Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Liam Eckart

Créature

tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

vendredi 14 octobre 2011, 11:18:46



La belle jeune fille, environ seize années, un esclave ramenée de la terre, était liée par les poignets, bâillonnée, pendant à une douzaine de centimètres du sol. Lui, le vampire, lui tournait autour, cravache à la main, un sourire sur les lèvres, sourire en coin plus précisément. Cette jeune femme avait un corps si agréable à regarder, et si sensible !  La moindre caresse un tant soit peu violente de la cravache sur sa peau lui arrachait un cri de douleur des plus exquis. Des larmes lui perlaient des yeux. Cela faisait bientôt deux heures qu’elle subissait  la souffrance de la morsure de la cravache. Les yeux bandés, elle ne savait pas où elle était, ni où il était, aussi, elle ne s’attendait à aucun de ses coups ne pouvant pas les prévoir.

Le jeune « homme » continuait ses petits jeux sadiques, l’entendant hurler et l’insulter, crier pitié en le traitant de tous les noms sauf celui qui lui valait la punition à cause de son omission, enfin, il essayait de deviner ses paroles, n'entendant que des choses incompréhensible à cause du bâillon. Il y avait des choses sur lesquels il ne fallait pas transiger, notamment sur les ordres qu’il donnait.

« Allez, dis-le et ton supplice se finit ! »

Il changea d’instrument, remplaçant la cravache par un chat à neuf queues, il commença à jouer de cet instrument sur son derrière, laissant e fines trainées sanguinolentes à cause des griffes en métal au bout des neuf lanières. Ah…le sang, quelle délicieuse odeur, cela ne lui donnait qu’une seule envie : frapper plus fort.

Il continuait son petit jeu, jouant à l’extérieur bien évidemment, dans la cour enneigée pour  la morsure du froid sur les plaies, c’était plus agréable. Une cour pavée glissante recouverte d’une fine couche de neige. Celle-ci était bordée d’un mur d’enceinte de trois mètres de haut, avec des tours tous les huit mètres. Bref, impossible ou presque d’y entrer.

Les cris pouvaient ainsi continuer longtemps, puisqu’il le faisait plus par plaisir que pour le dressage, même si l'intérêt c'était de la dresser.
« Modifié: vendredi 14 octobre 2011, 11:46:54 par Liam Eckart »

Maîtresse Isis

Humain(e)

Re : tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Réponse 1 samedi 15 octobre 2011, 23:39:18

C'était la fin d'un mois. Un autre comme tant d'autre. Gwen n'aimait pas ces échéances, car elles signifiaient qu'elle devait s'occuper de la paperasse engendrée par son bar. Elle n'avait pas de comptable et devait, de ce fait, se débrouiller seule. Dans cette grande pièce vide, assise devant son bureau, seule avec ses papiers. Il était tard, la nuit commençait à recouvrir de son voile noir la totalité de la ville. Plus que quelque papiers à signer et elle en aurait terminé. La journée pourrait s'achever pour Gwen qui avait hâte de retourner voir sa soumise, sa favorite. Oui, Isis avait une soumise particulière, qui s'était installée chez elle. Au yeux de tous,elle était son amie. Ce n'était qu'une façade, personne n'était apte à comprendre ce lien si particulier qui les unissait. Isis se doutait que certaines personnes comprenait qu'elle était autre chose qu'une complice, mais que les convenances passant avant tout, nul n'osait faire une remarque devant elle. Des chuchotements, des rumeurs circulaient. Isis s'en moquait, elle n'avait pas honte.

Une dernière signature et elle posa son stylo plume. Elle avait terminé. Elle s'étira de tout son long pour dégourdir ses muscles. Elle se leva, attrapa son long manteau et sorti, fermant la porte à clé derrière elle. Elle s'occuperait de ce qui devait être posté le lendemain. Elle rectifia devant la vitre de l'établissement son allure, ses cheveux un peu décoiffés et ferma sa longue pelisse. Elle s'aventura dans les rues de Seikusu, à la recherche de sa voiture. Elle l'avait garée un peu loin à cause du monde dans la journée. Marchant dans la rue, elle avançait avec hâte, sans traîner des pieds. Dehors il faisait peut être froid, mais elle appréciait la légère brise fraîche de la nuit sur son visage. Passant d'une maison à l'autre, elle devinait les formes, les gens qui s'activaient, ombres mouvantes, découpées à la faveur d'une lampe que le hasard avait judicieusement disposée. Alors elle imaginait, imaginait que ce fut elle dans ces murs, que sa vie soit autre, différente. Mais à peine ses pas l'avaient-elle emportés plus loin que le coin de la rue, elle redevenait ce qu'elle était, ce vers quoi elle marchait. Qui aurait pu croire qu'au détour d'une nouvelle ruelle, sa vie basculerait ? Pas elle, certainement pas elle...

Ce fut pourtant ce qui lui arriva, d'un coup elle senti la brise si douce venir lui mordre les joues. Elle nicha le bas de son visage dans la fourrure de son vêtement. Ses yeux se plissèrent un moment, observant ce qu'ils avaient autour d'eux. Gwen n'était plus dans la rue, mais dans un parc. C'était elle trompée de chemin, avait-elle prit la direction du parc de Seikusu ? Non, ça n'y ressemblait pas. Où était elle ? Elle se retourna et fut surprise de trouver en face de son nez un haut mur. Comment un mur pouvait se trouver sur le passage qu'elle venait d'emprunter ? Sa main s'avança et glissa sur les blocs de pierres, étrangement lisses. Elle longea un moment cette muraille, avant de bel et bien être certaine qu'aucune ouverture n'était présente, du moins de suffisamment proche comparé à son trajet.

En huit années dans cette ville Japonaise, elle avait bien sûr entendu parler des failles. Elle n'y avait jamais cru. Des racontars, des rumeurs pour faire peur aux enfants, rien de plus. L'évidence lui brûlait les yeux, elle avait eut tord. Ce monde parallèle existait bel et bien. C'était à se demander comment la pauvre fille avait pu ne pas en trouver une plus tôt. Peut-être que sa vie si rangée ne lui avait pas permis de faire cette étonnante découverte. Elle avait beau avoir une vie débridée, elle n'en restait pas moins cantonnée à son train-train dans son univers. Une autre évidence apparu aux yeux de la jeune femme : s'il y avait un mur, de la vie ne devait pas être si loin. C'était aussi bien. Elle devait trouver de l'aide pour retourner chez elle. Elle n'était pas en vacances et devrait remettre sa découverte à une autre fois. Rentrer était la seule chose à faire.

Gwen regarda autour d'elle, et dans une sorte de brume elle distingua une battisse. Elle devait se trouver sur le domaine de quelqu'un. Il suffisait de trouver cette personne et de lui demander de l'aide. Gwen était inconsciente du danger ambiant. Elle ne soupçonnait pas à quel point les êtres vivants, ou non, pouvaient être mauvais dans ces contrées. Elle aurait certainement dû. C'est donc pleine de confiance qu'elle s'aventura vers le bâtiment. Grand, imposant, à la mesure des la muraille qui l'entourait. Enfin, elle entendit du bruit. Un homme qui parlait et un claquement...oui ce vif claquement qu'elle connaissait si bien...Suivant cette musique, elle se retrouva devant une scène inattendu. Là, dehors, dans le froid, un homme et une femme. Leur position était sans équivoque pour Isis. Le hasard avait voulu qu'elle se trouve à cet endroit, elle, l'adepte du sadomasochisme, car il s'agissait bien de cela : Un couple s'adonnait à cet art !

Elle observa, en silence, et surtout, elle jugea, jugea l'homme qui fouettait sa compagne. Il était violent, très violent. C'en était trop pour les yeux de la jeune femme. Et sans se rendre compte elle parla:

- Comptez vous vraiment obtenir quelque chose de votre soumise de cette façon ? Vous vous y prenez vraiment très mal...

Et voilà, le mal était fait. Elle aurait du héler d'une autre manière, se présenter, s'excuser d'être là, lui demander son aide. Non. Lui balancer une insulte était tellement plus...judicieux.

Liam Eckart

Créature

Re : tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Réponse 2 dimanche 16 octobre 2011, 17:32:52

Le jeune vampire ne voyait un art que dans la torture, aucune forme d’art dans un simple coup de fouet, c’était sans doute trop hors de sa propre portée à ‘heure actuelle, il ne voyait qu’une seule chose de magifique : un gémissement e douleur étouffé par un bâillon, voilà le plus beau de cette scène, et encore un, puis un nouveau, et ainsi de suite jusqu’à ce que quelqu’un vienne troubler son petit jeu.

« Comptez vous vraiment obtenir quelque chose de votre soumise de cette façon ? Vous vous y prenez vraiment très mal... »

Il se tourna vers la nouvelle venue, et, comme un réflexe, son bras se détendit, et son fouet, tel un serpent, se détendit pour aller s’enrouler autour de la gorge de l’importune. Il tira d’un coup sec pour la ramener vers lui. Ses yeux étaient noirs, comme si il lançait des éclairs. Il était furieux que l’on vienne interrompre ses petits jeux sadiques.

D’une voix à la fois calme et glaciale, il prit la parole. Oh ce n’était pas des paroles violentes ni même méchantes, jute des questions de base quand quelqu’un venait vous interrompre :

« Qui êtes vous ? Et que faites-vous ici ? Pis encore, comment êtes-vous arrivée ici malgré les murs et le portail fermé ? »

Encore quelqu’un qui avait déjoué la sécurité des lieux, il commençait à vraiment se demander s’il ne ferait pas dresser des chiens pour attaquer quiconque pénètre en ces lieux. A force il commençait à vraiment désespéré, bien qu’il eut gagné au change au final cette fois là.

Il détailla d’un œil d’expert la jeune femme qui se tenait devant lui. Moui, il avait vu mieux, mais elle était loin d’être vilaine. Enfin bon, il déciderait de son sort plus tard puisqu’une étincelle de malice et d’amusement. Il venait d’avoir une idée.

« Vous pensez mieux pouvoir faire ? Alors montrez moi, que l’on s’amuse un peu ! »

Il lâcha le fouet et lui en tendit le manche.

Maîtresse Isis

Humain(e)

Re : tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Réponse 3 lundi 24 octobre 2011, 15:19:46

Une scène étrange qui se déroulait là. Vraiment.

L'homme qui se retourna sur Gwen exprima son mécontentement de vive voix. C'était compréhensible, mais Gwen n'était pas la fautive. Elle n'eut même pas peur de l'action qu'il entreprit à son encontre. Un sourire vint orner son visage, un sourire malicieux. L'habitude certainement. Il avait le geste sûr, la corde du fouet s'enroula autour de son cou avec une précision de maître, serré suffisamment pour affirmer une emprise sans la blesser. Alors pourquoi cette maîtrise n'était pas au rendez vous avec cette autre fille ? Il l'attira un peu vers lui, elle suivit sans résister. Il se posait des questions sur sa venue, et quoi de plus normal. Elle s'en posait aussi, et cela devenait difficile d'expliquer son arrivé en ces lieux.

- Si je vous parlais d'un portail dimensionnel, me croiriez vous ? Je me suis perdu en quelque sorte.


Il fit une chose à laquelle elle ne s'attendait pas du tout. Il la provoqua. Lui lança un défi que bien des êtres auraient refusé. Bien d'autres ne seraient pas venus jusque là de toute façon. Sans un mot, elle l'accepta. Elle était dans on domaine de prédilection. Et, tout comme lui, cela l'amusait. Elle sortait un peu de ses habitudes. Dresser une soumise ? Soit ! Elle y arriverai.

Elle se saisie avec douceur du fouet tendu. Tirant sur celui ci, elle déroula savamment la cordelette qui entravait toujours son cou, le faisant glisser lentement. Elle s'avança vers sa victime, sans le savoir. En bout de course, elle fit claquer la longue cravache non loin de la jeune femme. Ce n'était pas de l'esbroufe, le dressage commençait déjà. Un but simple, voir quel parti de son corps réagissait à se bruit, que tentait elle de protéger.

- Mon nom est Isis. Et pour toi, jeune putain, c'est Maîtresse Isis. Je ne le répéterais pas.


L'analyse visuelle terminée, elle avança sa main vers l'intimité de la jeune femme. La jeune femme ferma les cuisse sur la main inquisitrice, tentant de l'empêcher d'aller plus loin. Isis la sentit se crisper et eut un petit sourire ; cette satané résistance, cette peur panique qui pouvait se saisir d'une personne et la bloquer de façon définitive parfois, l'empêchant d'aller plus loin. Mais elle savait ce qu'il fallait faire pour la pousser au delà de cette limite, la forcer à dépasser cette peur et à se dépasser elle-même. Isis lui donna un coup sec sur l'intérieur de la cuisse pour qu'elle lui laisse le passage Et le constat fut bref. Elle était sèche. Le désert était plus humide que cette fleurs de vie. Pathétique. Elle interrompit son mouvement et retira sa main qui remonta sur son ventre. Elle savourait sous ses doigts la fraîcheur de cette peau. Elle parcourra, en laissant glisser sa main, l'ensemble de son buste, de son dos, de ses épaules. La pauvre petite tremblait, était ce le froid ? L'appréhension ?

Le corps de la jeune femme se détendait peu à peu. Elle appréciait le répit, la douceur qui lui était offert. Isis ne jouait pas encore du feu de la cravache, non, elle devait apprivoiser la future soumise. Lui faire comprendre qu'elle était dans des mains différentes, des mains sûres. Elle entreprit de caresser le corps de sa prisonnière lentement, faisant glisser l'objet scintillant sur sa peau, le dirigeant vers son ventre. La soumise, dont la respiration s'apaisait, sentit un doigt fin venir caresser l'ourlet de son sexe et se frayer une chemin dans son corps. Elle poussa un soupir en frissonnant. Isis le faisait aller et venir dans son intimité, le faisant tournoyer, pivoter, effectuant de petites rotations qui venait exciter ses chairs aux endroits les plus sensibles. La prisonnière s'abandonna.

Isis lâcha finalement le fouet confié qui tomba dans un bruit sourd à ses pieds. Elle n'en avait pas besoin, pas cette fois. Sans prévenir, de sa main libérée, elle se saisi d'un des téton de l'esclave. Elle lui tordit cruellement. La vive douleur se répercuta dans ton son corps sous l'effet de la surprise. La soumise se dégagea et tout cessa. Les va et viens et la torture. Isis attendait que la jeune femme se calme. Cette dernière était frustrée, son corps commençait à s'engourdir de plaisir mais la dominante l'avait laissé sur sa faim. Sans même sans rendre compte, son bassin s'avança vers la main qui s'était retirée mais dont la présence était perceptible de part ses effleurements. Comme pour accepter sa demande, Isis replaça son doigt, qu'elle accompagna d'un second. Lui laissant à peine le temps de retrouver le plaisir, son autre main vint lui torturer de nouveau le téton, tout aussi fortement, l'irradiant de douleur. La réaction fut la même que précédemment et la sentence s'accorda à sa décision. Tout cessa, une nouvelle fois. Et Isis recommença son petit jeu encore deux fois, jusqu'à interrompre vraiment celui ci.

- C'est à toi de décider, c'est les deux...ou rien.

Isis rattrapa le fouet posé au sol et rapprocha dangereusement ses mains du bâillon. Elle l'ôta. Cela aurait pu et aurait du être le bon moment pour la captive de dire qu'elle était retenu contre son gré, qu'elle devait l'aider. Aucun son ne sorti. Le demoiselle était hésitante et haletait un peu. Son corps réclamait justice. Isis recula vers celui dont elle ne connaissait pas le nom avec un sourire. Il n'y avait rien d'arrogant ou de victorieux, un simple sourire rassurant pour l'homme au regard impérieux.

- S'il vous plait...continuez...

La voix était timide, et Isis s'étant reculée eut presque peine à l'entendre. Pour toute réponse, la jeune fille eut droit à un coup de fouet sur chacun de ses flans.

- Demande le clairement que tout le monde ici t'entende ! Et mets y les formes sinon...


Tout le monde...il n'était que deux. Encore une phrase dont elle avait l'habitude d'user. La soumise se souvint de la première phrase qu'elle lui avait adressé. Elle accepta, vaincu par son désir, et ouvrit la bouche une seconde fois.

- S'il vous plait...Maitresse...continuez...s'il vous plait...

Isis se contenta d'enrouler le fouet et le tendit à son propriétaire. Il lui avait demandé de faire mieux et c'était chose faite. Après tout, il ne lui avait pas demandé de la dresser complètement non plus. Alors il ne fallait pas rêver, ça s'arrêtait là.

- Je vous rend vos biens. Je vous laisse reprendre vos droits, elle sera plus conciliante, c'est un fait. Quant à moi, je ne vais pas m'imposer à vous plus longtemps...Savez vous où je pourrais trouver un hôtel ou quoi que ce soit qui ressemble ça ?

Gwen n'avait aucune idée de là où elle était et ne savait même pas si une ville était proche. La seule chose qui lui apparaissait certaine, était la nuit qui venait peu à peu grignoter le ciel.


Liam Eckart

Créature

Re : tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Réponse 4 mardi 25 octobre 2011, 01:33:46

Laissant la bride sur le cou à la nouvelle venue, le vampire s’éloigna de quelques pas, assez pour ne pas la gêner, et en même temps assez près pour tout voir et tout entendre. Bref, en lui faisant confiance mais pas entièrement….

Il l’observa agir, elle savait donc vraiment de quoi elle parlait, cette étrangère. Elle venait assurément de la terre et il avait entendu parler de plaisirs nommé « sadomasochisme » Et si il n’avait jamais testé, il lui avait semblé que cette pratique équivalait les siennes. Peut-être était-ce une erreur de sa part en ayant pensé ainsi….seule la manière dont elle agirait par l suite le lui dirait.
Une scène étrange qui se déroulait là. Vraiment. 

« Mon nom est Isis. Et pour toi, jeune putain, c'est Maîtresse Isis. Je ne le répéterais pas. »

Logique, il lui avait dit quelque chose de semblable  aussi, peine perdue. Mais que fit-elle après ?? Elle se mit à la…caresser ? Mais que venait faire la douceur là-dedans ? Là il était décontenancé. La douceur venait donc en élément primordial ? Quelle chose étrange. Ainsi, la douceur était-elle plus forte que la violence. Et comment pouvait-on se faire obéir sans le minimum de peur ? Il ne comprenait pas bien où elle voulait en venir. Que désirait-elle vraiment au fond ? Et pourquoi agir ainsi ? C’était incompréhensible…

Alors que la jeune femme lâchait le fouet, elle se mit à glisser sa main entre ses cuisses, entrant sans doute un doigt ans l’intimité de la future esclave. Ouais, une petite dose de plaisir pouvait peut-être aider. Mais cela n’asservissait pas !  Cela ne servait à rien ! Puis il sentit enfin une once de douleur quand elle lui tordit le téton avec force, et là ce fut lui fut aux anges. Enfin une sensation de douleur sur la victime, ladite maitresse Isis attaquait donc les choses sérieuses. Mais quand la jeune femme se dégagea. Et finalement sembla redemander du plaisir, plaisir qui vint immanquablement accompagné de la douleur. La victime se dégagea à nouveau. Combien de fois le manège recommença ? Il n’en sut rien, il ne compta pas les cris et les gémissements, chacun étant un extase, même en étant étouffés par le baillon !

« C'est à toi de décider, c'est les deux...ou rien. »

Elle lui ota le bailloon et récupéra le fouet avant de venir vers lui avec un sourire aux lèvres. Ah bah fallait pas croire elle n’avait rien eut ! Alors qu’elle ne se vante pas par avance !

« S'il vous plait...continuez... »


Liam avait-il bien entendu ? Il en ouvrit la bouche, complètement coi , venait-elle de faire le premier pas ? Il ut la satisfaction d’entendre que cela ne suffisait pas. En effet, il put entendre ce doux claquement qu’était celui du fouet sur les chairs de l’esclave. Délicieux murmure plus doux que le miel, moins qu’un cri de douleur, certes, mais quand même !

« Demande le clairement que tout le monde ici t'entende ! Et mets y les formes sinon... »

Décidément, c’était une femme bien, de très bonnes valeurs…

« S'il vous plait...Maitresse...continuez...s'il vous plait... »

Mazette !  Elle y était arrivée !  Là il n’en revenait pas !  Il frappa dans ses mains, vraiment surpris, avant de se mettre à applaudir. Il était grandement impressionné.

« Je vous rend vos biens. Je vous laisse reprendre vos droits, elle sera plus conciliante, c'est un fait. Quant à moi, je ne vais pas m'imposer à vous plus longtemps...Savez vous où je pourrais trouver un hôtel ou quoi que ce soit qui ressemble ça ? »

Il lui sourit avant de reprendre le fouet et le recoincer dans sa ceinture. Il était tout sourire. Décidément, il allait peut être lui faire une fleur…oui, il allait peut être la remercier…

« La ville la plus proche est à une demi-journée de cheval, et les routes ne sont déjà pas sures en journée, alors, une femme seule…autant vous offrir en pâture à tous les monstres et à tous les violeurs du coin, ce serait plus rapide ! Ou mieux, allez y nue avec une pancarte autour du cou : « servez-vous » ! Je suis désolé d’être si vindicatif, mais en gros, pour votre sécurité, vous feriez mieux de venir dormir ici. Contrairement à dehors vous pourrez dormir sur vos deux oreilles en sécurité. Soyez mon hôte pour la soirée. Vous aurez des draps de soie, un bon bain pour vous détendre, et un bon repas, préparé par mon chef cuisinier lui-même. »

Il sourit avant de rajouter.

« Je suis abasourdi par la qualité de votre prestation. Mais puis-je abuser et vous demander de me montrer l’étendue de votre savoir faire, et voir…de me l’apprendre. »

Le vampire lui sourit et lui proposa son bras pour entrer à l’intérieur alors que deux personnes détachaient la jeune femme pour l’emmener dans le quartier des serviteurs.

« Ils l’emmènent au dispensaire où le médecin du manoir va l’examiner. Question de prudence. Je ne veux pas qu’elle écope de blessures trop graves ou qu’elle tombe malade à cause de nos séances en plein air. C’est normal. Mais je sais que je vais sans doute abuser en vous demandant cela…mais j’aimerai énormément que vous m’appreniez à avoir votre doigté et votre talent… »

Maîtresse Isis

Humain(e)

Re : tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Réponse 5 mardi 01 novembre 2011, 19:03:21

Elle rit joyeusement à ses applaudissements. Ainsi donc, il avait apprécié le spectacle. Après tout, elle adorait ce genre de choses, c'était sa véritable nature d'être comme ça. Et puis, l'état dans lequel était la jeune femme avait très certainement aidé. La jeune femme qui souffrait le martyr avait du être bien aise de se retrouver presque choyé.

Elle avait écouté le long discours de l'homme avec infiniment d'attention et un intérêt grandissant, bouleversée par des sentiments contradictoires. Elle apprenait de bien terrible nouvelles. L'endroit où elle venait d'atterrir était fort dangereux. Isis avait été vite dégrisée de la joie de sa découverte quand elle comprit qu'elle s'était mise dans une situation délicate. Des monstres ? Etait ce possible ? Elle le fixait, les yeux brillants d'émotions et quand il se tut, elle baissa la tête un instant, soupira, puis releva les yeux vers lui. Elle ne savait que dire. C'était assez soudain, comme sa venue dans ce jardin. Un inconnu sans nom lui proposait de l'héberger. Au moins là, elle devait admettre qu'elle se sentait soulagée. Savoir qu'elle aurait pu être jetée en pâture  à de telles atrocités lui retournait l'estomac.

- Je vous suis reconnaissante de m'accueillir chez vous et c'est avec joie que j'accepte votre invitation.

Redevenant pensive, elle cherchait une solution à son problème. Son hôte lui avait fait une proposition des plus étonnante. Elle ne s'attendait pas à ce qu'on lui demande de faire les professeurs en matière de dressage. Prenant le bras offert, elle lui emboîta le pas, le suivant vers cette grande demeure qui lui faisait étrangement penser à la sienne. La différence était peut être que cette demeure était parfaitement adapté à son époque. Isis l'avait entendu dire que la ville la plus proche était à une demi journée de cheval et non pas de voiture. Cela signifiait-il que la technologie était encore à ses balbutiements dans ce monde ? Cela l'intéressait, autant qu'elle était effrayée. D'autre part, il n'avait pas semblé choqué outre mesure lorsqu'elle avait parlé de portail. Elle était donc dan le vrai.

- Et bien...je pense que je peux vous montrer comment je procède chez moi. Pourrais je vous demander une faveur en retour ? Ce monde m'est inconnu, et rien ne me dit que je tomberai pas une nouvelle fois dans un de ces portails. Seriez vous capable de "m'apprendre" ce monde, me l'expliquer, me le faire découvrir à travers vos yeux ?

Il y avait quelque chose de gênant dans cette proposition. Loin d'elle l'idée de ne pas vouloir le faire, c'était surtout qu'elle n'avait pas averti d'un éventuel départ et que cela risquait d'inquiéter son entourage. Et puis son commerce, si elle s'absentait sans prévenir, elle risquait de tout retrouver dans une pagaille monstrueuse. Elle ne pouvait pas rester là sans prendre de disposition avant. Le tout était de savoir s'il y avait moyen de retourner momentanément chez elle pour tout arranger.

- Rester avec vous m'est possible bien sur, mais n'y a t-il pas un moyen de faire l'aller retour entre ici et Seikusu ? Vous comprenez, j'ai plusieurs personnes qui m'attendent, que ce soit des employés, mes compagnons de jeux ou mes soumis...si je ne reviens pas vite, ils ne vont pas comprendre. Je peux parfaitement dire que je pars en vacances, je n'en ai pas pris depuis longtemps...cela me fera le plus grand bien après tout.


Oui, des vacances, des vacances un peu étrange...Encore fallait il que Liam la laisse faire.

- Oh et...puis je avoir le plaisir de connaître le nom de mon hôte ?


Liam Eckart

Créature

Re : tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Réponse 6 vendredi 04 novembre 2011, 08:25:11

« Je vous suis reconnaissante de m'accueillir chez vous et c'est avec joie que j'accepte votre invitation. »

Il souriait comme un enfant, quelle joie qu’elle ait accepté, cette rencontre pouvait être des plus profitables, et en plu, si elle lui rendait ce service en lui apprenant son art, il aurait même à la remercier chaleureusement. Non, vraiment !  Ce n’était pas des blagues !

« Et bien...je pense que je peux vous montrer comment je procède chez moi. Pourrais je vous demander une faveur en retour ? Ce monde m'est inconnu, et rien ne me dit que je tomberai pas une nouvelle fois dans un de ces portails. Seriez vous capable de "m'apprendre" ce monde, me l'expliquer, me le faire découvrir à travers vos yeux ? »

Le pire dans sa demande, c’était son honnêteté sans doute, naïvement, elle pensait à un échange équivalent, les étrangers ne savaient pas ce à quoi s’attendre ! Visiter et apprendre le monde de terra était à la portée du premier pécore venu, mais encore fallait-il  avoir les trippes bien accrochées, car la vérité était là : terra n’était pas un merveilleux monde où les fées et les licornes se baladaient dans des champs de fleufleurs, bon, ça, c’était prévu avec son speech précédent….après, c’est sur qu’elle avait à en apprendre des choses ? Et pas qu'un peu !  Bien au contraire il lui restait une montagne de choses à savoir pour survivre dans le coin, et tout le monde finissait toujours pas oublier quelque chose, ce qui lui était fatal !

Rester avec vous m'est possible bien sur, mais n'y a t-il pas un moyen de faire l'aller retour entre ici et Seikusu ? Vous comprenez, j'ai plusieurs personnes qui m'attendent, que ce soit des employés, mes compagnons de jeux ou mes soumis...si je ne reviens pas vite, ils ne vont pas comprendre. Je peux parfaitement dire que je pars en vacances, je n'en ai pas pris depuis longtemps...cela me fera le plus grand bien après tout.  Oh et...puis je avoir le plaisir de connaître le nom de mon hôte ? »

Il ne répondit pas immédiatement, pour la simple et bonne raison que ce n’était pas le lieu pour ce genre de discussions. Elle se passait dans de bons fauteuils, autour d’un âtre ronflant avec un thé amer fumant dans les mains…aussi apostropha-t-il le premier domestique venu et lui ordonna d’aller leur chercher du thé. L’homme s’inclina et partit en courant vers les cuisines.

« Mon nom est Liam, lord Eckart, mais je vous nen prie, appelez moi par mon prénom… »

Il sourit en l’invitant à entrer dans une pièce d’où provenait une très agréable chaleur, en effet dans l’âtre plusieurs bûches avaient été livré aux flammes. La pièce était spacieuse, peut être bien une bonne centaine de mètres carrés à elle seule.

« Bienvenue dans mon petit salon. Je vous aurai bien conviée dans mon étude, mais le feu vient juste d’être mis dans l’âtre, et la pièce sera sans doute un peu trop fraîche. Je vous en prie, installez-vous. »

Il désigna un couple de fauteuils  dont l’accoudoir droit de l’un était relié à l’accoudoir gauche de l’autre fauteuil, les mettant ainsi  l’un en face de l’autre, quoique légèrement décalés, de manière à permettre une conversation assez facilement tout  en permettant d’être bien installés.

« Prenez vos aises ! »

Il sourit et un serviteur vint lui proposer de la débarrasser de ces affaires. Lui il s’installa de l’autre côté du vis-à-vis. Il attendit quelque peu, histoire qu’ils soient tous les deux installés, avant de prendre la parole.

« Il y a beaucoup de choses à dire, la première, c’est que je vous propose d’au moins rester diner en ma compagnie, et que mon portail personnel, stabilisé par mes mages, il se trouve dans une de mes antichambres. Un endroit ou moi seul peut-y avoir accès. Bien sur, je puis vous laisser y avor accès si besoin est, le seul ennui, c’est le côté aléatoire de l’endroit opù vous arivrez. Mais majoritairement, il me fait arrivé au beau milieu du quartier de la toussaint. Après, si vous souhaitez apprendre le monde, sachez que ce n’est pas une mince affaire !  Il est vaste et plein de choses étranges y résident…et pas forcément des plus tendre, mais si vous le souhaitez, nous procèderons à un échange de savoir et de savoir faire !  Ce sera un plaisir d’apprendre de vous, et j’espère me montrer bon apprenti et bon professeur à la fois. »

Puis on entra dans la pièce, un domestique, chargé d’un plateau où reposaient une théière, deux tasses et un sucrier.

« Puis-je vous proposer une tasse de thé en plus de la chaleur de l’âtre pour vous réchauffer ? »


Maîtresse Isis

Humain(e)

Re : tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Réponse 7 lundi 07 novembre 2011, 16:26:55

Il lui donne son nom, et un titre. Cet homme est donc quelqu'un de noble. Elle fera comme il désire, elle l'appellera par son prénom. Elle se dit qu'elle est folle de tenter cette gageure, mais c'est un défi qu'elle a plaisir à relever et ses états de service sont plus qu'élogieux ! En entrant dans la grande demeure, un peu angoissée par ce nouvel environnement qu'elle va devoir affronter, elle souffle de contentement. Elle franchit la majestueuse porte d'entrée, un peu essoufflée, les pommettes rougies par le froid. Elle ne se sent pas intimidée par le décorum du lieu, imposant, presque écrasant de part le volume.

En pénétrant dans le petit salon elle ne pers pas de sa superbe. Son assurance et sa gaîté naturelle ne sont pas réduits à un pâle sourire de circonstances. Elle est à l'aise dans ce lieu. Peut-être trop. Elle donne naturellement son manteau à l'homme qui vient l'aider à se dévêtir. Elle se dévoile dans une jupe en cuir tanné de couleur clair, un chemisier blanc et des bottes ton sur ton avec sa jupe. Une tenue simple, de madame tout le monde. Rien à voir avec ce qu'elle porte parfois, la nuit, ces nuits.

- Mon véritable nom est Gwenaëlle Andersen. Mes amis m'appellent simplement Gwen. Isis est mon nom de scène si je peux dire. Vous pouvez choisir celui qui vous plait le plus.

Elle venait simplement de réparer une faute lors de sa première présentation. Elle ne pensait pas qu'ils allaient devoir se présenter réellement. Maintenant que la chose était faite, elle pu s'asseoir dans le fauteuil. Une causeuse comme on en faisait plus. C'était pourtant bien pratique, permettait la discussion sous une certaine forme d'intimité. Intimité qu'ils avaient de toute façon étant donné qu'ils étaient seuls dans cette pièce aux dimensions démesurées. Les yeux d'Isis se perdirent un instant sur son environnement.

Parcourant la pièce rapidement, son regard accrocha les curieuses gravures, les objets d'art...le Lord avait du goût. Tout en scrutant la pièce de ses yeux de glace, elle l'écoute lui raconter qu'il dispose d'un portail personnel et apprend la présence des mages. Il avait raison, ce lieu fourmille de choses au delà de la raison. Elle ne peut s'empêcher de montrer sa joie quant au fait qu'il accepte de lui laisser franchir le vortex. Elle déchante cependant en apprenant le coté aléatoire du lieu d'atterrissage. Surtout qu'il s'agit du quartier de la Toussaint. Elle le fuit, comme la peste. Ce n'est pas un endroit fait pour elle. Trop dangereux, un coupe gorge qui n'a rien à envier à Terra. Se retrouver seule là bas n'est pas option qu'elle peut envisager. Elle serait probablement retrouvée morte dans une ruelle sombre après avoir subi mille sévices. Elle aime les sévices, mais pas ceux là. Elle voit le nouveau serviteur apporter les tasses de thé et se reprend rapidement de sa déception.

- Avec plaisir. Un sucre s'il vous plait. Je sais à quel point il est difficile de chauffer une telle demeure. Le château de mes parents est un véritable Enfer de fraîcheur. Heureusement, chez moi je peut pallier à ces inconvénients. J'espère me montrer digne de votre confiance et je suis certaine que nos échange nous seront profitable à tout les deux.

Elle attrape la tasse que lui tend le domestique et elle la pose sur ses genoux. La chaleur dégagée par le thé bouillant, au travers de la porcelaine, lui réchauffe la peau. Elle reste un instant comme ça, sans boire le délicieux liquide dont elle inspire les arômes sous forme de vapeurs. Son interlocuteur à l'air d'être un homme bien, un homme serviable comme elle en rencontre rarement. Elle ne sait si elle peut abuser de son hôte pour l'aider. Elle tente. Sinon c'est certain, elle n'aura rien.

- Votre gentillesse me réjouie. Je vous remercie de me laisser accéder à votre portail. Cependant, puisque vous semblez connaître mon monde bien mieux que je connais le votre, vous ne serez pas surpris que je ne veuille pas l'emprunter. Du moins, pas l'emprunter seule. M'accompagneriez vous ? Seule je risque d'attirer la mauvaise graine...et ne jamais pouvoir honorer ma promesse envers vous. J'ai moi même un manoir qui pourrait...vous intéresser par son contenu.

Après tout, s'il y a bien un endroit où elle peut lui montrer l'étendu de son savoir, c'est là bas. Elle dispose de nombreuses pièces où sont entreposés une multitudes d'objets insolites servant à ses jeux sadiques. Qui sait, elle peux aussi lui montrer de nouveaux moyens de s'amuser...

Liam Eckart

Créature

Re : tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Réponse 8 mardi 08 novembre 2011, 11:26:49

« Mon véritable nom est Gwenaëlle Andersen. Mes amis m'appellent simplement Gwen. Isis est mon nom de scène si je peux dire. Vous pouvez choisir celui qui vous plait le plus. »

Il avait donc le choix, Isis, Gwen, Gwenaëlle, les trois étaient intéressants, étymologiquement parlant. Isis….pas besoin de s’étendre dessus, la déesse qui représentait la mère elle-même, la grande déesse comme on disait dans les cultes modernes, et après il y avait Gwen, la pureté, la blancheur, caractère sacré de toute chose. Enfin, Gwenaëlle, la blanche et pure associé au symbole angélique au symbole de la royauté…en fait, les trois étaient parfaitement assortis à sa personne, ou du moins de ce qu’il avait vu et compris d’elle.

« Avec plaisir. Un sucre s'il vous plait. Je sais à quel point il est difficile de chauffer une telle demeure. Le château de mes parents est un véritable Enfer de fraîcheur. Heureusement, chez moi je peut pallier à ces inconvénients. J'espère me montrer digne de votre confiance et je suis certaine que nos échange nous seront profitable à tout les deux. »

Quelqu’un ayant du gout !  Enfin ! Un bon thé bien amer, voilà ce qu’il fallait, même si le sucre avait tendance à trop l’adoucir à son goût…quant aux échanges, oui, ils seraient très profitables sans aucun doute doute, surtout qu’elle avait besoin d’apprendre énormément sur ce monde, quand elle allait savoir autant de choses que lui, il doutait qu’elle ose y remettre les pieds. De son côté par contre il réutiliserait très certainement  ces connaissances. Mais sur terre, écrire sur terra reviendrait à tendre les bras et dir « oui je suis fou enfermez moi ! »

« Votre gentillesse me réjouie. Je vous remercie de me laisser accéder à votre portail. Cependant, puisque vous semblez connaître mon monde bien mieux que je connais le votre, vous ne serez pas surpris que je ne veuille pas l'emprunter. Du moins, pas l'emprunter seule. M'accompagneriez vous ? Seule je risque d'attirer la mauvaise graine...et ne jamais pouvoir honorer ma promesse envers vous. J'ai moi même un manoir qui pourrait...vous intéresser par son contenu. »

Ma foi oui, pourquoi pas ... ce serait plus pratique pour elle, et donc un avantage pour lui… C’était très intéressant ! Lui-même avait sa tasse de thé dans les mains et en but une gorgée sans le moindre sucre, le côté amer du thé lui fit un bien fou.Il sourit avant de dire sur un ton doux.

« Et bien si cela ne vous dérange pas, je pense que Gwen est un surnom qui gâche toute la beauté de votre prénom ! Aussi je compte vous appeler Gwenaëlle si cela ne vous dérange pas. Serait-ce bien le dérivé féminin du breton Gwen-Maël, qui est devenu Gwen -Vaël et enfin Gwenaël ? La princesse sacrée en tradduction littérale si je ne m’abuse. C’est absolument charmant. »

Il sourit. Un peu de flatterie ne fgaisait jamais de mal et en général, les femmes appréciaient les compliments. Et puis au fond, il ne la qualifiait pas ainsi, il donnait juste la signification de son prénom, à elle de faire les déductions qui l’intéressaient. Lui, il avait dit tout et rien en même temps…

« Après, je puis vous proposer plusieur choses. En effet, si vous le souhaitez, on peut partir demain, ou alors on peut partir avant le diner, ou après. Tout cela c’est à vous de voir. Je vous suivrai. Après, la possibilité c’est de se rendre à mon manoir sur terre, aux portes de la ville de Seikusu…pour peu que j’ai un téléphone, un chauffeur viendra nous chercher sur place e vous..euh nous conduire où vous le désirerez ! »

Le vampire sourit et appela un domestique qui s’approcha. Il lui murmura quelques mots, sur ceux-ci, un seul fut compréhensible : ‘’mordeur’’. Qu4entendait-il par-là ? Elle eut vite la réponse, puisqu’il revint très rapidement, essouflé, avec, posé sur un plateau, un magnifique fouet. Liam prit le fouet sur le plateau et le tendit à Gwenaëlle. L’objet était d’une facture tout à fait remarquable.

« Voici un petit cadeau, il s’appelle mordeur ! N’est-il pas magnifique ? Il a été fait main et enchanté pour que le manche » s’adapte dans la main du porteur, pour une meilleure prise en main. Si vous le permettez, je souhaiterai vous en faire cadeau ! »

Il avait bien évidemment omis de lui dire qu’il valait une petite fortune…

Maîtresse Isis

Humain(e)

Re : tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Réponse 9 samedi 12 novembre 2011, 20:06:44

Elle ne put s'empêcher de sourire à la définition de son nom. Il prouvait sa culture en quelques mots. C'était plaisant de pouvoir trouver dans ce monde si hostile des gens qui étaient capable de deviser. D'ailleurs, c'était de la culture terrienne, preuve que cet homme avait eut de nombreuses occasions de s'informer sur celles ci. Elle reconnu bien là la flatterie légendaire que s'accordait certain homme. Un délice aux oreilles de la jeune femme. Elle n'en fit pas outre trop de commentaires, après tout, il félicitait surtout le choix de ses parents en matière de prénoms.

- Charmeur et érudit ! Un cocktail savoureux.

C'était troublant de se voir offrir un présent alors qu'ils ne se connaissaient qu'à peine. Evidemment, Isis ne doutait pas de l'immense fortune de Liam et qu'un cadeau tel que celui là n'était pas hors de sa portée. Se saisissant de l'objet, elle ne put cacher sa satisfaction. Il était d'une grande beauté. L'effet surprenant que procurait sa main sur le manche la fit frémir. Ses doigts s'enroulèrent sur le cuir, testant sa souplesse, sa douceur...Ah, nul doute qu'avec pareil objet, la morsure du fouet devait être divin. C'était jouissif. Elle avait hâte de le tester sur sa soumise, et sur tant d'autres.

- Je dois le reconnaître, vous avez fort bon goût. Je vous remercie pour ce présent...magnifique. Vraiment. C'est intéressant de voir que ici vous avez la possibilité de faire de pareilles merveilles.


Elle reposa le présent sur le plateau. Le domestique saurait très certainement où le poser en lieu sûr. Le vampire, dont elle ignorait toujours la nature, lui proposa de partir quand elle le souhaitait. Elle apprit qu'il avait lui aussi une demeure à Seikusu. Elle se mit à réfléchir. Il n'y avait pas trente six manoirs là bas. Elle connaissait la plupart des propriétaires et par de simples déductions, elle situait le domicile de son hôte. Il y avait des rumeurs qui circulaient sur elle, et des rumeurs qui circulaient sur les autres. L'une des demeures était soi disant habitée par un homme sombre et secret, doté d'une richesse difficilement chiffrable. Certains prétendaient avoir entendu des hululements de femmes...une évocation qui émoustilla Isis...

- Il est tard, mieux vaut rester ici cette nuit. Demain dans la matinée, ce sera parfait. Et puis, si vous avez besoin d'un téléphone je peux aisément vous prêter le mien. Et puis ce n'est pas si grave si la punition de ma soumise se prolonge de quelques heures.

C'était un fait, elle avait laissé une des ses jeunes soumises, prise en faute, attachée dans une position délicate dans une cellule. Punition traditionnelle qu'elle pourrait même avoir le plaisir de terminer avec Liam, pour peu que celui ci soit d'accord. Cependant, avant de l'inviter à s'amuser avec elle, il fallait bien qu'elle sache ce qu'il estimait lui manquer en matière de...savoir faire. Elle avait pu noter son maniement du fouet, mais ce n'était qu'un ustensile parmi tant d'autre, que connaissait il en réalité ?

- Dites moi Liam, me montreriez vous votre lieu de dressage ? Vous devez bien avoir un endroit où vous posez vos affaires ? Si j'en ai l'occasion, peut-être pourrai je vous faire découvrir des jeux.


D'un certain point de vue, si elle avait d'avance une notion de ce qu'il connaissait, elle pourrait lui montrer en priorité des choses encore inédite. A moins qu'il possède toutes les collections possible et imaginable. Vu sa fortune, c'était pas à mettre de coté. Elle prit enfin la tasse qui lui réchauffait les jambes pour en goûter le contenant. Le liquide chaud déferla en elle comme une petite vague empli de chaleur. Elle ferma un instant les yeux. Il y avait aussi des plaisirs simple dans la vie. Le thé faisait parti de ses péchés.

Liam Eckart

Créature

Re : tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Réponse 10 lundi 14 novembre 2011, 14:51:25

« Charmeur et érudit ! Un cocktail savoureux. »

A vrai dire, c’était plus dangereux que savoureux, surtout pour ceux qui écoutent les flatteurs. Se laisser endormir par les flatteries était un grand risque !  En plus, la flatterie avait tendance à surdimensionner l’égo, et ça, c’était un problème pour bon nombre de gens…mais Liam aimait dispenser des flatteries. Flagorner était un excellemment moyen de se créer les liens  les plus intéressants. D’ailleurs, comme elle  le flattait en la qualifiant d‘érudit, il sourit, son égo étant agréablement mis en valeur. Par contre le terme de charmeur, oui, c’était cela, il le reconnaissait ! Et le pire, c’était qu’il en était fier, très fier !

Elle se mit à manipuler le fouet précautionneusement entre ses doigts experts. Elle observa le fouet, il avait été fait main en plus ! D’où sa grande qualité, la douceur du cuir sous ses doigts, la poignée des plus ergonomiques. Bref, il était parfait. Oui, bon, il avait coûté une petite fortune, mais disons que cela servait de rémunération pour le service qu’elle allait lui rendre en lui apprenant ce qui lui manquait. Et puis disons que la jeune femme méritait bien cela. Et le gros avantage de l’objet de jeux, c’était son impossibilité à s’user avec le temps. Ainsi, jamais elle n’aurait besoin d’un autre…

« Je dois le reconnaître, vous avez fort bon goût. Je vous remercie pour ce présent...magnifique. Vraiment. C'est intéressant de voir qu’ici vous avez la possibilité de faire de pareilles merveilles. »

Evidemment qu’il avait bon goût !  Dans le milieu de l’esclavage, il y avait un minimum à respecter au niveau de la qualité, et celle du fouet était primordiale. Il en avait besoin ! S’il n’avait pas la possibilité d’avoir un matériel décent, alors autant fermer boutique. Il en allait de même avec les chaines, voilà pourquoi celles-ci, non seulement avaient été enchantées contre l’oxydation, elles étaient astiquées deux à trois fois par jours dans les cellules…

Elle le reposa et le domestique s’en alla pour le placer en compagnie des autres affaires de la jeune femme. Liam lui sourit.et indiqua de la main au domestique qu’il pouvait disposer. Celui s’exécuta, les laissant seuls. Mais non sans qu’il lui demande de faire venir le chef cuisinier d’ici une bonne vingtaine de minutes.

« Il est tard, mieux vaut rester ici cette nuit. Demain dans la matinée, ce sera parfait. Et puis, si vous avez besoin d'un téléphone je peux aisément vous prêter le mien. Et puis ce n'est pas si grave si la punition de ma soumise se prolonge de quelques heures. »

Le vampire sourit, se demandant comment elle avait laissé sa soumise. Elle était douée, et donc sans doute très inventive !  Mais il était curieux de voir jusqu’où elle pouvait aller ! Connaitre les limites des autres était des plus intéressants !  Il savait à qui il avait à faire avec cela. Et si il avait à qui il avait à faire, il connaissait donc la la limite de tout ce qu’il pouvait faire sans poser de souci ou sans empiéter sur un domaine tabou.

« Dites moi Liam, me montreriez-vous votre lieu de dressage ? Vous devez bien avoir un endroit où vous posez vos affaires ? Si j'en ai l'occasion, peut-être pourrai je vous faire découvrir des jeux. »

Lui montrer en autre les cellules, donc… hum oui, pourquoi pas, cela pouvait être intéressant de connaitre son point de vu.

« Je dois reconnaitre que je suis très exigeant avec mes soumises, elles sont donc très facilement punies. J’aime leur donner des tâches en sachant pertinemment qu’elles sont impossibles  ou du moins, hors de leur portée. Cela entraine donc punition… et cette punition a soit lieu dehors aux vues de tous, soit dans les cachots. Une fois, je me suis même amusé à le faire en plein Seikusu, devant la populace…nous avions adoré cela ! Surtout elle ! »

Il sourit et finit son thé, très amer et non sucré, non, c’était lui qui avait apprécié la jeune femme se mettre à quatre patte et faire wouaf wouaf devant tout le monde, elle, elle en avait versé quelques larmes. Il d’attendit qu’elle ait fini. Puis il se leva et l’invita à faire de même, lui proposant sa main pour qu’elle se lève, puis son bras pour l’accompagner. Il y avait justement Aenetelia en bas. Ils n’avaient qu’à faire un détour par sa cellule. Elle avait eu le malheur de répondre au maître sur un ton déplaisant….elle en subissait les conséquences. Certes c’était démesuré, mais sinon, elle appréciait. Ce qui n’était pas le but, bien évidemment !

« Si vous acceptez de bien vouloir me suivre, noble dame ! »

C’est ainsi qu’il l’invita à descendre de deux étages sous le sol et qu’il la mena vers une cellule. Sur le mur du fond étaient accrochés un fouet, un transformateur, des pinces à poids ou électrifiées, une cravache, une lanière de presque une main de largeur de cuir simple et une autre de cuir clouté, différent vibros en terme de taille, d’epaisseurs, de matières, il en avait même à mointes rétractables, et différentes plumes. Le strict minimum quoi !

La jeune femme, elle était pendue par les poignets au plafond par des chaines, et ses pieds, loin de touche le sol, étaient solidement menottés à ses poignets par les chevilles, celle-ci passant dans son dos et non devant elle. Une vraie contorsionniste ! En plus de cela, sur tout son corps se trouvaient des pinces qui tenaient de petits morceaux de peau ou de chair et tiraient dessus à cause des poids dont elles étaient munies.

On pouvait apercevoir aussi certaines petites incisions à des endroit st=ratégiques pas sans gravité aucune…

« Nous aimons quand c’est assez hard, et comme elle est très, très souple, cela nous permet d’aller très loin. Tout à l’heure c’était  autour de sa joli gorge que ses pieds étaient attachés… »

Il sourit  et lui dit :

« Si vous souhaitez examiner le matériel ou le tester…je vous en prie ! »

Maîtresse Isis

Humain(e)

Re : tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Réponse 11 lundi 14 novembre 2011, 23:19:38

Elle ne put s'empêcher de rire en l'entendant dire qu'il donnait des tâches trop difficiles à atteindre à ses soumis. Un rire clair et agréable, bien loin de se moquer, Isis appréciait ses dires. Par contre, elle hoqueta quand il parla de Seikusu. C'était osé. La ville était, certes, libéré, mais pas à ce point là.

- Vous êtes sérieux ? Et personne n'est venu à votre rencontre pour vous arrêter ? En tout cas, voilà une audace que j'admire...nous sommes bien plus secret que ça, mais il faut dire que mes amis ne sont pas...n'importe qui et traîner, par exemple, le médecin famille honorable en laisse...serait probablement néfaste pour ses patients.

Il est vrai que de ce point de vue, Liam et Isis n'ont pas les même fréquentations, lui joue avec des esclaves qui n'ont pratiquement plus rien à perdre, elle, elle joue avec des gens qui reprennent une vie normale après les jeux. Alors pour vivre heureux, vivons caché. Evidement, Isis ignore que se sont des esclaves, sinon, elle crierait au scandales et aurait tout bonnement refusé de prêter main forte à cet horrible personnage !

Il accepta néanmoins, après avoir quémandé son cuisinier, de montrer à Isis son domaine plus en...profondeur. Il n'y avait non pas un, mais deux sous sols. Décidément, quel domaine surprenant ! Elle ne pouvait nier qu'il était bien équipé. Elle nota tout ce qu'elle voyait, que ce soit sur les murs ou une table. Rien ne lui échappait. Il y avait aussi un énorme transformateur dont l’utilisation ne laissait aucun doute. Voilà quelque chose qu'Isis pourrait rendre plus mobile...

Bien que fort jolie et visiblement soumise, Isis lui trouva un défaut : la politesse. Elle n'avait pas de bâillon, ni de bandeau sur les yeux et pourtant, Isis n'eut même pas droit à un signe de tête, une plainte, un souffle...enfin quelque chose montrant qu'elle l'avait remarquée...rien. Elle la trouvait d'ailleurs fort silencieuse. A peine son souffle était perceptible. Cela ne devait probablement pas être simple de respirer dan ces conditions et encore moins d'émettre le moindre son. Pourtant, ce manquement méritait, selon Isis, une petite correction. Puisque Liam lui donnait la permission de toucher...Elle allait remédier à son oubli.

Elle se rapprocha de la soumise et passa ses doigts sur son corps cambré qu'elle senti frémir, légèrement. Elle semblait au bord de la rupture. Son hôte venait pourtant de lui dire que peu de temps avant, elle était attaché d'une manière bien plus serrée. Cette femme était donc d'une souplesse un peu hors norme. C'était très apprécié chez les gens de son milieu, car les extravagances les plus folles pouvaient se réaliser. Elle joua avec les poids les faisant se balancer et parfois cogner l'un contre l'autre. Les chocs produisaient une sorte de vague qui résonnait dans le corps de la jeune femme. Pas de quoi la faire hurler ou même crier, juste une sensation désagréable, incommodante.

- Je vais t'expliquer une chose, chez moi lorsqu'un invité se présente, la moindre des choses pour un soumis, est de dire bonjour ou au moins de l'exprimer avec le moyens qu'il lui reste. Toi, tu en avais largement les moyens !

Sans prévenir, sinon l'effet de surprise perdait tout son sens, elle lui tira violemment les cheveux, forçant sa tête à suivre un mouvement l'inclinant plus encore. Elle sépara la magnifique et abondante chevelure brune en deux. Elle fit une chose simple, elle noua le tout autour de ses poignets. Si Aenetelia voulait respirer, elle devait forcer sur sa tignasse et pour libérer la douleur de son cuir chevelu, elle devait forcer sur son cou en le pliant plus que de raison. D'un coté comme de l'autre la douleur suivrait ses mouvements. Voilà, qu'elle parle maintenant !

- Mon nom est Isis, quel est le tiens petite chose ?

Isis ne lui laissera pas le temps de répondre, pas tout de suite. Elle voulait d'abord l'entendre gémir de douleur. Pour tester sa résistance elle tira doucement sur l'une des pinces, puis de plus en plus fort, mettant l'élasticité de la peau de la contorsionniste à rude épreuve. Et puis d'un coup sec, la pince fut arrachée. Elle fit de  même avec plusieurs autres, autant de fois qu'elle avait vu de marques sur son corps. Elle replaça les pinces dans le creux des incisions, là où la chair était à vif. Pour être certaine d'obtenir un cri conséquent à chaque fois qu'elle refermait un pince, elle n'hésitait pas à appuyer longuement sur la plaies avec ses ongles. Et puis, si elle allait trop loin...son maître le lui dirait, non ?

Liam Eckart

Créature

Re : tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Réponse 12 mercredi 16 novembre 2011, 09:26:11

« Vous êtes sérieux ? Et personne n'est venu à votre rencontre pour vous arrêter ? En tout cas, voilà une audace que j'admire...nous sommes bien plus secret que ça, mais il faut dire que mes amis ne sont pas...n'importe qui et traîner, par exemple, le médecin famille honorable en laisse...serait probablement néfaste pour ses patients. »

Ah attention, il n’avait pas dit ça ! Mais bien vite on l’avait laissé en paix pour faire ce qu’il voulait. Personne n’osait le défier sans conséquences. Et puis, disons qu’il était très convaincant et très persuasif…il avait les moyens de forcer les gens à se la fermer définitivement sur un sujet quelconque. Et puis, quand la petite chienne qu’il trimballait alors en laisse suppliait la personne qui voulait interrompre leur humiliation de l ;es laisser tranquille et laisser Liam faire, il fallait reconnaitre que c’était assez efficace.

Il sourit quand il vit la dominatrice prendre le dessus sur la jeune femme qu’était Gwenaëlle. Il la laissa faire, voulant voir ce qu’elle comptait faire, approuvant à l’avance toute douleur qu’elle infligerait…il la vit jouer avec les poids des pinces, c’était amusant, mais en partie seulement puisqu’aucun son ne sortait des lèvres d’Aenetelia. Le vampire sourit, se demandant jusqu’où irait Isis/Gwenaëlle.

« Je vais t'expliquer une chose, chez moi lorsqu'un invité se présente, la moindre des choses pour un soumis, est de dire bonjour ou au moins de l'exprimer avec le moyens qu'il lui reste. Toi, tu en avais largement les moyens ! »

Pas faux, et même tout à fait vrai ! La jeune femme tira alors sur les cheveux d’Aenetelia qui eut un hoquet de surprise et un petit cri de douleur qu’accompagnèrent quelques gouttes de nectar féminin qui tombèrent sur le sol. Elle se débattit un court instant, cherchant une position supportable, mais rien à faire. Cela ne fonctionnait pas. Auss préféra-t-elle tirer sur les cheveux que sur la nuque et le cou.

« Mon nom est Isis, quel est le tiens petite chose ? »

Aenetelia ne réagit pas quand elle joua avec les pinces, et il fallut qu’elle joue des ongles sur les plaies pour qu’un léger gémissement sorte de ses lèvres. Elle était sacrément résistante, c’était ce qui amusait beaucoup le dénommé Liam Eckart. Sinon, elle se serait tue. Et finalement, elle articula avec peine.

« Ae…Aenetelia, madame ! »

Liam s’approcha et mit une rouste à sa soumise, une bonne gifle qui laisa une belle marque sur la joue d’Aenetelia. Puis il prit dans un recoin une  boite de punaises et s’approcha de ses cuisses. Puis, avec un plaisir sadique il enfonça une dizaine de puniases jusqu’au bout, dans ses cuisses. Chacune lui fit pousser un gémissement, voir un cri de douleur pour certaines.

« Petite chienne, tu as oublié quelque chose je crois… »

Lentement, du sang se mit à couler des plaies causées par les punaises dans sa chair. Il se tourna vers  Isis, la désignant.

« Ce n’est pas madame Isis, c’est maitresse Isis ! Désolé pour l’intervention mais avant que vous ne le demandiez, je devais lui expliquer ce détail. Et vous n’êtes pas habilitée à le faire…»

La soumise regarda, l’œil empli de défi la jeuen femme qu’elle devait séormais appeler maitresse, et tirant un maximum sur ses cheveux, elle lui cracha dessus.

« mon seul maître et la seukle personne qà qui je dois le respect est Liam Eckart ! »

Maîtresse Isis

Humain(e)

Tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Réponse 13 samedi 19 novembre 2011, 18:21:46

Tellement prévisible. Isis n'eut aucun mal à esquiver son crachat haineux. Elle allait payer ça, bien entendu. Dans un premier temps, elle se saisit d'une véritable cravache. Elle porta un coup, non pas au visage de la jeune femme, mais là où les punaises avaient été enfoncées. Et puis un second, juste pour son plaisir. De quoi la faire gémir de satisfaction ! Ou pas. Gwen la trouvait mal éduquée. Oh oui, du point de vue fidélité envers son maître, c'était bien, mais du point de vue respect...on repassera.

- Allons donc...de la rébellion ! Tu parles de respect envers ton Maître, pourtant, par ton acte, tu viens inévitablement de lui en manquer. Tu as bien compris, j'ai dis Lui. Cela va de soi que je n'ai pas loupé ta désinvolture à mon égard...

Pour Isis, ça coulait de source, lorsqu'un Maître demandait une chose à sa soumise, celle ci devait s'exécuter sans broncher. Le fait qu'elle refuse visiblement de se soumettre à Isis alors que Liam venait de le lui demander gentiment était un manquement aux règles...Isis punirait Aenetelia en premier. Elle était l'invitée et donc avait la priorité. Elle n'avait pas manqué de voir que les punaises étaient plus convaincantes sur la jeune femme. C'était normal pour Liam de les utiliser, il la connaissait bien mieux qu'elle. Elle demanda à Liam de garder la boite avec les punaises un moment, le temps qu'elle prépare deux ou trois petites choses.

Elle délaissa ses deux amis de jeux, retournant hors de la cellule, visitant les lieux, regardant chaque objet plus particulièrement. Son choix se posa sur les vibromasseurs. Oui, ce serait parfait pour la suite. Elle passa en revu l'ensemble de ceux qu'elle avait à disposition. Elle les testa tous, du moins leurs puissance de vibration. elle ne regardait pas la taille, ce n'était pas ce qu'elle cherchait, mais bien la vitesse de ces derniers. Elle trouva son bonheur et le ramena avec elle, sans le mettre en fonction.

- Et personne ne t'a demandé d'ouvrir la bouche...

Elle pinça les narines de la soumise pour l'empêcher de respirer par le nez, l'obligeant, au bout d'un moment qu'Isis eut la patience d'atteindre, à entrouvrir ses jolies lèvres. Et elle lui enfonça le dard en plastique sans ménagement, jusqu'au fond de la gorge. Bien que d'une taille raisonnable, cela l'empêcherait de respirer correctement et surtout de dire des phrases désagréables. Pour éviter tout rejet éventuel, elle utilisa un bâillon qui passait devant le vibromasseur en faisant le tour de sa tête. C'était en rien définitif, un prémisse de punition et une façon comme une autre de lubrifier l'objet.

Elle retourna son attention vers Liam et surtout sur la petite boite où quelques punaises se battaient toujours en duel. Elle enfonça deux doigts dans la moiteurs de ses chairs, allant et venant dans celle ci. Elle ne se préoccupait pas de savoir si Aenetelia éprouvait un quelconque plaisir, qu'elle ne s'avouerait d'ailleurs certainement pas puisque venant d'Isis. Elle voulait que son antre s'ouvre un peu plus pour pouvoir passer à la suite. La soumise était déjà dans un état qui rendait les choses plus simples et plus rapides. La jugeant prête, elle attrapa l'une des punaises au fond de la boite. Sans hargne, elle lui planta à l'orée de son intimité, lentement et le plus profondément possible. Elle recommença avec une seconde punaise, enfoncée plus loin dans son vagin. La soumise se vit tapissée de l'intérieur. Plusieurs petits clous, comme autant de griffes, s'enfonçant en elle.

Elle tira sur le bâillon pour la libérer de cette entrave. Sa main récupéra le vibromasseur humide qu'elle retira de la bouche néfaste de le jeune femme. Elle le plaça à l'entrée de l'intimité de la soumise, appuyant le gland synthétique, la préparant psychologiquement à la suite. Dardant son regard sur elle, sur son visage, et d'une poussée, elle enfonça le membre en elle, buttant contre le fond de la cavité. Elle actionna alors la molette, faisant vibrer au maximum l'objet dans son intimité. Il appuyait de façon irrégulière sur toutes les petites punaises qui s'enfonçaient encore plus dans ses chairs frémissantes. La jeune femme devait avoir l'impression qu'on lui plantait une multitude de clous toujours plus profondément en elle. Si les lui enfoncer dans la cuisse avait pu provoquer quelques cris de douleurs ténus, qu'en serait il à l'endroit le plus sensible, outre l'anus, de l'anatomie féminine ?

Isis s'écarta un peu d'elle. Si Liam voulait intervenir pour corriger son manque de respect, il avait la place à présent.

Liam Eckart

Créature

Re : tout est une question de maîtrise (Pv Maitresse Isis)

Réponse 14 mardi 29 novembre 2011, 10:41:29

Quand la nouvelle maitresse frappa sur ses cuisses d’où coulaient un mince filet de sang du aux punaises, ce ne fut qu’un gémissement étouffé qui parvint, et pas forcément que de douleur…bon, en même temps comment Aenetelia aurait pu tant aimer Liam si elle n’était pas masochiste jusqu’à l’extrême…

« Allons donc...de la rébellion ! Tu parles de respect envers ton Maître, pourtant, par ton acte, tu viens inévitablement de lui en manquer. Tu as bien compris, j'ai dis Lui. Cela va de soi que je n'ai pas loupé ta désinvolture à mon égard... »

Oui, normal que ça coulait de source, sauf si la douleur était ce que recherchait la soumise. Elle désirait ardemment être punie, elle voulait avoir mal pour avoir du plaisir en même temps ! Elle voulait se soulager dans une souffrance exquise, une souffrance qui irait loin, très loin, car elle aimait ça, autant qu’une drogue, elle avait besoin de souffrir pour se sentir vivante, elle avait besoin de souffrir pour se sentir bien.

Liam restait passif désormais, elle avait les choses en main et bien vite, il était sûr qu’elle « dresserait » Aenetelia de manière très efficace, il fallait juste qu’elle comprenne qu’il n’y avait pas de place pour les demi mesures, avec elle, il fallait y aller franco, tout simplement. Il la laissait donc se débrouiller pour qu’elle le comprenne, restant là, plus comme un instrument de ce petit jeu que comme acteur de celui-ci…il était la plus en cas de besoin, que réellement comme acteur, il voulait voir jusqu’où Gwenaëlle serait prête à aller. Il sourit en lui gardant la boite de punaises alors qu’il la laissait choisir le prochain instrument, de son côté, Aenetelia gémissait de contestation du faire que l’on ne s’occue plus d’elle….quand enfin Isis revint, il comprit son intention, rien qu’en voyant l’objet entre ses mains.  Ça allait être amusant !

« Et personne ne t'a demandé d'ouvrir la bouche... »

Aenetelia hoqueta et eut un léger haut le cœur quand le vibro éteint pénétra ses lèvres, lui bloquant presque la respiration, et quand elle voulut le recracher, elle comprit qu’elle ne pourrait pas, en effet, le bâillon l’en empêchait. Elle jura silencieusement, et en fut ravie en même temps. Mais si cela n’avait d’autre but que de la bâillonner, alors elle était déçue, très déçue. Et Liam le fut aussi, jusqu’à ce qu’il voit la suite…

En effet, le spectacle des premières larmes d’Aenetelia de la séance  étaient un beau spectacle, et il s’accompagna de doux bruits de cris de douleur étouffés, c’était si agréable à l’oreille…Quelle bonne idée il avait eu en sortant cette boite de punaises…décidément à eux deux ils avaient vraiment le don de briser quelqu’un, aussi nota-t-il dans un coin de sa tête tout ce qu’elle faisait, chaque geste, elle avait donc d’abord donné un peu de plaisir, faisant couler la cyprine, pour lubrifier le tout et planter les punaises dans son intimité, intéressant…lui il aurait forcé le passage avec la punaise…chacun sa méthode…

Enfin, elle en vient au plus sympathique. En effet elle prit le joli vibro, et en quelques instants, l’enfonça complètement en elle, par-dessus les punaises…nouveau cri d douleur, mais cette fois non étouffé. Elle avaot l’impression qu’en elle, l’objet lui fouillait les entrailles, c’était comme si il était armé de picôts acérés, elle avait déjà goûté à une gaine métallique recouverte de micro-lames qui s’enfilait par-dessus un sexe masculin, ses hurlements avaient été délicieux alors…

Et quand Isis s’écarta enfin, il sourit avant de dire.

« Vous êtes vraiment talentueuse, réussir aussi vite à m’offrir des larmes d’Aenetelia…même moi j’ai du mal ! »

Il s’approcha et tapota à nouveau les punaises dans ses chairs, puis il  s’écarta pour prendre deux choses, une bouteille en verre, pleine, un entonnoir, et un petit bâton avec manche en plastique, le bâton produisait de légers hocs électriques, heu, non, pas si légers que ça…juste assez fort pour ne pas s’évanouir…

Il tendit le bâton à Gwen, elle saurait sans doute quoi faire, personnellement, la dernière fois, il lui avait enfoncé dans le fondement avant de mettre en route…

Armé de sa bouteille, il s’approcha de la figure d’Aenetelia, il lui força l’ouverture de la bouche, la boquant avec l’entonnoir, puis il ouvrit la bouteille. Rien qu’à l’odeur, on devinait son contenu : du vinaigre ou quelque chose d’assimilable à du vinaigre, et il  se mit à verser le liquide dans la gorge de la jeune femme via l’entonnoir. Son corps fut secoué de soubresauts, mais il n’arrêta pas. Elle manqua de s’étouffer, ne pouvant pas respirer avec la gorge remplie de liquide , de même, il continua jusqu’à ce qu’elle finisse par être forcée d’avaler le vinaigre, toute la bouteille. Une fois cela fait, il prit la bouteille vide, et tourna autour  de la soumise. Et dire qu’au début, il avait voulu ne pas intervenir…la tentation était trop forte…

Une fois derrière elle, il prit bien en main la bouteille et d’un seul coup d’un seul, il força le passage de son anneau rectal, l’enfonçant au maximum, goulot en avant. Il la fit presque complètement rentrer, na laissant dépasser de moins d’une dizaine de centimètres. Elle accueillit cela d’un nouveau cri de douleur avant que le vampire ne s’écarte.

« Je vous prie de m’excuser, Gwenaëlle, elle est toute à vous pour la séance, je n’aurai pas du intervenir, mais l’envie était trop forte….


Répondre
Tags :