[FINI] Vampire, vous avez dit vampire ? [Iruka Seishi]

L'instant devenait mystique, comment décrire la chose, le temps devenait infini. Il se figeait autour de nous. Sans rien dire, nous étions là, moi au dessus d'elle mordant sa peaux l'entendant alors gémir, mais gémir de manière pour montrer qu'elle aimait ça. Pour ma part, cela m'incitais à aller plus loin, mais je ne pouvais pas non plus la vider de son sang. Prendre déjà une bonne gorgée de son sang lors d'une première fois est toujours assez fatiguant. Pourtant je voulais voir sa réaction, vouloir si elle allait oser demander plus, ou si elle désirait s'arrêter là. Voir si elle allait être plutôt... Raisonnable ou plutôt audacieuse. Pour ma part, je ne pensais rien, ne savant pas du tout ce qu'elle voudrait faire attendant donc patiemment. Je la vis alors reprendre un rythme cardiaque normal ainsi qu'un souffle banale. Ses émotions se calmaient doucement. Elle ouvrait les yeux pour alors poser ses doigts fins sur sa plaie, ses deux trous sensible et visible. Je soupirais pour alors l'entendre parler. Elle semblait hésitante, mais au fond, elle voulait bien faire ça. Recommencer prenant son courage sûrement à deux mains. Je la regardais admirant son côté craintive visiblement, mais surtout sa beauté. Envoûté je m'approcha allongé contre elle désormais pour la laisser souffler.
Je lui souffla alors doucement.

«  Ce genre de sensation peut être... Imité... Le plaisir notamment, mais après tout ceci, c'est à vous de voir pas moi. Mon corps lui a été richement nourris, vous prendre plus de sang  ne sera pas dans mon intérêt, mais dans le votre, ressentir plus de plaisir, ressentir la joie mais aussi le côté agréable de cette morsure... M'enfin je peux essayer de vous faire ressentir de nouveau cela, sans vous faire trop d'ébats non consentant ou autre choses... »

Je lui souris pour alors passer ma main sur son cou et alors m'approcher, mes lèvres se collant à sa peau pour embrasser celle-ci puis alors faire pression avec ma bouche aspirant l'air à l'intérieur laissant l'impression que l'on pompais son cou, mais si l'on compare à tout à l'heure, on ne ressent pas cette douleur qui créait un doux contraste entre la douleur et le plaisir, ça c'était un peu caresser un endroit sans l'avoir fait souffrir avant.  Trop rose... Je soupirais d'aise pour alors me reculer  admirant sa personne.

«  Ma foi... Vous mordre une seconde fois en si peu de temps... Je ne vous cache pas que cela est risqué pour vous, mais là, je vous laisse le choix... Empaler votre cou sur mes crocs, pour risquer votre vie au prix d'un plaisir agréable, ou alors vous retenir et oublier ce plaisir. Là décisions vous appartient, pour ma part, je reste à vos côté le temps que je sois sûr que vous soyez en forme, car là, la fatigue ne se fait pas encore ressentir, mais bientôt, vous aurez limite un mal de crâne. Bref... »

Je pris sa main la baisant doucement, désirant sentir ou avoir un contact perpétuel avec elle. De l'attachement ? Non... Une simple affection, je soupirais de nouveau pour la regarder dans les yeux cachant ce désir profond qui se traduisait par une excitation se découvrant,. Une petite bosse se formant au niveau du bassin, mais je cachais cela en mettant une de mes jambes sur le devant. Je ne voulais pas passer pour un pervers, mais la demoiselle méritait de connaître d'autre plaisir, si elle le désirait bien entendu. 

Alice commença progressivement à réaliser deux choses.

La première, c’est qu’elle était allongée au milieu de l’un de ses délicieux lits.
La seconde, c’est  qu’elle était allongée sous un homme.

Ces deux éléments culminèrent dans son esprit, alors que le vampire entreprenait de lui expliquer ce qu’une seconde morsure pouvait engendrer, et les raisons qui pouvaient la justifier. De son côté, l’être de nuit était rassasié du sang de la Korvander, et en prendre trop serait faire preuve de gourmandise. Elle n’avait donc pas à redouter (car une partie de son esprit l’avait quand même craint) qu’il ne se jette sur elle pour boire son sang. En somme, la décision de le laisser planter ses dents dans son cou à nouveau ne revenait plus qu’à elle, et à elle uniquement. Elle était d’autant plus tentée de croire le vampire que, dans sa position, elle ne pourrait pas le repousser s’il avait encore soif. Il embrassa son cou, faisant mine de lui sucer son sang, et elle s’humecta les lèvres, réfléchissant rapidement.

*C’est vrai que c’est agréable, mais… Ma curiosité est maintenant satisfaite…*

Si Alice avait accepté d’être mordue, initialement, c’était avant tout par curiosité. Elle avait toujours été ainsi ; lui interdire d’aller dans une pièce quand elle était petite était le meilleur moyen de l’inciter à y aller. La Princesse avait toujours eu soif de connaissance, de sensations nouvelles, et cette sensation-là était assez inédite, mais non moins dangereuse. Elle savait ce qu’une morsure prolongée signifiait ; elle avait pu, dans sa rêverie, l’entr’apercevoir. Le souffle glacial de la mort. Accepter une seconde morsure, c’était prendre le risque de flirter un peu plus intensément avec ça, et elle ne tenait pas particulièrement à ressentir le souffle hivernal se poser sur son corps.

Ses yeux se plongèrent dans ceux du vampire, et elle réalisa que, si elle avait bien besoin de quelque chose, il y avait une façon bien plus simple de l’obtenir. Le vampire était toujours allongé sur elle, même s’il s’était un peu redressé, et elle leva lentement ses mains, en enroulant une autour de la nuque d’Iruka, posant l’autre sur son torse.

« Un ‘‘plaisir agréable’’, c’est ce que je recherche, maintenant, acquiesça-t-elle. J’ignore ce que votre morsure m’a fait, mais… »

Le fait est qu’Alice se sentait étrange, avec une chaleur naissant dans son bas-ventre. Elle remonta sa main pour caresser avec ses doigts les lèvres du vampire, en glissant un à l’intérieur de sa bouche pour caresser ses canines, se coupant légèrement, et promena ses doigts, avant de les retirer, caressant sa joue.

« Est-ce normal, de ressentir cela ? » lui demanda-t-elle, désirant juste prolonger ce moment.

Alice ignorait totalement si le plaisir sexuel naissant, la poussée de sa libido, était une réaction consécutive à sa morsure, ou quelque chose qui était un peu plus psychologique. Mine de rien, se faire mordre, sentir son sang partir, lui avait procuré un bien fou, quelque chose d’assez étrange, impossible à expliquer, mais le fait était qu’elle sentait maintenant sa libido se réveiller.

La soirée était très originale. Dire qu'à la base j'étais là par hasard, une simple balade nocturne qui dérape, puis voilà le résultat. Je me retrouvais à bécoter son cou en buvant son sang, la meilleur sucrerie que j'ai goûté jusqu'à aujourd'hui. Je soupirais d'aise alors lui ayant proposé de recommencer, mais je la prévenais des risques, ceux qu'elle encourait à désirer cela. Après tout, la tuer serait idiot. Je voulais la préserver et prendre soin d'elle comme elle pourrait prendre soin de moi. Je voyais dans ses yeux l'envie, mais pas de morsure. Je n'en revenais pas trop, me demandant si c'était vrai ou faux, j'attendais donc...
Une de ses douces mains vint enrouler doucement ma nuque, l'autre se posant au niveau de mon torse ce qui provoqua en moi une certaine chaleur. Chose étrange, pourtant, je savais ce que c'était. Je ne voulais pas l'avouer, mais bon.  Elle parla de sa douce voix avouant enfin cela.

« Un ‘‘plaisir agréable’’, c’est ce que je recherche, maintenant »

Voilà donc qu'elle avouait vouloir chercher ce genre de chose ? Pour ma part, il n'y avait pas quarante plaisir agréable, mais je n'allais pas la précipiter, juste la guider comme il faut. Elle qui semblait si peu dévergondé. Bien au contraire, j'allais la libérer de ce trop plein de politesse et de retenue, la rendre aussi violente qu'une lionne, lui faire découvrir son côté sauvage, du moins ceci était un objectif si elle désirait ça... Ses doigts se baladais jusqu'à ce qu'elle enfonce un doigt dans ma bouche me faisant fermer les yeux, sentant son sang ,je devina qu'elle c'était frotté à mes canines, me donnant encore de ce jus délicieux. Je soupira d'aise pour alors la fixer le sentant brûler doucement. Je souris puis lui dit.

«  Normal ? Si c'est ce que je crois...Alors oui, le corps a des raisons que la raisons elle même ignore, comme le coeur d'ailleurs. Le désire est une chose normale pour nous. Sachez qu'un jour le corps parle pour vous... Maintenant, si vous désirez un plaisir agréable, donnez moi droit de souiller votre peau, en partant du principe que poser un simple doigt sur votre peau est une souillement, puis donnez vous en à cœur joie. Vous désirez … Éteindre ce feu qui vous brûle au niveau du ventre... Commencez par me faire goûter la commissure de vos lèvres... Mordez vous la lèvre à sang, puis embrassez moi... Tout en me donnant un accord et je vous guiderais dans ce monde qu'est le plaisir charnel si tel est votre désir profond... »

Je lui souris tendrement ayant parlé. J'espérais avoir vu juste dans ses pensées, car même avec mon don de lecture de pensée sous contact direct, les siennes étaient floues, à moins que ce ne soit moi qui ne soit pas concentré. Sans rien dire je caressais sa joue attendant de voir sa réaction ou plutôt son choix, car là, c'est à elle de décider de son avenir de la soirée. S'adonner à un vampire, pour assouvir sa soif, ou alors appeler la garde pour mettre fin à ceci ?

Sylvandell n’était pas un royaume où on aimait beaucoup parler. Comme Tywill, son père, s’amusait à le lui répéter, celui qui caquète comme un perroquet parle, soit pour dire des choses inutiles, soit pour masquer quelque chose. Si la Princesse était un peu plus ouverte que son père au dialogue, elle trouva toutefois que el vampire aussi avait cette tendance, très anti-sylvandienne, de parler beaucoup, là où elle attendait des actes. Elle ne pouvait que comprendre sa pudeur, sachant qu’il était passé à deux doigts de se faire décapiter, ou, pour reprendre l’une des formules consacrées de son père, de se retrouver « avec la tête dans le cul », au sens littéral du terme. Alors qu’il se tenait au-dessus d’elle, il se remit à parler longuement. De son assertion, elle ne retint que la formule initiale, assez jolie à ses oreilles :
 
« Alors oui, le corps a des raisons que la raisons elle même ignore, comme le coeur d'ailleurs. »

La formule était belle, mais le reste se noya plus ou moins dans les oreilles de la Princesse, qui voyait bien qu’il continuait à lui parler, sur un ton bas et tendre. Son désir à elle lui semblait parfaitement clair, vivace et affirmé. Elle aurait pu lui dire qu’étant l’héritière de Korvander, elle avait naturellement enfoui ses plaisirs sexuels au fin fond d’elle pendant un âge avancé, jusqu’à ce qu’elle offre son sang au dragon d’Or, qu’elle avait du faire ainsi afin de respecter les rites des Korvander. Elle aurait pu lui expliquer qu’elle n’avait encore jamais, il y a à peine quelques mois, soupçonné qu’il puisse sortir autre chose de son sexe que de l’urine, mais elle décida de balayer tout ça, et de résumer.

« Oh…, soupira-t-elle, sentant sa main caresser délicatement sa joue. Fermez-là, et baisez-moi. »

Elle l’embrassa, en tirant son corps vers elle, l’amenant à s’allonger sur elle, et glissa ses mains dans le dos du vampire, ses seins s’enfonçant contre la poitrine de son partenaire, alors qu’elle collait ses lèvres aux siennes, lui offrant un long et relativement agréable baiser, en gémissant, glissant sa langue pour titiller ses lèvres, se sentant animée d’une ferveur assez rare chez elle.

Alice prolongea le baiser pendant plusieurs secondes, avant qu’elle ne se rappelle dans sa tête ce que le vampire lui avait demandé, soit de l’embrasser avec les lèvres ensanglantées, et rompit le baiser, avec un petit sourire espiègle sur les lèvres.

« Si vous désirez goûter à mes lèvres en sang, sachez que je ne compte pas m’ennuyer à utiliser mes dents. Vous n’avez qu’à utiliser les vôtres. »

Et, après avoir dit cela, elle retourna l’embrasser, se sentant délicieusement écrasée entre l’homme et le lit, tout en sentant une agréable bosse frotter contre elle. Elle en rougit de plaisir. C’était la deuxième fois qu’elle couchait avec un homme, mais elle ne doutait pas que ce serait aussi agréable pour elle que la première fois.

La chaleur de la pièce grimpait doucement, je ne savais pas comment, mais moi même je sentais une chaleur douce et même agréable m'envelopper. Pourtant il n'y avait pas de feu, seul son corps sous le mien et cette envie constante d'aller plus loin tout en étant raisonnable. Nous cherchions un certains compromis pour faire en sorte que chacun d'entre nous soit d'accord avec l'autre, bien que de mon côté cela soit facile, vu que déjà réglé. Qu'importe qu'elle soit une manante pauvre ou une princesse riche, je lé désirais pour lui faire goûter à son « plaisir agréable ». Je comptais lui montrer ce qu'un plaisir avec un grand p. Mais pour l'heure, je m'activais pour lui faire ressentir du plaisir, tout en faisant ce qu'un vampire fait de mieux, verbier. Je parlais sans relâche pour dire pleins de choses, mais seulement un pour cent était important, histoire d'attiser sa soif de plaisir. La faire languir, bien que ce soit cruel. Mais heureusement, il y eu effet et elle posa sa main sur sa joue pour me dire alors de me la fermer et la baiser. Oui oui, elle a dit ce mot. Malgré sa personne, le plaisir l'envahissait tellement qu'elle ne désirait plus que ça, son esprit devant vite s'embrouiller. Que c'est plaisant.
Son bras me tira violemment puis alors, ses lèvres pulpeuses mais surtout fraiches comme de la menthe se firent sentir. Elle m'embrassais doucement pour commencer, mais son envie prit vite le dessus, entrouvrant la bouche pour alors insérer sa langue et dès lors, chercher la mienne, soulevant celle-ci puis prenant possession d'elle. À moins que ce ne soit moi mais discrètement. Je souriais doucement la sentant terminer ce baiser pour me parler de lèvre ensanglanté. Je soupira pour alors retirer mon haut puis la regarder, montrant mon corps visiblement assez bien taillé par les années. Je me re rapprocha puis passa le bout de mon ongle sur le long de sa lèvre la coupant très finement, une micro coupure qui ne se sentait pas, des petites perles de sang sortant doucement. Je souris d'avantage pour alors me précipiter la plaquant contre le lit l'embrassant furieusement. Moins innocent qu'elle, je l'embrassais doucement, mes lèvres contre les siennes, puis rapidement, la langue vint lécher sa lèvre en sang. Absorbant celui-ci tout en gémissant de plaisir, ma bosse frottant plus sérieusement sa partie intime. Je me retira au bout d'un moment, me léchant les lèvres avant de lui dire d'une voix suave et désireuse.

«  Princesse...Votre goût est-elle que je vais vous surnommer mon pêché mignon... Jamais je n'avais gouté tel plaisir. Une vrai sucrerie, je me mettrais à genoux pour en avoir ne serait-ce qu'un peu plus. Mais maintenant, à vous de ressentir un agréable plaisir... Permettez... »

Je posa ma main sur son habit puis l'enleva délicatement la laissant juste en sous vêtement, puis j'observais son corps, collant le mien au sien pour compresser sa poitrine contre mon torse allant embrasser tendrement sa nuque, mes mains se laissant aller à la recherche de les siennes pour enlacer nos doigts. Je voulais aller plus loin, mais le plaisir agréable se doit de mixer douceur et brutalité, là... C'était le moment douceur... Avant la brutalité. Souriant, je lui dit doucement.

«  Il fait chaud en bas dite moi... »

Je fit de légers mouvement pour lui faire comprendre que je parlais de son intimité, la mienne recouvert de tissu frottant la sienne elle aussi recouverte de tissus. Je souris doucement laissant ma langue lécher son cou, désirant la faire exploser de désir.

Le vampire commença à se déshabiller, et elle laissa retirer son haut, observant son torse. Elle le caressa délicatement avec ses mains, sentant les quelques muscles qui perlaient. Un torse attirant, c’était tout ce qu’elle demandait. Rien à voir avec les pectoraux de son père, mais elle préférait ça. Il promena son doigt griffu sur ses lèvres, et elle sentit un petit picotement la parcourir. Le temps sembla se suspendra sur les lèvres du vampire, et, après cette petite coupure, il se sauta sur elle, et elle en poussa un soupir étouffé, le serrant, glissant ses mains dans son dos, griffant tendrement sa peau en soupirant. Elle sentit sa langue caresser sa bouche, à l’emplacement où son doigt griffu avait ‘‘caressé’’ sa lèvre, et se laissa faire. Le baiser manquait un peu de punch, selon elle, mais elle sentit contre son ventre le membre tendu d’Iruka, son sexe se dressant et se durcissant, formant une bosse qui la faisait rêver. Il parla alors, continuant à parler. S’il passait moins de temps à parler, et plus à l’embrasser, il serait vraiment quelqu’un de divin.

Iruka entreprit alors de la déshabiller, et elle se laissa faire, tremblant de plaisir, sentant sa petite nuisette partir, ne la laissant plus qu’avec ses collants et sa culotte blanche. Ses seins à l’air libre s’enfoncèrent avec plaisir contre le torse de l’homme, alors qu’il prenait les rênes, ayant visiblement décidé de jouer avec les nerfs de la Princesse, embrassant le pourtour de son visage, glissant ses lèvres sur sa nuque douce et tendre. Chacun de ses baisers enserrait la peau d’Alice, et elle en tremblait, avant de la sentir glisser ses mains dans les siennes.

« Hmmmmmm… » soupira-t-elle longuement.

Iruka lui reprit sur un ton toujours aussi silencieux et délicat.

« Il fait chaud en bas dite moi... »

Il appuya sa phrase en frottant son membre contre son intimité, et Alice en frissonna, se remuant également contre le lit. La Princesse frissonna, et libéra l’une de ses mains. Le vampire était, de son point de vue, un peu trop lent à agir, et la Princesse… Et bien, elle était une Princesse, après tout, et une Princesse n’était singulièrement pas connue pour être patient. Elle lui répondit donc assez rapidement, tout en glissant une main le long du cou de Seishi.

« Plus que vous ne semblez le croire… » lui souffla-t-elle à l’oreille.

Elle poussa alors Iruka, le retournant, et se dressa à califourchon au-dessus de lui, frottant ses mains sur son torse, un sourire ravi aux lèvres, remuant son corps d’avant en arrière pendant quelques secondes.

« Miam ! s’exclama-t-elle. Mon beau vampire… »

Peu importe la manière, tous les Korvander avaient en eux le sang et le courage bouillonnants d’Erwan Korvander. Cette fureur et cette force de caractère propres aux Korvander, Alice aussi l’avait, même si elle en doutait. Elle lui griffa le torse, et bondit en arrière, et pencha sa tête vers le sexe recouvert du vampire, mais sans le toucher, ni l’embrasser, se contentant de lécher son pantalon, avant de tirer sur la fermeture Éclair.

« Et lui ? demanda-t-elle. Est-ce qu’il a chaud aussi ? Car, si c’est le cas, le mieux que je puisse faire est de le libérer de ses entraves… »

Joignant le geste à la parole, elle tira sur le pantalon d’Iruka, et le lui ôta, puis posa une main sur son sous-vêtement, à hauteur de son sexe, plaçant simplement sa main dessus, puis se pencha, amenant sa bouche à hauteur de son membre, qu’elle embrassa à travers la culotte, mordillant parfois ce morceau de tissu, ses inhibitions volant en éclats.

Le temps passait désormais beaucoup plus vite. Aussi bien pour la demoiselle qui semblait prendre goût à notre jeu, que moi qui m'y prenais doucement. Le temps passait vite même pour ma personne, malgré le fait que pour moi, le temps soit devenu une chose plus que subjectives ayant au moins, des siècles devant moi avant d'embrasser la mort tendrement. Je n'y pensais même pas, ne pensant pas aux possibles chasseurs de vampire qui sont sûrement à ma recherche, comme contre tout les vampires. Tant de choses à penser, mais rien à faire... Je pensais à la demoiselle, cet instant et rien d'autre. Après tout, personne viendra me blâmer demain sans raisons...
La demoiselle royale gémissait, je la sentais provoquer de doux sons. Ils étaient divins à mes oreilles, mon corps remuait doucement et d'ailleurs, surprise, le sien aussi. Elle accentuait mes mouvements grâce aux siens parfaitement en harmonie avec moi. Que de joie je dois avouer. La regardant, je voyais son air un peu déçu tout de même. Je lisais que je n'allais pas assez rapidement pour elle, même si l'on dit que tout vient à point qui sait attendre, sûrement une habitude princière, tout avoir sur un plateau dans la seconde qui suit... M'enfin passons.

Par la suite, elle vint me libérer d'une de ses mains, puis me fit presque frissonner en caressant ma nuque, ajoutant à cela de douces paroles à mes oreilles. Mon attention détourné, elle me poussa alors sur le côté pour échanger les rôles, moi passant en dessous et elle, au dessus. Elle me chevauchais de manière divine, du moins la vue elle l'était... Elle me griffa le torse me faisant légèrement saigner, puis elle descendit rapidement en bas pour admirer la bosse. La pauvre, mon membre qui était prisonnier alors qu'il n'a rien fait de mal... Je soupirais d'aise la sentant lécher mon pantalon puis parler. Je lui souris puis la laissa faire, celle-ci offrant de belles attentions à celui-ci. Je soupira grandement de plaisir puis alors me recula pour la prendre par la taille puis gentiment la retourner, son corps en direction de mon intimité, le mien dans la direction de son intimité. Une position commune mais agréable.

Ses pieds proches de ma tête, son intimité juste au dessus de ma tête, je souris puis m'avança doucement sans prévenir. Mon souffle glacial se fit doucement sentir. Je voulais la faire frissonner. Lui donner envie, mais aussi je voulais augmenter la cadence, alors je pris les devants et pour lui faire plaisir, je déposa mes lèvres sur ce tissu blanc immaculé recouvrant son intimité brûlante comme un feu de camp. J'adorais la sensation, mais je ne voulais pas en rester là. J'embrassais, je mordillais le tissu, puis après un bref instant, commençant à être las de répéter les même gestes, je commença à lécher  ce morceau de tissu blanc avec argne et envie. Je voulais imbiber celui-ci de ma salive fraiche, que cet endroit soit fou, mais surtout que ce tissu soit vraiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiment de trop pour elle. Je souriais enfonçant ma langue dans son intimité, mais le tissu faisait que j'entrais ma langue même pas dans un demi centimètres. Je soupirais pour alors caresser son fessier en continuant mes actes si doux à mes yeux. Je posais mes mains sur ses deux belles fesses puis les lui malaxaient pour lui dire.

«  Offrez à ma verge moulte attentions... Je vous le revaudrez soyez en sûr... Sinon, oui il fait trèèèèèèèèèèès chaud ici... Je n'attend qu'une chose, que vous rendiez fou cet endroit comme je m'occupe du votre... Princesse... »

Je tira alors doucement sur le tissu dévoilant les deux lèvres collées, suantes. Mais pas encore bavante de plaisir. J'embrassais celle-ci engouffrant ma langue un court instant, pour voir si la cyprine allait venir.

«  Je veux que votre liquide coule comme une fontaine sur mon visage princesse... »

(Ton nouveau vava fait plus « fan service » xD)

La situation commençait à s’amplifier, la chaleur à monter. Alice s’était positionnée de telle manière à ce que ses jambes soient de part et d’autre du vampire. Elle avait veillé à ne pas mettre ses genoux sur son ventre, car, même si elle se savait frêle et menue, il y avait là de quoi couper le souffle. Elle avait donc les jambes assez écartées, et il suffisait presque de tendre le nez pour avoir une vue plongeante sur son bassin, sur son intimité protégée par un fin tissu, par sa culotte blanche.

Fort heureusement, le vampire sembla réaliser cette invitation implicite, et répondit aux caresses de la Princesse sur son sous-vêtement par la même chose. Elle sentit son souffle se poser sur son intimité, et soupira, avant qu’il ne commence à titiller avec sa langue son vagin, tout en plaçant ses mains sur ses fesses. Alice positionna ses jambes de manière à pouvoir mieux aider le vampire à s’occuper de son sexe, et continua à caresser le membre de l’homme à travers son caleçon, y délivrant de délicats baisers ici et là, parcourant le tissu, prenant naturellement son temps. Il fallait bien admettre qu’un sexe masculin, c’était une sensation exquise pour la jeune Princesse, qui n’en avait vu qu’un pour le moment, et le propriétaire de ce morceau-là semblait, certes moins courtois que le précédent, mais aussi plus habile de son sexe. Elle sourit quand il se mit à parler, avouant qu’il faisait chaud, et elle remua son bassin le long du visage de l’homme.

« Je vous comprends… J’ai très chaud, moi aussi… »

Elle n’aurait jamais cru devoir dire ça en étant nue, la nuit, à Sylvandell, tant il faisait froid, mais c’était pourtant le cas. Son corps bouillonnait de chaleur, et elle trépignait sur place. Elle le sentit retirer un peu sa culotte, et embrassa son sexe, avant de lui avouer qu’il voulait qu’elle le mouille. Cette fascination pour ce liquide intime excitait et bluffait toujours un peu Alice, mais elle ressentait elle-même le même désir pour le membre de l’homme.

« Alors, il va falloir vous appliquer… Et je vais devoir vous stimuler… »

Joignant le geste à la parole, elle plaça ses mains sur la culotte désormais un peu trempée du vampire, et la fit glisser, exhibant son membre, qui était naturellement au garde-à-vous, signe de l’érection qu’il ressentait. Elle s’en pourlécha les babines, et continua à tirer sur la culotte, afin de totalement libérer ce sexe, puis plaça une main sur la base de la verge, commençant à lécher ce membre ici et là, promenant sa langue assoiffée dessus, lui offrant ici et là de précieux et succulents baisers, puis entreprit, après cette petite préparation, de le prendre dans sa bouche.

Elle en prit le bout, et frotta sa langue dessus, commençant des mouvements de vas-et-viens, poussant quelques gémissements gutturaux, en glissant dessus, remuant un peu son bassin pour prendre ses aises. L’une des mains continuait à maintenir le sexe, et l’autre, un peu plus libre, se promenait, allant s’occuper des testicules du vampire, grattant ses poils pubiens, tandis qu’elle entreprenait de lui faire une fellation digne de ce nom, digne des Korvander.

Je ne savais que trop faire, si ce n'est accéder à toute ses requêtes. Je désirais aller loin en ce soir, alors doucement, ma main étant posé sur son fessier, aussi étrange cela soit-il, étant en contact direct avec elle, bien que ce ne soit pas sa tête, je rentra dans son esprit pour alors en faire un rapide tour. Je voyais autour de moi des murs, étant ceux de son esprit. Ils étaient colorés, tous incrusté de bijoux, montrant bien sa filière sociale. Puis après, je vis une scène assez, étonnante, j'étais entré dans son esprit et me permettais de visionner ses souvenirs, sans trop m'enfoncer dans celui-ci, voyant alors le rituel pour échanger son sang avec le dragon d'or... Fascinant je dois avouer, mais bon, ça n'avais pas trop de rapport avec la situation actuelle, alors j'écouta mon instinct puis alors me dirigea vers une pièce renfermant un souvenir plus intime... Celui de sa première fois. Pourquoi chercher ça ? Pour savoir si elle l'avait déjà fait pardi. Je trouva malheureusement une réponse, sachant désormais qu'elle n'était donc plus vierge. Enfin, malheureusement, au contraire, je pourrais le faire sans me poser de questions, car au fond, même si je le cache, j'aurais eu qui sait...Du remord à prendre sa première fois ?

Je secoua la tête pour alors me sortir de sa tête, celle-ci n'ayant au pire que ressentit un frisson, mais qui passerais inaperçu étant donné que dans la situation actuelle elle ne ressentait que ça. Soupirant d'aise, je m'appliquais à la tâche la laissant faire son affaire à elle. C'est à dire s'occuper de ma verge avec passion et intérêt. C'est alors que son bassin bougeait, son petit minou commençant à se faire sentir de plus en plus au coin de mes lèvres, j'adorais ça. Mais je ne perdais pas pour autant ma concentration sur ses actions à elle.
Elle semblait captivé par mon membre qui humidifiait de son présperme mon boxer, mais comme pour sa culotte, ce morceau de fin tissu était de trop. Elle l'enleva un peu puis donna plusieurs baisers, le léchant de haut en bas, sur les côtés et j'en passe. Sans rien dire je lâcha un gémissement audible, montrant sans le vouloir ma satisfaction, mais j'en plus pour lui offrir ma surprise. Souriant, je la vis retirer complétement mon bas pour alors poser ses lèvres sur mon membre et lécher alors le gland, endroit le plus chaud de mon membre. Je soupira pour alors enfourner ma langue dans son antre délicatement, pour lui faire ressentir la même douceur. Elle se mit alors à masser mes testicule me laissant languir comme je la faisais languir. Là, s'en étais trop, j'aimais trop cela, je ne pouvais pas attendre plus, je regarda alors son corps pour soupirer doucement, puis alors redresser juste mon buste pour embrasser ses fesses charnues et lui dire doucement me vendant doucement.

«  Je ferais mon possible pour que votre seconde fois soit inoubliable... Princesse »

J'ajouta le geste à la parole pour alors l'embrasser sur ses lèvres intimes mais aussi aller titiller le clitoris qui lui ne demandait qu'à être bien traité. Je faisais des mouvements de haut en bas pour alors aller de plus en plus vite et fort dans son intimité.

«  Je désire votre semence... Dans ma bouche, n'hésitais pas... Purifié moi avec... Quand bon vous semble ».

Doucement, je vins alors chatouiller le clitoris de la demoiselle de plus belle allant sucer par la suite celui-ci

Sa ‘‘seconde fois’’ ? Quand lui avait-elle dit qu’elle n’était pas vierge ? Cette formule surprit un peu Alice, la faisant un peu sortir de son excitation passagère. Sa virginité, elle l’avait réellement perdu entre les doigts de Cirillia, mais elle avait fait l’amour avec un homme avant Iruka : le Chevalier Gauvain. Comment le savait-il ? Est-ce qu’il était dans l’arène lorsque Gauvain s‘était battu pour elle ? Était-ce possible ? Ou est-ce qu’il lui cachait autre chose ? On disait dans les livres que les vampires étaient dotés de pouvoirs mystérieux, dangereux, pouvant notamment lire dans les esprits. Elle n’y avait jamais cru, mais…

*Bah ! se ressaisit-elle. Ce n’est pas avec mon intimité dans sa bouche, et son membre dressé au garde-à-vous devant moi, que je vais pouvoir y réfléchir…*

Elle le sentit suçoter son clitoris, tandis qu’il lui avouait qu’il voulait sentir dans sa bouche sa mouille, son nectar. Cette remarque la fit sourire, et elle se contenta de rapidement lui répondre quelque chose d’évident.

« Cela, cher vampire, c’est uniquement à vous et à vos lèvres que dépendra ma faculté à vous abreuver. »

Alice retourna sur le membre tendu du vampire, et embrassa le bout, le suçotant, promenant ses doigts sur la base de sa verge, caressant délicieusement le sexe avec ses doigts, le sentant remuer sous ses doigts. Lorsque ses doigts terminèrent de le frotter, le membre se remit à sa place, et elle s’amusa alors à le tirer complètement en arrière, embrassant ainsi, en se penchant, la partie inférieure de sa verge, la léchant et délivrant ici et là plusieurs séries de baisers fins et délicieux. Elle relâcha ensuite le sexe, et le contempla, l’embrassant ici et là.

« Ma foi, je crois que, moi aussi, j’ai soif… »

La Princesse alla alors sérieusement entamer sa fellation. Elle posa sa main sur la base de la verge, afin d’immobiliser cette dernière. Elle l’enfonça alors dans sa bouche, et commença ses vas-et-viens, sans se retirer, savourant cette grosse sucrerie, cette belle sucette de chair, répandant sa salive, soupirant. Elle fermait de temps en temps les yeux, et essaya de s’absorber autour de ce gros membre. Sa langue se glissa dessous, et s’amusa à le faire rebondir contre ses dents. Elle le suça, et s’amusa même à le mordiller en repliant sa langue, avant de promener cette dernière dessus, et de continuer à s’enfoncer dessus, ramenant ses lèvres en arrière, les ramenant en avant. Avec sa salive qui maculait la verge, se promener dessus ne fut pas très difficile. Le sexe du vampire était gros, et elle adorait ça !

Alice se promena dessus, remontant et descendant, s’enfonçant toujours un peu plus loin, jusqu’à retirer sa main, se contentant d’utiliser sa bouche pour maintenir le sexe du vampire, prenant ses aises, le mordillant parfois quand elle sentait des ondes voraces de plaisir la traverser. C’était bon, délicieux, très agréable ! Encore assez immature, Alice voyait là une espèce d’adorable jouet, un repas merveilleux, celui du sexe et du plaisir. Elle le suçotait sans s’arrêter, poussant parfois de longs gémissements étouffés par ce membre, pour le simple plaisir d’exciter le vampire. La Princesse se reprenait ensuite, et retournait s’y attaquer, promenant ses lèvres dessus, essayant parfois d’aller aussi loin que possible, d’effectuer ce que ses servantes appelaient des ‘‘gorgées profondes’’. Elle ne put toutefois longtemps y rester, car elle sentait l’air lui manquer, ainsi qu’un haut-le-cœur la saisir, la ramenant à une position plus prudente.

La Princesse passait très joyeusement son temps sur le membre du vampire, s’en délectant avec un grand plaisir.

Je m'étais vendu en parlant de son esprit, dévoilant un peu ma personne, tout n disant un de mes pouvoirs, enfin, heureusement pour ma pomme, elle ne semblait pas trop y faire attention s concentrant sur mon membre et uniquement lui, me procurant un bien plus que fou. Je raffolais de ça, pourtant, rare sont les femmes, humaines surtout qui peuvent me faire un tel effet. J'en avais presque honte, moi ressentir une telle chose à son égard... Une humaine au sang royal qui arrivait à rendre accroc un être de la nuit de mon rang. Je soupirais d'aise, mon souffle chaud s'écrasant contre son intimité l'écoutant parler, me disant que sa mouille se méritait et que seul mes lèvres réussiront à obtenir gratification... Elle donnait droit à plusieurs baisers à mon membre, celui-ci restant bien tendu, comme une barre de fer et celle-ci n'attendait qu'une chose, être suffisamment chauffé pour pouvoir relâcher la pression qui s'y accumule. Sans rien dire, je me recula pour m'allonger et savourer ce plaisir, mémoriser la sensation, pour alors me concentrer dessus, prenant une petite pause jusqu'à cette avoeux, elle aussi désirait ma semence ?

* Qu'à  cela ne tienne.. *
 
Doucement, je me redressa pour alors de nouveau embrasser son intimité, puis son clitoris, m'en délectant avec plaisir aussi grand que ma verge. Mon doigt lui s'engouffrait entre ses fesses pour alors aller chatouiller un peu ce deuxième petit trou. Un peu plus caché, plus salasse, mais au fond, bien stimulé peu permettre de faciliter des relâchements ou autre. Chez les hommes cela marchant à merveille d'après des dires. Je soupira la sentant alors faire une série de gorge profonde. Puis alors j'enfonçais ma langue en elle gigotant en elle, ma langue humidifiant ses parois bien douce à mon goût. Puis alors je me sentis venir. Je ne pouvais pas venir si vite, ce serait un affront. Je gémissais tendrement pour alors lécher la raie de son fessier pour changer un peu, déjà chaud malgré ma froideur habituel

«  Délicieux... N'y a-t-il donc pas de partie chez vous qui n'est pas délicieuse ? »

Je lui caraissais les côtes pour alors descendre mes mains glacés sur ses cuisses et les masser retournant à l'attaque de ses lèvres intimes ne me stoppant plus cette fois, mon membre palpitais, le sien se réchauffait; allions nous avoir droit à un relâchement simultané ? Je ne savais pas, mais mon objectif était là. Gémissant, je donnais de plus en plus de coup de langue pour la faire craquer, massant désormais ses pieds, ne délaissant aucune partie de son corps, le mien allant flancher malgré sa résistance..

Allait-elle apprécier ?

Le membre du vampire se durcissait solidement entre ses lèvres, la Princesse le sentait, au fur et à mesure qu’elle poursuivait sa fellation. Elle ne saurait exactement expliquer en quoi elle trouvait cela fascinant, mais le fait est qu’elle adorait sentir ce membre dans sa bouche, le titiller, le caresser avec sa langue, le frotter avec ses lèvres, le mordiller, l’enfoncer dans sa gorge. Un tel jeu, car il s’agissait bel et bien pour la Princesse d’une forme de jeu, influait naturellement sur son corps, et, entre ses gémissements délicatement étouffés par le membre du vampire, elle se mettait à satisfaire sa requête, sa partie intime commençant à s’humidifier, croissant de plus en plus.

Elle l’entendait gémir, ce qui, bien entendu, la faisait plaisir. Elle en rougissait de fierté, et se dandinait un peu sur lui, remuant son bassin. Les mains du vampire se promenaient sur ses fesses, les caressant, les massant, les séparant l’une de l’autre, afin de glisser le bout de ses doigts dans sa croupe, dans ce petit trou, ce qui la fit frémir. C’était une zone assez sensible, il fallait bien le reconnaître, et, quand il promena ses doigts fins sur cette zone, elle se cambra un peu. Un réflexe primitif, inconscient, ce qui eut surtout pour effet de coller un peu plus son intimité vierge de poils contre son visage. Les mains du vampire allèrent ensuite se promener le long de ses jambes, les caressant avec ses ongles pointues, répandant de tendres frissons sur la chair de la Princesse. Il lui était impossible de nier que ce contact était très agréable, et la remarque que fit le vampire la fit sourire.

« Délicieux... N'y a-t-il donc pas de partie chez vous qui n'est pas délicieuse ? »

La bouche prise, elle ne lui offrit aucune réponse, tout en le sentant désormais masser la plante de ses pieds, promenant ses doigts dessus. Alice était une Princesse, ce qui revenait à dire qu’elle avait des goûts assez spécifiques. Sans qu’elle ne puisse se l’expliquer, elle avait toujours aimé que ses partenaires soient à ses pieds, au sens propre du terme. C’était son petit fantasme, et l’inverse était, ma foi, assez exact. Qu’on s’occupe de ses pieds lui procurait une joie qui était difficile à expliquer, cette partie du corps humain n’étant par principe pas réputée pour être une zone érogène par excellence.

Quoiqu’il en soit, alors qu’Iruka continuait à la masser, étant un peu plus explorateur qu’elle, la Princesse de Sylvandell se concentrait exclusivement sur son sexe. Elle le sentait proche du point de rupture, vu la manière dont il se tendait, se gonflait, et semblait réagir à ses attouchements. Elle multipliait avec plaisir, dans la mesure que son faible petit corps le lui permettait, ses gorges profondes, et se sentait de plus en plus mouiller,. L’une de ses mains jouait avec les testicules du vampire, les frottant, les soulevant, les caressant, et elle poussait de longs soupirs.

Sous le traitement délicieux du vampire, la Princesse ne se sentait plus capable de résister bien longtemps, ce qui se témoignait dans la manière dont son corps bougeait,. Elle commençait en effet à remuer son bassin de haut en bas, d’avant en arrière, afin de mieux frotter son bouton de plaisir contre le vampire. Ce faisant, sa tête bougeait également délicatement, remuant le membre tendu et ô combien dur d’Iruka. Ciel ! Elle n’avait jamais trouvé quelque chose d’aussi particulier qu’un pénis ! Elle ne savait vraiment pas comment résumer cette sensation. Le membre semblait dur à l’intérieur, et mou à l’extérieur. Elle pouvait frotter ses doigts contre cette longue peau, mais sans pouvoir la plier, alors que la peau était assez douce et chaude. Doux comme un drap, et dur comme un caillou. Le corps humain était vraiment quelque chose de passionnant, et elle ne tarda pas à avoir son premier orgasme de la soirée. Elle le sentait approcher, et, malgré le membre du vampire, ses soupirs pouvaient se faire entendre.

« Hnnnnnnnnnnnnnnn… » soupirait-elle.

Le lit commençait à émettre ses quelques silencieux craquements si caractéristiques, et la cyprine vint d’elle-même, se répandant entre les lèvres du vampire, tandis que la Princesse poussa un long gémissement, lui déversant sa mouille, cette dernière glissant et jaillissant comme une petite fontaine.

Faire l'amour est une chose bien amusante. Surtout quand on le fait avec une belle demoiselle, surtout quand elle est une princesse. Car une princesse est quelqu'un de délicat, très soigné, très subtile dans ses gestes et sa manière de faire. Ses mouvements étaient très doux, extrêmement précis dans la manière de caresser, mais surtout la précision avec laquelle elle titillait tel ou tel endroit. Mon corps lui ne faisait que traduire sa satisfaction. Je gémissais de plus en plus donnant marque de plaisir, elle me faisait de l'effet et je le lui montrais. M verge restait dure comme de la pierre, elle léchait cette partie de moi de façon très attentionnée. Puis rapidement le moment tant attendu arriva.

La jouissance, ce moment où le plaisir descend en flèche, mais vu se c'est la première, le plaisir reste en partie et donc la flèche remonte immédiatement. Je léchais son intimité jusqu'à ce que celle ci laisse aller son corps. Celui-ci se libérant de ce trop plein de désir se motta enfin. Sa cyprine coulait a flot, se déversant sur mon visage, le rendant luisant. Elle noyait ma bouche pour alors se rependre sur ma face. Je me
Recula pour alors me défaire d'elle passant derrière elle. Je soupirais doucement pour alors passer ma main sur mon visage léchant ma main pour gémir doucement.

" Délicieux.... Je donnerais n'importe quoi pour en avoir plus.... C'est presque aussi délicieux que votre sang..."

Par la suite je me plaça devant elle me masturbant doucement. Mon autre main allant a l'encontre de son visage pour relever celui ci puis alors l'embrasser tendrement, ma langue au goût de sa cyprine jouant avec la sienne. Par la suite une fois que je me sentis prêt, je lui porta la verge a sa bouche pour alors lui dire doucement. 

" Léchez...léchez le puis buvez ma récompense.... Avant de passer aux choses sérieuses...."  

Je dit de léger vas et viens pour alors attendre quelle gobe la verge et ainsi me laisser aller en elle, dans sa délicieuse bouche. Jouissant dans celle-ci.

En rythme avec son orgasme, le vampire ne tarda pas à lâcher la sauce. Elle sentit le corps de l’homme se tendre, son sexe émettre un soubresaut, et quelque chose éclata dans sa gorge. Alice sursauta, surprise, sentant dans sa bouche quelque chose de liquide, qui n’était pas sa salive. Le sexe était alors glissé dans les méandres de sa bouche, et le jet fut si soudain qu’elle en eut le souffle coupé, et toussota. Elle sentit le vampire s’extirper du corps d’Alice, la laissant allongée sur le sol, alors que la jeune Princesse reprenait ses esprits. L’homme venait de jouir dans sa bouche, et elle l’entendait soupirer, alors qu’il s’était relevé. Alice, de son côté, conservait les lèvres closes. Le sperme du vampire coulait dans sa bouche, tapant contre ses lèvres, et un nouveau spasme la saisit. Elle éternua à nouveau, écartant ses lèvres, laissant un filament blanchâtre s’échapper de sa bouche, tâchant les draps, mouillant sa délicate bouche. Rapidement, la Princesse passa sa main sur ses lèvres, l’essuyant, et contempla le dos de sa main, observant silencieusement ce mélange de sperme et de salive.

Alice tourna sa tête quand Iruka passa une main sur son menton, et l’embrassa sans réagir. C’était la seconde fois de sa vie qu’elle faisait l’amour avec un homme, et elle était un peu surprise. Ses joues étaient rougies par le plaisir et l’effort. Elle remarqua qu’il caressait son membre, afin que ce dernier retrouve une érection convenable. De ce qu’elle savait de l’anatomie masculine et de leurs organes génitaux, quand ils jouissaient, leur membre devenait moins dur, se dégonflant. Il s’approcha d’elle, donnant ses instructions, et Alice ne fit rien pour l’en empêcher.

« Léchez...léchez le puis buvez ma récompense.... Avant de passer aux choses sérieuses....
 -  Oui », murmura-t-elle.

Elle se laissa glisser hors du lit, atterrissant sur la moquette et les tapis de sa chambre, à genoux devant le vampire. Il avait joui, le sperme avait rebondi contre les lèvres de la Princesse, et elle voyait, ici et là, le long du membre, des traces de sa salive et du sperme du vampire. Elle n’eut pas le temps de voir grand-chose d’autre, dans la mesure où le vampire alla remettre son sexe dans la bouche de la Princesse, permettant ainsi de reprendre la fellation, ce qui était loin de lui déplaire.

Le vampire remua son bassin, et elle ne tarda pas à le sentir venir à nouveau. Alice était désormais avertie, et fut moins surprise. L’une de ses mains retourna se placer à la base de la verge de l’homme, et elle tâcha d’éviter de trop s’enfoncer. De cette manière, lorsque le vampire se mit à éjaculer, le sperme resta dans la bouche d’Alice, qui put mieux en profiter. Son sperme était assez poisseux, de son point de vue, mais elle passa outre, comptant sur son excitation pour y trouver plaisir à le boire, ce qu’elle tenta de faire. Elle but son sperme, et glissa son autre main vers sa propre intimité, la caressant, glissant un doigt à l’intérieur, ce qui la fit gémir. Yeux clos, Alice continuait à remuer ses lèvres le long de ce membre tendu et assoiffé.

« Hmmm… »

On pouvait l’entendre soupirer et gémir délicatement au fur et à mesure que le temps passait. Elle avait mine de rien été flattée qu’Iruka trouve sa mouille aussi bonne que son sang, même si elle ignorait quel goût avait son sang. Sûrement pas très bon, pour son propre palais, mais, pour celui d’un vampire… Elle continua à jouer avec son membre pendant un certain temps, avant de sentir à nouveau l’impatience la guetter. Il lui avait promis de passer aux « choses sérieuses », et il y avait là de quoi faire saliver la Princesse !

Elle finit donc par retirer ses lèvres de son membre, souffla un peu, remuant plusieurs fois les lèvres, essayant de se réadapter à cette sensation de ne plus avoir cette grosse sucette en travers des lèvres, puis se hissa sur le lit, s’asseyant dessus, face au vampire. Elle tendit une main pour caresser son membre, frottant ses ongles dessus, avant de le regarder.

« Je ne voudrais pas vous épuiser avant que les ‘‘choses sérieuses’’ ne commencent, se justifia-t-elle. Je pense être prête à passer à l’étape supérieure… J’aime sentir votre membre dans ma bouche, n’en doutez pas, mais je crois que j’aimerais encore plus le sentir dans un autre des trous de mon corps… »

Nous allions passer aux choses sérieuses, après ces préliminaires. J'avais déjà jouis devant elle pour lors lui demander sous forme d'ordre de continuer à lécher mon pénis pour boire mon liquide divin que je lui offrais, à elle de voir si elle aimait ou non. J'appuyais mon membre contre sa bouche et la revoilà alors en train de gober mon membre pour le nettoyer doucement, sa langue léchant le gland avec avidité, me procurant un plaisir sans fin. Ses gémissements étaient source de récompense pour moi, j'adorais ça. D'ailleurs, à force de plaisir; voilà que je jouis une seconde fois, la voyant cette fois avaler ma semence, même si elle ne trouvait pas ça des meilleurs... Enfin je pensais ça, boire un liquide visqueux et chaud, c'est pas le top non plus... Sans rien dire, je la regarda monter sur le lit pour alors s'asseoir proche de moi me disant de sa voix aux ton princier.


« Je ne voudrais pas vous épuiser avant que les ‘‘choses sérieuses’’ ne commencent. Je pense être prête à passer à l’étape supérieure… J’aime sentir votre membre dans ma bouche, n’en doutez pas, mais je crois que j’aimerais encore plus le sentir dans un autre des trous de mon corps… »

Mon regard se pose sur sa main posé sur ma verge. Je rougit très timidement pour alors poser une main sur la sienne, lui faisant branler de manière plus ardue mon membre, sa main empoignant bien mon membre, le caressant bien fortement. Pour ma part, je sourit pour venir l'embrasser ma langue allant chatouiller ses lèvres puis alors me mettre à genoux rompant tout contact pour la pousser tendrement. Tel un félin, j'approchais à quatre patte et retira sa culotte avec mes dents pour l'admirer nue. Son corps bien formé, trop  même, je l'admirais pour alors soupirer d'aise, léchant ses pieds, entre ses doigts de pied puis je me dirigea vers la base pour remonter sur la cuisse lui disant doucement.

«  Oui... Il est temps de … S'unir... »

Je me recula pour alors poser mes bras sur les siens comme pour l'immobiliser. La fixant, je me positionna comme il faut, écartant un peu ses jambes, mon bassin au dessus du sien, je frotta ma longue verge contre son intimité puis embrassa sa poitrine pour la faire languir. J'aimais tellement ça.... Soupirant d'aise, laissant un souffle glacé contre ses seins humidifiés, je lui dit alors à l'oreille.

«  Vous me voulez... Alors prenez moi.... »

Je lui tira la langue positionnant mon gland sur son entrée vaginale, attendant qu'elle enlace ses jambes à mon bassin pour pousser de force ma verge à entrer en elle. Attendant de voir.