(l'amour est un nom, le sexe un jeu, oublie le nom et joue, ca me rappelle quelque chose, mais je sais pas qui... qui a eut ce bon sens pour écrire ca?)
La belle rouquine ressemblait assez dans le caracterre a la jeune femme face a elle, les deux se dévalorisaient quand elles étaient en face de ce qu'est la beauté. Yuri ne se trouvait rien d'irrésistible et pourtant c'était tout le contraire! La jeune femme avait de magnifiques formes et une douceur qui la rendait si tendre et si adorable qu'elle ferait fondre un glacier. Quand a Kenza, elle évait de magnifiques yeux et des formes tout aussi bien taillé que la création de Terra. Elle répondit en se présentant et en appelant Yuri Eshitaka-san, ca lui fit un choc, on l'appelait jamais comme ca!
Heu... Yuri ce sera suffisant, mon nom est quelque peu génant, vous comprenez?
Puis la jeune rouquine se mit a lui conter les histoire d'un lycée, un grand endroit où l'on apprenait la vie, les mathématiques et l'histoire. Jusque la, ca collait a peu pres avec la description de sa jeunesse et de son apprentissage, mais il n'y avait pas que ca chez la jeune femme, rafinement, tentative d'escrime, code d'honneur, serviabilité, toutes sortes d'autres choses qui font sa pureté... Cette fille lui expliquait que mis a part ce détail que les parents devaient ajouter personellements, elle avait été comme au lycée dans sa jeunesse. Mais soudains Kenza déclara qu'elle portait un uniforme comme a l'armée. La reptile fit les gros yeux avant d'ouvrir la bouche et de sa voix étonné et legerement grave sous la surprise elle ajouta:
Comme a l'armée? Mais ca sert a rien de mettre un uniforme, si c'est pour apprendre a vivre, pourquoi donner a tout le monde les memes habits?
Cette question avait du sens pour cette étrangere, mais la réponse était en fait bien différente de ce que l'on peut croire. Les uniformes servent a placer tout les éleves a la meme hauteur et donc a ne pas les sindé entre riche et pauvre, bourgeois et déffavorisé, tout le monde était logé a la meme enseigne et surtout les courbes des filles étaient bien plus agréable.... Comme avec tout les uniforme qu'une femme doit porter.
Moi j'ai presque eut la meme éducation, mais je n'avais pas l'uniforme quand j'apprenais, en contrepartie, ma mere m'apprenait a broder, a se mettre au service des autres et a toujours etre souriante, meme quand tout vas mal. Mon pere lui m'a appris le respect, l'honneur, la bonté et il a aussi essayé de m'apprendre l'escrime, mais je n'étais pas doué. Est ce que c'est pareil chez vous?
Alors savoir si le vous était une formule de politesse ou une généralité sur la Terre était un sacré dyleme, meme pour l'auteur en fait. La jeune femme faisait étalage de tout ce qu'elle avait appris de sa mere et de son pere et posait la question pour savoir si ici aussi c'était la meme histoire. En plus, la maniere dont Yuri énumérait les qualités qui lui avaient été révélé et développé etait pas faite pour vanter ni impréssioné, c'était une énumération de ce qu'on avait appris a la jeune femme, un peu comme quand on lit la liste des courses, il n'y as aucun orgueil dans ce bout de femme qui ne demandait qu'a etre croqué. Le temps passait et Yuri sentait qu'un truc se passait entre elles, comme si elles se raprochaient un peu, pas physiquement, mais qu'elles s'appréciaient ou une autre chose du meme ordre. A dire vrai, Yuri n'avait jamais vraiment eut d'amie, donc ce qu'elle ressentait a l'instant présent n'avait rien de commun pour la jeune femme.
C'était... Une excitation saine, comme de découvrir un trésor et de le garder secret pour aller le voir de temps en temps et l'admirer, probablement le genre de sentiment le plus proche de ce qui était en train de naitre dans l'esprit de la jeune femme pour cette enfant qui lui semblait bien plus belle qu'elle, apres, pour ce qui est de la réalité, il faut un tiers pour les départager.