La réponse par l'affirmative de ce Yakuza démon a la demande de Yuri la mit dans un état second, heureuse, amusé... Tout a la fois, l'altruisme de cette femme n'avait d'égal que sa beauté qu'elle sous estimait tout autant que son charme. En meme temps, quand on connait l'ombre du mirroir, on comprend pourquoi cette femme ne s'aprécie guere. Le pouvoir, ce pouvoir de prendre quelques attributs serpentins, coila ce qui la dégoute, bien sur son pere qui avait un pouvoir largement aussi dangereux, sans doute ce qui a valut son renvoi de la cour, lui avait appris appris a se controler pour ne pas user a tort et a travers, sa force ne devait jamais servir pour elle, mais pour les autres, Yuri ne devait se servir de ses crocs mortels que pour proteger les autres et non pour se montrer la plus forte.
Mais l'ennui, c'est que son venin esst d'une vivacité si grande que la personne meurt avant d'avoir put sentir la piqure des canines démeusuré.
Mais, oublions cela, meme si maintenant elle considérait Watari comme son ami et qu'elle était prete a ses servir de son pouvoir pour le proteger. Mais de quoi avait il besoin pour etre protéger? Bien sur, la jeune femme ignorait qu'il était ninja, espion, assassin et bien d'autre encore, mais ce n'est pas si grave, le moment venue, la belle rendra la pareille a cet homme si charmant qui lui montrait un interet autre que pervers.
Bien sur, Yuri culpabilisait de le voir porter autant d'habit, de bibelots et autres amplettes de décorations d'interieur. Mais Watari avait un sourire radieux, il semblait adorer rendre service a une si belle et charmante femme. Et pourtant, Yuri ne se pensait pas bell, ni charmante, or, le charisme d'une femme devient démeusuré lorsque l'on s'affirme comme belle et charmante, si le ninja était charmé par cet embryon de personalité, il serait lobotomisé par la femme qui vivait au plus profond d'elle, cachait par la honte, les souvenirs d'un passé chaotique, la timidité et surtout, le manque d'expérience humaine.
Le trajet fut comme elle l'avait pronostiqué, une bonne demi heure pour retourner a son appartement, mais, comme les transoirt en commun n'étaient pas surchargé, personne ne laissa une main baladeuse sur ses fesses magnifiquement sculté.
Arrivé devant le "palais" qui n'était autre qu'un HLM, Yuri prit ses clef pour ouvrir la porte de sécurité et laisser le passage grand ouvert a son chevalier servant, lui qui devait etre un proféssionel de la galanterie devait sans doute voir que les roles étaient inversé, mais en meme temps elle avait les mains libres, pas lui.
Ne vous en faites pas, je ne vis qu'au premier palier.
Bien que Watari soit a moitié démon, Yuri ne pouvait s'empecher de se sentir coupable de lui faire porter autant de choses a la fois, c'était un traitement presque inhumain, mais dans son fort interieur, la jeune femme savait que ce serait un grave affront pour son servant dévoué que de se voir des colis retiré, une preuve qu'il avait faillit a son devoir d'homme lige.
C'est donc, seulement avec ses clef, que la belle monta les marche, suivit, évidement, par un Watari qui ne devait pas voir ce genre de spectacle tout les jours. Sa démarche était souple, belle, pas vulgaire, presque dansante et profondément envoutante. Le pire, c'est que c'était inconscient.
Ha nous y voila, appartement numéro 69.
Non, aucun rapport... Les clefs firent deux tour et la porte donna sur un deux piece tout a fait correct. Une kitchenette, une salle de bain, des latrines, une chambre dont l'entrée était voilé par trois couches de rideau caramel, blanc et vanille simple. Les murs étaient d'un blanc immaculé a la sortie du long couloir, seul endroit de la maison comportant des cadres en bois noir avec des photos de monts, de barrieres de corails et autres merveilles de cette planette. Dans le Salon, un canapé lit était disposé devant un buffé ou tronait la télé, c'était un confort simple, mais agréable car envoutant de cette odeur de femme.
A l'interieur par contre, Yuir passa ses mains sur celle du jeune? homme et lui retira ses sacs avec un sourire avant de disparaitre dans sa chambre pour ranger ses vetements, ses bottes et ses manteaux dans la panderie fort maigre pour une femme vivant ici depuis pres de deux ans. Les sac contenant les materieaux de décorations resterent stoqué dan l'armoire, avec les habits, elle rangerait ca plus tard.
Watari-sa... Watari-kun, voulez vous me suivre? Je vais vous montrer ou vous pourrez passer vos nuit le temps que cet argent vous serve a vous établir. Je ne doute pas qu'il y ait assez pour que vous viviez confortablement dans ce monde sans avoir besoin de travailler ou autre.
C'est sur, quand chaque feuillet de liasse vaut un million de yen et qu'une liasse c'est cent billet, le calcul est vite fait. Watari avait 100 millions de Yen dans sa valise, c'est sur que pour trouver un logement, ce ne sera pas si difficile.