Que la chasse commence!(Pv Anéa)

Depuis cinq jours, je me sens épié. Peu importe le lieu, j'ai l'impression qu'on me suit. C'est mauvais signe car je sais que je suis recherché mort. Mais je ne sais pas qui me suit. Je suis dans un lieu public donc je pense que l'assassin ne voudra pas tenter de me tuer. Je suis assis sur un banc et je laisse ma dague dépister l'intrus. Depuis cinq jours le démon analyse toute personne autour de moi.

"Eh je sais qui c'est c'est fille avec les tatouages rouges là bas. Et.... Oh!Oh! C'est intéressant, c'est un ange souillé par un démon. Je ressens l'énergie qui l'entoure d'ailleurs, elle a dut nous ressentir aussi. Il me la faudrait dans ma collection. N'hésite à envoyer tout ce que t'a sur elle. Elle a l'air costaud"

Je n'ai plus qu'à tendre mon piège. Je pars et je l'emmène dans les landes dévastées. Je sais qu'elle me suis à 300 mètres. Un voyageur croise ma route. Une bonne occasion. J'augmente la cupidité de cette homme. Il tente de dépouiller l'ange. Elle se met en colère. J'en profite pour augmenter sa colère, il lui en faut pas beaucoup pour commettre des crimes. Au même moment, elle se lie à moi. Elle ressent aussitôt que je suis le mâle alpha et qu'elle est un membre de la meute. Inconsciemment, elle me reconnait comme étant son maître. Mais ce n'est qu'une sensation. J'augmente sa convoitise. Elle me veut. Ces deux sentiments doivent commencer à lui faire perdre la raison mais cela m'amuse. Je dégaine mon couteau et attend que la petite souris tente de m'attaquer. Elle ne ressent que deux péchés bientôt elle les ressentira tous.

Je souris.

"Elle est tombé dans le panneau."

Profitant de mon espièglerie, je rajoute un dernier élément la luxure. Elle ne peut plus s'empecher d'avoir des poses sexy pendant notre duel. Une bête enragée c'est ce qu'elle devient. J'arriverai à la briser mentalement...

Une nouvelle traque s’offrait à Anéa. Anéa la démone bien sûr. Pour l’instant, sa partie angélique n’avait pas refait réellement surface. Et tant mieux pour les affaires. Aujourd’hui, son travail consistait à récupérer une dague réputée démoniaque. On la savait en position d’un vulgaire terranide. Enfin, « vulgaire » à son arrivée en enfer. Désormais, il était devenu puissant et il valait mieux s’en méfier. Son histoire est un peu connue dans les terres brûlantes des Enfers.

La traque de la demi-démone était braquée sur ce terranide-lézard. Des informations qu’elle avait recueillie semblaient toutes indiquées que le terranide et la dague étaient sur Terra, en particulier dans les landes dévastées. C’est là-bas qu’Anéa se rendit donc. Et c’est dans un parc public, légèrement bondé, qu’elle le retrouve. Elle le sent, son aura l’appelle, et son sang aussi bizarrement. Pourtant, ce n’est pas le lézard qui est démoniaque. Bref. L’affaire aurait pu être vite réglée, pouvant attaquer avec tout ce monde malgré tout. Mais elle avait promis de rester dans l’ombre, de rester discrète dans ses actions d’assassin.

C’est alors que le lézard partit de l’endroit. Anéa savait parfaitement qu’elle avait été repérée par le terranide. Si elle avait réussi à sentir son aura, lui aussi le pouvait, ou du moins, la dague démoniaque. Même s’il s’éloigne, l’ange déchue garde la distance entre eux, pour ne pas le perdre de vue. Elle garde toujours une main sur son sabre, au cas où. Soudain, elle s’arrêta et vit un homme parler au lézard. Qui était-il ? Se faisant discrète, derrière un arbre, elle observa la scène. Cet inconnu se dirigea ensuite vers la jeune femme, les mains en avant, comme pour la peloter. Et d’ailleurs, il posa ses mains sur les hanches de la demoiselle. Mais pas vraiment pour la peloter apparemment. Il cherchait quelque chose, il la fouillait. De l’argent ? Néanmoins, il avait les mains baladeuses, et il en fallait peu pour énerver la belle. Son sabre hors de son fourreau, elle lui coupa les mains pour qu’il ne recommence. Et pour abréger ses souffrances et surtout, ses hurlements, elle lui trancha la gorge. Allez, un cadavre en plus. Elle devait faire vite au risque de perdre de vue le lézard.

Reprenant la marche, en fait, elle s’aperçut qu’il n’avait point bouger et avait observé toute la scène. Chose qui énerva encore plus la demoiselle. Anéa perdit patience et en un éclair, elle se retrouva devant le lézard. Son sabre était à la gorge du terranide, mais bizarrement, elle ne put lui trancher la gorge. Son coup s’arrêta à la peau, la coupant que légèrement. Son esprit recommençait à la tourmenter, mais pas comme d’habitude. Elle restait démoniaque mais c’était étrange. Elle était à la fois énervée et irrémédiablement attirée par cet écailleux. D’ailleurs, lui pouvait le voir et le sentir aussi. Toujours le sabre au cou, elle se rapprocha du lézard, allétante, et se colla tout contre lui. Pourtant, elle restait à moitié consciente.

- Que m’as-tu fait ? Donnes-moi la dague ou bien…

Elle voulait réagir, mais n’y arrivait pas. Elle porta sa main libre sur sa tempe, comme pour calmer la douleur, ou bien la faire revenir à la raison. Elle devait l’éliminer pour récupérer la dague démoniaque et pourtant, elle était sur la voie de l’échec…

Je me retrouva à terre avec ma dague dans la main droite. Elle à réussit à se jeter sur moi et elle se retrouve au dessus de moi ou plutôt je l'ai laissée être au dessus de moi. Elle tente de me tuer, en effet ces yeux ne mentent pas. Mais, elle n'y arrive pas. Elle m'écorche à peine. Une balafre, tout au plus. Le liquide chaud coule sur mon torse. Je n'ai pas été suffisament fort dans le dose. J'amplifie mes pouvoirs. La situation m'amuse, je souris sadiquement. Si ce n'était pas dans un combat, on aurait put croire que j'était un ami qu'elle n'aivait pas vu depuis longtemps. Ma langue sort et lèche la joue de l'ange déchue. Pour m'amuser, j'augmente sa cupidité de façon qu'elle veut et désire mon corps. L'effet arrive et je sens un autre liquide couler sur mon ventre. La mouille de l'ange...

"Hé hé hé, merci pour ce cadeau! Mais j'en veut plus...."

Plus elle mouille, plus cela renforce mon pouvoir. Les trois péchés amplifiées me permettent d'avoir un peu plus l'ascendant sur ma proie et j'en profite pour en rajouter un quatrième: la gourmandise. Une faim terrible l'assaille et elle sait que pour satisfaire ce besoin, il lui faut un homme. Hélas pour elle et heuresement pour moi, le seul homme à la ronde dans les landes dévastées, c'est moi. Elle devrait commencer à vouloir satisfaire mes envies, à de venir petit à petit mon esclave.

-Moi? Mais je ne fais rien... C'est vous mademoiselle qui vous jeter sur moi et qui tenter de me porter un coup de grâce à la suite de quoi vous mouillez sur moi.

Je diminue considérément son orgeuil pour qu'elle soit manipulable à souhait bien qu'à ce stade, elle doit déjà être brisée mentalement mais peut être que ses pouvoirs la retiennent contre la limite mais ce n'est qu'une question de temps. Pour savoir, si c'est le cas ou non, je lui pose une question, une question simple.

- Quel est ton nom? Pour ma part, je suis Veliron. Souviens t'en car je suis celui qui te mettra sur la voie.

"Mais qu'est-ce que tu racontes?"

"Tu ne vois pas? Mes pouvoirs semblent affectées son côté démoniaque. Il serait bon d'amplifier ses pouvoirs après tout les démons peuvent avoir l'ascendant sur leurs pairs, non?

"Mouais, fais ce qui te plait du moment que j'obtiens ce que je veux"

"Bien."

Je voyais bien que l'ange déchue commençait à perdre pied mais je ne souhaitais démarrer, je laissais toujours mes proies choisir leur destin bien qu'elles n'aient pas vraiment le choix.

Impossible. Anéa, même mi-démone, ne pouvait se faire avoir ainsi. Elle se sentait attirée comme une folle vers ce terranide, sans pouvoir l’exécuter comme elle aurait du le faire. Mais elle résiste. Restée au-dessus de lui, elle a réussi au moins à le blesser légèrement. Elle réclama la dague, mais ne put rien faire d’autre de concret. Son esprit la tourmente, lui disant certaines choses qu’elle ne souhaite pas faire. Doucement, elle posa son sabre à côté du lézard, au sol, et revint en position assise sur lui. Sa main vint gifler le visage du terranide. Elle savait parfaitement qu’il jouait de sorts, de magie sur elle, et que cela fonctionnait à moitié. Pour l’instant.

- Donnes-moi cette…Arg…Cette…PUTAIN DE DAGUE !

Elle commençait à perdre son calme. Sa tête tambourine des idées, des envies plus folles les unes que les autres. Ses mains se posèrent sur ses oreilles, pour les boucher. Comme si cela allait arrêter les pouvoirs de l’écailleux d’agir sur elle…Son visage restait crispé, son corps tremblait même. Lorsqu’Anéa posa ses yeux sur la taillade qu’elle avait faite au cou du lézard, elle se sentit irrémédiablement attirée par ce liquide vermillon. Son goût…Elle voulait y goûter, comme l’ange l’avait fait avec Adramelech. Elle plongea son visage dans son cou, et vint y passer sa langue sur la blessure. Un gémissement sortit d’entre ses lèvres, sensuellement. Son corps se mit à onduler, collé à celui du reptile. Son corps était pris d’une envie de le « dévorer » tout entier. Son cou se faisait attaquer par de multiples coups de langue, plus pressants à chaque fois. La mi-démone alla même poursuivre le chemin de sa langue le long de cette rivière de sang qui coulait jusqu’au torse du terranide. Ca y est, elle perdit l’esprit.

- Mmh…Enchantée Veliron. Je me nomme Anéa. Mais tu peux m’appeler comme tu le souhaites, ça n’a pas d’importance…

Et la voilà qui jeta son dévolu sur les lèvres du lézard. Un simple bisou, qui se transforma en baiser, quand l’ange déchu franchit les limites des lèvres de Veliron. Sa langue flirta avec celle du terranide, pour entamer une petite valse. Cessant le baiser, dans un long soupir d’aise, elle se redressa pour être assise sur le reptile. Les joues rougies par l’excitation, elle ne perdit néanmoins pas l’objectif qu’elle avait. Elle tendit la main vers Veliron.

- La dague…Mmh, je ne le répéterai pas…

L'ange avait du caractère, un dernier geste à vrai dire désespérée avant de tomber sous ma coupe. Une gifle...  Mais, elle abandonna son sabre. J'avais gagné. A la suite de quoi, elle goûte mon sang, léchant ma plaie  et allant sur mon torse. L'ange qui se baptise finalement Anéa m'embrasse. Je lui rend son baiser en lui caressant les cheveux. Mais, elle n'oublie pas totalement l'idée qu'elle s'était fixé à la base. "La dague" des paroles vides de sens... Son côté ange ressort. Puis, me vient une idée.

-Tu veux la dague, n'est ce pas Anéa? J'ai une bien meilleure idée de l'usage de cette dague.

Avec la dague, je lui fait une éraflure au niveau du coup comme elle m'a faite. Ma dague puise dans son sang et renforce mes pouvoirs. En effet, le sang de démon et d'ange cumulée font un bon carburant et il en est de même pour sa cyprine. J'augmente considérablement sa luxure car elle a l'air de bien réagir à ce péché. Je lui envoie des images flash qui font effets dans son esprit. Elle a la sensation qu'elle est me désire et qu'elle souhaite m'obéir au doigt et à l'oeil si elle veut pouvoir me consommer.Je lui fait oublier la dague en baissant sa cupidité pour qu'elle ne songe qu'à vouloir son propre plaisir qu'elle ne pourra obtenir en essayant de me charmer au maximum de ses performances. Elle voit en moi un apollon.

-Anéa ou devrai-je dire ma peite chienne puisque c'est ainsi que je désire t'appeler. Pourquoi penser à cette dague? Elle d'aucune utilité pour tes envies. Regarde, tu gémis tant déjà et tu est si excitée. Ne voudrais-tu pas encore goûter ses lèvres? Le mâle que je suis réclame sa femelle, oserais-tu rejeter ma proposition alors que tu est déjà si mouiller? Ne voudrais tu pas que je caresse tes seins? Que ma verge pénètre ton vagin?

Sur ces dernières paroles prononcées, je lui montre une image montrant combien cela pourrait être satisfaisant pour elle d'obéir à cette réclamation du mâle qu'elle désire tant. Je snes d'un autre côté que son angélique diminue de plus en plus.

Dague. La DAGUE ! La dague…Pioup. Et ce mot disparut de l’esprit de l’ange déchue. Ses mains se posèrent sur ses tempes. Quel mal de crâne…Son cerveau était assailli de toute part : sa partie angélique voulait prendre place par rapport à celle démoniaque. Et il y avait ces drôles d’images aussi. Des flashs. S’y mêlaient envie, colère, envie encore, luxure, beaucoup de luxure…Une petite coupure au cou que venait de lui faire Veliron la ramenait quelques instants à la réalité. Une, deux, trois…Et elle se reperdit dans ses images, détruisant sa volonté d’obtenir la dague, de finir sa mission. Nouvel échec.

Le mâle réclame sa femelle. Et la femelle doit obéir. Elle a bien envie de lui céder son corps, qu’il en fasse ce qu’il veut. Mais c’est le côté démoniaque et pervers qui ressortait dans l’esprit d’Anéa. Elle ne répondit pas au reptile. Un sourire coquin aux lèvres, elle se rabaissa sur le corps de Veliron, les mains sur son torse, et vint de nouveau goûter à son sang, puis à ses lèvres. Elle en voulait plus ? Bien évidemment. Son corps ne pouvait tromper personne. Son entrejambe était ruisselante de mouille et ses joues rougies par l’excitation. Cessant le baiser, elle se releva, entièrement debout. La jeune femme ramassa son sabre, le raccrochant à ce bout de tissu miteux qui lui servait de pantalon. Elle s’accroupit juste devant le lézard, encore allongé, et se mit à sourire d’une manière perverse.

- Je veux tout cela…Mais il faut encore que tu me montres que tu en vailles le coup.

Un petit souffle saccadé sortit de ses narines, comme pour réprimer un rire. Elle se releva, et prit direction vers un bosquet, ou plutôt un point d’eau, guidée par le bruit d’une cascade. Son esprit était toujours matraquée par des images plus désirantes les unes que les autres. D’un côté, la femelle réclamait un mâle pour assouvir tous ses désirs et envies, de l’autre, on avait la nouvelle démone qui ne se rabaissait pas vraiment à obéir à n’importe qui.

Volontairement, elle se déhanchait à chaque pas, voluptueuse. Arrivée au point d’eau, armes et vêtements tombèrent au sol dans un bruit lourd. Qu’importe. Ainsi nue, elle regarda d’un léger coup d’œil si Veliron l’avait suivi ou non. Testant l’eau d’un pied, elle finit par s’enfoncer doucement dans ce point d’eau. Puis elle disparut totalement. Une, deux, trois secondes…Soudainement, elle revint à la surface, d’un balancement de tête en arrière, plaquant sa noire chevelure dans son dos. D’un regard qui en disait long, elle invita le lézard à la suivre dans l’eau.

Le pouvoir avait brsé le mental de l'ange déchue et comme je m'y attendais le côté démoniaque de l'ange ressurgit. Bien sur, je pouvais cloitrer ce côté démoniaque mais j'avais pris ma décision. Je voulais que l'ange n'existe plus et que le démon s'empare d'elle. Les lézards ont un côté bénéfique, c'est qu'ils ont le sang froid. Aussi, un tel spectacle ne me faisait pas oublier mon idée première.

Quand Anéa plongea dans l'eau en me demandant de la suivre, j'hésitais. Mais ayant fois en mes pouvoirs, j'enleva mes vêtements, cacha ma dague dans mes affaires et sui vit la démonne. C'est comme ça que je préférais la vie, nue. Les vêtements étaient une seconde peau et les lézards aiment muer.Toutefois je n'écartais pas l'emprise de mon pouvoir sur l'ange voulant que la démonne sorte pour de bon. La luxure devait être à son paroxysme, u humain normal aurait était brise mais pas une démonne.

-L'eau est délicieuse!

Une autre capacité des lézards, c'est qu'il nage plutôt bien! Il ne me fallut pas longtemps pour rattraper la démonne. Je tournoyais dans l'eau autour d'elle. Tel un requin s'apprêtant à donner l'assaut. Par ci, par là, ma queue (celle de l'animal et pas l'autre) donner des coups sur les fesses de la dernières. Elle caressait les parties hérogènes des cuisses. Mes mains ne faisaient rien. tout cela n'était que jeu. J'espèrais que les images et ce contact pousserait la démonne à agir.

-Alors chienne? Ton maître te veut, il a choisit ton élément. A toi d'agir et calmer ce désir qui te submerge.

Je gardais un oeil sur ma dague de crainte que cela soit un piège mais j'avais la situation en main. Cettre créature allait totalement être mienne. Et me permettre d'accomplir mon rituel.

Anéa, la démone, manipulée par un lézard…Y’avait de quoi rire. L’ange déchue en avait oubliée la dague. Quoi de plus normal quand un cerveau schizophrène était pris de multiples tentations comme l’appel à la luxure, à l’obéissance à cette créature d’écailles…Anéa était faible. Mi-démone, mi-ange, sa transformation récente l’avait affaiblie, même si son nouvel état lui procurerait force, puissants pouvoirs par la suite.

Anéa s’était aventurée nue dans un point d’eau, ornée d’une cascade. Ainsi, elle invitait l’écailleux à la suivre, d’un regard qui en disait long sur ses intentions. Son esprit ne pensait qu’au plaisir, guidé de ses yeux qui observaient la créature se dévêtir. Celui-ci s’approcha doucement, nageant en direction de la jeune femme, puis se mit à tourner autour d’elle. Un sourire naquit sur le visage d’Anéa lorsqu’elle sentit ces petites fessées et caresses données par Veliron. Il lui parla, réclamant sa femelle et que celle-ci se fasse plaisir.

Il ne fallait pas dire les choses deux fois à la nouvelle démone. D’une main ferme, elle attrapa la queue du lézard alors qu’il lui donnait une ultime. Elle tira légèrement dessus pour qu’il arrête de tourner autour d’elle et également pour se rapprocher de lui, pour se coller à lui. Ce qu’elle fit en premier ? Elle vint lui voler un baiser, profond et empli de passion, de désir fou. Ses mains ne restaient pas sans rien faire, passant dans son dos de reptile pour le lui griffer, imprégner ses ongles dans sa peau froide. Elle voulait lui appartenir, jusqu’à la moelle de ses os. Cessant doucement le baiser, elle agrippa de nouveau cette queue animale, pour la ramener à sa bouche. Elle en porta l’extrémité entre ses lèvres, et commença ainsi des caresses buccales. Oui, comme si c’était un membre bien tendu et qu’elle y pratiquait une fellation. Elle s’appliquait, le sourire aux lèvres. Elle souhaitait donner terriblement envie à Veliron. Stoppant son affaire un instant, elle vint lui chuchoter quelques mots.

- Imagines ce que je peux faire avec ça…

Sa main gauche s’était portée sur le membre mi-tendu de l’écailleux. Sa main vagabondait, descendant sur ses bourses et remontant sur ce pieu qu’elle sentait grossir sous ses caresses. La nouvelle démone entreprit de le masturber, histoire de le titiller encore plus. Elle souhaitait se donner à lui, mais aussi, que lui la désire, vienne la chercher un peu. Que ça aille dans les deux sens quoi, même si Anéa mourrait d’envie de lui sauter dessus.