[terminé]Quand deux maîtres s'affrontent... (Pv Tinu)

Tinuviel  était et elle le savait vraiment dans une très mauvaise posture,  toutefois cela ne voulait pas dire qu’elle se  laisserait faire,  s’il y avait une chose qui importait plus que la vie chez les elfes, s’était bien la fierté. Donc jamais elle ne se soumettrait à ce vampire stupide.  Malgré le fait qu’il la torture, elle se contente de sourire.  Elle avait mal,  elle sentait sa peau  tiré et ses muscles à vifs,  mais les elfes étaient entrainés pour résister aux tortures,  et donc, malgré la douleur, elle ne quitte pas le regard du vampire.  Toutefois, lorsqu’elle le pourra,  elle se vengera, elle lui rendra aux centuples  chaqu’une des cicatrices qu’elle aura à la fin de cela.  Jamais elle n’aurait peur de lui.   Quitte à mourir.  Elle se contente de rire, de rire et de souffrir en silence. Elle est à terre,  la lame sur le ventre et pourtant elle n’a jamais paru aussi grande,  car  elle montrait au vampire que malgré tout ce qu’il venait de lui faire subir elle n’avait absolument pas  succombé.  Elle aurait put demander grâce et  se soumettre au vampire qui l’aurait peut être laissé après s’être servit d’elle, mais au lieu de cela, elle luttait encore.

-   C’est…  C’est tout. 
Elle cracha un peu de sang avant de réussir à finir sa phrase.
-   Jamais je n’aurais peur de toi.  Car tu n’es juste qu’un gamin capricieux.
Elle tentait tant bien que mal de se dresser, de se lever,  mais ce gamin lui avait prélevait bien trop de sang,  elle est presque sans défense. Mais ce n’était pas pour cela qu’elle allait lui faire ce plaisir.
-    J’avais plus peur de ma petite sœur, gamin…
Voyons voir jusqu’ou le vampire peut contenir ses pulsions meurtrières. De toute façon, le vampire aurait sans doute une mauvaise surprise s’il venait à la tuer, il y avait des dizaines de guerrières plus douées les unes que les autres au service de l’elfe, et il n’était pas bon de se les mettre à dos.

« C’est…  C’est tout. »

Que de vantardises inutiles…il n’en revenait pas ! Elle avait encore le courage de lutter ainsi. Il ne s’en plaignait pas ! C’était, comment dire…ah oui !  Complètement cinglé ! Surtout que son corps disait le contraire, notamment par le sang qui s’échappa de ses lèvres. Pure folie de sa part que de continuer à parler…

«  Jamais je n’aurais peur de toi.  Car tu n’es juste qu’un gamin capricieux. »

Il faisait mourir chacune de ses tentatives dans l’œuf, l’écrasant de tout son poids au sol, son genou adroitement placé sur elle. Ses paroles ne le troublaient pas le moins du monde. Il était habitué à ce genre de remarques, aussi continuait-t-il de quadriller son abdomen avec les mêmes sillons que précédemment.

« J’avais plus peur de ma petite sœur, gamin… »

Intéressant à savoir. Mais au-delà de ça,  ses propos étaient aussi important que des mots dans le sable, balayés par la marée de sa volonté. Il sourit, elle commençait à être à court d’idées.

« Tu faiblis ma garce, tu faiblis ! Mais crois-moi, je ne cherche pas à te faire peur, non, juste à te faire souffrir, et je commence à peine, donc rien de ce que tu diras ne me fera plus plaisir que tes hurlements de douleur qui ne vont pas tarder ! »

Il sourit. Il venait de finir ses sillons. S’aidant du couteau, le vampire saisit l’angle de peau formé par deux sillons qui se croisaient. Il commença à mettre chair et muscles à vif en lui retirant la peau de la zne quadrillée, morceau après morceau. En d’autres termes, il commençait à l’écorcher vif ! Et il en prenait un grand plaisir.

Il y allait lentement, très lentement, histoire que chaque terminaison nerveuse rappelle au corps de l’elfe son bon souvenir avant d’être rompue. C’était un des supplices qu’il préférait.

Tinuviel était vraiment en  mauvaise situation si cela continuait, elle ne pourrait plus garder connaissance encore longtemps.  Dire qu’elle n’avait même pas assez de force pour convertir cette douleur en plaisir.  Non, au lieu de cela, elle se contentait de subir, grimassent à peine.  Elle ne lui ferrait pas le plaisir de  gémir, de se plaindre,  et encore moins de le supplier. Elle préférait mourir plutôt que de renoncer à sa fierté. Elle  le regardait, le regard encore chargé de cette fierté si caractéristique des elfes.  Mais pour l’instant le pire n’était  pas encore venu.
Alors que celui-ci l’écorchait vive, elle  se mordit les lèvres pour ne rien dire,  mais elle ne s’empêchait pas de penser que ce type était vraiment le pire des enfoirés que cette terre ait jamais porté. Raison de plus pour ne pas se soumettre. Elle le regarda, tremblante elle souffrait d’avoir ses chaires à vifs, mais elle ne se démonta pas pour autant…

-   Et,  c’est tout ? 
Elle ricana avant de lui dire.

-   C’est pour cela que jamais un esclave ne te sera fidèle, tu n’es rien… Rien de plus qu’un pauvre CON. Jamais tu n'auras de supplication de ma part...

Elle se prit un coup encore pour cette insulte, mais cela ne l’arrêterait pas.  Elle pouvait mourir, mais jamais au grand jamais elle ne lui donnerait ce qu’il voudrait. C'est-à-dire sa fierté.

«  Et,  c’est tout ? »

Il ricana en même temps qu’elle. Elle avait beau dire ça, il apparaissait logique que ce soit en, réalit, plus un espoir qu’une réelle provocation, mais elle allait en avoir pour son argent, enfin, façon de parler bien sur. Il allait, comme il le prévoyait, la laisser souffrir avant de faire en sorte que les blessures s’infectent lentement, avant de la laisser en pâture aux corbeaux et autres charognards.

« C’est pour cela que jamais un esclave ne te sera fidèle, tu n’es rien… Rien de plus qu’un pauvre CON. Jamais tu n'auras de supplication de ma part... »

Hola !  Doucement où il allait vraiment se mettre en rogne et il allait vraiment se plonger dans la torture, là c’était juste un avant goût, et pour lui rappeler de se taire, il lui mit une nouvelle rouste, logique.

« Non, ce n’est pas tout, je vais jouer encore un peu comme ça, puis je ferai s’infecter les blessures et je te laisserai attachée ici, seule, à la merci du premier prédateur venu., oui, je t’attacherai sans doute avec ton propre épiderme ! Tu verras, ce sera charmant, tu vas adorer… »

Il se remit à l’ouvrage, continuant de très lenetement lui ôter la peau de l’abdomen, empilant les petits morceaux de peau  à côté.  Puis, prenant de la terre, il en saupoudra les plaies de l’elfe avant de commencer à malaxer les chairs à vif pour bien étaler et bien faire pénétrer la terre ;

Décidément, ce vampire était un démon.  Et encore, la majorité d’entre eux n’étaient pas aussi cruel,  non, lui il s’amusait délibérément avec ses proies, les laissant souffrir encore et encore,  mais la seule chose qu’il obtiendrait de l’elfe, ce serait juste une volée d’insulte.  Elle ne broncha pas quand il inséra sur sa chaire à vif la terre, mais  en cet instant, elle le haïssait,  elle ce demandait comment l’on pouvait être aussi fou,  aussi avide de violence.  Mais elle  ne lui ferrait jamais le plaisir de le supplier.  Elle se maudissait juste de ne plus avoir de force et de ne pas pouvoir corriger ce gamin prétentieux. 

Elle le fusilla dut regard,  sa peau la brulait, mais jamais elle ne monterait le moindre signe de faiblesse, car s’il y a bien une chose qui compte plus que leurs vies chez les elfes du soleil, c’est bien leurs fiertés.  Mais d’un autre coté, et si elle se fiait à son corps, d’ici cinq minutes, elle pourrait normalement avoir récupéré assez de force pour réutiliser ses arcanes.  Encore fallait il que le vampire ne la saigne pas durant ce temps, mais si la chance lui souriait, alors oui, elle pourrait sans doute à pouvoir  s’enfuir, même si cela ne lui plaisait absolument pas.   Mais elle n’avait pas le choix, il fallait qu’elle rentre chez elle.

-Bon, je pense que tu as… Assez jouez gamin…

Elle devait encore gagner un peu de temps. D’ici quelques minutes, elle pourrait enfin réutiliser la magie rose. Et à ce moment, le vampire regretterait de ne pas l’avoir tuer. 

« Bon, je pense que tu as… Assez jouez gamin… »

Il sourit avant de rire doucement, oui, c’était assez joué comme ça ! Il fallait savoir arrêter de jouer et passer aux choses sérieuses quand cela s’avérait nécessaire…maintenant par exemple ! D’un coup sec il arracha les autres parcelles de peau au lieu de le faire lentement. Voir de la chair à vif était des plus agréables à regarder…

Prenant son couteau, il s’amusa à creuser la chair jusqu’à créer une trace  qui était assez belle. Puis, sans crier gare, il lui enfonça dans la cuisse sa lame et ce, jusqu’à la garde. Puis il recommença de l’autre côté. Il continua un peu ainsi jusqu’à ce qu’il estime qu’il y avait d’assez belles marques, soit trois sur chacune. Lassé, il prit l’elfe par les cheveux et la traina vers l’arbre ou il y avait les cordes. Elle avait perdu tellement de sang qu’elle devait être plus morte que vive, aussi cela n’était pas difficile.

« Oui, on va passer aux choses sérieuses, ne t’en fais pas, et aussi, sache que ton agonie sera lente et douloureuse, j’espère vraiment que des bestioles viendront jouer avec ta chair et ton sang, et même se nourrir, j’espère que les corbeaux viendront t’arracher les yeux… »

Il lui lia les poignets entre eux avec la corde et la fit passer par-dessus  une haute branche, suspendant l’elfe à une trentaine de centimètres du sol. Il reprit son arme et approcha le métal de l’un des yeux de celle-ci.

« Ou je pourrais te les crever de suite, juste par plaisir…après tout, puisque tu te régénères, si tu survie, tu auras tout le loisir de te soigner…quoique tu apprécieras peut être les ténèbres éternels. »

Il piqua le sourcil jusqu’au sang.

Tinuviel devait encore tenir, ne pas se montrer faible,  mais ce diable était un vrai monstre,  il n’y avait rien d’autre à dire sur lui.  Il prenait juste un malin plaisir à la faire souffrir. Elle avait mal, tellement mal, c’était une horreur.   Et cela n’était pas fini.  Non, il continuait  encore et encore ce jeu malsain.  C’était douloureux,  si douloureux.
Mais  ce serait bientôt fini,  oui, ses servantes serait bientôt là, et dès lors le rapport de force serait bientôt  changer, et ce vampire  devrait bientôt partir s’il ne voulait pas se faire démolir par une vingtaine de furry en quête de vengeance.  Elle se laisser donc faire pour l’instant,  puisque  il ne touchait aucun organe vitale, mais un jour, elle se vengerait, et ce  jour là, autant dire qu’il passerait un très mauvais quart d’heure à ce moment là.

Elle se laissa trainer sur un long moment,   enfin pour elle,  car en réalité  cela ne dura qu’une petite minute.  Puis, il se débrouilla pour l’attacher.  Elle avait du mal à comprendre ce qu’il disait,  elle était fatiguée. Très fatiguée.  Elle aurait voulue dormir.  Mais elle savait que si elle fermait les yeux, ce serait  pour l’éternité, hors son heure n’était pas venue.

Elle sentie le poignard de l’homme transpercer son sourcil.  Il n’allait quand même pas,  et pourtant, il pouvait.   Elle ne pourrait rien faire si l’homme se décidait à lui crever les yeux.  Elle avait beau être capable de se régénérer,  elle ne savait pas si son pouvoir lui permettait de soigner cela.   Elle ne pouvait rien faire de plus de toute façon,  non elle devait économiser ses forces et attendre la venue de son harem. Elle ne pouvait faire que cela.

Liam avait assez joué, il ne souhaitais pas davantage s'amuser, ou du moins, ce serait bientôt le cas, il avait encore une ou deux idées à mettre en pratique avant de laisser l'eklfe ici, soumise à son propre sort, abandonnée de tous et de toutes, il ne tarderait pas à y avoir une meute de prédateurs qui lui grignoterait le corps peu à peu.

Elle espérait revoir son harem, hélas, ce fut une escouade de chasseurs aux ordres de Liam qui vinrent le retrouver. Et là, cela se déchaina, la vingtaine de chiens, excités  par l'odeuyr du sang, était difficilement maitrisable, asussi, liam prit les devants et il  ôta les pièces d'armure de la guerrière, il exhibait son trophée, nu comme un vers, aux yeux de tous.

Doucement, il finit d'abord ce qu'il avait commencé, il taillada l'arcade sourcillière sur toute sa longueur, avant de très lentement, taquiner de la pointe l'oeil de sa captive. Il avait une furieuse envie de l'énucler et ce, directement. Mais qui l'en empêchait ? Personne. Alors, pour s'amuser, et pour lui montrer qu'il était miséricordieux, il laissa son œil tranquille...pour lui trouer les oreilles, il dut forcer le passage,  certes, mais il y parvint sans trop de peine.

Il comptait la donner aux chiens après, mais avant, il fallait une dern ière chose, il fallait qu'il fasse un dernier petit supplice, il voulait un trophée, il voulait faire mal en sachant bien qu'il garderait quelque chose d'elle. Une sorte de fa_çon de se rappeler en permanence chacune des emmerdeuses qui aviaent croisé son chemin.

Il prit l'un de ses seins et tira sur le téton autant qu'il put, pour enfin trancher dans le vif et le couper, au raz du mamelon, pour garder ce souvenir, oui, ce téton irait très bien dans sa collection...enfin, il trancha les cordes une à une avant de se tourner vers ses chasseurs.

« Lâchez les chiens ! »

 Il ficha son poignard dans l'abdomen de l'elfe et se décala alors alors que la meute fondakit sur la ible à peine vivante. Il se mit en selle, suivit de ses hommes, et laissant les chiens à un hypothétique festin, il s'en alla, alors que les premuiers crocs s'enfonçaient dans sa chair.

L’elfe était dans un état de semi conscience, mais elle n’en revenait toujours pas de la violence, de la barbarie de cet homme.  Si seulement, elle avait encore la force d’utiliser la magie rouge, elle lui aurait envoyé une de ces boules de feu dans les fesses. Autant dire qu’il se serait souvenu.  Mais non, elle était faible, sans défense, totalement soumise à cet homme.  Le fait qu’il s’attaque à  ses oreilles était un affront, il n’y avait rien de plus…   De la  douleur, beaucoup de douleur.  Il venait.  Il venait de lui couper le téton. A vif, sans aucune anesthésie, c’était juste horrible.  Une des pires expériences  de sa vie.  Elle lui ferrait payer à cet … 

Elle n’eut pas le temps de finir sa penser, que le poignard lui transperça l’abdomen, provoquant encore un sursaut de douleur, elle devait se démerder pour échapper à la morsure de la mort.  Ou tout du moins, la morsure des molosses.  Elle avait un seul moyen de s’en sortir, c’était d’attende, d’attendre que  une de ses amantes la sorte de ce guêpier infernale.  Elle pouvait le sentir, une d’entre elle était proche, presque autant que les crocs qui la découpaient maintenant.  Elle aurait du mal à s’en remettre mais…  Mais elle n’eut pas le temps de réfléchir, sombrant dans le coma, la douleur l’avait finalement  terrassé, dut moins,  pour le moment.
La suite fut flou, elle n’entendit que des cris, des gémissements, et des bruits de combats.  Lorsqu’elle se reveilla, elle était dans le harem, sur son lit,  bandée encore et encore ressemblant plus à une momie qu’à autre chose. Lorna  était là, proche d’elle.  Ce qui lui tira un faible sourire.   


Il fallut pratiquement  six mois pour que l’elfe se soigne totalement,  le pire fut sans doute le téton que le vampire lui avait retiré.  Heureusement pour elle, la magie rouge lui permit de s’en tirer sans aucune trace visible. Mais par contre, dans son cœur, l’elfe  nourrissait un sentiment de vengeance puissant.  Il était probable que si jamais elle retrouvait ce vampire, il ne s’en sortirait pas entier cette fois ci. Elle lui ferrait payer.


Fin.