Entre tes griffes... | PV

Une journée de congé...

La jeune femme décida de partir seule, en randonnée en plein air. Pas qu'elle était une adepte de sport ou de ce genre d'activité, mais elle éprouvait surtout l'envie d'être seule ce jour-là. À vrai dire, elle était déprimée et un sentiment de solitude avait envahit sa vie, mais quoi de mieux qu'être une psychologue et ''s'auto-guérir''... Non, la jeune femme ne faisait jamais ça, mais d'une part c'était un avantage... Selon des recherches, un joli coin se trouvait à vingt minutes de Seisuku, et c'était facile de s'y rendre en voiture. Équipée d'un lunch, d'un Ipod, ainsi que d'une gourde remplit d'eau, elle s'aventura dans le petit sentier qui devait la mener dans une butte d'où la vue serait magnifique selon ce qu’on lui a dit... Enfin, elle n'était pas venue pour ça, mais bien pour être seule.

Tout se passa bien dans les heures qui suivirent et elle atteignit la destination sans problème, à part que l'effort que ça lui prit l'avait assez épuisée. Une table à piquenique se trouvait tout près et elle put luncher tranquille... Cette promenade n'était pas vraiment sa tasse de thé, mais elle éprouvait le besoin de se défouler. C’est alors qu'elle sortit une photo de sa poche, celui où elle était dans les bras d'un homme...  Ils avaient l'air heureux tout les deux avec leur grand sourire, mais il fallait briser ça... Bref, elle le déchira en deux, séparant le couple et brûla la moitié ''mâle'' à l'aide d'un briquet. Elle le regarda se consumer jusqu'à ne plus être que cendre. Ce n'était pas ce qui allait la ramener vers son bonheur d'autre fois, mais elle se sentait déjà mieux comme ça...

Un tonnerre retentit, c'était le temps pour la psy de s'en aller... La descente vers sa voiture se fit à la hâte, encourager par la pluie qui avait commencé à tomber. La nuit arrivait et elle ignorait si elle allait atteindre sa voiture à temps. D'une certaine manière, elle commençait à avoir peur, se sentant étrangement observée... Mais pas de panique Dylan, ce n'est sans doute que le vent qui produit ses bruits suspect ! Car oui, des craques sonores retentirent entre les arbres. La jeune femme se mit à marcher de plus en plus vite, surtout lorsque de gros nuages couvrit le ciel, alourdissant la noirceur qui l'entourait.  Il y eut des grondements à la suite d'éclair qui illuminait son chemin. Ça l’aidait… Mais qu’un peu. Sauf que sa peur se vit amplifier lorsqu'elle perçut quelque chose dans le noir, juste devant elle, l'immobilisant. Dans un ultime effort, elle s'avança très doucement, puis l'étrange silhouette s'évapora une fois qu'un autre éclair se chargea... Cela devenait de plus en plus inquiétant, mais pas question pour la jeune femme de s'arrêter ici.   

 (M'excuse pour le retard, j'ai eu deux semaines bien remplis ><)

C'était finalement ce temps. Ce temps dont il passait tous les instants de sa vie à redouter, craignant toujours qu'un autre accident se produise comme il y a si longtemps. Avant le loup habitait une forêt déserte, il avait donc qu'un très petit risque qu'il fasse quelque chose d'impardonnable, mais malheureusement, il n'était pas dans une forêt. Comment allait-il pouvoir se cacher en plein milieu d'une ville humaine? Il n'était pas là depuis longtemps, mais il avait bien vu que cet endroit fourmille d'être vivant... Comment est-ce qu'il allait bien pouvoir laisser passer tout ça sans faire de mal à qui que ce soit?!

Une seule chose était certaine: Il devait s'éloigner de ses deux chefs le plus rapidement possible. S'il y avait deux personnes qu'il refusait de souiller, c'était bien les mains généreuses qui prenaient soin et qui veillaient sur lui. Keeshanic n'était peut-être pas très intelligent, même qu'on pouvait dire qu'il ne s'agissait qu'un sextoy avec beaucoup de poil, mais il était reconnaissant. Donc durant la nuit, le terranide se glissa subtilement hors de l'appartement, laissant ses deux maîtresses dormir à poing fermer sur l'autre cabot.

 Bonne chose qu'il faisait presque nuit, autrement il aurait attiré l'attention de plus d'une personne, aussi bien par sa taille que par la taille de son engin qui pendait douloureusement d'entre ses jambes, au point où il en avait mal, au point où il en souffrait même. Mais il devenait fou, peu à peu, la douleur se propageait sur tout son corps, embrouillant ses sens jusqu'à ce qu'il ne soit même plus capable de réfléchir de façon rationnelle. Il s'arrêta un moment dans ce qui semblait être une forêt, haletant sur le sol. Bonne chose que cela ne durait pas longtemps, mais d'ici là, que dieu ait pitié de son âme.

Il se releva en poussant un puissant hurlement de loup. Il n'en pouvait plus, tout ce qu'il voulait à présent, c'était soulagé cette douleur insupportable qui lui trônait le bas ventre. C'était donc l'heure de partir à la chasse. Oh bien sûr il aurait été beaucoup plus simple de défoncer une fenêtre et violer ce qui s'y trouvait, mais quand il est comme ça, il n'attaquait que ce qu'il pouvait voir, ce qui était plutôt rare à cette heure et dans cet endroit. Du moins jusqu'à ce que son regard tombe sur une jeune femme seule. Il venait de trouver sa proie.

D'abord, il s'amusait un peu, ensuite il leur faisait peur et ensuite il passait à l'attaque. Il avait donc pris un bon moment à tourner autour d'elle, l'observant, prenant soin de regarder tous les détails de son corps, léchant ses babines dans un grognement d'impatience. Ensuite, il lui laissait entrevoir sa silhouette. C'est bien, elle allait de plus en plus vite. Mais malheureusement pour elle, il ne comptait pas la laisser partir. Pour l'achever, il utilisa sa technique précédente pour la forcer à prendre un autre passage, la guidant ainsi en lui bloquant la route jusqu'à ce qu'elle arrive au fond d'une air de service sans issue.

C'est ce moment qu'il avait choisi pour passer à l'attaque. Il sortit de l'ombre, une lueur sauvage dans ses deux yeux tandis qu'il regardait la psy en grognant. Déjà que sa taille était effrayante, imaginer vous trouvez devant un gros chien qui veut clairement vous violer! Pourquoi clairement? Principalement à cause de son large appendice canin qui pointait avec anticipation, lui donnant une allure et une taille impressionnante. Les options de la psy étaient clair: soit elle tentait de s'échapper et de provoquer la colère de l'animal, soit elle se laissait faire docilement. Peu importe son choix, elle allait se faire abuser d'elle.

Dylan, déboussolé par le mauvais temps, ainsi que la silhouette qu'elle aurait cru voir, continuait de marcher, accélérant le pas. Mais une nouvelle fois, cette espèce de boule blanche réapparut devant elle, bloquant évidemment sa route, l'obligeant à prendre un autre sentier pour rejoindre sa voiture. Elle n'avait pas envie de s'éterniser ici, peu importe cette chose et s'enfonça, sans le savoir vers une route un cul de sac, sans issu. Pas le choix de faire demi-tour, elle n'avait pas envie de passer entre les arbres où l'être qui la poursuivait semblait se dissimuler. Par ailleurs, un grognement l'affola, au point où ça la figea sur place. C'était donc un animal sauvage qui voulait l'attaquer... Mais celui-ci semblait assez gros.

Malheureusement pour elle, cette animal n'en était pas un, du moins, jamais elle n'en avait entendu parler. Il venait de sortir des bois, devant elle, dans un nouveau rugissement et d'une posture menaçante, il s'approcha d'elle. Dylan avait de nouveau figé, mais recula lentement, détaillant d'un regard effrayer l'allure de cette bête étrange. Il paraissait vouloir la dévorer, tel le grand méchant loup devant le petit chaperon rouge, mais ça se révélait être autrement quand la psy baissa son regard. Un large appendice rosé avait attiré son attention et elle était horrifiée à l'idée qu'il venait sans doute de trouver une victime avec qui il pourra soulager un  instinct basique...

S'en était trop, elle tenta de s'éloigner de l'être, sans lui faire dos, toujours impressionné par la bête étrange, mais aussi, elle ne voulait pas qu'il lui saute dessus... Une main devant sa bouche, elle ne pourrait pas s'échapper comme ça, car la bête la suivait au même rythme qu'elle, ce qui ne la distançait pas de lui...
 

 (Pas super génial comme post ><)

La pauvre ne savait pas dans quel genre de merdier qu'elle venait de tomber, alors ça non. Rien ne décourageais le fauve maintenant qu'il avait sa victime devant lui. Elle pouvait crier, frapper, essayer de fuir ou peu importe, rien n'allait empêcher Keesh de satisfaire ses bas instincts sur cette innocente, au contraire, toute résistance n'allait que l'encourager à devenir encore plus violent à cause de la frustration. Ce fut d'ailleurs la réaction que le loup eu lorsque sa proie tentait de partir en douce. Il lui bloquait toujours le chemin, grognant encore plus fort à chacun de ses gestes pour lui lancer un avertissement, lui indiquant qu'il n'était certainement pas d'humeur à jouer à ce jeu.

Chose qu'il ne lui laissa pas le temps de faire, car dès qu'elle fut à porter de griffes, Keeshanic lui sauta dessus, la plaquant au sol sans problème grâce à sa force et sa taille. Sa longue langue bavante passant le long de son visage de façon beaucoup trop perverse pour qu'un simple animal agisse ainsi. Mais le fauve n'allait pas lui laisser le temps d'y réfléchir. De plusieurs coups de griffes, il lui arracha violemment les vêtements, les réduisant en de simples lambeaux, sans même s'être soucié d'avoir lacéré le corps à présent nue de sa victime.

 Elle pouvait toujours essayer de se débattre, ses membres étaient toujours libre. Mais les griffes du loup s'enfonçait dangereusement dans sa gorge, la retenant et menaçant de l'égorger au premier geste trop déplacer. Mais maintenant que faire? Il avait une jeune femme à sa merci, alors ce n'était pas les idées qui manquaient... Pourquoi ne pas commencer par cela? Après tout il n'avait jamais essayé les pratiques humaines. Eh oui, malgré tout, une petite partie de son cerveau restait active et malheureusement, ce n'était celle où la tendresse était de mise.

D'une seule main, il captura ses poignets, la soulevant comme une vulgaire poupée pour qu'elle soit au bon niveau. C'est-à-dire: le visage collé contre son membre rougis par la douleur et le désir. Ses envies étaient évidente, de même que la tâche de la psy. Allait-elle jouer le jeu ou risquer la colère du loup? Impossible à dire, mais c'est sur son prochain geste que tout allait se décider.