshi. J'aurai voulu y voir un monstre sanguinaire violeur d'enfants, ça aurait collé avec l'image que je me faisais de lui mais, à la place je me retrouvais face à une personne bien-élevée et sympathique. Je dois dire que son attitude face à mes parents me troublait, si je l'avais croisé dans la rue je ne me serais jamais douté qu'il avait pour passe temps de "dresser" des jeunes filles pour des pervers psychopathes. Mes parents ne l'ont heureusement pas remarqués mais, lorsqu'il m'a adressé son "bonjour" je n'ai rien répondu, j'étais perdue dans mes pensées et je n'avais pas envie de le mettre trop à l'aise.

Les minutes de discussion qui suivirent furent les plus longues de ma vie, j'avais peur qu'il dise une énorme connerie et foute tout par terre. D'ailleurs ça ne m'aurait pas déplut s'il n'y avait pas la punition derrière en cas d'échec. Ainsi ils parlèrent de la pluie et du beau temps, en passant par : "votre fille est sérieuse et attentive mais, depuis quelques temps elle a une petite baisse de régime, rien de dramatique.", histoire d’inquiéter suffisamment pour justifier sa présence et pas assez pour faire naitre des soupçons. En fait, il était plutôt fort à ce petit jeu là, on sentait bien qu'il avait l'habitude de jouer la comédie et de tromper les autres, il aurait surement fait un excellent commerçant. Et finalement ce fut mon père qui m'acheva :

"Nous comprenons que vous avez probablement autre chose à faire d’un congé, mais sachez que vous ne nous dérangez pas, vous êtes de si charmante compagnie! Allez-y, nous tâcherons de ne pas vous déranger."

*Non il n'a pas autre chose à faire ! Je vais le payer pour ça en plus !!! Non ! Il nous dérange !!! Et surtout ... J'espère bien qu'on sera suffisamment dérangé pour qu'il n'aille pas trop loin !!!* m'offusquais-je intérieurement en finissant mon thé. Je n'en ai, bien entendu, rien dis à voix haute. En tout cas il m'invitait maintenant à lui montrer ma chambre et j'avais deux choix de réponse, la réponse honnête et froide que j'avais envie de lui balancer à la figure et la réponse totalement hypocrite qui me permettrait de réussir ma "mission" sans encombres. J'ai donc répondu :

"Oui bien sûr M. Hiro, suivez moi."

Le tout avec un grand sourire qui ne paraissait pas forcé mais, qui l'était bel et bien. Je l'ai emmené à l'étage et dès qu'il est entré à l'intérieur de ma chambre j'ai verrouillé la porte, c'était déjà assez pénible comme ça donc autant ne pas être dérangés.

"Tes parents sont adorables… Bon, en quoi consiste ce que tu veux que je fasse au juste? J’ai bien besoin d’indications… Au fait, ils peuvent nous entendre? "

J'ai répondu à voix basse :

"Si vous ne parlez pas trop fort ça ira, je pourrais dire que nous parlions à voix basse pour ne pas déranger, ça ne posera aucun problème. Et personnellement j'adorerai que vous ne fassiez rien justement mais, ce n'est pas comme si j'avais le choix. Il faut que vous me dressiez pour faire ressortir mon côté "animal de compagnie" et que vous choisissiez des vêtements pour moi dans ce catalogue ! Concernant l'argent, la moitié de la liasse est pour vous et l'autre moitié servira pour acheter les articles du catalogue."

Je lui jeté le catalogue sur le lit, tout en adoptant une attitude plutôt autoritaire, je ne voulais pas qu'il ai ne serait-ce qu'un début d'autorité sur moi, même si le but était de me dresser. J'étais terrifiée, seule avec un homme adulte dans ma chambre fermée à clé alors que je connaissais ses intentions, ma dernière défense c'était ma langue. Alors je le prenais de haut, en espérant qu'il aurait peur de la présence de mes parents non loin, qu'il resterait calme et qu'il empochera simplement l'argent avant de se barrer. Après tout la lettre ne mentionnait pas l'obligation de lui obéir, elle disait juste que je devais l'emmener dans ma chambre et le laisser choisir les articles que j’achèterais. S'il n'était pas capable de dresser une fille de 18 ans je n'y étais pour rien après tout, donc autant tenter le coup pour voir si l'imposteur me laisserait tranquille ou non.

Mais je dois avouer que le catalogue m’inquiétait, c'était de catalogue d'un sexshop en ville qui semblait être spécialisé dans les tenues et accessoires utilisées dans le monde du BDSM. En plus j'avais remarqué que le coupon de commande avait été pré-remplit avec une adresse différente de la mienne, que je ne connaissais pas et ça m'intriguait encore plus. Pour finir, je me suis sentie obligée de rajouter pour le menacer :

"N'oubliez qui est l'invité ici et qui vous paye surtout. Gardez aussi à l'esprit que je n'ai qu'à crier pour vous envoyer en prison."

C'est un rôle qui m'allait très mal, celui de la fille forte qui tient tête à son agresseur et le met en déroute juste grâce à son courage naturel. Car dans mon cas il aurait fallu être aveugle pour ne pas remarquer que je tremblais comme une feuille. En fait, je savais très bien que pour réussir ma mission il faudrait que je lui obéisse au doigt et à l’œil, en espérant que les ordres seraient raisonnables. Mais l'idée de perdre tout contrôle de la situation me terrifiait, je devais tout contrôler pour que tout se passe bien et d'un autre côté je mettrai probablement mon livreur d'enveloppes en colère si je n'abandonnai pas ce rassurant contrôle. En tout cas j'avais un mauvais pré-sentiment, je ne sentais vraiment pas ce M. Hiro et pour être totalement honnête, il me foutait la trouille.
Vrai nom : Lizzie Carter / Nom officiel : Aya Suzuki

~~ Mon histoire ~~
Merci d'envoyer vos MP à mon compte principal : Inuko

Hiro

E.S.P.er

Re : Allo ? Maître ? [Pv Hiro]

Réponse 3 mercredi 23 mai 2012, 02:50:39

Oui, ils pouvaient nous entendre… En voilà une mauvaise nouvelle! J’avais toujours été habitué à ce qu’on entende mes dressages, car ceux qui pouvaient entendre savaient ce qui se passaient et s’en foutaient éperdument, mais là, je devrais user de tact, un petit mot trop fort pouvait faire monter la suspicion chez les parents et à peine auraient ils monté qu’ils auraient alerté les autorités, et là adieu cher contrat lucratif avec ce fou au service du Dieu de la luxure. Silencieusement, je me levai avant de faire le tour de la petite chambre, ou les murs, comme la jeune femme me l’avait dit auparavant, semblaient effectivement très minces… J’allais devoir jouer au professeur sympathique à voix haute en même temps que de jouer mon rôle de dresseur de jeunes femmes à voix basses… Si les parents n’entendaient rien, ils seraient suspicieux et viendraient souvent frapper à la porte pour voir ce que nous fabriquons…Si je peux éviter la mort de deux personnes, c’est le plan que je vais suivre, je n’ai pas besoin de risquer de perdre du profit parce que je n’ai pas été prudent.

Pour l’autre, Saya, j’ai pu choisir le lieu de mon choix; à savoir un entrepôt désaffecté en retrait de la ville, ou elle pouvait crier comme elle le voulait; et elle le faisait constamment. Saya était une jeune femme de caractère et elle ne voulait pas servir de jouet sexuel à ce genre de personnage… J’avais réussi à briser ce sale caractère qu’elle avait, à la fin elle ne me regardait plus dans les yeux. Cependant, mon employeur avait trouvé qu’elle prenait trop son temps pour devenir une femme de luxure, un jouet, alors il avait envoyé quelques uns de ses hommes pour la reprendre, l’un d’entre eux spécifiant que ce n’était pas mon erreur mais la sienne, qu’ils avaient mal jaugé la jeune femme. Me remettant mon argent, ils m’avaient assuré qu’ils referaient affaire avec moi… Eh bien aujourd’hui, je pouvais confirmer leurs dires.

 Soudainement, comme prise d’une volonté nouvelle, elle se mit à me menacer, me disant qu’elle pouvait crier à tout moment pour que je me retrouve en prison, de ne pas oublier qui me payait… Cette petite semblait avoir une certaine confiance en soi, enfin dans ses paroles. Tout de même courageuse, la petite Lizzie Carter Elle aurait pu croire ce qu’elle disait, vraiment, si elle avait été plus confiante… Il y a deux manière d’avoir confiance en soi en parlant; ce qu’on dit et la manière dont on le dit. Or c’est de ce dernier élément qui manquait de conviction. Il était temps de montrer à qui cette petite écolière avait à faire. En un éclair, je sortis mon magnum de sa pochette, située entre mes reins, avant de placer le bout du suppresseur sur la jolie pommette droite de Lizzie, le tout dans un même et unique geste. Dans un petit sourire qui n’augurait rien de bon, je murmurai, histoire qu’elle soit la seule à entendre.

 Et toi, tâche de ne pas oublier la besogne que -tu - m’a confiée… Pour le paiement je sais qu’il ne vient pas de toi, et que tu n’es pas la première à passer entre mes mains pour la personne qui veut ton dressage. Au fait, si tu me désobéis, tu sais probablement ce qui va t’arriver… Mais si tu cri, ou tu alerte tes parents d’une quelconque manière, voici ce que je vais te faire; je t’attache sur le lit, je vais chercher tes parents et je les égorge comme des porcs sous tes yeux impuissants avant de te laisser à la merci de ton maître. Penses-y donc un peu avant d’ouvrir ta bouche pour dire des paroles mal assurées qui pourraient te coûter cher… Bon! Très chère Lizzie, et si nous commencions  ton tutorat! Tu veux bien me montrer les exercices dont tu as le plus de difficulté?

 Rangeant mon arme dans son étui, je lâchai ma dernière phrase plus fort, n’éveillant donc pas les soupçons de ses parents, qui étaient juste sous la chambre. Attrapant le catalogue qu’elle avait balancé sur le lit je me suis mis à le feuilleter tranquillement, laissant Lizzie le soin de paniquer intérieurement, se demandant ce que je pourrais bien faire d’elle…Pour ma part, je n’avais pas pris le temps de me faire un petit plan sur ce que je devrais faire, car je n’avais pas vraiment eut d’instructions précise; je devais la dompter, oui, mais pour en faire quoi? L’homme ou la femme derrière toutes ses enveloppes, car oui j’étais au courant pour les enveloppes, ne donnait que des instructions très globales, ou à moins que ce ne soit qu’elles qui laissent peu de choses qu’elles avaient lu sur lesdites lettres.

 Ce magazine ne me disait rien, probablement parce que je n’avais pas vraiment besoin de ce genre de choses pour trouver une femme excitante, enfin, il m’était arrivé une fois d’apprécier une femme pour son costume de Sheeva… Chose que je n’ai pas du tout regretté par la suite. Quelques ensembles me plurent, d’autres n’avaient pas grand-chose d’intéressants… Moi, personnellement, le latex n’est pas ma préférence, alors ce genre de choses… Alors, soudain, je vis quelque chose qui me plaisait bien. D’un petit sourire, j’attrapai un stylo sur le bureau de la jeune femme, puis j’inscris le numéro du produit sur le bon avant de tendre le manuel ouvert à la page ou j’avais trouvé l’ensemble, un petit sourire satisfait aux lèvres. D’une voix à peine audible, je finis par ajouter         

  Bien, maintenant que ceci est fait, il serait bien de commencer ce pourquoi je suis payé…Je me doute bien que tu n’obéiras pas à mes demandes et, contrairement à ce que tu peux croire, ta douleur ne m’intéresse pas. On m’a payé pour faire un travail, et je dois le faire… Te voir recevoir une punition comme Saya a reçue avant sa mort… Non, je n’ai pas envie d’assister à ça, de plus que c’est mauvais pour les affaires… Tu vois, Lizzie, ton erreur pour cette formule, c’est que tu as fait la racine carrée de 4, alors que le 4 était déjà à la puissance 2...Tu aurais dû faire la racine carrée de seize!

 Bon sang que ça allait être divertissant! À cause de la proximité des parents de Lizzie avec la chambre dans laquelle nous nous trouvions, j’allais devoir alterner ordre de dressage et séance de tutorat, pour plusieurs sujets! Par ailleurs, en parlant de divertissement, rien ne me gênerait à voir cette petite garce se faire prendre par des terranides-porcs, tous aussi gluants les uns que les autres, mais je devais d’avoir l’air d’un gentil, ou plutôt d’un allié dans cette histoire, le dressage se fera de manière plus rapide, elle sera plus obéissante si elle croit que je veux le mieux pour elle… Mais il est tout de même vrai que ce serait mauvais pour les affaires; j’aurais échoué et donc perdu de ma notoriété! Pauvre petite Lizzie Carter, si jeune et si innocente…Innocence qui la quittera lorsque j’en aurai fini avec elle.

 Je tirai alors de ma poche un petit flacon, contenant une petite substance rosâtre, que je posai sur le bureau. Cet aphrodisiaque, je l’utilisais déjà bien avant que ma famille n’avait disparût, la première de mes proies étant une jeune femme-dragon a peu près du même âge que Lizzie… Il faut dire depuis que j’ai acheté tous les droits sur cette fameuse potion et j’ai fait en sorte que cette chose devienne parfaite.

Tu vois, ce liquide? Une gorgée te fera endurer, même adorer, ta première séance de dressage qui, j’avais oublié de le mentionner, durera tout le week-end; Samedi et Dimanche tu seras chez moi, histoire de te mettre dans la situation que ton maître veut probablement pour toi; servir dans un bâtiment qui ne sera pas le tien… Tu te débrouilleras pour l’annoncer à tes parents. Fait ce que tu veux, je m’en fous; ment leurs, tu as l’air doué pour ça… Bref, ceci est un  aphrodisiaque; une gorgée tu apprécies te faire prendre pour le moment, lorsque tu auras joui les effets vont se dissiper, mais si tu bois tout le contenu du flacon… Là, tu vas devenir une véritable nymphomane, tu ne supporteras pas les moments ou personne ne te pénètre, ou tu ne peux même pas te toucher...Et tu meurs, dans les quatre jours à venir, d’une souffrance innommable. Donc, tu as le choix, ou tu endure le dressage d’aujourd’hui, ou tu en fais une partie de plaisir, ton choix. Par contre, je veux que tu saches les règles : Le refus d’obéir sera sévèrement puni. Règle numéro 2 : Tout ce que je veux qui sorte de ta bouche c’est un « oui Maître »Sauf ou je te dirai de parler pour duper tes parents, est-ce bien clair? Oui, c’est très bien comme raisonnement pour ce problème! Je vais te laisser faire, tu sembles bien partie! Maintenant, je veux voir ton corps, sans tous ses vêtements contraignants… Il fait chaud, n’est-ce pas, Lizzie?

 Parfaite excepté son côté mortel, évidemment. J’ignore pourquoi, je me plaisais à songer à Monsieur et Madame Carter, assis dans le salon et lire, ou encore écouter la télévision, jetant parfois une oreille distraite sur ce qui se passait en haut; les bruits n’étant pas louches, ils ne devaient pas vraiment se douter qu’un homme prévoyait, sous l’ordre d’une autre personne restant anonyme, de dompter leur fille afin d’en faire un petit jouet personnel… Il faut croire que l’humain a échanger contre la société l’instinct animal qui dicte à tous les animaux de se méfier lorsque quelque chose parait louche, de se tenir loin du danger déguisé… Être un prédateur sur Terre est tellement plus simple que de l’être sur Terra…

Lizzie Carter

Humain(e)

Re : Allo ? Maître ? [Pv Hiro]

Réponse 4 dimanche 27 mai 2012, 02:10:24

Voir un flingue dans un film peut vous faire penser, qu'à force, vous finissez par vous habituer à cette vision, qu'elle ne vous ferait rien si vous y étiez confronté dans la vraie vie. Sauf que lorsque cela vous arrive réellement, vous avez beau vous retenir et tenter de faire la dure, c'est au final l’irrésistible envie de vous pisser dessus qui l'emporte. Bien que ma culotte soit toujours sèche, je n'en mène pas large, mon cœur s’emballe, ma respiration s’accélère et j'oublie tout mon petit scénario pré-écrit. Hors de question de continuer à le contrarier, il a l'air sérieux lorsqu'il dit qu'il compte tuer mes parents s'ils remarquent quoi que ce soit de suspect et je ne veux pas tenter le diable.

Lorsque enfin il range son arme, la tension retombe d'un cran et je m'assoie sur le lit le temps de me remettre de mes émotions. Cet homme représente tout ce que je peux détester : hypocrite, manipulateur, violent, pervers et impassible. On sentait chez lui une certaine habitude, ce n'était clairement pas la première fois qu'il menaçait quelqu'un avec une arme. Tout cela n'avait fait que renforcer ma première impression sur lui et malheureusement pour ses plans, il avait perdu toute chance de paraitre gentil à mes yeux. À partir du moment où son arme avait été sortie de son étui et qu'il avait ouvertement menacé la vie de mes parents, il n'y avait plus de collaboration consentie possible. Je n'ai peut être pas encore une grande expérience de la vie mais, je suis suffisamment intelligente pour différentier quelqu'un qui me veut du bien et quelqu'un qui cherche à profiter de moi. Et dans son cas, il n'y avait plus aucune chance qu'il obtienne un jour ne serait ce qu'un début de confiance de ma part.

Tandis que j’appréhendais la suite et que je reprenais mon calme, lui feuilletait tranquillement le catalogue, heureusement il ne semblait pas emballé par ce genre de choses. Au moins ça lui évitera de m'affubler de n'importe qu'elle horreur, je n'avais pas osé regarder les produits proposés mais, j'avais une vague idée de ce dont il s'agissait. Finalement il a choisit quelque chose et je n'ai pas pris la peine de regarder, je ne voulais pas savoir, pas pour l'instant, au moins cette partie de ma mission était accomplie. Puis j'ai soudainement réalisé que si M. Hiro ne parvenait pas à faire ressortir mon "côté animal" ma mission échouerait, non seulement je ne pouvais pas lui dire non mais, en plus je devais lui faciliter la tâche si je ne voulais pas être punie. Le gros problème de ces foutues lettres, c'est qu'elles étaient tellement vagues que je ne savais pas ce que je devais faire exactement pour réussir. Du coup, j'étais obligée d'en faire le plus possible en espérant que ça passe, je ne pouvais pas me contenter de subir et il faudra que je me détruise moi-même pour ne pas mourir de la même façon que cette Saya.

Et c'est justement ce moment-ci qu'il choisit pour me parler de Saya, me remémorant les images de son corps complétement souillé, son visage déformé par un plaisir dépassant ce que son corps et son cerveau pouvaient endurer. Par la même occasion j'ai appris que la fameuse Saya était passée entre ses mains. C'est alors que j'ai vraiment réalisé que je n'avais aucune échappatoire, je devais l'aider de toute mes forces pour réussir ma mission, il devait parvenir à me dresser et faire ressortir mon côté animal. S'il échouait, j'échouais aussi et si j'échouais je serais punie, si j'échoue trop je finirais comme Saya, morte.

Il m'a ensuite montré un flacon contenant un puissant aphrodisiaque, m'expliquant que suivant la dose je serai soit stimulée, soit transformée en véritable nympho. Je me suis alors mise à pensé que sous l'effet de cette substance les choses seront peut être moins insupportable. De toute façon ce n'est pas comme si j'avais le choix. Je me suis déshabillée comme l'exigeait Hiro, j'étais rouge de honte mais, ce n'était plus très grave. Puis j'ai attrapé le flacon d'aphrodisiaque avant d'en vider totalement le contenu, sous les yeux surpris de mon "maître". Puis je me suis mise à quatre pattes, à ses pieds, lui expliquant mon geste en attendant que la substance fasse effet :

"De toute façon je n'ai pas le choix, donc autant y aller à fond dès le départ. Si vous n'arrivez pas à me dresser et à faire ressortir mon côté animal, je serais punie et un jour je finirai comme Saya. Donc s'il vous plait maître, faites tout ce que vous pouvez pour que ça n'arrive pas ..."

Avec un peu de chance et de bonne volonté, je pouvais rendre les choses moins difficiles mais, ça impliquait d'abandonner autre chose en échange, ma fierté. Et ce n'est pas ma fierté qui me sauvera si l'autre dingue aux enveloppes décide de me supprimer comme son cobaye précédent.

Puis le produit a commencé à agir, j'ai commencé à me cambrer contre ma volonté, à me tortiller lubriquement, c'est comme si mon corps était devenu beaucoup plus sensible au toucher. La température de mon corps grimpait en flèche tandis que je commençai à haleter, déjà à court de souffle. Ma vue a commencée à se brouiller, ma peau est devenue humide, je n'avais jamais été autant excitée, j'arrivai à peine à retenir mes gémissements. J'espérai simplement que le dressage serait le plus court possible et pour ça je devrais faire tout ce qui est en mon pouvoir pour aider Hiro dans sa tâche. En tout cas on voyait bien à mon visage que tout cela me dégoutait mais, c'était soit ça, soit des centaines d'hommes-porcs obèses et sales me prenant des heures durant. La seule question que je me posais c'était : Et s'ils arrivaient vraiment à me détruire et me recréer comme ils le désirent ? Peut être que je finirai par considérer cette punition comme une récompense ou pire, peut être que je deviendrais complétement accroc ?
Vrai nom : Lizzie Carter / Nom officiel : Aya Suzuki

~~ Mon histoire ~~
Merci d'envoyer vos MP à mon compte principal : Inuko

Hiro

E.S.P.er

Re : Allo ? Maître ? [Pv Hiro]

Réponse 5 mercredi 30 mai 2012, 02:25:29

J’avais senti dans son regard qu’elle ne m’accorderait jamais de confiance… J’avoue que de menacer ses parents avant de lui dire que j’étais là pour son bien, ce n’était pas une si fameuse idée… Mais bon, je n’en ai rien à cirer d’elle, mais nous voulons tous les deux une chose : Qu’elle réussisse. Moi, pour pouvoir être payé et aussi pouvoir revenir un jour dans une maison semblable, pour la même raison que j’étais présentement ici. Elle, pour ne pas avoir à se faire ‘’punir’’.Quoiqu’elle en pense, notre but à la fin de cet exercice est le même, et ça fait, d’une certaine manière, de moi son ami, son complice.

 Mais surtout son maître.

 Se déshabillant, le visage devenant rouge comme une tomate, elle m’obéit, avant de venir se poster devant moi, s’agenouillant. Réajustant mes lunettes sur le bout de mon nez, je souris en coin avant de lancer.

  Très bien Lizzie! Tu as bien compris ce qu’il fallait faire! … Maintenant… Regardes ceci

 Lentement, histoire qu’elle comprenne avant même ce que je faisais ou je voulais en venir, je détachai mes pantalons avant de sortir tout l’attirail reproducteur que je possédais, le barreau de chair étant au repos. Glissant le dos de ma main sur la joue de la jeune femme, je murmurai

  Nous savons tous les deux que tu n’es pas le premier jouet de ton ‘’maître’’, et donc qu’il a dû en voir des femmes nues. Comme le mien, son sexe ne réagira pas ou presque à ton corps… Ce qui ne veut pas dire que tu es laide, bien au contraire! Ton corps est parfait, soit dit en passant… Tu devras donc agir en conséquence, sans qu’il ne te le demande…Mais parfois, il se lassera de te voir utiliser tes mains ou encore ta bouche, pour le stimuler… Stimule-moi avec n’importe qu’elle partie de ton corps… Tu peux même alterner, changer de position, si tu le souhaites… Profites-en bien, tu n’auras pas beaucoup d’autres libertés!  

 Putain de curiosité; je n’en avais rien à faire de qui  mettait l’argent dans l’enveloppe, qui était derrière tout ça, mais je devais savoir comment se faisait-il qu’elle soit mêlée à ça

Lizzie, tout comme un tueur à gages face à sa cible, je n’ai absolument rien contre toi, je suis juste payé pour faire un travail, qui m’a été demandé par toi-même… Mais j’aimerais savoir, comment se fait-il qu’une étudiante brillante comme toi, oui j’ai vu et lu ton parcours scolaire, se retrouve dans une telle position? Quel genre d’événements peut amener une fille bien ordinaire comme toi  sur un chemin si sinueux?

 

Pendant un instant, j’avais oublié le rôlequ’on m’avait donné; j’étais ici pour ladresser, l’amener à devenir la bonne petite chienne qu’onattendait d’elle… Poser des questions ne faisait pas partie de mestâches, mais d’un autre côté, comment allait-il (ouelle) savoir que je m’étais intéressé à l’élémentdéclencheur qui a causé un tel chamboulement dans la vie…

 Merde! Il ne fallait pas oublier de jouer le rôle! C’était la chose la plus importante en ce moment; ça allait déterminer ma capacité à prévoir l’imprévisible et surtout à montrer que je suis doué dans ce que je fais… Tiens, et si je demandais un bonus pour avoir fait ça lorsque les parents étaient tout juste sous nos pieds, que chaque craquement inhabituel et inopportun risquait de les amener en haut?

Donc, si tu as bien compris ce chapitre des mathématiques, tu risque bien d’avoir compris le livre en entier! Tout tourne autour du sens spatial… Je vais te dire un secret… Pour ma part, je ne l’ai pas du tout ce sens! J’ai dû travailler très fort pour arriver à comprendre les plans cartésiens!

 Je lâchai un petit rire amusé, complètement faux. C’est quand même bien d’avoir si peu d’émotions en moi; ça me permet de pouvoir les jouer toutes; allant de la tristesse à la joie la plus totale… Mais j’aime par-dessus tout avoir l’air sympathique, mes proies se rapprochent tellement plus de ceux qui ont l’air gentil… Par ailleurs, revêtir le masque de la sympathie m’a permis de duper plusieurs membres des centaines de jurés que j’ai vus tout au long de ma carrière. Je suis un maître du déguisement émotif, mais c’est le genre de comportement que j’utilise avec Lizzie qui me permet de me rappeler qui je suis réellement; à force de trop vouloir se déguiser, on finit par perdre qui l’on est.

 

Comprend-moi sur un point; nous ne voulons peut-être pas la même chose, mais l’intérêt que nous avons-nous mène au même point : terminer ce dressage sans faire trop de vague pour que ce foutu malade soit satisfait, qu’il ne te punisse pas et que tu puisses être débarrassée de moi… Tu comprends? Je ne suis pas là pour te faire punir, mais dire que j’étais là pour ton bien est faux, je n’aurais pas dû te prendre pour une idiote... Donc, mieux vaut que tu fasses ce que je te demande pour finalement regarder cette histoire derrière nous… Qui sait, tu te trouveras peut-être une vocation

Ouais, même moi je n’y croyais pas vraiment…


Répondre
Tags :