La violence faisait partie du quotidien de Cirillia, il se passait rarement une seule journée sans qu'elle ne se trouve dans une situation que d'aucuns qualifiraient de délicate. Cette façon de vivre risquait à tout moment de mettre un terme à son existence, mais elle était ce genre de personnes qui préféraient avoir une vie intense, quitte à ce qu'elle soit courte.
Cet aspect de sa vie se retrouvait donc tout naturellement au cours de ses ébats. Le romantisme ? Une perte de temps et d'efforts. Elle avait pris depuis longtemps conscience d'à quel point la vie était fragile et éphémère, elle voulait de l'instantané, du passionnel, de quoi la faire hurler.
La façon dont Lucius vint à sa rencontre, une fois la porte de la chambre fermée à double tour, ne put donc que lui plaire. Cirillia s'était retrouvée plaquée dos contre la porte, avant que Lucuis ne la soulève par le bassin et ne colle son corps contre elle. Tout dans ses gestes trahissait cette même envie, cette même frustration qui les animaient tous deux. Cirillia enroula ses jambes autour du bassin de Lucius, afin de se maintenir au mieux. Ainsi, et malgré le fait que les deux amants portaient encore leurs vêtements, Cirillia pu sentir cette bosse caractéristique au niveau de l'entrejambe de Lucius, le début d'une bien belle érection pour ce qu'elle pouvait en juger. Glissant ses mains dans le dos de son partenaire afin de se maintenir contre lui, Cirillia l'embrassa langoureusement. Puis, alors qu'il bougeait afin de les diriger tous deux vers le lit, elle avait cessée brièvement se baiser afin de plaquer le visage de Lucius contre son opulente poitrine, lui donnant un avant goût de ces seins qu'il pourrait voir, palper et lêcher sous peu.
Cela dura quelques secondes, le temps nécéssaire pour qu'ils arrivent sur le lit dans de telles conditions de transport. Cirillia se fit allonger dos sur le lit, et Lucius au dessus d'elle, revint l'embrasser. Elle le lui rendit avec d'autant plus de passion que son partenaire la "narguait", frottant son entrejambe entre les cuisses de Cirillia, lui donnant lui aussi un avant-goût de ce qui allait suivre. Son souffle s'accélérait alors qu'elle ondulait son bassin pour accentuer ces frottements, elle se trouvait dans ce délicieux état d'excitation qui lui faisait tout oublier, et se concentrer uniquement sur cette nuit qu'elle allait passer.
Hum, t'a l'air monté comme un étalon, voilà qui est...prometteur...
Ajouta-t-elle avant de donner une petite tape sur le cul musclé de Lucius.